J`AI COURU COMME DANS UN RÊVE - ACME

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J`AI COURU COMME DANS UN RÊVE - ACME
 J’AI COURU COMME DANS UN RÊVE Création collective Les Sans Cou Mise en scène Igor Mendjisky du 24 janvier au 4 février au Monfort Théâtre © Anne Nordmann Production Les Sans Cou Lauréat du prix Théâtre ADAMI 2012 Contact diffusion : [email protected] / 0620724194 [email protected] / 0663612435 [email protected] / 0624308191 Contact artistique : [email protected] J'AI COURU COMME DANS UN RÊVE Générique Mise en scène -­‐ Igor Mendjisky Avec -­‐ Eléonore Joncquez, Esther van den Driessche, Clément Aubert, Romain Cottard ou Igor Mendjisky, Paul Jeanson, Arnaud Pfeiffer, Frédéric van den Driessche Scénographie -­‐ Claire Massard Costumes -­‐ May Katrem Lumières -­‐ Thibault Joulié Chorégraphie -­‐ Esther van den Driessche Le texte est publié aux éditions Archimbaud éditeur et Riveneuve éditions Production Compagnie Les Sans Cou avec le soutien d’ACME, l’aide du Théâtre de l’Atalante, du JTN, de la Mairie de Paris, de l’ADAMI et du Studio-­‐Théâtre d’Asnières. Repris en avril 2013 en production déléguée au TGP-­‐CDN de Saint-­‐Denis. La compagnie les Sans Cou bénéficie en 2013 de l’aide à la reprise d’ARCADI. Le texte est publié aux éditions Archimbaud Éditeur et Riveneuve Éditions avec une préface de Wajdi Mouawad. Synopsis Martin apprend qu’il est atteint d’une tumeur au cerveau, qu’il va être papa, et qu’il ne lui reste que quelques jours à vivre. Brutalement, pour lui, pour sa famille, la vie devient une urgence. Les Sans Cou appartiennent à une génération gavée de stimuli médiatiques. À force de zapper, d’être informés de tout et de rien, ils ont souhaité, avec la création de J’ai couru comme dans un rêve, revenir à l’essentiel. Qu’est-­‐ce qui est important dans la vie ? Qu’est-­‐ce qui doit être accompli avant de partir ? La question est universelle, elle résonne fortement en chacun de nous : nous embarquons avec Martin et les siens. Entre rires francs et larmes retenues, le spectateur jubile aussi de l’inventivité et de l’énergie des Sans Cou, de l’incursion du fantastique (Martin rencontre l’auteur de sa vie), des chansons, de la « Demain, demain, demain, se glisse ainsi à petits pas d’un danse, des formes théâtrales qui se jour à l’autre, jusqu’à la dernière syllabe du temps inscrit ; percutent avec bonheur. et tous nos hier n’ont travaillé, les imbéciles, qu’à nous abréger le chemin de la mort poudreuse. Éteins-­‐toi, éteins-­‐
toi, court flambeau : la vie n’est qu’une ombre qui marche ; elle ressemble à un comédien qui se pavane et s’agite pendant une heure sur scène et alors on ne l’entend plus ; c’est un conte raconté par un idiot, plein de son et de furie, et qui ne signifie rien. » Macbeth de Shakespeare, Acte V Scène 5 NOTE D’INTENTION Nous avons décidé, pour notre 8e création, de remettre complètement à plat notre travail et de n’arriver avec qu’une seule question en tête : pourquoi faisons-­‐nous du théâtre ? Mais plus précisément pourquoi notre génération au XXIème siècle continue t-­‐elle à faire du théâtre ? Quel est le théâtre de notre temps ? Quel est notre théâtre ? Au théâtre, le diable c’est l’ennui. Pourquoi nous ennuyons nous au théâtre parce que nous voyons quelque chose de mort. Le processus de répétition du même spectacle tous les soirs y est pour