L`Angela Bête

Transcription

L`Angela Bête
Saison 2011 - 2012
Contact presse : Emilie Travers
Le Périscope
4 rue de la Vierge - Nîmes
04 66 76 10 56
[email protected]
www.theatre-periscope.fr
Communiqué de presse
Mars 2012
LA SAISON
L’Angela Bête
Cirque - Danse / vendredi 2 mars 20:00
Les possibilités
Théâtre / mardi 6 mars 20:00
mercredi 7 mars 19:00
jeudi 8 mars 20:00
Christophe Ruetsch - JF Oliver & Franck Vigroux
Concert / vendredi 16 mars 20:00
Good boy
Danse / jeudi 29 mars 19:00
J’AI UN THEATRE
DANS MON QUARTIER
Le Carnaval de Gambetta
Action culturelle / mardi 20 mars
PARCE QUE C’EST EUX
Le CRIQUET - Webspect@cle
Impro / samedi 10 mars 20:00
L’Effet Criquet Show
Impro / samedi 31 mars 20:00
L’Angela Bête
Danse / Cirque / Musique
Vendredi 2 mars 20:00
Dès 10 ans / Durée 1h10 / Tarif A : 12 / 9€
Cie Angela Laurier
Textes, interprétation, chorégraphie, mise en scène
Angela Laurier / Vidéo, musique, interprète Manuel
Pasdelou / Régie générale, musique, interprète
Julien Lefeuvre / Musique, interprètes Xavier Besson,
Bertrand Duchemin / Régie plateau Marion Piry /
Scénographie, création et régie lumière Thomas
Roquier / Collaboration lumière Richard Croisé /
Costumes Tifenn Morvan
Spectacle co-accueilli avec la Verrerie d’Alès, Pôle
National des Arts du Cirque Languedoc-Rousssillon.
Ce spectacle reçoit le soutien de l’ONDA.
Coproductions La Verrerie d’Alès, Pôle National des Arts
du Cirque, Languedoc-Roussillon / La Brèche, Pôle National
des Arts du Cirque, Cherbourg Octeville / Le Trident,
Scène Nationale de Cherbourg Octeville
Avec le soutien de la Direction Générale de la Création
Artistique, Ministère de la Culture et de la Communication
/ D.R.A.C Basse-Normandie / Conseil Régional de BasseNormandie / Conseil Général de la Manche
Après Déversoir et J'aimerais pouvoir rire, créations dans lesquelles Angela Laurier retraçait la complexité de
sa famille, sa fragilité et la folie qui l’entoure, elle se recentre ici sur son personnage. Accompagnée de
musique live, entourée de témoignages sonores et vidéo, elle nous livre là une part de son mystère.
Note d’intention...
« Je me recentre sur moi, mon parcours. Je traverse
les faits marquants de ma petite enfance à aujourd'hui.
De la petite fille illuminée à l’artiste de cirque en fin de
parcours qui rencontre une bande de musiciens du
Nord Cotentin. De la comédie musicale au cirque en
passant par le rock et le stand-up, autour d'un escaliercabane mouvant.
Je cours, ma vie est une course à obstacles. [...]
Fascinée par les gens, je les observe, les dévisage,
j’écoute, je cherche une identité. Je la trouve dans le
spectacle. Je me nourris de ce que je vois. Grâce à
mes capacités physiques, j’imite, me transforme en
bête humaine, à plus savoir qui je suis.
Je fais ce que je sais le mieux faire, me tordre. Pas que
la tête, le corps aussi. Les règles abondantes, l'anémie,
les entraînements, les gourous, la bouffonne et ainsi de
suite [...]
La parole de mon frère, de mon père ainsi que ma ma
mère ont été le support de base de mon travail corporel.
Leurs témoignages filmés sont le fil conducteur des
spectacles. Cette expérience incontournable m’a permis
d’apaiser des sentiments de culpabilité et d’impuissance vis à vis d’une fatalité liée à la maladie mentale.
Cette fois, s’impose à moi la question de l’identité à travers
mon parcours. Mon acharnement à poursuivre mes
entraînements de contorsion, à utiliser mon corps
comme exutoire à ma condition sociale qui s’apparente à
un besoin de m’armer, de sortir de moi pour exister [...].»
Angela Laurier
Extrait de presse...
[...] Mais sur scène, Angela Laurier, ne faisant jamais
les choses à moitié. Elle est sincère, vraie. Elle met
dans son spectacle toute sa fougue, son tempérament
de battante, emmenant dans son sillage ses musiciens
qui se retrouvent, tour à tour, musiciens, chanteurs,
clowns et acrobates. C’est une sacrée famille sur scène.
