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Le Groenland
de Pauline Sales
Compagnie Quartier Rose
création 2006
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Le Groenland de Pauline Sales
© éditions Les Solitaires Intempestifs
Distribution
Mise en scène: Fernando Patriarca
Avec: Clarisse Willig et Caro Simler
Scénographie, photographie: Caro Simler
Mouvement: Vincent Geiler
Musique: Olivier Fuchs
Costumes: Jean Duntz
Lumière: Pierre Chinellato
Production: Cie Quartier Rose
Partenaires financiers: Ville de Colmar,
Département du Haut-Rhin, Région
Alsace.
Programmation
Lecture Maquette
Jeudi 15 juin 2006 à 19h
Foyer du Théâtre Municipal de Colmar
Création au Festival Off Avignon 2006
Du 6 au 30 juillet 2006, à 13 h 30
Relâches les 16 et 23 juillet
Salle de la Roquille, direction Sylvie
Boutley
TAPS Gare, scènes strasbourgeoises
Du 7 au 12 novembre 2006, à 20 h 30
Autres partenaires: TAPS, scènes
strasbourgeoises – Ville de Strasbourg.
2
La Compagnie Quartier Rose
Fernando Patriarca
Directeur artistique
Né en 1963 à Castelforte (Italie)
La compagnie
Arrive à Colmar en 1966 dans un immeuble tout neuf
des quartiers ouest.
Fondée à l’automne 1998 à Colmar, elle réunit des
comédiens autour du projet d’écriture « Le
Soldat et la Gamine » par Fernando
Patriarca.
Découvre le théâtre au collège Molière, en jouant dans
« Un chapeau de paille d’Italie » de Labiche, en
classe de 6ème.
Depuis sa création, la compagnie présente ses
spectacles au Centre Europe, bâti à l’aube
des années 70 au cœur des quartiers Ouest
de Colmar.
En 1981, année préparatoire au bac D, il joue Garcin
dans « Huis Clos », avec un club théâtre dont il
est l’un des initiateurs.
Études littéraires à Strasbourg. Rencontre avec Michel
Didym, alors élève au TNS, qui met en scène
« Le Bouc » de Fassbinder pour l’ARTUS. Rôle
du Grec.
En 2001, la création de « Exercices de Tolérance »
du poète marocain Abdellatif Laâbi
s’accompagne d’une volonté d’ouvrir le lieu à
diverses manifestations autour de « l’autre »:
lecture de l’auteur, table rondes associatives,
expositions de photos du quartier de Virginie
Probst, présentation de travaux d’ateliers de
pratique théâtrale avec des jeunes, etc.
En 1984, l’abandon de poste du metteur en scène sur
le projet « S.T. » de Lorca lui offre l’occasion de
sa première mise en scène, à l’ARTUS, dans le
cadre d’une semaine nationale du théâtre.
Rejoint le « Théâtre du Petit Soir » pour la
création collective « Le Bal des Gueux » d’après
Ghelderode.
En 2002, sur un coup de cœur de Clarisse Willig,
Fernando Patriarca la rejoint au plateau pour
la première création française de « Une heure
avant la mort de mon frère » de Daniel Keene.
La mise en scène est confiée à Sandra Spiry.
Tournée en Alsace et Festival off Avignon
2004.
En 1988, Licence d’Études Théâtrales à Strasbourg et
création d’Homofocus Théâtre avec Isabelle
Klein: « États de couple » et « Comme une seule
femme », deux mises en scènes présentées à
La Choucrouterie.
En 2004, la compagnie accompagne Nouara
Naghouche dans l’écriture et la réalisation de
« Ça n’arrive qu’aux autres », tout en
préparant sa nouvelle création: « L’épreuve
du feu » de Magnus Dahlström est présentée
en janvier 2005.
En 1992, co-fondateur avec Dominique Guibbert de la
Cie Pandora à Colmar. Comédien, metteur en
scène et formateur aux pratiques théâtrales en
direction de publics divers. Écriture et jeu avec
Yves Reynaud pour la création « Petits crimes
volubiles sous la voie lactée ». Mise en scène de
« Comment presser un citron » de Keven Swift,
une tragédie musicale.
