La Femme en Chantier - Flesh code
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La Femme en Chantier - Flesh code
LaFemmeenChantier-Fleshcode PARCOURS URBAIN CHOREGRAPHIQUE ET NUMERIQUE CREATION 2014 DE LA CIE ANTIPODES Lisie Philip : 06 82 84 04 56 Raphaël Thiers : 06 15 28 01 69 [email protected] Le sujet Depuis plusieurs années, au spectacle vivant et plus encore dans la rue, les spectateurs ne sont plus passifs. Ils deviennent de véritables chasseurs d'instants, leur Smartphone à la main. Le spectacle tient dans le creux de leur paume et se retrouve quasi instantanément partagé sur les flux du web (you tube,dailymotion, facebook...). Une autre écriture fait irruption sur les murs virtuels aux quatre coins du monde réel. Nous voulons créer un spectacle qui prenne en compte ces nouveaux usages. Nous proposons un parcours urbain, sorte de chasse au trésor pour trouver la FEMME PARFAITE. Celle que vous aimeriez avoir. Celle que vous aimeriez être. Les spectateurs sont conviés à participer à ce spectacle chorégraphique avec leur Smartphone ou leur tablette, à l'affût du moindre flash code qui pourrait donner un indice dans cette chasse à la Femme, il peut par exemple prendre des photos les partager sur des pages dédiées de réseaux sociaux. Les spectateurs se retrouvent à des points dans la Ville face à des stéréotypes de femme qui dansent. Est-ce la bonne ? Est-ce votre femme parfaite ? C’est un jeu. Un jeu certes mais un jeu féroce : les spectateurs entourent, cernent, traquent les corps dansants, les évaluent. Les distances se réduisent, la danse devient un territoire à conquérir, instant après instant. C’est une sorte de marché humain. Dispositif o Un parcours dans la Ville à l’echelle d’un quartier o Un rdv donné par SMS o Des vidéos accessibles par Flash Code o Quatre Soli chorégraphiques de 15 mn chacun dans différents endroits (vitrine, laverie, un marché, une centre commercial…) Jauge envisagée : 100 personnes réparties en 4 groupes, soli repris 4 fois o Une rencontre surprise dans la rue de 5mn Jauge envisagée : 50 personnes (2 groupes), soli repris 2 fois o Un Final de 15 mn sur une place publique Exemple d’affiche possible en format A3+ sur le « parcours 4 » avec le QR-Code (à scanner) et le NFC (au contact). Jauge envisagée : 300 personnes (groupes + passants). Nous investissons un quartier. Les rues et des endroits déterminés en fonction des stéréotypes choisis. Les spectateurs voyagent de point en point, munis de Smartphones ou de tablettes. Un rendez-vous donné par SMS, un point de ralliement commun à tous les spectateurs qui seront ensuite répartis par groupe de façon totalement arbitraire. Les règles du jeu sont données La chasse peut commencer. Chaque groupe suit son parcours, les Femmes Parfaites peuvent se trouver dans une laverie, une vitrine de magasin, au marché, dans un centre commercial, une entreprise, une permanence d’élu politique et pourquoi pas aussi dans la rue… Des soli chorégraphiques de 15 minutes dans ces lieux transformés en entresort de l’intime. Nous faisons acte d’intrusion dans ces espaces, à l’instar des dispositifs modernes de webcam qui rendent public votre salon ou votre chambre à coucher. Posés sur le parcours, aux croisements des carrefours, aux entrées des immeubles, des flash-codes (QR code et NFC) sur des affiches à caractère publicitaire. Chaque flash code permet au public d’accéder rapidement à une vidéo originale d’environ 45 secondes qui attise sa curiosité avant la rencontre avec le prochain archétype. Nous prévoyons environ 3 Flash codes par personnage. Préalables : Smartphone avec connexion et forfait 3G muni d’une application de lecteur de QR code (SCAN) téléchargeable gratuitement ou dispositif NFC intégré. Nous