Un nouveau partenaire promotionnel de la PCS : Helly Hansen

Transcription

Un nouveau partenaire promotionnel de la PCS : Helly Hansen
Un nouveau partenaire promotionnel de la PCS : Helly Hansen
Par Geoff Scotton, vice-président (marque et partenaires) ([email protected])
La Patrouille canadienne de ski est très heureuse d’annoncer que Helly Hansen, un fabricant
de vêtements d’hiver et d’équipement de survie connu partout dans le monde, compte
maintenant parmi les partenaires promotionnels de la PCS. Depuis 1877, Helly Hansen se
spécialise dans la confection de vêtements confortables et la fabrication d’équipements
sécuritaires destinés aux amateurs de plein air et aux travailleurs extérieurs.
On peut se procurer tous les produits Helly Hansen destinés à l’usage personnel des membres
de la PCS via une nouvelle entente promotionnelle comportant une réduction aux prix de
détail en vigueur. Cette réduction s’applique aux vêtements d’extérieur, aux chaussures,
bottes, sacs et vêtements de sport et d’exercice. Il s’agit là d’un nouvel avantage pour les
membres de la Patrouille canadienne de ski.
L’entreprise Helly Hansen est réputée pour ses innovations technologiques, notamment les
produits de Linox, Helly Tech, Lifa Stay Dry, Helox, Plarex, H2Flow et feutre synthétique – des
produits utilisant des textiles révolutionnaires et bien adaptés à leur fonction. Plus de 30 000
alpinistes et skieurs professionnels partout dans le monde utilisent les produits Helly Hansen.
Ceux-ci sont utilisés notamment par les membres de l’équipe médicale de la Coupe mondiale
Lake Louise Winterstart, dont plusieurs font partie de la PCS.
La PCS n’est pas le seul lien canadien de Helly Hansen. Bien que la société ait été fondée à
Moss, en Norvège, et ait installé son siège social près d’Oslo en 2012, elle appartient au
Régime de retraite des enseignants de l’Ontario, dont les bureaux sont à Toronto.
Helly Hansen appuie également la PCS via différentes initiatives de collectes de fonds. Un
communiqué décrivant cet aspect de la nouvelle relation entre la PCS et Helly Hansen sera
diffusé plus tard. Nous estimons aussi que cette relation ouvrira la voie à des mesures de
promotion et de marketing de Helly Hansen qui rehausseront le profil de la PCS. Bref, il s’agit
d’une nouvelle relation qui pourrait s’avérer fort fructueuse pour la PCS.
On trouvera de plus amples renseignements sur l’entente promotionnelle conclue avec Helly
Hansen dans le fichier des ententes promotionnelles du système national de la base de
données de la PCS (dans la partie réservée aux membres). Pour ouvrir un compte HH Pro, les
membres doivent suivre la procédure du site Web www.hellyhansen.com et transmettre en
format PDF une image de leur carte de membre de la PCS, ainsi que des données concernant
01/03/2016
Page | 1
leur carrière de patrouilleur. Veuillez-vous conformer à la consigne de discrétion de Helly
Hansen concernant l’entente promotionnelle et ses avantages. Et n’oubliez pas que l’entente
promotionnelle ne porte que sur les biens à usage personnel. Elle n’est pas censée profiter à
vos amis ou aux membres de votre famille.
Les questions concernant ce partenariat peuvent être adressées à Mat LeBlanc,
coordonnateur des ententes promotionnelles de la PCS ([email protected]) ou à l’auteur
du présent article ([email protected]).
01/03/2016
Page | 2
La PCS tire profit des pantalons de ski mis en solde par le fournisseur
Avalanche
Par Geoff Scotton, vice-président (marque et partenaires) ([email protected])
Le fournisseur d’uniformes de la PCS, Avalanche Ski Wear, offre gracieusement un rabais sur
plusieurs de ses pantalons de ski et de surf. Et, pour rendre l’offre encore plus attrayante,
notre fournisseur de longue date donnera 10 % du prix de chaque achat à la PCS.
Bref, une affaire où tous sont gagnants: des vêtements de qualité à un très bon prix pour les
membres et un appui financier à notre organisation. Avalanche a vendu plusieurs de nos
nouvelles vestes d’uniforme rouges et blanches, mais assez peu de pantalons. Nous
collaborons donc pour que les membres de la PCS soient bien vêtus des pieds à la tête.
N’oubliez pas que nos lignes directrices concernant l’uniforme prescrivent le port d’un
pantalon noir dans l’exercice de nos fonctions.
L’offre d’Avalanche est valable jusqu’au 30 avril et comporte les modèles suivants:
Modèle/Code
Bill06-3
Bill07
Bill07
Bill06
QS35
Tissu
Toray
Sergé
Toray
Ripstop
Coutil avec fermeture à
glissière
Prix
149 $
149 $
159 $
129 $
149 $
Les renseignements concernant la façon de passer une commande se trouvent dans les
fichiers communs du système national de la base de données (dossier des ententes
promotionnelles). On y trouvera certains modèles de pantalon. On en trouvera d’autres à
l’adresse suivante: https://www.avalancheskiwear.com/en/product/bill06-3-pants/
01/03/2016
Page | 3
Le point sur les anges de neige
Par Niki Ganie, coordonnatrice en matière de recrutement et de maintien des effectifs
([email protected])
Résultat final : 9 886 anges dans 46 stations, ce
qui porte l’interaction entre le public, les
stations et la Patrouille canadienne de ski à un
niveau sans précédent. Nous n’avons pas établi
un record, mais le résultat n’en est pas moins
incroyable.
Plusieurs d’entre vous ont accompli un travail
énorme pour la réalisation de ce projet. Les
photos et les vidéos sont remarquables et les
visages souriants des participants confirment que nos
efforts n’ont pas été vains. J’ai reçu d’innombrables
courriels remerciant la
Patrouille canadienne
de ski pour les
démarches auprès des
stations de ski alpin et
nordique lors de la
Journée de la PCS de
2016 et pour la
tentative d’établir un
record mondial
Guinness concernant
les anges de neige.
Bien que nous n’ayons
pas atteint notre
objectif de battre le
record actuel, plusieurs autres objectifs ont été atteints
cette journée-là.
Encore une fois merci à tous les organisateurs et
participants. Vous avez contribué à la réalisation
d’une grande activité. Partout au pays, on se
souviendra de cette journée avec fierté.
Nous avons fait un travail exceptionnel malgré de
nombreux obstacles (absence de neige, des vents
très forts). Les vidéos mettent tout cela en évidence.
Et elles illustrent ce que nous avons souhaité illustrer.
01/03/2016
Page | 4
Nous sommes fiers et professionnels et nous
sommes des membres actifs de notre
collectivité. Il n’y en a pas comme nous ! J’espère
que vous avez passé une joyeuse Journée de la
PCS. Merci à tous pour votre immense travail.
Vous êtes des anges !
(photos offertes par Niki Ganie)
01/03/2016
Page | 5
L’utilisation appropriée du logo et les autorisations : une affaire essentielle
Par Geoff Scotton, vice-président (marque et partenaires) ([email protected])
Il est indispensable d’utiliser le logo de la Patrouille canadienne de ski de manière appropriée
si nous voulons protéger les droits afférents à notre marque. Ces derniers mois, et notamment
ces dernières semaines, on a observé plusieurs usages impropres du logo de la PCS, et ce,
même lors d’activités bénéficiant de l’appui officiel de la PCS. Nous pouvons et nous devons
faire mieux. Les usages impropres ou non autorisés mettent en péril nos droits à notre propre
logo. Autrement dit, nous devons utiliser notre logo correctement ou risquer de le perdre.
Dans bien des cas, il suffirait de modifications mineures pour assurer un usage approprié du
logo et garantir ainsi la protection de notre marque.
On trouvera les modalités d’utilisation et de configuration du logo de la PCS approuvées par
le conseil d’administration dans les Lignes directrices sur l’identité de la marque de la Patrouille
canadienne de ski, un document diffusé en octobre 2013 et que l’on trouvera dans les fichiers
communs de notre système national de base de données. Le document explique notamment
que notre logo comprend à la fois la feuille d’érable rouge et la croix blanche et les mots
« Patrouille canadienne de ski) (ou leur équivalent en anglais) reproduits dans la police de
caractère appropriée. Bref, il y a deux composantes à notre logo: la feuille d’érable rouge
et la croix blanche, d’une part, et les mots « Patrouille canadienne de ski », d’autre part.
La feuille d’érable rouge et la croix blanche ne devraient JAMAIS être utilisées sans les
mots.
En deuxième lieu, il importe de signaler que notre politique ne favorise pas l’utilisation des
versions blanches et noires du logo. Plus précisément, le document sur les lignes directrices
stipule que « l’on devrait autant que possible éviter d’utiliser les logos noirs et blancs. » Dans
la plupart des cas, on peut éviter leur utilisation.
En troisième lieu, il faut rappeler que notre logo doit être accompagné d’une police de
caractère typographique acceptable. Cette exigence a pour objet de faire en sorte que la PCS
soit perçue comme un organisme moderne, professionnel et pertinent. Les polices de
caractère acceptables sont Myriad Pro Condensed, Myriad Pro et Arial Narrow. Associer notre
logo à des textes différents ou visuellement discordants (par exemple, dans les certificats de
mérite) projette une image de la nouvelle Patrouille canadienne de ski qui n’est ni valable, ni
professionnelle, ni acceptable. Dans certains cas, de vieux certificats ont été mis à jour
simplement en remplaçant l’icône. Cela ne convient pas et n’illustre pas le caractère moderne,
professionnel et pertinent de notre organisation. En 2016, un texte figurant dans un certificat
en caractères gothiques ou anglais ancien n’est tout simplement pas moderne, professionnel
ou pertinent.
Quatrièmement, il faut que toute utilisation atypique du logo (qui, ne l’oublions pas,
comprend l’icône et les mots) soit autorisée par le vice-président (marque et partenaires).
Cette règle a pour objet d’assurer l’uniformité et la cohérence dans l’application de nos lignes
directrices.
01/03/2016
Page | 6
Enfin, lorsque le logo apparaît sur un article de nature non opérationnelle qui est vendu ou
utilisé pour recueillir des fonds, le design de l’article doit faire l’objet d’une approbation et
une modeste redevance doit être prélevée. Ces exigences ont été déterminées et confirmées
par les présidents de division de la PCS lors d’une réunion du comité des opérations et, plus
récemment, lors d’une réunion du portefeuille responsable des relations avec les membres et
les stations. Elles ont pour objet d’assurer le recours à des articles de bon goût correspondant
à une utilisation appropriée de notre logo et procurant un soutien à notre organisation.
