traduire l`Europe - prix européen de littérature
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traduire l`Europe - prix européen de littérature
8es R e n c o n t r e s E u r o p é e n n e s d e L i t t é r a t u r e La passion des traduire l’Europe LANGUES Du 15 au 23 mars 2013 http://www.prixeuropeendelitterature.eu/ Vladimir Makanine (Russie), Prix Européen de Littérature 2012 (photo J. Sassier) George Stein er, In vité d’honn eur de Traduire l’Europe 201 3 « Il se peut, a écrit un jour George Steiner, que l’avenir de l’“idée d’Europe”, si elle en a un, dépende moins des banques centrales et des subventions agricoles, des investissements dans la technologie ou des tarifs communs que nous ne sommes amenés à le croire. » Et il ouvrait cette piste : « C’est chez les enfants souvent confus d’Athènes et de Jérusalem que nous pourrions revenir à la conviction qu’une “vie qui n’est pas soumise à l’examen” ne vaut pas la peine d’être vécue. » Né en 1929 à Paris d’une famille de la grande bourgeoisie viennoise, GEORGE STEINER est l’un des penseurs les plus profonds et les plus féconds de notre époque. Ses nombreux essais débordent l’érudition et interrogent la culture dans toutes ses dimensions. Cet intellectuel européen, professeur dans les plus prestigieuses universités, a enrichi et renouvelé les théories du langage et de la traduction, les philosophies politiques et de l’éducation comme notre approche des littératures classiques. Sa présence à Strasbourg, en ouverture de « Traduire l’Europe », coïncide avec la publication chez Gallimard de ses Œuvres dans la collection Quarto. L’itinéraire et l’œuvre de George Steiner sont présentés par Cécile Ladjali et Pierre Hartmann et des lectures de textes récents sont données par le comédien MARTIN ADAMIEC. Née à Lausanne en 1971 d'une famille iranienne, CÉCILE LADJALI est l’auteur de Éloge de la transmission. Le maître et l'élève, issu de sa conversation avec George Steiner (Albin Michel, 2003), et d’un essai inspiré par sa démarche, Mauvaise langue, publié aux Éditions du Seuil, en 2007. Elle a publié plusieurs romans aux éditions Actes Sud : les Souffleurs (2004), la Chapelle Ajax (2005), Louis et la Jeune Fille (2006), les Vies d'Emily Pearl (2008), Ordalie (2009), Aral (2012), Shâb ou la nuit (2013), ainsi qu’une pièce de théâtre : Hamlet/Électre (2009). Elle est chargée de cours à l'Université Paris 3 - Sorbonne Nouvelle. PIERRE HARTMANN est professeur à la Faculté des Lettres et directeur de l'École doctorale des Humanités de l'Université de Strasbourg. Il a notamment publié Diderot. La figuration du philosophe (Corti, 2003), La Forme et le Sens. Nouvelles recherches sur le roman des Lumières (PUS, 2009) et Rétif de La Bretonne. Individu et communauté (Desjonquères, 2009). Vladimir Makanine, Prix Européen de Littérature 2012 VLADIMIR MAKANINE est né en 1937 à Orsk, dans la région de l'Oural. Il a suivi des études de mathématiques et de cinéma avant de publier, en 1965, son premier roman. Il est l’auteur d’une trentaine de romans et recueils de nouvelles. Dès 1993, Georges Nivat saluait la traduction de la Brèche : « Makanine n’est pas tendre avec soi, avec nous… Mais il est la voix la plus forte d’aujourd’hui. » Son œuvre donne à voir l’enlisement d’une société sclérosée où les quête du bonheur se révèle vouée à l’échec : « Nous avons des neuroleptiques, constate Makanine, mais plus de prophètes.» Il a reçu en Russie les plus hautes distinctions littéraires et ses livres ont été très largement traduits, notamment en français par CHRISTINE ZEYTOUNIAN-BELOÜS, lauréate de la Bourse de traduction 2012 du Prix Européen de Littérature. À l’occasion de la remise du Prix Européen de Littérature, un nouveau roman de Makanine, Assan, est publié aux Éditions Gallimard. Simultanément paraît dans la revue Europe un