réfléchissons à la possibilité d’utiliser un réseau social existant ou de rendre accessible le partage (ou le post) des photos prises par les spectateurs sur un site web en temps réel. Ce spectacle n’exclut pas les personnes ne possédant pas de Smartphone car dans ce cas on peut envisager un prêt de tablette pour des groupes de 4 ou 5 personnes. Thématique L’expression « femme-objet » est apparue au début du XXe siècle. L’image de la femme a toujours servi à vendre. Véritable héroïne protéiforme de la publicité, elle s’est déclinée en fantasme sur pattes, en mère parfaite, en aventurière intouchable, en perfect executive woman, en ménagère soumise pendant que l’homme était la figure même de la toute-puissance parfaite. Même si les mœurs ont évoluées, les magazines féminins (et masculins), la pub, les blockbusters en sont encore à nous simplifier la pensée en nous livrant des images de femmes limitées et limitantes. Nous avons choisi 3 archétypes récurrents : La Ménagère parfaite, la Femme de Pouvoir, et la Femme Facile. A ceux-là nous avons ajouté un transgenre –un Homme qui choisit d’être Femme- à l’ultra féminité. Et une SDF, une femme obligée de gommer ses attributs féminins pour survivre dans la rue. - La Femme-drap C'est une femme qui s'abandonne dans les draps et les bras d'hommes différents chaque soir, on la trouve dans les vitrines des magasins, un magasin de literie… - La Ménagère Une recette de cuisine, assiettes dressées, elle utilise les ustensiles comme partenaires, dans une cantine, dans un rayon de supermarché, au marché… -La Femme de Pouvoir (femme-bureau) Efficace, précise. Tout est étudié chez elle, sa façon de sourire, sa façon de marcher. On la trouve dans une permanence d’élu politique, dans une mairie, dans le bureau d’une entreprise… -Le XXY (homme-femme), et si la Femme Parfaite était un Homme ? On le trouve face à un miroir, dans une douche municipale, dans les douches d’une piscine, dans un magasin de maquillage, une laverie… - La SDF C’est un personnage que l’on croise au hasard des rues avec son caddie. Une invisible quotidienne. La Chorégraphie Une de nos spécificités fortes est que nous travaillons directement dans l’espace public sans commencer par le plateau. Notre danse aime le macadam, épouse le mobilier urbain, ausculte les lignes de fuites des boulevards. Une danse acrobatique, d’endurance qui se veut signifiante dans la narration et prime sur les fioritures. Nous aimons travailler sur l’interprète, sur ses capacités physiques mais aussi sur ses possibilités d’incarner un personnage. Car il s’agit bien de cela : d’histoires, de personnages, de fictions posées au milieu de la réalité urbaine. Nous aimons défricher des lieux variés, travailler in situ, en multipliant training, répétitions, sorties de chantier pour développer la curiosité de tous et pour toucher un public large. Une façon de danser qui naît aussi de la confrontation avec le réel. Cette performance est un ensemble de soli avec des interprètes différents. L'écriture chorégraphique est un travail sur le concret des espaces de chacun des personnages, une danse basée sur un mouvement quotidien, fonctionnel. Mais elle s’appuie aussi sur la plasticité du corps, ses possibilités de transformation, de déformation. Une danse où l'interprète est intensément par chaque muscle, chaque ligament, chaque respiration, chaque instant. Le corps est exposé, objet et sujet. Les lignes utilisées sont pures, graphiques pour ensuite tirer vers un travail tout en incarnation. Les spectateurs sont contraints de se replacer en permanence en fonction du mouvement de la danseuse et des autres. L’interprète utilise le corps des spectateurs et agit sur l'environnement. Les mouvements de la Femme de