L`IVRESSE LOPE Kl VER A . îJC Conseil d`Etai remonte à nos o1

Transcription

L`IVRESSE LOPE Kl VER A . îJC Conseil d`Etai remonte à nos o1
PAN
• •el
DlRECTEURJPROPRlTAinBiS
VHPIUUEVIi
'l n'esl pas doniii' ii tout liiMinu •
«l'être In-roique, admit ali'e, \i •loiieux, iji'nial on simplement
heureux dans lu cbOMI éVltélienres, mil le moins I.IMUïSI'parmi nous peut être juste loyal,
doux, Internet, et le moins
heureux peut aiiuer et respecter
l'amour.
launce Maeterlinck
Clémenl Magloire
BOIS VEHNA
«368, Hue Amer I os, las
NUMJCHO 2Q CKNTIMKS
Quotidien
TELEPHONE N*£pU;
19taKANNES
No 5633
4l'occasion du Pre nier Janvier
Grand'Rue en fa ce de la l'onte
FÊTE DE L'iNDEPEND&NCE
LOPE Kl VER A .
A l'occasion du 1er Janvier, PHt
de I Indépendant-. Son Excel
lence Monsieur le Pré idenl de
la Hépub ique a adressé à la
Ne ion la belle et v.b.ante p:oclamition que nous reprodui•on» ci-aprè- :
Liberté,
Egalité,
Fraternité
REPUBLIQUE D'UAITI
Proclamation
1er Janvier 19i«, an I23ème de
l'Indépendance.
Borno
L Président de la République
Concitoyens,
C'est avec une joie toujours
nouvelle et une émotion toujoun
intente que la .Nation salue au premier jour de chaque année, la
mémoire de ses glorieux ancêtres!
Aucun peuple u'tst digne de
vivre libre, s'il perd le culte de
ceui qui ont créé sa liberté. AJBMJ
odes avec un soin j doux que le
Gjuveriiem.nl de la ll'pub'ique
considère de «on h »ut le oir de ne
rien épargner pour qce le aent;j
m ni national s'élève et se fortifie
de plus en plu. Le Iron Janvier,
seront inaugurés a la Capitale la
Place de l'Indépendance et le n -n
v m Monument où doivent ree-o er
cote k côte (Vaselines et Pétion.
J invile la Nation toute entière,
attentive aujourd hui aux g and'
souvenirs de l épopéa \atiou le, à
méditer profoodém nt *ur l'aete
(•olenLel du trois Janvier pour en
comprendr. la salutaire poitée.
Oje tous nos rieurs soient p.:
nétrés de ce sentiment sacré qu'un
même lien les unit, que le méTne
idéal les sollicite, que a Putrie
ommune réclame de chacun le
même iim 'in «I le M.* mi> dévouement! Et tous, «lin> nous ne •
gérons plus qu'i déposer nos bl ne», i jjeltre lin à nos mesquiuea
querelles et à associer nos elf.irts
pour le bonheur de tous, pour la
gloire et la p ospérité de la Nation.
Vive Haïti libre et indépeadante
JPEÏIÏE CURONlqUt
L'IVRESSE
L'homme cultivé a comme
principales distraction- la lecture, le théâtre, le salon, I s
beaux arts, parfois aussi dis
réunions où les conversalion*
sont stimulées par me boisson
agréable dont on use avec raeaure. Les anciens Grecs prisaient particulièrement ce dernier genre de plaisir qu'ils appelaient «symposion », épicé
de conversations joy. uses, an mé par la m'.isiju ■ et p>r des
représeriutions numiqu s. Cttt
là que l'A li'îiiieu dév:rsait sa
bonne humeur en saillies plei
nés d'esprit el d'à-propos.
Csa distractions rallinés ne
•ont pas à la portée de tout le
monde ; il en est J autres qui
sont accessibles à tous et qui
datent dts peuples les plus prv
raitiM. Ce sont le cb iDt, la dan»
se, le jeu, les festins et les orgies.
L homme, il faut Uien l'avouer, est le lils des soucis.
