Diapositive 1 - Université du Maine
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Diapositive 1 - Université du Maine
Les Pass sont en Programme Avec le Pass, vente au Service du Parcours du spectateur assistez à Culture de Semestre 2 3 spectacles l’université du 2015-2016 au choix Information et réservation : Maine pour seulement 02 43 83 27 70 Bâtiment EVE 10€ [email protected] Danse Stéréoscopia Mercredi 13 janvier 19h00 Durée 45min De Vincent DUPONT ·Cie J’y pense souvent· À la fois spectacle et installation plastique, Stéréoscopia propose une expérience visuelle et auditive à vivre. À la croisée de plusieurs formes artistiques, Vincent Dupont y met en jeu, de façon étonnante, nos perceptions. Stéréoscopia cherche à rendre le relief, l’écart entre deux images presque semblables et parallèles dont la superposition créerait une vision nouvelle, où deux silhouettes presque doubles, s’y attirent et s‘y repoussent. Accompagné d’un espace sonore dédoublé lui aussi, directement transmis aux spectateurs au travers de casques, l’immersion est totale ! Théâtre Bluff Vendredi 15 janvier 20h30 Durée 1h40 D’Enzo CORMANN ·Cie Les Aphoristes· Bluff est une suite de trois drames brefs, construits autour du point de vue de la jeunesse, et dont le motif commun est le mensonge. Trois histoires contemporaines, trois concentrés de vies, trois petites pièces. Au cœur de chaque intrigue, trois jeunes filles : Yaya, Sonya et Alya mentent pour survivre, pour protéger mais aussi par amour. «S’intéresser au mensonge, revient donc à s’intéresser à la vérité, à la possibilité même de la dire, à la tentation permanente de la déformer, aux façons multiples de la falsifier. » E. CORMANN Théâtre L’Amour Pur (création) Mardi 19 janvier 20h30 Durée 1h00 De Cédric ORAIN La particularité de Cédric Orain ? Utiliser des textes qui ne sont pas destinés au théâtre et marquer ses spectacles par la nuit, par des voix qu’il dit « perdues, empêchées, oubliées ». Dans un dispositif intimiste, la voix d’une comédienne et les vibrations d’une guitare se font écho pour incarner avec pudeur et fièvre l’histoire d’une passion interdite, d’un amour pur. Pur au sens « qu’il n’existe pour rien d’autre que pour lui-même ». Un moment de théâtre à fleur de peau et de cœur... Théâtre Eugénie Lundi 25 janvier 18h30 De Côme de BELLESCIZE ·Cie Théâtre du Fracas· Sarah et Sam forment un couple stérile. Après plusieurs essais infructueux ils parviennent malgré tout à concevoir un enfant grâce à l’aide de la médecine. Mais cette « réussite » se voit chamboulée par une mauvaise nouvelle : la dénommée Eugénie se révèle être un embryon à risque. Une pièce marquante et touchante, un véritable moment de compassion et d’émotion. Danse Puisque je suis courbe (création) Du mardi 26 au vendredi 29 janvier 20h30 (sauf jeudi 18h30) Durée 1h00 De Florence LOISON · Cie Zutano BaZar (Le Mans)· Avec Florence Loison, Antoine Berr, Denis Monjanel Après une dizaine d’années d’aventures artistiques au croisement de diverses disciplines, Florence Loison fait un retour sur elle-même avec cette création très personnelle où elle explore à travers son histoire les sensations qui l’ont façonnée en tant que femme et artiste. Émois, plaisirs, résistances, transgressions, perceptions d’images en tout genre, réelles ou fantasmées, le corps enregistre tout. Au contact du regard de l’autre, il se construit ou s’étiole, se forme et se déforme, se remplit ou se creuse, la peau comme seule frontière entre le dehors et le dedans. Tout l’enjeu de la représentation est là : dans la subversion de ce corps en scène, à la fois inconscient et puissamment présent. Théâtre Les Liaisons Dangereuses Jeudi 28 janvier 