Le projet à télécharger

Transcription

Le projet à télécharger
Semaine Académique de la Maternelle
DESCRIPTIF DU PROJET :
Suite à l’analyse d’une œuvre, il s’agit d’élaborer une ou plusieurs histoires qui serviront à
construire la culture de la classe et de l’élève. L’histoire inventée, associée à une œuvre,
permettra ainsi de mettre du sens et d’en faciliter la mémorisation. Les outils numériques
faciliteront la production, la mise en mémoire et la diffusion des histoires. Dans ce cadre, les
écoles utilisant L’ENT E-primo bénéficieront d’un support pour la mise la mise en place d’un
portfolio numérique du parcours artistique et culturel et d’activités complémentaires.
Dans le cadre des programmes de l’école maternelle, le projet favorisera particulièrement les modalités
spécifiques d’apprentissage : Apprendre en réfléchissant ; Apprendre en se remémorant et en mémorisant
OBJECTIFS VISES
•
Agir, s'exprimer, comprendre à travers les activités artistiques :
- Vivre et exprimer des émotions, formuler des choix
Les enfants apprennent à mettre des mots sur leurs émotions, leurs sentiments, leurs impressions, et peu à peu, à
exprimer leurs intentions et évoquer leurs réalisations comme celles des autres.
- Découvrir différentes formes d'expression artistique
La familiarisation avec une dizaine d'œuvres de différentes époques dans différents champs artistiques sur
l’ensemble du cycle des apprentissages premiers permet aux enfants de commencer à construire des
connaissances qui seront stabilisées ensuite pour constituer progressivement une culture artistique de référence.
•
Mobiliser le langage :
- Oser entrer en communication
L'objectif est de permettre à chacun de pouvoir dire, exprimer un avis, questionner... L'enfant apprend ainsi à
entrer en communication avec autrui et à faire des efforts pour que les autres comprennent ce qu'il veut dire.
- Échanger et réfléchir avec les autres
Les situations d'évocation entraînent les élèves à mobiliser le langage pour se faire comprendre sans autre appui,
elles leur offrent un moyen de s'entraîner à s'exprimer de manière de plus en plus explicite.
COMPÉTENCES TRAVAILLÉES
•
Éducation artistique
- Décrire une image, parler d’un extrait musical et exprimer son ressenti ou sa compréhension en utilisant un
vocabulaire adapté.
•
Langage
- Communiquer avec les adultes et avec les autres enfants par le langage, en se faisant comprendre.
- S’exprimer dans un langage syntaxiquement correct et précis. Reformuler pour se faire mieux comprendre.
- Pratiquer divers usages du langage oral : raconter, décrire, évoquer, expliquer, questionner, proposer des
solutions, discuter un point de vue.
- Participer verbalement à la production d’un écrit. Savoir qu’on n’écrit pas comme on parle.
DEROULEMENT
Du 12 octobre au 6 novembre :
-
Inscription des classes sur la page du projet « une œuvre, des histoires » à l’adresse :
http://www.ia85.ac-nantes.fr/vie-pedagogique/tuic/une-oeuvre-des-histoires-912242.kjsp
Quatre œuvres libres de droit sont proposées à l’étude de la classe. L’enseignant choisit
d’étudier une œuvre. Il peut s’appuyer sur des documents d’accompagnement joints proposant
différentes démarches et éléments d’analyse.
Du 9 au 20 novembre :
-
-
-
-
Avant tout travail de description, l’étude d’une œuvre d’art commence par l’expression d’un
ressenti, d’une impression, d’une émotion : on encouragera les élèves à s’exprimer en utilisant
le « parce que ». Cela pourra être une première occasion d’enregistrer les élèves (qui peuvent
aussi s’enregistrer) et ainsi avoir une première approche des outils numériques.
Avec ses élèves, l’enseignant mène un travail en classe de lecture de l’œuvre. Ce travail de
description semble nécessaire pour permettre aux élèves de construire du sens et de développer
leur imagination.