En travaillant ensemble et en respectant les lignes directrices et protocoles simples et
d’application facile dont il est ici question, nous pouvons éviter de compromettre les droits
afférents au logo dont nous sommes si fiers et faire en sorte que notre organisation soit
représentée de manière professionnelle et respectueuse. Toute question concernant
l’utilisation du logo (y compris les utilisations ou applications atypiques) doit être portée à
l’attention du vice-président (marque et partenaires) ([email protected]).
Voici quelques exemples d’usage
impropre de notre logo.
01/03/2016
Page | 7
Le groupe de travail sur le consensus canadien publie de nouvelles
directives sur le secourisme et la RCP
Par Justin Lane, vice-président (formation et perfectionnement) ([email protected])
Le 23 février, le Groupe de travail sur le consensus canadien en matière de directives a publié
un nouvel ensemble de directives relatives au secourisme. Le groupe de travail est composé
de représentants de cinq organismes de prestation de services de secourisme qui se
concertent pour élaborer et appliquer des normes communes de secourisme. Il a été créé en
2015 et compte des représentants de la PCS, de la Croix rouge, de la Fondation des maladies
du cœur, de l’Ambulance Saint-Jean et de la Société de sauvetage.
La Patrouille canadienne de ski est une des organisations membres du groupe de travail et
inscrira les nouvelles directives sur son site Web lorsque leur traduction sera complétée. Ces
lignes directrices ne modifient pas immédiatement le protocole de secourisme de la
Patrouille canadienne de ski car elles doivent être d’abord soumises à l’examen de notre
comité médical consultatif, qui déterminera comment il convient de les intégrer à notre
programme.
Comme indiqué dans notre Manuel du patrouilleur de la PCS, celui-ci a été publié pour la
première fois en 1952, après qu’il ait été reconnu que des techniques spécialisées de
secourisme devaient être utilisées lors d’activités hivernales de plein air et que ces techniques
ne faisaient pas partie des programmes de secourisme extérieur. À l’heure actuelle, nos
protocoles demeurent inchangés. Lorsque le comité consultatif médical aura transmis ses
recommandations, les nouvelles directives seront intégrées à tous nos documents
pédagogiques. Lorsque cette étape sera complétée, nous diffuserons les modifications dans
le cadre d’un document séparé ou de plusieurs documents séparés.
Tant que la PCS ne diffusera pas les nouvelles directives à l’interne, veuille continuer
d’appliquer les protocoles actuellement en vigueur.
01/03/2016
Page | 8
À la mémoire du Dr Karl-Peter Gottfried (IKAR)
Par Michael Swangard, membre à vie de la PCS No 50 ([email protected])
C’est avec beaucoup de tristesse que je vous signale le décès du Dr Karl-Peter Gottfried le 31
janvier 2016. Il était un sympathisant enthousiaste de la Bergwacht (l’organisme de
secourisme de l’Allemagne), qu’il appuyait à l’échelon local par son soutien à la Bergwacht
Sonthofen et Oberstdorf, ainsi qu’à l’échelon international par son soutien à la délégation de
la Bergwacht à la Commission internationale de secourisme alpin (IKAR). Il a effectué plusieurs
voyages, dirigeant des missions de secourisme dans de nombreux pays, notamment dans les
montagnes kurdes de la Turquie méridionale et au Népal. Il a été plusieurs années président
du conseil d’administration de la section d’IKAR responsable du secourisme terrestre et s’est
vu décerner le prix Ehrenmitglied.
J’ai rencontré « Bene », comme l’appelaient ses amis, une première fois lors d’une réunion
d’IKAR tenue en 1984 à Malbun, au Lichtenstein, où il était question de la nécessité de rendre
l’abondance d’information accessible au plus grand nombre possible de secouristes. Nous
avons alors créé un programme d’échange en vertu duquel deux membres de la PCS se
rendent à Sonthofen ou à Oberstdorf et y passent deux semaines à observer la formation
d’hiver offerte par la Bergwacht et les activités de patrouille dans certaines stations de ski. En
contrepartie, deux membres d’Oberstdorf ou de Sonthofen viennent au Canada pour étudier
les activités de nos patrouilleurs dans nos stations de ski. Nous faisons en sorte qu’ils puissent
assister à une compétition de secourisme de la PCS. Nous amorçons cette année notre 32e
année d’échange et deux de nos patrouilleurs se sont récemment rendus à Sondhofen.
Le dévouement et les conseils judicieux de Bene nous manqueront.
01/03/2016
Page | 9
Concours de vidéos à l’occasion du 75e anniversaire
Par Ross Forbes, administrateur national ([email protected]), James Papineau
([email protected]) et Peter Kelly ([email protected])
Nous avons besoin de vos talents artistiques. Nous souhaitons voir vos vidéos illustrant les
activités de la Patrouille canadienne de ski. Nous voulons nous centrer sur le 75e anniversaire
et sur l’énoncé de vision de la PCS : « Vous nous trouverez là où les Canadiens s’adonnent à
des activités de plein air. »
Ces vidéos devraient être d’une durée n’excédant pas cinq minutes. Cela dit, le contenu est
votre affaire.
Les vidéos seront présentées lors des célébrations du 75e anniversaire, qui se dérouleront au
cours de la Conférence de leadership de la PCS de 2016, à Ottawa. Pour célébrer notre
nouveau look et rappeler les grandes étapes de notre longue histoire, nous aimerions
également obtenir des reproductions de vieilles photos où figurent des membres dans leur
nouvel uniforme.
Vidéos et photos doivent nous parvenir d’ici le 15 avril. Les renseignements sur les modalités
de leur transmission figureront sur la page de la Conférence de leadership dans la partie du
site Web national reservée aux membres.
Bonne chance Clémence ! De l’audace Horace ! Bonne prise à tous !
01/03/2016
Page | 10
Fundscrip : un important nouveau programme de collecte de fonds
Par Andrew Larcombe, vice-président (opérations) ([email protected])
Nous sommes heureux d’annoncer le
lancement d’une nouvelle collecte de fonds
où vous et les membres de votre famille
pourrez recueillir des fonds pour la Patrouille
canadienne de ski simplement en allant faire
des emplettes. Oui, vous pouvez nous obtenir
des fonds en faisant vos emplettes
hebdomadaires, en faisant le plein d’essence,
en prenant un repas au restaurant, en achetant des vêtements, en partant en vacances, en
buvant du café, en vous procurant des cartes-cadeaux pour un anniversaire, pour Noël ou
pour d’autres célébrations. Projetez-vous de faire des rénovations domiciliaires?
Comment cela fonctionne-t-il ? C’est très simple. Il suffit d’acheter des cartes-cadeaux via une
entreprise canadienne établie pour recueillir des fonds pour des organisations comme la
nôtre. Fundscrip vend des cartes-cadeaux au nom de plus de 241 entreprises au Canada et
ces entreprises remettent ensuite entre 2 % et 13 % de la valeur d’achat de votre carte à la
Patrouille canadienne de ski. La valeur de votre carte apparaît sur la carte : achetez une cartecadeau de 100 $ et vous obtiendrez une carte-cadeau de 100 $.
Par suite d’un lancement discret il y a deux mois, nous comptons déjà 35 acheteurs inscrits, 11
d’entre eux ayant effectué des achats d’une valeur totale de 3 168 $ via leur carte, ce qui se
traduit par des remises à la PCS totalisant 137,80 $.
Imaginez la situation suivante : si vous faisiez vos achats hebdomadaires d’aliments et
d’essence en utilisant des cartes-cadeaux achetés chez Fundscrip, vous donneriez plus de 450
dollars par année à la Patrouille canadienne de ski sans qu’il vous en coûte. Si nous avions
4 200 personnes achetant régulièrement leurs aliments et faisant leur plein d’essence au
moyen de ces cartes, nous pourrions obtenir environ 1 436 400 $ en une année.
Songez à la façon dont tout cela permettrait de modifier ce que nous faisons. Songez à tous
les avantages supplémentaires que nous pourrions offrir pour réduire la charge financière de
nos membres. Songez à la façon dont votre patrouille, votre zone ou votre division dépensent
des fonds chaque année : les réunions, l’hébergement dans les hôtels, l’impression de
documents, les prix et les cadeaux de remerciement de fin de saison, les frais de voyage pour
les réunions ou les quarts de patrouille, les activités spéciales, etc. Grâce à une planification
soignée et sans qu’il vous en coûte, vous pouvez recueillir des fonds pour la PCS.
Comment aider ? Inscrivez-vous en utilisant le lien suivant :
https://www.fundscrip.com/Sign-Up.aspx?IID=9Y2UTS
Si on vous le demande, le code de la Patrouille canadienne de ski est 9Y2UTS. Vous pouvez
proposer le lien à vos amis et aux membres de votre famille, à vos collègues des stations de
01/03/2016
Page | 11
ski, à vos collègues de travail, à vos partenaires de ski, aux skieurs que nous aidons, etc.
Êtes-vous propriétaire d’une entreprise ? Pourquoi ne pas utiliser des cartes d’essence pour
vos véhicules plutôt que des cartes de crédit d’entreprise ? Pourquoi ne pas offrir des cartescadeaux aux employés que vous souhaitez récompenser ?
Les possibilités d’obtenir des fonds pour la Patrouille canadienne de ski sont illimitées. Vous
dépensez déjà les fonds au quotidien. Vous ne dépensez rien de plus mis à part le prix d’un
timbre postal pour les cartes qui vous sont adressées. Les cartes peuvent être achetées par
opération de débit en ligne, au moyen de transferts électroniques de fonds, par paiement de
facture en ligne ou par carte de crédit. Vous pouvez même commander des cartes-cadeaux
électroniques.
Quel avantage tirerez-vous de cela si vous participez au programme ? Si vous ramassez plus
de $200 entre le 1er janvier et le 31 décembre de cette année, vos frais d’inscription seront
remboursés et envoyés à votre zone pour éventuellement vous être remboursés (les frais
varient d’une région à l’autre du pays en fonction de la direction de votre zone et du succès
de la collecte de fonds). Si vous souhaitez que vos frais d’inscription vous soient remboursés,
vous devrez en informer le bureau national.
