Titre : Mission pour un projet de territoire du bassin du Tescou (Midi
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Titre : Mission pour un projet de territoire du bassin du Tescou (Midi
Titre : Mission pour un projet de territoire du bassin du Tescou (Midi-Pyrénées). Gestion des ressources en eau. Auteur(s) : FORRAY (Nicolas) ; ROCHE (Pierre-Alain) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, janvier 2015.- 137 p. Résumé : Un premier rapport relatif au projet de barrage de Sivens avait examiné la qualité de son étude d'impact et la pertinence de son plan de financement, et se concluait sur 5 scénarios possibles pouvant permettre la poursuite de cette opération et diverses recommandations de mise en oeuvre. Cette mission complémentaire essaie de dégager une réponse conciliant la sécurisation des besoins en eau des agriculteurs et les enjeux environnementaux, dans le cadre d'un projet de territoire. Le rapport propose un projet de territoire reposant sur trois axes: les cultures en sec, qui concernent 85% des surfaces agricoles, le renforcement des circuits courts, la maîtrise de l'eau. Il explore de manière approfondie l'hydrologie du Tescou, marquée par une baisse de moitié des écoulements annuels en 40 ans. Il examine ensuite les conditions techniques de prélèvements compatibles avec un objectif de bon état des masses d'eau, et identifie les conditions d'un moindre impact. Une approche économique globale de l'impact de ce projet pour l'agriculture est esquissée. Après avoir inventorié, avec un comité de pilotage réunissant les parties prenantes diverses solutions techniques, celles-ci sont étudiées, améliorées et comparées. Le rapport établit que le volume de stockage du projet initial (1,5 Mm3) serait excessif au regard des besoins du projet de territoire et des ressources en eau disponibles à l'amont de ce bassin. Il établit à 750 000 m3 les besoins de stockage, volume estimé à ce stade à 10% près. La mission propose deux solutions techniques répondant à cet objectif: un réservoir dans l'emprise initiale, plus modeste, 300 m à l'amont, avec un bras de contournement permettant d'assurer la continuité du cours d'eau; un ensemble de trois retenues latérales ou collinaires, une à Sivens, une sur le ruisseau de Bayssière et une dans la vallée, sur des sites identifiés entre Salvagnac et Beauvais/Tescou. Thèmes(s) : AMENAGEMENT DU TERRITOIRE ; ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 1 sur 115 NUISANCES Domaine(s) : ZONE RURALE ; HYDROLOGIE Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; HYDROLOGIE ; BASSIN VERSANT ; REGION AGRICOLE ; IMPACT ; SCENARIO ; ; STOCKAGE D'EAU Descripteur(s) géographique(s) : France ; Tarn ; TESCOU-RIV Numéro : 009953-02 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 2 sur 115 Titre : Expertise du projet de barrage de Sivens (Tarn). Auteur(s) : FORRAY (Nicolas) ; RATHOUIS (Pierre) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, octobre 2014.- 57 p. Résumé : Le rapport relatif au projet de barrage de Sivens examine la qualité de son étude d'impact et la pertinence de son plan de financement. Il se conclue sur 5 scénarios possibles pouvant permettre la poursuite de cette opération et diverses recommandations de mise en oeuvre. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : OUVRAGE D'ART ; ZONE RURALE Mot(s)-clé(s) : EXPERTISE ; PROJET D'OUVRAGE ; BARRAGE ; REGION AGRICOLE ; IMPACT ; MILIEU NATUREL ; IRRIGATION ; GESTION DE L'EAU ; ETUDE D'IMPACT ; ZONE HUMIDE ; PLAN DE FINANCEMENT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Tarn ; Lisle-sur-Tarn ; TESCOU-RIV ; BARRAGE DE SIVENS Numéro : 009953-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 3 sur 115 Titre : Préfiguration de la mise en oeuvre des Certificats d'Économie de Produits Phytosanitaires (CEPP). Mission d'appui. Auteur(s) : WINTER (Laurent) ; LAVARDE (Patrick) ; DUTARTRE (Sylvie) ; MALPEL (Georges-Pierre) ; PELOSSE (Hélène) ; ENGLEBERT (Philippe) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; CONSEIL GENERAL DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DES ESPACES RURAUX (CGAAER) ; INSPECTION GENERALE DES FINANCES (IGF) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, juillet 2014.- 416 p. Résumé : La mission considère que les conditions semblent réunies pour mettre en oeuvre les CEPP. Elle propose les paramètres du dispositif qui devraient figurer dans l'ordonnance prévue à l'article 24 du projet de loi d'avenir agricole et forestière (LAAF). La période d'expérimentation porterait sur cinq ans, durant laquelle tous les distributeurs de produits phytosanitaires seraient obligés à inciter les agriculteurs à mettre en oeuvre des actions permettant de générer des économies d'utilisation de pesticides. La mission suggère des actions standardisées permettant des économies d'utilisation des produits phytosanitaires qui devront être évaluées par un comité d'experts. Afin d'inciter à la réduction des pesticides dans les zones de captages, une bonification devrait être accordée pour les actions qui y sont réalisées. La mise en oeuvre d'une partie des actions nécessitera un accompagnement financier soutenant en priorité les actions présentant le meilleur rapport coût-efficacité. Enfin, la mission relève l'importance des conditions de réussite des CEPP: nécessité de la mise en cohérence et du partage des bases de données, renforcement des contrôles face aux divers types de fraudes et mise en place de contrôle et d'évaluation du dispositif des CEPP lui-même. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES Domaine(s) : ECOLOGIE ; POLLUTION Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 4 sur 115 Mot(s)-clé(s) : MISE EN OEUVRE ; AGRICULTURE ; PRODUIT PHYTOSANITAIRE ; CERTIFICAT ; CERTIFICAT D'ECONOMIE DE PRODUITS PHYTOSANITAIRES (CEPP) Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 009393-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 5 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur le canal de Bourgogne (10 - 21 - 89). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 11 juin 2014.- 25 p. Résumé : Quatre avis du 11 juin 2014 portent sur les plans de gestion pluriannuels des opérations de dragage d'entretien (PGPOD) établis à l'échelle d'une « unité hydrographique cohérente » (UHC), délimitée par le maître d'ouvrage, Voies navigables de France (VNF), pour une durée minimale de cinq ans (Article L.215-15 du code de l'environnement (CE)). Ils donnent lieu à une autorisation au titre de la loi sur l'eau, unique pour l'ensemble des opérations prévues, d'une durée maximale de dix ans. L'objet d'un PGPOD est principalement de permettre le maintien d'un gabarit pour la navigation sur le réseau de canaux et de rivières canalisées de VNF, en draguant les sédiments qui s'y déposent.Les quatre canaux et rivières canalisées objets des PGPOD connaissent un trafic essentiellement touristique. le canal de Bourgogne traverse les départements de l'Yonne, de l'Aube et de la Côte-d'Or sur une longueur de 242 km et comporte 113 écluses (1000 passages de bateaux par an).L'Ae relève la forte disparité (excepté pour le canal du Centre) entre les volumes des dragages réalisés jusqu'en 2013 et les dragages programmés à l'horizon 2025 par les PGPOD. Ces volumes pourraient laisser supposer une volonté de modification de gabarit, indépendante d'un raisonnement portant sur l'entretien « au strict nécessaire » du canal ou de la rivière (jusqu'à 10 fois plus les premières années pour les canaux de Bourgogne et du Nivernais, et même 15 fois plus pour les chenaux de la Seille, à partir de volumes initiaux néanmoins beaucoup plus faibles).Les PGPOD et leurs études d'impact ont été élaborés par le maître d'ouvrage à partir des éléments historiques, actuels et prévisionnels en sa possession, qui s'avèrent, selon l'Ae, être à un niveau de détail insuffisant au stade de la demande d'autorisation loi sur l'eau. Ils sont cependant assortis, d'une part, d'un dispositif d'analyse environnementale et de validation par les services de l'Etat de chacune des opérations préalablement aux travaux, et, d'autre part, d'un engagement à mettre en place un dispositif de récolte et d'analyse de données qui permettra de disposer des éléments nécessaires pour répondre à moyen et long terme à ces prescriptions.L'Ae recommande en tout premier lieu au maître d'ouvrage de justifier, voire de réexaminer les volumes de sédiments à draguer envisagés en distinguant clairement les opérations d'entretien de celles de restauration éventuelle d'un gabarit et de s'engager, au plus tard à l'issue du premier triennal, sur une programmation Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 6 sur 115 pluriannuelle des PGPOD pour une durée adéquate et des opérations précises. Elle recommande notamment que soient présentées les méthodes d'intervention retenues, les critères ayant guidé ces choix, la destination des sédiments pour la programmation proposée, et l'analyse des impacts temporaires et permanents et des mesures compensatoires associées.Les autres recommandations de l'Ae portent notamment sur le périmètre des PGPOD et l'inclusion des annexes hydrauliques des canaux et des rivières concernées (la Seille et une portion de l'Yonne) ainsi que sur les études d'incidences Natura 2000, incomplètes. Elles portent également sur la représentativité des prélèvements de sédiments effectués, sur la faune vivant au fond de l'eau à leur contact et sur les conditions de gestion de ces sédiments. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : HYDRAULIQUE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DRAGAGE ; CANAL ; METHODE ; CRITERE DE CHOIX ; IMPACT ; FAUNE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Bourgogne ; Côte-d'Or ; Yonne ; Aube ; CANAL DE BOURGOGNE ; canal de Bourgogne Numéro : 009738-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 7 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur la rivière Seille (71). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 11 juin 2014.- 24 p. Résumé : Quatre avis du 11 juin 2014 portent sur les plans de gestion pluriannuels des opérations de dragage d'entretien (PGPOD) établis à l'échelle d'une « unité hydrographique cohérente » (UHC), délimitée par le maître d'ouvrage, Voies navigables de France (VNF), pour une durée minimale de cinq ans (Article L.215-15 du code de l'environnement (CE)). Ils donnent lieu à une autorisation au titre de la loi sur l'eau, unique pour l'ensemble des opérations prévues, d'une durée maximale de dix ans. L'objet d'un PGPOD est principalement de permettre le maintien d'un gabarit pour la navigation sur le réseau de canaux et de rivières canalisées de VNF, en draguant les sédiments qui s'y déposent.Les quatre canaux et rivières canalisées objets des PGPOD connaissent un trafic essentiellement touristique. La rivière canalisée Seille traverse le département de Saône-et-Loire sur une longueur de 39 km et comporte 4 écluses (1000 passages de bateaux au mois d'août).L'Ae relève la forte disparité (excepté pour le canal du Centre) entre les volumes des dragages réalisés jusqu'en 2013 et les dragages programmés à l'horizon 2025 par les PGPOD. Ces volumes pourraient laisser supposer une volonté de modification de gabarit, indépendante d'un raisonnement portant sur l'entretien « au strict nécessaire » du canal ou de la rivière (jusqu'à 10 fois plus les premières années pour les canaux de Bourgogne et du Nivernais, et même 15 fois plus pour les chenaux de la Seille, à partir de volumes initiaux néanmoins beaucoup plus faibles)Les PGPOD et leurs études d'impact ont été élaborés par le maître d'ouvrage à partir des éléments historiques, actuels et prévisionnels en sa possession, qui s'avèrent, selon l'Ae, être à un niveau de détail insuffisant au stade de la demande d'autorisation loi sur l'eau. Ils sont cependant assortis, d'une part, d'un dispositif d'analyse environnementale et de validation par les services de l'Etat de chacune des opérations préalablement aux travaux, et, d'autre part, d'un engagement à mettre en place un dispositif de récolte et d'analyse de données qui permettra de disposer des éléments nécessaires pour répondre à moyen et long terme à ces prescriptions.L'Ae recommande en tout premier lieu au maître d'ouvrage de justifier, voire de réexaminer les volumes de sédiments à draguer envisagés en distinguant clairement les opérations d'entretien de celles de restauration éventuelle d'un gabarit et de s'engager, au plus tard à l'issue du premier triennal, sur une programmation pluriannuelle des PGPOD pour Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 8 sur 115 une durée adéquate et des opérations précises. Elle recommande notamment que soient présentées les méthodes d'intervention retenues, les critères ayant guidé ces choix, la destination des sédiments pour la programmation proposée, et l'analyse des impacts temporaires et permanents et des mesures compensatoires associées.Les autres recommandations de l'Ae portent notamment sur le périmètre des PGPOD et l'inclusion des annexes hydrauliques des canaux et des rivières concernées (la Seille et une portion de l'Yonne) ainsi que sur les études d'incidences Natura 2000, incomplètes. Elles portent également sur la représentativité des prélèvements de sédiments effectués, sur la faune vivant au fond de l'eau à leur contact et sur les conditions de gestion de ces sédiments. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : HYDRAULIQUE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DRAGAGE ; RIVIERE ; METHODE ; CRITERE DE CHOIX ; IMPACT ; FAUNE ; PLAN DE GESTION ; PGPOD Descripteur(s) géographique(s) : France ; Saône-et-Loire ; SEILLE Numéro : 009737-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 9 sur 115 Titre : Demande de permis de construire pour le projet de création d'un pôle d'échange multimodal sur le site de la gare de Rennes (35). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 11 juin 2014.- 9 p. Résumé : Le projet de permis de construire déposé par SNCF - Gares & Connexions intervient dans la continuité de la procédure de déclaration d'utilité publique (DUP) pour la création d'un pôle d'échange multimodal (PEM) sur le site de la gare de Rennes (35), sur lequel l'Ae a déjà émis un avis.Les recommandations émises lors de son précédent avis ayant été partiellement prises en compte, l'Ae a recommandé d'une part, que l'étude d'impact soit mise à jour pour rendre facilement compréhensible par le public l'ensemble du dossier ainsi complété, et d'autre part que des précisions soient apportées sur certains volets, en particulier sur le dimensionnement du pôle d'échange au regard des flux prévus de voyageurs et d'usagers, ainsi que sur la sécurité des usagers et la coordination des mesures entre les différents maîtres d'ouvrages, pendant les travaux. Thèmes(s) : AMENAGEMENT URBAIN ; INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : DEMANDE ; PERMIS DE CONSTRUIRE ; PROJET D'AMENAGEMENT ; POLE D'ECHANGES ; TRANSPORT PLURIMODAL ; GARE ; DIMENSIONNEMENT ; FLUX DE CIRCULATION ; SECURITE ; USAGER ; POLE D'ECHANGE MULTIMODAL Descripteur(s) géographique(s) : France ; Ille-et-Vilaine ; Rennes Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 10 sur 115 Numéro : 009663-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 11 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur le canal du Nivernais (58 - 89). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 11 juin 2014.