Dossier de presse

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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND
Du 8 au 14 avril 2009
L’Odyssée Fos-sur-Mer |L’Espace Robert Hossein Grans | Le Coluche Istres |
Le Comoedia Miramas | L’Espace Gérard Philipe Port-St-Louis-du-Rhône
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
Index
Présentation
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Horaires des séances
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Clara de Helma Sanders-Brahms
Allemagne mère blafarde de Helma Sanders-Brahms
Jerichow de Christian Petzold
Yella de Christian Petzold
Ferien de Thomas Arslan
Pingpong de Matthias Luthardt
7ème ciel d’Andreas Dresen
L’un contre l’autre de Jan Bonny
Unveiled d’Angelina Maccarone
Cherry Blossoms de Doris Dörrie
Le Bonheur d’Emma de Sven Taddicken
La Vague de Dennis Gansel
La Bande à Baarder d’Uli Edel
Mein Fürher de Dani Levy
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Les soirées
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Renseignements pratiques
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
Présentation
Quelques beaux succès de films produits en Allemagne ces dernières années,
comme Good Bye Lenin, La Vie des autres, La Chute, ont ouvert les yeux du public
en France sur une cinématographie d'une grande vitalité, riche d'auteurs,
d'acteurs, de réalisateurs, dont les sources d'inspiration sont extrêmement
diversifiées. Les préjugés sur le Cinéma allemand austère, lourd, obsédé par le
passé, sont en train de perdre de leur virulence.
Afin d’inciter à découvrir une autre image de l’Allemagne, très peu conformiste,
les cinémas de Scènes et Cinés Ouest Provence programmeront 14 films, dont trois
avant-premières, du mercredi 8 au mardi 14 avril 2009. Le tarif « super réduit » sera
proposé - 4,5€ au Coluche et 3,5€ dans les autres cinémas. Tout au long de cette
programmation, des soirées autour d'avant-premières, de débats, des moments
de convivialité et d'échange seront également proposés dans chaque cinéma
(voir page 19).
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•
Parce que le grand écran bouscule les frontières intérieures et
géographiques
Parce que le cinéma participe à dépoussiérer les idées reçues
Parce que rapprocher des œuvres cinématographiques ouvre regard et
points de vue
Parce que certains réalisateurs ont réveillé le cinéma d’auteur avec des
histoires passionnantes et une volonté de toucher le grand public
Parce que certains sujets encore tabous sont évoqués avec originalité et
assurance…
Un concentré d’audace sur les écrans de Scènes et Cinés
3
P
PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
Panorama du Cinéma allemand – Du 8 au 14 avril
Horaires des séances
Mercredi 8
Espace Gérard
Philipe
Port-St-Louis-duRhône
Jeudi 9
Vendredi 10
Samedi 11
21h
L'Un contre l'autre(V.O)
Mardi 14
21h
La Vague (V.O)
21h
La Vague (V.O)
21h
La Vague (V.O)
17h
Unveiled (V.O)
18h
Unveiled (V.O)
21h
Mein Führer (V.O)
19h
Concert
Espace Robert
Hossein
Grans
L‘Odyssée
Fos-sur-Mer
Lundi 13
18h
Septième ciel (V.O)
Le Comoedia
Miramas
Le Coluche
Istres
Dimanche 12
18h30
La vague (V.O)
18h
Cherry Blossoms (V.O)
21h
Jerichow (V.O)
21h
Clara (V.F)
18h
La Bande à Baader(V.O)
21h
Le Bonheur d'Emma(V.O)
18h15
Allemagne, mère
blafarde (V.O)
20h45
Pingpong (V.O)
18h30
Jerichow (V.O)
18h30
La Vague (V.O)
18h30
Cherry Blossoms(V.O)
20h45
Yella (V.O)
21h
Septième ciel (V.O)
21h
La Bande à Baader
(V.O)
18h30
La Vague (V.O)
18h30
Septième ciel (V.O)
18h30
La Vague (V.O)
18h30
Jerichow (V.O)
19h
Septième ciel (V.O)
21h
Cherry Blossoms (V.O)
21h
L'Un contre l'autre
(V.O)
21h
Ferien (V.O)
21h
Yella (V.O)
19h
Ferien (V.O)
Soirée en présence d'un intervenant, journaliste ou critique de cinéma
Avant-premières : Clara / Jerichow / Yella
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18h30
Le Bonheur d'Emma
(V.O)
21h
Pingpong (V.O)
18h30
L'un contre l'autre (V.O)
20h45
Mein Führer (V.O)
18h30
Allemagne, mère
blafarde (V.O)
21h
Clara (V.F)
PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
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Deux films d’Helma Sanders-Brahms
Clara
AVANT-PREMIERE
De Helma Sanders-Brahms
Avec Martina Gedeck (Clara Schumann), Pascal Greggory (Robert Schumann), Malik Zidi (Johannes Brahms)
2008 – 1h47 – V.O. française
Synopsis
Le réalisateur
En 1850, la pianiste et compositrice Clara Schumann
accompagne son mari Robert et ses enfants à Düsseldorf.