Plus les fonds que nous obtenons sont élevés, plus nous pourrons vous offrir des programmes
et un soutien opportuns. Nous serons en mesure de réduire la cotisation de membre, aussi
bien en temps qu’en argent. Nous serons en meilleure posture pour financer l’organisation. Il
suffit d’aller faire des emplettes, comme vous le faites déjà.
Comment tout cela fonctionne : https://www.fundscrip.com/how-it-works (en anglais) ou
https://www.fundscrip.com/comment-ca-fonctionne (en français)
Détaillants :
https://www.fundscrip.com/retailers (en anglais) ou https://www.fundscrip.com/detaillants
(en français)
Comment pouvez-vous acheter vos cartes?
•
•
•
•
Transferts électroniques de fonds (TEF) : ils maximisent les gains sans que la Patrouille
canadienne de ski ait à acquitter des frais.
Paiement de facture en ligne : délai minimum de trois jours pour l’expédition (comme
pour les autres factures que vous acquittez en ligne).
Interac en ligne : réduit les gains obtenus par la Patrouille canadienne de ski de 85 cents
par transaction.
Carte de crédit : frais de transaction de 1,99 % imposés à la Patrouille canadienne de ski.
Chaque solution de paiement procure sans frais des fonds à la Patrouille canadienne de ski.
Chaque commande comporte un maximum de quatre cartes et une valeur maximale de
500 $, les seuls frais à acquitter étant ceux de la poste. Vous pouvez commander autant de
fois que vous le souhaitez en une journée.
01/03/2016
Page | 12
Dernières nouvelles concernant les fonds provenant d’Amazon
Par Andrew Larcombe, vice-président (opérations) ([email protected])
La collecte de fonds découlant des achats effectués chez Amazon continue de croître.
Quelque 300 achats ont été effectués depuis le lancement du programme, leur valeur
totalisant 7 170,14 $. Il en est résulté des fonds de 456,99 $ pour la Patrouille canadienne de
ski, et ce, sans frais pour nous ou pour les clients. Nos gains représentent actuellement 7,5 %
de la valeur des achats effectués.
Il est indispensable que vous utilisiez ce lien – http://goo.gl/Xz0o0q – lorsque vous faites un
achat via Amazon et que vous souhaitez participer au programme. Aucun travail
supplémentaire n’est requis : vous n’avez qu’à effectuer votre achat. Veuillez proposer ce lien
– http://goo.gl/Xz0o0q – aux membres de votre famille et à vos amis, ainsi que sur vos sites
de médias sociaux. Il s’agit d’une affaire où tous sont gagnants. Cela fonctionne même si vous
avez déjà un compte Amazon.
01/03/2016
Page | 13
Le programme de carte de crédit Changeit de la Banque de Montréal
Par Andrew Larcombe, vice-président (opérations) ([email protected])
Saviez-vous que les clients possédant une carte de crédit de la Banque de Montréal peuvent
aider la Patrouille canadienne de ski en enregistrant leur carte de crédit en vue d’arrondir le
montant de leurs achats et que vous pouvez sélectionner la Patrouille canadienne de ski
comme bénéficiaire ? On trouvera de plus amples renseignements à ce sujet ici
01/03/2016
Page | 14
Les liens faciles à trouver d’Amazon et de Fundscrip
Par Andrew Larcombe, vice-président (opérations) ([email protected])
Les liens sont mis en évidence sur le site Web de la Patrouille canadienne de ski, au bas de
chaque page : il suffit de cliquer et vous serez invité à appuyer la Patrouille canadienne de ski
en effectuant des emplettes.
01/03/2016
Page | 15
Marmot offre un rabais de 15 % aux membres de la PCS
Par Geoff Scotton, vice-président (marque et partenaires) ([email protected])
La station Marmot Basin, un
partenaire de longue date de la
PCS à Jasper, en Alberta, offre
aux membres de la PCS un
rabais de 15 % sur tous les billets
de remontée mécanique.
Les membres devront présenter
leur carte d’identité de la PCS
lors de l’achat (au comptoir des
ventes pour les groupes, situé au
niveau inférieur du Marmot’s
Caribou Chalet) pour obtenir le
rabais.
La station Marmot, qui se trouve
dans le Parc national Jasper, est à proximité de la ville de Jasper, elle-même située à trois
heures et demie de route à l’ouest d’Edmonton. La station compte 86 pistes et trois pavillons
et possède une superficie de 1 700 acres. Son sommet le plus élevé se situe à une altitude de
5 600 pieds et son dénivelé est de 3 000 pieds.
Grand merci à Rob Ellen, gestionnaire de la station Marmot Basin, de nous avoir offert ce
privilège.
01/03/2016
Page | 16
La vie au sein du conseil d’administration
Par Alison Smith, administratrice nationale ([email protected])
Ma vie au sein du conseil d’administration a commencé l’année dernière, peu après
l’assemblée générale annuelle tenue dans le cadre de la Conférence annuelle nationale. Tous
les candidats sont invités à se diriger vers leur chambre pour y attendre un appel
téléphonique. Après un week-end éprouvant où j’ai fait campagne, je me retrouvais isolée
tout en me posant différentes questions : « Qu’arrive-t-il si je suis élue ? Si je ne le suis pas ?
Aurai-je le temps de prendre une douche avant qu’on m’appelle ? » Il y avait six candidats
pour quatre postes à combler et les cinq autres candidats avaient plus d’expérience de la PCS
et de la vie que moi.
Heureusement pour moi, les présidents de zone ont décidé que je pouvais faire un apport à
l’avenir de la Patrouille canadienne de ski : j’ai reçu un appel : « Vous êtes élue, veuillez-vous
présenter à la chambre X ». Je crois que les autres membres du conseil d’administration ont
compris à quel point j’étais ravie car il m’a fallu moins de cinq minutes pour me rendre à
l’endroit indiqué, et ce, malgré l’afflux de gens dans les ascenseurs et mes talons hauts. C’est
ainsi qu’a débuté mon mandat au conseil d’administration.
Après huit mois, je suis heureuse d’offrir aux membres des perspectives sur ce que comporte
une participation au conseil d’administration et sur ce que l’on y fait. La réponse à la question
« Qu’est-ce que nous faisons ? » est facile. Nous ne faisons rien…sauf parler! Voici une
explication simple du mode de gouvernance de la PCS : le conseil d’administration palabre, le
comité de gestion met en œuvre les décisions du conseil d’administration et les zones et
divisions livrent la marchandise aux membres.
Toutefois, j’aimerais signaler que palabrer est une tâche ardue. Lors de notre dernière réunion
en face à face, nous avons poursuivi nos discussions pendant 8,5 heures, l’heure du lunch
comprise. Nous avons fait une pause d’une heure, puis nous sommes allés faire une
promenade d’une heure tout en discutant. Puis nous avons soupé, toujours sans interrompre
les discussions. Bien que seules les premières 8,5 heures correspondaient à la réunion
officielle, les propos échangés hors de cette période portaient sur les activités de la PCS. À 22
h 00, nous étions épuisés et au lit.
Le travail du conseil d’administration porte principalement sur l’orientation stratégique de la
PCS. Nous nous interrogeons sur les moyens à prendre pour qu’elle demeure moderne,
professionnelle et pertinente et, surtout, pour qu’elle soit utile à la clientèle de nos stations et
attrayante pour nos membres bénévoles. Les deux plus grandes questions que nous avons
abordées cette année sont le document de socialisation et les vérifications de l’aptitude à
travailler auprès des personnes vulnérables. Comme le conseil d’administration se penche sur
ces questions depuis quelques années, j’ai dû prendre connaissance des points déjà discutés.
Heureusement, j’ai pu profiter de mon voyage de retour de la conférence annuelle – un
voyage de six heures en train – pour lire tous les procès-verbaux et autres documents des
trois dernières années. Les six heures n’ont pas suffi.
01/03/2016
Page | 17
Le conseil d’administration se réunit généralement une fois par mois, le plus souvent en
utilisant la plateforme en ligne GoToMeeting. Nous abordons une multitude de sujets. En
janvier, nous nous sommes penchés sur les idées émanant du sommet stratégique tenu peu
auparavant. Il s’agit là d’un thème de discussion très important puisque nous devons évoluer
pour continuer de rendre des services précieux aux stations de ski et aux bénévoles. Je
soupçonne que nous allons discuter de cette question à toutes les réunions qui précéderont
la prochaine conférence de la PCS sur le leadership, et aussi en d’autres occasions entre ces
réunions. Nous devons déterminer ce que sera la meilleure structure administrative de la
Patrouille canadienne de ski dans l’avenir. Puis viendra le vrai boulot : mettre en œuvre nos
stratégies. Il s’agit de faire en sorte que les patrouilleurs n’observent pas de différence à
l’échelon local tout en permettant à la PCS de devenir plus efficace à tous les niveaux.
Tous les membres du conseil d’administration font également partie de sous-comités et de
différents projets. Ils doivent rendre compte de leur participation à ces sous-comités et
projets au conseil d’administration. J’ai participé au comité chargé d’étudier la durée des
mandats des officiers nationaux. J’ai aussi travaillé à l’établissement d’un nouveau comité de
jeunes dont l’objectif sera de s’assurer que la PCS obtient des réactions concernant les
décisions prises.
Lors d’activités comme le sommet stratégique et l’atelier national sur neige, on m’a demandé
si mon expérience au sein du conseil d’administration était conforme à mes attentes. Ma
réponse fut oui… mais le travail est plus considérable que je ne l’avais anticipé. Il y a
beaucoup à faire et il faut y consacrer beaucoup de temps. Cela dit, j’aime beaucoup ce que je
fais. L’actuel conseil d’administration est constitué de gens dynamiques et dévoués qui ont à
cœur de promouvoir les intérêts de la PCS. Je suis fière d’en faire partie.
Si vous souhaitez en savoir davantage ou si vous avez des idées dont vous souhaitez me faire
part, mettez-vous en contact avec moi par courriel ou sur Facebook. Je suis également
disposée à parler à quiconque s’intéresse à ce que nous faisons.
01/03/2016
Page | 18
L’élection de membres du conseil d’administration en 2016
Par Jeffrey Reath, président du conseil d’administration ([email protected])
J’espère que la neige abonde dans votre coin de pays et que vous avez l’occasion de dévaler
les pistes de ski. Il y aura une élection de membres du conseil d’administration de la PCS lors
de la prochaine assemblée générale annuelle. Faire partie du conseil d’administration est une
expérience très gratifiante. Le conseil d’administration a pour mission de déterminer les
orientations stratégiques de l’ensemble de l’organisation. Nous élaborons, discutons et
affinons des positions et des projets en vue de réaliser les objectifs généraux de la PCS.