Avec L’Angela Bête, le public enfin respire un peu.
Angela le mettait en apnée et sous tension avec ses
deux autres spectacles. Là, tout en le laissant sur ses
gardes, elle lui ouvre une autre dimension, poétique,
comique, «bouffonne» comme elle le dit. Le public
pourra la retrouver avec ce spectacle abouti au festival
Spring 2012.
E.D., Presse de la Manche, oct. 2011
La compagnie...
Angela Laurier a passé plus d’une trentaine d’années
à travailler en tant qu’artiste contorsioniste pour divers
cirques et compagnies théatrales à travers le monde.
Elle est également danseuse dans la compagnie de
François Verret depuis plusieurs années. En 1999, elle
écrit et interprète Mon grand frère pour lequel elle obtient
une bourse de la SACD puis commence une collaboration avec David Noir pour L’art est nié, file ! et L’ange
est là, l’or y est.
Le désir de créer sa propre structure se voit motivé
par l’envie de mener à terme des projets mettant en
lumières des thèmes plus personnels. Initiative soutenue par l’obtention du prix Beaumarchais de la SACD
pour l’écriture de Déversoir en 2005.
En 2007-2008, Angela Laurier se consacre à la 1ère
création de la Compagnie Angela Laurier Déversoir
créé en janvier 2008 aux Subsistances de Lyon. Une
oeuvre qui s’introduit au coeur de la schizophrénie et
qui réunit pour la première fois sur scène Angela et
son frère Dominique.
La Compagnie Angela Laurier poursuit l’aventure
avec un nouveau spectacle J’aimerais pouvoir rire
cette fois mis en scène par sa soeur Lucie Laurier.
Créé le 11 février 2010 au Théâtre National de Chaillot
à Paris, ce spectacle tourne actuellement à travers
l’Europe. L’Angela Bête conclut cette démarche en
triptyque.
Les Possibilités
Spectacle co-accueilli avec Théâtre de Nîmes
Théâtre
Mardi 6 mars 20:00
Mercredi 7 mars 19:00
Jeudi 8 mars 20:00
« On ressort de la tragédie armé contre le mensonge. Au sortir de la comédie musicale, on se fait berner
par le premier venu».
Howard Barker
Dès 15 ans / Durée 2h15 / Tarif : 14 / 10 / 7 €
Dix saynètes mettent en scène un monde en crise,
un monde en guerre, un monde cataclysmique. Dix
tableaux qui posent les personnages dans des
situations où leur humanité est face à leurs contradictions et leurs tabous : une famille de tisserands
turcs pendant la guerre entre chrétiens et musulmans, l’empereur Alexandre sur un champ de
bataille, des terroristes débusquant un homme en
temps de guerre...
Stefan Delon a choisi Howard Barker et son Théâtre
de la Catastrophe pour interroger le public : qu’est
ce qui préside aux décisions d’un être humain
acculé dans une situation extrême ? Selon le metteur
en scène, le spectateur devra être seul face à la
tragédie pour trouver sa propre réponse. Un défi à
relever !
Les possibilités est traduit de l’anglais par Sarah Hirschmüller et
Sinéad Rushe en 2001 (Collection Scènes Etrangères, Editions
Théâtrales - Maison Antoine Vitez)
U-Structure Nouvelle
Mise en scène Stefan Delon assisté de Benjamin Duc
Interprétation Mathias Beyler, Julie Cucchiaro, Laurent
Pigeonnat, Luc Sabot, Catherine Vasseur Scénographie
Daniel Fayet / Lumières Martine André / Création
sonore Mathias Beyler / Construction du décor
Gérard Rongier et Anne de Crécy
Coproductions Théâtre de Nîmes et le Périscope
Ce spectacle a été créé avec l'aide de la DRAC LanguedocRoussillon, du Conseil Régional Languedoc-Roussillon et
de la Ville de Montpellier
L’auteur...
Né à Dulwich en Angleterre en 1946, Howard Barker
est dramaturge, poète et peintre et metteur en scène
de ses propres pièces. Il réside actuellement à
Brighton. Encore peu connu Outre-Manche, il est
considéré en Grande-Bretagne comme un écrivain
majeur. C’est un artiste polymorphe qui s’exprime
aussi bien par l’écriture, la peinture, la poésie que
la mise en scène. Il a travaillé pour la radio, la scène,
la télévision, l’opéra et le théâtre de marionnettes,
cherchant à chaque fois à provoquer un « évènement catastrophique » tel qu’il le définit dans son
ouvrage théorique Arguments for A Theatre.
