Ouverture du Festival du film francophone de Thessalonique au

PROGRAMME DES SÉANCES
Jeudi 27/03
20h30 Casse-tête chinois - 114'
22h30 Une liaison pornographique - 80'
Vendredi 28/03
20h30 La fille du 14 juillet - 88'
22h15 Michael Kohlhaas - 122'
Samedi 29/03
20h30 9 mois ferme - 82'
22h15 Quai d'Orsay - 113'
Dimanche 30/03
20h30 La bataille de Solférino - 94'
22h30 Les 4 soldats - 83'
Lundi 31/03
21h00 Les coquillettes - 75'
22h30 Vénus beauté (institut) - 105'
Mardi 1/04
20h30 Tonnerre - 102'
22h30 Sauve qui peut (la vie) - 88'
Mercredi 2/04
20h30 La vraie vie des profs - 100'
22h30 Diego Star - 91'
Billetterie
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Prix unique : €5,00 • Carte «CineΚάρταF»: €4,00
Salle OLYMPION
27 Mars - 2 Avril 2014
9 mois ferme, d’Albert Dupontel, 82’
Ariane Felder est enceinte! C'est d'autant
plus surprenant que c'est une jeune juge
aux mœurs strictes et une célibataire
endurcie. Mais ce qui est encore plus
surprenant, c'est que, d'après les tests de
paternité, le père de l'enfant n'est autre
que Bob, un criminel poursuivi pour une
atroce agression! Ariane, qui ne se
souvient de rien, tente de comprendre
ce qui a bien pu se passer et ce qui
l'attend...
Casse-tête chinois,
de Cédric Klapisch, 114’
Xavier a 40 ans.15 ans après L’Auberge
Espagnole et dix ans après Les Poupées
Russes, sa vie n’est pas forcement rangé
et tout semble de plus en plus
compliqué. Désormais père de deux
enfants, son virus du voyage l’entraîne à
New York, à Chinatown. Xavier cherche
sa place en tant que fils, en tant que
père, en tant qu’homme. Séparation.
Famille recomposée. Homoparentalité.
Immigration.
Travail
clandestin.
Mondialisation. La vie de Xavier tient
résolument du casse-tête chinois!
Diego Star, de Frédérick Pelletier, 91’
Un cargo sur le fleuve Saint-Laurent.
Dans la salle des machines, un incident
majeur se produit. Traoré, un
mécanicien ivoirien, est injustement
accusé. Le bateau est remorqué au
chantier maritime de Lévis pour être
réparé. Dans l'intervalle, l'équipage est
hébergé par les habitants. Loin des siens
et de ses repères, Traoré s'enfonce dans
l'hiver québécois...
La bataille de Solférino,
de Justine Triet, 94’
6 mai 2012, Solférino - Italie. Laetitia,
journaliste de la télévision, couvre les
présidentielles. Mais débarque Vincent,
l'ex, pour voir leurs filles. Gamines
déchaînées,
baby-sitter
submergé,
amant vaguement incrust, avocat
misanthrope, France coupée en deux:
c’est dimanche, tout s'emmêle, rien ne
va plus!
La fille du 14 juillet,
d’Antonin Peretjatko, 88’
Paris, c’est le 14e anniversaire de la
Révolution française. C’est l’été, la
chaleur est éprouvante. Hector fait la
connaissance de Truquette. Pour la
séduire, il l'invite à un voyage
d'agrément avec son ami Pator et l'amie
de Truquette, Charlotte. Leurs plans sont
soudain
chamboulés
lorsque
le
gouvernement décide d’avancer la
rentrée d’un mois pour cause de crise
économique.
Les 4 soldats, de Robert Morin, 83’
Dans un climat de guerre civile, un
combat qui leur a fait tout perdre, y
compris leur jeunesse, quatre soldats
âgés de 13 à 20 ans, vont se rencontrer
et tisser des liens d'amitié. Matéo,
Dominique, Big Max et Kévin vont se
préserver en recréant, au détour d'un
étang et d'une cabane, une famille. Petit
à petit, chacun y trouve sa place. Une
famille qui s'agrandira avec l'arrivée du
petit Gabriel, qu'ils devront former.
Les coquillettes, de Sophie Letourneur,
75’
Le cinéma, ce n'est pas toujours tapis
rouge et petits fours! Trois «nouilles» en
mal d'amour partent en virée dans un
festival en Suisse: Sophie est obsédée
par le seul acteur connu du festival,
Camille rêve d'un histoire d'amour
impossible et Carole a juste «envie de
prendre du bon temps».
La vraie vie des profs, d’Emmanuel Klotz
et Albert Pereira Lazaro, 100’
Albert et JM, deux «lascars» de 5e, sont
contraints par le directeur de rejoindre le
journal de l’école avec de bons élèves,
les «boloss». C’est l’humiliation suprême!
Passé le choc des cultures, tous
s’accordent sur une «pure idée» qui va
faire l’effet d’une bombe: transformer le
journal en un site Internet consacré à la
vie privée de leurs profs.
Une réalisatrice, son amant, pris par la
peur sentimentale surtout par rapport à
ses relations avec les femmes, et une
prostituée. Trois héros, trois chemins
ayant un point commun à la fin, comme
trois bandes-sons qui se rencontrent. Le
retour de Godard à la fiction.
Tonnerre, de Guillaume Brac, 102’
Un rocker trop sentimental, une jeune
femme indécise, un vieux père
fantasque. Dans la petite ville de
Tonnerre, les joies de l’amour ne durent
qu’un temps. Une disparition aussi
soudaine qu’inexpliquée et voici que la
passion cède place à l’obsession.
Michael Kohlhaas,
d’Arnaud des Pallières, 122’
Au XVIe siècle dans les Cévennes, le
marchand de chevaux Michael Kohlhaas
mène une vie familiale prospère et
heureuse. Victime de l'injustice d'un
seigneur, cet homme pieux et intègre
lève une armée et met le pays à feu et à
sang pour rétablir son droit.
Une liaison pornographique, de Frédéric
Fonteyne, 80’
Une femme décide de réaliser un
fantasme sexuel. Un homme décide de
partager ce fantasme. Ils se rencontrent
une fois d'abord, puis plusieurs.
Insidieusement, une relation se crée. Le
sexe n'est plus la seule chose qui les
réunit. Des sentiments naissent.
Quai d'Orsay, de Bertrand Tavernier, 113’
Alexandre Taillard de Worms est un
homme magnifique et plein de panache
qui plait aux femmes et est
accessoirement ministre des Affaires
étrangères. Sa crinière argentée et son
corps d’athlète est partout, de la tribune
des Nations Unies jusqu’en Oubanga.
Αvec l’appui de la diplomatie, il
pourfend
les
néoconservateurs
américains, les russes corrompus et les
chinois cupides.
Vénus beauté (institut), de Tonie
Marshall, 105’
Vénus Beauté est un institut de beauté
de quartier. On y prodigue des soins, des
conseils, on y écoute les douleurs
passagères ou profondes des clientes,
on y vend des crèmes, de la relaxation,
du faux soleil et on y trouve un peu
d’espoir et de croyance en la beauté
éternelle. Nadine, la patronne, dirige son
commerce
et
emploie
trois
esthéticiennes : Samantha, Angèle et
Marie...
Sauve qui peut (la vie),
de Jean-Luc Godard, 88’