Télécharger la plaquette de présentation
Transcription
Télécharger la plaquette de présentation
PASIPHAE Musique de chambre et d’ailleurs « Pasiphaé est celle qui brille pour tous, La si fa ré, la Pythie de la lune rousse Pasiphaé vous ouvre sa forteresse pour vous conter ses mondes et ses ivresses. » Pasiphaé a joué au Festival Détours de chant, Théâtre du Pont-Neuf, Salle Bleue (Espace Croix-Baragnon), Espace Job, La Pause Musicale, Le Mandala, à Toulouse, festival Soirées Crépuscule, à Montauban, Le Carré d’Art, à Nîmes, en tournée Jazz Emergence 2012 (Festivals Jazz Off de Vannes, Jazz à Avoriaz, Savoie d’Jazz, Jazz à Tours), festival Jazz à Pique, à Bagnères de Luchon... Personnage ambigu de la mythologie grecque, tantôt déesse, tantôt héroïne, tantôt belle et touchante, tantôt monstrueuse et fautive ; Pasiphaé est la femme du roi Minos, celle qui engendra le Minotaure. Elle évoque pour le quartet un autre temps, un ailleurs, où mythe et réalité se confondent. A l’instar des différentes formes que l’on prête à Pasiphaé, le groupe propose une poésie sonore polymorphe peuplée de jouets musicaux, d’onomatopées, de petites percussions ; elle s’exprime en français, en vénitien ancien, en anglais, en basque ou dans des langages inventés... Elle chante un rêve, une autre façon d’aborder la réalité ; elle chante aussi l’enfance et son regard sur le monde. Pasiphaé dessine un univers onirique, à la fois familier et étranger, une musique de chambre qui n’hésite pas à détourner les instruments et le langage pour traduire des émotions toujours sincères. On voyage ainsi avec la guitare classique imbibée de verbes latins, avec le violoncelle et ses machines à bulles, avec le vibraphone percussif et aérien, et avec la voix, douce et enfantine, capable de s’envoler dans un lyrisme puissant. Les musiciens jouent leurs propres compositions, chantent Éric Satie ou Nino Rota, interprètent une comptine, invoquent une déesse imaginaire... Entre écriture et improvisation, Pasiphaé revisite la musique classique, les musiques improvisées et les musiques actuelles pour créer ce monde où l’on rêve éveillé. Sur scène, Pasiphaé invite à un voyage sonore et visuel. La surprise est là, partout : on croise des robes extravagantes, une étrange ombrelle lumineuse, des lampes et des guirlandes ou un lapin blanc. De petites percussions ou des jouets sonores s’invitent aussi dans le spectacle et grimpent sur les instruments, sautent sur les cordes et traînent sur les touches du clavier. Selon les concerts, on verra s’élever des ballons d’hélium, voler de la poudre magique, ou des bulles de savon... Quelque soit le contexte, le public décrit toujours l’émotion forte qu’il ressent à l’écoute du répertoire et la poésie qu’il découvre en voyant le concert. Durée du Spectacle : 1H15. avec Mélanie Fossier au Chant Mélanie Fossier est auteur compositeur interprète et pratique l’improvisation vocale. Elle chantait déjà toute petite, dans le salon de sa « Mémé Jeannette », quand celle-ci lui demandait : « Mélanie, fais-moi ta voix d’ange ! » C’est avec la chanson française qu’elle fit ses premiers pas en musique, au gré des bars et des rues, puis des bœufs improvisés sous les arbres… Suite à sa formation à Music’halle entre 2004 et 2006, complétée en 2007 de la formation professionnelle du Théâtre de l’Acte, « Vers un acteur pluriel », Mélanie goûte à de nombreux styles de musique, en tant que chanteuse soliste mais aussi dans le cadre d’une écriture à plusieurs voix. Ses projets actuels sont extrêmement diversifiés et vont du Jazz Opéra Rock (Magister Dixit) au Jazz vocal (Cherry Swing), en passant par le Tango à Capella (Tangonella). Elle fait également partie du collectif de chanteuses les Toulouz’elles, créé à l’occasion du festival Toulouse d’été 2010 et enseigne le chant à Music’halle et au Cri du Chœur et anime des « classes découvertes musique » auprès d’enfants de 4 à 10 ans. Matthieu Espana apprend la guitare classique très jeune au conservatoire d’Avignon puis au CNR de Montpellier. Il étudie ensuite la guitare électrique et se produit sur scène dès l’âge de 16 ans dans des groupes très variés. Puis sa rencontre avec la musique flamenca va être une révélation ; il apprend cette musique et la pratique sur scène, d’abord sous sa forme traditionnelle, puis dans des groupes de chansons métissées (Le Barouf Elégant, ou Nathanaëlle – Pas Sage, Milan Music). En parallèle, il travaille l’improvisation sur différents types de guitares avec l’utilisation d’effets et pratique le jazz durant sa formation à l’école Music’Halle de Toulouse. A la suite de cet enseignement, il obtient le diplôme de musicien professionnel de la Fédération Nationale des Écoles d’Influence Jazz et Musiques Actuelles (FNEIJMA). Il explore composition et improvisation dans Burukutak, puis co-fonde Lusinajazz et Guitar/Machine, groupes de jazz fusion. Il