Pouvoir sont inspirés par les gestes de femmes politiciennes telles Angela Merkel, Nathalie Kosciusko Morizet, Ségolène Royal, Margaret Thatcher… Le travail chorégraphique de la Ménagère utilise évidemment les ustensiles de cuisine dont elle se sert pour cuisiner. La pointe du couteau qu'elle tient dans la main va guider ses mouvements amener le reste de son corps à bouger. C'est un travail sur la matière, les sens. La Femme-drap est une femme morcelée, nous ne voyons jamais son corps en entier comme si des morceaux étaient restés dans des lits d'inconnus. Nous ne voyons pas son visage non plus juste des morceaux de corps, alanguis, étirés, contorsionnés. Le lit est sa scène, son territoire. C'est dans une animalité étrange que nous la rencontrons. Le XXY, un Homme qui est, qui devient Femme. Un travail sur le genre, la transformation. Un vagin est-il seul prétexte à la Féminité ? La SDF, présence subtile et minimaliste au confluent des parcours. C’est une invisible quotidienne. Nous la retrouvons dans le final, c’est une Femme comme les autres. A la fin de la performance, ces femmes parfaites sont enfin rassemblées sur la place publique devant tous les groupes. Elles sont à choisir, à saisir avant disparition. Elles prennent cette place comme un espace de liberté. Les corps se découvrent, des flash-codes apparaissent sur les cuisses, le dos, le ventre. Les spectateurs viennent scanner les corps entassés. Elles traversent les spectateurs et c’est bientôt un chœur dansant qui rejoint les artères de la ville laissant les spectateurs avec leurs phantasmes dans le creux de leur main. Les vidéos et média Ce sont des liens hypertextes, des enregistrements de texte lu, des pastilles vidéo, des compositions sonores. Nous allons privilégier des vidéos au format court (45s) conçues pour être consultées sur mobile. Ces vidéos donnent à voir les personnages comme des hors-champs. Elles questionnent sans révéler. Des parties de corps, des silhouettes brouillées ou floutées mais jamais le corps en entier comme il peut l’être dans la performance. Hormis la diffusion classique du son pour le final, les ambiances sonores seront conçues pour être diffusées de façon asynchrone par les téléphones mobiles. WEB et réseaux sociaux Nous voulons créer un continuum entre nos performances et faire du « spectateur-poster » un acteur de ce processus. L’idée est de proposer un blog pour la performance et au-delà, qui fait de nos femmes parfaites l’objet des post des spectateurs. Au-delà d’un livre d’or multimédia, il s’agit ici de permettre au spectateur de partager avec les autres sa vision, au sens artistique du terme, de notre spectacle. Re-poétisons le web … Calendrier de recherche et de réalisation o LFCZERO :beta-testle14dé cembre2012à Niceenappartement. Dans ce test, il n’y a que 3 personnages : l'executive woman (femme-bureau), la ménagère (femme-cuisine) et la femme-drap. Nous avions besoin de tester un principe de narration non linéaire, le rapport du public à la liberté de circuler librement dans l’espace, son initiative face aux nouvelles technologies. Nous avons choisi de ne pas faire de création de média pour les flash-codes mais de faire une recherche documentaire sur des liens faisant sens dans l'univers de chaque personnage. Des univers fictifs qui se nourrissent du réel. Discours politiques de Ségolene Royal ou l'annonce du plan de rigueur par la ministre italienne Elena Fornero en pleurs pour la « Femme Bureau ». Des publicités des années 70 comme la purée Mousseline ou Maïté aux prises avec une anguille pour la Ménagère. Texte d'Anaïs Nin et de Michel Foucault pour la Femme Drap. Voir la vidéo : http://www.dailymotion.com/Compagnie_Antipodes#video=xwt2g3 o LFCUN :Ré