beaucoup. Nous avons recherché un théâtre en mouvement, comme la vie. Le théâtre est un art qui peut sembler écrasé par les médias hyper puissants que sont la télé, internet et le cinéma, et pourtant il continue à vivre partout dans le monde. Et il continuera à vivre aussi longtemps que nous existerons. Pourquoi l’homme a-­‐t-­‐il besoin du théâtre ? Qu’y cherche-­‐t-­‐il ? Le théâtre semble l’un des derniers endroits où tout peut arriver. Le seul endroit où l’inattendu est présent. Nous voulons un théâtre en mouvement, un théâtre de l’inattendu, un théâtre en rupture, incontrôlable, un théâtre vivant ! Le processus Et puisque nous ne voulons pas d’un théâtre confortable, nous relions cette pensée à notre démarche de travail en nous imposant de découvrir au fur et à mesure des répétitions puis des représentations, quel sera le spectacle que nous proposerons. Le travail restera ouvert et en mouvement jusqu’à la dernière représentation. C’est un processus que nous avons déjà expérimenté sur nos précédents spectacles mais que nous voulons pousser jusqu’au bout. Nous avons travaillé à la construction du projet en partant de ces séances de discussions autour de nos préoccupations d’aujourd’hui, de nos histoires personnelles puis nous avons tenté de transformer cette matière en matière théâtrale autour d’improvisations faites au plateau. A la suite des premières réunions est apparue notre envie de parler du monde et de ses maladies. Nous nous sommes aperçus que nous ne voulions pas simplement pointer du doigt la maladie de notre époque mais en faire surgir la beauté cachée. Nous pensons que l’art et, en particulier un spectacle de théâtre, ne doit pas être un temps où l’on propose au spectateur de s’évader mais un sas qui lui permettra de mieux revenir au monde, avec un regard différent, transformé. Il n’y a pas de texte de base. Nous avons écrit certaines scènes et fait un travail d’improvisation permanente avec des points de repère pour maintenir la parole vivante, mélanger les genres. Nous avons travaillé aussi sur le corps, la danse, le jeu masqué, en confrontant encore les uns avec les autres. En ce qui concerne la scénographie et l’esthétique du spectacle, celles ci ont découlés du travail au plateau afin de ne rien plaquer et de construire une esthétique juste. Nous avons avec May Katrem (costumes) et Claire Massard (scénographie) essentialisé au maximum les éléments de costumes et de décors. Ils sont apparut au fur et à mesure des besoins de l’histoire et de la mise en scène. Nous avons fait des expériences de scénographie, en intégrant les corps et la danse comme éléments de scénographie. L’idée étant de voir comment avec une malle à costumes, quelques chaises et une table, nous retrouvons la joie de faire, en groupe, du spectacle pour un public, la joie de l’expérience collective. Un spectateur actif Nous avons voulu intégrer le public et le sortir de son statut de spectateur passif en proposant un théâtre en mouvement, où chaque représentation est unique, où le spectateur est en permanence pris en compte. Pour mieux lui raconter notre histoire, nous voulons le surprendre, nous adresser directement à lui, travailler sur le happening pour mieux le remettre dans l’histoire, le maintenir éveillé. Pourquoi le spectateur est-­‐il si fasciné par le funambule sur son fil ? Car ce dernier peut tomber à tout