berlin : presentation generale, enseignement superieur et recherche
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AMBASSADE DE FRANCE EN ALLEMAGNE SERVICE POUR LA SCIENCE ET LA TECHNOLOGIE Dernière mise à jour, Octobre 2013 Rédaction : Marie de Chalup BERLIN : PRESENTATION GENERALE, ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET RECHERCHE PRESENTATION GENERALE ........................................................................................................... 2 Introduction ..................................................................................................................................................... 2 Politique et gouvernement .............................................................................................................................. 2 Economie ......................................................................................................................................................... 2 Culture et tourisme .......................................................................................................................................... 3 Universités et Recherche .................................................................................................................................. 3 ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET RECHERCHE ......................................................................... 4 Budget et personnel ......................................................................................................................................... 4 Enseignement supérieur .................................................................................................................................. 4 Recherche ........................................................................................................................................................ 5 Instituts de recherche extra-universitaires ....................................................................................................... 5 Instituts Max Planck ............................................................................................................................................ 5 Instituts Fraunhofer ............................................................................................................................................ 6 Centres de recherche de la société Helmholtz : ................................................................................................. 6 Centres de recherche de la communauté Leibniz (WGL) .................................................................................... 6 Etablissements de recherche sous tutelle du Bund/du Länder .......................................................................... 7 Réseaux de compétences et programmes de promotion ................................................................................... 7 Adlershof ............................................................................................................................................................. 8 Parc biotechnologique de Berlin-Buch ................................................................................................................ 9 Politique de la recherche et de la technologie .................................................................................................. 9 Transfert technologique et transfert des savoirs .............................................................................................. 9 Activités et coopérations internationales ....................................................................................................... 10 Liste des universités ....................................................................................................................................... 11 Liste des écoles supérieures spécialisées (Fachhochschulen) ......................................................................... 11 Liste des instituts de recherche ...................................................................................................................... 11 Pariser Platz 5 - D - 10 117 Berlin – Tél. : (49 30) 590 03 9250 - Fax : (49 30) 590 03 9265 E-mail : [email protected] - http://www.wissenschaft-frankreich.de PRESENTATION GENERALE Introduction Berlin, capitale de la République Fédérale d’Allemagne depuis 1990, a également le statut de villeEtat. La cité compte 3 375 22 habitants (31/12/12), soit un peu plus de 4% de la population allemande, pour une superficie de 891,54 kilomètres carrés, soit une densité d’environ 3 785 hab./km2. Son aire urbaine de la région métropolitaine de Berlin-Brandebourg dépasse, quant à elle, les frontières du land et regroupe au total près de 6 millions d'habitants, ce qui en fait une des dix métropoles les plus peuplées de l´union européenne. Politique et gouvernement La première ville d’Allemagne est gouvernée par une coalition SPD-CDU, conduite par le maire SPD Klaus Wowereit. Le gouvernement est composé du Bourgmestre et de 8 sénateurs et est élu pour 5 ans. Les prochaines élections auront lieu en 2016. Berlin a encore besoin de temps pour réussir sa reconversion et mettre en valeur ses principaux atouts dans les domaines du