Sios cesse à la recherch> du
bonheur, il po irsuit une ombre
vain'*' Les aspirations contrariées, les besoins inassouvis pro
roquent chez lui un état d'inquiétude auquel il cherche uue
trêve d ns l'ivresse :
O fin, dnupt la lrnient
{Jui pin sur mon caur I
Et le moyen était si facile a
trouver qu il n'était pas même
nécessaire de 1 inventer. Mien de
tlus naturel que de taire une
oisson d'un truit aussi abonuant en jus que la raisin ou la
canne a sucre. Dana les contrées productrices de vins, en
Champagne par exemple,
exemple. Il nest pas nu entint
qui na le tasse: lorsqu'il i mange quelques grains, il presse les
autres entre ses doigts, recueeille
je jus dans un petit récipient et
et l'avale avec plaisir. Il n'y a
dt>uc non d'étonnant à ce que
MKHi'.ltKDI 6 JANVIER Iu26
PORT-AU l'HHSCE ( HAÏTI >.
les a luîtes aient opéré de même
avec de grandes quantités ; ceci
r es! cependant pis encore du vin,
est du moût, un jus d i uns
lifta doux et rien de ulus mais
que hui il pour que te jus devienne du vin ? H en que celtj
circonstance qus Ion en a trop
pour tout boire le jour même :
le I ndema.n un; le mentalion
a eu lieu, e' celui qui boit ce
jus, lequel n'est plu* djux.mus
aci lu!é, s'enivre.
Cest en résumé d i celte la
çon que l'on fabrique aujourd'hui le^ vin dans les piys civilisés. Cepeii lant les pays tout
É*fsit sepleu'.noiiaux, ainsi qU i
ceux lu r xi i ii brûlant, ne sont
pis, à ce point de vue, aus-i
heureu c nent placés que I-s
peuples du centre. Ils no it
nulle part des truits dout le ji*
so t aal z doux pour pouvoir en
préparer una boisson hrinenl -e
et ce»>eudant ilejont été as*. /.
vicieux pour se procurer les
moyens de s'eniv er.
11 Ml ri'iuirquali1. ; q u |>us
\»% peupl M aient tro ivé Je q'i •
se mettre en état d'ivress». L I
stupil r Kiml hadales se servent d un champignon vénénsiix pour coinpiser une botav
son qui leur procure d'aboi I
un peu degdetéi pu'sdudéle •
et des convulsions.
Daus l'Améri jue du Sud, on
s'enivre au moyei du rliichli la
bière de mais. Au Mexijue, 'est
ie put tue, ou j'is ferm nié du
raagutv, agave améri;ain, qui
est eu honneur.
Les Tari rea eurent l'iJée de
taire ferm-mter le lait de leurs
juments et de le convertir ainsi
en une boisson enivraute appelée koumys : il* ont su aussi
dist.l er ce koumya et enexlrairc
une so U d'eau-de vie, l'arak,
qui est pour eux une boisson
de prédil-ction.
U boisson des noirs dÀlnque esl la bière de sorgho, que
Les Hestaurants, Cal-s,; Il .tels trouveiontiloivioiir-Ken sl.i.U el i
prix déliant toute concurrence ia fameuse ItiKKK II KQUELL PtLSE
NEK VERITABLE en fûts al en eaiaeet.
Par évita de nouvelles ,i. [oleilioiia d^pperieai el de naenloM r»i
fectionnts la Muifnn FI-met a U ili'poMiii i des cliente pour IV»" u
lion des commandes de Pâtisserie lln«* vt de tous gt*nros
pour Banquets, Mariages, Cérémonies, etc.
Les client» de la Boulangerie hénélicii-ront dune réduction de lOol"
dix pour cent sur le montant de leurs n.<:liais men<uels de Pains eM
Ire remise des tickets de caisM».
Vener visiter la nonvelle inslallalion .le ll<>u)s->xerie hvgiénique st
surtout n'oublie/ pas notre Loterie de fin d'aunée.
Conseil d'Etai remonte à nos
1
o ighm dit "l'OpinionNatale"
îJC
.Yotii
» l.i
reproWtst* tu
I
aji-.r,
Musique iJnitieaao
Nous avons reçu de Mr Iran' k
Lassègue quatre pièces pour piauo
dune vi ne beauté.
Nous en ferons plus tard une
critique jdétailiée pour essayer de
dégager les qualités personnelles
qui ont permis I arrangement des
thèmes, tous luitiens, que noas
offre Mr Lassègue.