moment sous ses yeux. Nous voulons être ce funambule, quitte à prendre le risque de nous écraser au sol. © Anne Nordmann EQUIPE ARTISTIQUE IGOR MENDJISKY (membre fondateur de la compagnie) Formé au Conservatoire National d’art dramatique dans les classes de Dominique Valadié, Andrej Severin, Muriel Mayette et Daniel Mesguich et chez Jean-­‐Louis Martin-­‐Barbaz et Hervé Van der Meulen au Studio-­‐théâtre d’Asnières. En 2004, il est l’un des membres fondateurs de la compagnie Les Sans Cou pour qui il met en scène : Masques et Nez, création collective masquée improvisée dans laquelle il joue également, au Ciné 13 Théâtre en 2010 et 2011, puis de 2012 à 2014 au Studio des Champs Elysées, au Centre Dramatique National des treize vents, au Théâtre des Béliers à Avignon, au Théâtre Michel, au Théâtre des Mathurins et en tournée, Rêves de Wajdi Mouawad au Théâtre Mouffetard en 2009 et au Studio-­‐Théâtre d’Asnières, en 2008, Hamlet de Shakespeare au Ciné 13 Théâtre, au Théâtre Mouffetard, au festival de Sarlat, au festival d’Anjou, au Théâtre Aimé Césaire en Martinique, en tournée, en 2007 Le plus heureux des trois d’Eugene Labiche au Ciné 13 Théâtre et en tournée, en 2006, La lamentable tragédie du cimetière des éléphants et Banquet à Babarville de R.Cottard et P.Jeanson au Ciné 13 Théâtre. Il met également en scène une création collective J’ai couru comme dans un rêve en 2011 au théâtre de l’Atalante, reprise au Théâtre Gérard Philipe Centre Dramatique National de Saint-­‐Denis en avril 2013 et en tournée en 2014 à la Rose des Vents, au Théâtre national de Tremblay, de Calais, de Vesoul, de Charleville–Mézières, à la Piscine à Chatenay-­‐
Malabry, à Beauvais au Théâtre du Beauvaisis, scène nationale de l’Oise… Il travaille au théâtre en tant que comédien dans sa mise en scène de Rêves de Wajdi Mouawad, puis sous la direction de Jean-­‐Yves Ruf dans Mesure pour Mesure de William Shakespeare à la MC93, au Théâtre de Vidy-­‐Lausanne et en tournée, René Loyon dans Soudain l’été dernier de Tenessee Williams au Théâtre de la Tempête et Antigone de Sophocle au Théâtre de l’Atalante et en tournée, Stéphane Douret dans Le Dragon de Schwartz. Au Conservatoire National, il travaille sous la direction de Wajdi Mouawad dans Littoral, de Mario Gonzalez dans Molière en masque, de Gildas Milin dans Ghost, de Tilly dans Spaghettis bolognaises. Il travaille également au centre de Création Makeïeff / Deschamps sous la direction de Louise Deschamps dans Le Privilège des chemins de Pessoa, et à l’Agitakt avec Emmanuel de Sablet dans î de Claudel. Au cinéma et à la télévision, il est dirigé entre autres par Edouard Niermans dans Le 7ème Juré, Félix Olivier dans Vivre libre ou mourir, Gilles Behat dans Requiem pour un assassin, Sébastien Grall dans Clara, une passion française, Emilie Deleuze dans Jardinage Humain... En 2011, il coréalise avec Vincent Giovanni le pilote d’un format court Il fallait vous les présenter. En 2012 il réalise Mon papy, court métrage de 23 minutes qu’il a écrit et dialogué dans lequel il joue, produit par Plein Cadre production, Topshot production et sa compagnie Les Sans Cou. En 2013, J’ai couru comme dans un rêve, pièce qu’il a mise en scène et mise en page, est éditée aux éditions Archimbaud Editeur et Riveneuves éditions, avec une préface de Wajdi Mouawad. A la radio, il enregistre régulièrement