tourisme, de la culture, de l’enseignement et de la recherche, d’affirmer son rôle de capitale et tirer parti de son positionnement géographique privilégié. La puissance de la ville-État se manifeste également par l'importance de son budget (plus de 20 milliards d'euros en 2011) même si le service de la dette y tient une place considérable. En effet, le montant de celle-ci s'élève à 60 milliards d'euros mais Berlin vise l’équilibre budgétaire à l’horizon 2016. Ainsi, les dépenses du land augmentent faiblement depuis une dizaine d’années (2,4% d’augmentation des dépenses entre 2001 et 2011) afin de maîtriser et réduire le déficit. D’une manière générale, et en dépit de sa spécificité, l’économie berlinoise est étroitement liée au devenir des nouveaux Länder. Elle devrait néanmoins, aux dires des experts, profiter davantage de l’élargissement. Son rôle de plate-forme stratégique et de centre de congrès international pourrait être renforcé. Economie Après avoir connu une croissance cumulée de près de 7% entre 1991 et 1995, le PIB de la ville-Etat de Berlin a baissé de 6,1% entre 1996 et 2003 et en 2011 le déficit financier était encore supérieur à 2,7 milliards d’euros. En 2012, le PIB a néanmoins augmenté de 1,2% grâce notamment au développement du secteur des services. Même si ce secteur occupe une place croissante à Berlin (la valeur ajoutée brute des services ayant une croissance de 1,7% en 2012), la fonction publique reste le premier employeur de la ville. Le développement du secteur tertiaire n’a d'ailleurs pas pu compenser le déclin industriel. La ville a ainsi perdu 20 % de sa population active et son taux de chômage était de 11,6 % à l´été 2013. Seul le secteur touristique a tiré son épingle du jeu. Berlin est ainsi la ville la plus touristique d'Allemagne. En 2012, elle avait à son actif 24,9 millions de nuitées (augmentation de 11,4% par rapport à l’année dernière). Le secteur du tourisme représente aujourd'hui 255 000 emplois, pour un chiffre d'affaires brut de plus de 8 milliards d'euros. L’économie de Berlin est en pleine transformation. A côté des secteurs traditionnellement bien implantés de l’électrotechnique (Siemens, Osram), de la construction de véhicules (BMW, DaimlerChrysler), de la pharmacie (Bayer-Schering), de l’alimentation (Nestlé) et des tabacs (Philip Morris), on voit s’établir des secteurs de croissance tels que les techniques d’information et de communication (Sony, Universal Music, Motorola, Siemens, Ebay) et la biotechnologie. Ces deux derniers domaines, ainsi que les transports (Bombardier, Deutsche Bahn, Daimler Chrysler), constituent les domaines d’excellence de Berlin. Le potentiel en main-d’œuvre hautement qualifiée, le grand marché régional et le bon développement de l´infrastructure sont autant d´atouts pour le développement économique de la ville : Enfin, le tourisme n’est pas de moindre poids dans la balance économique de Berlin, première ville touristique d’Allemagne loin devant Munich, deuxième ville la plus touristique (24,9 millions de nuitées contre 12,4 pour Munich). D´autres facteurs importants tels qu’une vaste offre en terrains immédiatement disponibles, ainsi qu´une haute qualité de vie qu´apportent la nature, les zones de détente et de plein air et la diversité culturelle sont autant d’atouts à son actif. Centre de compétences, Berlin mise avant tout sur les nouveaux champs technologiques en expansion : les branches prépondérantes sont les technologies de l´information et de la communication, le secteur multimédia, l´économie des médias, la technique environnementale, la technique médicale ainsi que la biotechnologie (un exemple essentiel en est le 2 campus de recherche de Berlin-Buch) et le secteur de la technique des transports. Le transfert de technologie et une imbrication plus étroite entre économie et science seront renforcés. Depuis le début de 2001, le Land de Berlin a constitué un „fonds d´avenir“ qui permet d´aider les projets de recherche et développement des secteurs prépondérants. Les projets soutenus en commun par l´économie et la science bénéficient d´un appui préférentiel. Environ soixante-dix entreprises françaises sont présentes à Berlin, parmi lesquelles Total, Sanofi-Synthélabo, Vinci, Thales défense, Gaz de France- qui détient également une participation dans la société de distribution de la ville Gasag, Veolia Water – qui gère par ailleurs la distribution d’eau de la ville au travers de sa participation dans la société Berliner Wasserbetrieb - les Galeries Lafayette, Alstom, Atotech, Eurawasser, Alcatel, Air Liquide et Connex. Culture et tourisme La culture est le plus gros atout de Berlin. A eux seuls, les 17 musées de la Fondation du patrimoine culturel prussien constituent le plus important complexe de musées du continent. A cela s’ajoutent d’importantes collections spécifiques dont l’importance dépasse le cadre de la région (Archives Bauhaus, Brücke-Museum) et plus de 200 galeries privées. Disposant de 150 scènes, Berlin est la principale ville de théâtre d’Allemagne. L’orchestre philarmonique de Berlin, dirigé par Sir Simon Rattle et huit autres grands orchestres avec des chefs célèbres dans le monde entier offrent un répertoire exceptionnel de musique classique. Universités et Recherche Berlin a une densité inégalée en