Réunion dialogue social du 8 novembre 2016
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Réunion dialogue social du 8 novembre 2016
Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 Présents : CGT : E. Montier, P. Ebalard SNSPP: J-S.Binard SA :D. JM. Boitelet, A. Laidié, S. Texier AS: F. Pain CFDT: absent excusé SDIS : Col Patet, Lcl Paichoux, Cdt Bourdais Lcl Daoudal, Lcl Bonnier (dossier Start) Agenda : Jeudi 20 octobre : CAP SPP à 14h30 Jeudi 24 novembre : CHSCT à 14h00 er Jeudi 1 décembre : CT à 14h00 au GFS Lundi 5 décembre : CATSIS à 18h30 Mardi 6 décembre : Réunion DS à 14h00 Mardi 13 décembre : CASDIS à 14h30 CR précédent : Le compte-rendu de la réunion DS du 6 octobre 2016, n’appelant aucune observation, est approuvé à l’unanimité. Consultation des personnels sur les régimes de travail des CIS St Malo et Redon: Conformément aux dispositions évoquées en réunion DS du 6 octobre 2016, un formulaire de vote a été transmis au domicile de chaque agent du CIS St Malo et du CIS Redon, afin de leur permettre de se prononcer sur l’expérimentation en cours dans leurs CIS respectifs. Le dépouillement de ce vote a été réalisé le 7 novembre 2016. Les résultats sont les suivants : Saint-Malo Redon Nombre d’agents destinataires de l’enquête Nombre d’agents ayant émargé 81 33 76 22 Nombre d’enveloppes recueillies 74 25 2 1 vote sans enveloppe 1 bulletin manquant 2 0 Nombre de votes exprimés1 72 19 Question : Etes-vous satisfait du régime de travail expérimenté sur votre CIS en 2016 ? - OUI 66 18 Nombre de votes non pris en compte Nombre de votes nuls ou blancs - 6 NON 6 1 Nombre de votes exprimés : Nombre de questionnaires remplis et ne comportant aucune annotation supplémentaire. 1 Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 – Rédacteur : Lcl C. Paichoux – V2 1 Au regard de ces résultats qui complètent les bilans réalisés par les chefs de centres concernés, il sera proposé aux prochaines instances de pérenniser les régimes de travail en cours. Déroulement des opérations de recrutement d’une FI SPP : L’échéancier de recrutement de 10 agents dans le cadre d’une FI SPP est le suivant : - 9 novembre : sélection des dossiers de candidature - 7 décembre : épreuves sportives et tests de personnalité - 8 et 9 décembre : entretiens avec le jury (Cne Robert, Cdt Theis, Cdt Picot, Lcl Paichoux, Cdt Bourdais et Mme Jouanne) - janvier 2017 : visites médicales des candidats retenus - 6 mars 2017 : début de la FI A l’issue de l’avis de vacance, 104 dossiers sont recevables, dont seulement 22 sont issus du concours organisé par le SDIS 76, à l’organisation duquel le SDIS 35 avait participé. La CGT estime qu’à ce titre, le SDIS 35 a le devoir de recruter des candidats lauréats de ce concours. Le DDSIS confirme que ces candidats seront systématiquement convoqués, mais rappelle que le fait d’être reçu à un concours ne vaut pas droit à être recruté par la collectivité qui a participé à son organisation. A la demande d’Avenir Secours, le DRH indique qu’environ 40 candidats seront convoqués aux tests et entretiens, ce qui, au regard du retour d’expérience de recrutements précédents, paraît suffisant pour opérer une sélection efficace. Le DDSIS fait savoir que les candidats ayant la qualité de SPV du SDIS 35 feront partie des personnes convoquées. La CGT estime qu’il n’y pas lieu de donner une priorité aux SPV du 35 dans la mesure où tout le monde ne peut pas devenir SPV faute de résider à proximité d’un CIS, mais convient qu’il est opportun de recruter « local » pour limiter le turn-over. Le DDSIS maintient son souhait de donner à tout candidat SPV du SDIS 35 la possibilité de faire valoir ses chances en entretien. En réponse à SA, le DRH confirme que l’ensemble des candidats retenus effectuera une FI complète. En réponse à la CGT, qui considère insuffisant le recrutement de 10 agents, le Cdt Bourdais signale qu’une fois la FI intégrée, le SDIS 35 atteindra le plafond des effectifs autorisés au titre du tableau des emplois permanents. Demandes d’autorisation spéciale d’absence : Un rappel sera effectué auprès des responsables Planning sur la procédure de demande D’ASA, sur la base de la procédure Agendis consultable en ligne sur l’intranet. Les OS sont invitées à bien