sidenceauCDCLesHivernalesd’Avignondu3au12Avril2013 Approfondissement de la recherche chorégraphique sur les personnages de la femme de pouvoir, de la femme drap et de la ménagère. Tournage d’une pastille vidéo pour le personnage de la SDF en collaboration avec les étudiants de l’IMCA. Sortie de chantier LFCUN le 12 Avril à la Maison Jean Vilar à Avignon. Voir la vidéo : http://www.dailymotion.com/video/x11tntz_lfcun_creation o LFCDEUX :Ré sidenced’é critureenSeptembre2013à laBibliothè quedeThé â treArmand Gattià LaSeyneSurMer. Travail textuel et éléments de construction narrative pour la femme drap, la femme cuisine, la femme Sofa, la SDF et le prologue. Ecriture des pastilles vidéo. Ecriture et schéma des différentes possibilités de parcours. Sortie de chantier LFCDEUX en octobre 2013 à la Bibliothèque Armand Gatti. o LFCTROIS : Beta-test du solo de la ménagère aux Urbains de Minuit à Nice le 29 oct 2013 dans une cuisine. Pastilles vidéo réalisées au chantier 109 à Nice. o LFCQUATRE : RESIDENCE de création au CNAR de l’Abattoir de Chalon sur Saône du 27 février au 8 mars 2013 (sous réserve) PREMIERES : CHALON DANS LA RUE -IN - 2014 (Sous réserve) Les Hivernales – CDC Avignon – 2015 (Sous réserve) SOUTIENS : Aide à la recherche (CAC 2013) de la Région PACA En cours : Aide à la création CAC 2014 Région PACA, Aide à la création 2014 DRAC PACA LES AUTEURS Lisie PHILIP, Chorégraphe et metteur en scène formée au Rudra Béjart Lausanne. Elle fait une carrière de soliste chorégraphique au Béjart Ballet Lausanne, au Grand Théâtre de Genève et à l’Opernhaus de Zürich, où elle travaille avec des chorégraphes comme Carolyn Carlson, Mats Ek, Jiri Kyllian, Pina Bausch, elle est lauréate du concours chorégraphique de Bâle en 1995. Lisie Philip crée la Compagnie Antipodes à la fin des années 90 à Nice. Elle est également interprète pour la compagnie Orphéon Théâtre Intérieur, la Compagnie Sîn, le printemps des Arts de Monaco. Elle collabore en 2011/2012 à la création de la Compagnie Sîn « Je suis ici », en tant que chorégraphe et interprète et effectue plusieurs voyages en Palestine à la rencontre de ses habitants. Elle collabore avec des photographes tels que Franck Olivas pour des performances. Et entame une recherche en Danse-Buto, son premier solo « Insecta » a été programmé en novembre 2011 au Festival Barcelona en Butoh. Elle s’impliqué dans l’éducation artistique en milieu scolaire, vers des publics amateurs ou spécifiques. Raphaël Thiers, obtient en 1996, à Toulouse, son diplôme d’ingénieur en informatique et mathématique appliquées à l’ENSEIIHT ainsi qu’un DEA en Intelligence Artificielle à l’Université Paul Sabatier. Après une première carrière dans l’Ingénierie en informatique il bifurque vers le spectacle vivant après s’être formé au théâtre classique et contemporain notamment au théâtre de l’alphabet (Henri Legendre) , au Théâtre National de Nice (Sophie Duez), avec Mike Bernardin à la méthode Meisner, au jeu d’acteur avec Harry Cleven et Elina Lowenson, puis à l’improvisation chorégraphique et la danse contemporaine (Christine Fricker, William Petit, Jean-Marc Fillet de Ex-Nihilo, Hervé Koubi), et l’acrobatie (Archaos). Il poursuit en parallèle un parcours de comédien (spectacle jeune public, burlesque, rue, théâtre invisible) et d’acteur (Court métrage, série TV) et de danseur contemporain au sein de la Compagnie Antipodes dont il accompagne les principales créations en tant que comédien-danseur ou co-auteur. Il travaille également sur le montage de vidéos témoins de la Compagnie et mène sa propre recherche d’écriture et de réalisation de vidéos. LES COLLABORATEURS Sébastien Antoine, vidéaste Après une licence de cinéma à Lyon et une formation de réalisateur à l'Esra, Sébastien Antoine se spécialise