Il a écrit à ce jour une quarantaine de pièces (presque
toutes créées en Grande-Bretagne) dont quatre
seulement ont été traduites en français pour des
raisons d’exclusivité de traducteur désormais
levées. Elles sont publiées aux Editions Théâtrales.
Son théâtre place au premier plan l’une des principales interrogations philosophic-artistiques de notre
époque : le jeu entre l’esthétique et l’éthique, la crise
de la représentation du monde de l’après
Auschwitz. C’est l’une des voix les plus originales
du théâtre anglais et il renouvelle radicalement la
dramaturgie contemporaine.
Le metteur en scène...
Formé à l’Ecole Supérieure d’Art Dramatique du
Conservatoire de Montpellier, Stefan Delan travaille
depuis avec des metteurs en scène tels que JeanMarc Bourg, Michèle Heydorff, Mathias Beyler,
Renaud Bertin, Gerhard Bauer, Bernard Sobel,
Christian Esnay ou Didier Carette.
Son parcours d’interprète l’amène à questionner la
représentation théâtrale en tant que matière artistique et la posture paradoxale d’interprète-créateur.
Il met particulièrement en oeuvre ce questionnement
sur le monologue qu’il adapte, met en scène et
interpréte Mars de Fritz Zorn en 2007. Il fonde
d’abord le groupe IDEE qui fédère 3 compagnies
théâtrales montpelliéraines puis U-Structure Nouvelle
avec Mathias Beyler.
In extenso à la programmation artistique, l’association TRIG - pour la promotion des arts sonores et
numériques - propose des soirées musicales inédites et de haut vol au Périscope.
Christophe Ruetsch
Jean-François Oliver
& Franck Vigroux
Concert
Vendredi 16 mars 20:00
Dès 15 ans / Durée 1h30 / Tarif B : 6€
Une musique originale, innovante et toute en fantaisie vous donne rendez-vous au Périscope.
Franck Vigroux, artiste associé aux Scènes Croisées
de Lozère, et Jean-François Oliver proposeront un
mélange de musique rock, électronique et contemporaine pour un résultat sonore étonnant !
La démarche de ces musiciens expérimentateurs
s’inscrit avant tout dans l’échange, la découverte et
l’expérimentation de nouveaux instruments et objets.
La création de nouveaux sons découle de la mise en
commun d’univers différents. Ils partent du postulat
que la musique ne doit jamais se refermer sur ellemême. Elle se doit d’intégrer tout apport technologique, philosophique ou sociologique susceptible de
la faire évoluer. Dans ce duo, ils confrontent leurs outils
atypiques et leurs univers respectifs, livrant une
musique où tout est permis.
En début de soirée, Christophe Ruetsch, musicien
du même acabit, présentera un solo, mixage de
musique électro-acoustique et d’oeuvres multimédia.
Il créera ou réadaptera une pièce déjà existante
spécialement pour Le Périscope. L’association TRIG
lui donnera carte blanche, fidèle à un de ces adages :
faire venir un expérimentateur pour qu’il expérimente.
Christophe Ruetsch...
Compositeur actif depuis une dizaine d'années, sa
production est orientée vers l'écriture de musiques
électroacoustiques et mixtes. Il est également attiré
par les projets pluridisciplinaires, ce qui l'a amené à
orienter son travail, vers des œuvres multimédia. Il
collabore régulièrement, dans un esprit de recherche
salvateur, avec le chorégraphe J.P. Bonomo. Après
quasiment 10 ans passés faces aux haut-parleurs
des studios, il est de plus en plus intéressé par le
développement du travail en live, ce qui se traduit
notamment par des concerts et performances axés
sur le jeu en direct.
Jean-François Oliver...
J.F. Oliver a obtenu un Diplôme d’Etudes Musicales au
Conservatoire de Nîmes. Il est amené à créer des
œuvres pour percussions contemporaines. Il se produit
également en concert en tant que vibraphoniste ou
au Laptop avec différents improvisateurs. En 2005, il
participe au spectacle Mue de Jean-Lambert Wild et
Jean-Luc Therminarias. En 2009, il est vibraphoniste
dans Le Recours aux forêts de J-L. Wild, M. Onfray et
C. Carlson.
Il est l’auteur de plusieurs pièces acousmatiques et
mixtes, d’installations multimédias, de bandes son
pour le spectacle vivant et le film d’animation. Il est
membre du groupe Memento, du combo expérimental
D999 et co-organisateur du festival de Musiques
Expérimentales et d’Arts Numériques DELCO.
Franck Vigroux...
