DP_1415_Le miroir de Jade
Transcription
DP_1415_Le miroir de Jade
www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel Théâtre - Danse Le Miroir de Jade De Sandrine Bonnaire et Raja Shakarna Création à La Comédie de Valence Du 09 au 17 janvier 2015 à 20h TOURNÉE 2014-2015 Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau, Sète – 22 & 23 janv 2015 Théâtre de l’Olivier, Scènes&cinés Ouest Provence, Istres – 27 janv 2015 Anthéa, Antipolis Théâtre d’Antibes, Antibes – 3 fev 2015 La Garance, Scène Nationale de Cavaillon, Cavaillon – 10 fev 2015 Théâtre d’Auxerre, Auxerre – 17 fev 2015 La Maison de la Danse, Lyon – 3 & 4 mars 2015 Théâtre du Rond-Point, Paris – 10 mars > 11 avril 2015 Tournée en cours CONTACT PRODUCTION Amélie Billault : +33 4 75 78 41 71 / +33 6 07 04 92 38 [email protected] CONTACT COMMUNICATION/PRESSE Coline Loger : +33 4 75 78 41 77 / +33 6 03 43 77 21 [email protected] Place Charles-Huguenel 26000 Valence - FR billetterie : +33 (0)4 75 78 41 70 administration : +33 (0)4 75 78 41 71 télécopie : +33 (0)4 75 78 41 72 [email protected] sarl scop à capital variable | TVA Intracommunautaire FR73 384 611 778 | Siret 384 611 778 00026 | APE 923A – NAF 9001Z | Licences 1 – 1034106 / 1 – 1034112 / 2 – 1034113 / 3 – 1034114 Le Miroir de Jade De Sandrine Bonnaire et Raja Shakarna Mise en scène et chorégraphie Raja Shakarna Collaboration artistique Alexander Moralès Regard dramaturgique Catherine Ailloud-Nicolas Scénographie et costumes Bruno de Lavenère Son Frédéric Bühl Lumière David Debrinay Composition musicale Gaguik Mouradian et Yi-Ping Yang Coiffure et maquillage Emma Fernandez Avec Sandrine Bonnaire et Pauline Bayle, Elisa Gomez Percussions Yi-Ping Yang Kamantcha Gaguik Mouradian Production La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche Durée 55 minutes Spectacle créé à La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche le 9 janvier 2015 www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel À la suite d’un coma, Jade se confronte au bouleversant chemin du retour au monde, retour dans un environnement qui est sien, mais dont elle se sent pourtant abstraite, inéluctablement. Depuis cet étrange état d’âme et de corps où le langage verbal s’est éteint, Jade découvre l’altération de tous ses repères, déshumanisée jusqu’à la perte de la conscience de son genre sexué. Une gravitation dans un espace-temps où les lois fondamentales de l’Être au monde seraient désormais toutes autres. Alors Jade se met en mouvement, pas après pas – aller jusqu’au bout de la traversée intérieure du miroir, à sa propre reconquête. Face à son entourage, sa sœur, ses amis, son amant, Jade se dérobe, résiste, puis lâche prise pour mieux se retrouver, les retrouver. Ce projet est né d’un désir commun de Sandrine Bonnaire et Raja Shakarna de relier leurs deux univers autour d’une création sur le langage non verbal. Si Jade ne parle pas, elle communique néanmoins avec ses proches. Elle répond aux doutes, aux interrogations, à leur tristesse, leur colère avec le seul medium qui lui semble possible : son corps. Raja Shakarna, avec son expérience de la danse et de la mise en scène de théâtre, et Sandrine Bonnaire conçoivent une œuvre originale qui laisse une place centrale au travail sur le corps. Elles choisissent de représenter un parcours, celui de Jade, incarnée par Sandrine