faire la distinction, dans les convocations qu’elles adressent à leurs membres, entre ce qui relève d’un congrès syndical ou d’une réunion de travail. SA signale que, dans certains cas, le décompte du temps de préparation et du temps de réunion peut faire dépasser 16,5 heures dans une même journée, ce qui peut poser problème aux responsables planning. Le Cdt Bourdais répond que ce décompte doit s’analyser au regard du volume horaire annuel, le temps de préparation n’ayant pas forcément lieu le jour même de la réunion. Mise en œuvre du système de traitement de l’alerte Start : SA et CGT : La gestion de la garde sur Start n’incombe pas au stationnaire mais à l’officier de garde dans les CSP ou au sous-officier de garde dans les autres CIS. Il n’est pas normal que le stationnaire doive assumer seul cette responsabilité. DRH : Un rappel sera effectué aux chefs de centre sur le fait que les missions déléguées aux stationnaires ne délient pas les cadres de leurs responsabilités. SA et CGT : Nous souhaitons que les instances soient consultées sur le déclenchement de VL pour compléter un équipage incomplet. Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 – Rédacteur : Lcl C. Paichoux – V2 2 DO : Les instances ont été consultées sur les chartes de coopérations de centres, qui prévoient ce complément d’équipage. Lors du paramétrage de Start, nous n’avons pas pu techniquement limiter ce fonctionnement aux seules coopérations de centres, mais nous avons réservé cette possibilité au complément du FPT, dans les CIS exclusivement SPV. Par ailleurs, le DO précise que la VL se rend sur les lieux de l’intervention et non au centre de départ comme mentionné par erreur lors de la précédente réunion DS. A la CGT qui signale que cela ne correspond pas aux dispositions des chartes de coopération, le DO répond qu’il est possible de donner la consigne à la VL de se rendre au CIS de départ. Avenir Secours suggère la définition de CRM possibles entre les 2 CIS, prédéterminés par les personnels du secteur au plus près de l’adresse du sinistre. La CGT fait état d’informations obtenues auprès de la société Systel, selon lesquelles il serait possible de limiter ce paramétrage aux centres disposant d’une charte de coopération validée. Le Lcl Bonnier indique que la programmation a été effectuée dans l’ordre de la liste de défense, en écartant les centres mixtes. Pour certains secteurs, le 2ème CIS sur la liste de défense n’est pas forcément celui de la coopération. C’est la raison pour laquelle, à l’heure actuelle, le réglage obtenu de Systel n’a pas permis de se limiter aux coopérations. Un nouveau point sera effectué pour identifier les améliorations possibles. Avenir Secours et la CGT regrettent que, lors de la formation des personnels, la fonctionnalité « complément d’équipage » n’ait pas été suffisamment décrite, dans la mesure où elle n’était pas totalement paramétrée. Le Lcl Bonnier confirme qu’un complément d’information pourra être réalisé auprès des personnels CODIS. SA réitère ses réserves sur cette fonctionnalité et demande que des mesures soient prises pour en garantir la sécurité. Le Lcl Bonnier indique que le paramétrage réalisé empêche l’engagement d’une VL avec un agent isolé : c’est systématiquement un binôme qui est engagé en complément. A l’issue de l’échange, les OS confirment leur souhait que la fonctionnalité « complément d’équipage » soit dans l’immédiat limité aux coopérations, dans le respect des chartes validées par le CASDIS après consultation des instances compétentes. SA : Nous demandons le retrait sur Start des aptitudes forcées de chef d’équipe dans tous les CIS pour les agents non détenteurs de la FAE correspondante DO : Il ne s’agit pas d’une aptitude forcée, mais d’un fonctionnement dégradé validé par le RO et déjà existant dans Artémis. Le principe général est de faire en sorte que les fonctions soient tenues par les personnels titulaires du grade et de la formation correspondants. Mais en cas d’indisponibilité des personnels prévus en première intention, l’impératif d’apporter une réponse opérationnelle dans les délais les plus courts peut conduire à engager des personnels qui ne correspondent pas à la solution nominale. Dans ce but, des ordres de priorité