Allemagne d’institutions scientifiques et de recherche : 4 universités, la Faculté de médecine de la Charité, 3 écoles supérieures d’art, 6 écoles supérieures spécialisées (Fachhochschulen) 26 écoles privées supérieures et plus de 60 institutions de recherche extrauniversitaires financées par l’Etat. 3 ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET RECHERCHE Budget et personnel L’ensemble des dépenses en R&D s’établissent à 64,2 Milliards d’euros en 2009. Le Land de Berlin, lui a, consacré 3,64 % de son PIB ( soit 3.345 Millions) en 2009. En 2012 Berlin se situe dans le groupe de tête des Länder ayant investi plus de 1000 millions d’euros pour la R&D avec la Rhénanie du Nord Westphalie, la Bavière et le Bade-Wurtemberg (qui ont chacun dépensé plus de 1000 millions d’euros pour la R&D). Enseignement supérieur Les établissements d’enseignement supérieur de la ville de Berlin réunissent quelque 153.000 étudiants en 2011/2012, dont 17% d’étudiants étrangers en 2011. Les quatre universités sont l’université Humboldt (HU), l’université libre (FU), l’université technique (TU) et l’école des Beaux-Arts. On peut aussi citer la Faculté de médecine de la Charité, la plus importante faculté de médecine d’Europe, qui associe l’université libre et l’université Humboldt. A cela s’ajoutent dix instituts universitaires, trois écoles supérieures d’Art, 6 écoles supérieures spécialisées (Fachhochschulen) et une école internationale de commerce et de management. Depuis 1997, le Land de Berlin soutient et encourage le développement de l’enseignement supérieur à travers la mise en place de contrats entre établissements supérieurs. Ces contrats, qui s’établissent sur des périodes de deux ou trois ans, sont au centre de la politique de réforme de l’enseignement que souhaite mener le Land de Berlin afin de « répondre aux exigences imposées par la concurrence internationale dans les domaines de la recherche 1 ». Les objectifs principaux pour la période 20102013 sont : - Développer les structures et équipements des établissements supérieurs - Accroître la capacité d’accueil des étudiants de 6000 places. - Introduire un modèle de financement plus efficace pour les établissements supérieurs. Outre les contrats entre établissements supérieurs, des instituts et fondations ont été créés en coopération avec des établissements supérieurs, L’Institut de recherche appliquée (Institut für die angewandte Forschung, IfaF), qui a vu le jour en 2009, a pour objectif le transfert de compétences entre les écoles supérieures spécialisées (Fachhochschulen). La fondation Einstein, dont l’origine se trouve dans le projet de « super université » proposé en 2007 par Jürgen Zöllner (SPD, sénateur de Berlin en charge de l’enseignement, de la science et de la recherche) a été créée en 2009 après un accord conclu le 9 juin 2008 entre le Sénat et les quatre universités de Berlin. L’objectif de la fondation est la promotion des sciences et l’excellence dans la recherche fondamentale Sous l'appellation "Berlin International Forum for Excellence", cette fondation a bénéficié, pour la période 2008-2011, de 160 M€. Elle a pu également profiter de fonds privés, dans la mesure où les résultats des recherches qui y sont menées ont intéressé l'industrie. Dans le cadre de l'initiative d'excellence - programme fédéral de soutien à la recherche universitaire lancé en 2005 et dotée d'un budget global de 1,9 Mrd€ sur une période de 5 ans comprise entre 2006 et 2011 et constitué de 3 axes de soutien : les écoles doctorales, les clusters d’excellence et les stratégies d’avenir (ce dernier axe classant l’université dont la stratégie d’avenir est retenue au titre « d’élite ») dans le cadre desquels les universités présentent des projets évalués par un jury, les universités de Berlin ont obtenu les résultats suivants : - 1 L’Université Libre a obtenu le soutien de trois écoles doctorales, deux clusters d’excellence (dont un en commun avec l’université Humboldt) et une stratégie d’avenir, faisant de cette université une des 9 universités d’élite allemandes retenue à l’issue du concours ; Vertrag für die Jahre 2010-2013. 4 - L’Université Humboldt a obtenu le soutien de trois écoles doctorales et d’un cluster d’excellence (en commun avec l’Université Libre) On peut signaler l’ouverture en octobre 2014 d’un nouvel institut de recherche intégrée consacré aux transformations humaines et environnementales, IRI THESys (http://www.iri-thesys.org). La HU se positionne ainsi au cœur d'un réseau global d'instituts de recherche de pointe dans le domaine de la transformation et du développement durable, et apporte une contribution au nouveau programme international de recherche "Future Earth"(http://www.icsu.org/future-earth) - Enfin l’Université Technique a remporté une école doctorale et un cluster d’excellence Le 12 mars 2010 a été lancée la seconde phase de l’initiative d’excellence, qui porte sur la période 2012-2017 : 2,4 Milliards d’euros de financement ont été accordés à 23 écoles doctorales, 43 clusters d’excellence et 11 concepts d’avenir portés par 39 établissements. L’université libre de Berlin et l’université technique ont vu leurs subventions prolonger tandis que l’université Humboldt a été nouvellement retenue comme université d’élite. Un des exemples de cette