I. un d'eux intitulé ■ La Dense
Africaine, et qui a comme sous titre , Complainte d'Er/uhe, est
particulièrement ingénieux, et,si1;nale le talent qui a vain, u lijlii
kulté d'hsrmojiser des rvthmes
encore frustres, non encore travaillés.
C i.-t à l'aris ou se tieut Mr Las
ségue que ces pièces ont été édi
lées, et c'est à Itruxelles qu'elles
ont été interprétées une première
loi», au cours d'un reniai de Pia
no organisé à la salle de Concert
Kernaud Lauvveryns.
Les i pièces qui ont ligure au
prugiimrae dea< elle auditioii|-unt
loutes de notrel.cumpatriote, qui
lésa lui ui'-.ne exécutées. Le'souf
Ile exotique qui s en dégage pour
les auditeurs d'outre mer uvait du
suifire au succès de Mr Lass^guc.
Ajoutons que Mr La-.sègue est
Kédacleur au Courrier Musical de
Paris.
i
AVIS
Les'ai lionnairesjde ih*|HHili"
C .rporatioo ol Haïti • la Société
lliitieuue du Hadio» sont avisée
lie l'Assemblée Uéuéiala uurs
i eu le lundi II Janvier IBM u
siège social de la Société sis l'.ue
des Miracles ou Hue II |_ll-\ 8
dix heure, du matin
Port au Prince,le ^9 Décembre I'H ,
La Direction
Parisiaua
Jeudi
Deuxième el dernière Heprésent thon des
DiUnwrs
Programme Nouveau
Entrée 2.su, 4 et 5goardet<
LLpi|)liawie
\iij.iiird'bui, i> Janvier, il la
fête Je l'Epiphanie. Elle est aussi
et plus commuuément appelée la
I e Je» Mois, parée qua c'est le
jour on la divinité du 'Jbriel lut
manifestée aux flentils par l'alo*
ration des Mages. Ces Irois llois,
veuus de l'Orient et conduits par
une étoile, vinrent à Bethléem
p ur adorer, les premiers, l'En
faut divin 11 lui oltrir de I or - wn
bue de la royiuté, de l'enceua,
symbole dediviniléelde la mvr.he
emblème de la vie mortelle.
Ll depuis lors, chaque année,
le Monde cnrélieu a conservé pu u
sèment lu tradition de comméinnrer ce grand anniversaire.
|fa relie occasion, dans les la*
milles, s organisent de charaiinles
l'Union- l-.l, nombreux sermil,
ce soir, ceux qui fèlerqul les
rois sans s'ui.|i!iétei*d'ou en vient
la ' outume.
<J. Ue ICle des rois était tradi.
li-inuelle à la cour de r'rance. Le
roi conduisit k la messe la reine
4e lu Bave, et il offres! au ce sbraol
trois bou.es de cire, avec .1..- I or,
de l'argent el de l'encens, en sou
venir des Msges.
U y eut parfois des imidenU
Le roi véritable ne cédait pu* -t
couronne sans combat au roi éphi
mère. Cest pourquoi, en I.'MI,
I rançois 1er s'en alla attaquer avec
des nuls dis pommes et des
boules de neige, l'h'ilel du comte
ue Saint l'ol, qui avait eu la lève.
Mal lui en prit lu des défenseuis
de I botel lui envoya 4 la l#le une
bùi lie onllammée. Le coup fut M
rude qu il s évanouit, nui. il ne
voulut j>.i- que le maladroit fut pu
ai. Vers. I étrange coïncide!.i.
L homme à la bûche était Muni
gommer y, le père de celui qui Isa
le bis de Krar.vois 1er, dan- un
tournoi :
Bal populaire
J Le II Décembre au soir, veille
du Jour de l'\o, eut lieu, dan- la
halle sud du Marché Valhér». le
grand bal pabln offert 8 la pora
tefioa par lAdmioistration Com
murihle 8 I «ci asion du nouve'an,
* lunie la nuit, au son de la mn
sique la plus endiablée, les i
pies louruoyérent 8 qui mi'ix
mieux.