dossier spécial consacré à Vladimir Makanine et réalisé par Christine Zeytounian-Beloüs. Publié chez Gallimard en 2005, le Prisonnier du Caucase est l’un des textes les plus célèbres de Makanine. Il sera présenté par les comédiens du TNS en présence de l’auteur et de la traductrice qui répondront aux questions de Jean-Baptiste Para, rédacteur en chef de la revue Europe, et du public. Née en 1958 à Moscou, LUBA JURGENSON a émigré en 1975 à Paris. Maître de conférences à l'Université Paris IV-Sorbonne, elle a notamment traduit Ivan Gontcharov ( Oblomov, 1986), Nina Berberova et Leonid Guirchovitch et codirige chez Verdier la collection Poustiaki. Marqués par l’exil, le bilinguisme et la judéité, ses romans et essais interrogent sans relâche les grands témoignages littéraires des univers concentrationnaires nazis et soviétiques. Après avoir travaillé au Centre Dramatique National de Grenoble, puis au côté de Roger Planchon (TNP) et à l'OdéonThéâtre de l'Europe, PHILIPPE MORIER-GENOUD fut acteur de la troupe de Georges Lavaudant de 1975 à 2005. Il poursuit également une carrière à l’écran, commencée avec François Truffaut en 1981 et Louis Malle (Au revoir les enfants, 1987). LE PROGRAMME DES MANIFESTATIONS VENDREDI 15 MARS – 9 h 30 : Le Nouveau Patio, salle des thèses, 20 A rue René Descartes. « Traduire et éditer la poésie et la philosophie. » Table ronde avec Danièle Robert, Christophe Carraud, Wouter Van Der Veen, Gérard Pfister (Arfuyen) et Claude Lutz (Circé). Autour de deux éditeurs reconnus, des traducteurs et un universitaire débattront des enjeux actuels des différents métiers du livre. George Steiner VENDREDI 15 MARS – 10 h : Lycée International des Pontonniers, 1 rue des Pontonniers. Rencontre de Luba Jurgenson avec les élèves du lycée des Pontonniers. VENDREDI 15 MARS – 14 h : Palais Universitaire, 9, place de l'Université, salle Pasteur. Conférence inaugurale sur George Steiner, Invité d’honneur. Avec Cécile Ladjali, Pierre Hartmann et Martin Adamiec. Cécle Ladjali VENDREDI 15 MARS – 16 h 30 : Librairie Internationale Kléber, 1 rue des Francs Bourgeois. Hommage aux traducteurs : Christine Zeytounian-Beloüs, Bourse de Traduction 2012 du Prix européen de Littérature Danièle Robert, Prix de traduction Nelly Sachs 2012 et Christophe Carraud, directeur de la revue Conférence. SAMEDI 16 MARS – 10 h 30 : Librairie Internationale Kléber, 1 rue des Francs Bourgeois. Table ronde animée par Jean-Baptiste Para avec Vladimir Makanine, Luba Jurgenson, Cécile Ladjali et Christine Zeytounian-Beloüs. Christine Zeytounian-Beloüs SAMEDI 16 MARS – 12 h 30 : Hôtel de Ville, 9 rue Brûlée – sur invitation. Remise solennelle du Prix Européen de Littérature à Vladimir Makanine (Russie) et de sa Bourse de Traduction à Christine Zeytounian-Beloüs. Le Prix Européen de Littérature est placé sous le patronage de M. Thorbjørn Jagland, Secrétaire Général du Conseil de l’Europe, et parrainé par la Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg. SAMEDI 16 MARS – 15 h : Théâtre National de Strasbourg, salle Koltès, 1 avenue de la Marseillaise. « Le Prisonnier du Caucase », de Vladimir Makanine. Lecture par Cécile Perricone et Antoine Hamel, comédiens de la troupe du TNS. En présence de l’auteur et de la traductrice. SAMEDI 16 MARS – 17 h : Médiathèque André Malraux, 1 presqu'île André Malraux. « L’archipel du Goulag : écrivains et témoins de l’indicible. » De Varlam Chalamov à Vassili Grossman, de Evguénia Guinsbourg à Alexandre Soljenitsyne. Conférence de Luba Jurgenson, textes lus par Philippe Morier-Genoud. Luba Jurgenson TRADUIRE L’EUROPE 8 e s Rencontres Européennes de Littérature PERMETTRE AUX LITTÉRATURES D’EUROPE DE SE RENCONTRER. Pour surmonter les conflits du passé et faire face à l’émergence de nouvelles superpuissances, l’Europe doit construire son unité. Ce travail