dans la réalisation de clips vidéo, courts métrages et captations de musique et de spectacle vivant. Il part deux ans à New York compléter sa formation chez NYU. En parallèle il travaille avec divers compagnie de théâtre et danse, sur des créations vidéos, et des scénographie à base de projection vidéos divers. Il a déjà travaillé avec la Compagnie Antipodes sur les performances danse/vidéo "Ich Bin Don Quichotte" et "Une autre Galatée". Il a co-crée en 2011 Make2Work production (www.make2work.com), qui travaille maintenant avec le Théâtre du Rond Point, et divers labels de musique (Wagram, Editions Raoul Breton). Chris Farmer, musicien et compositeur Installé à Bruxelles depuis 3 ans, Chris Farmer est un autodidacte protéiforme: jardinier, linguiste, musicien et artiste, il compose et improvise à partir de ces différentes sémantiques. Faire émerger la poésie du bruit et la botanique du langage constitue une constante dans sa démarche qui vise l'espoir d'un jour, parvenir à recenser en une monographie, formellement chaotique, et par-dessus-tout, subjective, notre rapport au monde. Dans son passé il a été compositeur, musicien et/ou chanteur pour Starstreamer (Rock psychédélique), Bug Heavy shit (Punk), Spin Dryer (Punk industrielle), Mueros (Postrock), Animal Vacarme (Folk psychédélique). Actuellement il performe en solo (folk psychédélique, électronique, techno, ambiante, expérimentale), y compris des performances ambiants pour Berlin-Expo et Radio Panique. D’autre projets musicales actuelles comprends « The Flower of the Five Wounds » (Folk/industrielle – clash) avec Guillaume Le Boisellier et des collaborations live avec: Fa Césario, Pascale Massé, Béatrice Audino, Die Morgen, Hippy Death Suite, Mathieu Geghre, Laurette Goldfish, Podkayne – fille de Mars. LES INTERPRETES Morena Di Vico, danseuse Formée à la danse contemporaine au Centre d’études supérieures en Danse Off Jazz (Nice) et diplômée de l’école Rosella Hightower de Cannes, elle intègre la compagnie Antipodes en 2004 et collabore à la plupart des créations. En parallèle elle parfait sa formation en explorant théâtre, mime et clown. Elle enseigne également la danse contemporaine aux enfants et adolescents en France et en Italie. Jeanne Chossat , danseuse Etudie la danse à l'Ecole de danse internationale Rosella Hightower, à la San Francisco Ballet School puis de nouveau à l'Ecole de danse internationale Rosella Hightower à Cannes. Entre 2000 et 2002, elle travaille avec la Compagnie Zine Foughali à Marseille, participant à la création de plusieurs pièces ainsi qu'à des voyages d'étude en Pologne et en Inde. En 2002, elle rejoint le Cannes Jeune Ballet et danse dans des chorégraphies de Philippe Combes, Dominique Bagouet, Claude Brumachon, Laura Scozzi et présente une pièce lors d'une soirée "jeune chorégraphe" à Cannes. Jeanne danse dans la Compagnie Humaine, Reveïda, Trucmuche et DiBritto. Jeanne a rejoint la Compagnie Antipodes en 2011 pour Des Corps provisoires #4. Michael Pascault, danseur Etudie la danse à Poitier entre 2003 et 2007 au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon (CNSMD). Il est engagé dans le Ballet Junior de Genève sous la direction de Beatriz Consuelo en 2008. Il danse des chorégraphies de Guilherme Botelho, Alexander Ekman, Thierry Malandin... Danseur Free Lance, il est engagé au CCN de Nantes - Brumachon Lamarche en 2009 et dans Cie Cathy Sharp – Suisse, Les compagnies t42, Rothfils, Collectif le Nomade Village, Mavin Khoo Dance. Il rejoint la Cie Antipodes en 2012 pour Dernier rendez-vous. Elodie Guézou, contorsionniste Elle achève courant 2013 sa formation au Centre Régional des Arts du Cirque de Lomme avec comme spécialité équilibre et contorsion. A 19 ans, est chanteuse