Bonnaire, de la chute jusqu’à l’épanouissement. Avec Le Miroir de Jade, œuvre chorégraphiée, Sandrine Bonnaire poursuit le retour sur scène entamé avec L’Odeur des planches en 2014. Sandrine Bonnaire © Raja Shakarna www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel DIRE OU MONTRER L’INDICIBLE ? CHOISIR LE LANGAGE DU CORPS OU CELUI DES MOTS ? Le projet des deux complices, Raja Shakarna et Sandrine Bonnaire, ne veut pas trancher. Il choisit la voie de l’œuvre chorégraphiée, du dialogue intime entre un théâtre de texte et un théâtre du mouvement. Parce que ce dialogue fait sens, parce ce qu’il est le meilleur moyen d’expression pour cette histoire singulière. Un théâtre de texte pour dépeindre le monde extérieur, celui que nous avons apprivoisé, le nôtre. Des paroles, réelles ou fantasmées, parviennent à la conscience altérée de Jade et la hantent ensuite, après son réveil du coma. Souvenir ou hallucinations ? Nul ne le sait mais cela brûle, cela fait mal. D’autres paroles, apaisantes ou injonctives, sont prononcées par tous les proches, famille et amis, pour tenter de sortir Jade de son inertie, de la ramener au monde des vivants, en stimulant ses sens et son esprit. Bienveillance aimante mais intrusive qui veut imposer son rythme, sa temporalité, à la limite de la violence, de l’indécence. Des paroles qui nous renvoient à notre propre impuissance face à ceux qui choisissent le repli, le refus de communiquer ou de vivre. Un théâtre du mouvement pour commencer paradoxalement à dire l’immobilité. Jade revient du coma comme on revient de chez les morts. Pétrifiée. Tétanisée. Terrifiée. Il faut alors montrer le corps qui se contracte, qui se crispe. Il faut plonger à l’intérieur de Jade, dans ses perceptions, dans ses sensations, dans ses émotions déformées. Il faut suivre ses vibrations, ses refus. Il faut accompagner le moment où elle choisit d’être successivement un vivant et non un gisant, une femme et non un corps asexué, un être social et non une forteresse vide. Une œuvre chorégraphiée pour donner à Sandrine Bonnaire une partition dans laquelle le corps se fera essence, présence et langage. Face à elle, des comédiens vibrants de vie et de mots. Et pour faire que l’immobilité soit définitivement vaincue, la force envoûtante de la musique de Gaguik Mouradian et Yi Ping Yang, parce que parfois les notes sont plus puissantes que les mots pour donner le désir de (re)vivre. Catherine Ailloud-Nicolas NOTES D’INTENTION JADE Le coma est l’état le plus radical de vie en rupture avec les stimulations extérieures. Dans le coma, Jade est présente mais n’existe pas. Jade est de retour chez elle. Jade vit seule. Jade est dans l’impossibilité de se réapproprier son corps et son espace. Une mort symbolique. Un corps chosifié. Jade se sent sans genre. Ne prend plus soin d’elle, ne se maquille plus. Elle se sent asexué. Elle se voit comme déformée. Jade vit le monde extérieur comme une agression. Que ce soit dans sa perception des sons, de la lumière et dans ses postures pour s’en protéger. Mais, malgré son chaos intérieur, l’instinct de survie de Jade laisse peu à peu place à une vraie volonté de vivre. RECONSTRUIRE Le point de départ est celui de la reconstruction. Celle d’une femme qui se réveille après un coma, dépossédée de son corps et de son environnement, en un mot de son identité. Une