Après de longues et éreintantes années de tournée, Robert
Schumann – célèbre compositeur et chef d’orchestre – doit
y occuper un poste de directeur musical.
Cependant, l’homme a du mal à supporter son angoisse
face à l’orchestre et subit des crises de plus en plus
fréquentes. Clara joue en public les morceaux de son mari
avec un immense succès, contribuant à la popularité de ses
œuvres.
Lors de son dernier concert à Hambourg, elle fait la
connaissance de Johannes Brahms, 14 ans de moins qu’elle,
dont le talent impressionne son mari. Mais ce n’est pas
seulement la virtuosité du pianiste qui, chez Brahms, séduit
Clara…
Née en 1940 à Emden (Allemagne), Helma Sanders-Brahms a suivi
des études d’anglais et d’allemand à Cologne. Lors d’un stage de
journalisme à la télévision, elle fait une interview de Pier Paolo
Pasolini qui l’oriente vers le cinéma.
Dès 1969, elle produit quelques reportages et documentaires pour
les chaînes allemandes. À partir des années 70, elle réalise des films
de fiction où se mêlent la représentation d'une réalité sociale et une
vision très personnelle et féministe de l'histoire de l'Allemagne.
Ainsi, Sous les pavés, la plage qu'elle réalise en 1975 est une
variation sur la génération de 68, sur ses exigences et ses
incertitudes. L'année suivante, elle met en scène Les noces de
Shirin, le destin d'une jeune Turque qui fuit l'oppression de la
tradition pour immigrer dans un pays, l'Allemagne.
En 1977, elle dresse un portrait de l'écrivain Heinrich von Kleist
reconstitué à partir de lettres et de documents biographiques.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
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Deux films d’Helma Sanders-Brahms
Allemagne mère blafarde
De Helma Sanders-Brahms
Avec Eva Mattes (Lene), Ernst Jacobi (Hans), Anna Sanders (Anna)
1980 – 2h03 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur – Suite
Dans l’Allemagne des années 1930, Hans et Lene se marient.
Très vite, la guerre éclate. En l’absence de son époux, parti
rejoindre les troupes hitlériennes sur le front, Lene donne le
jour à une petite fille, Anna. Toutes les deux doivent affronter
la peur, les violences, les privations… Lorsque Hans revient, le
couple s’est irrémédiablement décomposé et l’Allemagne
n’est plus qu’un champ de ruines.
À travers le destin dramatique d’une jeune Allemande prise
dans la tourmente de l’Histoire, la réalisatrice, qui s’inspire de
sa propre histoire, ausculte la conscience de son pays, des
années noires au difficile redressement de l’après-guerre.
Helma Sanders-Brahms est une enfant de la guerre et ce destin a
profondément marqué sa vie personnelle et son inspiration de
cinéaste dont Allemagne, mère blafarde (1980) est le film
emblématique.
Par la suite, ses films trouveront un appui financier venant de
France. Dans les années 80, la cinéaste dirige Brigitte Fossey dans
L’avenir d’Emilie, un drame sur une jeune comédienne francoallemande, qui a laissé sa petite fille à ses parents, en Normandie.
Puis, elle tourne le drame Laputa avec Sami Frey.
En 1992, la cinéaste allemande réalise Les fruits du paradis,
l'histoire d'un couple de socialistes travaillant dans une
coopérative agricole, au moment de la réunification de
l'Allemagne. Trois ans plus tard, elle signe un segment dans le
film collectif Lumière et compagnie (1995). Puis, tourne My Heart
is Mine Alone (1997).
Helma Sanders-Brahms a reçu le titre de Chevalier des Arts et des
Lettres (1991) et une rétrospective a été consacrée à son œuvre à
Créteil en 1985.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
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La nouvelle vague allemande : l’Ecole de Berlin
Jerichow
AVANT-PREMIERE
De Christian Petzold
Avec Bennon Fürmann (Thomas), Nina Hoss (Laura), Hilmi Sözer (Ali)
2009 – 1h33 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Renvoyé de l’armée et averti du décès de sa mère, Thomas
retourne à Jerichow, une petite ville du nord-est de
l’Allemagne. Il souhaite rénover la maison familiale et
démarrer une autre vie, mais il n’y a pas de travail dans
cette région exsangue. Pourtant, Ali a réussi à y bâtir une
chaîne de restauration rapide et une demeure au cœur de
la forêt.