Depuis sa création, la compagnie propose
également des lectures, des performances,
des rencontres artistiques. Nous sommes par
ailleurs engagés dans l’enseignement du
théâtre auprès de publics divers: collèges,
lycées, maison des jeunes, centres culturels,
etc.
En 1998, création de la Cie Quartier Rose à Colmar,
avec laquelle il va développer un projet
personnel, orienté principalement vers l’écriture
contemporaine.
Faire découvrir, pratiquer, réaliser, mais aussi
questionner l’art de l’acteur confronté aux
nouvelles écritures.
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La pièce
Pauline Sales
Le Groenland
Synopsis
Pauline Sales est comédienne et auteure. Sa
première pièce Dépannage est créée au
festival de Blayes dans une mise en scène de
Laurent Laffargue. Invitée au Royal Court l’été
2000, elle écrit une pièce courte, Il aurait suffi
que tu sois mon frère, qui est représentée à
Londres. Après La Bosse et Cake, sa pièce Le
Groenland, commande du Bottom Théâtre, est
créée dans une mise en scène de Marie-Pierre
Bésanger et interprétée par l’auteur.
Depuis octobre 2002, elle est auteure associée
dramaturge à la Comédie de Valence et écrit
L’infusion mise en scène par Richard Brunel et
Désertion mise en scène par Philippe Delaigue,
deux pièces de commande pour les
comédiens de la troupe permanente de la
Comédie de Valence. Ses pièces sont éditées
aux Éditions les Solitaires intempestifs et la
plupart sont traduites en allemand et en
anglais.
Elle intervient dans le studio du département
écriture de l’Ensatt dirigé par Enzo Cormann et
collabore avec Silvia Berutti-Ronelt à la
traduction de pièces de langue allemande vers
le français
Bibliographie
Aux solitaires intempestifs
Dépannage
La Bosse
Cake ! suivi de Il aurait suffi que tu sois mon
frère
Le Groenland
L’infusion
Désertion
La route dans le recueil « quatre comédies
pour une comédie » édité aux éditions
Lansman
Prestige dans le recueil « caravanes » édité
aux éditions espace 34
Fugue d’une femme qui entraîne avec elle
sa fille, vers le Groenland.
Comment vivre ensemble ?
Pourquoi rester ?
Comment durer ?
Désir de fuite du monde tel qu’il est.
Tenter, à l’occasion de cette échappée, un
nouvel accouchement de soi-même
trente ans après sa naissance
organique.
Faut-il renaître pour s’adapter au monde ?
Faut-il naître femme autrement pour vivre
avec un homme ?
Elle va rencontrer des réponses décalées,
en chemin, comme la vie nous en
réserve souvent.
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Le projet
« L’errance, terme à la fois explicite et vague, est d’ordinaire associée au mouvement, et singulièrement à la
marche, à l’idée d’égarement, à la perte de soi-même. Pourtant, le problème principal de l’errance n’est rien
d’autre que celui du lieu acceptable.
L’errant en quête du lieu acceptable se situe dans un espace très particulier, l’espace intermédiaire. A l’espace
intermédiaire correspond en fait un temps intermédiaire, une temporalité que l’on pourrait qualifier de flottante.
Ce temps flottant est le temps du regard sur l’histoire, où l’errant s’interroge sur le passé en même temps qu’il
réfléchit sur son futur proche.
L’errant s’efface, devient silencieux, il se livre à l’expérience du monde, c’est pourquoi il ne peut y avoir
d’errance immobile.
Les lieux semblent se ressembler de plus en plus, tout est partout en même temps, la singularité s’efface au
profit d’une globalisation, non plus celle des lieux, mais celle de tous les lieux.
L’errance est certainement l’histoire d’une totalité recherchée.
Car l’errance n’est ni le voyage ni la promenade, etc.
Mais bien : Qu’est-ce que je fais là ? »
Alexandre Laumonier : Errance ou la pensée du milieu, in Raymond Depardon : Errance, Seuil – 2000.
Tout acte de théâtre doit questionner notre présence au monde.
Tout acte de parole et d’écriture interroge notre capacité à nommer le trouble de notre existence.
Le texte de Pauline Sales met en jeu un personnage qui a un projet, une utopie, pour résister à la catastrophe.
