ARCHITECTURE e-commerce
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DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE ARCHITECTURE e-commerce IDENTIFICATION Date de remise : 29/05/2009 Etat du document : Validé – Remis pour notation Nom du (des) rédacteur(s) : Philippe FIRMIN Architecture_e-commerce.doc Lieu : CNAM – LILLE Page 1 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE SOMMAIRE Sommaire I. INTRODUCTION : ............................................................................................................................................... 3 II. LES DIFFERENTES REPRESENTATIONS DU COMMERCE ELECTRONIQUE :................................. 4 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) III. 1) 2) 3) 4) IV. 1) 2) V. VI. B2B : ................................................................................................................................................................... 5 B2C : ................................................................................................................................................................... 5 B2E : ................................................................................................................................................................... 6 B2G : ................................................................................................................................................................... 6 B2I : .................................................................................................................................................................... 6 C2C : ................................................................................................................................................................... 6 C2B : ................................................................................................................................................................... 7 LES PLACES DE MARCHE : .................................................................................................................................... 7 M-COMMERCE : .................................................................................................................................................... 8 LES MOTEURS DE RECHERCHE : ............................................................................................................ 9 MOTEURS DE RECHERCHE :.................................................................................................................................. 9 LES REPERTOIRES SELECTIFS : ............................................................................................................................. 9 LES PORTAILS HORIZONTAUX : .......................................................................................................................... 10 LES VORTAILS :.................................................................................................................................................. 10 PERFORMANCE DES SITES E-COMMERCE : ...................................................................................... 11 10 POINTS DE CONTROLES : ................................................................................................................................ 11 LE CLUSTERING : ............................................................................................................................................... 12 CONCLUSION : .................................................................................................................................................. 15 ANNEXE : LES LIENS .................................................................................................................................. 16 Architecture_e-commerce.doc Page 2 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE I. INTRODUCTION : Le commerce électronique ou e-commerce en anglais est le faite d’échanger des biens et des services entre deux personnes par le biais de transactions électronique. Cette pratique a débuté avec les pages télétextes du minitel dans les années 80. Elles ont été suivies par les échanges EDI (échange de données informatisées) dans le monde de l’entreprise. L’arrivée du réseau Internet et la démocratisation du matériel informatique ont ouvert la voie au ecommerce et aujourd’hui au mobile commerce (m-commerce ). Les réseaux téléphoniques mobile sont le nouveau créneau de vente électronique. Ce commerce électronique est évaluée à 20 milliards d’euros et 25 milliards d’euros en incluant les ventes de titres financiers en lignes et les services bancaires (source : ACSL). Ce sont des estimations qui reposent sur un panel de sites marchands, des montants des transactions cartes bancaires et de plateformes de paiement car il