Il s’agira ensuite (selon la modalité pédagogique choisie par l’enseignant) de créer
collectivement une histoire imaginaire se rapportant à l’œuvre. Cette histoire, permet de mieux
comprendre l’œuvre et de s’en souvenir. Cette production donnera lieu à un enregistrement
audio finalisé qui sera adressé par courriel à l’adresse [email protected]. En
fonction des niveaux de classe et de l’âge des élèves, l’histoire pourra être racontée par les
élèves ou l’enseignant
Les écoles e-primo pourront publier leur histoire sur l’espace de la classe et commencer ainsi un
premier « portfolio numérique » témoin de leur parcours culturel et artistique.
Le 20 novembre :
-
Date limite d’envoi de l’enregistrement sonore à l’adresse [email protected].
L’ensemble des contributions audio sera regroupé sur un même espace accessible à toutes les
écoles le lundi 23 novembre au matin.
Du 23 au 27 novembre : la Semaine de la Maternelle :
-
-
Les classes pourront accéder aux productions de l’ensemble des autres classes ayant travaillé à
partir de la même œuvre. Ces classes pourront ainsi, durant des temps d’échanges avec les
élèves et éventuellement en présence de partenaires (parents, autres classes, partenaires…),
effectuer un travail de comparaison des productions et faire évoluer leurs représentations à
partir d’interprétations produites par d’autres élèves de classes similaires.
Les classes inscrites dans l’ENT académique e-primo se verront proposer des activités
complémentaires interactives permettant de prolonger ce travail autour de l’œuvre et de
l’artiste.
Après le 27 novembre :
- La réitération de cette démarche participera à l’élaboration d’un parcours culturel de la classe et
de l’élève.
- Des activités de prolongements (productions plastiques…) seront proposées afin notamment de
développer la communication autour de la production d’œuvres réalisées par les élèves à partir
de ces travaux initiaux.
DEMARCHES PEDAGOGIQUES
PRESENTATION DE L’ŒUVRE
Pendant un moment : observer l’image dans le silence. Selon l’œuvre choisie, on peut découvrir
l’œuvre en allant du général vers le particulier ou bien présenter des détails pour découvrir l’œuvre au
fur et à mesure. On peut pour cela s’appuyer sur l’utilisation d’un vidéoprojecteur ou d’un TNI avec un
système de cache sur l’image projetée. Les œuvres au format JPEG ainsi que des ressources
numériques sont disponibles dans ce cadre à l’adresse suivante : http://www.ia85.ac-nantes.fr/viepedagogique/tuic/une-oeuvre-des-histoires-912242.kjsp
DESCRIPTION DE L’ŒUVRE
« Qu’est ce que vous voyez ? » (Et non « qu’est ce que cela représente ?»)
Procéder par questionnement et remarques, guider les observations, préciser les idées par des questions,
en allant du général au particulier
L’expression du point de vue est privilégiée
- Collecter ainsi le maximum d’éléments et d’indices.
On essaie de procéder par regroupement : les personnages, les animaux, la végétation, l’environnement
urbain ou rural…
Le lieu, le temps qu’il fait, l’heure, la saison…
Que font les personnages ? Combien sont-ils?
-
Exprimer son ressenti Afin de dépasser la question fermée du type « j’aime ou je n’aime pas »,
proposer des questions ouvertes du type : « Qu’est ce qui te fait peur dans ce tableau… »
-
Faire une analyse purement plastique pour découvrir les procédés utilisés par les artistes. (Cf
les éléments d’analyse de chaque œuvre)
RACONTER L’ŒUVRE
Le travail d’étude, de lecture de l’œuvre préalable à la construction du récit imaginaire doit permettre
de dégager du vocabulaire alimentant l’imagination des élèves.
-
Poser des questions ouvertes « à quoi cela fait penser ? », « Où se passe cette scène ? », « Qui
sont les « personnages »
Justifier : « peux-tu expliquer »
Evoquer des suppositions « c’est peut être l’histoire de… »
« Que s’est-il passé avant cette scène ? Que va-t-il se passer après ? »
Emettre des hypothèses :« c’est peut être », « on dirait »
Il ne s’agit pas de comprendre le message de l’artiste. Il s’agit de faire appel à l’imagination des
enfants lorsqu’ils racontent, interprètent, émettent des hypothèses et ainsi de favoriser le langage.
