LA DEUXIÈME MI-TEMPS REFERENDO

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LA DEUXIÈME MI-TEMPS REFERENDO
LA DEUXIÈME MI-TEMPS REFERENDO-PRESIDENTIELLE AU CONGO: une nouvelle arnaque politique?
Écrit par Félix BANKOUNDA MPELE
Lundi, 14 Mars 2016 08:48 - Mis à jour Mercredi, 30 Mars 2016 12:12
« Pascal Lissouba ne peut que redevenir un simple candidat et non plus un candidat président,
comme cela les chances seront égales pour tous » ! (juin 1997, Sassou-Nguesso, infra)
« Les autorités congolaises brillent par l'organisation d'élections truquées dont les résultats sont
quasiment connus d'avance. Il en a été ainsi en 2002 et 2009 pour les présidentielles... » !
(2011, Placide Moudoudou, député PCT et président de la Commission constitutionnelle de
2015, infra )
Nul n'est besoin d'un dessin : l'élection présidentielle anticipée du 20 mars prochain,
discrétionnairement initiée par Sassou-Nguesso, est le prolongement, la conséquence du très
personnalisé, très contesté et anticonstitutionnel référendum constitutionnel du 25 octobre 2015
qui
en apparaît ainsi, indiscutablement et pour la forme, comme la matrice, la première phase, la
première mi-temps.
Celle-ci, on le sait, a consacré, une fois de plus, à la face et au mépris du monde, sans
préjudice d'une vingtaine de morts, autant la débâcle du droit [1] que l'humiliation de la majorité
des Congolais et de la
circonst
ancielle opposition réelle, à côté de celle, permanente, créée de toutes pièces par le pouvoir et
qui, sans vergogne et logiquement, a demandé de voter pour l'homme en place aux affaires
depuis trente-deux ans cumulés!
Humiliée, laminée, ballottée, séquestrée et sans recours dans un contexte de dictature
assumée et décomplexée, l'opposition, assez curieusement, ne pouvait souffler et rebondir que
selon le bon plaisir du dictateur, à l'occasion du rendez-vous politique suivant, l'élection
présidentielle, strictement encadrée et ligotée par le pouvoir. Cette séquence-ci apparaît ainsi,
de façon tout aussi indiscutable, comme la deuxième phase, l'ultime chance, la deuxième
mi-temps politique verrouillée, et qui porte tous les stigmates de la première, avant la clôture
pour longtemps du 'jeu'.
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On l'aura compris, moins que par esprit de légalité et de démocratie, c'est, essentiellement,
parce qu'il s'y trouve néanmoins désormais contraint, pour la forme, par un contexte et une
certaine morale internationale, que le pouvoir en place a concédé le desserrement des
restrictions auxquelles il avait soumis ladite opposition depuis la séquence d'octobre.
Se pose alors, de façon logique, la question de l'intérêt, des motivations qu'il y a pour
l'opposition d'accepter ce qui relève, selon toutes les apparences, d'une mise en scène, d'un
'jeu de dupes', de la légitimation du dernier coup d’État constitutionnel que même la
communauté internationale, jusque-là tolérante à l'endroit du dictateur et de son système, n'a
cette fois-ci toujours pas digéré. Tellement, l'illégalité du recours au référendum sur une matière
formellement et absolument interdite, l'organisation de la consultation, l'opacité et la tricherie
ont été grossières ! Et, loin d'une exception, depuis l'automne 97, Sassou-Nguesso et ses sbire
s ont conquis et géré le pouvoir, réussi à en tirer tout le profit, principalement matériel et
financier, à la barbe et au grand dam du droit, de l'éthique et d'autres valeurs patriotiques,
étatiques et internationales !
Non moins grave, aux critiques de toutes parts, tout à fait fondées, sur un corps électoral
macroscopiquement biaisé, sur l'absence d'indépendance de l'organe d'organisation et de
gestion des élections depuis le retour par effraction de Sassou-Nguesso aux affaires, le
pouvoir, globalement, a répondu en se bornant à changer l'étiquette de l'organe et en
conservant le contenu, essentiellement le personnel très majoritairement proche et acquis au
pouvoir.
Curieux manège, dans un pays qui ne manque pourtant pas d'exemples d'élections
globalement transparentes, ou reconnues et saluées comme telles par l'ensemble des acteurs
nationaux et internationaux, en 1992, et qui avaient consacré une lourde sanction de
Sassou-Nugesso et son parti alors au pouvoir, et la victoire, à toutes les échéances, de Pascal
Lissouba et son parti, l'UPADS. L'organisation et la gestion des élections, on le soulignera,
avaient alors été déconnectées de l'exécutif pour en assurer effectivement l'indépendance.
Nul doute, ce précédent explique le refus catégorique et obstiné, par un parti et un homme
revenus au pouvoir en dehors des urnes, de renouer avec l'organisation et la procédure
connues, favorablement éprouvées et appréciées de tous en 1992, mais périlleuses pour eux.