n’existe pas de statistiques officielles dans ce domaine. Ce mode d’achat ne représente que 5 % du commerce de détails en France et 6% au Etats-Unis en 2008 (source : NBER). Ce sont 25 millions de français qui ont réalisé au moins un achat sur Internet (source : FEVAD). Le e-commerce est devenu une nouvelle plateforme de vente et nous allons évoquer les différents types de relation dans le commerce électronique et les moyens de fournir un service de qualité. Architecture_e-commerce.doc Page 3 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE II. Les différentes représentations du commerce électronique : L’urbanisation fonctionnelle : • Définit l'architecture fonctionnelle du SI par domaine (sous-systèmes fonctionnels et interfaces) • Identifie les objets métiers • Elabore les modèles des objets métiers et des flux L’Urbanisme fonctionnel permet de structurer un Système d’Information modulaire, cohérent, évolutif et répondant aux besoins du métier APPLICATIONS Vendre B 2 B B 2 C Business Commerce Echanger Market Maker Acheter Informer Procurement Info Exchange Facturer Billing B 2 C Retail Commerce F in a n c e B2E Fonctions Content Management Design Center Command Center Analytics One-To-One® Enterprise Serveurs d’application tiers : Web Logic, WebSphere, Iplanet, Bluestone EAI : WebMethods, SeeBeyond, Neon, Tibco, … C/ S ERP CRM Systèmes Business Existants . Fig. : AFNET : Urbanisation générale. Architecture_e-commerce.doc B 2 B Page 4 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE 1) B2B : B2B est en anglais l’acronyme de ‘Business to business’ ou échange électronique entre entreprises. La caractéristique majeure du B2B est un nombre limité de clients et de prospects. La fidélisation est au cœur des stratégies des entreprises. 2) B2C : B2C est en anglais l’acronyme de ‘Business to consumer’ ou commerce électronique à destination des particuliers. Il s’agit de site web marchand. Les services d’un B2Csont : • • • See: besoin (création, identification), recherche produit (information, catalogue), recherche marchand Seduce: négociation de la valeur, achat Sell: validation, paiement, gestion commande Architecture_e-commerce.doc Page 5 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE • Satisfy: service client, évaluation. 3) B2E : B2E est en anglais l’acronyme de ‘Business to employee’ ou échange électronique entre entreprises et leurs employées, encore appelé Intranet. 4) B2G : B2E est en anglais l’acronyme de ‘Business to government’ ou échange électronique entre entreprises privées et le gouvernement. 5) B2I : B2I est en anglais l’acronyme de ‘Business to ‘ ou échange électronique entre entreprises et des institutions tel que écoles, associations. Il concerne des acteurs qui possèdent des modes de règlements et des délais anormaux. Les circuits d’achat de ces clients sont également particuliers. Commerce en ligne entre une entreprise et des institutions (écoles, Associations, individus 6) C2C : B2E est en anglais l’acronyme de ‘Consumer to consumer’ ou commerce électronique entre particulier. Ce sont des sites web permettant la vente entre particulier tel que e-bay, le bon coin… Architecture_e-commerce.doc Page 6 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE 7) C2B : C2B est en anglais l’acronyme de ‘Consumer to business’ ou échange électronique entre consommateurs et entreprises privées. Le particulier ou consommateur propose ces services ou ces produits aux entreprises, c’est un modèle économique d’entreprise inversé. C2B est rendu possible par l’avènement des réseaux informatique et la baisse des prix sur matériels informatiques. Ce qui a permis de mettre en relation de nombreuses particulier à moindre coûts. 8) Les places de marché : La place de marché est un site commercial de type B2B qui offre des transactions sécurisées permettant aux entreprises de sélectionner des biens et services de différents fournisseurs afin de comparer les différentes offres. C’est une plateforme technique créé par le maître de la place de marché permettant d’offrir des conditions tarifaires attractives par un système d’appel d’offre et d’enchères. La place de marché offre aux acheteurs un panorama d’offres par la mise en lignes de catalogues fournisseurs à des prix avantageux et aux vendeurs un canal de prospection et de distribution à un coût avantageux. Architecture_e-commerce.doc Page 7 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE Parmi les places de marché européennes, on peut citer Companeo, canal de prospection B to B existant depuis 2000. 