des fictions avec Marguerite Gateau et Cedric Aussir ; Kafka sur le rivage, Bouli Miro, Vaterland, Le Château, Agrippine, Maxime dans sa tète, Le chat du rabbin… En 2015, il créé son dernier spectacle avec la compagnie les Sans cou, Idem, au Théâtre du Nord, qui est repris au Théâtre de la Tempête en novembre de la même année. Il donne également la réplique à François Berléand dans la série Dix pour cent, créé par Dominique Besnehard, sur le monde des agents de comédien(ne)s. CLEMENT AUBERT (membre fondateur de la compagnie) Formé chez Jean-­‐Louis Martin-­‐Barbaz au Studio-­‐Théâtre d’Asnières, il travaille au théâtre sous la direction de Frédéric Jessua dans Le Misanthrope, de Jean-­‐Louis Martin-­‐Barbaz dans Occupe-­‐toi d’Amélie de Feydeau au Théâtre Silvia Montfort, Le Songe d’une nuit d’été de William Shakespeare et Du rire aux armes -­‐ cabaret au Studio-­‐Théâtre d’Asnières ; sous la direction de Danielle Colson dans Le Théâtre ambulant Chopalovitch de L. Simovitch au Théâtre Clavel. En 2004, il est l’un des membres fondateurs de la compagnie Les Sans Cou et crée avec la compagnie Banquet à Babarville de R. Cottard et P. Jeanson, au Théâtre de la Main d’or, sous la direction d’Igor Mendjisky. En 2007, au Ciné 13 Théâtre, il joue dans La Lamentable Tragédie du cimetière des éléphants et dans Le Plus Heureux des trois d’Eugène Labiche. Il joue également sous la direction d’Igor Mendjisky au Théâtre Mouffetard dans Hamlet de Shakespeare et Rêves de Wajdi Mouawad, puis au Studio des Champs-­‐Élysées et au Théâtre Michel dans Masques et Nez, et enfin J’ai couru comme dans un rêve au TGP. En 2013, il joue dans Jean-­‐Martin ou La Vie Normale de Benjamin Bellecour et Pierre-­‐Antoine Durand au Ciné 13 Théâtre et travaille actuellement sur la création d’un spectacle Le Petit Monde de Renaud pour Avignon 2014 avec la Troupe du Phénix. Au cinéma, il a tourné sous la direction de Marco Carmel, Jean-­‐Luc Perreard, Jessica Palud et Pierre Salvadori. ROMAIN COTTARD (membre fondateur de la compagnie) Formé chez Jean Louis Martin Barbaz au Studio Théâtre d’Asnières, il travaille au théâtre sous la direction de : Yasmina Reza dans «Comment vous raconter la partie » au Théâtre du Rond Point, Declan Donnellan dans “ Andromaque ” de Racine aux Bouffes du Nord, Denis Podalydès dans “ Cyrano de Bergerac ” d’Edmond Rostand à la Comédie Française, Benno Besson dans “ OEdipe Tyran ” de Sophocle à la Comédie Française, Paul Desveaux dans “ Les Brigands ” de Schiller au théâtre 71 Malakoff, Stéphane Douret dans “ Le mandat ” de Nikolaï Erdman et dans « Le Dragon » de Evgueni Schwartz au Théâtre 13, Jean Louis Martin Barbaz dans “ Le songe d’une nuit d’été ” de William Shakespeare et “ Du rire aux armes – cabaret ” au Studio Théâtre d’Asnières. En 2004, il est l’un des membres fondateurs de la compagnie “ Les Sans Cou ” pour qui il co-­‐écrit avec Paul Jeanson “ Banquet à Babarville ” et “ La lamentable tragédie du cimetière des éléphants ” dans lesquelles il jouera également. Il joue sous la direction d’Igor Mendjisky également dans « Hamlet » de Shakespeare, « Rêves » de Wajdi Mouawad, « Masques et Nez » et dans « J’ai couru comme dans un rêve ». PAUL JEANSON (membre fondateur de la compagnie) Formé chez Jean Louis Martin Barbaz au Studio Théâtre d’Asnières, il travaille au théâtre sous la direction d’Omar Porras dans « Les fourberies de Scapin », « l'éveil du printemps » de Wedekind et « La dame de la mer » d'Ibsen spectacles qu'il tourne en Suisse, France et Japon. Puis joue sous la houlette de Joël Dragutin dans « On ne badine pas avec l’amour » d’Alfred de Musset (théâtre 95), de Denis Podalydès dans “Cyrano de Bergerac” d’Edmond Rostand à la Comédie Française ; sous la direction de Benno Besson dans « Œdipe Tyran » de Sophocle à la Comédie Française ; sous la direction de Stéphane Douret dans “Le mandat” de Nikolaï Erdman au Théâtre 13. En 2004, il est l’un des membres fondateurs de la compagnie “ Les Sans Cou” pour qui il co-­‐écrit avec Romain Cottard “Banquet à Babarville” et « La lamentable tragédie du cimetière des éléphants » il joue dans « Le plus Heureux des trois » d’Eugène Labiche. Il joue sous la direction d’Igor Mendjisky dans « Masques et Nez » (ciné 13, théâtre Michel, studio des Champs Elysée, théâtre des Mathurins ) et dans « J’ai couru comme dans un rêve » ( l'Atalante, TGP).En 2012 il écrit et met en scène « Betty Colls » au Ciné 13 théâtre, puis au Théâtre de Belleville. ARNAUD PFEIFFER (membre fondateur de la compagnie) Formé au Studio d'Asnières, il fonde la Compagnie "Les Sans Cou" avec ses ex-­‐camarades de classe. Leur collectif sous la direction d'Igor Mendjisky donnera lieu à de nombreuses productions: la création de « La lamentable tragédie du Cimetière des Éléphants » (Collectif) et du « Plus heureux des trois » (Labiche) au Ciné 13 Théâtre, « Hamlet » au Théâtre Mouffetard et au Festival d'Anjou dont ils remportent le premier prix en 2009, « Rêves » de Wadji Mouawad toujours au Mouffetard. Leurs deux dernières créations en date ont rencontré un véritable succès et continuent à tourner: « Masques et Nez » (Théâtre Michel à Paris, Théâtre des Béliers au Festival d'Avignon 2011, après la Comédie des Champs-­‐Élysées) ; ainsi que la toute dernière création collective « J'ai couru comme dans un rêve » qui, après avoir été créée à L'Atalante à Paris en 2011, a été reprise au TGP de Saint-­‐Denis lors de la saison 2012-­‐2013, puis largement tourné en province et en Île-­‐de-­‐France. Par ailleurs, il a travaillé entre autres, avec la « Compagnie Act 6 » de Frédéric Jossua sur « Le Misanthrope » et « Jules César » au Théâtre 14, et sous la direction de S. Ali Mehelleb dans « Big Shoot » de Koffi Kwahulé au Théâtre de Vanves. Dernièrement, on a également pu le voir dans « Une semaine pas plus » au Théâtre Michel et dans « Jean-­‐Martin ou la vie normale » au Ciné 13 Théâtre. ESTHER VAN DEN DRIESSCHE Formée chez Jean-­‐Louis Martin-­‐Barbaz au Studio-­‐Théâtre d’Asnières et à l’American Modern Dance de Buffalo NY (USA), Elle obtient en 2009 son E.A.T (examen d’aptitude technique) en danse contemporaine. Elle joue au théâtre sous la direction de Jean-­‐Louis Martin-­‐Barbaz dans “Occupe-­‐toi D’Amélie” de Feydeau au Théâtre Sylvia Montfort et dans le “Cabaret Du Rire aux Armes” au Studio-­‐Théâtre d’Asnières et au Théâtre de l’Ouest Parisien. Elle joue dans la troupe du Théâtre de la Verrière sous la direction de Dominique Sarrazin dans «Planète sans visa», « Où s’en va la nuit ? », « Nerfs », « Mon Copperfield » et « Les grandes Espérances » au Théâtre du Nord et au Théâtre de la Découverte à Lille. Elle joue ,chorégraphie et danse au sein de la compagnie « Les Sans Cou » qui obtient en 2012 