josé mingret - Ville de Mâcon
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josé mingret - Ville de Mâcon
INFORMATION PRESSE JOSé mingret 1880 - 1969 Exposition temporaire du 16 novembre 2013 au 16 février 2014 Musée des Ursulines - Mâcon L es attaches de José Mingret dans le Mâconnais, des bords de la Saône à Asnières aux sites lamartiniens, justifient l’exposition de 2013 au musée de Mâcon et la publication d’un ouvrage monographique sur l’artiste conçu par Yves Delaplace. "José Mingret (1880-1969) montre très tôt des dispositions pour le dessin, étudié à l’Académie Julian à Paris entre 1903 et 1906, qui se manifestent tant par des caricatures que par des croquis. L’artiste est avant tout connu pour être un peintre de montagne, fréquentant essentiellement les lacs et les sommets des Alpes. Au côté des albums Venise et Montagnes regroupant des sélections de travaux, réalisés parfois en plusieurs exemplaires pour les plus célèbres, l’exposition permet de découvrir des œuvres plus intimistes, comme les paysages de la Bresse ou de la Dombes. D’autres confinent à l’abstraction et sont des traductions d’atmosphères (brumes, rosées, gelées, etc), ses sujets privilégiés à partir de 1939, quand il se réfugie avec sa femme dans la maison familiale bressane. Dernières lueurs du soir sur les flèches du Vajolet (Dolomites), 1952, huile sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] 1 INFORMATION PRESSE Biographie Louis-Joseph dit "José" Mingret est né le 22 mars 1880, à Vitré, où son père, originaire d’Asnières près de Mâcon, était Conservateur des Hypothèques. Après des études, à Pont-l’Evêque, puis au Lycée du Mans, il entreprend son droit selon le désir de son père, mais abandonne assez rapidement la Faculté pour se consacrer à la peinture. Vers 1900, Mingret s’installe à Paris, boulevard Raspail, où il suit l’enseignement de Marcel Baschet, d’Henri Royer et de William Bouguereau. Ces années de formation sont très mal connues et seules quelques rares œuvres nous montrent qu’il avait déjà, à l’âge de 20 ans, un certain talent. Il épouse, le 7 juillet 1908, Lucie Gibier, miniaturiste parisienne qui, toute sa vie, le déchargera des soucis du quotidien, lui permettant de se consacrer exclusivement à son art, dont il vivra, avec des hauts et des bas. A partir de 1906, il commence à exposer ses œuvres dans diverses villes de France et à l’étranger : 1906Mâcon. 1907Toulon. 1908 Paris (Salon), Mâcon. 1909 Paris (Salon), Mâcon. 1910 Paris (Salon), Nancy, Mâcon. 1911 Paris (Salon), Mâcon, Nancy. 1912Paris (Salon), Epinal, Londres (Salon des Humoristes), Mâcon. 1913 Paris (Salon). 1914Versailles, Paris (Salon), Nancy, Soissons, Genève. 1915 Paris (Ecole des Beaux-Arts). 1916 Nancy (Majorelle). 1918-19 Chicago, New-York. 1920 Paris (Galerie Manoury). 1921 Paris (Galerie Manoury). 1922 Paris (Galerie Manoury). 1923Lyon (Club Alpin Lyonnais), Sydney, Melbourne, Adelaïde, Paris (Galerie Manoury). 1924 Paris (Galerie Manoury). 1925Paris (Exposition des Peintres de Montagne, Cercle de la Librairie), Courmayeur, Mâcon. 1926Paris (Exposition des Peintres de Montagne), Paris (Galerie Le Goupy), Courmayeur, Bordighera. 2 1927Paris, Paris (Galerie Georges Petit), Londres, Mâcon, Paris (Exposition des Peintres de Montagne). 1928Paris (Galerie Le Goupy), Antony, Paris (Exposition des Peintres de Montagne), Paris (Bd. Raspail, dans son atelier), Menaggio, Mâcon. 1929 Paris (Le Goupy), Mâcon. 1931Paris (Peintres de Montagne), Paris (Bd. Raspail, dans son atelier), Menaggio, Mâcon. 1934Paris (Le Goupy), Paris (Galerie Brandt), Paris (Fédération française des Artistes). 1935Paris (Bd. Raspail, dans son atelier), Mâcon (Exposition des Beaux-Arts). 1936Paris (Salon des Peintres de Montagne), Paris (Galerie Malesherbes), Paris (Bibliothèque du Club Américain). 1937Menaggio, Paris (Exposition Universelle, Pavillon de Bourgogne), Mâcon. 1938 Paris (Galerie Georges Petit). 1941Mâcon (Galerie Pédrinis), Mâcon (Ecole de Dessin). Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] INFORMATION PRESSE Réformé pendant la Guerre de 1914 en raison d’une "maladie des nerfs", dont il souffrira tout au long de son existence, José Mingret, comme beaucoup d’artistes français, participe à la guerre en peignant des scènes de la vie quotidienne dans les tranchées et les champs de bataille. L’après-guerre le voit souvent absent de Paris, il voyage beaucoup, surtout en Italie où il peint à Florence, dans le Val d’Aoste, les Dolomites et à Venise. Féru d’alpinisme et de peinture de montagne, il séjourne presque chaque année à Menaggio, sur le lac de Côme, qui est sa base de départ pour la haute montagne. Cette activité débordante ne lui fait cependant pas oublier les rives de la Saône et les dates de ses œuvres indiquent de fréquents séjours à Mâcon où sont retirés ses parents. En 1941, Mingret quitte Paris pour Asnières où il possède une maison héritée de son père. C’est là qu’il va approfondir l’étude des rives de la Saône. La mort de Lucie Mingret, en 1957, est une épreuve terrible pour l’artiste, bientôt suivie du départ pour l’hôpital de Saint-Laurent, où il s’éteint à son tour le 29 mai 1969. Le jeune Louis-Joseph Mingret dans son atelier, photographie © DR Meryem Bouché-Leclercq, Portrait de José Mingret (1880-1969), 1941, huile sur toile © P. Tournier, Musées de Mâcon Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] 3 INFORMATION PRESSE L’artiste La caricature, ou Visions humoristiques José Mingret montre très tôt des prédispositions pour le dessin, et notamment la caricature. De son séjour à la clinique "Mon Repos" à Vevey, en 1904, découle une amusante série de sept caricatures des pensionnaires de l’établissement, intitulée Les Mabouls. José Mingret a quarante ans lors de la déclaration de la Grande Guerre. Ses antécédents neurasthéniques lui épargnent le front mais nous le retrouvons en 1916 mobilisé au 134e régiment d’infanterie de Mâcon. Sa contribution patriotique est principalement artistique. On peut penser qu’il reste quelque temps à Nancy, au sein du 26e Régiment de Ligne. Il en ramène une série de caricatures d’officiers et soldats du rang, intitulée Visions de guerre. Chaque dessin, réalisé à la gouache, est accompagné de quelques lignes de l’artiste dans lesquelles il croque de façon poétique et avec beaucoup d’humour les traits de caractère de la personne représentée, ceci accompagné d’un petit texte autographe du sujet en réaction à la caricature. Louis Crozes, facteur de piano à Mâcon, 1903, encre et gouache sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Lieutenant René Bertrand, 1915, gouache sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Sa technique Après ses années de formation à l’Académie Julian au cours desquelles il travaille le dessin et la peinture à l’huile sur toile et panneau, il pratique presque exclusivement l’aquarelle à partir des années 20 pour progressivement, au cours des années 30, adopter une technique tout à fait particulière et qui sera la sienne jusqu’à ses derniers travaux : la peinture à l’huile sur papier fort. Trois lieux lui sont particulièrement chers : la haute montagne, Venise et la prairie de la Saône. "Mais à travers eux, ce sont les éléments qui exercent sur lui une fascination : la terre, l’air et l’eau, qui s’interpénètrent." (JF Garmier) « J’ai une énorme mémoire visuelle. Je remplis des carnets et des carnets de croquis, sur le terrain. Puis, à l’atelier je recompose mon tableau. J’essaie de rendre le maximum d’effet avec le minimum de moyens. Je conserve la fraîcheur de l’inspiration que je veux rendre, la lumière fugitive, l’heure qui passe une fois et ne reviendra plus. Les brumes, les automnes et les hivers m’intéressent surtout. Au-delà de l’anecdote, de la photo si l’on veut, je cherche à communiquer au spectateur un sentiment, une certaine philosophie de la nature. » Paysage du Mâconnais, aquarelle sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon 4 Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] INFORMATION PRESSE L’œuvre, ses carnets de notes José Mingret ne travaille pas sur le motif. Très bon dessinateur, il revient de ses excursions en montagne, en Bresse, à Venise avec des carnets noircis de dessins au crayon, parfois rehaussés de traits à la plume ou d’aquarelle gris neutre, d’une grande précision, surchargés et annotés d’indications de couleurs, d’effets et de considérations personnelles, voire très personnelles... De retour à l’atelier, ces notes lui permettent de recomposer fidèlement le paysage tel qu’il l’a perçu et surtout ressenti. L’étude des carnets de croquis est une véritable « manne », permettant d’attribuer un nom à une vue de sommet anonyme ou de dater une œuvre. La lecture attentive de ces notes nous renseigne également sur le nombre de fois où le croquis sert à une réalisation peinte par la présence de petites croix au crayon rouge. Monte Cristallo, dessin préparatoire (« le Crytallo » au retour de Misurina), daté 11/01/34 © B. Mahuet, Ville de Mâcon Monte Cristallo, vers 1934, huile sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Les panneaux décoratifs, le