- 25 p. Résumé : Quatre avis du 11 juin 2014 portent sur les plans de gestion pluriannuels des opérations de dragage d'entretien (PGPOD) établis à l'échelle d'une « unité hydrographique cohérente » (UHC), délimitée par le maître d'ouvrage, Voies navigables de France (VNF), pour une durée minimale de cinq ans (Article L.215-15 du code de l'environnement (CE)). Ils donnent lieu à une autorisation au titre de la loi sur l'eau, unique pour l'ensemble des opérations prévues, d'une durée maximale de dix ans. L'objet d'un PGPOD est principalement de permettre le maintien d'un gabarit pour la navigation sur le réseau de canaux et de rivières canalisées de VNF, en draguant les sédiments qui s'y déposent.Les quatre canaux et rivières canalisées objets des PGPOD connaissent un trafic essentiellement touristique. le canal du Nivernais traverse les départements de l'Yonne et de la Nièvre sur une longueur de 174 km et comporte 113 biefs (1000 à 2000 passages de bateaux par an de juin à septembre).L'Ae relève la forte disparité (excepté pour le canal du Centre) entre les volumes des dragages réalisés jusqu'en 2013 et les dragages programmés à l'horizon 2025 par les PGPOD. Ces volumes pourraient laisser supposer une volonté de modification de gabarit, indépendante d'un raisonnement portant sur l'entretien « au strict nécessaire » du canal ou de la rivière (jusqu'à 10 fois plus les premières années pour les canaux de Bourgogne et du Nivernais, et même 15 fois plus pour les chenaux de la Seille, à partir de volumes initiaux néanmoins beaucoup plus faibles)Les PGPOD et leurs études d'impact ont été élaborés par le maître d'ouvrage à partir des éléments historiques, actuels et prévisionnels en sa possession, qui s'avèrent, selon l'Ae, être à un niveau de détail insuffisant au stade de la demande d'autorisation loi sur l'eau. Ils sont cependant assortis, d'une part, d'un dispositif d'analyse environnementale et de validation par les services de l'Etat de chacune des opérations préalablement aux travaux, et, d'autre part, d'un engagement à mettre en place un dispositif de récolte et d'analyse de données qui permettra de disposer des éléments nécessaires pour répondre à moyen et long terme à ces prescriptions.L'Ae recommande en tout premier lieu au maître d'ouvrage de justifier, voire de réexaminer les volumes de sédiments à draguer envisagés en distinguant clairement les opérations d'entretien de celles de restauration éventuelle d'un gabarit et de s'engager, au plus tard à l'issue du premier triennal, sur une programmation Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 12 sur 115 pluriannuelle des PGPOD pour une durée adéquate et des opérations précises. Elle recommande notamment que soient présentées les méthodes d'intervention retenues, les critères ayant guidé ces choix, la destination des sédiments pour la programmation proposée, et l'analyse des impacts temporaires et permanents et des mesures compensatoires associées.Les autres recommandations de l'Ae portent notamment sur le périmètre des PGPOD et l'inclusion des annexes hydrauliques des canaux et des rivières concernées (la Seille et une portion de l'Yonne) ainsi que sur les études d'incidences Natura 2000, incomplètes. Elles portent également sur la représentativité des prélèvements de sédiments effectués, sur la faune vivant au fond de l'eau à leur contact et sur les conditions de gestion de ces sédiments. L'Ae a également recommandé pour le canal du Nivernais, la distinction claire des mesures envisagées pour traiter d'une part la section formée par le canal et d'autre part la section aval, formée pour partie de la rivière Yonne aménagée et de canaux latéraux pour la navigation. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : HYDRAULIQUE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DRAGAGE ; CANAL ; METHODE ; CRITERE DE CHOIX ; IMPACT ; PLAN DE GESTION ; PGPOD Descripteur(s) géographique(s) : France ; Yonne ; Nièvre ; CANAL DU NIVERNAIS ; canal du Nivernais Numéro : 009758-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 13 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur le canal du Centre (71). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 11 juin 2014.- 27 p. Résumé : Quatre avis du 11 juin 2014 portent sur les plans de gestion pluriannuels des opérations de dragage d'entretien (PGPOD) établis à l'échelle d'une « unité hydrographique cohérente » (UHC), délimitée par le maître d'ouvrage, Voies navigables de France (VNF), pour une durée minimale de cinq ans (Article L.215-15 du code de l'environnement (CE)). Ils donnent lieu à une autorisation au titre de la loi sur l'eau, unique pour l'ensemble des opérations prévues, d'une durée maximale de dix ans. L'objet d'un PGPOD est principalement de permettre le maintien d'un gabarit pour la navigation sur le réseau de canaux et de rivières canalisées de VNF, en draguant les sédiments qui s'y déposent.Les quatre canaux et rivières canalisées objets des PGPOD connaissent un trafic essentiellement touristique. Le canal du Centre traverse le département de Saône-et-Loire sur une longueur de 112 km et comporte 61 écluses (600 passages au mois d'août).Les PGPOD et leurs études d'impact ont été élaborés par le maître d'ouvrage à partir des éléments historiques, actuels et prévisionnels en sa possession, qui s'avèrent, selon l'Ae, être à un niveau de détail insuffisant au stade de la demande d'autorisation loi sur l'eau. Ils sont cependant assortis, d'une part, d'un dispositif d'analyse environnementale et de validation par les services de l'Etat de chacune des opérations préalablement aux travaux, et, d'autre part, d'un engagement à mettre en place un dispositif de récolte et d'analyse de données qui permettra de disposer des éléments nécessaires pour répondre à moyen et long terme à ces prescriptions.L'Ae recommande en tout premier lieu au maître d'ouvrage de justifier, voire de réexaminer les volumes de sédiments à draguer envisagés en distinguant clairement les opérations d'entretien de celles de restauration éventuelle d'un gabarit et de s'engager, au plus tard à l'issue du premier triennal, sur une programmation pluriannuelle des PGPOD pour une durée adéquate et des opérations précises. Elle recommande notamment que soient présentées les méthodes d'intervention retenues, les critères ayant guidé ces choix, la destination des sédiments pour la programmation proposée, et l'analyse des impacts temporaires et permanents et des mesures compensatoires associées.Les autres recommandations de l'Ae portent notamment sur le périmètre des PGPOD et l'inclusion des annexes hydrauliques des canaux et des rivières concernées (la Seille et une portion de l'Yonne) ainsi que sur les études d'incidences Natura 2000, Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 14 sur 115 incomplètes. Elles portent également sur la représentativité des prélèvements de sédiments effectués, sur la faune vivant au fond de l'eau à leur contact et sur les conditions de gestion de ces sédiments. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : HYDRAULIQUE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DRAGAGE ; CANAL ; METHODE ; CRITERE DE CHOIX ; IMPACT ; FAUNE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Saône-et-Loire ; CANAL DU CENTRE ; Canal du Centre Numéro : 009739-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 15 sur 115 Titre : Projet de création d'un parc photovoltaïque à Pourrières (83). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 11 juin 2014.- 16 p. Résumé : Le projet consiste en la création d'un parc photovoltaïque, présenté par la société NEOEN, de 36 454 modules photovoltaïques et de ses locaux techniques, sur une surface clôturée de 14,9 ha sur la commune de Pourrières (Var), au lieu-dit « La Palière et Le Défens », au sein des sites classés du massif du Concors et de la montagne Sainte-Victoire, l'ensemble bénéficiant d'un label « grand site de France ». Ces installations permettront de générer 9,66 MWc (MWc : mégawatt « crête », correspondant à la puissance maximale du dispositif), soit une production annuelle d'environ 16 000 MWh. L'électricité produite sera distribuée au réseau, via une ligne à moyenne tension reliée à un poste source situé à environ 18 km au Sud-Ouest du site.Avant tout, l'Ae recommande de justifier la localisation du projet au vu des mesures de protection dont le site bénéficie, notamment en matière de paysages et de biodiversité, sur le territoire de chasse de l'Aigle de Bonelli. En outre, l'étude d'impact reste insuffisante en proportion des impacts potentiels du projet, tout particulièrement pour ce qui concerne les espèces protégées.L'Ae a également recommandé de remettre à jour le dossier, pour tenir compte de l'ensemble des procédures nécessaires à l'autorisation du projet, en y incluant la ligne de raccordement au poste source de Rousset, plusieurs éléments de contexte ayant évolué (classement du site « du massif du Concors », plan local d'urbanisme, schéma régional climat air énergie).L'Ae a également recommandé de reprendre le bilan carbone de l'installation et de définir ou compléter les mesures d'évitement et de réduction pour les impacts résiduels les plus forts, tout particulièrement vis-à-vis de certaines espèces protégées et du « grand paysage ». Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : ENERGIE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 16 sur 115 PROJET D'OPERATION ; DEFRICHEMENT ; PARC ; CENTRALE SOLAIRE ; LOCALISATION ; PAYSAGE ; IMPACT ; ESPECE PROTEGEE ; CENTRALE PHOTOVOLTAIQUE ; MESURE D'EVITEMENT ; MESURE DE REDUCTION Descripteur(s) géographique(s) : France ; Var ; Pourrières Numéro : 009720-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 17 sur 115 Titre : Pour une meilleure efficacité et une simplification des dispositions relatives à la protection des captages d'eau potable. Auteur(s) : BENEZIT, Jean-Jacques ; DELCOUR, Denis ; RATHOUIS, Pierre ; RAYMOND, Michel Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; INSPECTION DES AFFAIRES SOCIALES (IGAS) ; CONSEIL GENERAL DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DES ESPACES RURAUX (CGAAER) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, juin 2014.109 p. Résumé : La mission devait faire des propositions visant à simplifier les procédures et à améliorer la lisibilité et l'efficacité des mesures relatives à la protection des captages et à la prévention des pollutions diffuses. Le rapport confirme que les dispositions actuelles ne répondent pas suffisamment aux enjeux de qualité de la ressource en eau des captages, de maîtrise des dépenses et d'information du public. La mission formule 20 recommandations, fondées sur une logique de résultats en matière de qualité de l'eau prélevée et poursuivant quatre objectifs: confier aux communes la compétence relative à la prévention des pollutions diffuses; simplifier le dispositif d'ensemble et unifier les procédures de protection des captages au sein du code de la santé publique; le plan d'actions «pollutions diffuses» devrait être intégré dans la déclaration d'utilité publique du captage; doter les collectivités des outils nécessaires pour assumer leurs responsabilités en matière de qualité des eaux; améliorer la gouvernance du dispositif. La mise en oeuvre de la stratégie nécessite des modifications législatives de plusieurs codes, une priorité budgétaire et la désignation d'un délégué interministériel chargé de l'animation et de la coordination. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : EAU Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 18 sur 115 Mot(s)-clé(s) : EAU POTABLE ; CAPTAGE ; PROTECTION ; AMELIORATION ; QUALITE DE L'EAU ; ASPECT JURIDIQUE ; DIAGNOSTIC ; POLLUTION DE L'EAU ; LUTTE CONTRE LA POLLUTION DE L'EAU ; PROCEDURE ; GOUVERNANCE Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 008725-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 19 sur 115 Titre : Évaluation de la mise en oeuvre du plan gouvernemental 2003-2013 pour le Marais poitevin. Auteur(s) : LAVOUX (Thierry) ; QUEVREMONT (Philippe) ; BENEZIT (Jean-Jacques) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; CONSEIL GENERAL DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DES ESPACES RURAUX (CGAAER) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, juin 2014.127 p. Résumé : Le Marais poitevin est la deuxième zone humide de France par sa superficie et par ses caractéristiques écosystémiques qui en font un territoire privilégié pour l'habitat de nombreuses espèces d'oiseaux. Le plan gouvernemental s'inscrit dans 9 champs d'action dont les résultats sont évalués dans le rapport, qui propose également les orientations stratégiques à poursuivre. Les engagements financiers ont été tenus, et même dépassés, avec 252 millions d'euros. La mise en place des zones Natura 2000 a éloigné le risque d'une nouvelle condamnation de la France par la Cour de justice de l'Union européenne. L'évolution des milieux protégés et de l'avifaune montre cependant une situation peu favorable. L'évaluation du document d'objectif (DOCOB) devrait être une priorité. Ce plan a permis des réussites, en instaurant un dialogue et en réussissant à maintenir un stock de prairies permanentes. Mais en dehors des aides agro-environnementales, les actions en faveur de la biodiversité peinent à se concrétiser. La mission suggère de mettre l'accent sur l'amélioration de la qualité écologique des milieux. Face à cet environnement complexe, l'Etat devra simplifier la gouvernance, maintenir une coordination interne et veiller à mobiliser des crédits spécifiques. Trois scénarios sont présentés : la réaffirmation de l'engagement de I'Etat par la création d'un parc national ; le transfert du parc naturel régional aux collectivités et la suppression de I'établissement public Marais Poitevin (EPMP) ; l'adaptation du rôle de I'EPMP. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES Domaine(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 20 sur 115 ECOLOGIE Mot(s)-clé(s) : EVALUATION ; EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; MISE EN OEUVRE ; MARAIS ; ZONE HUMIDE ; HYDRAULIQUE ; AGRICULTURE ; TOURISME ; INFRASTRUCTURE DE TRANSPORT ; FINANCEMENT ; BILAN ; GOUVERNANCE ; ORIENTATION ; STRATEGIE ; SCENARIO ; ESPECE PROTEGEE ; PLAN GOUVERNEMENTAL ; AVIFAUNE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Pays-de-la-Loire ; Poitou-Charentes ; MARAIS-POITEVIN ; Marais poitevin Numéro : 005928-03 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 21 sur 115 Titre : Centrale mobile d'enrobage à chaud au bitume de matériaux routiers de Bédenac (17). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 28 mai 2014.- 11 p. Résumé : La société Guintoli présente un projet de centrale d'enrobage de bitume à Bédenac, afin d'approvisionner plusieurs chantiers de rétablissement de voiries, le long de la ligne ferroviaire à grande vitesse Sud Europe Atlantique. La station temporaire ne devrait fonctionner que deux fois 25 jours pendant une période de six mois.Les principales recommandations de l'Ae portent sur la justification du choix d'implantation de la centrale et sur la demande de compléments pour préciser les impacts de la centrale d'enrobage sur quelques riverains et clients d'un restaurant pour routiers, d'ores et déjà exposés aux impacts de la RN 10 voisine (bruit et impacts des rejets atmosphériques, notamment), ainsi que sur les pollutions éventuelles, accidentelles ou par les eaux pluviales. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : CHANTIER ; VOIRIE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : EQUIPEMENTS ; CHANTIER ; APPROVISIONNEMENT ; ENROBE ; IMPACT ; RIVERAIN ; POLLUTION ; EAU PLUVIALE ; CENTRALE D'ENROBAGE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Charente-Maritime ; Bedenac Numéro : 009664-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 22 sur 115 Titre : Tronçons Noisy-Champs - Saint-Denis Pleyel et Mairie de Saint-Ouen Saint-Denis Pleyel (Lignes 14/16/17) du réseau de transport public du Grand Paris (93 et 77). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 28 mai 2014.