J’invite chacun de vous à se familiariser avec le plan stratégique. Il propose des jalons que les
membres du conseil d’administration utilisent sans cesse pour encadrer les interactions
quotidiennes qu’ils ont entre eux et avec les membres de la PCS.
Ce qu’il faut, c’est une disposition à participer à ces exercices. Un administrateur national doit
s’engager à participer à quatre réunions et à six conférences téléphoniques par année. Il doit
être accessible aux membres et prêt à poursuivre des discussions sur les plans stratégiques de
la PCS. Chaque mois, il doit consacrer quelques heures à étudier les politiques, procédures et
antécédents de la PCS pour être en mesure de contribuer au dialogue.
Le conseil d’administration veille également à l’exécution du budget et à la santé financière
de l’organisation. Il doit en outre voir à l’élaboration de programmes destinés à résoudre les
problèmes qui surgissent et faire en sorte que l’organisation nationale demeure
financièrement saine. Au conseil d’administration incombe la tâche de superviser le
personnel rémunéré de la PCS. Enfin, le conseil s’assure que l’organisation respecte son
règlement interne et la loi fédérale sur les sociétés à but non lucratif.
Comme vous le savez, on procède chaque année à l’élection de certains membres du conseil
d’administration. Le conseil est composé de sept membres. Lors des années paires, nous en
élisons trois et, lors des années impaires, quatre. Comme cette année est une année paire,
nous aurons à pourvoir trois postes lors de l’élection. Des trois administrateurs dont les
mandats viennent à expiration, deux ont indiqué qu’ils solliciteraient un renouvellement de
mandat et un qu’il n’entendait pas se présenter à nouveau. Par conséquent, il y a trois postes
à combler et deux administrateurs tenteront de se faire réélire.
La Patrouille canadienne de ski a rédigé un document décrivant la procédure électorale et
préparé des formules de mise en candidature. Je vous encourage à lire le document et à
réfléchir à la possibilité de proposer votre candidature. Vous trouverez le document ici sur le
système de la base de données.
Veuillez noter que le conseil d’administration proposera une motion lors de l’assemblée
générale annuelle qui fera l’objet d’un vote. Si cette motion est adoptée, le mandat d’un
administrateur national passera de deux à trois ans. Si vous souhaitez vous porter candidat,
vous devez donc être prêt à vous engager pour une période de trois ans.
01/03/2016
Page | 19
Bonne chance ! J’espère que vous réfléchirez à la possibilité de briguer les suffrages en vue de
faire partie du conseil d’administration. Il s’agit d’un travail à la fois exigeant et gratifiant. Je
vous encourage à vous mettre en contact avec des membres actuels ou anciens du conseil
d’administration pour en savoir davantage sur leur rôle au sein de la PCS.
01/03/2016
Page | 20
Possibilités de leadership au sein du comité national de gestion
Par Colin Saravanamuttoo, président et chef de la direction ([email protected])
Depuis plusieurs années, nous parlons de renouvellement et de la nouvelle Patrouille
canadienne de ski. Notre organisation s’est lancée dans une aventure pluriannuelle en vue de
se réinventer et d’aborder l’avenir avec confiance. Nous avons fait des progrès à ce titre et
nous continuons de tabler sur la confiance et le respect acquis par la Patrouille canadienne de
ski au cours de plusieurs décennies de loyaux services.
Dans le cadre de cette transition, on a encouragé de nouveaux chefs de file à exercer des
responsabilités au sein de l’organisation. L’année dernière, nous avons procédé à des
changements importants au sein du comité national de gestion, réorganisant l’équipe de
travail pour assurer une structure plus fonctionnelle et moins lourde. Cette structure semble
bien fonctionner. Nous avons également adopté le principe de limitation des mandats pour
encourager le roulement des chefs de file et pour donner à tous ceux qui sont intéressés à
jouer un rôle la possibilité de le faire.
Lors de la conférence de leadership de la PCS de 2016 qui aura lieu à Ottawa, Mark Galloway
quittera ses fonctions de vice-président (relations avec les membres et les stations). Mark a
joué un rôle clé dans notre démarche de renouvellement, ces dernières années au chapitre
des relations avec les membres et les stations, et auparavant à titre de chef de l’équipe des
opérations. Grand merci à Mark pour son apport important à titre d’agent de changement et
pour tout ce qu’il a fait au fil des ans. Il a exercé une influence profonde sur l’évolution qui
nous a conduits là où nous sommes aujourd’hui.
Si un rôle important au sein du comité de gestion vous intéresse, lisez la description de poste.
Si vous croyez avoir les aptitudes requises, prenez contact avec Renée Thivièrge, du bureau
national ([email protected]), et faites-lui parvenir votre CV. La procédure de sélection
d’un nouveau vice-président sera comparable à celle utilisée pour pourvoir les postes de viceprésident (opérations) et vice-président (formation et perfectionnement) au printemps
dernier. Avec deux membres de la direction, j’interviewerai chaque candidat dans le cadre de
la procédure officielle d’interview et de sélection. Il s’agit d’un concours ouvert et nous
souhaitons trouver un excellent ajout à notre équipe nationale. Notre but est de pourvoir le
poste avant la tenue de la conférence annuelle à la mi-mai. À cette fin, nous vous invitons à
nous faire parvenir les CV d’ici le lundi 21 mars.
01/03/2016
Page | 21
Dernières nouvelles concernant les résultats du sommet sur la stratégie
Par Jeffrey Reath, président du conseil d’administration ([email protected])
Certains se sont discrètement enquis au sujet de notre position sur les résultats du sommet
stratégique de janvier 2016. Dans une édition antérieure du bulletin 5/5 et dans des messages
aux présidents de zone et de division, j’ai expliqué que certaines grandes orientations avaient
été exposées lors de ce sommet et que le conseil d’administration aurait besoin d’un peu de
temps pour comprendre les répercussions et l’incidence que ces discussions pourraient avoir
sur le plan stratégique de la Patrouille canadienne de ski.
Au cours des dernières semaines, le conseil d’administration a retenu huit grands thèmes, que
l’on pourrait résumer comme suit :
Méthodes visant à démontrer une
proposition de valeur à tous les niveaux
du système pour faciliter le soutien.
Développement de l’infrastructure et
recours à des améliorations comme le
système de la base de données,
l’apprentissage électronique, etc.
Présentation de modèles de service.
Réduction des obstacles à l’adhésion et
aux certifications.
Accroissement du personnel rémunéré
pour aider au développement et à la
prestation des services requis.
Effets et possibilités qu’entraîneraient une
réorganisation et un alignement du mode
de gouvernance.
Élaboration d’un modèle de type
franchise.
Mise en place d’un système d’évaluation
du rendement à tous les niveaux de la
PCS.
Dans certains cas, il y a des amalgames de différentes idées et certains de ces amalgames
reposent sur une approche très singulière. Certains sont de nature opérationnelle, d’autres de
nature stratégique. Toutefois, tous exigent un changement important de notre mode actuel
de réflexion et de compréhension.
Le conseil d’administration n’a pas tardé à se rendre compte qu’il nous faut un deuxième avis
quant au point de départ de cette aventure. On peut difficilement donner suite à ces huit
thèmes sans risquer de perdre le contrôle de la situation. Nous estimons que, pour aller de
l’avant, il conviendrait de mettre tout d’abord sur pied une équipe chargée d’étudier le rôle
des différentes parties prenantes.
Le conseil d’administration a dressé une liste de 14 personnes et leur a demandé de faire
partie de cette équipe de travail. Les caractéristiques des personnes en question sont les
suivantes : elles ne doivent pas exercer actuellement une fonction au sein d’un portefeuille ;
elles doivent avoir occupé un poste de dirigeant national ou un poste semblable dans le
passé ; et elles doivent avoir fait preuve d’une aptitude à ignorer les préférences régionales.
Nous nous attendons aussi à ce que ces personnes soient disposées à détecter les faiblesses
du système sans se soucier de leur position.
01/03/2016
Page | 22
Ce qu’il importe de savoir, c’est que ce groupe fera un rapport provisoire au conseil
d’administration dans six à huit semaines. Puis le conseil prévoit se tourner vers d’autres
membres de la PCS représentant différentes tranches d’âge, régions, disciplines, etc. Une
autre tâche importante consistera à déterminer ceux des huit grands thèmes qui peuvent
donner lieu à des progrès sensibles au cours des prochains six à dix-huit mois et ceux qui
doivent être ignorés.
Autrement dit, cette équipe de travail est une première étape visant à rassembler les idées et
les ressources qu’il nous faut pour faire des progrès et prendre des décisions. Voici les noms
des 12 membres de l’équipe :
Brian Low
Richard Crooks
Pam Fitzgerald
Al Knott
Tom Tull
Maggi McLeod
Ron Gathercole
Lynda Fillion
Nola Joorisity
Stephane Niles
Sylvie Laroche
Anick Vaillancourt
Veuillez continuer de parler de ce qui, à votre avis, confère de l’importance à la PCS. Les
prochaines étapes seront emballantes et donneront lieu à l’expression de nombreuses
opinions. Nous prévoyons que nous aurons des vues et des idées bien arrêtées lors de la
Conférence de la PCS sur le leadership de 2016, qui aura lieu en mai.
01/03/2016
Page | 23
À la recherche de cadeaux pour la patrouille ou la station? D’articles
pouvant faire l’objet d’une marque conjointe avec votre station ou
patrouille?
Par Michael Hewett, coordonnateur de la boutique électronique ([email protected])
Nous sommes à un stade fort avancé de la saison de ski et des plans sont en voie
d’élaboration concernant des banquets et des fêtes de fin d’année. Certaines patrouilles et
stations remercient leurs patrouilleurs en offrant des cadeaux. Saviez-vous que notre
partenariat avec BrandAlliance nous donne accès à des achats collectifs très avantageux.
Toute patrouille ou station peut se mettre directement en contact avec BrandAlliance pour
faire part à ses représentants de ses idées concernant les articles qui peuvent susciter l’intérêt
de la PCS. Ces articles peuvent également faire l’objet d’une marque conjointe faisant
intervenir votre patrouille ou votre station. Si vous avez une idée concernant des articles pour
la boutique électronique, n’hésitez pas à nous en faire part.