sont définis pour chaque fonction. Sur Start, l’engagement d’un sapeur en tant que chef d’équipe n’intervient qu’en 5ème position, en cas d’absence des caporaux, des sous-officiers et des officiers. SA et la CGT redoutent que ce qui doit rester exceptionnel devienne l’habitude et font remarquer que ce fonctionnement peut aboutir à ce qu’un chef d’agrès ne dispose que de sapeurs dans son équipage, ce qui peut le mettre en difficulté. Le Lcl Bonnier précise que les chefs de centre ont la possibilité d’interdire aux plus jeunes sapeurs d’avoir la fonction de chef d’équipe. La CGT considère que, par défaut, les sapeurs ne devraient pas être reconnus chefs d’équipe et demandent à tout le moins que l’opérateur, qui déclenche un engin, ait un moyen de savoir s’il est en effectif dégradé, comme c’était le cas sur Artémis. Avenir Secours partage ce point de vue, tout en rappelant l’obligation, pour le chef d’agrès d’un engin en effectif dégradé, de le signaler par radio. Le Lcl Bonnier mentionne qu’une demande a été adressée à la société Systel pour permettre aux opérateurs d’avoir une lecture directe des grades des personnels engagés. SA : Le déclenchement des chefs d’unité en tant que spécialistes sur Start n’est pas adapté et conduit à une perte de temps. Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 – Rédacteur : Lcl C. Paichoux – V2 3 Lcl Bonnier : cette question sera examinée lors de la réunion technique des opérateurs, programmée le 18 novembre pour tirer les enseignements après un mois de fonctionnement sur Start CGT : Nous avons le sentiment que le passage sur Start génère des situations où l’on masque le manque d’effectif et où l’on cherche à généraliser le déclenchement de la garde en aléatoire. DDSIS : le passage sur Start s’est réalisé dans les délais prévus, grâce à la mobilisation de toutes les équipes qui se sont investies sur ce projet. Cette évolution, toute récente, doit se stabiliser. En tout état de cause, la volonté du SDIS est de mettre en œuvre un fonctionnement opérationnel conforme au RO. Le DO rappelle que le SDIS a rédigé un cahier des charges qui impose à Systel de fournir un système avec feuille de garde. Dans l’attente de la résolution des anomalies constatées, un mode de gestion avec déclenchements aléatoires a été mis en place à la demande de certains agents du CIS Rennes Beauregard, mais le SDIS maintiendra l’exigence de disposer d’un système avec feuille de garde. Le Cdt Bourdais souligne à ce titre que le SDIS a également demandé que l’interface « feuille de garde » soit réalisée avec Agendis. Au DRH, qui propose de constituer un comité de suivi avec les représentants du personnel, la CGT répond que cela n’apparaît pas indispensable, les points réalisés par les représentants de la DO dans les CIS permettant d’apporter les principales réponses dans l’immédiat. Le Lcl Bonnier indiquant que des messages d’informations sont régulièrement adressés aux chefs de centre et référents Start, le DRH propose que chaque OS désigne un ou plusieurs référent(s) Start pour être destinataires de ces points d’avancement. La CGT désigne P. Ebalard et T. Flageul. Les autres OS font savoir qu’elles transmettront l’identité de leurs référents ultérieurement. Conditions de travail au CTA-CODIS : Faisant référence à un tract récemment diffusé au CODIS, la CGT et SA demandent à connaître les actions engagée par le SDIS pour améliorer les conditions de travail des personnels CODIS. Le Lcl Bonnier indique qu’une demande a été adressée à la MCCISST pour faire réaliser une étude sur l’ergonomie et la luminosité des postes de travail. A la CGT, qui suggère de recenser les personnels concernés, le Lcl Bonnier répond que, dès lors que plusieurs agents ont exprimé des difficultés, il n’est pas utile d’attendre d’avoir consulté l’ensemble du personnel pour lancer une étude technique. Le DO ajoute que, si l’étude en confirme la nécessité, les actions d’adaptation seront réalisées. SA et la CGT déplorent que les personnels ne soient pas autorisés à se restaurer dans le foyer du CODIS, alors qu’il est possible d’y réchauffer un plat et que cela permettrait un rappel plus rapide des opérateurs en cas de nécessité. Le DO rappelle qu’un groupe de travail, associant