le prix compagnie ADAMI, sous la direction d’Igor Mendjisky dans « Rêves » de Wajdi Mouawad au théâtre Mouffetard, dans « Masques et Nez » au Ciné13 Théâtre, au Studio des Champs Elysées, au CDN de Montpellier, au Théâtre Michel, dans « J’ai couru comme dans rêve » au Théâtre de l’Atalante puis au Théâtre Gérard Philipe CDN de Saint-­‐Denis et en tournée. Elle tourne et collabore artistiquement avec Igor Mendjisky sur « Mon Papy » un court-­‐métrage de 22 minutes produit par TopShot film et Plein cadre Production. Elle danse et chorégraphie trois créations « Larmes de fond », « de sable et de cendres », « rue de l’existence » au sein de la compagnie eS-­‐Kiss qui obtient le Prix du Public en 2011 aux 8èmes rencontre de danse contemporaine dans le cadre du concours Rosalia Chladek au Théâtre des 3 Pierrots à Saint-­‐Cloud. Elle met en scène et chorégraphie actuellement « ça » une création collective pour le Festival des Mises en Capsules au Ciné 13 Théâtre, le festival Mise en Demeure au studio théâtre d’Asnières et le festival au féminin. ELEONORE JONCQUEZ En 2004, elle entre au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique où elle travaille avec Dominique Valadié, Andrzej Sewerin, Cécile Garcia Fogel, Nada Strancar, Christophe Rauck, Wajdi Mouawad, Mario Gonzales. Parallèlement, elle joue dans les mises en scène de Côme de Bellescize et Jean-­‐Luc Jeener. En 2008, elle joue à la Comédie-­‐Française dans Yerma de Federico Garcia Lorca, mis en scène par Vicente Pradal puis dans Les Enfants du soleil de Maxime Gorki, mis en scène par Côme de Bellescize au Théâtre de l'Ouest Parisien repris l'année suivante au Théâtre 13. De 2009 à 2012, elle interprète Ysé dans Partage de midi de Paul Claudel, mis en scène par Jean-­‐Christophe Blondel en tournée en Chine, en Normandie et à Paris notamment à l’Odéon dans le cadre du festival Impatience. Entre 2010 et 2012, elle travaille avec David Géry, Valérie Grail et intègre la compagnie Les Sans Cou avec le spectacle Masques et Nez et leur nouvelle création J’ai couru comme dans un rêve mis en scène par Igor Mendjisky. Par ailleurs, l’aventure perdure avec Côme de Bellescize puisqu’elle joue dans Amédée au théâtre de la Tempête. En 2013, elle tient le rôle de Brindosier dans Protée de Claudel mis en scène par Philippe Adrien au théâtre de la Tempête et le rôle de Hilde dans Solness, constructeur de Ibsen, mis en scène par Jean-­‐Christophe Blondel. À la télévision et au cinéma, elle a joué dans la série KD2A et sous la direction de Gérard Jourd'hui, Émilie Deleuze, Arnaud Legoff, Dominique Baumard, Denis Guenoun, Pierre Rambaldi. À la radio, elle travaille avec Cédric Aussir, Christine Bernard Sugy, Myron Meerson et Jean-­‐Matthieu Zahnd. FREDERIC VAN DEN DRIESSCHE Formé au Conservatoire National d’art dramatique de Paris et pensionnaire à la Comédie-­‐Française pendant deux ans, il travaille au théâtre entre autre sous la direction de Jacques Rosner dans Yvonne Princesse de Bourgogne de Gombrowicz à l'Odéon-­‐Théâtre de l'Europe ; de Jean-­‐Paul Lucet dans La Trilogie des Coûfontaine de Claudel au Théâtre des Célestins puis Le Bon Patriote à l'Odéon-­‐Théâtre de l'Europe ; de Klaus Michael Grüber dans La Mort de Danton de Büchner au théâtre des Amandiers ; de Luis Pasqual dans Les Estivants de Gorki à l’Odéon-­‐Théâtre de l’Europe ; d’Adrian Brine dans