identité ébranlée, à reconstruire – à construire à nouveau. Jade ne dit rien de son état, en tout cas, elle ne le verbalise pas. Elle utilise d’autres langages, plus à même de traduire ses émotions, son état d’esprit, son cheminement vers la reconstruction. Ils sont son éveil. La musique, notamment le violon yiddish, côtoiera sur scène le mouvement, le mime et la danse. Par opposition, la parole exprimera un ancrage plus flagrant dans l’actuel, dans le quotidien des proches de Jade, mais elle sera rarement juste car elle reflètera l’évitement, la méfiance, l’incompréhension. La parole, trace de l’indicibilité du traumatisme. www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel ÉLÉMENTS DE SCÉNOGRAPHIE. Tout l’enjeu – traversée de et avec Jade – est bien de donner à voir sur scène la réalité intérieure de Jade, le flux de ses perceptions et de sa conscience. Tout comme la lumière et ses jeux d’intensité, certains éléments du décor seront en ce sens des indicateurs de perception. J’ai envie de travailler sur le noir. Le noir comme évocation de l’intensité de l’intériorité mais qui, comme chez Soulages, peintre de l’« outre-noir », n’est pas que noir : ce qu’il y a de plus sombre mais aussi lumière. SANDRINE BONNAIRE Une évidence. Elle est spontanée, une actrice instinctive, qui sait transmettre audelà des mots. Ici la question de l’incarnation est essentielle. Jade doit d’abord se réapproprier son corps. Sandrine est apparue comme une certitude pour incarner Jade, ces émotions-là, depuis la quasi animalité jusqu’à la sophistication. Lumière, musique et son s’entrecroiseront et s’interrogeront pour donner à lire son intériorité. Raja Shakarna, metteur en scène ENTRETIEN AVEC SANDRINE BONNAIRE Quel est votre rapport à la scène ? En 1989, j’ai joué au théâtre une pièce de Brecht, La Bonne Âme du Se-Tchouan, mise en scène par Bernard Sobel à Gennevilliers. Cela a été une aventure extraordinaire : c’était une pièce de 4 heures, je jouais deux personnages, un homme et une femme, j’étais en scène tout le temps… Un vrai beau voyage. Ensuite j’ai arrêté pendant très longtemps : j’ai eu des enfants et l’idée d’aller tous les soirs au théâtre ne me plaisait pas. Peu à peu le trac s’est installé et j’ai eu peur de revenir à la scène. Et puis, il y a deux ans, j’ai fait une lecture, des reprises de textes du film Jeanne d’Arc de Jacques Rivette mis en scène et en musique par Jordi Savall. À nouveau un moment très fort : la lecture était accompagnée de musique, j’étais entourée de musiciens extraordinaires. En ce moment, je vis la scène d’une autre manière. J’ai fait un duo avec Jacques Higelin sur son dernier album et je suis en train de réaliser un documentaire sur lui. Parfois, quand il est en tournée, je filme et je chante avec lui sur scène la chanson que nous avons faite ensemble et cela me plait énormément ! Le rapport à la scène revient et me donne envie d’y revenir. Comment est né le projet d’une collaboration artistique avec Raja Shakarna ? Nous nous connaissons depuis que j’ai 10 ans et nous avons toujours partagé de grands moments de danse. Elle voulait être comédienne et moi, danseuse. Raja a fait son parcours dans la danse et moi, j’ai fait par hasard du cinéma. La danse ne m’a pour autant jamais quittée. Le Miroir de Jade est né de cette complicité entre Raja et moi. On a toujours