Pour « rédiger » l’histoire, on plante d’abord le décor, on expose la situation, on dit ce qui s’est passé
ou ce qui va se passer, on trouve une fin.
Les référents numériques peuvent vous accompagner dans la mise en œuvre des usages du numérique
au sein de la classe.
GUSTAVE DORE : ENTRE CIEL ET TERRE
PRESENTATION DE L’ŒUVRE :
Il s’agit d’une huile sur toile de 61 x 51 cm, peinte en 1862.
Le tableau représente une scène qui se pratiquait dans la région strasbourgeoise à la fin du XIXème
siècle : chaque participant au « jeu » accrochait une grenouille à un cerf-volant. Une fois l’ensemble en
l’air, le dernier qui voyait sa grenouille happée par une cigogne avait gagné.
ELEMENTS D’ANALYSE
Dans le domaine des Arts Visuels :
- La question du point de vue : l’auteur est lui aussi dans les airs
- La question des différents plans : la grenouille au premier plan (devant), la cigogne derrière, en
arrière-plan, la cathédrale (de Strasbourg, reconnaissable à son unique clocher) au fond. NB : la notion
de plan est difficile en maternelle, à adapter selon les capacités des élèves.
- La question des couleurs : l’utilisation du pastel.
- La question de l’espace : Le cerf-volant est en haut. La grenouille monte mais elle regarde en bas. Les
personnages sont en bas : on les voit. Ils sont minuscules.
Dans le domaine du Langage :
- La question du ressenti : « J’aime » ou « je n’aime pas » parce que… L’utilisation du « parce que »
est une compétence à maîtriser par les élèves à l’école maternelle.
- La question de la description : La scène se passe à la campagne. On voit des personnages minuscules.
Au loin, on voit une église (cathédrale). Dans le ciel, des choses volent : ce sont des cerfs-volants. Un
oiseau a déchiré (crevé) un cerf-volant. Au centre du tableau, une grenouille est attachée par la patte au
bout d’une corde ornée de décorations en forme de papillons. Cette corde est celle d’un cerf-volant. La
grenouille monte, elle regarde en bas. Derrière elle, une cigogne arrive avec le bec grand ouvert. Elle
semble hurler.
- Le lexique :
Noms
Verbes
Adjectifs
Mots-outils
Minuscules
Devant
Animaux :
Voler
Grenouille
Monter
Pastel
Derrière
Cigogne
Déchirer
Ouvert
En haut
Oiseau
Hurler
Ornée
En bas
Regarder
Au fond
Papillons
Eléments :
Au loin
Patte (de la grenouille)
En l’air
Bec (de la cigogne)
Lieux :
Campagne
Ciel
Eglise
PAUL KLEE : DOUCEUR D’ORIENT
PRESENTATION DE L’ŒUVRE :
Il s’agit d’une peinture mi figurative, mi abstraite réalisée en 1938.
Klee a réalisé et baptisé ce tableau en référence à l’Egypte, lieu où il s’est rendu en 1929-1930. Voir
d’autres œuvres comme « Signes en jaune » ou « Légende du Nil ».
Outre la production attendue, ce tableau peut être également prétexte à des activités graphiques.
Le tableau représente une pyramide, avec de chaque côté deux palmiers. Une silhouette se tient sur la
droite du tableau.
ELEMENTS D’ANALYSE
Dans le domaine des Arts Visuels :
- La question du genre : le caractère non figuratif (ou le mélange d’éléments abstraits et figuratifs) de
l’œuvre. L’art abstrait
- La question des couleurs : le fond du tableau constitué de carrés et de rectangles de couleurs
différentes, douces, chaudes. Les lignes sont noires.