La route de Thomas croise celle de cet entrepreneur replet,
solitaire et méfiant, qui est marié à Laura. Après lui avoir
rendu un fier service, le jeune homme taciturne et athlétique
devient le chauffeur d’Ali, parfois même son garde du corps.
Une vraie rencontre avec Laura semble inévitable. Elle
intervient par une belle journée au bord de la mer Baltique,
sur une falaise.
Christian Petzold est né en 1960 à Hilden en Allemagne. Il s'installe à
Berlin en 1981, après avoir fait son service civil dans un ciné-club,
pour y suivre des études de théâtre, puis de cinéma. Il y rencontre les
réalisateurs de « l'Ecole de Berlin », mouvement comparé parfois à la
Nouvelle Vague française qui regroupe une douzaine de réalisateurs
allemands travaillant ensemble.
Diplômé de l'Académie de cinéma et de télévision de Berlin, il
devient ensuite assistant à la réalisation.
De 1987 à 1993, il réalise courts métrages, téléfilms et documentaires
pour la ZDF et Arte. C'est en 2000, qu'il réalise son premier
long-métrage : Contrôle d'identité dont il signe également le
scénario.
Ce film fera de Christian Petzold l'un des chefs de file de la "nouvelle
nouvelle vague" du cinéma allemand et lui permettra d'être, par la
suite, fréquemment sélectionné en compétition au Festival de Berlin.
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La nouvelle vague allemande : l’Ecole de Berlin
Yella
AVANT-PREMIERE
De Christian Petzold
Avec Nina Hoss (Yella), Devid Striesow (Philipp), Hinnerk Schöenemann (Ben), Christian Redl (père de Yella)
2007 – 1h30 – V.O
Synopsis
Le réalisateur – suite
Laissant derrière elle un mariage raté, des dettes et un époux
obsessif, Yella quitte sa petite ville de l’Est de l’Allemagne et
part pour l’Ouest, au-delà de l’Elbe, dans l’espoir d’y trouver
du travail et une vie meilleure.
A Hanovre, elle fait la connaissance de Philipp, qui travaille
pour un établissement de fond d’actions en bourse et
devient son assistante. Mais ce nouvel épanouissement est
contrarié par l’irruption étrange et déstabilisante des sons
grésillant et des voix surgies du passé…
Yella a soudainement peur que cette nouvelle vie ne soit
pas la vraie, mais un rêve.
Le cinéma de Christian Petzold, que certains qualifient de
« modernisme classique », s'oppose dans le fond et le style aux
productions hollywoodiennes et traite de thèmes contemporains,
d'exclusion et de différence ; ce sont souvent des drames familiaux .
et parfois des huis-clos. Il opte pour un rythme lent mais non
monotone et pour des dialogues courts et persuasifs.
Souvent perçu comme un héritier du cinéma de Fassbinder ou
Wenders, Christian Petzold connaît depuis une dizaine d'années
un succès international : Ours d'argent de la meilleure actrice au
festival de Berlin en 2007 pour son film Yella, applaudi par les
critiques français en 2002 pour son film Contrôle d'identité et en
compétition au festival de Venise 2008 avec Jerichow.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
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La nouvelle vague allemande : l’Ecole de Berlin
Ferien
De Thomas Arslan
Avec Angela Winkler (Anna), Karoline Eichhorn (Laura), Uwe Bohm (Paul), Anja Schneider (Sophie)
2007 – 1h31 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
L’été : une maison de campagne isolée, entourée et
cachée par une forêt. C’est dans ce refuge, loin du monde,
que vivent Anna, son mari Robert et leur fils Max.
Au cours de l’été se retrouvent plusieurs générations de
cette famille clivée. Laura, fille d’Anna d’un premier
mariage, vient de Berlin avec Paul, son compagnon, et ses
enfants. C’est le temps de l’insouciance avec les
promenades, les baignades dans le lac tout proche et les
repas pris en commun.
Mais l’idylle ne durera pas longtemps. La mère d’Anna
tombe gravement malade. La relation de Paul et Laura se
lézarde de plus en plus. L’apparition de Sophie, la sœur de
Laura, vient encore compliquer les choses.
Dans ce lieu isolé, les conflits rampants éclatent, les
mensonges voient le jour et menacent d’anéantir l’équilibre
fragile de la famille.
Né en 1962 à Braunschweig (Allemagne), Thomas Arslan vit de
1963 à 1967 à Essen. De 1967 à 1971, il passe une partie de sa
scolarité à Ankara en Turquie et revient à Essen en 1971.
De 1985 à 1986, il effectue un séjour à Munich pour des études de
lettres allemandes et d’histoire. Il a l’occasion de participer à des
stages sur le tournage de plusieurs films puis il s’engage dans le
cinéma : de septembre 1986 à 1992, il fait ses études à la DFFB
(Académie du film et de la télévision allemande de Berlin).