Anti-héroïne, car Elle a décidé de (se) quitter, dans le sens de se retirer, déserter, errer. Figure plus que
personnage, et anonyme, non nommée.
Théâtre de la « parole » avant tout. Alternant adresses à sa fille, puis au public, parole directe puis indirecte,
avec des aller retours, occasions de se re-nommer, se ré-identifier. Figure échappée d’un thriller hitchcockien
pour apparaître au plus près d’une intimité féminine qui se révèle au public, pour finalement se dérober au
regard.
Ce monologue de femme, nous souhaitons le doubler « au plateau », par la présence de la scénographe,
accompagnant l’actrice dans le déroulement de son errance, de son récit, de son dialogue avec sa fille.
Plasticienne aussi, photographe, manipulatrice de lumière. Plateau qui se suffirait à lui-même, modulable dans
ses dimensions, ses ouvertures, ses profondeurs, ses hauteurs, en fonction de l’espace théâtre qui nous
accueillerait.
Présence encore, sonore, urbaine. Parfois proche, parfois lointaine, amie ou dangereuse. Sons de rue, de vents,
de machines, de véhicules.
La mise en voix, portée par l’actrice, s’intéressera aux verbes, aux actes, à ce qui dans la parole fait avancer.
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Extraits
C’est à vous ?
C’est à moi.
C’est à vous ?
C’est à moi.
Prouvez-le.
C’est un cauchemar n’est-ce pas, les flics ne
parlent pas comme ça. C’est mon esprit.
Je pars, je vagabonde.
Ma fille avec un flic qui la montre du doigt
comme on ferait d’une poupée.
On s’est tous tus le flic, moi mon rêve. Elle nous
avait coupé la chique. Avait voulu
remettre dans le bon sens. Avait tenu à
dire qui est le chef ici. Inclinaison respect.
Bientôt elle va crier c’est papa regarde
c’est papa.
Elle est sur mon passeport. Je dis.
Votre passeport ? Il tend la main pour le
récupérer.
Je fouille mon sac. Je tâte des poches
inexistantes sur mon chemisier. Je ne
l’ai pas sur moi. J’ai les mains plaquées
sur les seins. Je finis par faire n’importe
quoi.
Ma fille regarde ailleurs. Elle ne bouge pas.
Ne fait rien pour m’aider.
Il est inquisiteur.
Vous êtes sa mère ?
Oui. En plus il est plus jeune que moi.
On s’est disputées, je dis.
Il me reprend. Vous l’avez disputée.
Non, on : elle, un individu à part entière et moi
de l’autre côté sa mère.
Vous allez me suivre.
Pourquoi ?
Je gagne du temps. Je dois trouver l’axe
d’attaque.
Il insiste, à propos de quoi la dispute ?
C’était une dispute silencieuse.
Je suis incohérente.
Il hoche la tête gravement : je comprends.
Elle dit nettement : bon on rentre à la maison.
Elle le crie.
C’est le pompon sur le bonnet. Entre nous on dit
ça. Dans la famille.
C’était beaucoup plus tard. Quand il arrive c’est
bien après. J’ai sauté un passage. Je n’ai
pas suivi l’ordre. J’ai pensé que vous
aimeriez connaître la fin.
Il arrive. On ne peut pas dire qu’il soit beau. Il a
du charme. On dit ça. Il me tient par les
épaules.
Qu’est-ce que tu as fait ?
Qu’est-ce que j’ai fait ?
Oui, qu’est-ce que tu as fait ?
Je hausse les épaules. Il a l’habitude. Il a son
mini soupir.
On rentre à la maison, je vais m’occuper de toi.
Je pose ma tête contre son épaule.
Elle glisse sa main dans la mienne.
Une famille qui s’éloigne de dos.
Non bien sûr non. C’était pour rire. Vous y avez
cru ?