La présomption
d'intentions pour le moins
obscures se lit ainsi nettement, avec de graves risques connus que n'ont pas manqué de
souligner autant l'opposition que la communauté internationale
[2]
.
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Écrit par Félix BANKOUNDA MPELE
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Comment donc, devant un pouvoir de cet acabit et désormais imperméable à la honte, aux
valeurs précitées mais, surtout, n'hésitant pas à recourir froidement à une boucherie humaine
comme l'ont clairement montré les derniers événements d'octobre, l'opposition peut s'autoriser
ou s'exposer, une fois de plus, à cette vaste supercherie, à ce 'jeu' dangereux ! Surtout, après
qu'elle ait elle-même, après de multiples conclaves, décidé, du fait de l'illégalité flagrante du
référendum du 25 octobre et des particularités de la Constitution [3] qui en a résulté, de ne pas
se présenter à ladite élection présidentielle anticipée !
De même, mais en sens inverse, l'on pourrait se demander si le pouvoir est, à ce point,
convaincu de 'l’imbécillité' et de la naïveté de l'opposition, pour que celle-ci se cantonne
exclusivement au seul rôle, à la voie déjà tracée par lui, et qui est sans équivoque du tout !
Défauts qui, s'ils n'étaient pas avérés du côté présumé, révéleraient plutôt, au contraire, des
failles de leur auteur, du pouvoir, sinon un machiavélisme diabolique !
Bref, en clair et en résumé, quels sont les enjeux réels et les perspectives du rendez-vous du
20 mars prochain qui, au regard des précédents du genre et des déclarations dignes de foi, ne
devrait susciter aucun suspense ?
Car, en son temps et depuis, Sassou-Nguesso lui-même avait déjà théorisé les conditions
d'une élection présidentielle crédible : « Pascal Lissouba ne peut que redevenir un simple
candidat et non plus un candidat président, comme cela les chances seront égales pour tous»,
martelait et opposait-il en juin 1997 (La Croix, 16 juin 1997, p.6). De même, et notamment,
l'ancien doyen de la faculté de droit de Brazzaville, membre du parti présidentiel et député,
président de la Commission constitutionnelle de l'inique Constitution d'octobre 2015, lui, de son
côté, écrit clairement que « Les autorités congolaises brillent par l'organisation d'élections
truquées dont les résultats sont quasiment connus d'avance. Il en a été ainsi en 2002 et 2009
pour les présidentielles» !(in RJPEF, 2011, numéro 2, p. 186)
En réalité, et contrairement aux discours fourbes des uns et des autres, moins qu'une
campagne présidentielle
normale
dans laquelle
les prétendants déroulent leurs programmes – en l'occurrence
d'ailleurs peu crédibles
et originaux, et parfois même contradictoires, et auxquels d'ailleurs
pas grand monde n'y croit, y compris eux-mêmes -- , la vraie question, l'enjeu essentiel du
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moment est celui de la disqualification, ou du maintien, d'un système clairement mafieux dans
son avènement comme dans son exercice.
Le pouvoir dictatorial, profondément enraciné, tout comme l'opposition, circonstanciellement
réel puisqu'ayant, pour le grand nombre, appartenu et participé au système, jouent leur survie,
ou peut-être même leur vie. De la même façon que, la société civile tout comme une très large
partie de la population, larguées, paupérisées, humiliées et absolument dépourvues de moyens
légaux et démocratiques de contrôle d'un pouvoir devenu 'fou' dans sa gestion, ou convaincues
de leur stérilité, semblent déterminées à profiter du moment pour en finir. Ne dément pas cette
tendance, l'irrationalité de la recherche d'une sorte d'homme providentiel que nombreux
pensent trouver en la personne du général Mokoko – évidemment militaire mais pas tout à fait
homme politique professionnel –, sans ou avant même que celui-ci ait déroulé son projet
politique !
De ce point de vue, le rendez-vous de ce mois de mars, la prétendue élection présidentielle, en
la forme sans suspense parce que déjà ficelée par les tenants du pouvoir comme ne le
démentent pas la nature du régime, les précédentes consultations, les assertions sus citées, et
quasiment toute la communauté internationale, n'est, pour les parties opposées,
qu'un prétexte de 'mise à mort' de l'autre, et l'occasion de l'expression
claire et ouverte d'un raz-le-bol. C'est, ainsi et évidemment, une autre et parfaite arnaque
politique ! Mais, ce n'est là qu'un truisme.
Plus importante est la question de savoir ce qui pourrait résulter de la séquence. Autrement dit,
quelles en seront les suites, les perspectives.
Des signes, nombreux, ne manquent pas qui démontrent que ladite deuxième mi-temps ,
elle-même, n'est déjà, ou ne sera que la transition ou le point de départ d'autres séquences
bien plus critiques, en vérité violentes, au regard de certaines évidences.
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