qualité exceptionnelle est illustré par le centre de recherche en mathématique appliquées Mathéon de la DFG (Agence de moyens de la recherche allemande) auquel sont rattachés 3 universités berlinoises et 2 centre de recherche extra-universitaire. Sous la dénomination « Business et société – Vers un monde durable » (SustBusy) a été créé, en juin 2013, sur le campus berlinois de l’école de commerce ESCP Europe un centre de recherche européen sur le développement durable dans l’économie et la société 2. Le centre sera basé autour de la chaire d’économie environnementale et politique dirigée par Sylvie Geisendorf. Son but est de mettre en place un échange renforcé autour des questions économiques et de gestion sur le développement durable, donnant ainsi un cadre aux recherches conduites au sein de l’ESCP Europe. Y participeront 15 chercheurs de l’ESCP Europe basés en France, en Italie et à Berlin. Recherche Avec des instituts de recherche de poids, un positionnement croissant dans le classement des Länder et des infrastructures de recherche pour la biotechnologie, la médecine, les transports et les technologies de la communication et de l’information, le savoir est la matière première de Berlin. La DFG (Deutsche Forschungsgemeinschaft - Agence de moyens de la recherche allemande) finance 20 unités de recherche spécialisée (SFB – Sondernforschungsbereich)3 réparties entre l’université libre, l’université technique, la Charité et l’université Humboldt. Ces SFB sont consacrées aux géosciences, aux procédés industriels, aux matériaux et à la physique, à la biologie/médecine et à la chimie. Berlin abrite également l’un des 6 centres de recherche de la DFG (Matheon, Centre de recherche sur les mathématiques). Les centres de recherche de la DFG sont des centres d’excellence scientifique, intégrés au sein d’universités, qui ont vocation à devenir leaders internationaux dans leur domaine et à constituer un pôle d’attraction pour les meilleurs scientifiques étrangers. Instituts de recherche extra-universitaires Instituts Max Planck Berlin compte 6 Instituts Max-Planck, parmi lesquels l’institut Fritz-Haber de la Société Max-Planck (chimie et physique des surfaces et matériaux), l’institut Max-Planck pour la Génétique moléculaire, l’institut Max Planck de pédagogie, l’institut Max Planck pour la Biologie des infections, l’institut Max Planck d’Histoire des Sciences et l’institut Max Planck pour les archives. 2 ESCP Europe Wirtschaftshochschule Berlin e.V 3 http://www.dfg.de/forschungsfoerderung/koordinierte_programme/sonderforschungsbereiche/liste/sfb_ gesamt.html 5 Instituts Fraunhofer Il y a 6 instituts Fraunhofer à Berlin : - IPK : institut pour les installations de production et les techniques de construction ISST : institut pour les technologies du software et des systèmes IZM : institut pour la fiabilité et la micro intégration FIRST : institut pour la modélisation architecturale et les technologies du software FOKUS : institut pour les systèmes de communication ouverts HHI : institut pour les technologies de l’information Centres de recherche de la société Helmholtz : - Le Max-Delbrück-Centrum für Molekulare Medizin, ou MDC, a été fondé en 1992 par le regroupement de trois instituts de l’Académie des Sciences de l’ex-RDA. Avec un budget de 68 millions d’euros (2012) et 1140 collaborateurs, c’est aujourd’hui l’un des plus importants centres de recherche biomédicale en Allemagne. Le Centre Max-Delbrück relie recherche fondamentale en biologie moléculaire et recherche clinique, afin de faire bénéficier aux patients aussi rapidement que possible ces dernières avancées scientifiques. Les chercheurs et les cliniciens travaillent au développement de nouvelles méthodes de diagnostic et de traitement des maladies graves, et étudient également les possibilités de prévention de l’apparition des maladies. Les principaux axes de recherche sont : - les maladies cardio-vasculaires les recherches sur le cancer les neurosciences moléculaires la génétique, la bio-informatique et la biologie structurelle la croissance et la différenciation cellulaire la thérapie moléculaire Les scientifiques du Centre Max Delbrück collaborent avec les médecins de deux cliniques : la clinique Robert Rössle pour le Cancer (RRK) et la clinique Franz Volhard pour les maladies cardiovasculaires, situées à Berlin-Buch. Elles forment une partie de l’école de médecine de la Charité. Le Max-Delbrück-Centrum für Molekulare Medizin et la Charité sont des partenaires privilégiés de l’Inserm en matière de coopération bilatérale franco-allemande. Ces différents organismes coopèrent sur plusieurs projets de recherche biomédicale et clinique. - Depuis le 1er septembre 2009, L’Institut Hahn Meitner et le BESSY (Source de rayonnement synchrotron de Berlin, membre de la société Leibniz) ont fusionné et ont donné naissance à une nouvelle société Helmholtz dans les domaines de la Structure de la matière et de l'Energie : centre Helmholtz de Berlin pour les matériaux et l’Energie (HZB). Centres de recherche de la communauté Leibniz (WGL) On compte 12 centres de la WGL à Berlin: - DRFZ : le centre allemand de recherche en rhumatologie de Berlin (depuis 2009) FBH : Institut Ferdinand Braun pour les technologies à haute fréquence FMP : institut de recherche pour la