Compositeur, improvisateur, guitariste, conducteur
d’orchestre et vidéaste, Franck Vigroux évolue dans
un univers où se croisent rock, improvisation,
électronique, cinéma expérimental et musique
contemporaine. Depuis 2000, il se produit en concert
aux 4 coins du monde et fonde en 2004 son propre
label D’Autres Cordes records.
Après une trilogie discographique remarquée, il
enregistre pour le label de Radio France. En 2009, il
est lauréat Villa Médicis hors les murs. Il travaille pour
le théâtre sur Septembres, texte de P. Malone avec M.
Simonot et J-M. Bourg.
En 2010, l’ensemble instrumental Ars Nova joue sa
pièce pour 10 musiciens Broken Circles. Il sort cette
même année le disque Camera Police qui lui vaudra
d’être le surnom de « french jazz-rock-electronic
genious » par le magazine The sound projector. Il
travaille actuellement sur le spectacle Nous autres
avec la chorégraphe Rita Cioffi et sur un futur projet
avec le musicien électronique Mika Vainio.
Good boy
Danse
Jeudi 29 mars 19:00
Dès 15 ans / Durée 45 mn / Tarif A : 12 / 9€
Conception et interprétation Alain Buffard
Assistant Mathieu Doze
Production PI:ES
Alain Buffard a été lauréat de la « villa Médicis - hors les
murs » en 1996
PI:ES reçoit le Soutien de la DRAC Ile de France, Ministère de la Culture au titre de l’aide à la compagnie
conventionnée et de l’institut français pour ses projets à
l’étranger.
Avec le soutien du Théâtre contemporain de la danse
et de la scène nationale - Les Gémeaux pour le prêt des
studios.
Ce spectacle reçoit le soutien de Réseau en Scène,
Languedoc Rousillon - www.reseauenscene.fr
Ce spectacle reçoit le soutien de l’ONDA.
Considéré comme un chorégraphe contemporain majeur, Alain Buffard est depuis 2 ans artiste associé
au Théâtre de Nîmes. Au moment où il s’installe tout à fait à Nîmes, le Périscope est heureux de présenter
une pièce fondatrice de son oeuvre.
Note d’intention...
Extraits de presse...
« Le corps comme un réservoir de mondes, des
espaces, des modes d’existence, des flux, des
mutations, des transformations.
Opposé au corps-outil du danseur, Good boy
trafique avec l’idée d’un corps appareil, un corps
instrument privilégié par lequel s’exacerbe une certaine
forme de transgression ; un corps qui expose la
saturation sociale et morale, un corps qui dit la
vitalité et la maladie.
Nous ne savons pas de quoi le corps est capable.
Pourquoi ne pas reprendre le corps à zéro,
inventer une nouvelle géographie articulaire, s’offrir
une autre grammaire organique. Explorer sa surface
comme un champ de segments hétérogènes et
indépendants, agencer des rapports de masses, lui
dessiner des prolongements, des excroissances.
Déplacer ses fonctions initiales. Répéter des gestes
quotidiens pour lui inventer des entraves fictives.
Effacer les contours identitaires pour mieux en
esquisser d’autres. Fabriquer un corps inutile, - c’est
à dire lui permettre d’accéder à un statut artistique
lui refusant ainsi de toute idée fonctionnelle, pour le
ceindre d’un nouvel état ; embrasser une nouvelle
stature ; et faire éclater l’idéal esthético-héroïque
hérité de J.J. Wincklemann.»
Alain Buffard
« L’homme est nu sous les néons. Une image
désormais classique de la création actuelle. Il s’agit
comme l’écrit Buffard, " de reprendre le corps à zéro,
de s’offrir une autre grammaire organique ". En avant
! (...) Il enfile un slip, puis deux, puis trois, jusqu’à
une vingtaine. Silhouette emmaillotée. Couches de
bébé. L’hôpital infantilise. Puis il contraint ses pieds
par d’autres bandes adhésives, proposant de nouveaux soutiens aux corps métamorphosés par la
maladie. Toutes les maladies.
Solo pour un corps qui refuse de se taire, "splash"
du corps qui retombe sur le sol, du genou qui heurte
la poitrine, des fesses qui frappent le mur, "scratch"
des adhésifs qui s’arrachent à la peau. Cette exploration d’une topologie sexuelle échappe au nombrilisme par la grâce d’une ironie s’approchant du
dédain. Un dandysme que l’on perçoit dans la voix
de l’anglais Kevin Coyne chantant Good boy. "Bon
garçon", Alain Buffard, insoumis, l’est fort peu. Il est
même tout le contraire : un politiquement incorrect,
très incorrect. Donc très vivant... »
Dominique Frétard,
Le Monde, 28 janvier 1998
« Autobiographique, d’une beauté féroce, cette
pièce joue dos à dos l’affirmation du sexe et son
revers sombre, celui de la maladie et de la mort.