Nous vous invitons à visiter la boutique électronique (http://estore.skipatrol.ca). Elle suscite
de plus en plus de commandes et offre des articles de haute qualité portant la marque de la
PCS. Ces articles sont offerts à des prix concurrentiels, ce qui n’empêche pas la boutique de
soutenir financièrement notre organisation.
La boutique électronique offrira très prochainement des articles sur le 75e anniversaire.
Il convient aussi de rappeler que des vêtements sport portant la marque de la PCS et d’autres
articles hors uniforme sont offerts aux membres de la PCS et au grand public.
Veuillez noter que, à moins qu’ils ne soient en stock, les articles offerts par la boutique font
l’objet de commandes de gros lorsque les exigences de quantité minimale sont satisfaites.
Vous serez informé de toute question relative à une commande par l’équipe de BrandAlliance.
Votre carte de crédit sera immédiatement facturée, mais les commandes ne seront pas
expédiées tant que l’on n’obtiendra pas les quantités minimales. Toutes les commandes
seront expédiées par les services de messagerie UPS pour assurer une livraison rapide et
efficace. Nous recommandons des commandes de groupe ou une commande de plusieurs
articles pour réduire les frais d’expédition.
Les utilisateurs du site pourront se mettre en contact directement avec BrandAlliance au
moyen d’hyperliens. Si vous avez des questions, veuillez faire parvenir un message à Michael
Hewett ([email protected]).
01/03/2016
Page | 24
Stabilité financière, collecte de fonds et le rôle d’une fondation de
bienfaisance
Par Richard Asselin, administrateur national ([email protected]) et Ross Forbes,
administrateur national ([email protected])
Contexte
Dire que la stabilité financière à long terme de la Patrouille canadienne de ski (PCS) est une
question importante pour tous les membres, c’est peu dire. Notre organisation se heurte à
plusieurs enjeux financiers à court et à long terme. Réduire la dépendance à l’égard des
cotisations de membre pour assurer le maintien de notre organisme national et, du même
coup, sa capacité de procurer des avantages à tous les membres et d’appuyer nos activités de
patrouille figure au premier rang de nos priorités.
Ces questions n’ont rien de nouveau. En 2010, un exposé lors de la Conférence annuelle
nationale intitulé « Show Me the Money » (« Montrez-moi l’argent ») a mis en évidence qu’une
dépendance croissante à l’égard des cotisations des membres combinée à une chute de nos
effectifs mettait en péril l’existence de la PCS. Entre 1995 et 2010, le nombre des membres est
passé d’environ 6 000 à quelque 4 500, ce qui représente une baisse de 25 %. Au cours de la
même période, la part de nos recettes provenant des cotisations des membres est passée de
42 % à 88 %.
La conclusion qui se dégageait de cet exposé était que, à défaut de changements, nous
allions bientôt nous retrouver dans une impasse : la PCS ne disposerait plus de la capacité
financière requise pour assurer sa survie à moyen terme si les cotisations de ses membres
demeuraient sa seule importante source de recettes.
Élaborer des solutions
Cet exposé a été le point de départ de plusieurs initiatives axées sur le changement au sein de
la PCS, y compris d’initiatives concernant la stabilité financière. On a créé un groupe de travail
financier composé de représentants de toutes les divisions et dont les membres possédaient
des compétences en matière de contrôle financier, de gestion d’organismes de bienfaisance,
etc. Ses objectifs étaient de trouver des moyens de réduire la dépendance à l’égard des
cotisations de membre et de faire en sorte que notre statut d’organisme de bienfaisance ne
soit pas compromis.
Le groupe de travail a remis son rapport lors de la CAN de 2011. Il comportait différentes
recommandations, dont la suivante :
Recommandation 4
Comme solution de rechange à l’organisme de bienfaisance unique de la PCS, on
devrait envisager de nouveaux modèles organisationnels comme la création d’une
fondation ou de nouveaux organismes de bienfaisance en vue d’attirer et de gérer
plus efficacement les dons et les fonds provenant de commanditaires.
01/03/2016
Page | 25
Une Fondation de bienfaisance séparée peut-elle être avantageuse pour la Patrouille
canadienne de ski ?
La création d’une fondation de bienfaisance séparée comporte des avantages importants,
même pour des organismes qui sont eux-mêmes des organismes de bienfaisance, comme la
PCS.
Une fondation est un type d’organisme de bienfaisance enregistré qui existe surtout pour
distribuer des fonds à d’autres organismes de bienfaisance, qui peut se constituer en
organisme de financement d’un autre organisme de bienfaisance (c’est le cas des fondations
d’hôpitaux) et qui peut poursuivre ses propres activités de bienfaisance. Un organisme de
bienfaisance qui crée une fondation ou qui conclut un accord de partenariat avec une
fondation communautaire administrant en son nom un fonds de dotation conserve la
maîtrise intégrale des décaissements. Par exemple, la PCS pourrait déterminer que les
recettes provenant d’un fonds de dotation seront utilisées pour réduire les cotisations des
membres, pour financer des programmes nationaux mis en œuvre à l’échelon local, pour
offrir des fonds de démarrage à de nouvelles zones, pour acquérir des actifs nationaux
comme des systèmes d’information électronique ou pour subventionner la participation de
zones et divisions de petite traille à des activités nationales.
Un organisme de bienfaisance communautaire qui a éprouvé des difficultés jusqu’au jour où
il s’est doté d’une fondation offre le conseil suivant : « Le meilleur moment de créer une
fondation aurait pu être il y a 20 ans, mais le deuxième meilleur moment est aujourd’hui ! »
2016
Nous sommes maintenant en 2016. Cinq ans se sont écoulés depuis que le groupe de travail
financier a déposé son rapport.
Il est irréaliste de penser que la stabilité financière repose sur une solution unique. Comme
tous les organismes de bienfaisance, la PCS doit trouver les moyens les plus efficaces d’utiliser
ses ressources et actifs. Elle doit aussi créer et mettre en œuvre des stratégies efficaces pour
assurer sa stabilité et sa viabilité financières.
La collecte de fonds sera certainement un aspect important de toute stratégie durable. Et une
fondation de bienfaisance ou un fonds de dotation administré par une fondation
communautaire peuvent occuper une place centrale dans l’élaboration d’une stratégie. La
PCS créera-t-elle une fondation ou un fonds de dotation ? La réponse et la recommandation
ne tarderont pas. Le conseil d’administration, avec l’appui de la direction, des responsables
des opérations et de membres dotés de compétences dans différents domaines, s’emploie à
créer une stratégie bien murie qui permettra à la Patrouille canadienne de ski d’aborder avec
assurance les 75 prochaines années. Restez à l’écoute.
Une version plus longue de ce document est disponible ici.
01/03/2016
Page | 26
Mandat des administrateurs nationaux de la PCS : modification du
Règlement 1
Par Richard Asselin, administrateur national et président du comité sur la gouvernance
([email protected])
Au début de la saison 2015-2016, le conseil d’administration a porté à l’attention des
présidents de division et de zone certaines questions, dont une proposition selon laquelle la
durée du mandat des administrateurs nationaux passerait de deux à trois ans.
Cette proposition devra être débattue aussi bien avant que pendant la prochaine conférence
de la PCS sur le leadership. En bref, la modification est proposée en vue d’assurer une plus
grande continuité dans la gestion de la PCS et une meilleure gestion des projets à long terme.
La motion qui suit est mise de l’avant pour modifier le règlement et les documents y afférents.
Elle sera débattue lors de l’assemblée générale annuelle de 2016 de la Patrouille canadienne
de ski:
MOTION: Que le conseil d’administration propose que la durée du
mandat des administrateurs nationaux passe de deux à trois ans.
Pour faire adopter cette modification, des changements doivent être apportés au Règlement
1 et à d’autres documents y afférents. Les modifications du Règlement 1 doivent être
approuvées par le ministre canadien de l’Industrie. Si cette motion est adoptée par les
membres, les administrateurs nationaux élus en 2016 seront élus pour un mandat de trois
ans. Le mandat des administrateurs élus en 2017 sera de trois ans. Le mandat des
administrateurs élus en 2015 prendra fin en 2017 conformément aux règles en vigueur en
2015. Les élections continueront d’avoir lieu dans le cadre de l’assemblée générale annuelle
et seront conformes à la procédure électorale. Aucune élection n’aura lieu en 2018 et le cycle
se poursuivra, des élections ayant lieu deux années sur trois.
Si les membres adoptent la proposition, des modifications corrélatives devront être apportées
à différents documents.
01/03/2016
Page | 27
La Clinique de perfectionnement de ski de 2016 de la division Mountain
atteint de nouveaux sommets
Par Geoff Scotton, coordonnateur de la Clinique de perfectionnement de ski, division
Mountain ([email protected])
Des conditions météorologiques et d’enneigement idéales, une formation du tonnerre, un
lieu magnifique et de grands amis anciens et nouveaux : tous ces facteurs ont concouru à
assurer le succès de la Clinique de perfectionnement de ski de 2016 de la division Mountain.
La clinique de 2016, qui a eu lieu du 31 janvier au 5 février à la Kicking Horse Mountain Resort,
près de Golden, en Colombie-Britannique, comptait 114 participants, ce qui en fait la clinique
la plus importante depuis de nombreuses années, et peut-être depuis sa création. Les
participants étaient des membres de la PCS et leurs amis. Les dix provinces et le Yukon y
étaient représentés. Des températures oscillant entre -10C et 0C ont permis à tous d’explorer
les diverses parties des 2 800 acres de terrain skiable de la station, dont le dénivelé est de
4 100 pieds. On estime que l’accumulation de neige était de cinq mètres.
Grand merci aux instructeurs Simon, Steve, Sandra, Rhys, Amelie, Tom, les deux John, Gary,
Dylan, Dennis, Mads, Kirstine, Maurizio, Ken, Hayden, Rowena, ainsi qu’aux instructeurs invités
Felix Belczyk (ancien entraîneur de Olympian and Ski Cross Canada) et à Ryan Ford (entraîneur
du club local de course en ski et candidat au niveau IV de l’Alliance des moniteurs de ski du
Canada) pour le professionnalisme de la formation offerte. Les participants ont également
bénéficié des rabais des boutiques de la station Kicking Horse et des séances d’hydratation au
restaurant Peaks Grill. La semaine a été couronnée par un banquet dans la soirée du jeudi où
les instructeurs ont été tour à tour ciblés par l’humour de leurs étudiants et remerciés.