pharmacologie moléculaire IGB : institut pour l’écologie aquatique et la pêche IKZ : institut pour les cristaux IZW : institut de zoologie et de recherche sur les animaux sauvages MBI : institut Max- Born pour l’optique non linéaire et la spectroscopie PDI : institut pour l’électronique des corps solides WIAS : analyse appliquée et stochastique DIW : institut allemand pour la recherche économique 6 - FIZ : centre d’information spécialisé en chimie WZB : centre scientifique de Berlin en recherche sociale MfN : musée d’histoire naturelle de Berlin (depuis 2009) Focus sur le musée d’histoire naturelle de Berlin : Le Musée d'histoire naturelle de Berlin, l'un des plus célèbres du monde, était jusque là intégré à l'université Humboldt de Berlin. Il rejoint désormais la communauté Leibniz. Ce musée s'inscrit dans le complexe qui réunit l'institut de biologie et de géologie de Berlin. Il devrait recevoir à partir de 2009 6,5 M€/an pour son fonctionnement. En 2007 le musée a investit beaucoup de moyens dans sa rénovation. Il a réouvert ses portes après deux années de chantier. Grâce à son intégration dans la communauté Leibniz il a réussi à financer la rénovation, la modernisation des locaux et à s'assurer un financement jusqu'à 2015. Etablissements de recherche sous tutelle du Bund/du Länder Parmi la multiplicité de centres sous tutelle, on citera : - - l’institut Robert Koch -Robert-Koch-Institut, RKI, chargé d’études épidémiologiques, de la surveillance des maladies infectieuses, de la conduite de recherches cliniques, de recherches dans les domaines de la pathologie virale, des réactions immunitaires, et des risques induits par les manipulations génétiques. Le RKI a également pour mission de produire des rapports sanitaires. l’institut de chimie appliquée de Berlin- Adlershof : recherche fondamentale en catalyse hétérogène notamment. le BAM : bureau fédéral pour la recherche et les tests sur les matériaux le PTB : bureau fédéral pour les technologies physiques l’institut de la Bundeswehr pour la protection d’un point de vue médical du travail et de l’environnement Réseaux de compétences et programmes de promotion Les centres de recherche de Berlin sont impliqués dans de nombreux réseaux de compétences fédéraux. La ville en coordonne, plus spécifiquement, une dizaine. Berlin est ainsi le centre d’un réseau de compétences sur la Biomimétique, « BioKON» (http://www.biokon.net). Le Land est également le noyau du réseau « BioTOP Berlin-Brandebourg » (http://www.biotop.de), qui a pour objectif de faire des biotechnologies de la région de Berlin et du Brandebourg un centre d’excellence au niveau européen. Le cluster d’entreprises, qui regroupe actuellement 20 instituts de recherche, 160 entreprises employant 3200 personnes, se situe à la deuxième place en Allemagne derrière celui de Munich. L’activité se concentre dans les parcs technologiques d’Adlershof, Focus Medi port, Buch et Berlinbiotechpark. Toujours dans le domaine des biotechnologies on peut citer « BioHyTec » (http://www.biohytec.de), réseau de technologies biohybrides qui développe des biocapteurs et des biopuces afin de consolider les secteurs de la bioanalytique et du diagnostic moléculaire. Le projet GABI et le réseau des technologies ARN « RiNA » (http://www.rna-network.com) concernent aussi les biotechnologies. « GABI » (http://www.gabi.de), chargé d’analyser le génome dans le système biologique des plantes, est un projet collectif cofinancé par le Ministère fédéral de l’enseignement et de la recherche et par des entreprises privées. Celles-ci sont regroupées au sein de l’association GABI, réseau économique pour la recherche sur le génome végétal. Une agence de brevets et de licences est associée à GABI avec pour mission la commercialisation et la protection juridique des découvertes effectuées. Quant à « RiNA » il s’agit d’une plate-forme pour la coopération entre acteurs de l’économie et des sciences dans le domaine des technologies de l’ARN. En matière de recherche médicale, Berlin coordonne : - un réseau de compétences sur les malformations cardiaques congénitales, « Kompetenznetz Angeborene Herzfehler » (http://www.kompetenznetz-ahf.de) 7 - un réseau sur les insuffisances cardiaques, « Kompetenznetz Herzinsuffizienz » (http://www.knhi.de/Kompetenznetz/Aktuelles.jsp) un réseau sur l’oncologie pédiatrique, « Kompetenznetz Pädiatrische Onkologie »(http://www.kinderkrebsinfo.de/index_ger.html ) un réseau sur les rhumatismes « Kompetenznetz Rheuma » ( http://www.dgrh.de/knr.html) un réseau sur les attaques cérébrales « Kompetenznetz Schlaganfall » (http://www.kompetenznetz-schlaganfall.de/) « BioProfil » (http://www.nutrigenomik.de) est un réseau de la région Berlin-Brandenbourg qui soutient la recherche et le développement dans le domaine de la nutrigénomique et possède notamment pour thématique cible : l’obésité, le syndrome métabolique et les complications associées (diabètes, pathologies cardiovasculaires), les pathologies intestinales cancéreuses ou non et les allergies. « MOTIV » (http://www.motiv-medtech.de) est un centre de compétence des régions BerlinBrandenbourg et Sarrebruck-Saarpfalz (Techniques médicales St-Ingbert/Berlin) qui est aussi l’initiateur et le moteur de développements novateurs en ingénierie médicale. En matière de