dans le groupe Kitoslev, avec qui elle accumulera 2 ans de tournée, plus de 200 concerts et un album 12 titres. Elle entre en agence de mannequin et travaillera pour de nombreux photographes et vidéastes dans le cadre d'expositions, catalogues, livres, magazines, publicités, clips... Elle entame également ses premiers pas comme comédienne pour le théâtre et la télévision. LES PARTENAIRES DE LA COMPAGNIE ANTIPODES COLLECTIVITES PUBLIQUES Ville de Nice, Rectorat de Nice, l’Inspection académique, l’IUFM de Nice, CUCS – Politique de la ville, Conseil général des Alpes-Maritimes et Conseil régional Provence Alpes Côte d’Azur Ministère de la Culture et DRAC PACA– Ministère de la jeunesse et des sports, Institut Français PROFESSIONNELS Lieux Publics - Centre National des Arts de la Rue – Marseille En 2010 - Commande et coproduction d’une petite forme de spectacle pour un espace public (Dernier rendez-vous), dans le cadre du projet Marché Commun - Eurodanse. 2012 - Commande et coproduction d’une petite forme pour Sirène et Midi Net 2013 - Programmation de Dernier rendez-vous durant Small is Beautiful dans le cadre de Marseille 2013 Atelline - lieu de fabrique Arts de la Rue de la CIA En 2009 coproduction d’une résidence d’écriture de La Soustraction dans le cadre d’un projet DRAC LanguedocRoussillon Chantier Sang Neuf – Nice Commande de 4 performances pour l’autopont du boulevard Vérany et accueil en résidence. La compagnie est associée à la réflexion du projet Chantier Sang Neuf et devrait être accueillie en résidence avec mise à disposition d’espaces de travail prochainement. Pré des Arts – Valbonne Accueil régulier de la compagnie en résidence et présentation d’étapes de travail Festival Déantibulations – Antibes Accueil régulier de la compagnie en résidence et présentation d’étapes de travail Forum Jacques Prévert – Carros Accueil régulier de la compagnie en résidence et présentation d’étapes de travail DIFFUSION DES SPECTACLES DE LA COMPAGNIE EN FRANCE Entre autres : Festival Small is Beautiful – Marseille / Martigues (13), Festival Chalon dans la rue Off – Chalon sur Saône (71), Festival Eclat – Aurillac (15), Festival Vivacité – Sotteville les Rouen (76), Festival Les Expressifs de Poitiers(86), Festival Rue et cies – Epinal (57), Festival Les Invités de Villeurbanne (69), Les Arts dans la Rue - Châtillon (92),Festival Ravensare – Toulouse (31), Festival Guinguette – Chilly Mazarin (91), Festival – La Riche (37), FestivalEscapades – Condom (32), Festival Siacreries - Carros (06), Fort Saint Antoine dans la ville – Monaco, Festival rue et cies – Epinal (88), Fête de l’Estuaire – Merschers (33), Festival Traces contemporaines – Cahors (46), Festival Déantibulations – Antibes (06), Bienvenue chez vous - Villa Arson – Nice (06), Made in Cannes - Théâtre de la Licorne -Cannes la Bocca (06), Pré des Arts à Valbonne (06), Le Citron jaune - Port-Saint-louis (13) … DIFFUSION DES SPECTACLES DE LA COMPAGNIE A L’ETRANGER Entre autres : Festival Namur en mai – Namur [Belgique], Festival Mira Miro – Gent [Belgique], Festival La Strada -Bremen [Allemagne], Festival Stzuka Ulicy – Varsovie [Pologne], Festival Teatro acorte - Turin [Italie], Festival UrbanMoves - Manchester [GB], Luoghi Comuni – Gênes [Italie], Barcelona en Buto – Barcelone [Espagne], Devizes Carnival– Kendal [GB], Festival Kunsten op Straat – Raalte et Diepenheim {Pays Bas], Greenwich and Docklands InternationalFestival – Londres [GB], Achterhoek Spektakel Toer – Bredevoort [PaysBas], Festival Imaginarius – Santa Maria de Feira (Portugal) –Lugar à dansa [Portugal] … Vidéos de la compagnie sur http://www.dailymotion.com/Compagnie_Antipodes Crédit photo du dossier : Franck Olivas, Emile Zeizig, Richard Covello, Lisie Philip