Variétés
CEJSOIB
lm
d'Héroïne
7s el 8e épisodes
i II
d
' ./il m h emb $ ./ci ,
/ /./ v n n /ni /»/>•
. II/I-I re Mtosslra
'
/
Il t A I -
ml il a Uni • opp )*anls » •■'
a) io7U
seuls I s lioiteiiuts. qui ne
sont pasah'iicul'.iuis, ont remplacée par une sorte «l'hydromtl lait avec du miel lennenté
el diverses racinesLes peuples du centre de l'Atriquj;tjbriquenl le vin de palme- Celle boisson est particulièrement chère aux musul
inans, parce qu'elle échappe à
la censure sa. rée et procure une
ivresse orthodoxe, alors que le
Coran interdit I usage des produits de la vigue iuan hte- Lu
l'erse, on labnque avec des
aromates, divers truits et surtout des oranges, une li juetir
très alcoolique mà-el luàt ) que
les dévots peuvent déguster
«ans scrupule> usai, de quelque «oie qu ou
se tourne, les peuples ont toujours cherché dans ceftaioei
boissons une exitatnui passagère, qui s'appelle l'ivresee 'Jue
celle ci soit qualitiée de bon aloi
d MIS sou houiK'te uioieralioii,
ou poussée au paroxisme dans
«es abus Btle tst toujours regr.(table pu'squ'elle agitensom
me au Jetriuieiit de I hygiène
cérébrala et corporelle.
lea/o i
ftlU r. *l il II
iAn.NAt.ts GAP MUM >
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1 Mlles . I i' I Bl ID'eS
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pi m .1 l'impi'. . (Mm d •
1*1 ' -•■ nb t n'avoir i u d'au-
l<li /■< •
n ni U Gant H itfciai
Les ;idversaires du liouvru nu'iii et d.i régiflM poltli|ie
ai.i.i i - . v> ni noire eaUM ;tv e
un n ii i i ■tnuatnl V.% n • s
i i, I.I -il m.uns djsj i'gU
m- ut'' qu•'. dans i ard iur d 11
. DOUI n'aurioni psi phi
la pi ni'1 'i l'Ier cher lier.
-I .IIISI que la j Mira il
I. »pi
i N.iiK.nale » vi n<
i . P- i que la lionsail u'Kt.ii
u'' il p.- uni in.iiv nul •
en II ili » il quj « c'est u e
iOBUiuUOfl qui leiuoiile a nos
Oiigiuai i.
Il en a lait l'biatO'
iiqu ' l ■• monlii- Il s divers i •
raeièfea qu'il a rteètui dana
nos mil rentes lioiistiiui,uns
Quelques uns leigneni cucure
i »»ul ^ter contre la réélection
p-i L Lîo il il d Liai, In -n que
ce Coips soit reveu pa h
<^oiiali.u.iou de t.'l 8 d's (OIIvuua MU. kMdii'rs pour remplir
ii nus les aUribuiioni de l'At«
Mintiii-e Nationale lusqu'a U
re. uii.Miiiiuoii des i h uub es
l.i xlM-'IlVi.s.
u i. "h--,i d Etat, dit « L'i I
pin. .n Nationale • lu 21 Nt>
vtinbre 11*25, n\sl pas une
nouveauté eu llaiii II a sou
histoire .. II en i.»ulte que ce
n'esl pas le produit de I iinagin lion M.-. .M. I'. ,i i,..
Mais, dira l on, la Conseil
il Liai. rJaOi le passé, n'élait pas
• •v• !• i \<IT hs diverses Constitution! qui l'ont institué des
ne m. i poufoifl que .• ux i on
i in - , .i la constiiuiioii de
1918.
• L
mn N lioialt) i a
prévu
,i lion et y a répOQ*
du i • r. m, loin u.eut pour rédi
ûcaiton M ton- :
* L l m ni J Etal de Î8U5
était ' h ur''' de choisir en eu
de mort un lucceeaeur I l'Em
CarululaLs aux «'Icclions
lommuiiah's
v
" i i BVOM reçu, en nos Ho
■ il. i|, m,lie Hll.l, Ml
•i II h. I, qui DOUI a n 1.1. n
- présente aux élections
' mu IIIIHI s du 10 Janvier 8 Mire
Irai iliril u mus que d i i
Il ûti i n rofaum • ei de pi
m if roi, Il in Chrittoi i,. . i„.