est en cours au niveau des institutions politiques et des relations économiques, mais l’Europe des peuples reste loin en arrière. Les peuples d’Europe ne se connaissent pas, et ceci est lié à une ignorance presque totale de la culture de l’autre. FAIRE AVANCER L’EUROPE DES PEUPLES ET DES CULTURES. Le grave retard pris à cet égard risque de fragiliser, on s’en aperçoit aujourd’hui, l’ensemble de la construction européenne. L’idée des Rencontres Européennes de Littérature, intimement liée à celle du Prix Européen de Littérature, est à la fois simple et ambitieuse : contribuer à une meilleure connaissance mutuelle des peuples européens à travers les grandes figures contemporaines de leur culture, ces « Victor Hugo » qui en sont aujourd’hui les vivants symboles. C’est en donnant à chaque pays d’Europe un visage, celui de son plus grand écrivain actuel, que nos pays pourront le mieux apprendre à s’estimer et se comprendre. STRASBOURG, LIEU NATUREL DE TELLES RENCONTRES. En tant que siège du Conseil de l’Europe, de la Cour Européenne des Droits de l’Homme et du Parlement Européen, Strasbourg a naturellement bien des titres pour être le lieu de telles. Au plan de la culture, du patrimoine et de la création, Strasbourg peut revendiquer une légitimité non moindre. En témoignent sa prestigieuse Cathédrale et sa très riche histoire – de Gutenberg à Jean Hans Arp, en passant par Eckhart, Goethe et Schweitzer. POUR UN VRAI DIALOGUE DES LANGUES ET DES CULTURES Faire connaître les grandes figures de la littérature européenne d’aujourd’hui ne suffit pas, il faut les mettre en correspondance avec les œuvres des écrivains francophones contemporains, mais aussi faire sentir dans la richesse exceptionnelle du patrimoine culturel de l’Alsace, carrefour des langues et des cultures, la fécondité d’une approche européenne de la culture, au-delà des clivages et des conflits qui ont marqué l’histoire. C’est la complémentarité de ces trois démarches qui permet de donner à chacune sa pleine signification. 8es R e n c o n t r e s E u r o p é e n n e s d e L i t t é r a t u r e traduire l’Europe LE FRANÇAIS en partage Du 15 au 23 mars 2013 Silvia Baron Supervielle, Prix de Littérature Francophone Jean Arp 2012 http://www.prixeuropeendelitterature.eu/ Du f ran cophone Velibor Čolić au dialectophon e Ém ile Storck VELIBOR ČOLIC est né dans une petite ville de Bosnie. Il perd sa maison et ses manuscrits réduits en cendre pendant la guerre. Enrôlé dans l’armée bosniaque, il déserte dès mai 1992, est fait prisonnier mais s’échappe et se réfugie en France. Accueilli à Strasbourg par le Parlement des écrivains pour une résidence d’un an, l’écrivain y reste quelques temps puis part s’installer en Bretagne où il vit désormais. Après plusieurs ouvrages en serbocroate, traduits par Mireille Robin – les Bosniaques (1994), la Vie fantasmagoriquement brève et étrange d'Amadeo Modigliani (1995) –, Archanges (2008) est son premier ouvrage écrit en français. Son roman Jésus et Tito (2010) reçoit le Prix Jean Monnet des Jeunes Européens. Troisième roman “français” de Čolić, Sarajevo omnibus (2012) est un portrait à tiroirs, aussi déroutant qu’envoutant, de cette capitale métissée et tourmentée. L’écrivain sera interrogé par ANTOINE SPIRE, journaliste et critique littéraire, conseiller éditorial au journal Le Monde, auteur de nombreux ouvrages d'entretiens réalisés avec des intellectuels tels que George Steiner, Pierre Bourdieu, Jacques Derrida et Edgar Morin. ÉMILE STORCK connaissait, rencontrait et estimait Nathan Katz. Comme lui, il s’exprimait dans son dialecte natal. Il a traduit Baudelaire et Verlaine en alsacien. Il était grand temps de le traduire, lui, en français. Grâce au Prix du Patrimoine Nathan Katz, on peut découvrir enfin les étonnants poèmes météorologiques de ce Guebwillerois, promeneur