20h30 Durée 2h45 De Christine LETAILLEUR ·Cie TNB· Éminemment théâtrales et rythmées comme une intrigue policière, les 175 lettres des Liaisons dangereuses ont séduit Christine Letailleur comme un « défi de plateau ». Metteure en scène passionnée de littérature, elle tisse dans cette pièce une adaptation de l’œuvre de Laclos en réunissant deux acteurs d’exceptions, Dominique Blanc et Vincent Perez, pour porter à la scène ce duo sulfureux que sont le Vicomte de Valmont et la Marquise de Merteuil, et faire vibrer les mots délicieusement empoisonnés de l’amour... Théâtre Contractions Mardi 3 février 20h30 Durée 1h15 De Mike BARELETT · Cie Productions Merlin· Une très grosse entreprise. Deux femmes, la manager de l’entreprise et Emma, une simple employée. Quatorze rencontres successives où la vie d’Emma va progressivement basculer dans l’horreur. La perte d’un amour, la mort d’un enfant la conduiront à être une employée parfaite, destinée à augmenter sans cesse son chiffre de vente…dans une solitude et un assujettissement absolus. Théâtre L’Amante Anglaise Lundi 22 février à 18h30 Durée 1h20 De Monique HERVOUËT · Cie Banquet D’Avril· D’après l’œuvre originale de Marguerite Duras Il serait facile de penser simplement que Claire Lannes est folle. Tuer et découper le corps de sa cousine, n’est pas donné à tout le monde. Et pourtant, en l’écoutant, on voit l’impensable jaillir de la « normalité ». C’est ce qui fascine dans les plus fameux fait-divers : l’horreur germée dans un cadre absolument ordinaire. Alors les questions fusent : quelles zones d’ombres peuvent se cacher en nous ? De quoi sont capables frustration, ennui et oubli ? Théâtre La Pluie d’été Mardi 24 février à 19h00 Durée 1h30 De Monique HERVOUËT · Cie Banquet D’Avril· D’après l’œuvre originale de Marguerite Duras Avec une folle vitalité, Monique Hervouët dépeint d’un regard neuf la banlieue, le chômage, l’école et l’immigration à travers l’histoire d’Ernesto. Ernesto a 12 ans. Il vit à Vitry, banlieue tentaculaire, avec père et mère mais aussi les « brothers and sisters ». Une vie faite de récup’ et de galères. Mais un jour tout bascule. Il trouve un livre particulier, il s’agit du livre du grand Tout, de la connaissance universelle. Comment peut-il le comprendre alors qu’il ne sait ni lire, ni écrire ? L’histoire commence alors… Théâtre Venezuela Mardi 1er mars à 20h30 De Guy HELMINGER, mise en scène de Patrice DOUCHET · Cie Théâtre de la Tête Noire· La nuit un gang d’adolescents « surfe » sur les trains, ils s’accrochent à une fenêtre et doivent tenir de gare en gare, de tram en train… Ces jeunes gens, à peine adolescents, jouant les héros pour combler le vide de leurs vies, se montrent capables du pire, mais aussi du meilleur. Comment un drame, comment un mensonge, une mystification collective peuvent redonner sens à la vie d’une bande de jeunes désœuvrés. Ce Vénézuela, pays d’eldorado, est une invention d’une bouleversante naïveté. Et pourtant nous avons tous envie d’y croire avec eux. Théâtre Huis Jeudi 3 mars à 20h30 Durée 1h50 De Josse DE PAUW et Jan KUIJKEN · Cie LOD Muziektheater· Artiste essentiel de la scène belge, Josse de Pauw compose un théâtre où la musique épouse la dramaturgie et amplifie la poésie des corps en mouvement. Huis réunit deux pièces tragi-comiques de Michel de Ghelderode, auteur à l’humour grinçant imprégné d’« absurdisme ». Le cavalier bizarre s’ouvre sur le dortoir d’un hospice. En pleine nuit, les vieillards sont alertés par le bruit d’un galop qui se rapproche... Et si la grande faucheuse arrivait ? Un souffle passe parmi eux, mais sans doute pas leur dernier... Les Femmes au tombeau : Des pleureuses évoquent leurs relations