LAP, l’encadrement José Mingret s’essaie avec souvent beaucoup de succès à d’autres formes de techniques artistiques. Les panneaux décoratifs sur fond or, argent et cuivre apparaissent pour la première fois dans le cadre d’une exposition chez Manoury en 1922. Ils représentent exclusivement des vues de montagnes et du lac de Côme. L’Etat lui achète un panneau pour le musée de Besançon. LAP est la contraction de "l’art antique des lapidaires". Ce procédé révolutionnaire est mis au point en 1920 par des amis de l’artiste, l’ingénieur Jean-Charles Séailles et son épouse, la cantatrice grecque Spéranza Calo. Ce matériau de synthèse incorpore des feuilles de cuivre, d’argent et d’or et embellit le ciment en lui donnant, une fois poli, un reflet brillant et des teintes très variées, éclatantes ou cristallines. Les œuvres "en LAP", qui connaissent un grand succès, sont réalisées sous la direction de Spéranza Calo à la Manufacture Séailles d’Antony. Objets uniques de décoration architecturale créés d’après des cartons d’artistes tels Raoul Dufy, Foujita, Grüber..., ceux de José Mingret ne nous sont connus que par la photographie. Très tôt dans sa carrière, José Mingret choisit d’encadrer lui-même ses œuvres pour ses expositions personnelles. Il en va de même en cas de commande importante ou lorsque l’œuvre lui plaît particulièrement. En règle générale, il offre à l’acquéreur le cadre conçu pour sa peinture. Flammes noires des cyprès, 1950, panneau décoratif sur fond or © B. Mahuet, Ville de Mâcon Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] 5 INFORMATION PRESSE Musicien On ne peut évoquer la vie du peintre sans aborder ses rapports très étroits avec la musique et les musiciens, dont certains fort célèbres. Tout comme son Maître en peinture de montagne, Albert Gos, premier Prix du Conservatoire de Genève, José Mingret est un violoniste de talent. Il joue, et ceci de façon très rituelle, tous les jours de son instrument pendant une heure, spécialement le matin. Son violon est véritablement son compagnon. Il interprète avec beaucoup de virtuosité des œuvres de Vivaldi et de Bach dont l’Aria qu’il affectionne tout particulièrement. Il fait très souvent des parallèles entre la musique, la peinture et la vie intérieure : « J’aime la musique. Je suis violoniste. Et quand je peins, je me sens pénétré par l’harmonie profonde qui m’accorde à toute la nature » (extrait de l’entretien du 30 octobre 1958). Installé à Asnières, il continue à organiser des concerts à Mâcon avec la Société de Musique de Chambre et donne des cours de violon. Venise, Princesse des mers « C’est le compositeur Leone Singaglia, compositeur italien de grand talent dont j’avais fait la connaissance à Courmayeur au cours d’un de mes voyages d’étude, qui fut le premier à m’initier aux beautés de Venise que nous parcourûmes en tous sens avec de magnifiques élans d’enthousiasme. » Il y séjourne tous les ans et de façon très régulière au mois de mars, sur l’île de la Giudecca, et consacre beaucoup de temps au dessin. «...J’ai entièrement mis au point mon ouvrage sur Venise et je pense que ces multiples impressions, traduites dans les brumes d’hiver, car j’apprécie surtout la cité des doges en entre saison, vous plairaient. Selon la couche d’humidité, les voiles de la lagune enveloppent la cité de coloris divers répandant ainsi les harmonies les plus rares. » Ces études d’une précision extrême, toutes annotées d’indications de couleurs et d’impressions de ressentis d’atmosphères, lui servent ensuite en atelier à composer des œuvres abouties. Il présente dans chacune de ses expositions de groupe ou personnelle une ou deux vedutte. La plus remarquable est sans doute une grande toile, la vue de Venise et de Saint-Georges-leMajeur, n°285 de l’Exposition des Beaux-Arts de Mâcon de 1929 et appartenant depuis peu à une collection chinoise. Nous retrouvons plus tard ces atmosphères poétiques de brumes et de nuées dans ses toiles de la Dombes et de la Bresse, avec leurs frêles clochers se dressant, tels des campaniles, sur des prairies inondées. Les coupoles de la Salute, 1953, huile sur papier © P Plattier, Musées de Mâcon 6 Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] INFORMATION PRESSE Montagnes José Mingret accompagne très tôt son père à Interlaken où il rencontre un ami de la famille, Albert Gos, doyen des peintres suisses, que José Mingret considère comme son maître en peinture de montagne. La consultation de ses carnets de notes nous donne quelques précisions sur ses escapades et son travail en haute montagne. La première