Un mari idéal d’Oscar Wilde au Théâtre Antoine pour lequel il est nommé pour le Molière du meilleur comédien dans un second rôle ; d'Alain Sachs dans Madame sans gêne au Théâtre Antoine ; de Didier Long dans La Jeune Fille et la Mort d’Ariel Dorfman ; de Marc Fayet dans Le Scoop au Théâtre Tristan Bernard ; il travaille également avec Gérard Desarthe pour Partage de midi au Théâtre Vidy -­‐ Lausanne puis pour des Master Class sur Don Juan, il travaille également avec Pierre Mondy, Dominique Sarazin et récemment (en alternance avec Francis Huster) dans Le Journal d'Anne Frank mis en scène par Steve Suissa au Théâtre Rive Gauche… Au cinéma, il a travaillé entre autres sous la direction d’Éric Rohmer dans Conte d’hiver ; de Claude Berri dans Germinal ; de James Ivory dans Jefferson a Paris ou de Jean-­‐Claude Brisseau dans Les Anges Exterminateurs. À la télévision, il joue durant 8 ans le rôle du prêtre Louis Page pour France 2 et de nombreux téléfilms sous la direction notamment d’Olivier Peret, Dominique Ladoge, Franck Apprederis, Jean-­‐Daniel Verhaege, Christophe Chevalier, Denis Malval, Phillipe Roussel, Patrick Poubel, Jean Louis Lorenzi, Alain Tasma… La compagnie Les Sans Cou Les Sans Cou se rencontrent, lors de leur formation au Studio-­‐Théâtre d'Asnières, dirigé par Jean-­‐Louis Martin-­‐Barbaz et au Conservatoire National. Ils prennent alors très vite conscience qu'ils ont envie de défendre les mêmes choses sur un plateau de théâtre. Hurler leur envie d’être ensemble, de créer un théâtre de notre temps ; pratiquer l'art de la rupture et du décalage, passer de la comédie à la tragédie, mêler le sublime et le grotesque, la sincérité, le fabuleux et la démesure. Retrouver le goût de raconter des histoires, de grandes histoires, chaque soir, comme à une veillée, être le feu autour duquel les spectateurs se réchaufferont l’âme et les mains. La compagnie « Les Sans Cou » existe depuis 2004 et s’est déclarée association loi 1901 en 2006 En 2009, ils reçoivent le grand prix du festival d’Angers pour leur adaptation de « Hamlet ». En 2012, l’ADAMI leur décerne le Prix Théâtre Compagnie (1ère édition) pour l’ensemble de leur travail. En 2013, Igor Mendjisky est invité sous les conseils de Wajdi Mouawad par Hortense Archambault et Vincent Baudriller à Participer aux Voyages de Kadmos dans le cadre du Festival IN d’Avignon. Sur la saison 2014/2015, Igor Mendjisky et la compagnie les Sans Cou ont été associés et accompagnés par le Théâtre du Nord, Centre Dramatique National de Lille, sous la direction de Christophe Rauck. Les créations — Notre crâne comme accessoire création collective Les Sans Cou d’après Théâtre ambulant Chopalovitch de L.Simovitch, mise en scène Igor Mendjisky (2016 Théâtre des Bouffes du Nord –Tournée) – Projet soutenu par la DRAC IDF et ARCADI — Idem création collective Les Sans Cou, mise en scène Igor Mendjisky (2014-­‐2015 Théâtre du Nord, Lille – La Tempête – Tournée) -­‐ Projet soutenu par la DRAC IDF — J’ai couru comme dans un rêve, création collective (2011 à l’Atalante et au studio-­‐théâtre d’Asnières puis en 2013 au TGP-­‐CDN de Saint-­‐Denis)-­‐ Projet soutenu par l’Adami et la Mairie de Paris puis ARCADI. — Rêves de Wajdi Mouawad (2009-­‐2010 Studio-­‐Théâtre d’Asnières et Théâtre Mouffetard) -­‐ Projet soutenu par ARCADI et le JTN — Hamlet de Shakespeare (2009 au Ciné 13 