échangé physiquement et verbalement sur le corps. Dans mon parcours, il m’est arrivé par ailleurs il y a quelques années un traumatisme, j’ai été très violemment agressée. J’ai alors été amenée à réparer, soigner toutes ces blessures. J’ai dû me réparer physiquement. En faisant ce travail de rééducation, j’ai développé la conscience de mon corps et je le connais dans ses moindres détails. Nous avions beaucoup échangé avec Raja à ce sujet, et trouvions intéressant de construire une histoire à partir de ce parcours : un corps brisé, un mental brisé aussi. Une femme qui se relève doucement, grâce à d’autres, grâce aussi à la force que le corps implique car il est vraiment magique. www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel La question de ce corps, pesant, est au premier plan dans le spectacle. Un corps qui, petit à petit, va se libérer. Qu’est-ce que cela implique dans votre travail d’actrice ? J’aborde toujours mon métier d’actrice en rapport avec le corps, même en tant que réalisatrice. Lorsque j’ai réalisé un film de fiction, j’ai dirigé mes acteurs sur le plateau non pas sur l’aspect psychologique, travail qui se fait pour moi en amont avec l’écriture mais sur la gestuelle, le rythme du corps. De même, quand je lis un rôle qu’on me propose, je me crée des images, je me dis que c’est quelqu’un qui se tient droit ou au contraire quelqu’un de voûté, ou qui marche vite… Je mets comme ça plein de petits éléments qui m’aident à créer le personnage. Pour Le Miroir de Jade, c’est un peu pareil. La première partie tout du moins. Car la fin, elle, se termine en feu d’artifice, de l’ordre de la danse, une véritable chorégraphie. Avant, il s’agira plus de s’exprimer par le corps. Cela va être assez physique. Beaucoup de choses vont être au sol, mais comme j’ai fait de la capoeira, c’est quelque chose que je connais. Spectacle de danse alors ou spectacle de mouvements ? C’est avant tout une histoire, celle d’une femme détruite qui vit une renaissance. Cette histoire passe par le corps mais aussi par la voix : du souffle, des rires… C’est un mélange de comédie, de mime, de danse… Un personnage certes muet mais qu’on entend quand même. Pour créer ce personnage, il faut connaitre la danse, avoir la notion du corps, des appuis. Je vais avoir deux mois de préparation et trois semaines de travail sur des mouvements très précis. Avez-vous déjà une idée de ce que sera la mise en scène du spectacle ? Oui, Raja travaille toujours très en amont : le décor, la lumière, la prise d’espace, les gestes mêmes … Nous travaillons déjà ! Raja est très passionnée, et il s’agit, de plus, de notre projet à « nous deux ». Elle sait quels sont les enjeux pour moi de ce retour à la scène et veut arriver à la proposition artistique la plus juste qui croisera les univers de la danse, du théâtre et de la musique. Interview réalisée par Catherine Ailloud Nicolas – décembre 2013 Sandrine Bonnaire et Raja Shakarna © Jean-Louis Fernandez www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel SANDRINE BONNAIRE Interprète Comédienne et réalisatrice, elle monte pour la première fois sur les planches en 1989, dans la pièce La Bonne Âme du Se-Tchouan de Bertolt Brecht, mise en scène par Bernard Sobel au Théâtre de Gennevilliers. Elle passe à la réalisation en 2007 avec le documentaire Elle s’appelle Sabine, puis