Depuis 1992, il produit de nombreux films et scénarii pour le
cinéma allemand : on lui doit notamment Dealer (1999) ou Les
vacances (2007).
« J’ai grandi dans une petite ville (…) il n’y avait pas beaucoup de cinéma. Je me
suis retrouvé par hasard dans un ciné-club. Je n’avais aucune connaissance du
cinéma à l’époque. (…) j’ai pu voir des films de Rossellini, Bresson, Godard et
Rohmer. La rencontre avec leur travail a été un choc et ça m’a ouvert les yeux
quant à ce qu’il est possible de faire au cinéma. Plus tard, se sont ajoutés
Eustache, Garel, Pialat, Shirley Clarke, De Palma, le cinéma américain des
années 30 et 40 ».
Thomas Arslan
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
La nouvelle vague allemande : l’Ecole de Berlin
Pingpong
De Matthias Lutardt
Avec Sebastian Urzendowsky (Paul), Marion Mitterhammer (Anna), Clemens Berg (Robert), Falk Rockstroh (Stefan)
2006 – 1h30 – V.O.
Le réalisateur
Synopsis
Matthias Luthardt souhaite très tôt épouser une carrière de
musicien. Finalement, conscient de son manque de discipline et
d'avoir une ambition trop timorée, il abandonne cette voie et
s'oriente vers des études de rhétorique et de littérature. Il étudie
d'abord à l'Université Eberhard Karl de Tübingen, puis en France.
Sa culture cinéphile se limite à cette époque aux blockbusters
Mais, à Lyon, la fréquentation assidue de l'Institut Lumière lui
permet la découverte d'un autre univers cinématographique, avec
les films, en autres, de Godard, Truffaut, Kusturica, Lars von
Trier, de ses compatriotes Fassbinder et Wenders.
A 26 ans, ses études littéraires terminées, il s'inscrit aux cours de
réalisation cinématographique de l'Académie du film et de la
télévision Konrad Wolf, dont il est diplômé en 2005. Durant cette
formation, il réalise trois documentaires et quatre courts-métrages
dont le dernier, Summergames, en 2005, est la matrice de son
premier long-métrage Pingpong.
Présenté à la Semaine de la critique internationale du Festival de
Cannes 2006, ce film obtient le prix SACD et le prix OFAJ de la
(toute) jeune critique.
Paul, 16 ans, vient de perdre son père. Il débarque à
l'improviste dans la famille de son oncle. À la recherche d'un
havre où il pourra oublier la douleur de la mort de son père,
il s'immisce dans l'univers de cette famille trop belle pour être
parfaite.
Après un accueil froid voire frigide, la femme de son oncle,
Anna, se rapproche progressivement de lui, en même temps
que sa relation avec son fils est entrain d'imploser.
Sous la déliquescence apparente de cette famille « petit
bourgeois », se cache le vice sournois, de la manipulation,
du mensonge et de la névrose.
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Le renouveau du film d’auteur : l’amour dévoilé
7ème ciel
De Andreas Dresen
Avec Ursula Weiner (Inge), Horst Rehberg (Werner), Horst Westphal (Karl), Steffi Kühnert (Petra)
2008 – 1h36 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Elle ne l’a pas cherché. C’est juste arrivé comme ça. Des
regards à la dérobée, une attirance. Pourtant, il n’était pas
prévu que ça arrive. Inge a dépassé les 60 ans. Elle est
mariée depuis trente ans et aime son mari. Mais Inge est
attirée par cet homme plus âgé, Karl, qui a déjà 76 ans.
Le coup de foudre, l’amour physique. Et d’un seul coup, elle
se sent à nouveau comme une jeune fille…
Andreas Dresen est né en 1963 à Gera en Allemagne.
Au début des années 80 il commence à travailler dans le théâtre.
Puis, après avoir réalisé quelques courts-métrages de 1984 à 1991,
il met en scène son premier long-métrage Pays tranquille en 1992.
Il y est question d’une troupe de théâtre est-allemande qui répète
une pièce durant l’automne 1989.
Après une longue absence au cinéma, il signe l’écriture de
Rencontres nocturnes (1999), une comédie dramatique, réaliste et
sociale. Continuant dans le même registre, Andreas Dresen dirige
Grill point (2001), une sorte de marivaudage moderne mélant
deux couples d’amis à l’approche de la quarantaine dans l’exAllemagne de l’Est.
Il vient d’achever le tournage de son prochain film Whisky et
Vodka.
« Je voulais aussi montrer que les gens âgés normaux sortent
ensemble, font l’amour, se touchent, et n’ont pas de timidité à
montrer leur corps ; qui ne sont plus des corps jeunes mais qui à
leur manière sont aussi de beaux corps ».