- 34 p. Résumé : La Société du Grand Paris (SGP) présente la réalisation de nouvelles sections de lignes enterrées de métro automatique, dans le cadre de la réalisation du réseau de transport « Grand Paris Express » (GPE), essentiellement en Seine Saint-Denis et, dans une moindre mesure en Seine-et-Marne. Le projet comprend la réalisation d'une nouvelle section de 1,7 km de la ligne 14 du métro entre les stations Mairie de Saint-Ouen et Saint-Denis-Pleyel, la future ligne 16 du GPE entre les gares « Le Bourget RER » et « Noisy-Champs » pour une longueur de 21,3 km et une section commune aux lignes 16 et 17 (ligne rouge) du GPE comprise entre Saint-Denis-Pleyel et Le Bourget-RER sur 6,1 km, pour un montant total de plus de 4 milliards d'euros.Les documents soumis à l'Ae constituent le dossier de l'enquête publique préalable à la déclaration d'utilité publique (DUP) de ces tronçons. Le présent projet est le deuxième projet1 du GPE soumis à l'avis de l'Ae.Les principaux enjeux environnementaux du projet s'apprécient en premier lieu à l'échelle locale et portent sur son insertion dans un environnement très urbanisé (écoulement des nappes, risques d'inondation et impacts sur les milieux aquatiques, caractéristiques géotechniques, traitement de plusieurs millions de m3 de déblais de chantiers, préservation de certains espaces naturels, avec une attention particulière au site Natura 2000 « sites de Seine-Saint-Denis », et maîtrise de certains risques ou nuisances - bruit, vibrations, etc.).Ils s'apprécient également à une échelle plus large, que ce soit au regard des bénéfices pour le développement des territoires traversés ou des risques d'étalement urbain et de ses conséquences, ou de sa contribution aux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).L'Ae note que l'étude d'impact ne se situe pas au niveau de précision des dossiers qu'elle a à examiner et estime qu'une actualisation de l'étude d'impact initiale sera nécessaire lors des procédures ultérieures, comme le prévoit le code de l'environnement.L'Ae estime également que, sur certaines thématiques, et notamment celles qui ne seront pas l'objet d'une demande d'autorisation ultérieure, le degré de précision du dossier doit être amélioré dès l'enquête publique afin de donner à cette enquête tout son sens.L'Ae recommande dès à présent de compléter l'étude d'impact sur des points relatifs aux nuisances générées par les travaux (nuisances sonores, bruit, pollution Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 23 sur 115 de l'eau, évacuation des déblais,etc. sur des aires de chantiers encore non précisées), aux risques géotechniques des zones traversées, et sur les éléments permettant d'appréhender les impacts directs et induits imputables au projet sur l'urbanisation, les déplacements, les consommations énergétiques et les émissions de gaz à effet de serre (les hypothèses et les scénarios retenus n'étant pas suffisamment justifiés et explicités).L'Ae a également recommandé au maître d'ouvrage de mener à bien avec la rigueur nécessaire l'évaluation des incidences Natura 2000 sur le site « Sites de Seine-Saint-Denis » et de s'engager à mettre en place un dispositif permanent de suivi (incluant la concertation et les mesures correctives) et d'en préciser dans le dossier d'enquête publique les modalités de mise en place et de communication des résultats. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES D'IMPACT FERROVIAIRES ; TRANSPORT URBAIN ; ETUDE Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; LIGNE DE METRO ; TRONçON ; RESEAU DE TRANSPORT ; IMPACT ; NUISANCE ; CHANTIER ; URBANISATION ; DEPLACEMENT ; EMISSION ATMOSPHERIQUE ; SUIVI ; METRO AUTOMATIQUE ; RISQUE GEOTECHNIQUE ; GRAND-PARIS Descripteur(s) géographique(s) : France ; Ile-de-France ; Seine-St-Denis ; Seine-et-Marne ; Noisy-le-Grand ; St-Denis-93 ; St-Ouen-93 ; Le-Bourget ; GRAND-PARIS Numéro : 009656-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 24 sur 115 Titre : Demande d'autorisation d'exploiter du dépôt d'hydrocarbures de l'Espiguette, au Grau-du-Roi (30). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 14 mai 2014.- 16 p. Résumé : Exploité par le service national des oléoducs interalliés (SNOI), le dépôt d'hydrocarbures de l'Espiguette, construit après la seconde guerre mondiale, peut accueillir environ 66 000 m3 de kérosène ou de gazole. Il est l'objet d'une demande d'autorisation à poursuivre son exploitation en dérogation à la réglementation imposant la mise en double paroi de ses bacs de stockage.Observant qu'elle avait effectué antérieurement des recommandations semblables au SNOI pour des dossiers de même nature, l'Ae a recommandé au maître d'ouvrage de mieux justifier les raisons, notamment environnementales, de déroger à la mise en double paroi des bacs (garantie de résultats équivalent en matière de protection des intérêts), d'autant plus que la localisation du dépôt à environ 500 m du littoral soulève la question de sa pérennité en prévision de l'évolution du trait de côte et des conséquences à en tirer en termes de prévention des risques.Elle a par ailleurs recommandé que l'étude d'impact tienne mieux compte des nuisances et autres impacts vis-à-vis des nombreux vacanciers fréquentant la plage de l'Espiguette, pour l'instant peu pris en compte dans l'ensemble de l'étude. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : ENERGIE ; IMPACT DES EQUIPEMENTS ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : AUTORISATION ; EXPLOITATION ; STOCKAGE D'ENERGIE ; IMPACT ; LITTORAL ; NUISANCE ; PLAGE ; TRAIT DE COTE ; TOURISTE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Gard ; Le-Grau-du-Roi Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 25 sur 115 Numéro : 009627-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 26 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier agricole et forestier (AFAF) lié à la RN 88 à Cussac-sur-Loire (43). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, mai 2014.10 p. Résumé : Le conseil général de Haute-Loire présente un projet d'aménagement foncier, agricole et forestier sur une superficie d'environ 100 ha, sur la commune de Cussac-sur-Loire dans le cadre du projet de réalisation de la deuxième portion du projet de contournement routier du Puy-en-Velay (actuellement traversée par la RN 88) dont les travaux sont en cours de réalisation. Le projet s'accompagne de travaux affectant essentiellement les parcelles, les haies et les chemins.Observant que le projet proposé semblait peu en rapport avec le projet routier, l'Ae a recommandé que le dossier explicite les motivations ayant conduit au choix du périmètre retenu, ainsi qu'à la réalisation de ce projet sans connaître les caractéristiques précises du projet routier. Les impacts du projet sur l'environnement, principalement en termes de ruissellements, en découlent directement. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; IMPACT ; HAIE ; PARCELLE ; RUISSELLEMENT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haute-Loire ; Cussac-sur-Loire ; RN88 ; RN88 Numéro : 009634-01 Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 27 sur 115 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 28 sur 115 Titre : Projet de canalisation de gaz « Bretagne Sud » entre Plumergat (56) et Pleyben (29). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 14 mai 2014.- 29 p. Résumé : Le projet présenté par GRT gaz consiste en la construction d'une canalisation enterrée de transport de gaz et sur ses installations annexes (postes de coupures, de sectionnement et de raccordement) de 111 km entre Plumergat et Pleyben. Le projet s'inscrit dans le cadre du « pacte électrique breton » relatif à l'approvisionnement en électricité de la Bretagne. Il permettra notamment, par renforcement du réseau existant, l'alimentation en gaz naturel de la future centrale à cycle combiné gaz de Landivisiau.Les principaux enjeux environnementaux du projet concernent la sécurité des personnes et des biens et les milieux naturels traversés, en particulier les zones humides et les cours d'eau.Les principales recommandations de l'Ae portent sur une présentation plus complète du projet dans le contexte du pacte électrique breton, en rappelant les raisons de la localisation de la future centrale combiné gaz et en fournissant une appréciation des impacts environnementaux du projet avec ceux de la centrale, la justification des caractéristiques techniques retenues pour la canalisation, la justification du choix des traversées de cours d'eau en sous-oeuvre ou en souille, notamment dans les zones humides et les sites Natura 2000, et sur l'état initial des sols des zones traversées, en particulier vis-à-vis de leur sensibilité au tassement. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : ENERGIE ; VRD ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; CANALISATION ; DISTRIBUTION DE GAZ ; GAZ ; RESEAU DE DISTRIBUTION DE GAZ ; TRANSPORT DE GAZ ; IMPACT ; SECURITE ; MILIEU NATUREL ; ZONE HUMIDE ; COURS D'EAU ; SOL ; CENTRALE COMBINE GAZ ; TASSEMENT Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 29 sur 115 Descripteur(s) géographique(s) : France ; Bretagne ; Morbihan ; Plumergat ; Finistère ; Pleyben Numéro : 009628-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 30 sur 115 Titre : Aménagement de la desserte de l'Aréna et des parcs de stationnement de Dunkerque (59). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 14 mai 2014.- 15 p. Résumé : L'avis porte sur les aménagements connexes (parking et desserte) lié à la construction d'une salle multi-usage dite «Aréna», sur le site du «Noort Gracht», dans la zone industrielle de Petite Synthe à Dunkerque, sous maîtrise d'ouvrage de la Société Dunkerque Aréna (SDA), sur la base d'un dossier qui lui a été soumis en février 2014. Il s'inscrit dans un programme complet de requalification d'un site industriel de 24 ha désaffecté et partiellement occupé par des entreprises, qui comprend également un projet de centre commercial (avis n° Ae 2013-19 et 2013-20).A ce stade, certains volets du projet en relation avec les enjeux de desserte des différents équipements mériteraient d'être mieux argumentés (modes de transport, covoiturage et, en conséquence, dimensionnement retenu pour les parkings).L'Ae recommande en outre que l'étude d'impact du projet soit complétée par des éléments plus précis sur les deux enjeux essentiels du projet : la destruction de zones humides (par réduction des emprises détruites et mesures de compensation mieux adaptées) et les mesures à anticiper dans le cas d'un éventuel accident industriel au voisinage du site (en particulier, les soirs d'événements). Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES ROUTIERES ; STATIONNEMENT ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; DESSERTE ; PARKING ; IMPACT ; ZONE HUMIDE ; RISQUES INDUSTRIELS Descripteur(s) géographique(s) : France ; Nord ; Dunkerque Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 31 sur 115 Numéro : 009604-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 32 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier, agricole et forestier (AFAF) de Marçay, avec extension sur Marigny-Chémereau et Celle-L'Evescault (86), lié à la LGV Sud Europe Atlantique. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 14 mai 2014.- 16 p. Résumé : Le conseil général de la Vienne présente un projet d'aménagement foncier, agricole et forestier sur environ 445 ha, consécutivement au projet de réalisation de la ligne à grande vitesse (LGV) Sud Europe Atlantique (SEA) qui traversera les communes de Maray, Marigny-Chémereau et Celle-L'Evescault du nord au sud.Les principales recommandations de l'Ae portent sur la justification de certains choix effectués (inclusion d'emprise et périmètre de l'AFAF pour le secteur du Chambon), sur la prise en compte de tous les effets induits par la LGV, en particulier pour ce qui concerne les dépôts des déblais du chantier, sur la protection des haies et boisements et sur la pertinence des mesures proposées en compensation des haies détruites. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; IMPACT ; DEBLAI ; CHANTIER ; HAIE ; LGV Descripteur(s) géographique(s) : France ; Vienne ; Marçay-86 ; Marigny-Chemereau ; Celle-Lévescault Numéro : 009633-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 33 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier agricole et forestier sur les communes de Piffonds et Savigny-sur-Clairis (89) et extension sur Courtenay (45). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 14 mai 2014.- 9 p. Résumé : Le conseil général de l'Yonne présente un projet d'aménagement foncier, agricole et forestier sur une superficie d'environ 304 ha, sur les communes de Piffonds, Savigny-sur-Clairis et de Courtenay consécutivement à la réalisation de l'interconnexion des autoroutes A6 et A19.Le projet est situé dans un secteur majoritairement agricole avec une prépondérance de grandes cultures céréalières et s'accompagne de travaux affectant essentiellement les boisements, les prairies et les chemins.L'Ae recommande principalement de démontrer la compatibilité du projet avec le SDAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux du bassin Seine-Normandie) et de s'assurer du maintien dans la durée des fonctionnalités et des continuités écologiques. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; ACTIVITE AGRICOLE ; IMPACT ; PRAIRIE ; SCHEMA DIRECTEUR D'AMENAGEMENT ET DE GESTION DES EAUX ; INTERCONNEXION ; CONTINUITE ECOLOGIQUE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Yonne ; Piffonds ; Savigny-sur-Clairis ; Courtenay-45 ; Loiret ; A6 ; A19 ; A6 ; A19 Numéro : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 34 sur 115 009619-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 35 sur 115 Titre : Évaluation de l'axe 7 du plan Ecophyto (usages non agricoles). Auteur(s) : BELLEC (Philippe) ; GALIBERT (Thierry) ; CHOMIENNE (Jean-Pierre) ; MALEZIEUX (Sylvie) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; CONSEIL GENERAL DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DES ESPACES RURAUX (CGAAER) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, mai 2014.128 p. Résumé : L'axe 7 du plan Ecophyto, intitulé : «réduire et sécuriser l'usage des produits phytopharmaceutiques en zone non agricole (ZNA)», comporte 14 actions. Le rapport fait le bilan de sa mise en oeuvre et propose des recommandations en vue de la révision à mi-parcours du plan. De très nombreuses actions ont été mises en oeuvre, tant au niveau national qu'à l'échelon régional, mais cet axe «actif» souffre cependant d'une difficulté de lisibilité globale et d'un manque de coordination entre ses différents objectifs. Le rapport souligne la difficulté de prise en compte de la spécificité des espaces non agricoles dans un programme dédié au secteur agricole. La mise en oeuvre de l'axe 7 est segmentée et complexe. Les indicateurs de suivi sont de faible pertinence. Les services de l'État ont des difficultés à présenter un bilan consolidé. Les publics concernés ont des préoccupations diverses. Il existe une différence d'efficacité entre les actions à portée réglementaire et celles relevant de la sensibilisation, de l'incitation et de la recherche-développement. Une refonte de cet axe du plan et un pilotage spécifique distinct de celui visant l'agriculture sont donc recommandés. Le rapport propose notamment de: clarifier les objectifs en s'appuyant sur la notion d'usages; mieux intégrer le niveau régional dans la gouvernance de l'axe; restructurer les accords-cadres et en renforcer le pilotage, le suivi et l'évaluation; utiliser des indicateurs de comportement. Cette refonte s'inscrirait dans les orientations de la loi du 6 février 2014 visant à mieux encadrer l'utilisation des produits phytosanitaires sur le territoire. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES Domaine(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 36 sur 115 ECOLOGIE ; POLLUTION Mot(s)-clé(s) : EVALUATION ; EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; MISE EN OEUVRE ; PLAN NATIONAL ; GOUVERNANCE ; INDICATEUR ; PLAN ECOPHYTO ; ZONE NON AGRICOLE ; ZNA Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 009146-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 37 sur 115 Titre : Évaluation des moyens nécessaires aux parcs nationaux. Rapport complémentaire au rapport n°008706-01 relatif à l'évaluation de la réforme des parcs nationaux issue de la loi du 14 avril 2006. Auteur(s) : HUMBERT (Pascale) ; REBEILLE-BORGELLA (Emmanuel) ; VERLHAC (Eric) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, mai 2014.83 p. Résumé : En complément à la mission sur la réforme des parcs nationaux de mai 2013, ce rapport porte sur les moyens des dix parcs nationaux existants et sur les problématiques relatives au projet de «parc national des forêts de Champagne et Bourgogne». La diminution de la subvention du MEDDE commence à affecter le fonctionnement des parcs. La mission formule plusieurs recommandations : aboutir à un référentiel d'allocation de moyens pour faciliter les arbitrages et l'exécution des futurs exercices de gestion ; tenir compte des spécificités et des enjeux du parc amazonien de Guyane dans la construction des budgets ; augmenter les moyens du parc national des Calanques ; accélérer les mutualisations de certaines activités ; explorer d'autres sources de financement ; améliorer le pilotage stratégique des parcs nationaux par l'administration centrale. Le rapport propose une méthode pragmatique d'adéquation des missions et des moyens humains, basée sur un référentiel «métiers». Le projet parc des forêts de Champagne et Bourgogne devrait bénéficier de moyens dédiés, avec une gestion confiée à une structure assurant les missions de l'ONF et celles d'un parc national. Enfin, le rapport engage à poursuivre l'évaluation des bénéfices et des externalités positives de la politique des parcs nationaux. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES Domaine(s) : ESPACE VERT ; FAUNE-FLORE ; FINANCEMENT ; ORGANISATION Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 38 sur 115 Mot(s)-clé(s) : EVALUATION ; BUDGET ; FINANCEMENT SUR FONDS PUBLIC ; FINANCEMENT ; COUT ; GESTION ; PARC NATUREL NATIONAL ; ETABLISSEMENT PUBLIC ; MOYENS FINANCIERS ; ETP ; MOYENS HUMAINS Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 008706-02 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 39 sur 115 Titre : Projet de « Gare nouvelle de Montpellier » (34). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 16 p. Résumé : Le projet, sous maîtrise d'ouvrage de Réseau Ferré de France (RFF), consiste en la création d'une gare, au sud de Montpellier, sur la voie ferroviaire nouvelle du contournement Nîmes-Montpellier (CNM) en cours de construction sous maîtrise d'ouvrage d'Oc'Via.L'Ae recommande que l'étude d'impact du projet, qui présente des imprécisions et des lacunes importantes, soit reprise préalablement à l'enquête publique.Selon les informations produites de façon cohérente dans tous les dossiers, le projet de gare nouvelle n'est pas dissociable du contournement ferroviaire Nîmes-Montpellier, de plusieurs composantes du projet de ZAC Oz1 dans laquelle elle s'inscrit, et de l'extension du tramway T1 également projetée. L'Ae recommande en conséquence de produire une étude d'impact unique pour évaluer et prendre en compte les impacts de toutes les composantes liées au projet et, plus globalement, pour apprécier, à différentes échéances, les impacts cumulés de tous les projets, de façon prépondérante vis-à-vis de la qualité de l'air et l'ambiance sonore, avec des impacts sur la santé humaine, et du risque inondation. Les continuités écologiques pourraient être également affectées par l'artificialisation d'un espace initialement agricole sous l'effet cumulé de tous les projets. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; GARE ; IMPACT ; BRUIT ; QUALITE DE L'AIR ; SANTE ; RISQUES NATURELS ; INONDATION ; CONTINUITE ECOLOGIQUE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Hérault ; Montpellier Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 40 sur 115 Numéro : 009686-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 41 sur 115 Titre : Aménagement et extension de la ligne de tramway T3 pour faciliter l'exploitation commune de T3/Rhônexpress et permettre la desserte du Grand Stade (69). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 20 p. Résumé : Le projet, sous maîtrise d'ouvrage du SYTRAL, porte sur l'aménagement et l'extension de la ligne de tramway T3 à Lyon, afin de faciliter l'exploitation commune de la ligne T3 et de Rhônexpress (desserte de l'aéroport Lyon-Saint-Exupéry), et de permettre la desserte du Grand Stade (situé sur la commune de Décines), d'une capacité de 60.000 places.Ce dossier réunit deux projets qui ont fait l'objet d'enquêtes publiques simultanées en 2011, de deux déclarations de projet et d'une déclaration d'utilité publique (DUP). La DUP ayant été annulée, le SYTRAL a choisi de recommencer la procédure en joignant les deux projets, dont la réalisation des travaux est très avancée et se poursuit.Les recommandations de l'Ae portent principalement sur le traitement des impacts sonores et vibratoires, notamment les engagements pris et leur suivi entre 23h00 et minuit les soirs des grands évènements, sur le maintien de la qualité des services habituels sur l'ensemble du réseau de tramway, y compris à l'heure de pointe du soir et à l'heure de retour du Grand Stade et sur la coordination des services entre tramway et Rhônexpress.L'Ae recommande également de justifier les modes d'exploitation, les solutions de substitutions envisagées pour faire face à des situations dégradées ainsi que le choix du projet eu égard aux variantes examinées. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; TRANSPORTS ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : TRANSPORT URBAIN ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; LIGNE DE TRANSPORT ; TRAMWAY ; EXTENSION DU RESEAU DE TRANSPORT ; DESSERTE ; IMPACT ; BRUIT ; VIBRATION ; LUTTE ANTI-VIBRATIONS ; LUTTE ANTI-BRUIT ; QUALITE DE SERVICE Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 42 sur 115 Descripteur(s) géographique(s) : France ; Rhône ; Lyon ; Décines-Charpieu Numéro : 009592-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 43 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur le canal de Bourgogne (21 - 89 - 10). Constat de report. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 3 p. Résumé : Par courrier en date du 27 mars 2014, le préfet de la Côte-d'Or a informé le président de l'Ae de la décision du maître d'ouvrage, Voies navigables de France, de compléter de façon significative le dossier, et de sa décision de saisir à nouveau l'Ae. L'Ae a donc constaté qu'il n'y avait pas lieu à délibérer sur le dossier dans sa forme actuelle. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : OUVRAGE D'ART ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PLAN ; GESTION ; DRAGAGE ; CANAL ; REPORT ; ENTRETIEN Descripteur(s) géographique(s) : France ; Bourgogne ; CANAL DE BOURGOGNE ; canal de Bourgogne ; CANAL-DE-BOURGOGNE Numéro : 009528-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 44 sur 115 Titre : Pôle d'échanges multimodal (PEM) de la gare de Morlaix (29). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 15 p. Résumé : Porté par Réseau ferré de France, SNCF Gares et connexions, SNCF Direction de l'immobilier et la communauté d'agglomération Morlaix Communauté, le projet, destiné à favoriser, autour de Morlaix, le report modal vers les transports en commun et les modes doux, dans le contexte de rénovation de l'ensemble du réseau ferré breton et d'une évolution des flux de voyageurs de 600 000 par an à 950 000 à l'horizon 2020, consiste en un réaménagement du quartier de la gare, sur 5,2 ha, afin d'accueillir ce surcroît de voyageurs (création d'une passerelle, de parvis arborés, rénovation du bâtiment voyageurs, réaménagement d'une gare routière au sud, stationnements).Les principales recommandations de l'Ae portent sur les mesures prévues pour rendre le report modal effectif, la gestion des pollutions et des eaux pluviales en tenant compte de leur devenir, et l'appréciation et le traitement des impacts sonores, compte tenu de l'augmentation de la fréquentation et de l'urbanisation envisagée. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; TRANSPORTS ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; GARE ; POLE D'ECHANGES ; PASSERELLE ; STATIONNEMENT ; RENOVATION ; IMPACT ; POLLUTION ; BRUIT ; EAU PLUVIALE ; LUTTE ANTI-BRUIT ; POLE D'ECHANGE MULTIMODAL ; REPORT MODAL Descripteur(s) géographique(s) : France ; Finistère ; Morlaix Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 45 sur 115 Numéro : 009581-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 46 sur 115 Titre : Démantèlement des barrages de Vézins et de La Roche-qui-Boit (50). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 24 p. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : OUVRAGE D'ART ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; SUPPRESSION ; BARRAGE ; POLLUTION DE L'EAU ; QUALITE DE L'EAU ; IMPACT ; RESTAURATION ; FLEUVE ; SEDIMENT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Manche ; SELUNE-FL ; Sélune Numéro : 009580-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 47 sur 115 Titre : Consolidation et aménagement des remparts Est du Mont-Saint-Michel (50). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 13 p. Résumé : Le projet porté par la direction régionale des affaires culturelles de Haute-Normandie consiste en la mise en oeuvre d'enrochements sur une largeur minimale de 20 mètres au devant des remparts Est du Mont-Saint-Michel, sur un linéaire de 160 mètres entre la tour de la Liberté et le bastillon de la tour Boucle. La surface devant être reconfigurée est estimée à environ 7 000 m2. Il se situe dans le contexte du projet de rétablissement du caractère maritime (RCM) du Mont-Saint-Michel, qui est classé au patrimoine mondial de l'humanité (UNESCO), dans un site classé et dans un site Natura 2000.Les principales recommandations de l'Ae portent sur le phasage, le calendrier et les modalités de réalisation du chantier, justifiant des précautions particulières tant vis-à-vis de l'avifaune que des sédiments susceptibles d'être déplacés, et sur les impacts paysagers du projet. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : PATRIMOINE SAUVEGARDE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; CONSOLIDATION D'OUVRAGE ; PATRIMOINE ARCHITECTURAL ; PATRIMOINE SAUVEGARDE ; IMPACT ; PAYSAGE ; REMPART ; AVIFAUNE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haute-Normandie ; MONT-SAINT-MICHEL ; MONT-ST-MICHEL ; Mont-St-Michel Numéro : 009531-01 Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 48 sur 115 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 49 sur 115 Titre : Permis de construire relatif à la future station Mairie de Saint-Ouen (93) du prolongement de la ligne 14 du métro de Paris. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 23 avril 2014.- 6 p. Résumé : Ce projet de permis de construire intervient dans la continuité des procédures de DUP et « loi sur l'eau » du prolongement nord de la ligne 14 du métro de Paris, sur lequel l'Ae a déjà émis deux avis (n°2011-73 du 23 novembre 2011 et n°2013-115 du 11 décembre 2013). La mise en service de ce projet est prévue à l'horizon 2017.Dès lors que sur le fond, les recommandations sont similaires à celles de ses deux précédents avis, l'Ae a souhaité réitérer sa principale recommandation de mettre à jour les études d'impact, pour les éventuelles autorisations et procédures administratives à venir, en prenant en compte l'ensemble des évolutions intervenues et des réponses apportées aux précédentes recommandations. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; TRANSPORTS ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : TRANSPORT URBAIN ; IMPACT DES EQUIPEMENTS ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; METRO ; PERMIS DE CONSTRUIRE ; STATION DE METRO ; EVOLUTION ; ETUDE D'IMPACT ; AUTORISATION ; MISE A JOUR Descripteur(s) géographique(s) : France ; Ile-de-France ; Seine-St-Denis ; St-Ouen-93 Numéro : 009543-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 50 sur 115 Titre : Contrat de développement territorial (CDT) «Boucles de la Marne» (94). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 10 avril 2014.- 23 p. Résumé : L'avis porte sur la qualité de l'évaluation environnementale du projet de contrat de développement territorial « Boucles de la Marne ». L'objet d'un CDT est de définir les objectifs et les priorités en matière d'urbanisme, de logement, de transports, de déplacements et de lutte contre l'étalement urbain, d'équipement commercial, de développement économique, sportif et culturel, de protection des espaces naturels, agricoles et forestiers et des paysages et des ressources naturelles sur le territoire retenu pour le contrat.Le CDT de « Boucles de la Marne » réunit l'État, la communauté d'agglomération du Haut Val-de-Marne, les communes de Champigny-sur-Marne, Bry-sur-Marne, Chennevières-sur-Marne et Villiers-sur-Marne et le conseil général du Val de Marne.Pour les 52 projets identifiés par des « fiches-action », la valeur ajoutée du CDT semble principalement concerner l'accélération des projets et la facilitation d'un partenariat entre ces communes peu habituées à travailler ensemble.Les principales recommandations de l'Ae aux pétitionnaires portent sur la mise à disposition du public d'une évaluation environnementale claire et compréhensible, complétée par la description des zones actuellement non artificialisées et qui accueilleront les projets du CDT, sur la mise en exergue plus précise des impacts environnementaux des conséquences du CDT pour ces projets, sur la question de son articulation avec les CDT avoisinants et le chantier du Grand Paris Express, ainsi que sur un examen rigoureux de la prise en compte du schéma régional de cohérence écologique. Thèmes(s) : AMENAGEMENT URBAIN ; HABITAT - LOGEMENT ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AMENAGEMENT REGIONAL ; URBANISME OPERATIONNEL ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; CONSTRUCTION ; LOGEMENT ; OFFRE DE LOGEMENT ; TRANSPORTS ; IMPACT ; ENVIRONNEMENT ; CONTRAT DE Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 51 sur 115 DEVELOPPEMENT TERRRITORIAL (CDT) ; GRAND PARIS ; INFORMATION DU PUBLIC Descripteur(s) géographique(s) : France ; Ile-de-France ; Val-de-Marne ; Champigny-sur-Marne ; Bry-sur-Marne ; Chennevières-sur-Marne ; Villiers-sur-Marne Numéro : 009485-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 52 sur 115 Titre : Pôle d'échanges multimodal (PEM) Gare de Redon (35). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 9 avril 2014.