de nouveau en 2012 avec J’enrage de son absence, son premier long métrage. En 2015, elle créera la version spectacle de L’Odeur des planches de Samira Sedira dans une mise en scène de Richard Brunel, directeur de La Comédie de Valence. RAJA SHAKARNA Metteur en scène Auteur, chorégraphe, metteur en scène, elle apprend la danse à New York notamment, avant de signer plusieurs mises en scène au Théâtre d’Aleph, au Théâtre du Renard, au Café de la Gare ou encore au Théâtre de l’Épouvantail. En 2011, elle met en scène Sa Majesté des Mouches pour le Festival de théâtre de Phalsbourg puis en 2012, dans le cadre de ce même festival, un Hommage à Raymond Devos. PAULINE BAYLE Interprète Après un master à Sciences Po Paris, Pauline Bayle rentre au CNSAD où elle étudie notamment aux côtés de Nada Strancar, Caroline Marcadé, Éloi Recoing, et JeanPaul Wenzel. En 2014, elle joue le rôle de Cordélia dans Le Roi Lear de Shakespeare mis en scène par Christian Schiaretti au TNP de Villeurbanne et au Théâtre de la Ville à Paris. Au cinéma, elle tourne sous la direction de Yann Le Quellec (Le Quepa sur la Vilni), Victor Rodenbach et Hugo Benamozig (Petit Bonhomme & Les Aoutiens) ainsi qu'Avril Besson. Parallèlement, elle crée sa première pièce, À tired'aile, au Ciné XIII Théâtre en 2013, et en 2014 son second spectacle À l'ouest des terres sauvages est distingué par le jury du Prix des Jeunes Metteurs en Scène, organisé par le Théâtre 13 à Paris. ELISA GOMEZ Interprète Elisa Gomez a suivi une formation en danse classique à Madrid en Espagne. Elle a ensuite découvert la danse orientale avec Raja Shakarna à Paris avant de participer comme interprète aux nombreux projets artistiques de la chorégraphe depuis 2004. Devenue professeur de danse orientale à Paris, elle a poursuivi sa formation en danse orientale auprès d’Aladin El Kholy (Paris, Allemagne), Josephine Wise (Londres) et suivi les masterclasses de Hilda Cannoodt, Raphaelle Masson, Kay Taylor, Lisa Michaela... Elle a aussi exploré la danse contemporaine au Siobhan davies Dance studio (Londres) GAGUIK MOURADIAN Kamantchiste Né à Erevan en Arménie en 1954, Gaguik Mouradian, encore adolescent tombe amoureux du kamantcha (vièle à pique) en voyant le film de Paradjanov consacré au troubadour Sayat Nova. Il entreprend alors des études de musique au Conservatoire Komitas d’Arménie où il est initié par le maître Hratchik Avédikian. Devenu maître du kamantcha, Gaguik Mouradian est soliste dans les Ensembles Nationaux de Chants et Danses de l’ex-République Soviétique d’Arménie et se produit en concert en Europe de l’Est comme en France, aux États-Unis ou au Canada...Il forme plusieurs ensembles de musique traditionnelle, dont l’ensemble Goussan. Depuis plus de trois ans maintenant, il constitue également un duo avec Claude Tchamitchian au sein duquel les deux musiciens se retrouvent pour un dialogue aux confins des musiques traditionnelle et improvisée. YI-PING YANG Percussioniste Chef de file reconnue de la percussion créative, Yi-Ping Yang participe à plusieurs créations théâtrales comme musicienne et comédienne. Elle présente avec La Compagnie des Lumas Encouragements de Sophie Lannefranque et Concertina, toutes deux mises en scènes par Eric Massé Comédie de Valence et au Théâtre de Villefranche-sur-Saône, Le Tigre bleu de l’Euphrate de Laurent Gaudé mis en scène