« Il ne s’agissait pas tant de chercher le scandale ou de choquer
mais plutôt de leur dire : regarder c’est ainsi, nous vieillissons tous
et personne ne peut l’éviter ».
Andreas Dresen
Andreas Dresen a remporté de nombreuses récompenses. Un été à
Berlin (2005) a ainsi obtenu le prix du meilleur scénario et de la
meilleure actrice au festival de San Sébastien. Grill point (2001) a
quant à lui reçu l’Ours d’Argent à Berlin.
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Le renouveau du film d’auteur : l’amour dévoilé
L’un contre l’autre
De Jan Bonny
Avec Victoria Trauttmansdorff (Anne Hoffman), Matthias Brandt (Georg Hoffman), Wotan Wilke Möhring (Michael Gleiwitz)
2007 – 1h36 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Georg est un policier dévoué, très apprécié de ses
collègues. Il est aussi admiré pour l’harmonie apparente du
couple qu’il forme avec Anne. Mais cette façade
soigneusement entretenue cache une autre réalité : leur vie
conjugale est un désastre.
Anne, exaspérée par la faiblesse de son mari et par la
médiocrité générale de sa vie, est devenue violente et son
mari encaisse les coups au nom d’un amour indéfectible.
Jan Bonny est né en avril 1979 à Düsseldorf. Il a vécu et travaillé
jusqu’ici aux Etats-Unis, aux Pays-Bas et en Allemagne.
Diplômé de la Haute école d’arts et médias de Cologne, il a réalisé
un court-métrage 2nd and A (2004) produit par Heimatfilm et de
nombreux spots publicitaires.
L’un contre l’autre, son premier long-métrage, a été présenté à la
quinzaine des réalisateurs au festival de Cannes en 2007.
« J’ai eu envie de raconter ce rapport conflictuel, parce qu’il
représente à mes yeux l’évolution que peut connaître une relation
tout à fait normale lorsque les choses se mettent à mal tourner. On
ne peut pas réduire ce film au seul sujet de la violence. Le regard
que jette le film n’est pas celui d’une critique sociale du
phénomène. C’est l’histoire de deux personnes qui oscillent entre
deux désirs : disparaître et susciter l’attention ».
Jan Bonny
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Le renouveau du film d’auteur : l’amour dévoilé
Unveiled
D’Angelina Maccarone
Avec Jasmin Tabatabai (Fariba), Anneke Kim Sarnau (Anne), Navid Akhavan (Siamak), Hinnerk Schönemann (Uwe)
2007 – 1h37 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Fariba, persécutée en Iran à cause de son homosexualité,
fuit vers l'Allemagne mais sa demande d'asile est refusée. Un
de ses compagnons d'exil, Siamak, s'étant suicidé, Fariba
subtilise son identité afin d'utiliser son titre de séjour
temporaire.
Contrainte de se déguiser en homme, chaque faux-pas peut
dévoiler sa vraie identité et entraîner son expulsion.
Afin de payer ses faux-papiers et malgré sa peur, elle trouve
un travail au noir dans une usine d'un petit village où elle
rencontre Anne, une autre employée, qui s'intéresse de plus
en plus à Siamak-Fariba...
Angelina Maccarone est née le 21 août 1965 à Pullheim, près de
Cologne. Elle a fait des études de philologie germanique et
américaine à Hambourg. Elle a eu plusieurs contrats
d'apprentissage aux États-Unis, puis est devenue chargée de cours
de réalisation à l'Académie Allemande pour le Cinéma et la
Télévision à Berlin.
Pour Unveiled, elle a reçu entre autres le Prix du film de Hesse et
l'Aphrodite d'Or au Festival International du Film de Chypre.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
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Le renouveau du film d’auteur : l’amour dévoilé
Cherry Blossoms
De Doris Dörrie
Avec Elmar Wepper (Rudi), Hannelore Elsner (Trudi), Aya Irizuki (Yu)
2007 – 2h07 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Trudi apprend que les jours de son époux Rudi sont comptés
et ne trouve pas le courage de le lui annoncer. Elle cherche
au contraire à rendre sa vie la plus belle possible et l’incite à
partir en voyage, lui qui est si casanier.
Ce voyage le conduira de Berlin, où habitent plusieurs de
leurs enfants, puis de la Mer Baltique au Japon, alors qu’on y
célèbre le Hanami, la floraison des cerisiers, symbole de la
beauté et de l’éphémère.