- 14 p. Résumé : Le projet est destiné à favoriser, autour de Redon, le report modal vers les transports en commun et les modes doux, dans le contexte de rénovation de l'ensemble du réseau ferré breton, de construction de la LGV Paris-Rennes et d'une évolution des flux de voyageurs de 700 000 à 1 400 000 par an à l'horizon 2025. Porté par Réseau ferré de France, SNCF Gares et connexions et la ville de Redon, le projet consiste en un réaménagement du quartier de la gare, afin d'accueillir ce surcroît de voyageurs (création de souterrains, de parvis, rénovations du bâtiment voyageurs et des quais, gare routière, stationnements), mais aussi de requalifier (hors budget PEM) plusieurs sites industriels en activités tertiaires et en logements.Les principales recommandations de l'Ae portent sur l'analyse des scénarios de déplacement et de transfert modal afin de consolider les hypothèses ayant conduit à définir le projet, la caractérisation des sols et la gestion des pollutions en tenant compte de leur usage futur, ainsi que sur l'appréciation et le traitement des impacts sonores, compte tenu de l'augmentation des trafics et de la fréquentation et de l'urbanisation envisagée, avec une attention aux impacts cumulés du projet avec le programme "Bretagne et Pays de la Loire à grande vitesse". Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT ; TRANSPORTS Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; DEPLACEMENT ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; POLE D'ECHANGES ; GARE ; QUARTIER ; ANALYSE ; SCENARIO ; IMPACT ; BRUIT ; SOL ; POLLUTION ; POLE D'ECHANGE MULTIMODAL ; REPORT MODAL ; TRANSFERT MODAL Descripteur(s) géographique(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 53 sur 115 France ; Ille-et-Vilaine ; Redon Numéro : 009506-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 54 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur le canal du Nivernais (58 - 89). Constat de report. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 9 avril 2014.- 3 p. Résumé : Par courrier en date du 8 avril 2014, la préfète de la Nièvre a informé le président de l'Ae de la décision du maître d'ouvrage, Voies navigables de France, de compléter de façon significative le dossier, et de sa décision de saisir à nouveau l'Ae. L'Ae a donc constaté qu'il n'y avait pas lieu à délibérer sur le dossier dans sa forme actuelle. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AMENAGEMENT DE VOIE NAVIGABLE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : DEMANDE ; AVIS ; DRAGAGE ; CANAL ; CONSTAT ; REPORT ; ENTRETIEN Descripteur(s) géographique(s) : France ; Nièvre ; Yonne ; CANAL DU NIVERNAIS ; canal du Nivernais Numéro : 009512-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 55 sur 115 Titre : Projet de rénovation du réseau de transport électrique de la Haute-Durance : projets P3 et P5 (Hautes-Alpes). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 9 avril 2014.- 23 p. Résumé : Le programme de travaux de Réseau de Transport d'Électricité (RTE) est destiné à rénover et renforcer le réseau haute et moyenne tension de cette zone de montagne, qui s'étend par des lignes essentiellement aériennes de l'est de Gap à la haute vallée de la Maurienne. Il comprend six projets de travaux dont les projets P3 et P5.Les opérations annoncées prévoient la création de lignes aérosouterraines, la restructuration de postes électriques et la dépose de lignes aériennes existantes dans des milieux forestiers, des sites Natura 2000, des traversées de cours d'eau et des zones de montagne à grand enjeu paysager (dont plusieurs sites classés dont deux inscrits au Patrimoine mondial de l'UNESCO), qui accueillent une forte population touristique.Les principales recommandations de l'Ae ont porté sur les précautions à prendre lors des travaux concernant certaines espèces et leurs habitats (le tétras-lyre notamment), les milieux forestiers et aquatiques - notamment, le franchissement des cours d'eau et les périmètres de protection des captages d'eau potable. L'Ae recommande également de compléter le dossier des impacts de la dépose des lignes aériennes et de la « mesure additionnelle » (P7) de dépose de la ligne existante Embrun-Serre-Ponçon. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : ENERGIE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; RESEAU DE DISTRIBUTION D'ELECTRICITE ; LIGNE DE TRANSPORT DE FORCE ; MONTAGNE ; IMPACT ; FORET ; COURS D'EAU ; EAU POTABLE ; PAYSAGE ; FAUNE Descripteur(s) géographique(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 56 sur 115 France ; Hautes-Alpes ; HAUTE-DURANCE Numéro : 009517-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 57 sur 115 Titre : Sécurisation de l'alimentation en eau du port de Nancy-Frouard par création d'un poste de pompage à Clévant (54). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 9 avril 2014.- 13 p. Résumé : Le projet, sous maîtrise d'ouvrage de Voies navigables de France (VNF), consiste à sécuriser (notamment par la création d'une station de pompage) l'alimentation en eau du port de Nancy-Frouard, assurée par le canal de la Marne au Rhin.Les principales recommandations de l'Ae portent sur l'articulation du projet avec les autres projets d'aménagement avoisinants, notamment en terme d'évolution éventuelle du trafic fluvial, les précautions à prendre vis-à-vis des matériaux extraits et les mesures à prendre pendant les travaux, en particulier pour prévenir le développement des espèces envahissantes. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AMENAGEMENT PORTUAIRE ; HYDRAULIQUE FLUVIALE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; SECURITE ; STATION DE POMPAGE ; ALIMENTATION EN EAU ; PORT FLUVIAL ; IMPACT ; POLLUTION ; TRAVAUX ; CHANTIER Descripteur(s) géographique(s) : France ; Meurthe-et-Moselle ; Nancy ; Frouard ; Custines ; MOSELLE (LA)-RIV ; Moselle-riv Numéro : 009511-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 58 sur 115 Titre : Paysage et aménagement : propositions pour un plan national d'action. Mission de conseil sur la politique nationale du paysage. Auteur(s) : CLEMENT (Denis) ; CABRIT (Jean-Luc) ; DOIZELET (Marie-Pierre) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, avril 2014.111 p. Résumé : Les paysages de France n'ont cessé de se transformer, tendant à se banaliser ou à se dégrader sans qu'apparaisse de réaction nationale. Même si beaucoup de projets urbains placent le paysage au coeur de l'aménagement, il n'en est pas de même sur la plus grande partie du territoire. Des exemples réussis d'aménagement ouvrent la voie à la généralisation de pratiques nouvelles. Le rapport analyse les raisons de la situation et formule des propositions d'action pour renverser la tendance. Il invite à mettre en oeuvre un plan national du paysage dont l'élaboration pourrait s'appuyer sur ces propositions et qui serait à même de mobiliser les acteurs publics, sans dépense supplémentaire ni évolution réglementaire. Les propositions d'action sont structurées autour de quatre axes: faire comprendre que le paysage est un outil de l'aménagement; développer une culture du paysage; mieux composer avec le paysage dans la planification spatiale et dans les projets d'aménagement opérationnel; réaffirmer la place du paysage parmi les grandes politiques nationales. L'adoption du projet de loi sur la biodiversité est l'occasion d'inscrire la politique du paysage comme composante du développement durable. L'élaboration d'un plan national du paysage pourrait accompagner la nouvelle loi et démontrer l'engagement de la France. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT Domaine(s) : PAYSAGE Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 59 sur 115 PAYSAGE ; PAYSAGE RURAL ; PAYSAGE URBAIN ; CONCEPT ; PERCEPTION ; AMENAGEMENT URBAIN ; AMENAGEMENT RURAL ; POLITIQUE PUBLIQUE ; PLANIFICATION ; PLAN NATIONAL Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 008333-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 60 sur 115 Titre : Audit thématique sur l'application de la loi Littoral par les services de l'État dans les départements d'outre-mer. Auteur(s) : BUISSON (Bernard) ; BONNET (Claude) ; LEVY (Christian) ; GOMEL (Cyril) ; BONNAL (Philippe) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, avril 2014.2 vol. 103 p. + 91 p. Résumé : Le développement, le besoin de logements, la croissance démographique, la construction illicite et les difficultés d'application de régies d'urbanisme font que les documents de planification parviennent difficilement à maîtriser le développement urbain. La densification et la mixité urbaines, la facilitation des déplacements et des activités, l'accession à un logement de qualité, la préservation du patrimoine naturel, des espaces agricoles et des paysages sont autant d'objectifs prioritaires. La mission considère que les difficultés dans la bande littorale sont nombreuses et monopolisent l'attention de l'État. Ses services se déclarent insatisfaits des documents de planification, les schémas d'aménagement régionaux (SAR). L'action de l'État pourrait gagner en efficacité grâce à une meilleure collaboration entre services et opérateurs. La mission formule 6 recommandations: conforter le SAR en tant que document de planification, réaffirmer l'opposabilité des dispositions relatives au littoral et la priorité de leur application, valoriser les principes d'équilibre de la loi pour sécuriser, orienter et faire aboutir les projets, mettre en oeuvre les polices de l'urbanisme et de l'environnement, organiser une animation des services de DEAL adaptée aux DROM, y relancer l'application de la loi littoral. Les monographies établies par département (Guadeloupe, Martinique, Guyane, La Réunion, Mayotte) font l'objet d'une annexe tirée à part. Thèmes(s) : CADRE JURIDIQUE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : DROIT ; LITTORAL ; SERVICES DE L'ETAT ; SERVICES DU MINISTERE Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 61 sur 115 Mot(s)-clé(s) : AUDIT ; APPLICATION ; LOI ; LITTORAL ; SERVICE PUBLIC ; ETAT ; SERVICE DECONCENTRE ; DOCUMENT DE PLANIFICATION ; SCHEMA D'AMENAGEMENT REGIONAL ; DEPARTEMENT D'OUTRE MER Descripteur(s) géographique(s) : France ; Guadeloupe ; Martinique ; Mayotte ; La-Réunion ; Guyane-française Numéro : 008379-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 62 sur 115 Titre : Aménagements de l'avant-gare de Paris-Montparnasse (75, 92). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 mars 2014.- 17 p. Résumé : Le projet, sous maîtrise d'ouvrage de Réseau Ferré de France (RFF), a pour objectif d'augmenter la capacité de l'avant-gare pour accueillir dès 2017 les circulations ferroviaires supplémentaires générées par la mise en service des deux lignes à grandes vitesse (LGV) Sud-Europe-Atlantique (SEA, Tours-Bordeaux) et Bretagne-Pays de Loire (BPL, Le Mans-Rennes).Les principales recommandations de l'Ae portent sur les incidences éventuelles de la mise en service du programme GPSO (Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest) sur le trafic à accueillir en gare à partir de 2024 - dont il n'est pour l'instant pas fait mention dans le dossier - et sur l'augmentation du bruit découlant de l'accroissement du trafic ferroviaire (hypothèses de trafic, traitement des points noirs de bruit, mesures de suivi en phase d'exploitation).L'Ae recommande également de mieux préciser les impacts cumulés de ces travaux avec ceux prévus en gare par la SNCF pour l'accueil du nouveau flux de voyageurs. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; GARE ; CAPACITE DU SITE ; IMPACT ; GENERATION DE TRAFIC ; BRUIT ; AVANT-GARE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Île-de-France ; Paris ; Hauts-de-Seine Numéro : 009501-01 Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 63 sur 115 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 64 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier, agricole et forestier (AFAF) de Sainte-Souline, avec extension sur Passirac (16), lié à la LGV Sud Europe Atlantique. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 mars 2014.- 14 p. Résumé : Le conseil général de la Charente présente un projet d'aménagement foncier, agricole et forestier sur environ 770 ha, consécutivement au projet de réalisation de la ligne à grande vitesse (LGV) Sud Europe Atlantique (SEA) qui traversera la commune de Sainte-Souline du nord au sud.Les principales recommandations de l'Ae portent sur la justification de certains choix effectués (extension de l'AFAF sur la commune de Passirac et desserte d'une parcelle) dans deux sites Natura 2000. Compte tenu de l'impact propre de la LGV sur cette commune, elles portent également sur la cohérence de tous les travaux réalisés par les différents maîtres d'ouvrage et sur leurs impacts cumulés, notamment sur en matière de plantations de haies. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; HAIE ; LGV Descripteur(s) géographique(s) : France ; Charente ; Ste-Souline ; Passirac Numéro : 009494-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 65 sur 115 Titre : Projet de création d'une liaison souterraine à 225 kV, Calan, Mûr-de-Bretagne et Plaine-Haute (56-22). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 mars 2014.- 16 p. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : ENERGIE ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; LIGNE DE TRANSPORT DE FORCE Numéro : 009484-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 66 sur 115 Titre : Gare nouvelle de Montpellier (34). Constat de report. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 mars 2014.- 7 p. Résumé : Par courrier en date du 25 mars 2014, faisant notamment suite à des courriers du 15 janvier et du 12 février adressés par l'Ae à son attention, le directeur des infrastructures de transport, qui avait saisi l'Ae du projet de Gare nouvelle de Montpellier, a informé le président de l'Ae qu'il envisageait que des compléments à ce dossier soient apportés. L'Ae a donc constaté qu'il n'y avait pas lieu à délibérer sur le dossier dans sa forme actuelle. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; GARE ; CONSTAT ; REPORT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Hérault ; Montpellier Numéro : 009504-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 67 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur le canal du Centre (71). Constat de report. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 mars 2014.- 3 p. Résumé : Par courrier en date du 18 mars 2014, le préfet de Saône-et-Loire a informé le président de l'Ae de la décision du maître d'ouvrage, Voies navigables de France, de compléter de façon significative le dossier, et de sa décision de saisir à nouveau l'Ae. L'Ae a donc constaté qu'il n'y avait pas lieu à délibérer sur le dossier dans sa forme actuelle. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART Domaine(s) : ETUDE D'IMPACT ; OUVRAGE D'ART Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DRAGAGE ; CANAL ; CONSTAT ; REPORT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Saône-et-Loire ; CANAL DU CENTRE Numéro : 009449-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 68 sur 115 Titre : Plan de gestion pluriannuel des opérations de dragage d'entretien sur la rivière Seille (71). Constat de report. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 mars 2014.- 3 p. Résumé : Par courrier en date du 18 mars 2014, le préfet de Saône-et-Loire a informé le président de l'Ae de la décision du maître d'ouvrage, Voies navigables de France, de compléter de façon significative le dossier, et de sa décision de saisir à nouveau l'Ae. L'Ae a donc constaté qu'il n'y avait pas lieu à délibérer sur le dossier dans sa forme actuelle. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DRAGAGE ; RIVIERE ; CONSTAT ; REPORT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Saône-et-Loire ; SEILLE Numéro : 009450-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 69 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier, agricole et forestier (AFAF) de Vouharte et Montignac-Charente, avec extensions sur la Chapelle, Xambes et Coulonges (16). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 mars 2014.