Les informations concernant la clinique de 2017 sont en voie de préparation. Il se peut que
nous vous réservions quelques surprises. Les renseignements à ce sujet paraîtront dans un
prochain bulletin et seront diffusés sur les chaînes de médias sociaux de la PCS,
vraisemblablement à la mi-avril. Merci à tous ceux qui ont participé à la clinique de 2016.
C’est vous qui en avez assuré le succès.
01/03/2016
Page | 28
Atelier sur neige combiné en 2016
Par Jack Haley, coordonnateur national des activités sur neige – ski alpin ([email protected])
et Tina Crossfield, coordonnatrice nationale de ski nordique ([email protected])
L’atelier national sur neige combiné de cette année a eu lieu du 29 au 31 janvier. Bien que le
nombre minimal d’instructeurs et d’entraîneurs d’instructeur requis n’ait été obtenu qu’au
dernier moment (la première fois en cinq ans), l’atelier a été un véritable succès, notamment
grâce à l’enthousiasme des participants. Notre station hôte, le Mont Orford et le Parc Orford,
dans les Cantons de l’Est du Québec, a réservé un accueil chaleureux aux 50 participants (42
patrouilleurs alpins et 8 patrouilleurs nordiques) provenant de 15 zones et de six divisions de
la PCS.
Le samedi, Orford nous a accueillis avec ses vents
glaciaux de sommet. Heureusement, il faisait
beaucoup moins froid au bas des pistes. Le
temps n’a nullement découragé les skieurs
alpins, divisés en trois groupes, de la
concentration primaire de la matinée. L’accent
était mis sur la liste de contrôle sur neige et sur
notre document national de formation
concernant les techniques et procédures de
sauvetage sur neige. La modularisation de la
composante de sauvetage sur neige a été
complétée en anglais et certains participants se sont vu attribuer des sujets figurant sur la
liste de contrôle, notamment ceux relatifs au maniement du toboggan et à la gestion du site
d’un accident (les coordonnateurs ont souligné les efforts de Jacques Bégin, qui a réussi à
effectuer des traductions de dernière minute des modules alpins, de sorte que les participants
francophones ont pu les utiliser à cette occasion).
Côté ski nordique, les participants se sont initiés à leur nouvelle liste de contrôle sur neige et à
une évaluation de circuit fondée sur leur liste de contrôle. Il y a eu beaucoup de discussions
sur chaque élément avant qu’ils ne se lancent sur les sentiers pour une période d’une heure
afin d’affiner leurs aptitudes. Les conditions de ski étaient presque parfaites pour cet exercice.
Merci à Eva Lexy, qui nous a superbement guidés.
01/03/2016
Page | 29
Pour les participants de ski nordique, les séances de l’après-midi ont débuté par un exercice
visant à déterminer la possibilité d’une RCP efficace en déplacement sur les toboggans
nordiques et derrière les canons à neige. Le groupe nordique a été rejoint par le Dr Marc
Despatie, un des conseillers médicaux nationaux, qui est également patrouilleur au Mont
Orford. Sa présence n’était pas prévue et ce fut une agréable surprise de le voir participer aux
séances. Le groupe a su tirer profit de ses connaissances grâce aux démonstrations et aux
discussions.
Les patrouilleurs de ski alpin ont été
invités à se rendre à trois stations. La
première a été baptisée « Rolling with
Rosie » : il s’agissait d’une station où Rosie
Browning, de la station Ski Martock
(division de l’Atlantique Est), offrait
différents conseils aux planchistes. Ces
conseils devraient permettre aux
instructeurs de proposer aux planchistes
de leur station respective différentes
techniques, notamment concernant le
maniement du toboggan. Tous ont su apprécier l’intérêt que Rosie voue à la PCS et le soin
avec lequel elle donne une formation.
À la seconde station, les patrouilleurs de ski nordique, précédés en cela par les patrouilleurs
alpins, ont pu s’initier à l’utilisation des matelas gonflables comme instruments d’extraction.
La démonstration était confiée à André St. Laurent, de la station Camp Fortune (zone
Gatineau).
La dernière station portait sur les méthodes
d’extraction proposées par Terry Abrams, du Parc
Olympique Canada (zone Calgary) et Ron Whitehead,
de la station Mont Orford (zone des Cantons de l’Est). Il
s’agissait de demander aux participants d’imaginer
comment on pourrait résoudre un problème
d’extraction, étant entendu que les participants
seraient invités à mettre leurs idées en pratique le
lendemain matin.
Dans la matinée de dimanche, le soleil est apparu. Les
équipes ont, pour la première fois cette année, été
invitées à explorer la station de ski qui les accueillait.
De plus, les groupes se sont succédé dans leurs efforts
en vue de mettre à l’essai leurs connaissances et leur
compréhension des méthodes d’extraction, et ce, dans
01/03/2016
Page | 30
un contexte de bilinguisme. Merci à Heather Gillean (zone Lanaudière), qui nous a aidés en
jouant le rôle d’une patiente blessée (pendant trois heures). Tina Crossfield agissait à titre
d’hôtesse et de superviseuse, veillant à ce que les équipes travaillent de manière concertée en
vue de dégager la patiente, adepte du ski assis, de la manière la plus délicate possible, ce qui
est important lorsqu’on veut éviter la possibilité d’une dysréflexie autonome. Terry et Ron ont
agi comme entraîneurs de nos groupes et nous ont expliqué comment retirer la patiente fixée
à une planche dorsale d’une crête rocheuse et l’installer sur un toboggan en vue de son
transport vers la caserne de la patrouille. Heather a été secourue à trois reprises avec succès.
Félicitations à tous les participants !
Le week-end comportait une foule d’activités, sans oublier la création de solides liens
d’amitié. Les participants ont su apprécier l’hospitalité de la division Québec et de la zone des
Cantons de l’Est. Nous allons tabler sur les succès de cet atelier pour planifier celui de l’an
prochain. Ayez donc l’œil ouvert concernant le prochain atelier et envisagez de vous joindre à
nous.
(toutes les photos sont de Jack Haley)
01/03/2016
Page | 31
La Journée mondiale de la neige dans le nord du Nouveau-Brunswick
Par Doug Couture, président de la division Atlantique Ouest ([email protected])
La cinquième édition de la Journée mondiale de
la neige commanditée par la FIS a été une
réussite mondiale, quelque 600 activités ayant
été organisées dans 42 pays avec la
participation de 620 000 personnes. Il y a eu
des activités dans les cinq continents, et jusque
sur les dunes de sable du Pérou et l’Apen Bakke
de la Norvège.
La Journée mondiale
de la neige est une
initiative visant à
accroître la
participation des jeunes aux sports de neige, à encourager la
pratique des sports de neige avec les parties prenantes concernées
et à inciter les gens à découvrir les joies du plein air en hiver.
Il s’agit de permettre aux
enfants et aux familles de
s’initier aux sports de
neige grâce à des
événements
spéciaux organisés
un peu partout dans
le monde. On
cherche aussi à
enseigner aux
enfants comment conserver la neige pour les générations
futures, à jouer dans la neige en toute sécurité et à les
sensibiliser aux bienfaits des sports de neige et de
l’activité physique sur la santé.
Au Canada, 37 activités ont eu lieu un peu partout, et
notamment dans le nord du Nouveau-Brunswick où la
Patrouille canadienne de ski a été omniprésente. Les 16
membres de la PCS du Parc provincial Sugarloaf ont
organisé et participé à une activité magnifique. Le temps
idéal et les excellentes conditions de ski ont attiré des
foules de gens.
01/03/2016
Page | 32
Figuraient au programmes de la journée des jeux, des ballades en toboggan, des séances de
maquillage, des courses de ski pour les enfants, des glissades sur chambre à air, du ski de
randonnée et un barbecue. Il y a eu également une journée de démonstration commanditée
par ProXSports, ce qui a permis au public de faire l’essai d’une nouvelle paire de skis et à la
brigade de la GRC d’expliquer les risques du ski en état d’ébriété (en utilisant des « lunettes de
bière » conçues à cette intention). La journée a pris fin par la distribution de gâteaux et de
certificats aux enfants ayant participé aux activités. Cette activité illustre les relations spéciales
établies entre la PCS et les différentes stations de ski partout au pays. Elle offre aussi un bel
exemple de fierté et de professionnalisme.
(Photos offertes par Doug Couture)
01/03/2016
Page | 33
Trouver des commanditaires pour la Patrouille canadienne de ski
Par Ross Forbes, administrateur national ([email protected])
Récemment, le président et chef de la direction de la PCS, Colin Saravanamuttoo et moi avons
rencontré Chris Baylis, un expert en commandites et président de The Sponsorship Collective.
Chris a décrit une procédure en cinq étapes permettant d’établir un rapport avec un
commanditaire et nous a autorisés à vous faire part de ses idées.
Première étape: État des lieux et évaluation
Il vous faut une liste de produits/services à vendre. On les appelle des « actifs » et ils sont
regroupés dans votre « stock » de projets de commandite. Commencez par dresser un
inventaire de tout ce que vous êtes disposés à vendre.
Exemples d’un « inventaire » :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
•
endroits où le logo peut apparaître (affiches, chemises, publicité, uniformes)
occasions de prendre la parole
bulletin de nouvelles et publipostage
octroi de droits de nom de programmes et de collectes de fonds
permission d’utiliser un logo d’un organisme de bienfaisance
accords d’exclusivité visant un produit
accès à une base de données
médias sociaux
mention de courriel
public visé
activités de votre organisme de bienfaisance (que vous procurez-vous avec les
fonds dont vous disposez actuellement?)
Mais on ne peut se contenter de penser aux endroits où le logo peut apparaître… il faut aller
plus loin …
•
•
•
•
Quel est votre public cible? Quel est son pouvoir d’achat?
Êtes-vous considéré comme un organisme de premier rang dans un domaine ? Par
qui?
Communications, bulletin de nouvelles, visites sur le site Web, publications.
Qui s’occupe de valoriser votre marque auprès du public?
Vous disposez maintenant d’une « liste d’inventaire » (ou liste d’éléments d’actifs).
Deuxième étape : Rechercher le candidat idéal
Commencez par vos actifs et posez-vous les questions suivantes :
A. Qui vient à votre activité?
01/03/2016
Page | 34
B. Qui s’occupe de valoriser votre marque auprès du public?
C. Qui voudrait être au courant de cette possibilité?
Voyez ce que font vos concurrents – les autres organismes qui ne sont pas concurrentiels,
mais qui font appel à des groupes démographiques semblables aux vôtres. Par exemple : Vos
participants sont des mères qui exercent un travail professionnel. Quels autres organismes
sollicitent les mères exerçant un travail professionnel ?