Née en 1955 à Hanovre, Doris Dörrie étudie le Latin et le Grec au
lycée. Diplômée, elle part aux Etats Unis où elle étudie la
philosophie et la psychologie de 1973 à 1975. De retour en
Allemagne elle étudie le cinéma à l’Université de Münich. De 1978
à 1981, elle écrit dans la rubrique cinéma du journal « Süddeutsche
Zeitung » et tourne plusieurs documentaires, ainsi qu’un film pour
enfants.
En 1983, elle dirige son premier long-métrage Droit au cœur qui est
présenté aux festivals de Venise et de Tokyo. Un an après elle
réalise le film Les hommes qui sera un énorme succès au box-office
allemand (6 millions de spectateurs).
Quand Doris Dörrie ne tourne pas, elle enseigne l’écriture de
scénario et écrit des nouvelles dont seront tirés plusieurs de ses
films. Certaines de ses nouvelles, La robe bleue (Das blaue kleid) par
exemple, remportent un énorme succès en Allemagne et font d’elle,
selon le journal « Die Zeit », l’une des plus grandes conteuses de la
littérature contemporaine.
« (…) C’est le sujet principal du film : chaque personne, chaque
plante, chaque animal, peut se révéler et s’épanouir à un moment
donné. Mais souvent on essaie de l’étouffer, c’est ce qui arrive à
Rudi dans le film. Nous ne laissons jamais notre être profond et
notre beauté se révéler, s’épanouir comme le cerisier ».
Doris Dörrie
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
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Le renouveau du film d’auteur : l’amour dévoilé
Le Bonheur d’Emma
De Sven Taddicken
Avec Jördis Triebel (Emma), Jürgen Vogel (Max), Hinnerk Schönemann (Hans)
2007 – 1h34 –V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Emma vit seule. Couverte de dettes, elle élève des cochons
dans une vieille ferme de famille délabrée. Elle traite ses
animaux avec amour et tendresse, jusqu'à leurs derniers
instants...
Max est solitaire. Employé chez un concessionnaire
automobile. Lors d'une visite chez le médecin, il apprend
qu'il est atteint d’un cancer en phase terminale. Sous
l'impulsion d'une réaction excessive, il vole de l'argent à son
seul ami et réserve un billet d'avion pour s'enfuir à Mexico...
Mais en route, Max a un accident avec sa voiture : il atterrit
dans la ferme d'Emma. Pour la jeune femme sauvage qui
manque furieusement d’amour, cet homme semble être un
don du ciel...
Sven Taddicken est né en 1974 à Hambourg.
Durant ses études de cinéma à la Filmakademie BadenWürttemberg à Ludwigsburg (1996-2002) il réalise deux courts
métrages très remarqués : El Cordobes primé à Dresde en 1999 et,
en 2000, Schäfchen zählen.
Son premier long-métrage Mein Bruder der Vampir (2001),
présenté lors du Festival International du Film d’Amour de Mons,
parle d’un jeune homme qui découvre sa sexualité.
Avant Le Bonheur d’Emma, il réalisa un autre court-métrage
primé : Einfach so bleiben.
Il prépare actuellement Jung, Frech, verliebt, un film collectif avec
d’autres jeunes réalisateurs allemands.
« Je voulais faire un film qui me renvoie à ce que sont mes peurs,
ma solitude, mes rêves, donc à qui je suis, à ma position dans la
société, et ce film m'a aidé à réaliser tout cela ! J'aime me
confronter aux grandes questions de la vie, comme « comment
faire face à la mort ». (…) Il est tout à fait possible et positif de
montrer des sujets compliqués tout en faisant passer un bon
moment aux spectateurs ».
Sven Taddicken
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
L’histoire toujours d’actualité
La Vague
De Dennis Gansel
Avec Jürgen Vogel (Rainer Venger), Frederick Lau (Tim), Max Riemelt (Marco), Jennifer Ulrich (Karo)
2009 – 1h48 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
En Allemagne, aujourd’hui. Dans le cadre d’un atelier, un
professeur de lycée propose à ses élèves une expérience
visant à leur expliquer le fonctionnement d’un régime
totalitaire.
Commence alors un jeu de rôle grandeur nature, dont les
conséquences vont s’avérer tragiques.
Dennis Gansel est né en 1973 à Hanovre.
Etudiant à la Munich Film School, il réalise les courts métrages The
Wrong Trip et Living Dead en 1995 et 1996. Tous deux sont produits par
Christian Becker, qui suit les mêmes cours que lui, et remportent le
Prix Murnau du court-métrage.
Son diplôme en poche, Dennis Gansel réalise pour la télévision son
premier long métrage, The Phantom, un thriller politique à propos de
la « bande à Baader », qui remporte le Prix Jupiter, le Prix Adolf
Grimme, et le Prix du Public 3SAT du Meilleur Téléfilm.
En 2001, il fait ses débuts sur grand écran avec un teen movie, Girls on
top, qui remporte un succès commercial.