enseigne la guitare depuis 2007 dans des écoles de musiques membres de la Fédération Française de l’Enseignement Musical (FFEM), et anime différents ateliers musicaux tout public. Matthieu Espana à la Guitare Maxime Dupuis commence le violoncelle enfant En même temps qu’une formation classique, (DEM Nîmes, CESMD Toulouse), son intérêt pour les musiques actuelles l’amène à jouer dans différents contextes musicaux, musiques improvisées, électroniques, fusions, jazz libre..., développant un langage personnel. En 2004, il s’intéresse avec le groupe Espace Temps Matière aux interactions entre les arts. Il travaille ainsi, sur de nombreux projets de mise en musique d’expositions notamment au Centre Pompidou. Fort de ces expériences il continuera ce travail d’interaction avec la danse contemporaine, (intervenant au CDC Toulouse, création du duo Love Tonight Baby au CNCDC Châteaux Vallons...) et mènera des actions de sensibilisation auprès du jeune public (projet recréa, DRAC Languedoc Roussillon) ou moins jeune (master classe à la Sorbonne histoire de l’art). Il enseigne aussi à Music’Halle, l’école des musiques actuelles de Toulouse ; aujourd’hui il joue avec Didier Labbé quintet, ETM, le Centre de recherche musique et danse, Roberto Tricari... Maxime Dupuis au Violoncelle Tom Pablo Gareil commence la percussion classique dés l’âge de 7 ans dans la classe d’Alex Clapot, qui l’initie très vite aux musiques jazz et orientales. Durant son apprentissage il aura la chance de travailler auprès de musiciens de jazz tel que Max Roach, Jean-Paul Celea, Claude Barthélémy, Stéphane Kochoyan qui l’aideront à se forger un discours musical à travers de multiples techniques de jeu et de prise de parole. Il travaillera par la suite avec le Grand Ensemble de Marc Ducret, orchestre avec lequel il rencontrera la scène et sillonnera pendant 5 années les festivals de jazz français. Sensible à la danse, au théâtre, ainsi qu’à la peinture, il se plait à mélanger les arts et travaille régulièrement avec chorégraphes, danseurs, comédiens, poètes, performeurs, vidéastes et peintres. Il travaille également auprès des jeunes à travers différents ateliers d’initiation à la musique ou de fabrications d’instruments dans les écoles ou lycées. Aujourd’hui il se produit aussi bien dans des formations jazz, des groupes de musiques actuelles, qu’en solo, projet dans lequel il se confronte à l’électronique. Tom Pablo Gareil au Vibraphone et leurs Jouets Sonores INTERVENTION JEUNE PUBLIC OU SCOLAIRE, En complément à une représentation de son spectacle, Pasiphaé propose une animation-concert de 45 minutes à but pédagogique. Les membres du groupe échangeront avec les enfants autour de la manière dont ceux-ci perçoivent leur musique, et aborderont avec eux différents points, illustrés à chaque fois par une chanson ou un extrait sonore : Présentation des instruments, jouets sonores et percussions et la façon dont ils fonctionnent. Qu’est-ce que l’improvisation dans la musique ? Qu’est-ce qu’un langage imaginaire ? Proposition d’un jeu pour en inventer soi-même. Possibilité d’apprendre aux enfants une chanson simple faisant partie du répertoire de Pasiphaé. On parle de nous... «(...) Le trio propose une musique-voyage, qui s’enrichit de consonances, se colore d’ambiances variées, tout en relevant de ce jazz miniaturiste qui se cherche dans chaque note. » Manon Ona, Le Clou dans la Planche (Toulouse, mai 2011). « (…) On peut dire que Mélanie, Tom et Matthieu ont enchanté l’île d’Arz. (…) Leur répertoire, entre écriture et improvisation, nous entraîne dans un rêve où se mêlent poésie et paroles imaginaires (...). » Pascal Frappier, Ouest-France (Vannes, août 2012). « La musique naît (...), créant un climat étrange, surprenant. (...) C’est abstrait et très proche de nous à la fois. Les timbres associés du violoncelle, de la guitare flamenca et du tout nouveau vibraphone ont un grain magique, un brillant clair obscur. Ça pulse ! Mélanie Fossier, (…) La reine de cœur qui aurait un peu trop fréquenté Alice. (…) Sa tessiture si large, le timbre clair de sa voix imbibée de lyrique, de jazz blues, de contemporain sont autant de richesses qui nourrissent son vocabulaire si singulier(…). Il est plein de surprises, en ce concert-spectacle, que nous ne dévoilerons pas (…). La seule chose à retenir, c’est que Pasiphaé a une histoire à raconter : ce n’est pas un mythe, plutôt une ode à l’enfance, celle qui sonne juste dans nos cœurs adultes. » Céline Biolzi, Le Clou dans la Planche (Toulouse, novembre 2013). Interviews, lives et passages radio : RadioVannes.com (festival Jazz Off de Vannes août 2012), émission L’Envers du Décor sur Radio Mon Païs (Pause Musicale, Le Mandala Toulouse 2013), Le Pistonphone sur Upradio.fr (Toulouse 2013), CFM Radio (festival Soirées Crépuscule à Montauban septembre 2013). contacts Mélanie Fossier 06 63 49 59 98 [email protected]