par Gilles Chavassieux. Comme compositrice, elle crée la bande sonore d’Hiver de Jon Fosse, et la musique d’En ordre de bataille d’Alain Jugnon. En 2008, elle imagine Migrances sur des textes de Dorothée Zumstein, inspirés de son chemin personnel, mise en scène par Éric Massé. www.comediedevalence.com direction : Richard Brunel UN CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL PARTAGÉ LE COLLECTIF ARTISTIQUE RENOUVELÉ Aux côtés de Richard Brunel – Samuel Achache, Mathurin Bolze, Jeanne Candel et Caroline Guiela Nguyen rejoignent Catherine Ailloud-Nicolas, Lancelot Hamelin, Norah Krief et Éric Massé. Avec leurs invités, Sandrine Bonnaire et Christian Rizzo, ils présentent ou imaginent de nombreuses créations que La Comédie accompagne. EN 2013 / 2014, 16 CRÉATIONS ET PREMIÈRES EN FRANCE Dont Avant que j’oublie de et avec Vanessa Van Durme, mis en scène par Richard Brunel, saluée par le syndicat de la critique, prix de la meilleure comédienne pour Vanessa Van Durme. 12 PRODUCTIONS EN TOURNÉE EN 2014/2015 Soit 210 représentations, 70 théâtres en France, Europe, Asie et aux Etats-Unis. 2014/2015 14 CRÉATIONS ET PREMIÈRES EN FRANCE LE COLLECTIF ARTISTIQUE ET SES INVITÉS > RICHARD BRUNEL ● AVANT QUE J’OUBLIE Vanessa Van Durme / Richard Brunel – 29 & 30 sept. 2014 - La Comédie de Valence / 16 oct. 2014 - Le Toboggan, Décines / 05 nov. 2014 - Maison de la culture de Tournai, Belgique / 07 nov. 2014 - Centre culturel d’Ottignies, Louvain-laNeuve, Belgique / 13 & 14 nov. 2014 - Scène nationale 61, Alençon / 09 déc. 2014 - Théâtre d’Arles /17 & 18 déc. 2014 - Bonlieu - Scène Nationale, Annecy /09 & 10 janv. 2015 - Théâtre de Privas / 20 > 22 janv. 2015 - Théâtre de la Renaissance, Oullins / 03 fév. 2015 - Saison culturelle La Tour-du-Pin /05 fév 2015 - Scènes du Jura, Dole / 05 mars 2015 - L’Amphithéâtre, Pont-de-Claix/ 07 mars 2015 - Espace Paul Jargot, Crolles / 10 & 11 mars 2015 - Le Cratère d’Alès / 17 mars 2015 Scènes de Romans / 20 mars 2015 - Théâtre Firmin Gémier ChatenayMalabry / 24 > 27 mars 2015 - Théâtre Dijon Bourgogne / 21 > 23 avr. 2015 - CDN de Haute-Normandie, Rouen ● EN FINIR AVEC EDDY BELLEGUEULE Edouard Louis /Micha Lescot / Richard Brunel – 29 > 31 mai 2015 - Festival Ambivalence(s), La Comédie de Valence > SAMUEL ACHACHE ● FUGUE – 29 mai > 01 juin 2015 - Festival Ambivalence(s), La Comédie de Valence / 2015-2016 - Théâtre des Bouffes du Nord, Paris > MATHURIN BOLZE ● PROMENONS-NOUS DANS L’ÉMOI – 30 mai > 02 juin 2015 - Festival Ambivalence(s), La Comédie de Valence > JEANNE CANDEL ● LE GOÛT DU FAUX ET AUTRES CHANSONS – 12 > 18 nov. 2014 - La Comédie de Valence / 24 nov. > 13 déc. 2014 - Théâtre de La Cité internationale dans le cadre du Festival d’Automne à Paris / 04 > 14 fév. 2015 - Théâtre Garonne, Toulouse / 26 février 2015 - Théâtre de Vanves, Vanves 09 & 10 avr. 2015 - Le Phénix, Scène nationale, Valenciennes ● B.A.R.K / W.A.T.E.R Jeanne Candel & Lionel Dray – 29 mai > 02 juin 2015 - Festival Ambivalence(s), La Comédie de Valence > CAROLINE GUIELA NGUYEN ● ELLE BRÛLE Les Hommes Approximatifs / Caroline Guiela Nguyen – 04 > 07 nov. 2014 - CDR de Tours / 18 > 20 nov. 2014 - Scène nationale de Sénart Combs-la-Ville / 25 & 26 nov. 2014 - Théâtre d’Arles / 02 déc. 2014 - Théâtres en Dracénie, Draguignan / 09 & 10 déc. 2014 - Espace des Arts, Chalon-surSaône / 13 & 