solitaire et merveilleusement attentif. Poèmes du temps qu’il fait, des fleurs des bois, des champs ou des fossés, des insectes, des oiseaux, et surtout des papillons. Car Émile Storck était non seulement un érudit agrégé d’allemand, mais aussi un entomologiste renommé. Resté célibataire, Storck s’éteignit dans la maison paternelle. Tout près demeurait son aîné JOSEPH STORCK, agrégé d’allemand comme lui, devenu maire de Guebwiller en 1971. Les temps n’étant pas propices, manuscrits et collections furent dispersés. Joseph Storck mourut en 1989. Ce qu’il avait fait en Limousin, pendant la guerre, pour sauver des enfants juifs n’a pourtant pas été oublié : en 1998 lui a été conféré le titre de Juste parmi les Nations. Il faut espérer que la postérité fera aussi mémoire de son cadet, le poète Émile Storck. S ilvia Baron Supervielle, Prix de Littérature Jean Arp 201 2 SILVIA BARON SUPERVIELLE n’a jamais oublié sa langue d’origine, ni le Rio de la Plata. Mais celle dont la famille est apparentée au poète Jules Supervielle, confie s’être « laissée inventer » par le français tout en veillant à ne pas y disparaître, puisque toujours « écrire veut dire tenter de toucher quelque chose qui est à l’intérieur de soi ». Le Prix de Littérature Francophone Jean Arp récompense un écrivain de premier plan, mais aussi une artiste à l’écoute de cette langue mystérieuse qui est « sous les langues » et que le poète seul réinvente dans le Pays de l’écriture. Née à Buenos Aires en 1934, Silvia Baron Supervielle a commencé à écrire en espagnol, sa langue maternelle, avant d’arriver en France en 1961. Dès 1970 Maurice Nadeau publie ses premiers textes en français, et depuis lors son œuvre n’a cessé de s’enrichir avec des romans et nouvelles, depuis L’or de l’incertitude (1990) au Pont international (2011) et de nombreux livres de poésie. Traductrice des écrivains argentins, elle a traduit en espagnol Marguerite Yourcenar avec qui elle entretint une correspondance, récemment publiée chez Gallimard : Une reconstitution passionnelle (2009). Dans BUENOS AIRES, ville du tango et du bandonéon, nous la suivons au fil des mots dans cette géographie lointaine où l’on peut croiser les écrivains qu’elle affectionne : Borges, Cortazar, Silvina Ocampo, Onetti, Juarroz... Avec nous, fils de Juan José Mosalini, grande figure du tango argentin JUANJO MOSALINI, né en 1972 à Buenos Aires, est l’héritier de la tradition du bandonéon, instrument phare du tango, auquel il réussir à ouvrir sans cesse de nouveaux chemins. Avec nous également pour cette promenade dans Buenos Aires, FRED CACHEUX, comédien du Théâtre National de Strasbourg, issu du Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Silvia Baron Supervielle est l’auteur de Un été avec Geneviève Asse. Pour lire l’œuvre de l’écrivain, il faut connaître celle du peintre. Libérées de toute figure pour privilégier un travail de recherche sur la lumière, la ligne et l'espace, les toiles de GENEVIÈVE ASSE sont célèbres pour leur couleur bleu dont Silvia Baron Supervielle dit qu'elle « est regard et langage ». Peintures et gravures permettent de découvrir cette démarche d’une magnifique rigueur plastique et spirituelle. LE PROGRAMME DES MANIFESTATIONS VENDREDI 22 MARS – 10 h : Le Nouveau Patio, salle des thèses, 20 A rue René Descartes. Rencontre de Silvia Baron Supervielle avec les étudiants de l’Université de Strasbourg. VENDREDI 22 MARS – 14 h : Palais Universitaire, 9, place de l'Université, salle Pasteur. Hommage à Silvia Baron Supervielle. Présentation par Pascal Maillard. Lectures par Martin Adamiec. Velibor Čolić VENDREDI 22 MARS – 16 h 30 : Lycée Kléber, Place de Bordeaux. Rencontre de Silvia Baron Supervielle avec les élèves du Lycée Kléber. VENDREDI 22 MARS – 16 h 30 : Munsterhof, 9 rue des Juifs. Hommage à Émile Storck et à ses