Il se lance alors, avec Maggie Peren, dans l’écriture de Napola. Le
script, dont l’action se situe dans un camp d’éducation nazi, remporte
en 2003 un Prix Fédéral récompensant les scénarios non encore portés
à l’écran. Ce drame intense sortira sur les écrans en 2004, et remportera
le Prix du Public du Hamptons Film Festival à New York, celui du
Meilleur Film au Festival du Film Européen de Viareggio, et un Prix de
la Mise en Scène, en 2005, au Festival du Film Bavarois.
« La question de savoir si le fascisme pourrait réapparaître, et
comment ce système fonctionne, m’a toujours fasciné. (…) Je me
suis souvent demandé, quand j’étais jeune, comment j’aurais moimême réagi dans une telle situation. (…)
Dans La Vague, la question est : (…) Quel est le fonctionnement
du fascisme ? Serait-il possible à l’heure actuelle ? Une telle chose
pourrait-elle se produire à nouveau, dans une école allemande
tout ce qu’il y a de plus normale ? »
Dennis Gansel
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
L’histoire toujours d’actualité
La Bande à Baader
D’Uli Edel
Avec Martina Gedcek (Ulrike Meinhof), Moritz Bleibtreu (Andreas Baader), Bruno Ganz (Horst Herold)
2008 – 2h25 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
Dans les années 70, l'Allemagne est la proie d'attentats à la
bombe meurtriers. La menace terroriste et la peur de
l'ennemi intérieur ébranlent les fondements mêmes d'une
démocratie encore fragile.
Sous la conduite d'Andreas Baader, Ulrike Meinhof et
Gudrun Ensslin, une nouvelle génération radicalisée entre
violemment en guerre contre ce qu'ils perçoivent comme le
nouveau visage du fascisme : l'impérialisme américain
soutenu par les membres de l'establishment allemand, dont
certains ont un passé de nazi. Leur objectif est de créer une
société plus humaine. Mais en employant des moyens
inhumains, en répandant la terreur et en faisant couler le
sang, ils perdent leur propre humanité.
L'homme qui les comprend est aussi celui qui les pourchasse:
le chef de la police allemande, Horst Herold. Et même s'il
réussit à capturer les jeunes terroristes, Herold sait qu'il ne
s'agit que de la partie émergée de l'iceberg...
Après avoir étudié le théâtre à l'université, Uli Edel intègre la Munich
Film School aux côtés de Bernd Eichinger. Il obtient son diplôme et
travaille en tant qu'assistant réalisateur de Douglas Sirk sur deux
téléfilms.
En 1981, il retrouve son ami Eichinger qui produit son premier film
Moi, Christiane F., 13 ans, droguée et prostituée, film choc qui s'avère
un succès critique et public inattendu.
Le couple se retrouve huit ans plus tard pour le très controversé
Dernière Sortie pour Brooklyn, adapté du best-seller d'Hubert Selby Jr.
Le film est un nouveau succès critique et confirme la bonne réputation
du cinéaste, malgré un accueil mitigé du public.
Ses films suivants sont des échecs, tant publics que critiques, le plus
grand étant Body avec Madonna en 1993, qui obtient six nominations
aux Razzie Awards. A l'inverse, il réalise plusieurs épisodes de la série
à succès Oz. En 2008, il redore son blason d'une bien belle manière en
réalisant La Bande à Baader.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
L’histoire toujours d’actualité
Mein Führer
De Dani Levy
Avec Ulrich Mühe (Adolf Grünbaum), Helge Schneider (Adolf Hitler), Sylvester Groth (Joseph Goebbels)
2008 – 1h30 – V.O.
Synopsis
Le réalisateur
1944 : Adolf Hitler va mal, très mal. Il est déprimé et
profondément vexé par cette guerre qui est quasiment
perdue. Le ministre de la Propagande, Joseph Goebbels,
tente alors désespérément de le remettre sur pieds afin de
lui faire tenir un grand discours à Berlin, « comme au bon
vieux temps ».
Mais, pour cela, Hitler a besoin d'un coach pour le motiver.
Goebbels se souvient alors de Grünbaum, un professeur de
théâtre juif. Ce dernier, emprisonné dans le camp de
concentration de Sachsenhausen, se voit immédiatement
libéré pour refaire d'Hitler un véritable dictateur.
Au programme de sa « remise en forme » : des exercices de
respiration ou quelques astuces psychologiques pour faire
taire sa mauvaise conscience...
Suisse d'origine, Dani Levy débute sa carrière à Bâle en 1977, avant de
la continuer en Allemagne, à Berlin. Dans la seconde partie des années
80, il se lance dans le cinéma en interprétant et co-réalisant la comédie
dramatique Toi et moi aussi, pour lequel il reçoit le prix du Meilleur
film au festival de la comédie de Vevey.