15 janv. 2015 - Théâtre de Lorient / 20 > 23 janv.2015 - CDN de Haute-Normandie, Rouen / 17 > 19 fév. 2015 - Comédie de Béthune / 24 & 25 fév. 2015 - La Passerelle - Scène nationale, Saint-Brieuc 03 mars 2015 - Le Préau, Vire, CDR de Basse-Normandie et Scène nationale 61 / 06 & 07 mars 2015 - Théâtre de Chelles / 10 > 14 mars 2015 - Théâtre de la Croix-Rousse, Lyon / 17 > 21 mars 2015 - Théâtre national de Bordeaux / 24 > 26 mars 2015 - Théâtre de La Coupe d’Or, Rochefort-surMer / 31 mars > 02 avr. 2015 - Comédie de Caen / 09 > 17 avr. 2015 Comédie de Reims / 21 avr. 2015 - Scène nationale d’Aubusson / 27 > 29 mai 2015 - Théâtre national de Nice ● LE CHAGRIN Les Hommes Approximatifs / Caroline Guiela Nguyen – 31 mars > 10 avr. 2015 - La Comédie de Valence / 21 > 24 avr. 2015 - CDR de Tours / 06 mai > 06 juin 2015 - La Colline - théâtre national, Paris > LANCELOT HAMELIN ● UNE ABEILLE D’ARMÉNIE – Lun 02 mars > jeu 09 avril 2015 – Les Controverses & La Comédie itinérante > NORAH KRIEF ● LES SONNETS DE SHAKESPEARE William Shakespeare / Pascal Collin / Frédéric Fresson / Norah Krief / Richard Brunel – 16 > 18 déc. 2014 - La Comédie de Valence / 29 > 31 janv. 2015 - Théâtre national de Nice / 28 mai 2015 - Théâtre de Cornouaille, Quimper > ÉRIC MASSÉ ● FEMME VERTICALE – 09 & 10 oct. 2014 - Amphithéâtre, Pont-de-Claix/ 05 > 28 nov. 2014 - La Comédie itinérante / 09 > 12 déc. 2014 - Théâtre de la Renaissance, Oullins / 06 mars 2015 – Nocturnes au Musée des Beaux-Arts de Lyon / 24 mars 2015 - Le Mille Pattes, Annonay-Davézieux / 26 mars 2015 - Le Carré, Scène nationale, ChâteauGontier / 31 mars 2015 - Théâtre de Die / 22 & 23 mai 2015 - Théâtre national de Nice ● MALENTENDUS – L’ENFANT INEXACT, Bertrand Leclair / Éric Massé – 28 mai > 02 juin 2015 - Festival Ambivalence(s), La Comédie de Valence > SANDRINE BONNAIRE ● LE MIROIR DE JADE Sandrine Bonnaire / Raja Shakarna – 09 > 17 janv. 2015 - La Comédie de Valence / 22 & 23 janv. 2015 - Scène nationale de Sète et du Bassin de Thau / 27 janv. 2015 Scènes & cinés Ouest Provence, Istres/ 30 janv. 2015 - Le Salmanazar, Epernay / 03 fév. 2015 - Anthéa, Antipolis Théâtre d’Antibes / 10 fév. 2015 - Scène nationale de Cavaillon / 17 fév. 2015 - Théâtre d’Auxerre / 03 & 04 mars 2015 - Maison de la Danse, Lyon / 10 mars > 11 avr. 2015 Théâtre du Rond-Point, Paris ● L’ODEUR DES PLANCHES Samira Sedira / Sandrine Bonnaire / Richard Brunel – 23 avr. 2015 > 25 avr. 2015 Théâtre du Jeu de Paume, Aix-en-Provence 29 & 30 avr. 2015 - French Institute - Alliance Française, New-York / 05 & 06 mai 2015 - Théâtre de Villefranche / 09 mai 2015 - Théâtre de l’Atrium, Tassin-la-Demi-Lune / 11 > 13 mai 2015 - Comédie de Saint-Étienne / 16 mai 2015 - Théâtre de l’Ouest Parisien, Boulogne-Billancourt / 20 > 23 mai 2015 - Théâtre national de Nice / 26 mai 2015 - Comédie de Béthune / 29 mai 2015 Théâtre d’Arles / 02 juin 2015 - La Comédie de Valence PREMIÈRES EN FRANCE > DADA MASILO ● CARMEN Première mondiale – 16 > 18 septembre 2014, dans le cadre de la Biennale de la danse > OSCAR VAN ROMPAY / PETER VERHELST ● AFRICA Première en France – 14 & 15 octobre 2014 EXCLUSIVITÉS RHÔNE-ALPES > ANGELICA LIDDELL ● YOU ARE MY DESTINY – 23 & 24 janvier 2015 > J.S. BACH / RAPHAEL PICHON / KATIE MITCHEL ● TRAUERNACHT – 24 février 2015 > WAYNE MC GREGOR | RANDOM DANCE ● ATOMOS – 05 mai 2015