- La question des lignes et des signes : la pyramide est une ligne brisée. Des signes rappelant des lignes
ou des formes géométriques (carrés, angles, courbes, disques) mais aussi des hiéroglyphes (œil, lune).
La question de la composition spatiale : la pyramide au centre, les palmiers sur les côtés, le
personnage à droite, la lune au-dessus de la pyramide.
Dans le domaine du langage :
- La question du ressenti : « J’aime » ou « je n’aime pas » parce que… L’utilisation du « parce que »
est une compétence à maîtriser par les élèves à l’école maternelle.
- La question de la description : S’agissant d’une œuvre non figurative, l’interprétation est
relativement libre. En fonction des connaissances des élèves sur l’Egypte et du degré de guidage de
l’enseignant, on pourra mettre en valeur la notion de pyramide au centre du dessin, de palmiers de
chaque côté, de personnage vêtu d’une tunique à droite, de lune au-dessus de la pyramide.
- Le lexique :
Vocabulaire
Vocabulaire
Adjectifs de couleur
Noms communs
géométrique
spatial
Carré
Au Centre de
Rose
Personnage
Rectangle
Au-dessus de
Orange
Silhouette
Ligne brisée
A droite de
Bleu
Tunique
Angle
Autour de
Jaune
Palmier
Courbe
Sur le côté
Vert
Signes
Disque
Beige
Lune
Pyramide
Marron
Œil
Gris
Noir
Couleurs chaudes
HENRI ROUSSEAU : LA CHARMEUSE DE SERPENTS
PRESENTATION DE L’ŒUVRE :
Il s’agit d’une huile sur toile de format 169x190 cm, peinte en 1907 par Henri Rousseau, dit « le
Douanier Rousseau ». La peinture appartient à l’art naïf.
La scène représente une femme qui charme des serpents au bord de l’eau, dans la jungle (avec une flore
inventée inspirée à l’auteur par les serres du Jardin des Plantes).
ELEMENTS D’ANALYSE
Dans le domaine des Arts Visuels :
- La question des impressions : l’inquiétude, le mystère, le calme troublé par la musique de la flûte
- La question du genre : Un univers fantastique, une nature sauvage, des animaux exotiques.
- La question des lumières : le contre-jour au clair de lune, la toile sombre (la nuit, la femme comme
une ombre, sa peau noire).
- La question des couleurs : les couleurs sombres mais la lune argentée, le flamant rose (seul ton pastel
de l’œuvre), la luminosité provoquée par les reflets de la lune dans l’eau, le ciel clair et mat, les
nuances de vert, le « ton sur ton » (les oiseaux verts dans les arbres verts)
- La question de la composition : la verticalité du tableau, sa composition asymétrique (avec la
majorité des personnages et animaux à gauche et la végétation à droite), une femme en gros plan, un
arrière-plan végétal et des nuances de vert qui donnent une impression de profondeur, de volume
Dans le domaine du langage :
- La question du ressenti : « J’aime » ou « je n’aime pas » parce que… L’utilisation du « parce que »
est une compétence à maîtriser par les élèves à l’école maternelle.
- La question de la description : La scène se passe dans la jungle, au bord de l’eau. C’est la nuit, on
voit la lune dans le ciel. On voit une silhouette, comme une ombre avec des yeux qui brillent
(lumineux), comme des yeux de chats. C’est une femme nue, noire de peau, qui joue de la flûte pour
charmer des serpents. Elle a des cheveux longs, on dirait qu’elle nous regarde. Il y a quatre serpents.
L’un des quatre est enroulé autour du cou de la femme. Un autre surgit d’un arbre, les deux derniers
rampent et se dressent sur le sol. On voit aussi d’autres animaux : un flamant rose, derrière la femme,
près de l’eau, une chouette et deux oiseaux verts bien cachés dans les arbres. Toute la droite du tableau
est occupée par la végétation : des plantes, des arbres, des feuilles avec beaucoup de nuances de vert.
On aperçoit aussi la forêt vierge au fond, de l’autre côté de la rivière. En bas à droite, on lit très bien le
nom de l’auteur et la date à laquelle il a peint ce tableau.