- 13 p. Résumé : Consécutivement au projet de réalisation de la ligne à grande vitesse (LGV) Sud Europe Atlantique (SEA), le conseil général de la Charente présente un projet d'aménagement foncier, agricole et forestier sur environ 1000 ha sur les communes de Vouharte et Montignac-Charente, avec extension sur les communes de La Chapelle, Xambes et Coulonges.Le projet est situé dans un secteur majoritairement agricole qui comprend notamment la frange de la vallée de la Charente, désignée site Natura 2000 au titre de la directive Oiseaux, et s'accompagnent de travaux affectant essentiellement des haies, fossés et chemins.Les principales recommandations de l'Ae portent sur la préservation de la vallée de la Charente (interdiction de travaux hydrauliques à l'intérieur du site), sur la qualité de la nappe souterraine, l'arrachage d'arbres isolés et sur les mesures de suivi annoncées. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; QUALITE DE L'EAU ; EAU SOUTERRAINE ; NAPPE ; SUIVI ; AMENAGEMENT AGRICOLE ; PRESERVATION Descripteur(s) géographique(s) : France ; Charente ; Vouharte ; Montignac-Charente ; La-Chapelle-16 ; Xambes ; Coulonges-16 Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 70 sur 115 Numéro : 009456-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 71 sur 115 Titre : Amélioration de l'accessibilité ferroviaire de Bassens (33). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 mars 2014.- 13 p. Résumé : Afin d'améliorer l'accessibilité à la gare principale fret de Bassens (Gironde) au niveau du faisceau de Sabarèges, le projet présenté par Réseau ferré de France (RFF) prévoit la création d'une plateforme ferroviaire pour installer un nouveau raccordement de 560 mètres, la dépose des installations actuelles et la réorganisation des voies d'accès au site industriel Michelin adjacent.L'Ae recommande au maître d'ouvrage d'apporter des précisions sur les impacts du rabattement de nappe en phase travaux sur la zone humide présente sur le site et de mieux justifier la solution proposée pour compenser le défrichement et la destruction de zone humide rendus nécessaires par la ralisation du projet. Elle l'invite à préciser les mesures pour éviter la dispersion des espèces exotiques envahissantes. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMELIORATION ; ACCESSIBILITE ; GARE ; FRET ; PLATEFORME ; ACCES ; IMPACT ; ZONE HUMIDE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Gironde ; Bassens-33 Numéro : 009478-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 72 sur 115 Titre : Projet « RN 102 - Liaison A75 / Brioude » (43). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 mars 2014.- 19 p. Résumé : Présenté par la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) d'Auvergne, le projet consiste à créer 8 km de route à 2x2 voies, à proximité de la RN 102 actuelle et en continuité d'une déviation à 2x2 voies existante. Le projet présenté a fait l'objet d'une décision ministérielle le 4 avril 2007 définissant le parti d'aménagement et sa consistance. Le projet a connu depuis plusieurs adaptations importantes, notamment suite à la création récente d'une ZAC à proximité. L'Ae recommande que le maître d'ouvrage explicite les raisons, notamment environnementales, ayant conduit au parti retenu dans la décision ministérielle, et justifie les écarts entre le projet présenté et cette décision. L'Ae recommande également d'expliciter les raisons pour lesquelles la ZAC a été créée en amont du projet, alors qu'elle rend impossible la réalisation d'une variante plus favorable à l'environnement, et demande de réaliser le projet en deux phases. Elle recommande de compléter l'étude d'impact en conséquence et également de réviser et expliciter les hypothèses de trafic et de compléter le calcul socio-économique. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES ROUTIERES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; ROUTE ; ETUDE D'IMPACT ; ANALYSE DU TRAFIC ; CALCUL ECONOMIQUE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haute-Loire ; Brioude ; RN102 ; A75 Numéro : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 73 sur 115 009482-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 74 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier agricole et forestier lié à LGV Sud Europe Atlantique, sur les communes de Londigny, Montjean, Saint-Martin-du-Clocher, La Chèvrerie et Villiers-le-Roux avec extension sur la commune de Villefagnan (16). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 mars 2014.- 14 p. Résumé : Consécutivement à la réalisation de la ligne à grande vitesse (LGV) Sud Europe Atlantique, le conseil général de la Charente présente un projet d'aménagement foncier, agricole et forestier sur une surface de 1790 ha répartis sur 6 communes1. Le secteur, vallonné et essentiellement agricole, est presque entièrement drainé par la rivière de la Péruse, affluent de la Charente dans laquelle elle se jette au sud-est de l'aire d'étude.Les principales recommandations de l'Ae portent sur le besoin de confirmer le programme de travaux connexes présenté dans le dossier, ou dans le cas contraire de présenter une nouvelle demande d'avis. Elles portent ensuite sur la prise en compte, par la future maîtrise d'ouvrage des travaux connexes, des engagements présentés, et sur l'installation d'un dispositif d'irrigation au regard du classement en zone de répartition des eaux. L'Ae a également recommandé de préciser les causes de la mauvaise qualité des masses d'eau superficielles et souterraines du territoire. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; RIVIERE ; IRRIGATION ; QUALITE DE L'EAU ; AMENAGEMENT AGRICOLE Descripteur(s) géographique(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 75 sur 115 France ; Charente ; Londigny ; Montjean-16 ; St-Martin-du-Clocher ; La-Chèvrerie ; Villiers-le-Roux Numéro : 009455-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 76 sur 115 Titre : Évaluation à mi-parcours du plan "submersions rapides". Auteur(s) : LEDENVIC (Philippe) ; BARREY (Guy) ; PITIE (Christian) ; BRASSENS (Bertrand) ; CHABROL (Didier) ; BODINO (Philippe) ; LE BOULAIRE (Christian) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; INSPECTION GENERALE DES FINANCES (IGF) ; INSPECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION (IGA) ; INSPECTION DE LA DEFENSE ET DE LA SECURITE CIVILES (IDSC) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, mars 2014.- 155 p. Résumé : Réponse réactive aux catastrophes causées par la tempête Xynthia et les pluies stationnaires intenses dans le Var, le Plan Submersions Rapides (PSR), adopté pour la période 2011-2015, rassemble un dispositif d'actions pour prévenir les inondations, en parallèle à la mise en oeuvre progressive de la directive inondation. Le rapport fait le point à mi-parcours des actions du PSR, mesure l'atteinte des objectifs et apprécie la cohérence de son déploiement avec les autres politiques publiques. Les 27 recommandations de la mission s'appuient sur les principes suivants: mettre en oeuvre résolument la directive inondation et fondre le PSR dans la Stratégie Nationale de Gestion du Risque Inondation; accorder la priorité à la protection des vies humaines; relancer les actions de réduction de la vulnérabilité, d'acculturation aux risques et de résilience, en commençant par les plus urgentes pour les vies humaines; simplifier la gouvernance, les procédures et les périmètres d'intervention, pour mettre en oeuvre efficacement des stratégies territoriales globales et cohérentes; stabiliser les référentiels et s'appuyer sur une expertise nationale partagée; mieux définir les priorités d'utilisation du fonds Barnier et suivre sa consommation. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : PREVENTION DES RISQUES ; RISQUES ; LITTORAL Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 77 sur 115 Mot(s)-clé(s) : EVALUATION ; EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; BILAN ; FINANCEMENT ; RESULTAT ; INONDATION ; PLAN SUBMERSION RAPIDE (PSR) Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 009151-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 78 sur 115 Titre : Rétablissement (le) du caractère maritime (RCM) du Mont-Saint-Michel. Quelle gouvernance pour l'après 2015 ? Auteur(s) : VERLHAC (Eric) ; BANQUY (Didier) ; FLORENNE (Tristan) ; POT (Nicole) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; INSPECTION GENERALE DES FINANCES (IGF) ; INSPECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION (IGA) ; France. Inspection générale des affaires culturelles Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, mars 2014.- 93 p. Résumé : Un premier rapport portant sur les conditions du montage financier du projet et d'équilibre de la délégation de service public relative au parc de stationnement et au système de transport des visiteurs a été rendu en octobre 2013 (n°008818-01). Ce second rapport porte sur la question de la gouvernance la plus appropriée pour l'après-2015 , afin de permettre à chacun des acteurs concernés de disposer d'une feuille de route et d'un mode opératoire après l'achèvement du projet. Le rétablissement du caractère maritime du Mont Saint-Michel constitue une grande réussite, tant sur le plan technique qu'esthétique. Toutefois, la fin des travaux va mettre en pleine lumière un certain nombre de difficultés ou de faiblesses, jusqu'à présent reléguées au second plan, dont le rapport fait l'inventaire. En premier lieu, il relève un manque de vision stratégique, sur le plan touristique, culturel, économique, pour ce lieu emblématique et de renommée internationale. Il analyse les points faibles du dispositif précédent: la dispersion des responsabilités et la fragilité de l'intervention de l'État, la multiplicité de périmètres de protection non coordonnés, l'enchevêtrement des procédures et l'absence de projet global prospectif. Il préconise la mise en place d'une «opération d'intérêt national» (OIN), ainsi que la création d'un établissement public (EP) national qui viendrait combler l'absence de structure adaptée à la gestion de grand espace d'intérêt patrimonial et environnemental, en détaillant les compétences susceptibles d'être confiées à cet EP qui pourrait faire l'objet d'une mission de préfiguration. Cette proposition mérite d'être examinée, compte tenu des enjeux de développement économique, touristique, culturel et écologique du site et des difficultés rencontrées par les collectivités locales concernées à porter le projet. Thèmes(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 79 sur 115 ENVIRONNEMENT ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE Domaine(s) : SITE ; SITE TOURISTIQUE ; ORGANISATION Mot(s)-clé(s) : GOUVERNANCE ; SITE ; SITE PROTEGE ; SITE TOURISTIQUE ; APRES TRAVAUX ; BARRAGE ; AIRE DE STATIONNEMENT ; OUVRAGE DIVERS ; OUVRAGE HYDRAULIQUE ; STRATEGIE ; PROCEDURE ; PROJET D'OPERATION ; PATRIMOINE CULTUREL ; MARITIME Descripteur(s) géographique(s) : France ; Manche ; Le-Mont-St-Michel ; MONT-SAINT-MICHEL ; Mont-St-Michel Numéro : 008818-02 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 80 sur 115 Titre : Plans nationaux (les) d'actions en faveur des espèces menacées. Une politique à refonder. Auteur(s) : LAVARDE (Patrick) ; CHALLEAT (Marc) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, mars 2014.- 119 p. Résumé : Les plans nationaux d'actions (PNA) en faveur des espèces menacées sont des outils mis en place pour conduire des actions destinées à améliorer l'état de conservation d'espèces nécessitant des mesures spécifiques et volontaires pour restaurer leurs populations et leurs habitats. Le rapport rend compte de l'évaluation des PNA et formule des propositions afin de reconfigurer le dispositif en 2014. En premier lieu, sont abordés les fondements qui justifient la mise en place de PNA en faveur des espèces menacées, l'état des lieux de la situation actuelle, les points forts et les points faibles du dispositif et, enfin, les évolutions du contexte dans lequel s'inscrit cette politique. Les apports des plans ne sont pas négligeables : progrès des connaissances, constitution de réseaux d'experts, améliorations de l'état de certaines espèces. Dans un contexte de création de l'Agence française de la biodiversité (AFB) et d'attribution aux régions du rôle de chef de file pour la biodiversité, il est toutefois nécessaire de refonder cette politique. Les points clés d'un nouveau dispositif sont proposés,comme l'établissement de liste d'espèces prioritaires pour des actions de conservation, gestion ou restauration ; l'élaboration de stratégies de restauration en opérant des regroupements. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES Domaine(s) : ECOLOGIE ; FAUNE-FLORE Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 81 sur 115 EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT ; PLAN NATIONAL ; PROTECTION DE LA NATURE ; CADRE JURIDIQUE Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 009290-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 82 sur 115 Titre : Quatre aménagements fonciers, agricoles et forestiers dans le Haut-Rhin (68) liés à la réalisation de la LGV Rhin-Rhône. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 février 2014.- 15 p. Notes : Avis délibérés n° Ae 2013-131, 2013-132, 2013-133, 2013-134 n° CGEDD 009441-01, 009442-01, 009443-01, 009444-01 Résumé : Consécutivement au projet de réalisation, dans une deuxième phase, de la ligne à grande vitesse (LGV) Rhin-Rhône, branche Est, qui prévoit le raccordement de la gare de Belfort-Montbéliard TGV à Mulhouse sur 35 km de ligne, le conseil général du Bas-Rhin présente les projets d’aménagement foncier, agricole et forestier des communes de Schweighouse-Thann, Burnhaupt-le-Haut, Soppe-le-Haut et Eteimbes. Les projets sont situés dans un secteur agricole drainé par un réseau hydrographique relativement dense de rivières, ruisseaux et fossés (Doller, Soultzbach, Steinbach) et s’accompagnent de travaux affectant essentiellement voirie, haies, talus et ouvrages hydrauliques. L’état d’avancement actuel du projet de LGV implique que le maître d’ouvrage et les acteurs des AFAF ne disposent pas pour l’instant de tous les éléments leur permettant de traiter entièrement les enjeux liés au dossier loi sur l’eau. Notant en outre que les travaux de la LGV sont actuellement suspendus, l’Ae recommande de ne présenter à enquête publique ces projets d’AFAF, qui résultent du projet de LGV, que lorsque les impacts hydrauliques de la LGV elle-même et les mesures compensatoires des impacts environnementaux dommageables du projet seront définis et pourront être pris en compte dans les AFAF. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 83 sur 115 PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; RESEAU HYDROGRAPHIQUE ; IMPACT ; AMENAGEMENT AGRICOLE ; LGV Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haut-Rhin ; Schweighouse-Thann ; Burnhaupt-le-Haut ; Soppe-le-Haut ; Eteimbes Numéro : 009442-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 84 sur 115 Titre : Quatre aménagements fonciers, agricoles et forestiers dans le Haut-Rhin (68) liés à la réalisation de la LGV Rhin-Rhône. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 février 2014.- 15 p. Notes : Avis délibérés n° Ae 2013-131, 2013-132, 2013-133, 2013-134 n° CGEDD 009441-01, 009442-01, 009443-01, 009444-01 Résumé : Consécutivement au projet de réalisation, dans une deuxième phase, de la ligne à grande vitesse (LGV) Rhin-Rhône, branche Est, qui prévoit le raccordement de la gare de Belfort-Montbéliard TGV à Mulhouse sur 35 km de ligne, le conseil général du Bas-Rhin présente les projets d’aménagement foncier, agricole et forestier des communes de Schweighouse-Thann, Burnhaupt-le-Haut, Soppe-le-Haut et Eteimbes. Les projets sont situés dans un secteur agricole drainé par un réseau hydrographique relativement dense de rivières, ruisseaux et fossés (Doller, Soultzbach, Steinbach) et s’accompagnent de travaux affectant essentiellement voirie, haies, talus et ouvrages hydrauliques. L’état d’avancement actuel du projet de LGV implique que le maître d’ouvrage et les acteurs des AFAF ne disposent pas pour l’instant de tous les éléments leur permettant de traiter entièrement les enjeux liés au dossier loi sur l’eau. Notant en outre que les travaux de la LGV sont actuellement suspendus, l’Ae recommande de ne présenter à enquête publique ces projets d’AFAF, qui résultent du projet de LGV, que lorsque les impacts hydrauliques de la LGV elle-même et les mesures compensatoires des impacts environnementaux dommageables du projet seront définis et pourront être pris en compte dans les AFAF. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 85 sur 115 PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; RESEAU HYDROGRAPHIQUE ; IMPACT ; AMENAGEMENT AGRICOLE ; LGV Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haut-Rhin ; Schweighouse-Thann ; Burnhaupt-le-Haut ; Soppe-le-Haut ; Eteimbes Numéro : 009443-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 86 sur 115 Titre : Aménagement de la RN 154 au sud de Dreux (28). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 février 2014.- 16 p. Résumé : Présenté par la direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) de la région Centre, l’objectif de ce projet est la fluidification de la circulation et la diminution des risques d’accidents. Les principales recommandations de l’Ae portent sur les conséquences du projet autoroutier de l’A 154 au niveau de Dreux sur le projet actuel, la mise au point des itinéraires cyclables prescrits par l’article L.228-2 du code de l’environnement et les résultats de l’étude de bruit. L’Ae recommande également de compléter l’étude d’impact en précisant les projections de trafic présentées. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES ROUTIERES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; ROUTE ; ROUTE NATIONALE ; IMPACT ; AUTOROUTE ; ITINERAIRE ; PISTE CYCLABLE ; BRUIT ; PROJECTION ; TRAFIC ; RN154 Descripteur(s) géographique(s) : France ; Eure-et-Loir ; Dreux Numéro : 009447-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 87 sur 115 Titre : Quatre aménagements fonciers, agricoles et forestiers dans le Haut-Rhin (68) liés à la réalisation de la LGV Rhin-Rhône. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 février 2014.- 15 p. Notes : Avis délibérés n° Ae 2013-131, 2013-132, 2013-133, 2013-134 n° CGEDD 009441-01, 009442-01, 009443-01, 009444-01 Résumé : Consécutivement au projet de réalisation, dans une deuxième phase, de la ligne à grande vitesse (LGV) Rhin-Rhône, branche Est, qui prévoit le raccordement de la gare de Belfort-Montbéliard TGV à Mulhouse sur 35 km de ligne, le conseil général du Bas-Rhin présente les projets d’aménagement foncier, agricole et forestier des communes de Schweighouse-Thann, Burnhaupt-le-Haut, Soppe-le-Haut et Eteimbes. Les projets sont situés dans un secteur agricole drainé par un réseau hydrographique relativement dense de rivières, ruisseaux et fossés (Doller, Soultzbach, Steinbach) et s’accompagnent de travaux affectant essentiellement voirie, haies, talus et ouvrages hydrauliques. L’état d’avancement actuel du projet de LGV implique que le maître d’ouvrage et les acteurs des AFAF ne disposent pas pour l’instant de tous les éléments leur permettant de traiter entièrement les enjeux liés au dossier loi sur l’eau. Notant en outre que les travaux de la LGV sont actuellement suspendus, l’Ae recommande de ne présenter à enquête publique ces projets d’AFAF, qui résultent du projet de LGV, que lorsque les impacts hydrauliques de la LGV elle-même et les mesures compensatoires des impacts environnementaux dommageables du projet seront définis et pourront être pris en compte dans les AFAF. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 88 sur 115 PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; RESEAU HYDROGRAPHIQUE ; IMPACT ; AMENAGEMENT AGRICOLE ; LGV Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haut-Rhin ; Schweighouse-Thann ; Burnhaupt-le-Haut ; Soppe-le-Haut ; Eteimbes Numéro : 009441-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 89 sur 115 Titre : Quatre aménagements fonciers, agricoles et forestiers dans le Haut-Rhin (68) liés à la réalisation de la LGV Rhin-Rhône. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 février 2014.- 15 p. Notes : Avis délibérés n° Ae 2013-131, 2013-132, 2013-133, 2013-134 n° CGEDD 009441-01, 009442-01, 009443-01, 009444-01 Résumé : Consécutivement au projet de réalisation, dans une deuxième phase, de la ligne à grande vitesse (LGV) Rhin-Rhône, branche Est, qui prévoit le raccordement de la gare de Belfort-Montbéliard TGV à Mulhouse sur 35 km de ligne, le conseil général du Bas-Rhin présente les projets d’aménagement foncier, agricole et forestier des communes de Schweighouse-Thann, Burnhaupt-le-Haut, Soppe-le-Haut et Eteimbes. Les projets sont situés dans un secteur agricole drainé par un réseau hydrographique relativement dense de rivières, ruisseaux et fossés (Doller, Soultzbach, Steinbach) et s’accompagnent de travaux affectant essentiellement voirie, haies, talus et ouvrages hydrauliques. L’état d’avancement actuel du projet de LGV implique que le maître d’ouvrage et les acteurs des AFAF ne disposent pas pour l’instant de tous les éléments leur permettant de traiter entièrement les enjeux liés au dossier loi sur l’eau. Notant en outre que les travaux de la LGV sont actuellement suspendus, l’Ae recommande de ne présenter à enquête publique ces projets d’AFAF, qui résultent du projet de LGV, que lorsque les impacts hydrauliques de la LGV elle-même et les mesures compensatoires des impacts environnementaux dommageables du projet seront définis et pourront être pris en compte dans les AFAF. Thèmes(s) : AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 90 sur 115 PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; RESEAU HYDROGRAPHIQUE ; IMPACT ; AMENAGEMENT AGRICOLE ; LGV Descripteur(s) géographique(s) : France ; Haut-Rhin ; Schweighouse-Thann ; Burnhaupt-le-Haut ; Soppe-le-Haut ; Eteimbes Numéro : 009444-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 91 sur 115 Titre : Suppression des passages à niveau SNCF n°104 et 105 sur les RD 926 et RD 438 à Nonant-le-Pin (61). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 26 février 2014.- 14 p. Résumé : La suppression de ces deux passages à niveaux à Nonant-le-Pin (Orne), sous maîtrise d’ouvrage du conseil général de l’Orne, a été décidée en raison du fort taux d’accident. Elle conduit à leur remplacement par un seul franchissement de la voie ferrée sur pont-route et par des infrastructures routières. Les principales recommandations de l’Ae portent sur le périmètre de l’étude d’impact qui doit couvrir l’ensemble du projet et de ses impacts, et ce notamment pour les impacts sonores du projet et pour les terrains utilisés pour la base de travaux. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : SUPPRESSION ; PASSAGE A NIVEAU ; PROJET D'OUVRAGE ; PONT ; ROUTE ; VOIE ; IMPACT ; BRUIT ; MILIEU NATUREL ; CHANTIER ; PONT-ROUTE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Orne ; Nonant-le-Pin Numéro : 009428-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 92 sur 115 Titre : Bâtiment provisoire dans le cadre du projet de modernisation du stade Roland Garros à Paris (75). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 février 2014.- 4 p. Résumé : Une demande de permis de construire sur le territoire de Paris a été déposée par la fédération française de tennis (FFT) pour l’installation d’un bâtiment provisoire destiné à l’organisation du tournoi de tennis de Roland Garros durant les travaux de modernisation du stade de Roland Garros. Ce bâtiment provisoire est une composante du projet de modernisation qui a fait l’objet d’un avis de l’Ae en date du 11 décembre 2013. Au cas d’espèce, la demande de permis de construire étant conforme à la description figurant dans l’étude d’impact sur laquelle a porté l’avis précité, l’actualisation de cette dernière n’est pas nécessaire, ni a fortiori celle de l’avis de l’autorité environnementale rendu le 11 décembre 2013, auquel il convient donc de se référer, et qui ne comportait pas de recommandation sur ces installations provisoires. Thèmes(s) : EQUIPEMENTS ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : EQUIPEMENT SPORTIF ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; STADE ; TENNIS ; BATIMENT SPORTIF ; INSTALLATION PROVISOIRE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Paris Numéro : 009457-01 Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 93 sur 115 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 94 sur 115 Titre : Projet d'aménagement foncier agricole et forestier lié à la LGV Sud Europe Atlantique, sur la commune de Brossac avec extension sur Passirac. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 février 2014.- 15 p. Résumé : Consécutivement à la réalisation de la ligne à grande vitesse (LGV) Tours Bordeaux, le conseil général de Charente présente un projet d’aménagement foncier, agricole et forestier sur une surface de 1063 ha d’espaces agricoles et de boisements pour l’essentiel. Le projet de restructuration parcellaire s’accompagne de travaux connexes affectant essentiellement des haies, fossés, chemins et cours d’eau. Les principales recommandations de l’Ae portent sur la clarification des travaux de création des deux fossés, en relation avec la station de transit de la LGV, et des actions concernant les haies, en relation avec l’arrêté préfectoral, ainsi que l’éventuelle actualisation des inventaires naturalistes. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; AMENAGEMENT RURAL ; FONCIER - PROPRIETE Domaine(s) : AGRICULTURE ; FORET ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT FONCIER RURAL ; REGION AGRICOLE ; HAIE ; COURS D'EAU ; AMENAGEMENT AGRICOLE ; FOSSE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Charente ; Brossac ; Passirac Numéro : 009410-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 95 sur 115 Titre : Projet d'aménagement de sauts sur le fleuve Oyapock et la rivière Camopi (Guyane). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 février 2014.- 10 p. Résumé : Le fleuve Oyapock constitue une frontière naturelle de plus de 400 km entre la Guyane et l’Etat amazonien d’Amapa au Brésil. Pour la plupart des villages et bourgs situés à proximité, la navigation fluviale représente la seule liaison possible entre les hameaux (en particulier pour le transport scolaire). Le projet, dont la maîtrise d’ouvrage est assurée par la direction de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DEAL) de la Guyane, a pour objectif d’améliorer les conditions de franchissement de cinq sauts. Les travaux envisagés se localisent selon les cas dans le lit du fleuve ou sur ses rives, françaises ou brésiliennes. Les principaux enjeux environnementaux du projet, notamment en phase chantier, concernent ses impacts sur l’ensemble des populations riveraines du fleuve, en Guyane et au Brésil, et l’atteinte à des milieux naturels d’une grande richesse écologique. L’Ae recommande que le dossier précise le calendrier des discussions avec le Brésil et en conséquence du processus de décision pour les deux sauts (Kachiri et Pakoussili Itou) qui en dépendent, de justifier le choix des sauts à aménager et leur niveau de priorité, de préciser, pour chacun des sauts concernés, les espèces et les habitats naturels susceptibles d’être affectés par le projet, les solutions techniques qui seront mises en oeuvre, leurs impacts et les mesures d’évitement, de réduction et de compensation qu’il s’engage à prendre , et de mettre en place des contrôles spécifiques du respect du cahier des charges par les entreprises attributaires pendant la phase chantier. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AMENAGEMENT DE VOIE NAVIGABLE ; OUVRAGE D'ART ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; AMENAGEMENT DES BERGES ; FLEUVE ; RIVIERE ; TRACE ; IMPACT ; RIVERAIN ; MILIEU NATUREL ; CONTROLE ; Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 96 sur 115 CAHIER DES CHARGES ; CONTOURNEMENT ; MESURE D'EVITEMENT ; MESURE DE REDUCTION Descripteur(s) géographique(s) : France ; Guyane-française Numéro : 009530-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 97 sur 115 Titre : Projet de protection et d’aménagement du site des Salines, commune de Sainte-Anne. Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 12 février 2014.- 18 p. Résumé : Le projet, sous maîtrise d’ouvrage du Conservatoire du littoral et de l’Office National des Forêts, prévoit l’aménagement d’une « aire naturelle de stationnement » en arrière plage de 500 places et des accès piétons à la plage, ainsi que d’un cheminement pour piétons de 4,3 km avec l’aménagement de points de vue. Le site concerné subit une très forte pression de fréquentation sur la plage de la Grande Anse des Salines en raison d’une affluence touristique non maîtrisée. Le projet vise donc à conjuguer la protection d’espaces naturels et de paysages de grande qualité, avec la réalisation d’aménagements destinés à améliorer les conditions d’accès et d’accueil des visiteurs, et à mieux maîtriser les nuisances induites par la sur-fréquentation. L’Ae a constaté que le dossier dont elle a été saisie différait de celui qui semble faire référence sur place et qu’il ne prend pas en compte le fait que le site « des Salines » soit classé au titre de la loi de 1930 et les obligations réglementaires qui en découlent. L’Ae a relevé également de nombreuses lacunes sur d’autres points majeurs : en particulier le dossier n’aborde pas la question des actions de restauration des milieux saumâtres et des écosystèmes nécessaires situés au coeur des surfaces à exproprier. Au vu des insuffisances du dossier relevées dans cet avis, l'Ae estime qu’il ne permet pas, en l’état, d’être présenté à l’enquête publique et recommande au maître d’ouvrage de le reprendre en profondeur, notamment sur les points pré-cités. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE Domaine(s) : AMENAGEMENT REGIONAL ; LITTORAL ; ETUDE D'IMPACT Mot(s)-clé(s) : PROJET D'AMENAGEMENT ; PROTECTION ; AMENAGEMENT DU LITTORAL ; Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 98 sur 115 ESPACE NATUREL ; AIRE DE STATIONNEMENT ; ACCES ; PLAGE ; CHEMINEMENT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Martinique ; Ste-Anne-972 Numéro : 009427-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 99 sur 115 Titre : Cartographie des compétences des services déconcentrés en matière de climat, qualité de l'air et énergie. Auteur(s) : GAZEAU (Jean-Claude) ; GALIBERT (Thierry) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, novembre 2013.