les personnels, avait privilégié la possibilité de se restaurer au réfectoire de Beauregard, qui permet en outre de faire une pause à l’extérieur et de croiser les collègues affectés au CIS. Personne n’avait exprimé la demande de rester dans le bâtiment CODIS pour se restaurer. Le foyer du CODIS avait plutôt été conçu comme une tisanerie. De manière pragmatique, il est possible de se restaurer dans cet espace, mais le DDSIS enjoint à éviter les nuisances olfactives que pourraient générer la préparation de plats chauds à proximité de la salle opérationnelle. Encadrement de stages par des personnels en double statut : La CGT fait état d’une convocation adressée à un agent en double statut pour encadrer un stage sous statut SPV. Le DRH fera le point avec le GFS et confirme que ce n’est pas conforme aux règles en vigueur. Temps de travail hebdomadaire : La CGT demande ce que le SDIS 35 tire comme conclusions du jugement du TA de Grenoble du 20 mai 2016, censurant partiellement une délibération du SDIS de l’Isère, relative au temps de travail des SPP. Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 – Rédacteur : Lcl C. Paichoux – V2 4 Le DRH répond qu’il s’agit d’un jugement de 1ère instance, qui annule certaines dispositions du règlement du temps de travail du SDIS, notamment parce que ce règlement ne mentionne pas le plafond semestriel de temps de présence prévu par le décret du 18 décembre 2013. Ce jugement n’a pas de conséquence pour le SDIS 35, qui mentionne bien dans son règlement intérieur le plafond de 1128h et qui fait en sorte de le respecter. La CGT considère que le plafond hebdomadaire de 48h devrait s’appliquer aux agents en régime de 24h et que ceux d’entre eux qui partent en formation pour une semaine devraient être libérés de leurs gardes de week-end avant et après leur formation. Elle souligne que c’était le cas auparavant et elle déplore une forme de régression en la matière. Le DRH répond que le SDIS respecte les obligations réglementaires : plafond hebdomadaire pour les agents dont le régime de travail habituel est de 8h ou de 12h, plafond semestriel de 1128h pour ceux dont le régime habituel est de 24h. Il rappelle que des consignes sont données aux chefs de centres pour faciliter l’aménagement de service des agents concernés et qu’une note de service a imposé qu’un repos leur soit octroyé le samedi suivant leur semaine de formation. Il considère qu’il n’y pas lieu de créer de contraintes supplémentaires. Attribution de la NBI pour les titulaires de l’UV INC2, les chefs d’unités et les adjoints au chef de salle remplissant les conditions d’ancienneté : SA demandent que les agents titulaires de l’INC2, les chefs d’unités et les adjoints au chef de salle qui remplissent les conditions d’ancienneté perçoivent la NBI. Le Cdt Bourdais rappelle les règles en vigueur (Cf. circulaire du 4 décembre 2006) : la NBI est attribuée aux « chefs d’agrès exerçant des fonctions de commandement de véhicules d’intervention comprenant au-moins 2 équipes, et d’une particulière technicité supposant une expérience de 7 ans au-moins, ou emploi équivalent supposant la même expérience et nécessitant l’encadrement d’aumoins cinq sapeurs-pompiers ». En application de ces dispositions, le SDIS 35 attribue la NBI aux titulaires de l’INC2 (en prenant en compte la date de nomination au grade de sergent) et aux adjoints aux chefs de salle. En réponse à SA, le DO indique qu’un maintien de régime indemnitaire à titre individuel pourrait être envisagé pour les sergents INC2 qui ne seraient pas nommés adjudants fin 2019. SA et la CGT font valoir qu’il existe plusieurs situations opérationnelles dans lesquelles des chefs d’agrès 1 équipe ou des chefs d’unités d’équipe spécialisées doivent encadrer 5 agents. Le DRH répond que l’attribution de la NBI est conditionnée par une expérience confirmée, supposant l’exercice régulier de cette responsabilité. Mesures prises par le SDIS pour faire face aux violences urbaines : SA souhaite connaître les réactions du SDIS face aux violences urbaines, au-delà de la condamnation officielle des récents événements par le Président du SDIS. Le DDSIS rappelle que, du fait de son affectation précédente en région parisienne, il est personnellement