microsystèmes et de microélectronique, Berlin est le noyau du « ZEMI » (http://www.zemi-berlin.de), centre pour la technologie des microsystèmes. La ville dirige également un réseau sur les technologies optiques, «Optec Berlin-Brandebourg» (http://www.optecbb.de), et un réseau pour les technologies des transports, « FAV » (http://www.fav.de). Concernant le domaine des micro-, nanotechnologies et technologies optiques on peut citer le réseau « NanOp »(http://www.nanop.de), Centre de compétences sur les nanostructures pour l’optoélectronique. Ce réseau a deux buts : accélérer la recherche et le développement des nanotechnologies appliquées à l’optoélectronique (nanostructures latérales et des techniques nanoanalytiques) et faciliter le transfert technologique. Dans le domaine de l'information et de la communication le "Réseau GEOkomm" (http://www.geokomm.net), réseau composé des acteurs du marché des SIG (Systèmes d'Information Géographiques), a pour but de faciliter l'intégration des connaissances externes dans le processus d'innovation des entreprises, renforçant ainsi les capacités concurrentielles de petites et moyennes entreprises. Quand au réseau virtuel de compétence pour la réalité virtuelle et élargie "ViVERA" (http://www.vivera.org), qui concerne les régions de Magdebourg, Berlin, Chemnitz, Darmstadt et Rostock, son but est de relier les compétences des développeurs de réalité virtuelle, d'identifier les besoins en développement, de combiner les expériences et de les exporter à d'autres domaines d'application. Adlershof Adlershof, (http://www.adlershof.de/index.php?wista0&L=0) site scientifique et économique, a pour objectif de devenir le plus important parc technologique d’Europe. Ce site, qui accueille de jeunes sociétés développant des spécialités à fort contenu technologique, pourrait favoriser l’émergence de nouveaux acteurs «phare». Le site emploie déjà plus de 10.000 personnes. Ce parc technologique, dont la construction a été décidée en 1991 à l’emplacement de l’ancienne Académie des Sciences de la RDA, se situe dans la banlieue Est de Berlin. Il compte parmi les 15 plus grands parcs technologiques au monde. Il comporte trois ‘zones’ différentes : scientifique, économique, média. La zone ‘scientifico-économique’ regroupe 11 instituts de recherche (hors instituts universitaires), 6 instituts de l’université Humboldt et environ 410 entreprises tournées vers les nouvelles technologies. Les instituts de recherche et les entreprises s’intéressent principalement aux 4 domaines suivants : technologies optiques, technologies de l’information et de la communication, nouveaux matériaux et microsystèmes, biotechnologies et recherche environnementale/énergétique. Un club de ‘businessangels’ a également été fondé. Le parc comprend également 125 entreprises spécialisées dans les médias créant un total de 1000 emplois. Des productions ou opérations de post-production peuvent y être réalisées. Cette zone comprend entre autre 7 studios (dont le plus grand d’Allemagne) pour une superficie totale de 6500 m2 . 8 Parc biotechnologique de Berlin-Buch Afin d’accompagner le transfert de savoir-faire entre recherche et industrie, le Max Delbück Centrum a créé en 1992, en association avec Schering AG et l’institut de recherche FMP (Forschungsinstitut für Molekulare Pharmakologie )et la compagnie BBB Campus Management Berlin-Buch GmbH. BBB Management développe et gère le parc biotechnologique de Berlin-Buch, ainsi qu’une pépinière de start-ups issues du MDC. Le parc comprend aujourd’hui plus de 54 entreprises biomédicales avec environ 760 employés (2011). (http://www.campus-berlin-buch.de/e_unternehmen.shtml): Dans le domaine des biotechnologies, les autres parcs technologiques berlinois sont les suivants : berlinbiotechpark Charlottenburg, Focus Mediport, les parcs de biotechnologies de Luckenwalde et Henningsdorf. Politique de la recherche et de la technologie Rares sont les régions d’Europe où on peut observer une telle concentration d’institutions scientifiques et de recherche comme à Berlin : quatre universités, la Charité pour la médecine, trois écoles d’art, sept écoles supérieures, plusieurs écoles privées supérieures et plus de 70 instituts de recherche de financement public ont leur siège dans la capitale et forment une excellente base pour un travail interdisciplinaire et une coopération avec le monde économique. Les priorités de la politique de recherche et de développement du Land de Berlin, définies en accord avec la région Brandebourg, concernent les biotechnologies, les technologies médicales, la recherche sur les transports, les technologies de l’information et de la communication, mais aussi l’optique et les micro-systèmes. De plus, Berlin finance une recherche importante en sciences sociales en plus d’un vaste potentiel de recherche fondamentale sur le traitement des problèmes à caractère sociétaux et économiques. Les universités berlinoises forment à elles seules 4 clusters d’excellence et 7 centres d’étude et de recherche. L’Université libre de Berlin (Freie Universität) a pu, grâce à une dynamique innovante, intégrer l’International Network University. Les écoles supérieures seront dotées, dans les années à venir d’un budget de 210 millions d’euros, dont 53 sont destinés à la recherche de