9) m-commerce : Le m-commerce est en anglais l’acronyme de ‘mobile commerce’ ou commerce mobile. Il concerne la téléphonie mobile par l’utilisation de la technologie sans fil pour faire de la vente à distance. Les premiers ventes été le téléchargement de sonnerie et de logo sur le téléphone mobile. Il a été ensuite étendu aux ventes de bien matériels payées au moyen de son téléphone. Architecture_e-commerce.doc Page 8 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE III. LES MOTEURS DE RECHERCHE : 1) Moteurs de recherche : Les moteurs de recherche deviennent un créneau très prisé par les sociétés afin de toucher leur clientèle. Ils sont un complément aux annuaires B2B qui offre un visitorat ciblé, liens externes pouvant influencer positivement la réputation vis-à-vis des moteurs de recherche, etc. "Les moteurs de recherche B2B proposent des résultats de qualité basés sur des segments de marché bien spécifiques, sans spam ou résultats peu pertinents figurant sur les moteurs de recherche globaux", explique Perry Solomon, directeur senior du pôle développement des médias chez Fast. Certains sites proposent ainsi un moteur de recherche d'emploi dont les résultats vont piocher directement dans les sites d'emploi. Ces moteurs de recherche dits verticaux se distillent un peu partout sur la toile. Les critères pour ressortir en tête des résultats sont liés au contenu comme pour les moteurs de recherche généraux. Un contenu par page riche et spécifique avec les balises méta et alt correctement travaillées permettront d’optimiser le site aussi bien pour les moteurs de recherche classique que pour les moteurs de recherche B2B. 2) Les répertoires sélectifs : Les répertoires sélectifs recensent des ressources Internet professionnelles sélectionnées sur des critères qualitatifs...les sites sont choisis par des professionnels de l'information afin de couvrir les domaines de l'université, de la recherche et donc plus globalement de l'enseignement. Les ressources recensées sont de plusieurs types : sites web de référence, bases de données, ouvrages, journaux électroniques, listes de diffusion, articles et études d'universitaires, chercheurs ou journalistes....Notion développée par B.FoenixRiou. Réalisé par Intelliseek, l'éditeur de l'agent intelligent BullsEye et du métamoteur Profusion. Bon point de départ pour rechercher des bases de données, bibliothèques en lignes et moteurs spécialisés par secteurs d'activité (plus de 10000). Ce portail permet une recherche directe par mots-clés ou à l'aide d'une liste thématique très vaste. Il propose ensuite une liste de résultats (ou de sous-catégories) classés par pertinence ou ordre alphabétique. Le site sélectionné est ensuite brièvement décrit et son interface de recherche souvent accessible sur le site The InvisibleWeb. The InvisibleWeb : Direct Search : Gary Price a compilé des centaines de liens vers des ressources du web invisible, ou du moins, difficilement accessibles. Ce site de la G.Washington University propose un accès par recherche directe ou par catégories thématiques (géographie, histoire, droit, cinéma...). Le bas de la page indique les récents ajouts. Ce n'est donc pas un répertoire au sens strict mais une liste très utile. Architecture_e-commerce.doc Page 9 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE 3) Les portails horizontaux : Ce sont des sites fédérant de nombreuses ressources (articles, forums, actualités, fiches produits...) organisées autour d'un annuaire thématique. Le portail horizontal concerne une activité transversale (le droit, les moteurs de recherche) à contrario le portail vertical (ou vortail, vortal) cible une communauté professionnelle et donc un secteur d'activité (l'agriculture, l'aéronautique...). répertorie les outils de recherche francophones en les classant en grandes catégories : art et culture, commerce et économie, informatique, institutions, internet, loisirs et sports, santé & spiritualité, régional (pays). Enfin.com : 4) Les vortails : Les vortails ou portails verticaux (portails spécialisés dans un secteur d'activité) sont nombreux. Ainsi pour le secteur de la chimie, il existe (entre autres...) France-Chimie, Chemindustry, Chem.com, Chemscope, Chemweb, Chemicalonline ...auxquels il faut rajouter tous les vortails concernant les secteurs dérivés de la chimie (plasturgie, pharmacie, cosmétique...) Pour identifier et trouver ces vortails, il convient d'utiliser....d'autres portails : - les portails de moteurs de recherche: ils vous permettent d'identifier des outils de recherches spécialisés par secteurs d'activités qui pourront vous amener sur des vortails. - les répertoires de portails. Attention, le terme de portails est parfois utilisé abusivement pour de simples sites spécialisés. En voici quelques-uns : TradeWorlds : Répertoire de portails verticaux B2B. Portails 2 : Ce portail regroupe des ressources grand public ou professionnelles (portails ou simple sites spécialisés). Indexa est un annuaire de sites professionnels. En explorant la catégorie "Autres sites, portails" présente dans chaque secteur d'activité, ou en tapant "portails" sur le moteur de recherche interne, vous pourrez