Troisième étape : Obtenir un rendez-vous (et que faire une fois que vous l’obtenez ?)
Le but du premier rendez-vous est de découvrir qui sont les bonnes personnes-ressources. Ce
n’est pas le moment de faire une proposition.
•
•
•
Le pouvoir de la visite pour solliciter des avis. Demandez à vos personnes-ressources qui
vous devriez rencontrer ; à qui pourraient-elles vous présenter. Vous pouvez les
rencontrer par courrier électronique, par téléphone ou, dans le meilleur des cas, en
personne. Lorsque cela se produit, n’apportez rien avec vous sauf une liste (mentale)
de questions.
Soyez précis. Il est temps d’examiner quels sont leurs objectifs en matière de
commandite et comment ils s’accordent avec les actifs que vous pouvez offrir.
Regardez votre public cible. Qui participera à votre activité ? Qui se préoccupe de votre
marque et avec qui interagissez-vous au moyen de courriers électroniques et de
médias sociaux ? Demandez-vous quelles entreprises veulent établir un lien avec ce
groupe selon les modalités que vous avez exposées. La proposition de commandite la
mieux conçue, la plus étudiée et la plus attrayante du point de vue du prix ne produira
pas de résultat si elle est adressée à la mauvaise personne.
Quatrième étape: La proposition de commandite
Ne commencez jamais par une proposition. Ne proposez jamais une commandite à froid, sans
d’abord parler à quelqu’un. « Faites-moi parvenir une proposition » est un langage codé qui
signifie « Non merci ». Si votre contact vous aide à rédiger la proposition, vous réussirez
presque à tout coup.
La recette pour une bonne proposition de commandite, c’est de savoir qu’elle a peu à voir
avec ce que vous écrivez…lorsque vous avez le bon public cible. Demandez à votre
personne-ressource ce qu’ils souhaitent savoir. Ce qui est difficile, c’est de trouver le bon
public cible. (Alerte pour les études de cas : chaque mois, 10 000 propositions de commandite
sont faites).
Il est vrai que la plupart des ventes de commandite exigent une proposition de commandite.
Toutefois, il n’est pas vrai qu’il suffit de rédiger une proposition de commandite pour en
vendre une. Il est indispensable d’avoir les bons produits et de connaître votre clientèle, et
aussi de savoir quel prix peut être demandé pour les actifs dont fait état votre proposition.
01/03/2016
Page | 35
Avant de communiquer avec vos contacts, déterminez ce que vous devriez demander pour
tout ce qui figure dans votre proposition de commandite. Dressez une liste de chaque chose
que vous projetez de vendre dans le cadre de votre proposition, ainsi qu’une liste des
personnes qui verront cette liste (ou en entendront parler) et attribuez une valeur à cet
avantage. Attribuez une valeur aux échantillons, au placement des produits, aux occasions de
prendre la parole, aux tickets gratuits, à l’espace dans un salon commercial. Si vous l’offrez à
un commanditaire, attribuez-lui une valeur.
Avant de soumettre une proposition de commandite, vous devez toujours demander à vos
contacts :
•
•
•
•
•
Quel est votre public cible?
Comment participez-vous normalement à une commandite?
Que valorise votre public cible?
Que pouvez-vous me dire au sujet de vos objectifs de vente au cours de la
prochaine année ?
Selon vous, quels seraient les éléments les plus importants d’une proposition de
commandite?
L’or, l’argent et le bronze ne valent plus rien. Il vaut mieux personnaliser. Pensez en termes de
menu, et non en termes de « niveaux ». Vous pouvez classer les commanditaires selon
différents niveaux s’il le faut, mais laissez-les choisir leurs avantages.
Cinquième étape : Activation, réalisation et renouvellement
Il vous incombe de faire en sorte que votre commanditaire obtienne tout ce pour quoi ils ont
payé : Tickets? Publicité? Logo? Médias? Non seulement devez-vous livrer la marchandise,
mais ils peuvent demander un remboursement ou ne pas être là l’an prochain si vous ne faites
pas acte de présence. Aussi, vous devez leur transmettre un rapport démontrant que vous
avez livré la marchandise…répondant à toutes leurs attentes.
Vous avez fait ce que vous avez dit que vous feriez… prouvez-le. Prenez une photo de chaque
chose que vous avez promise à votre commanditaire : logos, publicité concernant les
programmes…obtenez un échantillon de chaque chose que vous avez promise à votre
commanditaire.
Renouvellement. Dans la mesure où vous avez fait ce que vous aviez promis et que vous
pouvez le prouver, soumettez votre rapport et demandez à votre commanditaire ce qu’il
pense, ce qu’il modifierait et ce qu’il souhaite voir en plus grande quantité. Maintenant, pour
ce qui est de la partie amusante : demandez-lui :
•
•
•
de vous accorder son appui en vue de la prochaine année ;
ce qu’il faudrait pour l’inciter à faire davantage ;
si vous le pouvez, transmettez-lui une ébauche pour connaître ses réactions.
Il s’agit là d’un résumé de ce qu’il faut pour obtenir un commanditaire. Ce n’est pas facile,
01/03/2016
Page | 36
mais moins difficile qu’on l’imagine, si on suit les étapes mentionnées. Le bureau national
s’emploie actuellement à poursuivre ces étapes. Il s’agit d’un travail qui ne cesse jamais, mais
nous sommes persuadés de sa réussite.
Nous tenons à remercier Chris Baylis pour les conseils qu’il a donnés à la PCS concernant la
recherche de commanditaires. Si vous êtes intéressés à obtenir le document intégral de Chris,
je serai heureux de vous le faire parvenir.
01/03/2016
Page | 37
Sécurité des parcs de planche à neige acrobatique
Par Niki Ganie, coordonnatrice du recrutement et du maintien des effectifs, avec la
collaboration de Flynn Seddon, directeur des activités de plein air et de parc de planche à
neige, Big White Ski Resort Ltd. ([email protected])
Les parcs de planche à neige deviennent de
plus en plus populaires dans nos stations et, à
mesure qu’ils gagnent en complexité, ils sont
conçus de plus en plus soigneusement pour
minimiser le risque couru par les clients.
L’évolution des parcs de planche à neige et
l’accroissement des niveaux de difficulté sont
déterminés bien avant leur aménagement.
Beaucoup de choses ont changé en peu de
temps. Chaque élément d’un parc de planche
à neige peut être analysé en fonction de
quatre zones :
•
•
•
•
La zone d’approche est l’espace pour établir la vitesse et la position permettant
d’exploiter la caractéristique.
La zone de décollage a pour objet de faire les mouvements qui amorcent la voltige.
La zone de manœuvre vise à permettre le contrôle du corps dans l’air et à préparer
l’atterrissage.
La zone d’atterrissage est la piste pentue entre l’articulation et le sillon de sortie qui la
prolonge.
Dans un parc de planche à neige, la sécurité
est affaire de progression. Les planchistes
voient leur confiance se consolider sur les
petits éléments et progresser lentement sur
les éléments plus difficiles. Chaque élément a
une cote et il y a toujours une façon pour le
planchiste de connaître la taille de l’élément,
qui peut être petite ou exceptionnellement
grande. Les cotes ont des mesures
particulières pour chaque élément de sorte
que, où que vous alliez au Canada, si le parc
respecte les recommandations de l’industrie,
un élément de petite taille correspond
toujours au même niveau de difficulté. Une nouvelle façon d’orienter le public vers les
couloirs appropriés consiste à installer un élément plus difficile au début, ce qui décourage
ceux qui sont moins prêts à les affronter. Certaines stations recourent à un programme de
formation particulier pour ceux qui souhaitent fréquenter le parc de planche à neige. Ce n’est
que lorsque le parcours est terminé que l’on peut délivrer un laissez-passer propre au parc.
01/03/2016
Page | 38
Certaines stations exigent le port d’un casque, de serre-poignets et de corset de protection de
la colonne vertébrale pour avoir accès au parc.
Des entrées de couloir séparées peuvent également être utilisées pour éviter que l’on passe
des éléments de petite taille à ceux de taille moyenne ou grande. Des affiches
supplémentaires sont presque toujours utilisées et on a recours à de la peinture à neige pour
définir les couloirs et les zones de décollage et d’atterrissage. La vitesse dans les couloirs doit
être prise en compte lorsque l’on projette de supprimer la circulation en sens inverse à la
sortie du parc. Des éléments sont fabriqués avec des matériaux particuliers pour éviter
d’endommager l’équipement.
L’entretien d’un parc est un aspect fondamental de leur sécurité. Si le parc n’est pas entretenu
de manière satisfaisante, des défauts peuvent apparaître dans l’aménagement des éléments.
Tous les travaux d’entretien sont enregistrés pour limiter la responsabilité civile de la station.
Les éléments des parcs sont testés et visuellement inspectés avant que le public ne soit
autorisé à les exploiter. Le personnel est formé pour surveiller l’état des éléments et pour
éduquer le public concernant les mesures de précaution à prendre. Un patrouilleur ou un
moniteur de ski est souvent présent au sommet du parc et le personnel est prêt à intervenir
pour traiter rapidement toute blessure, fermer les couloirs et communiquer avec la patrouille
de ski. Les conditions météorologiques peuvent bien entendu influer sur la vitesse des
planchistes, ce qui exige un examen quotidien soigneux effectué par le personnel du parc.
Les terrains de planche à neige sont conçus pour protéger le planchiste et ils sont à vrai dire
beaucoup plus sécuritaires que dans le passé. Il y a des organismes qui administrent des
programmes dans les parcs, comme « Smart Style/Park Smart », qui ont rehaussé le niveau de
sécurité dans les parcs. L’industrie a rapidement évolué par rapport à il y a seulement cinq
ans. La standardisation de l’affichage et des niveaux de difficulté ont rendu les parcs plus
sécuritaires qu’ils ne l’étaient auparavant.
Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site sur la sécurité des parcs de
planche à neige (http://www.terrainparksafety.org/) ou les Directives des parcs de planche à
neige de l’Association des stations de ski de l’Ouest canadien (ASSOC).
(photos offertes par Niki Ganie)
01/03/2016
Page | 39
Avis concernant l’assemblée générale annuelle de la Patrouille canadienne
de ski
Par Clifford Leigh-Mossley, administrateur national et secrétaire général
([email protected])
L’assemblée générale annuelle de la Patrouille canadienne de ski aura lieu le samedi, 14 mai
2016, de 13 h 30 à 16 h 30 à l’hôtel Delta (Ottawa City Centre).