très sensibilisé sur ce sujet. Il constate que, si l’Ille-et-Vilaine n’est pas le département le plus exposé, l’agressivité monte en zone urbaine comme en zone rurale. Le SDIS ne peut malheureusement pas empêcher ce phénomène, qui s’inscrit dans un contexte social, mais il doit faire en sorte que les mesures de prévention et de protection des agents soient optimales. Plusieurs actions ont été engagées dans ce sens : mise en place avec les forces de l’ordre d’un protocole de prévention et de lutte contre les agressions, présence des chefs de centres dans les comités locaux de prévention de la délinquance, sensibilisation des personnels, filmage des vitres des engins en zone urbaine, envoi fréquent d’un officier en salle de commandement de la police, dépôt de plainte et signalement d’incivilité systématiques… La CGT souligne que la réponse ne peut pas être uniquement sécuritaire et que, le SDIS étant un service public de proximité, le lien avec la population des quartiers doit faire l’objet d’une attention soutenue. Le DDSIS en convient et ajoute que la politique d’éducation préventive conduite par le SDIS doit aider à faire passer des messages de prévention. Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 – Rédacteur : Lcl C. Paichoux – V2 5 Le SNSPP évoque l’existence de modules spécifiques dans les FIA de plusieurs SDIS. Le CGT confirme l’importance de la sensibilisation des personnels pour éviter de répondre aux provocations. Avenir Secours demande ce qu’il en est au SDIS 35. Le DO répond que bilan des actions réalisées doit être établi : jusqu’à présent, les formations ont plus porté sur l’intervention conjointe avec les forces mobiles dans un contexte de manifestation. L’effort doit sans doute être porté sur l’ensemble des mesures de prévention pour éviter que la situation dégénère lors des interventions courantes. Questions diverses : SA : Des SPP ayant encadré des formations sur des week-ends du 1er semestre n’ont pas encore été payés de leurs heures supplémentaires. Le DRH demande à SA de lui transmettre la liste des personnels concernés pour traitement. SA : La demande de remplacement du fauteuil du stationnaire du CSP St Malo est toujours en attente. DRH : Cette demande est conditionnée par le remplacement de fauteuils du CTA-CODIS. Après contact avec les responsables du CODIS et du service logistique du GST, le remplacement du fauteuil du stationnaire du CSP St Malo pourra intervenir rapidement. CGT : Un agent récemment affecté au CSP St Malo rencontre des difficultés. Quelle réponse le SDIS compte-t-il y apporter, et peut-il être envisagé un changement d’affectation pour prévenir les risques d’aggravation de sa situation ? DRH : Cette situation fait l’objet d’un suivi attentif en liaison avec le SSSM. SA : Nous n’avons pas été tenus informés d’un accident survenu au CIS Rennes Le Blosne, sur la perche de feu du nouveau bâtiment, alors qu’un agent a été blessé et qu’une procédure de consignation d’urgence a été mise en place. DRH : Nous veillerons à l’application de la procédure d’information du CHSCT, validée en mars 2016. SNSPP : Où en sommes-nous de la mise à disposition d’un répertoire pour chaque OS sur e-Doc ? DRH : Les OS s’étaient déclarées en faveur de la mise en place de ce répertoire sous réserve que l’identité des personnes qui le consultent ne soit plus affichée. Nous n’avons pas à ce jour eu la possibilité de retirer cette fonctionnalité, ce retrait nécessitant une prestation facturée par notre prestataire informatique. Le DDSIS informe les participants que, compte-tenu du changement d’affectation du DRH au 1er janvier 2017, le Lcl Daoudal, nommé au poste de DDA, assurera également l’intérim des fonctions de DRH. Un avis de vacance de chef du GEC sera diffusé pour l’épauler rapidement. Le Lcl Daoudal sera donc désormais présent systématiquement aux futures réunions de dialogue social. Le DDSIS fait part de l’inauguration du plateau technique de formation le 1er décembre prochain. Les représentants du personnel y seront conviés. Le DDSIS clôt la réunion à 17h00. Prochaine réunion le mardi 6 décembre 2016 à 14h00, salle orange de la direction départementale. Réunion dialogue social du 8 novembre 2016 – Rédacteur : Lcl C. Paichoux – V2 6