- 66 p. Résumé : Le rapport porte sur les compétences nécessaires dans les services déconcentrés pour assurer les missions d'élaboration et de suivi des schémas régionaux climat-air-énergie (SRCAE). Il constate la mise en place effective des SRCAE portées par des équipes-projets communes comprenant des agents de l'État (DREAL et ADEME) et des conseils régionaux et s'interroge sur les conditions du maintien de la compétence collective ainsi construite. Est noté le changement de paradigme que constitue l'approche climat-air-énergie nécessitant de passer d'une compétence individuelle à une compétence collective, et d'une compétence experte dans un domaine thématique à une compétence transversale. La logique de compétence disponible doit s'appréhender sans lien direct avec les ETP et en ouvrant la possibilité d'une réflexion partagée entre structures. Un mode de représentation simple de la compétence collective associant plusieurs thématiques et plusieurs services dans une temporalité de moyen terme est proposé. La mission formule un nombre limité de recommandations. Pour le niveau régional, elle recommande de s'appuyer sur le travail fourni dans le cadre du SRCAE pour offrir des garanties de pérennité des compétences nécessaires, d‘organiser des réseaux techniques pouvant dépasser les services de l'État et de la région. Au niveau national, elle préconise notamment de poursuivre la réflexion relative aux compétences critiques. Thèmes(s) : ADMINISTRATION NUISANCES PUBLIQUE ; ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - Domaine(s) : SERVICES DU MINISTERE ; CLIMAT ET METEOROLOGIE ; ENERGIE ; Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 100 sur 115 POLLUTION ; ECOLOGIE Mot(s)-clé(s) : ETENDUE DES COMPETENCES ; EXERCICE DES COMPETENCES ; OBJET DES COMPETENCES ; MINISTERE ; SERVICE DECONCENTRE ; CLIMATOLOGIE ; CLIMAT ; QUALITE DE L'AIR ; ENERGIE ; EXPERTISE ; QUALIFICATION ; ELABORATION DE SCHEMA REGIONAL ; SCHEMA REGIONAL CLIMAT-AIR-ENERGIE (SRCAE) ; RESEAU SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 008918-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 101 sur 115 Titre : Rétablissement (le) du caractère maritime (RCM) du Mont-Saint-Michel. Auteur(s) : VERLHAC (Eric) ; BANQUY (Didier) ; FLORENNE (Tristan) ; POT (Nicole) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; INSPECTION GENERALE DES FINANCES (IGF) ; INSPECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION (IGA) ; INSPECTION GENERALE DES AFFAIRES CULTURELLES (IGAC) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, octobre 2013.- 95 p. Résumé : Les premiers travaux ont conduit la mission interministérielle, mission d'appui aux services de l'État ainsi qu'au syndicat mixte chargés du projet de rétablissement du caractère maritime du Mont Saint-Michel (RCM), à établir sept constats généraux portant sur: la réussite technique du projet; les modes de coordination et de coopération des nombreuses parties prenantes; le manque de stratégie de mise en valeur touristique et culturelle du Mont Saint-Michel; le fonctionnement du site et les dysfonctionnements du dispositif d'accueil des visiteurs (parc de stationnement et système de transport jusqu'au Mont); les offres commerciales. Ce premier rapport s'attache àpréciser les conditions de bouclage financier et les conditions d'équilibre relatives au parc de stationnement et au système de transport des visiteurs. Il propose des améliorations à engager par le syndicat mixte pour se mettre en conformité avec les règles de la comptabilité publique. Concernant la délégation de service public portant sur la gestion du parking et l'exploitation du système de transport, le dispositif actuel présente des fragilités juridiques et financières qui conduisent la mission à s'interroger sur sa viabilité sous sa forme actuelle. Des recommandations sont faites aux deux parties. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; AMENAGEMENT DU TERRITOIRE Domaine(s) : SITE ; SITE TOURISTIQUE ; ORGANISATION Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 102 sur 115 GOUVERNANCE ; SITE ; SITE PROTEGE ; SITE TOURISTIQUE ; APRES TRAVAUX ; BARRAGE ; AIRE DE STATIONNEMENT ; OUVRAGE DIVERS ; OUVRAGE HYDRAULIQUE ; FINANCEMENT ; FINANCEMENT SUR FONDS PUBLIC ; PROJET D'OPERATION ; PATRIMOINE CULTUREL ; DELEGATION DE SERVICE PUBLIC ; GESTION ; PARKING ; SYSTEME DE TRANSPORT ; EXPLOITATION DE TRANSPORT ; MARITIME Descripteur(s) géographique(s) : France ; Manche ; Le-Mont-St-Michel ; MONT-SAINT-MICHEL ; Mont-St-Michel Numéro : 008818-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 103 sur 115 Titre : Implication des services de l'État dans les démarches de développement urbain durable. Auteur(s) : LEVY (Christian) ; DECOURCELLE (Jean-Pierre) ; KEGELART (Jean-Jacques) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, août 2013.83 p. Résumé : La mission d'audit sur l'implication des services de l'Etat dans les démarches de développement urbain durable a analysé l'implication des services de l'Etat dans les initiatives portant sur la «ville durable», et a formulé des propositions d'évolution. Le consensus s'est fait autour des actions EcoQuartiers et EcoCités dans le cadre d'un partenariat renforcé public / privé société civile. Les acteurs estiment que le foisonnement de labels, de référentiels et de «démarches exemplaires» génére une perte de crédibilité et qu'il est nécessaire d'assurer une synergie et valoriser le savoir-faire collectif. La valorisation d'une culture partagée de «démarche de projet» et l'élaboration de cadres méthodologiques justifient la mise en place d'un «Institut de la ville durable (IVD)», lieu de pilotage partagé. Le rapport préconise la mise en place des labels régionaux EcoQuartiers et éventuellement EcoCités et recommande de mutualiser les expertises existantes en région, en fédérant les experts dans les «centres régionaux de ressources» autour d'un programme de travail impulsé par l'IVD. Enfin, il recommande de s'appuyer sur la nature partenariale de l'Institut, pour lui confier la mission d'oeuvrer à la convergence et de concourir à l'évaluation des démarches de développement urbain durable. Thèmes(s) : ADMINISTRATION PUBLIQUE ; AMENAGEMENT URBAIN ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : SERVICES DE OPERATIONNEL L'ETAT ; SERVICES DU MINISTERE ; URBANISME Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 104 sur 115 ADMINISTRATION PUBLIQUE ; POLITIQUE URBAINE ; DEVELOPPEMENT DURABLE ; ECO-QUARTIER ; DEVELOPPEMENT URBAIN DURABLE ; ECO-CITE ; RENOVATION ENERGETIQUE Numéro : 008798-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 105 sur 115 Titre : Création de la halte ferroviaire de La Couronne sur la ligne Paris-Bordeaux (16). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 28 août 2013.- 4 p. + 24 p. (formulaire) Résumé : Le projet n'est pas soumis à étude d'impact. Thèmes(s) : INFRASTRUCTURES - OUVRAGES D'ART ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OUVRAGE ; INSTALLATION FERROVIAIRE ; QUAI ; PASSERELLE ; PIETON ; ACCESSIBILITE ; HALTE FERREE ; TER ; DISPENSE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Charente ; La-Couronne Numéro : 009213-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 106 sur 115 Titre : Défrichement de 0,65 ha de boisements sur les communes de Sarrance et Osse-en-Aspe (64). Organisme(s) auteur(s) : AUTORITE ENVIRONNEMENTALE (AE) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, 27 août 2013.- 3 p. + 60 p. (formulaire) Résumé : Le projet est soumis à étude d'impact. Thèmes(s) : ENVIRONNEMENT ; CIRCULATION Domaine(s) : ETUDE D'IMPACT ; INFRASTRUCTURES FERROVIAIRES Mot(s)-clé(s) : PROJET D'OPERATION ; DEFRICHEMENT ; PREPARATION DU SITE ; INSTALLATION FERROVIAIRE ; CIRCULATION FERROVIAIRE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Pyrénées-Atlantiques ; Sarrance ; Osse-en-Aspe ; Oloron-Ste-Marie ; Bedous Numéro : 009200-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 107 sur 115 Titre : Plan d'action relatif à une meilleure utilisation de l'azote en agriculture. Auteur(s) : RATHOUIS (Pierre) ; DELCOUR (Denis) ; BALNY (Philippe) ; GUILLET (Muriel) ; ROUSSEL (François) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; CONSEIL GENERAL DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE ET DES ESPACES RURAUX (CGAAER) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, juillet 2013.- 101 p. Résumé : Le plan d'actions est axé sur la recherche d'une meilleure utilisation de l'azote, et non plus uniquement sur la substitution de l'azote minéral par l'azote organique, comme cela avait été fixé. L'objectif de réduction des pertes d'azote passe par son utilisation plus économe. Malgré une tendance à la baisse, ces pertes représentent 1,5 MT d'azote par an. La mission propose de fixer pour 2017 les objectifs suivants : doubler le rythme de baisse des utilisations d'azote minéral à 3%, réduire les émissions d'ammoniac et de gaz à effets de serre de 10%, réduire les pertes de nitrates dans l'eau de 25 %, augmenter de 50% la production de fertilisants organiques azotés. Le plan est décliné en 11 actions portant sur : les mesures à prendre pour concrétiser ces gains potentiels, les dispositions réglementaires pour faciliter la mobilisation de l'azote organique, le suivi des pollutions par les nitrates et le suivi des flux d'azote, le développement de filières de traitement des effluents d'élevage, dont la méthanisation, la réduction des pertes d'ammoniac à l'épandage et dans les élevages. Une redevance pollution sur l'azote minéral est une des voies de financement possible. Des dispositifs complémentaires susceptibles de mobiliser les acteurs de la filière pourraient être recherchés. Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : AGRICULTURE Mot(s)-clé(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 108 sur 115 ACTIVITE AGRICOLE ; NUISANCE AGRICOLE ; POLLUTION ; POLLUTION DE L'EAU ; POLLUTION DU SOL ; POLLUTION DU SOL ; REDUCTION DES CRITERES ; FERTILISANT Descripteur(s) géographique(s) : France ; Europe Numéro : 008764-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 109 sur 115 Titre : Contribution à l'évaluation du 2ème Plan National Santé Environnement 2009-2013. Auteur(s) : DURAND (François) ; PIPIEN (Gilles) ; RENUCCI (Armand) ; DAVID (Dominique) ; CHIEZE (François) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; INSPECTION GENERALE DES AFFAIRES SOCIALES (IGAS) ; INSPECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION DE L'EDUCATION NATIONALE ET DE LA RECHERCHE (IGAENR) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, juillet 2013.- 340 p. Résumé : Le rapport ne constitue pas en soi l'évaluation complète du deuxième plan national santé-environnement (PNSE 2) mais doit être considéré comme une contribution. Il aborde l'appréciation du degré de réalisation des actions du plan, sa gouvernance et son organisation notamment au regard des autres politiques publiques, le volet « recherche », sa déclinaison au niveau territorial, les moyens financiers et humains consacrés et comprend un parangonnage sur la manière dont les problèmatiques de santé-environnement sont abordés dans quelques autres pays. Il comporte des propositions d'améliorations dans la perspective de la réalisation d'un 3ème plan. Les recommandations soulignent l'intêret à poursuivre la politique publique engagée au travers d'un troisième plan. La mission fonde cette proposition sur plusieurs élèments : les apports du PNSE2 en matière de prévention des facteurs de risques environnementaux, les deux atouts que constituent sa gouvernance et sa d'éclinaison territoriale, enfin le besoin d'une politique publique de réduction des facteurs de risques environnementaux face au développement des maladies non transmissibles. La mission estime que le PNSE3 devrait être stratégique, recentré et simplifié s'ancrant dans la réalité d'actions territoriales et s'appuyant sur une gouvernance dynamique. Thèmes(s) : SANTE ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 110 sur 115 ACTION INTERMINISTERIELLE Mot(s)-clé(s) : EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT ; POLITIQUE PUBLIQUE ; SANTE ; RECHERCHE ; FINANCEMENT ; PLAN D'ACTION REGIONALE ; PLANIFICATION REGIONALE ; GOUVERNANCE ; MISE EN OEUVRE ; PREVENTION ; MALADIE ; ENVIRONNEMENT ; POLITIQUE DE LA SANTE Descripteur(s) géographique(s) : France ; Europe Numéro : 008720-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 111 sur 115 Titre : Évaluation de la politique maritime. Phase de diagnostic. Rapport d'analyse annexe. Auteur(s) : MORIN (Yves) ; BONDAZ (Marianne) ; SUCHE (Jean-Michel) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (CGEDD) ; INSPECTION GENERALE DE L'ADMINISTRATION (IGA) ; INSPECTION GENERALE DES AFFAIRES MARITIMES (IGAM) Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, juin 2013.153 p annexes Résumé : Le rapport s'inscrit dans le cadre de la modernisation de l'action publique (MAP). 200 acteurs et bénéficiaires de la politique maritime ont été rencontrés. L'équipe a également exploité un important fond documentaire. La notion de politique maritime pose des interrogations de contenu et de périmètre. Elle engage de multiples acteurs publics et privés, à forte tradition maritime ou provenant d'horizons différents. Elle est marquée par ses aspects internationaux et communautaires. Elle a fait l'objet de plusieurs documents stratégiques reconnaissant l'importance des enjeux des océans. Des objectifs forts sont énoncés par l'Etat qui mène un effort en matière de recherche. L'efficacité et l'efficience de l'action publique ne sont pas toujours optimales, la politique n'est pas forcément lisible sur le terrain. Elle est parfois insuffisamment coordonnée et peut présenter un décalage par rapport à l'émergence de grands enjeux. L'organisation déconcentrée est jugée complexe mais l'utilité et l'évolution des structures ne font pas consensus, il n'apparaît pas opportun d'engager de changement. Le rapport souligne la nécessité de sécuriser la filière de compétence maritime au sein du ministère, propose trois scénarios de gouvernance et liste des suggestions en matière de simplification. Ce rapport d'analyse annexe complète le rapport opérationnel (n°008799-01). Thèmes(s) : RESSOURCES - NUISANCES ; ENVIRONNEMENT Domaine(s) : LITTORAL ; MER Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 112 sur 115 Mot(s)-clé(s) : EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; MER ; LITTORAL ; DIAGNOSTIC ; POLITIQUE MARITIME Descripteur(s) géographique(s) : France Numéro : 008799-02 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 113 sur 115 Titre : Évaluation de la réforme des parcs nationaux issue de la loi du 14 avril 2006. Auteur(s) : REBEILLE-BORGELLA (Emmanuel) ; HUMBERT (Pascale) ; VERLHAC (Eric) Organisme(s) auteur(s) : CONSEIL GENERAL DURABLE (CGEDD) DE L'ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Source bibliographique : Paris : Conseil général de l'environnement et du développement durable, avril 2013.91 p. Résumé : La mission a visé à évaluer la réforme des parcs nationaux français, consécutive à la loi n°20006-436 du 14 avril 2006. Elle devait examiner l'équilibre de la gouvernance des parcs nationaux, les niveaux de protection des chartes, en particulier s'agissant des coeurs, au regard de l'objectif d'un niveau d'exigence élevé en ce domaine, le degré prévisionnel, d'adhésion des communes et des élus aux chartes, l'adéquation entre l'organisation des parcs et leurs nouvelles missions ainsi que l'état actuel d'avancement des projets de réorganisation, l'adéquation entre les nouvelles missions dévolues aux parcs et les compétences de leurs personnels, et les évolutions souhaitables, les moyens en personnels et budgétaires, nécessaires aux parcs nationaux. Le rapport porte sur l'évaluation de l'application de la loi et des perspectives de sa mise en oeuvre. La question des moyens sera approfondie dans un second rapport. La mission estime qu'il n'y a pas de « crise » des parcs français et que les difficultés dans la mise en oeuvre de la loi et la gestation des chartes des parcs nationaux participent des ajustements inévitables. Des mesures peuvent être prises pour faciliter la mise en oeuvre sans envisager une modification de la loi. Thèmes(s) : CADRE JURIDIQUE ; ENVIRONNEMENT ; RESSOURCES - NUISANCES Domaine(s) : ESPACE VERT ; FAUNE-FLORE Mot(s)-clé(s) : EVALUATION ; EVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES ; REFORME ; PARC NATUREL NATIONAL ; GOUVERNANCE ; MISE EN OEUVRE ; PROTECTION DE Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 114 sur 115 LA NATURE ; POLITIQUE DE L'ENVIRONNEMENT ; CHARTE Numéro : 008706-01 Texte disponible en ligne Conseil général de l'environnement et du développement durable Page 115 sur 115