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L’équipe
Clarisse Willig
Comédienne
Caro Simler
Scénographe, Photographe
Née le 24 septembre 1963
Après un parcours de formation croisant théâtre,
clown et danse, plusieurs années de jeu
théâtral et d’ateliers menés en milieux
scolaires et spécialisés
Est actuellement en formation d’art thérapeute à
l’Inecat à Paris (fin du 2ème cycle), tout en
continuant son métier de comédienne
Travaille depuis plusieurs années avec la Cie
Quartier Rose
2001: Exercices de Tolérance
2002: Une heure avant la mort de mon
frère
2005: L’Épreuve du feu
Continue à mener des ateliers théâtre en direction
de la jeunesse
A ce jour, son parcours artistique et sa formation
l’amènent, à travers une expérience
corporelle et de mouvement, à s’interroger
de manière plus intense à la question de la
présence du comédien et la résonance du
texte.
Ses goûts vont vers des textes contemporains et
sa recherche personnelle est celle de la
portée poétique d’un acte théâtral.
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L’équipe
Vincent Geiler
Chorégraphe
Olivier Fuchs
Compositeur
Né le 14 juin 1967 à Molsheim
1988-92. Drames de la vie courante, de P.Cami, mise en scène J.L.Falbriard, 1er
Prix du public au festival de théâtre universitaire des Amandiers, Nanterre.
Études au Conservatoire National de Région de Strasbourg, département
Jazz/Musiques improvisées. Direction: Bernard Stuber.
1993-98. Classe de composition d’Ivan Fedele. Atelier des 15 avec Georges
Aperghis en collaboration avec le TNS. Diplôme de fin de 4ème cycle (D.E.M.)
au CNR de Strasbourg. Académie d’été IRCAM 97: I. Fedele, Magnus
Lindberg. Centre Acanthes: M.A.Dalbavie, Marco Stroppa, Qi Gang Chen.
Évènements regrettables d’Yves Reynaud, Cie Le Kafteur.
1999-2001. Musique de L’Amour Amore d’après Boris Vian, Théâtre Lumière.
Musique de la pièce chorégraphique USINES, Le Carreau, scène nationale,
Forbach. Musique de Solness le constructeur d’Henrik Ibsen, mise en scène
Olivier Chapelet, scénographie de Pierre Diependaele. Conception sonore
des installations de Marion Galut. Sélest’ART, CEAC. Tombé au monde,
chorégraphie de Kristine Groutsch, Pôle Sud. OPUSCULES, Danse,
Musique, Théâtre musical, Cie Pookline.
2002-2003. Musique d’Inaccessibles Amours de Paul Edmond, Cie OC & CO.
Mise en scène de La Tragédique Histoire du Roméo et de sa Juliette.
Festival d’Avignon avec Les Dermites Estivales, Inédit Théâtre.
2004. Musique et chants des Troyennes de Sénèque, mise en scène Olivier
Chapelet. Tournée Conte de Fées à l’Usage des Moyennes Personnes de
Boris Vian, Théâtre Lumière. Musique improvisée sur 1 femme/ 1 homme,
Inédit Théâtre.
2005. Artiste associé aux TAPS, pour la saison 05-06, chargé de mettre en son les
cycles de lecture Actuelles I et II, ainsi que le spectacle de clôture de la
saison. Composition des musiques de deux films documentaires: Sur les
Pas de J.B.Charcot en Antarctique, et Itinéraire Nanuk. Création sonore de
Paroles d’Éléphant, trois installations plastiques accueillant des contes, Cie
Plume d’Éléphant.
2006. Création sonore de Je t’aime alors je te mange, Gavroche Théâtre. Musique
d’Animomalies, création Plume d’Éléphant.
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L’équipe
Jean Duntz
Costumier
Pierre Chinellato
Régisseur lumière
En 1985, suite à un travail de commande pour le
carnaval de Venise, expose à la Galerie
Xhosa de Zurich, des costumes noirs, argent
et or d’inspiration théâtrale.
Né le 23 mars 1954 à Hayange.
En 1986, après cette exposition, commence une
collaboration avec un décorateur de
Schaffhouse, Alex Muller, permettant de
travailler à Lausanne, Zurich, Chur…
Activités depuis 1998
Régies générales:
Festival Mômes en Scène, à Pfastatt.
Double Café, mise en scène de Pierre
Diependale.
Solness le constructeur, Compagnie OC/CO,
direction Olivier Chapelet.
Régies lumières:
Cie Mimosa, Anne Torès.
Festival Jazz à Mulhouse, direction artistique
Paul Kanitzer.