- Le lexique :
Impressions
Adjectifs
Couleurs et lumières
Vocabulaire spatial
Inquiétude,
Sauvage, exotique, Vert, argenté, rose, noir, des Droite, gauche, haut, bas,
mystère,
mystérieux,
nuances, des reflets, clair,
milieu, au-dessus, au fond, de
calme,
sombre, nue, long,
brillant, lumineux, « ton sur
l’autre côté, devant, derrière
silence
ton », ombre, contre-jour,
Noms
Verbes
Mots-Outils
Femme, silhouette, yeux, cheveux,
Charmer, enrouler, briller,
Comme (la comparaison), on
peau, flûte, serpent, flamant rose,
ramper, se dresser, surgir, se dirait que (l’interprétation),
chouette, oiseau, eau, rivière,
cacher, voir, apercevoir,
aussi, un, deux, trois, quatre,
jungle, sol, végétation, arbre,
regarder, lire
l’un (d’eux, des quatre), un
plantes, forêt vierge, lune, ciel,
autre, le dernier,
KANDINSKY – BLEU DE CIEL
PRESENTATION DE L’ŒUVRE :
Cette œuvre appartient à l’art abstrait. C’est une huile sur toile de 100 x 73 cm peinte en 1940.
Sur un fond de bleu apparaissent des formes en suspension dans l’espace. Le bleu est celui du ciel audessus du mont Valérien qu’aperçoit le peintre à travers la fenêtre de son atelier. C’est peut-être une
erreur de vouloir détailler ces petits êtres imaginaires. C’est le monde des cellules, des amibes, de la
naissance de formes qui se développent en tout sens et qui s’attirent, s’accouplent, se mélangent, se
juxtaposent, s’étirent, deviennent difformes
ELEMENTS D’ANALYSE :
Dans le domaine des Arts Visuels :
- La question de la composition : dans quel sens l’œuvre se tient-elle ? Noter qu’une des diagonales
traverse les grandes formes et propose une répartition assez équilibrée des formes. Noter la
dissémination des formes sur la toile.
- La caractérisation des formes :
o Leur nombre
o Les grandes, les petites, les minuscules
o Les larges, les longues, les étroites, les fines, les courtes
o La forme carrée, ronde, triangulaire, courbes, droites
- La question des couleurs :
o Nommer les couleurs Le bleu clair, le bleu pastel, les nuances de bleu
o Nommer les différentes couleurs ; des couleurs vives
o Les formes striées, quadrillées, unicolores, multicolores, tachetées
o La transparence : éléments les plus gros qui présentent tous des parties striées qui
laissent apparaître le fond bleu.
Dans le domaine du langage :
- La question du ressenti : « J’aime » ou « je n’aime pas » parce que… L’utilisation du « parce que »
est une compétence à maîtriser par les élèves à l’école maternelle.
- La question de la description : S’agissant d’une œuvre abstraite et imaginaire, on privilégiera
l’interprétation. On peut penser à des insectes, des poissons, des oiseaux, des cerfs-volants.
Certains éléments peuvent faire penser à des cornes, des tentacules, des pinces, des mandibules, des
langues, des écailles, des ailes, des pattes, des crochets, des plumes, des cils, des nageoires, des
flotteurs, des pétales. On peut penser à la fête, au carnaval…
- Le lexique :
Vocabulaire
Couleurs, lumières et
Noms
Adjectifs
géométrique
graphismes
formes, carré, rond, Bleu clair, pastel, des Insecte,
poisson, grand, petit, minuscule,
triangulaire,
courbe, nuances, des couleurs oiseau,
cerf-volant, large, étroit, long, fin,
droite, diagonale,
vives,
unicolore, fleur, cornes, tentacule, court, gros, imaginaire
multicolore, tacheté, la pince,
mandibules,
transparence, quadrillé, langue, écaille, aile,
strié
pattes, plumes, cils,
nageoires, pétales, fête,
carnaval…