Ensuite, il dirige seul la comédie I Was on Mars (1992) dont il signe le
scénario avec l'actrice Maria Schrader (sa compagne de l'époque). Les
deux amoureux travailleront ensemble sur une dizaine de projets
notamment dans les réalisations de ce dernier : La Girafe (1998), Stille
Nacht (1995) Aimée & Jaguar (1999) et Väter (2002).
En 1994, il fonde avec Stefan Arndt, Wolfgang Becker (Good bye Lenin!)
et Tom Tykwer (Cours Lola, cours) la société de production X Film
Creative Pool. Meschugge, un des thrillers qu'elle produit et mis en
scène par Dani Levy, est salué par la critique et reçoit plusieurs prix.
En 2001, il retourne à son métier d'acteur et joue dans La Répétition de
Catherine Corsini aux côtés d'Emmanuelle Béart et de Pascale
Bussières.
Quelques années plus tard, Dani Levy se consacre à nouveau au
théâtre et met en scène Freie Sicht Aufs Mittlemeer pour le théâtre de
Bâle.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
Les films en avant-première et les soirées
Les cinémas de Scènes et Cinés Ouest Provence proposent au public de découvrir des films en avant-première, de participer à des
débats et à des moments d’échange et de se rencontrer, dans la convivialité, autour du Cinéma allemand.
Les films en avant-première :
Clara de Helma Saders-Brahms : le samedi 11 à 21h à l’Espace Robert Hossein,
le mardi 14 à 21h à L’Odyssée ;
Yella de Christian Petzold :
le vendredi 10 à 20h45 au Coluche,
le samedi 11 à 21h à L’Odyssée ;
Jerichow de Christian Petzold :
le vendredi 10 à 18h30 au Coluche,
le jeudi 11 à 18h30 à L’Odyssée ;
le mardi 14 à 21h à L’Espace Robert Hossein.
Les soirées :
Plusieurs intervenants seront présents pour le Panorama du Cinéma allemand. Ils présenteront les films programmés au public et
encadreront des discussions sur les œuvres proposées.
L’Espace Gérard Philipe accueillera Jeanne Baumberger, critique et journaliste cinéma, pour les séances de Septième ciel (18h) et
L’un contre l’autre (21h), le mercredi 8 avril.
Jeanne Baumberger sera également présente le jeudi 9 avril au Comoedia pour présenter les films Unveiled (18h) et Mein Führer
(21h) au public.
Un intervenant sera présent lors des deux avant-premières Jerichow (18h30) et Yella (20h45), le vendredi 10 avril au Coluche.
Le mardi 14 avril la projection des films Allemagne mère blafarde (18h30) et Clara (21h) à L’Odyssée sera encadrée par Philipe
Serve, critique et conférencier.
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
Concert
L’Espace Robert Hossein proposera un concert autour de Robert Schumann, dans le cadre de la projection en avant première du
film Clara – portant sur la vie du couple Schumann – avec Jean-Michel et Eriko Renaud, le samedi 11 avril à 19h.
Programme :
Clara Schumann, variation sur un thème de Robert Schumann op. 20
Robert Schumann, scène de la fôret op. 82
Robert Schumann Kreisleriana op. 16
Johannes Brahms, Danses Hongroises – 4 mains
Entrée libre sur réservation
Renseignements pratiques
Tarifs
Tarif unique : 4,5€ au Coluche
3,5€ dans tous les autres cinémas de Scènes et Cinés Ouest Provence
Les cinémas de Scènes et Cinés
Cinéma L’Odyssée Centre culturel Marcel Pagnol
Avenue René Cassin
13270 Fos-sur-Mer
04 42 11 02 10
Espace Robert Hossein
Boulevard VictorJauffret
13450 Grans
04 90 55 71 53
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PANORAMA DU CINEMA ALLEMAND – Du 8 au 14 avril 2009
Dossier de presse
Cinéma Le Coluche
Allées Jean Jaurès
13800 Istres
04 42 56 92 34
Cinéma Le Comoedia
Rue Paul Vaillant Couturier
13140 Miramas
04 90 50 14 74
Espace Gérard Philipe
Avenue Gabriel Péri
13230 Port-St-Louis-du-Rhône
04 42 48 52 31
L’ensemble de la programmation du Panorama du Cinéma allemand est disponible sur www.scenesetcines.fr.
Contact presse :
Céline Guingand – [email protected] – 04 42 56 31 88 – 06 35 16 26 52
Un espace professionnel est accessible sur le site Internet scenesetcines.fr.
Identifiant : presse | Mot de passe : accespresse
Vous y trouverez (onglet évènement) les dossiers de présentation ainsi que les photos téléchargeables, des films programmés.
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