Mais, alors que la machine à danser semble dangereusement atteinte, elle performe encore et trouve
de nouveaux atouts dans sa faiblesse. Good boy est
un coup de gueule, un aveu, une déclaration. Etre
sur scène, oui, mais à une condition : tout dire.»
Télérama n°3070 - 15 novembre 2008
J’ai un théâtre dans
mon quartier
L’association Kaléidoscope s’est donnée pour mission première de rapprocher de la culture ceux qui,
pour différentes raisons, en sont éloignés. J’ai un théâtre dans mon quartier rassemble ainsi les ateliers
et les actions artistiques et culturelles que le Périscope propose depuis douze ans aux habitants de
Gambetta-Richelieu, en particulier aux moins favorisés.
La onzième édition du Carnaval du quartier aura lieu le 20 mars 2012 !
Carnaval de Gambetta
11ème édition
Mardi 20 mars 14:00
L’association Artegem, notre partenaire privilégié le Centre Social Emile Jourdan, les
écoles, les associations et les habitants du quartier se réunissent et s’investissent une
nouvelle fois pour faire de ce grand défilé un moment de fête plein d’entrain et de magie.
Cet évènement festif s’inscrit au sein d’une action artistique et pédagogique. En effet, les affiches
annonçant l’événement sont des œuvres réalisées par les élèves des écoles maternelles. Quant
à M. Carnaval, il sera fabriqué à partir de matériaux de récupération, conçu et réalisé par les
adhérents de l’association Artegem lors de portes ouvertes dans leurs locaux (place St
Charles). Tous les habitants du quartier désirant participer sont les bienvenus !
Le traditionnel procès de M. Carnaval sera assuré par Jean-Christophe Fossard, gérant
exubérant du Fox Taverne et ancien habitant du quartier, attaché à nos propositions. La mise
à feu symbolique se fera comme de coutume place de l’îlot Fléchier.
La Gambettuda, batucada créée en 2009 et composée d’habitants du quartier accompagnera
ce joyeux cortège dans les rues, rejoint par l’atelier Capoeira et l’atelier Cirque du collège
du Mont Duplan.
Les costumes multicolores, le tintamarre tapageur rappelleront à chacun que, ce jour-là, on
peut se déguiser, s’amuser, s’oublier, se rejoindre et défiler !
Rendez-vous est pris pour le mardi 20 mars à 14h15 place de l’Îlot Fléchier ! Rejoignez-nous !
Du 10 au 18 mars dans les locaux d’ARTEGEM, 5 place St Charles
Le Périscope et l’association ARTEGEM proposent un atelier «portes ouvertes à tous »
pour fabriquer M. Carnaval. Les volontaires sont invités à rejoindre les bénévoles
tous les jours entre 10h et 17h pour donner un peu de leur temps et aider à fabriquer
la mascotte 2012 du défilé du Carnaval.
Une auberge espagnole est proposée entre 12h et 14h où chacun peut apporter sa contribution.
Parce que c’est eux
Chaque saison, le Périscope accueille des propositions concoctées par d’autres associations de Nîmes,
faisant la part belle aux amateurs, à l’humour, à l’improvisation ou à d’autres projets artistiques.
Tous les spectacles sont au tarif C : 10 € / 8 €
Le CRIQUET
L’Effet Criquet
La Compagnie Rurale d’Improvisation en Quête d’Elucubrations Théâtrales vous propose comme de coutume des
improvisations déjantées et truculentes. Le principe est
simple : l’équipe nîmoise invite des équipes de la France
entière afin de les affronter en joute verbale et amicale sur
des sujets sortis tout droit de l’imagination débordante
d’un arbitre implacable. Cette saison, venez découvrir
deux nouveaux formats : le tournoi de catch opposant sur
un ring les plus grands jouteurs du circuit et le webspect@cle dont vous choisissez le thème sur le site
www.criquet-nimes.fr.
La compagnie professionnelle d’improvisation théâtrale
présente Olivier Marti, Jean-Michel Olivares, Patrice
Rocour et Stéphane Zarouati en spectacle.
Webspect@cle
Samedi 10 mars 20:00
L’Effet Criquet Show
Samedi 31 mars 20:00
L’espace d’un soir, le Périscope se transforme en musichall. A mi-chemin entre les Muppets Show et Champs
Elysées, la soirée mêlera improvisations des comédiens et
chansons du groupe invité.
«Un nouveau genre de spectacle à découvrir entre impro
et musique. A voir.»
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