C inseil de /N4 I tm <;,-,„ | i;,,,,
-• il le ['t m, i a v
IïI Qotam
m-ni l'eut ■ -• eié:ul v ■ rJana
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Il i ii -s' '.ii i . Eoipi,. ,ir sj
C lui 'i ne le liisail p |
Gel ' Kpoeé lut i I.i 1,111111111
N ilionale » pxp ime si irj :
de coi ' itei qu l< - opposants
nol s M.I i liant, ,|,,, \\m.
btt, IrBBuflra .'s de i ■ ,, ,,„.
i '..IIISI il donl lu. r .u m ils ré• lainaienl I .Il i ami ni II l.nl |j
son i r •!.• i Saonon qui, ipn s
i.ne il.-r| rationeapri ssedepria
oipe. r.-vi 11 iv.i- -i cindida<
lui'' i I I plè*j II lli'i' •..ins il | n
ilre la re ons' lution de* Ch mil»rts I le I ni au can h u anonym du Ji uroal «I.. I impa»,
lue M ivia. en la boona
i oropegoia la JoUboia, ■ tigoè
aussi la |. lira adri iaée par les
Joumahataa da I < Capitale .m
S ' rétaira l Etal Kellog pour
ri■■ Lille r I ^ .-I ■. i uns |i gisltlj.
Il n'. icrpta pai Poueei qui
i i.. i.né renoncer i l'amolu.
tiama des |iniiii,ii's i |, ur H,,,n
tenir A l'opi i>rtuoiania des su.
lu'ioni »
Eo uli / !is plaintaa lu l'.is
leui
• C pendant, il est alfli' qu'on ait I I - dire, il y a
d< s .- indidali fi 11 pn -i lam i
qui, irop impaiii nia dana leur
il' -ir immodéré da I lin la i ip
lura lu pouvoir, 11, i ipii décriera d s combin ti loua ina«
vouabli s .-i loin i. s, .-n paaaaol
par la Conseil d bltal..
Donc, ce sa u ni pai iaule<
ni ni lai amis • j<t i ; luveroe*
maol qui rapro h< il i l'i ippo
BltlOn
Kl liiCOIlsi- | || ni .s,
e.ii
- .ni tua i lelerveni 01, i mis
norimanl leur dégoûl en
\>i- s.'in'.e de 1 nul. h ..i-s,,- m
<|ii|lili.ili|e des ISBO 11 s du |
voir.
rublicatioiii reçiiM
Vous avons reee BV« plaiaii l^
numéro dit BBOSI A Di ia bra U
i. Nuuvel'e Rondi
d
jeunes. Il . DQtleel des iiniliArci
InléresseeleB
ajae aoaa ilgoaloni
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i "ii lecteur*.
• Bvom éeali naenl reon la
ba '
Mi Michel est Magistral Corn-'
i! .n luellerr.i ni et compte de
BOBabreai
■ne.
peretr- Il é ait aupouvoii
i : i u
amis dans sa Cet!
Nul di nie qu'il Le li'omphe
i m ne.
H ni »'na'eineiil esndilals :
— Mr Albertioi Ksroel, pour
*< iiiilm r « i, il jouit de l'eslirne
de !a pop.ilatiou el »a candidature
j esl anueilie avec sympelkle.
— M (iiitteau lils pour Lutta». « Val un jeune et qui pi Bssl
i . ville aelaie.
...lia.Ions bou MW
8
Ou ilamuiioV
l'ne bosae pouvant tenir
d'i'.icnd mte
Il jli -aUirs
Rue Kérou, So il!
lieu
dern'er numér. de la revue Junia
q u eonUont, BOBBODI I I
psgaa donl U leetora sel des a|oi
uitravmiles.
N'uis reeaereiona pow eea gra
• ieux euvoia,*
KiiDyailles
Nous enregistrons av. la „.
ii.nii de plaisir les fiançailles de .
noiselle Oeors,. lia \i,,
Idie de Mr \,V',,i, \| l#.|„
• t Vtumtrc l'|. i ,
' Hailj
l.o.idies, «l de \l..;
\ ce Aither, ave. VI.,.,- .-.,, K ■ r
Anselme, lils de M, i ,.,
, 4,..
s.-lme. vu . j.résl II al du liii.uual
de i.a-salion et de M,
Ku^i-nie Lapmli-
N..I- areasaioa
rivia léiicitalioua au distingue eouelo.