Théâtre et tournée – 40 dates – Reprise au Théâtre Mouffetard en Janvier 2011 et en tournée) – projet soutenu par l’ADAMI et récompensé par le Grand Prix Jeunes Compagnies au Festival d’Anjou 2009 — Masques et Nez -­‐ Création Les Sans Cou, spectacle improvisé dans le cadre du festival Mises en Capsules n°2 Reprise en janvier 2010 au Ciné 13 Théâtre, en novembre 2010 au Studio des Champs-­‐Elysées, en février 2011 au CDN des treize vents à Montpellier, en juillet 2011 au Festival OFF d’Avignon, en octobre 2011 au Théâtre Michel puis en tournée -­‐ projet soutenu par l’ADAMI — Cabaret pour tes parents -­‐ Création Les Sans Cou & invités (tous les 2 mois au Ciné 13 Théâtre depuis 2008) : concept de cabaret alternatif, sorte de laboratoire d’expérimentation théâtrale — Le Plus Heureux des Trois d’Eugène Labiche – projet soutenu par le JTN (2007-­‐2008 Ciné 13 théâtre et tournée – 60 dates) — La Lamentable Tragédie du Cimetière des Eléphants -­‐ Création Les Sans Cou (2006 au Ciné 13 théâtre – 35 dates) — Banquet à Babarville -­‐ Création Les Sans Cou -­‐ (2004-­‐2005 au Théâtre de la Main d’Or – 40 dates) De 2006 à 2008, Les Sans Cou étaient en résidence à la Maison Julien Cain à Louveciennes (78). Ils ont pendant deux saisons animé l’atelier théâtral de la MJC et créé leurs spectacles à Louveciennes. Pour la saison 2011-­‐2012, ils animent un atelier « Masques et Nez » pour des comédiens amateurs à la MPAA Centre national des pratiques amateurs – Espace St Blaise. Pour la saison 2012-­‐2013, en collaboration avec le TGP ils animent toute l’année un atelier théâtre au Lycée de Luzarches et une master classe « Masques et nez » à la Sorbonne Paris3. Pour la saison 2013-­‐2014, ils animent un atelier « L’improvisation comme outil d’écriture » également pour des comédiens amateurs à la MPAA. — J’ai couru comme dans un rêve -­‐ en tournée Date Lieux 04/05/2015 Lannion -­‐ Carré Magique 15/04/2015 Châtenay-­‐Malabry -­‐ Théâtre Firmin Gémier / La Piscine 25 & 26/03/15 Genève -­‐ Forum Meyrin 08/10/2014 10/10/2014 Alençon -­‐ Carré du Perche Bouguenais -­‐ Pianocktail 03/06/2014 Soissons -­‐ Le Mail 07/03/2014 Châtenay-­‐Malabry -­‐ Théâtre Firmin Gémier / La Piscine 20/02/2014 Charleville-­‐Mézières 09/02/2014 Tremblay en France -­‐ Théâtre Louis Aragon 07/02/2014 04/02/2014 30/01/2014 Clamart-­‐ Théâtre Jean Arp Paris -­‐ MPAA Auditorium St Germain Vesoul -­‐ Théâtre Edwige Feuillère 18/01/2014 Calais -­‐ Le Channel 16/01/2014 Le Vésinet Du 10/12/13 au 13/12/13 Villeneuve d'Ascq -­‐ La Rose des Vents Du 04/04/13 au 27/04/13 St Denis -­‐ TGP Du 22/10/12 au 23/10/12 Beauvais -­‐ Théâtre du Beauvaisis Tournée2017/2018 en construction … Informations pratiques AU MONFORT THEÂTRE codirection Laurence de Magalhaes & Stéphane Ricordel du mardi 24 janvier au samedi 4 février 2017 du mardi au samedi à 20h30 dans la grande salle durée 2h15 avec entracte Contact diffusion : [email protected] / 06 20 72 41 94 [email protected] / 06 63 61 24 35 [email protected] / 06 24 30 81 91 Contact artistique : [email protected] Réservation au 01 56 08 33 88 du mardi au samedi de 14h à 18h30 Au dernier moment, 1h avant le début d’un spectacle (dans la limite des places disponibles) Adresse et accès Parc Georges Brassens 106 rue Brancion 75015 Paris M° Porte de Vanves (ligne 13) / Bus 58 / 62 / 89 / 95 | 191 / Tramway T3 station Brancion