avec l’illustre défunt. Un chœur se forme, chante, crie, vibre de toute les peines et les joies contenues. C’est tragique et burlesque à la fois, vibrant d’humanité. Porté par une envoûtante composition musicale ce spectacle offre un tableau mordant, mais plein de tendresse, de l’homme en proie à sa finitude. Un bel éclat de rire à la face de la mort ! Théâtre M’appelle Mohamed Ali Mercredi 9 mars à 20h30 Durée 1h30 De Dieudonné NIANGOUNA ·Cie Falinga & Cie La Charge du Rhinocéros· M’appelle Mohamed Ali met en scène le boxeur du siècle ; brillant, investi et provocateur… Constituée d’allersretours entre les engagements de Ali contre la ségrégation raciale ou la guerre du Vietnam, et la vie de deux hommes de théâtre en Afrique aujourd’hui la pièce donne surtout à réfléchir sur l’avenir de ce continent. Théâtre Belle d’Hier Jeudi 10 mars à 20h30 Durée 1h30 De Phia MENARD (création) ·Cie Non Nova· Et si nous échappions au mythe du Prince charmant ? Phia Ménard, artiste inclassable, développe un travail singulier autour des éléments et leur transformation. De manière radicale mais toujours poétique, elle met en scène, l’identité profonde de l’être, « notre besoin et notre difficulté d’être au monde ». Belle d’Hier est la première création d’un cycle dans laquelle l’artiste se confronte à l’eau, après la glace et le vent. Sur le plateau, cinq femmes, cinq »rageuses » bien décidées à en découdre avec le mythe… Musique Bernard Lubat solo K-Baret Jazzcogne Mercredi 16 mars 20h30 Bernard Lubat : voix, piano, accordéon, jouets musicaux, etc… Ce compagnon de route des plus grands (de Stan Getz à Luciano Berio en passant par Claude Nougaro) se permet vraiment tout! En occitan, en français, en anglais, en scat, en jazz, en rap, au piano, à l’accordéon, à la voix, à la batterie, aux gestes et aux jouets, Bernard Lubat décape les vieilles habitudes du concert, ne se contentant jamais de ce qu’il sait jouer et se mettant toujours en danger. Explosive et décapante sa « musique » est tout sauf convenue, elle est à l’image de cet incroyable musicien d’une générosité musicale absolue! « L’échange nous change » dit Lubat, et si c’était ça le jazz ! Danse Rouge Vendredi 18 mars à 20h30 Durée 1h00 De Mickaël LE MER ·Cie S’Poart· « Si la danse hip-hop avait une couleur, elle serait rouge .» Le talent de Mickaël Le Mer ici, est de nous véhiculer à travers la danse urbaine qui lui est si cher, une poésie qui résonne comme un poème d’émancipation. C’est avec distance et élégance, qu’il questionne nos peurs, nos limites, et certains stéréotypes sociaux pour goûter la joie de les dépasser par le mouvement et révéler la fragilité de l’émotion comme une puissance. Lui qui définit la danse comme « un art de la rencontre et du rapprochement entre les êtres » il nous offre ce très beau spectacle de partage. Théâtre Courir Lundi 21 mars à 18h30 Durée 1h25 De Jean-Luc ANNAIX, adaptation de l’œuvre originale de Jean Echenoz ·Cie ThéâtreNuit· Un propos universel débordant largement du cadre sportif. Courir retrace la vie de l’athlète tchèque Emil Zàtopek, de sa jeunesse modeste jusqu’à son sacre de champion légendaire, dont l’engagement et le talent ont été récupérés avec cynisme par le Régime en place, qui lui fit vivre la disgrâce en le condamnant à six ans de travaux forcés dans des mines d’uranium… Et ce n’est pas tout. Un style d’une grande pureté, unanimement salué par la critique ainsi qu’une écriture qui ne laisse personne sur le bord du chemin. Accessible et jubilatoire! Théâtre R.A.G.E Mardi 22 mars à 20h30 Durée 1h20 Création de la Cie Les Anges au Plafond R.A.G.E est une histoire où s’entrecroisent les destins de personnages ayant choisi le