trace d’une peinture de montagne de Mingret remonte à 1919. Il s’agit d’une œuvre intitulée Ouragan sur le col de la Faucille dont nous avons perdu la trace mais qui se trouve peut-être aux Etats-Unis car elle a été exposée à New York en 1919. C’est à partir de 1922 qu’il se rend tous les ans en Italie. Son premier séjour à Courmayeur date de la même année. Il en ramène une grande série d’études des Dolomites. Il est fasciné par ces paysages montagneux qu’il peint et expose durant toutes les années 20 et 30. Il présente ses premières peintures de montagne à Courmayeur en 1923, puis en 1925 et 1926. Ce sont surtout ses expositions à la Galerie Le Goupy, boulevard de la Madeleine à Paris, qui lui donnent le plus de satisfaction (1926, 1928, 1929). La première se tient en 1926 et s’intitule "Altitudes et Atmosphères". Il y expose des vues du Val d’Aoste (la Grivola, le Monte Rosa, le Mont Blanc, le Cervin) ainsi que des vues des Alpes suisses. Cyrano, l’hebdomadaire parisien, lui consacre un article dans son numéro 105 : « Signalons le très beau succès de la récente exposition à Paris du peintre José Mingret. Pour beaucoup d’amateurs, ce fut la révélation d’un extraordinaire tempérament de paysagiste que cette série consacrée à la Brie, à la Bresse, et à la Toscane. La maîtrise de José Mingret est caractérisée par une rare puissance de synthèse, surtout quand l’artiste traite les lignes et les profils de la haute montagne. Et sa recherche de fluidités aériennes, lorsqu’il traite les atmosphères de plaine, suffirait à le classer. Mais José Mingret aime trop l’infinie variété de la nature pour se spécialiser et ses dons l’épanouissent dans l’interprétation des sites les plus contrastés. C’est un grand paysagiste.»" Y. D. Lac de Côme, huile sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Le Cervin vu du Ryffel,1948, huile sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] 7 INFORMATION PRESSE IMAGES POUR LA PRESSE Les visuels présentés dans le dossier de presse sont disponibles en bonne définition pour la presse sur simple demande : par mail : [email protected] Dernières lueurs du soir sur les flèches du Vajolet (Dolomites), 1952 Huile sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon par tél. : 03 85 39 90 38 Paysage du Mâconnais Aquarelle sur papier © B. Mahuet, Ville de Mâcon Le jeune Louis-Joseph Mingret dans son atelier Photographie © DR Petit canal en fin d’après-midi, 1953 Huile sur papier © P. Plattier, Musées de Mâcon 8 Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] INFORMATION PRESSE Animations, conférences Dimanche 1er décembre à 15 h > Vivement dimanche Mercredi 11 décembre à 15 h > Venise par Marie Lapalus Dimanche 5 janvier 2014 à 15 h > Vivement dimanche Mercredi 22 janvier 2014 à 15 h > Itinéraires de montagne par Benoît Mahuet Dimanche 2 février 2014 à 15 h > Vivement dimanche Dimanche 16 février 2014 à 15 h > Dialogue pour une clôture par Yves Delaplace et Marie Lapalus Renseignements : Tél. : 03 85 39 90 38 - [email protected] Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected] 9 INFORMATION PRESSE RENSEIGNEMENTS PRATIQUES VERNISSAGE Samedi 16 novembre 2013 à 17 h au musée des Ursulines. HORAIRES Exposition ouverte du 16 novembre 2013 au 16 février 2014. Du mardi au samedi : 10 h – 12 h, 14 h – 18 h Dimanche : 14 h – 18 h Fermé les 25 décembre et 1er janvier. TARIFS 2,50€ par personne 1,60€ par personne pour les groupes de 10 personnes. La gratuité est accordée : - aux habitants de Mâcon et des communes associées, - aux jeunes de moins de 26 ans, aux enseignants accompagnateurs, aux chômeurs, aux adhérents de l’association "Les Amis des Musées de Mâcon". Des visites commentées peuvent être organisées, sur réservation, pour des groupes d’au moins 10 personnes. Le montant de la visite sera majoré de 1,60€ par personne. VISITES GUIDÉES Groupes (adultes, familles, scolaires…) sur demande au 03 85 39 90 38 ADRESSE Musée des Ursulines - 5, rue des Ursulines - 71000 MâCON Tél. : +33(0)3 85 39 90 38 - [email protected] www.musees-bourgogne.org - www.macon.fr Le musée est accessible aux personnes à mobilité réduite au 5, rue de la Préfecture. L’exposition et la publication bénéficient du soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Bourgogne. Le docteur Yves Delaplace signe la monographie qui accompagne l'exposition. Renseignements : Tél. : 03 85 39 90 38 - [email protected] Réalisation : Communication - Ville de Mâcon Impression : imprimerie municipale / Octobre 2013 10 Contact : Claire Magnien - Tél. 03.85.39.90.38 - [email protected]