On trouvera le procès-verbal de l’assemblée générale annuelle de 2015 sur le système
national de la base de données.
01/03/2016
Page | 40
La conférence de la PCS sur le leadership de 2016 : des attraits pour tous
Par Kathy Little, coordonnatrice de la conférence sur le leadership de la PCS
([email protected])
L’ordre du jour de la Conférence de la PCS de 2016 sur le leadership sera bientôt affiché sur la
partie réservée aux membres du site Web national de la Patrouille canadienne de ski. Le
thème de la conférence est « Aller au-delà de 75 ans d’excellence » et on abordera des
questions telles que le leadership, les membres et les stations, ainsi que la formation et les
possibilités de perfectionnement.
Dans le numéro de février 2016 de 5/5, nous avons annoncé deux de nos conférenciers,
Tessum Weber et Bob Rae. Nous sommes ravis d’ajouter à notre liste de conférenciers Emily
Glossop, du Comité canadien des paralympiques. Ayant travaillé auprès d’enfants et de
jeunes aux prises avec des problèmes physiques, développementaux et comportementaux,
Emily Glossop a consacré sa vie et sa carrière de
thérapeute des loisirs au Centre de traitement des
enfants d’Ottawa. Aujourd’hui guide retraitée d’un
des plus célèbres skieurs canadiens souffrant de
problèmes de la vue, elle a été membre de
l’Équipe canadienne de ski para-alpin. Elle est
également ancienne membre de l’équipe de
basketball en fauteuil roulant de l’Ontario.
Emily s’est donné comme mission de sensibiliser le
public aux occasions offertes aux personnes de
toutes aptitudes de s’adonner à des activités
sportives et de loisirs, ainsi qu’aux possibilités
qu’ont les personnes handicapées d’être actives et de s’amuser. Le vendredi 13 mai 2016,
Emily animera une séance interactive ayant pour thème « Modifier les esprits, transformer les
vies ».
De plus, le vendredi, le chef de la direction du Conseil canadien du ski, Paul Pinchbeck, et le
copropriétaire de la station Camp Fortune, au Québec, Peter Suderman, se joindront au
président de la division Saskatchewan, John Jesse, pour animer une séance intitulée
« Modifier les attentes, changer le mode de prestation : la PCS au 21e siècle ». Cette séance
interactive portera principalement sur la façon dont les changements au sein de l’industrie
sont facilités par notre renouvellement opérationnel et organisationnel. Elle permettra de
connaître les vues de l’industrie et d’un exploitant de station sur l’évolution de l’industrie des
stations de ski au cours des deux dernières décennies et sur la façon dont le renouvellement
opérationnel et organisationnel de la PCS tient compte de cette évolution des exigences et
des attentes.
L’ordre du jour comporte de nombreux séminaires, notre assemblée générale annuelle, la
compétition nationale de secourisme et la remise de nos prix nationaux. Tous les exposés du
01/03/2016
Page | 41
vendredi, celui du conférencier invité et ceux portant sur le leadership, les membres et les
stations, la formation et le perfectionnement, ainsi que l’assemblée générale annuelle du
samedi, feront l’objet d’une interprétation simultanée en français. Il y aura plusieurs
possibilités de faire du réseautage et de renouer des liens avec vos amis et collègues de tous
les coins du pays. Continuez de consulter le site Web national de la Patrouille canadienne de
ski : vous y trouverez les dernières nouvelles sur la conférence, ainsi que les formules
d’inscription en ligne.
Renseignements concernant l’hébergement:
La conférence aura lieu du 12 au 15 mai 2016 au Delta Ottawa City Centre, à Ottawa, en
Ontario. Il incombe aux délégués de prendre contact avec l’hôtel Delta Ottawa City Centre d’ici
le 12 avril 2016 pour réserver leur chambre au tarif spécial consenti à la PCS (occupation
simple ou double) de 159 $ par nuitée (taxes en us). Veuillez indiquer que vous faites partie de
la PCS pour obtenir le tarif spécial. L’hôtel maintiendra un certain nombre de chambres à
l’intention des délégués jusqu’au 12 avril, après quoi le tarif pourrait augmenter.
Pour réserver une chambre, il suffit de téléphoner au service des réservations (613-237-3600
pour les appels locaux ou 1-888-890-3222 pour les appels interurbains gratuits). On peut
également faire une réservation en cliquant ici.
01/03/2016
Page | 42
Répéter - Ordre du jour de la réunion des présidents de zone qui se tiendra
dans le cadre de la Conférence de leadership de 2016
Par Kathy Little, coordonnatrice de la conférence annuelle de leadership de la PCS
([email protected])
Kathy Little, coordonnatrice de la Conférence annuelle de leadership de la PCS, vous invite à
indiquer les sujets que vous souhaitez voir inscrits à l’ordre du jour de la réunion des
présidents de zone de 2016, qui aura lieu dans le cadre de la prochaine conférence annuelle.
Cette réunion offre aux présidents de zone la possibilité de proposer des idées susceptibles
d’influer sur le fonctionnement de notre organisation. Aimeriez-vous faire part de nouvelles
de votre zone ? Voici l’occasion rêvée de faire un apport à l’évolution de la PCS.
Le procès-verbal de la dernière réunion des présidents de zone, qui a eu lieu le 9 mai 2015, à
Montréal, peut être consulté ici.
01/03/2016
Page | 43
Répéter - Salon commercial de la Conférence de leadership de 2016
Par Kathy Little, coordonnatrice de la conférence annuelle de leadership de la PCS
([email protected])
Comme vous le savez, nous offrons aux entreprises la possibilité d’installer un comptoir ou
une aire de démonstration lors de la CAN. Cette année, nous offrons en plus une superficie de
quatre pieds par dix pieds à toute zone ou division qui souhaite faire de même. Les zones et
divisions pourront utiliser cet espace pour distribuer des renseignements sur les produits ou
services qu’elles offrent.
L’utilisation d’un tel espace ne comporte aucun frais. Des tables et des chaises seront mises à
votre disposition.
Veuillez transmettre vos coordonnées et une description de votre aire de démonstration à
Kathy Little ([email protected]). Vous avez jusqu’au 1er avril pour vous prévaloir de cette
offre.
01/03/2016
Page | 44
Accès à des services de technologie de l’information à faible coût
Par Jean Côté, membre du comité des TI ([email protected])
Nous sommes heureux d’annoncer qu’à titre de société à but non lucratif, la PCS a été
reconnue par Techsoup Canada. Cette reconnaissance nous permet d’acheter certaines
licences de logiciels et de composantes informatiques à des prix très bas. Il est également
possible d’obtenir un accès gratuit à Office 365 et à des applications de Google pourvu qu’on
les utilise à des fins non lucratives. Ces logiciels procurent un accès gratuit aux messageries
électroniques, à un stockage partagé, à des calendriers partagés, etc.
Les zones et les divisions peuvent obtenir un tel accès de manière indépendante. Si vous
souhaitez obtenir cet accès, veuillez faire parvenir un courriel à
[email protected] et nous vous transmettrons de plus amples informations. Le
comité des technologies de l’information de la PCS n’est qu’un facilitateur et ne peut pas vous
aider à gérer ces services.
Bien qu’elles soient d’un usage relativement simple, il importe que la personne responsable
dans votre zone ou division soit au courant des technologies. Pour de plus amples
renseignements, prière d’utiliser les liens suivants :
http://www.techsoupcanada.ca/
https://products.office.com/en-us/nonprofit/office-365-nonprofit-plans-and-pricing
https://www.google.com/nonprofits/products/
01/03/2016
Page | 45
Répéter - Une invitation qui s’adresse à tous les admirateurs de Tony
Par Lia Skelding, coordonnatrice de la sécurité nationale ([email protected])
Lorsque les choses changent, elles ne sont plus pareilles! Et il en va ainsi pour la mascotte de
la Patrouille canadienne de ski, Tony la tuque. Après plusieurs années de dévouement, Tony
(créé et baptisé au nom de feu Tony Matthew, de la zone des Cantons de l’Est) a décidé de
remiser sa tuque et d’entrer dans l’âge d’or de la retraite. Tony a été témoin de beaucoup de
changement au fil des ans : sous son règne, on est passé de l’imprimé aux graphiques jaunes,
des tuques à pompon aux casques. Il a fait du ski, de la planche et même du toboggan à eux
places. Il a participé à un nombre incalculable d’activités de sécurité hors ski, ainsi qu’à une
multitude de foires de ski un peu partout au pays. S’il pouvait parler, il ferait un excellent
vendeur. Il a fait sourire des centaines d’enfants et est même apparu à l’émission Rick Mercer
Report. Son départ sera regretté.
L’équipe nationale de sécurité installera un comptoir d’articles anciens représentant Tony lors
de la conférence de la PCS au cours de laquelle sera célébré notre 75e anniversaire et invite
tous les patrouilleurs à lui faire parvenir des photos, épinglettes et autres articles semblables
pour lui faire nos adieux. Voyez ce que vous pouvez trouver dans votre placard de
patrouilleur. Si vous trouvez des objets dont vous ne voulez pas vous départir, faites nous en
parvenir des photos.
Si vous avez des articles que vous pouvez nous transmettre pour rendre hommage à notre
bien aimé Tony, veuillez-vous mettre en contact avec Lia Skelding ([email protected]).
01/03/2016
Page | 46
Dernières nouvelles concernant le conseil d’administration
Le conseil d’administration s’est réuni les 12 et 13 décembre 2015 et les sujets suivants ont
été abordés :
•
•
•
•
•
Renouveau opérationnel et organisationnel
Modifications des modalités de la rencontre avec les candidats lors de la conférence
annuelle sur le leadership de la PCS.
Rapport financier
Dernières nouvelles concernant les résultats de la réunion conjointe du conseil
d’administration et de l’équipe de haute direction.
Discussions à bâtons rompues
On trouvera ici le résumé de la réunion.
01/03/2016
Page | 47
L'ÉQUIPE
Rédactrice :
A.P. Crawford
Rédacteurs de consultation:
Sheila Reesor / Geoff Scotton
Mise en page pour distribution et
blogueuse:
Sheila Reesor
Conception de bannière :
Maggi McLeod
Traduction française :
Richard Bastien
Révision français :
Pierre Charest
Support Additionnel :
Renee Scanlon and/et
Micheline Deslauriers
Les contributions sont les bienvenues.
Pour plus d'informations, contactez la
rédactrice :
[email protected]