Tréteaux de Haute Alsace, direction André
Leroy.
Théâtre des Vilains, direction Marly Barnabé.
Cie Bruits d’Elles, direction Brigitte Dupont.
Cie Mana, direction Alain Imbert.
Cie Quartier Rose, direction Fernando
Patriarca.
Travaille régulièrement pour les théâtres:
La Filature à Mulhouse, L’Atelier du Rhin à
Colmar, Les Régionales – Agence culturelle à
Sélestat, Le Noumatrouff à Mulhouse.
L’Espace Grün à Cernay, en tant
qu’électricien.
En parallèle se développe une collaboration de
création de modèles avec Chantal Pache,
qui seront dans plusieurs boutiques de
création en France.
En Alsace, collaboration avec Pierre Barrat à
l’Atelier lyrique du Rhin, J.M. Villégier au
T.N.S. à Strasbourg, le Conseil Général de
la Moselle, Pandora la Cie, Flash
Marionnettes à Strasbourg…
Commence en 1991 une collaboration avec le
lycée Blaise Pascal à Colmar. Suivi de
réalisation de costumes pour spectacles,
dans des classes de Bac pro.
Depuis trois ans, collabore avec « Trait d’union
solidarité Alsace, dans le cadre du travail
des femmes en Algérie, dans le désert à
Timimoun. Ce projet consiste à redonner vie
aux techniques de tissages et teintures
végétales avec un souffle d’actualité.
Actuellement, projet d’exposition de costumes au
Théâtre Municipal de Colmar, différents
projets théâtraux, et de muséographie.
Débuts à la Maison de la Culture de Mulhouse en
1983.
Activité annexe: photographe.
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L’équipe
Fernando Patriarca
Metteur en scène
Pour la Compagnie Quartier Rose
L’épreuve du feu de Magnus Dahlström – 2005.Création: Colmar.
Ça n’arrive qu’aux autres de Nouara Naghouche , en collaboration avec Clarisse Goffredi. Accompagnement
de jeune talent émergent – 2004. Création : Colmar. Tournée : Région Alsace
Pièces courtes de Daniel Keene – 2002. Petites formes : Atelier du Rhin, Colmar et petites communes
département du Haut-Rhin.
Exercices de tolérance de Abdellatif Laâbi – 2001. Création : Colmar, en présence de l’auteur. Lecture de
l’auteur et interventions diverses au quartier Europe. Tournée : Région Alsace et en lycées professionnels.
Le soldat et la gamine, écriture et mise en scène – 1999. Création : Colmar
Lecture avec l’auteur. Tournée : département Haut-Rhin
Pour l’association Art Positif, Colmar
Cérémonie burlesque, intervention pour la journée mondiale de prévention sida, Colmar – 2002.
Les anges de Massilia de Gilles Granouillet – 2000. Création : Colmar, avec un groupe d’amateurs de
l’association. Tournée : département du Haut-Rhin, dans diverses petites communes. Accompagnement
d’action de prévention sida.
Pour la Compagnie Pandora
Les yeux verts de Marguerite Duras – 1997. Région Alsace. Accompagnement par des interventions diverses,
à la découverte de l’univers de Marguerite Duras. Programmation de films, lectures, action scolaire...
Comment presser un citron de Keven Swift, une tragédie musicale – 1996. Création : Théâtre Municipal de
Colmar.
Pour le Théâtre de la Choucrouterie, Strasbourg
Comme une seule femme, solo théâtral par Isabelle Klein – 1989
États de couple de M. Phéline et O. Clair – 1989
Pour le Théâtre Universitaire de Strasbourg
Est-ce que vraiment tu m’aimes ? de Ronald Laing – 1988
S.T. de Federico Garcia Lorca – 1984. Présentée dans le cadre de la semaine nationale du théâtre, avec une
création musicale originale de Tommasso Mazza.
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Contacts
Compagnie Quartier Rose
1, rue de l’Ancienne Mairie
68000 Colmar
Téléphone: 03 88 82 29 79
Mail: [email protected]
Direction artistique
Fernando Patriarca
Mail: [email protected]
Attachée de presse, relations publiques
Élodie Marquez
Mail: [email protected]
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