mensonge pour préserver leur identité, leurs failles. Pour cette nouvelle création, Camille Trouvé et Brice Berthoud poursuivent leur réflexion sur l’identité, engagée avec Au fil d’Œdipe. Portée par les marionnettes et la musique live, cette fresque nous promet une soirée riche en sensations. Danse Sur[faces] Mercredi 23 mars à 20h30 Jeudi 24 mars à 18h30 Vendredi 25 mars à 20h30 De Marie LENFANT en collaboration avec Thierry MABON ·Cie Marie Lenfant (Le Mans)· Seul en scène, dans un espace minimal et frontal, un homme joue de son apparence. Il contrôle ainsi son allure et dissimule son image dans une façade superposée à la sienne. Un masque posé comme espace de transgression. Se dessine alors une frontière entre illusion et vérité, une dualité entre réalité et virtualité, soulevant la question du mensonge et de la quête d’identité. Danse Drumming Mardi 5 avril à 20h30 Durée 1h00 D’Anne Teresa De KEERSMAEKER ·Cie Rosas· Pendant une heure, un tempo envoûtant de Steve Reich nous tient en haleine à partir d’un seul motif rythmique de moins de deux secondes qui se décline en une infinité de canons, le rendant ainsi quasiment indiscernable. De la même manière, la danse est construite à partir d’une longue phrase de base d’un peu plus de deux minutes. Une matrice que les douze danseurs reprennent en une infinité de mutations dans le temps et l’espace. Une pièce énergique et envoûtante qui nous transporte vers la transe. Théâtre Dom Juan Mercredi 20 avril à 19h00 Durée 2h30 De Jean-François SIVADIER ·Cie TNB· D’après l’œuvre originale de Molière Dans cette version revisitée haute en couleurs mise en scène par Jean-François Sivadier, Nicolas Bouchaud enfile le costume de Dom Juan. Interprétée par des comédiens d’exception, cette relecture du classique de Molière promet humour et fantaisie, à savourer sans modération. « Scélérat! Chien! Pourceau d'Epicure! » Théâtre Mer Lundi 25 avril à 18h30 Durée 1h00 De Tino C ASPANELLO ·Cie La Lune Blanche· Avec une grande tendresse, cette pièce conte l’amour que se portent un homme et une femme qui n’ont pas les mots pour l’exprimer. Lui est assis au bord de l’eau, il attend. Elle n’arrive pas à se décider à partir, à le laisser seul, ainsi. Alors ils tentent de parler de ce qui fait leur vie et petit à petit se révèle cet amour qui ne s’est jamais dit à haute voix. Cette pièce est dédiée par Tino Caspanello « à ceux qui aiment en silence ». Théâtre Le manager, les deux crapauds et l’air du temps Mardi 10 mai à 20h30 Durée 1h00 De Solenn JARNIOU ·Cie Acta Fabula· Un conseiller Pôle emploi découvre sur son bureau une note de la Direction : s’il ne parvient pas à réintégrer ses deux premiers rendez-vous de la journée dans le monde du travail, il sera licencié. Mais un problème fait face : ELLE ne parle que l’argot, et LUI ne parle qu’en alexandrins. Le conseiller appelle son jumeau, le manager, au secours, qui devra apprendre aux deux chômeurs, les deux crapauds, à parler la même langue que tout le monde. Une fable parlée-chantée, une comédie grinçante qui pointe le danger de la normalisation de la pensée et du langage qui se propage dans l’air du temps. Théâtre Quand j’étais Charles Mercredi 11 mai à 20h30 Jeudi 12 mai à 18h30 De Fabrice MELQUIOT ·Cie Le Préau· Charles travaille comme commercial dans une entreprise de machines agricoles. Chaque week-end, il se rend dans le club karaoké du village et interprète les succès de Charles Aznavour. Mais Charles se retrouve d’un coup bien seul quand sa femme le quitte pour un autre. Pour tenter de comprendre ce qui a bien pu clocher, seul devant son micro, il chante ses souvenirs et son amour fou pour sa femme en empruntant les mots de son idole.