pointe dans le cadre de l’initiative d’excellence. Une part importante du développement de la politique technologique du Land est due à la TSB, la fondation de technologie de Berlin. Elle structure et modernise les activités innovantes de Berlin et les distribue dans les quatre initiatives stratégiques : BioTOP Berlin-Brandenbourg pour les biotechnologies, FAV (Forschung und Anwendungsverbund Verkerstechnik - Association pour la recherche et de développement des technologies du transport) pour les transports, TSB Adlershof dans le domaine des technologies optiques et des technologies de micro-technique. Transfert technologique et transfert des savoirs Le transfert de technologie constitue également une priorité de la ville de Berlin. Défini en partenariat avec le Brandebourg, il concerne en particulier le secteur des biotechnologies, des technologies de l’information et de la communication et des transports. L’optique et la technologie des microsystèmes ont récemment été rajoutées à cette liste. La principale initiative a été lancée en juin 2011, à travers le projet Innovation Berlin-Brandebourg (innoBB). La stratégie innoBB est le résultat d’une longue coopération entre les Länder de Berlin et de Brandebourg sur les thématiques suprarégionales ayant le plus de potentiel. Elle réunit tous les acteurs de la recherche et de l’innovation dans les deux Länder : ministères et administrations dans les domaines de la science et de l’économie, Agence d’Avenir de Brandebourg, Fondation pour l’innovation de Berlin (TSB) et agence Berlin Partner. Ce projet a pour but de réunir les deux régions autour de projets et de thématiques liés au domaine de la recherche et de l’innovation. Dès 2011, cinq thèmes ont été identifiés comme prioritaires : - la santé et l’économie - les techniques relatives à l’Energie - les transports en commun, la mobilité, la logistique - les médias et la création - l’optique et la technique des microsystèmes Le dernier sommet (sixième) du projet innoBB a eu lieu le 11 juin 2013 et a rassemblé plus de 300 chefs d’entreprise, scientifiques et représentants de la sphère politique et de l’administration. Dans les domaines de transfert de technologie, des réseaux d’innovation ont également été créés. La Fondation pour la Technologie (Technologiestiftung Innovationszentrum Berlin) a joué un rôle 9 important dans ce développement en favorisant le dialogue entre les hommes politiques, le secteur de la recherche et les entreprises. La Fondation soutient les biotechnologies par l’intermédiaire de l’agence de moyen de Bio-TOP ; les transports grâce à l’association FAV ; la recherche médicale grâce à TSBmedici et les TIC et les médias grâce à Time Kontor. Par ailleurs, les « associations de recherche interdisciplinaire » (« Interdisziplinäre Forschungsverbunde ») ont également joué un grand rôle dans la définition des priorités et la création de réseaux entre entreprises et secteurs de la recherche. Un des objectifs principaux du Land est le développement des parcs d’innovation d’Adlershof et de Berlin-Buch. Ces deux technopôles permettent un échange constant entre les institutions de recherche et les entreprises. A ce titre, le parc de Berlin-Buch (32 ha, 54 entreprises, 2500 employés), est attractif pour les entreprises de biotechnologie parce qu’il se situe à proximité de grandes institutions de recherche comme le Centre Max Delbrück pour la médecine moléculaire, l’institut de pharmacologie moléculaire, la clinique universitaire Robert-Rössle de la Charité pour les maladies tumorales et la clinique Franz Volhardt pour les maladies cardiovasculaires. Les technologies des microsystèmes et de l’optique se sont développées dans la technopôle d’Adlershof avec l’implantation du Centre pour la Technologie des Microsystèmes et le travail du réseau de compétences Optec-Berlin-Brandebourg. La société WISTA, implantée à Adlershof, joue un rôle important dans le transfert de technologie avec 10.000 employés, 11 centres de recherche extauniversitaires, 410 startups et l’implantation de 6 Instituts de l’Université Humbolt. On enregistre également le succès rencontré par les laboratoires créatifs et d’innovation ainsi que des espaces de co-travail à Berlin. Les lieux de travail ouverts, flexibles et communicatifs, comme la « Betahaus » [1], sont l’expression d’un monde du travail changeant, et d’une ouverture croissante des modes d’organisation du travail et de l’innovation Ces laboratoires offrent en outre des espaces transversaux pour le travail créatif et des espaces. La « Betahaus » est l’un des plus grands lieux de co-travail en Europe. Fondé en 2009, il dispose de 2000 m2 pour 200 utilisateurs. Betahaus a ouvert d’autres lieux à Hambourg, Barcelone et Sofia, et travaille sur d’autres espaces en Europe. Enfin, les Länder de Brandebourg et de Berlin coopèrent également à travers les deux clusters Fraunhofer : - MRO : « Maintenance, Repair and Overhaul in Energie und Verkehr » sur l’énergie et les transports - « Sichere Identität » sur la sécurisation de l’identité. Activités et coopérations internationales Le Land de Berlin attache une très grande importance aux relations européennes et internationales. Il cherche à cultiver et à développer ces relations, en particulier dans le domaine des sciences. Pour