découvrir plus de 500 portails verticaux. Indexa : VertMarkets : créé à l'origine par VerticalNet propose plus de 65 places de marché dans de multiples secteurs d'activité (communication, énergie, alimentaire, santé...). Chaque portails, outre les services d'achat-vente, proposent des actualités du secteur, des forums, une librairie, un calendrier des évènements... C'est un peu l'équivalent français de VertMarkets. EDG propose plus de 30 portails verticaux (Techniques de communication, Protection biens et personnes, Gestion des flux, Bâtiment, Equipements et services industriels, Transformation de la matière, Recherche et analyse, Dépollution, Electronique, Télécom et informatique, Agro-alimentaire industries et commerces, Santé, Aménagement des paysages, Equipements et services pour la distribution et les commerces, EDG net : Architecture_e-commerce.doc Page 10 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE Emballage, Automobile...). Les portails offrent notamment des informations sur les produits, un agenda évènementiel, l'actualité du secteur... IV. PERFORMANCE DES SITES e-commerce : Les performances de sites e-commerces sont liées à un certaines nombres de goulets d’étranglements à contrôler et/ou à anticiper par la mise en place de méthodes et de techniques. 1) 10 points de contrôles : Alexander Kirk propose un document envisageant 10 pistes réalistes pour optimiser la rapidité d’un site Internet, et plus encore d’une application Web. 1. Trouver le goulot d’étranglement. • La taille des fichiers. • Le temps entre l’envoie d’une requête et l’affichage complet de la page. 2. Réduire la taille des fichiers. • N’utiliser que les parties indispensables des librairies Javascript. • Alléger les images. • Utiliser la compression gzip côté serveur. 3. Diagnostiquer les problèmes de latence. • Les congestions réseau. • La génération des pages dynamiques. • Les performances de rendu. 4. Déterminer les éléments handicapants. 5. Mettre en place un système de cache. 6. Optimiser les requêtes SQL. 7. Envoyer les bonnes dates de dernière de modification. 8. Mettre en place un système de cache modulaire. 9. Réduire la charge serveur • Utiliser un proxy inverse. • Utiliser un serveur HTTP léger. 10. Optimiser la configuration du noyau. Architecture_e-commerce.doc Page 11 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE Au final de bonnes idées – classiques – qui ont le mérite d’envisager l’ensemble des domaines aussi bien systèmes que réseaux ou applicatifs pouvant poser problème. Cette optimisation est nécessaire mais insuffisante face à un nombre important et croissant de visite des sites e-commerce d’autres solutions matérielles sont possibles. 2) Le clustering : Définition : La répartition de charge ou load-balancing en Anglais encore appelé équilibrage de charge est une technique utilisée en informatique pour distribuer un travail entre plusieurs processus, ordinateurs, disques ou autres ressources. C’est une forme d’optimisation (source : wikipédia). Les avantages sont nombreux : • Augmentation de la qualité des services. • Amélioration des temps de réponse des services. • Capacité à pallier la défaillance d’une ou de plusieurs machines. • Possibilité d’ajouter des serveurs sans interruption de service. Le clustering ou load balancing selon la méthode mis en œuvre est une solution technique et matérielle pour répondre à l’augmentation de performance régulière ou attendue d’un site ecommerce. Cluster de performance La fonction principale d’un cluster à haute performance (nommé aussi High Performance Technical Clustering, HPC) est d’augmenter la puissance d’un pc. Pour procéder à ceci, il est nécessaire de découper la tâche que l’on a effectuée en sous tâches. Le résultat est le total des sous tâches. L'unité de gestion - pour coordonner toutes les sous tâches - et le noeud qui reçoit le résultat sont les seuls points critiques (single point of failure). Ces composants pourront être protégés via un cluster de haute disponibilité. Le crash de l’un des nœuds n’est pas un désastre car le travail de ce nœud pourra être fait par un autre. La performance du cluster s’en verra affaiblit mais le cluster fonctionnera toujours. Un exemple de cluster de haute performance est le CLiC (Chemnitz Linux Cluster) de l’université de Chemnitz en Allemagne. Celui ci regroupe 528 nœuds, tous tournant sous Linux. Architecture_e-commerce.doc Page 12 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE Cluster de répartition de charge Un Cluster de répartition de charge est une ferme de serveurs avec la même fonction. Un répartiteur est nécessaire pour distribuer les requêtes des utilisateurs à chacun des nœuds, celui-ci vérifie que chaque nœud possède la même charge de travail. La requête sera envoyée au nœud qui aura le meilleur temps de réponse à celle-ci. Cet algorithme permet de fournir