traducteurs. Présentation par Agathe Bischoff-Morales. Avec Richard Ledermann, Jean-Paul Gunsett, Albert Strickler, traducteurs, et Daniel Muringer, musicien. VENDREDI 22 MARS – 18 h 30 : Hôtel de Ville, 9 rue Brûlée – sur invitation. Réception organisée par la Ville de Strasbourg en l’honneur de Geneviève Asse. Émile Storck VENDREDI 22 MARS – 18 h 30 : Médiathèque André Malraux, 1 presqu'île André Malraux. Velibor Čolić : Grand entretien. Dialogue avec Antoine Spire. SAMEDI 23 MARS – 10 h 30 : Galerie Chantal Bamberger, 16 rue du 22 novembre. Geneviève Asse, dessins et gravures. Visite commentée par l’Artiste et par Silvia Baron Supervielle, auteur de Un été avec Geneviève Asse. Geneviève Asse SAMEDI 23 MARS – 12 h 30 : Collège Doctoral Européen, 46 bd de la Victoire – sur invitation. Remise solennelle du Prix de Littérature Francophone Jean Arp à Silvia Baron Supervielle et du Prix du Patrimoine Nathan Katz au Cercle Émile Storck. Le Prix de Littérature Francophone Jean Arp est parrainé par le Ministère de la Culture et de la communication (DRAC Alsace) et par l’Université de Strasbourg. Le Prix du Patrimoine Nathan Katz est parrainé par la Région Alsace et par l’Office pour la Langue et la Culture d’Alsace (OLCA). SAMEDI 23 MARS – 17 h : Médiathèque André Malraux, 1, presqu'île André Malraux. « Buenos Aires : tango - littérature – bandonéon. » Avec Fred Cacheux, comédien du Théâtre National de Strasbourg, et Juanjo Mosalini, bandonéon. SAMEDI 23 MARS – 20 h 30 : Église Saint-Thomas, 4 Rue Martin Luther. Concert de clôture des Rencontres sur les « Cantiques du chemin » de Thérèse d’Avila, traduits par Silvia Baron Supervielle. Avec Patricia Marmoras, comédienne, et Parsival Castro au luth de la Renaissance. En collaboration avec Rémy Vallejo et le Rhin mystique. Juanjo Mosalini TRADUIRE L’EUROPE 2013 : les partenaires « Traduire l’Europe » est organisé par l’Association Capitale Européenne des Littératures (ACEL), la Ville et la Communauté Urbaine de Strasbourg et l’Université de Strasbourg. « Traduire l’Europe » bénéficie du soutien du Ministère de la Culture et de la Communication (Centre National du Livre et DRAC Alsace), du Ministère des Affaires Étrangères et Européennes, de la Région Alsace, de l’Office pour la Langue et la Culture d’Alsace et des Médiathèques de la Ville et de la Communauté Urbaine de Strasbourg. « Traduire l’Europe » a pour partenaires institutionnels le rectorat de l’Académie de Strasbourg, le Théâtre National de Strasbourg, la Bibliothèque Nationale et Universitaire de Strasbourg (BNU), le service universitaire de l'action culturelle de l'Université de Strasbourg, la Faculté des lettres de l'Université de Strasbourg, l’Institut culturel italien, le Goethe Institut et le Conservatoire de Strasbourg. REMERCIEMENTS. « Traduire l’Europe » remercie tout particulièrement, parmi ses nombreux partenaires privés, la Librairie Internationale Kléber, les Éditions Gallimard, les Éditions Arfuyen, le Centre Emmanuel Mounier, la Galerie Chantal Bamberger, Jean-Louis et Julien de Valmigère et le restaurant Chez Yvonne, Mediapart et les Dernières Nouvelles d’Alsace. LES GRANDS PRIX LITTÉRAIRES DE STRASBOURG. Dans le cadre de « Traduire l’Europe » sont remis les Grands Prix Littéraires de Strasbourg. Le Prix Européen de Littérature (European Prize for Literature) est placé sous le patronage de M. Thorbjørn Jagland, Secrétaire Général du Conseil de l’Europe, et parrainé par la Ville et la Communauté urbaine de Strasbourg. Le Prix de Littérature Francophone Jean Arp est parrainé par le Ministère de la Culture et de la communication (DRAC Alsace) et par l’Université de Strasbourg. Le Prix du Patrimoine Nathan Katz (Nathan-Katz-Pris fir Literatür im Elsass) est parrainé par la Région Alsace et par l’Office pour la Langue et la Culture d’Alsace (OLCA).