cela, il doit s’assurer que sa recherche est bien représentée dans toute l’Europe. Les nouveaux entrants de l’Union Européenne sont la première cible de ces efforts. L’importance de la coopération internationale et l’attractivité de Berlin se mesurent par la part très importante d’étudiants étrangers dans les établissements supérieurs de Berlin : en 2011 (17%). Le Land a des ressources exceptionnelles en matière de sciences humaines et sociales concernant certaines régions du monde. A ce titre, l’université Humboldt possède un centre d’études britanniques et un Institut de l’Europe du Nord. L’université technique possède un centre d’études françaises, et l’université libre un centre d’études d’Europe de l’Est. Berlin possède de nombreuses ressources dans le domaine des études nord-américaines, latinoaméricaines, africaines et asiatiques. Les études islamiques constituent aujourd’hui une des priorités du Land. Le groupe de travail « Modernité et Islam », composé de chercheurs académiques venant d’institutions diverses, prend en compte l’importance politique croissante de l’Islam en combinant des méthodes philologiques et historiques avec des approches sociologiques. La densité, la diversité et la qualité exceptionnelles des institutions scientifiques de Berlin offrent de nombreux avantages et sont un fondement efficace pour la mise en place de contacts et de coopérations internationales. Dans cette optique, les ressources scientifiques de Berlin doivent être développées et renforcées, au moyen de réseaux et d’infrastructures ciblées. La ville met pour cela à profit ses opportunités d’échange et d’accueil de scientifiques ainsi que de communication dans les forums et les centres de 10 rencontre, tels l’Institut d’Etudes Avancées et l’Académie des Sciences de Berlin-Brandebourg. Elle profite également des possibilités offertes par les parcs d’innovation d’Adlershof et de Berlin-Buch. Liste des universités - Université libre : 33 300 étudiants (2012). Site : www.fu-berlin.de - Université technique : 31 962 étudiants (2012). Site : www.tu-berlin.de - Université Humboldt : 31 065 étudiants (2011). Site : www.hu-berlin.de - L’université des Arts de Berlin 3690 étudiants (2011) Site : www.udk-berlin.de Liste des écoles supérieures spécialisées (Fachhochschulen) - Ecole supérieure spécialisée Alice-Salomon d’études et de pédagogie sociales (Berlin) Site : www.asfh-berlin.de - Ecole supérieure spécialisée de technique et d’économie de Berlin Site : www.htw-berlin.de - Ecole supérieure spécialisée Beuth, pour la technique de Berlin Site : www.beuth-hochschule.de - Ecole supérieure spécialisée d’économie de Berlin Site : www.fhw-berlin.de - Ecole supérieure spécialisée d’économie et de droit de Berlin Site : www.hwr-berlin.de - Ecole supérieure spécialisée Technique de Berlin Site : www.tfh-berlin.de Liste des instituts de recherche Instituts de la société Max Planck (www.mpg.de) : - Institut Max-Planck de recherche pédagogique Site : www.mpib-berlin.mpg.de - Institut Fritz-Haber de la société Max-Planck Site : www.fhi.mpg.de - Institut Max-Planck de génétique moléculaire Site : www.molgen.mpg.de - Institut Max-Planck de biologie de l'infection Site : www.mpiib-berlin.mpg.de - Institut Max-Planck d'histoire des sciences Site : www.mpiwg-berlin.mpg.de 11 Instituts de la société Fraunhofer (www.fraunhofer.de) : - Institut Fraunhofer des installations de production et des techniques de construction IPK Site : www.ipk.fraunhofer.de - Institut Fraunhofer de technique des systèmes et des logiciels ISST Site : www.isst.fraunhofer.de - Institut Fraunhofer de fiabilité et de micro-intégration IZM Site : www.izm.fraunhofer.de - Institut Fraunhofer de conception assistée par ordinateur et technique des logiciels FIRST Site : www.first.fraunhofer.de - Institut Fraunhofer des systèmes publics de communication FOKUS Site : www.fokus.fraunhofer.de - Institut Fraunhofer des techniques de communication – Institut Heinrich Hertz (HHI) Site : www.hhi.fraunhofer.de Instituts de la société Leibniz (www.wgl.de) : - Musée d’histoire naturelle de Berlin Site : www.naturkundemuseum-berlin.de - Institut de recherche en rhumatologie de Berlin Site : www.drfz.de/ - Institut allemand pour la recherche économique DIW Site : www.diw.de - Institut Ferdinand Baraun pour les techniques à hautes fréquences FBH Site : www.fbh-berlin.de - Institut de recherche en pharmacologie moléculaire FMP Site : www.fmp-berlin.de - Institut d'écologie des eaux et de la pêche dans les eaux intérieures IGB Site : www.igb-berlin.de - Institut d'étude des cristaux IKZ Site : www.ikz-berlin.de - Institut de recherche sur les animaux de zoo et les animaux sauvages IZW Site : www.izw-berlin.de - Institut Max Born d'optique non-linéaire et de spectroskopie de courte durée MBI Site : www.mbi-berlin.de - Institut Paul Drude d'électronique des corps solides PDI Site : www.pdi.wias-berlin.de - Institut Weuerstraß d'analyse appliquée et de stochastique WIAS Site : www.wias-berlin.de - Centre scientifique de Berlin en recherche sociale WZB Site : www.wz-berlin.de 12 Instituts de la société Helmholtz (www.helmholtz.de) : - Institut pour les matériaux et l’énergie Centre HZB : www.helmholtz-berlin.de - Centre Max Delbrück de médecine moléculaire MDC Site : www.mdc-berlin.de 13