les meilleurs performances à n’importe quels moments. Les performances du cluster dépendront du répartiteur. Celui-ci devra bien choisir le nœud qui a la possibilité de traiter la requête utilisateur le plus rapidement possible. Sans aucune protection le cluster de répartition de charge peut être un SPOF (single point of failure). Le summum est d’ajouter de la redondance à ce cluster. Si l’un des nœuds n’est plus en état de marche, le cluster marchera quand même. Le répartiteur identifiera le nœud mort et ne l’inclura plus dans ses calculs. Bien sur, les performances globales du cluster s’en verront diminuer. Les fermes de serveurs-web (Google...) représentent un exemple de cluster à répartition de charge. Architecture_e-commerce.doc Page 13 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE Cluster de haute disponibilité : Les clusters de haute disponibilité (High Availability Cluster aussi nommé Failover Cluster) sont utilisés pour protéger une ou plusieurs applications sensibles. Pour faire ceci l’application et toutes les ressources nécessaires à celle-ci seront contrôler de manière permanente. Pour avoir une protection puissante d’une application, on doit inclure dans cette protection le matériel (hardware), le réseau et l’OS. Généralement, plusieurs produits sont utilisés afin de protéger plusieurs applications sur un même nœud mais il existe des solutions capables de protéger autant d’application que l’on veut. Avec ces solutions, on n’est pas obligé de relancer toutes les applications et on peut faire du cas par cas. Si le logiciel de cluster reconnaît une panne alors, dans un premier temps, il va essayer de relancer la ressource X fois localement sur le même nœud. Ensuite, si cette ressource ne veut pas redémarrer, le logiciel va commencer à basculer l’application vers un autre nœud. En aucun cas le client s’apercevra que l’application est située sur un autre nœud du cluster et il pourra accéder à l’application comme avant. Les clusters de haute disponibilité typiques contiennent seulement quelques nœuds mais on peut utiliser des clusters regroupant 32 ou 64 nœuds. Si un cluster contient plus de deux nœuds alors on peut définir des plans de bascules différents. Cela peut être utile pour réduire la réduction des performances après une bascule. Architecture_e-commerce.doc Page 14 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE V. CONCLUSION : Le e-commerce et aujourd’hui le m-commerce sont devenus l’enjeu de notre société pour offrir un nouveau moyen d’échanger des biens et des services. C’est « la vague Internet » de Tom Peters. Les sites de commerce électronique et de services qui gravitent autour sont pleine croissance. Les entreprises développent leurs propres offres et sont contraintes de répondre à ce nouveau marché sous peine d’être concurrencée et aux exigences de qualité de services des internautes. Cette qualité passe par le suivi des performances de son site e-commerce. Nous voyons l’émergence de nouveaux outils répondant à ces nouveaux besoins. Ce nouveau moyen d’échange créé de nouveaux besoins donc nouveaux outils et par voie de conséquence une nouvelle économie. Il est devenu une priorité stratégique. L’exemple de Google qui offre de nouveaux outils : Dans la longue série d'outils proposés par Google, commençons par Google Webmaster Tools. L'outil permet aux responsables de sites de suivre l'évolution de leur trafic, mais pas seulement. Pour les référenceurs, il permet de suivre les "référeurs" (requêtes effectuées dans Google avant d'arriver sur le site), de connaître le nombre de liens externes pointant vers telle ou telle page du site, de détecter les balises erronées, trop longues ou dupliquées, ainsi que les liens cassés (404). L'outil permet aussi de transmettre à Google le sitemap de son site. Mais aussi google maps, google earth… Architecture_e-commerce.doc Page 15 sur 16 DOSSIER PROJET ARCHITECTURE E-COMMERCE VI. Annexe : Les liens Le Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/E-commerce http://fr.wikipedia.org/wiki/Urbanisation_(informatique) L’urbanisation : http://www.asga-cs.fr/urbanisme-urbanisation.pps PDF sur l’urbanisme et l’urbanisation. A reprendre parle de EAI et ETL pour gérer les échanges entre les différentes briques d’un SI. Comprendre l'architecture des sites Web : http://www.journaldunet.com/solutions/dossiers/pratique/infrastructure-site-web.shtml Cours sur architecture web : http://www.ht.refer.org/coursenligne/e-commerce/page_1.6.3.html http://dchaffiol.free.fr/info/architecture/art_archi_af.htm Exemple de solution logiciel : Trade Xpress « Plate-forme d'intégration EDI, B2B, EAI, ETL et Gestion de processus » http://solutionsebusiness.journaldunet.com/solution/387/tradexpress/ Solution Générix : http://www.fr.generixgroup.com/solutions/integration-facturation/ Architecture_e-commerce.doc Page 16 sur 16