CTO of the USA CTO of the USA BMW veut déployer Linux dans

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CTO of the USA CTO of the USA BMW veut déployer Linux dans
La Lettre Innovation, Nouveautés, Evènements, et Pratiques des TI
N° 08/4
08/44
3 Novembre 2008
La pensée de la semaine
« Je crois que les gens voudraient un retour à quelque chose comme
comme l’intérêt général »
Barack Obama
CTO of the USA
http://itknowledgeexchange.techtarget.com/cio/cto-of-the-usa/?track=NL-973&ad=668793&asrc=EM_NLN_4837056&uid=1433566
Barack Obama, if elected president, will be looking for a cabinet-level chief technology officer (CTO) – a first in the White House. Job
responsibilities will include ensuring the U.S. is caught up with technologies, infrastructure and services for the 21st century. A White
House CTO would potentially help create broadband expansion with incentive programs (tax credits for smaller carriers, etc.) and oversee
the proposed venture capital fund to develop more environmentally friendly technology.
Throughout his campaign, Obama has effectively used the Internet to raise funds and engage voters – utilizing everything from blogs to
social networks. But the United States is ranked 15th among industrial nations in broadband penetration, according to a report from the
OECD. The report showed only 23 out of 100 Americans have broadband access – with rural areas being the most affected.
According to barackobama.com’s technology page, if the U.S. is going to succeed in the global economy we need to get on the ball and
online. Without renewed technology efforts, it stated, the U.S. will continue to lose leadership in science, technology and innovation –
particularly information technology, biotechnology and nanotechnology. It continued to cite recent international study statistics: U.S.
students perform lower on scientific assessments than students in “16 other economically developed nations and lower than 20
economically developed nations in math performance.”
The overall aim of broadband penetration and associated technological advancements is increased communication and awareness. Who
are some likely candidates for the job? BusinessWeek’s short list from Washington insiders of potential U.S. CTO candidates includes
Google’s Vint Cerf, Microsoft chief executive officer Steve Ballmer, Amazon CEO Jeffrey Bezos and Ed Felten, a prominent professor of
computer science and public affairs at Princeton University.
Obama’s proposed CTO may help turn the economy around and keep things on the up and up — developments of new technologies will
lead to more jobs. Obama’s plan to invest in climate-friendly energy development and deployment would theoretically create 5 million
new jobs alone. And if that doesn’t work out? At least one new job would be created – a White House CTO.
BMW veut déployer Linux dans toutes les voitures
http://www.mobinaute.com/170844-bmw-deployer-linux-voitures.html
BMW souhaiterait développer en collaboration avec d'autres
constructeurs un ordinateur de bord open-source. Le constructeur
allemand propose déjà un système télématique avancé
(navigation, téléphonie, multimédia), avec molette multifonction,
grand écran et affichage tête haute, qu'il enrichit depuis peu de la
technologie ConnectedDrive, qui permet d'obtenir des services
géolocalisés par le biais d'Internet.
Le constructeur a toutefois indiqué dans le cadre de la conférence
Convergence 2008 sur l'électronique embarquée dans les
automobiles qu'il cherchait des partenaires dans l'optique de
développer une plate-forme informatique automobile open-source,
basée sur Linux et développée par BMW et Intel notamment. A
l'instar de Google avec sa plate-forme ouverte Android, BMW
espère que divers fournisseurs développeront des applications
d'information ou de divertissement qui viendront se greffer au système. Bien qu'aucun fabricant n'ait encore répondu à l'appel, Chrysler,
Ford, General Motors ou encore Honda ont déjà évoqué cette volonté en participant à la même conférence. BMW compte vendre 200 000
véhicules embarquant un tel système dans les cinq à sept prochaines années.
Reste à rendre ces technologies abordables, les systèmes de navigation et autres ordinateurs de bords multimédias sont encore facturés
des milliers d'euros alors que certains GPS autonomes remplissent ces fonctions pour le dixième du prix. TomTom qui propose des
solutions innovantes sur ces GPS n'a d'ailleurs pas attendu BMW pour envisager d'intégrer en première monte son propre système.
Le Cobol, une valeur refuge pour les programmeurs ?
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39384383,00.htm?xtor=EPR-101
L’un des plus vieux langages de programmation connaît une relative pénurie de main d’œuvre. D’où des salaires en
hausse et des qualifications demandées par les employeurs.
Né en 1959 et particulièrement prisé dans les années 70 et 80, le langage Cobol (Common Business Oriented Language) est petit à petit
tombé en désuétude dans les écoles d'informatique et d'ingénieurs. Pourtant, ce langage est encore utilisé pour la création de logiciels de
gestion financière ou de comptabilité. Mais les programmeurs le maîtrisant sont devenus une denrée rare et leur valeur sur le marché du
travail s'en trouve renforcée. Autre critère favorisant les experts de ce langage : la délocalisation (outsourcing) vers des pays émergents
comme l'Inde ou la Chine est assez compliquée, faute de main-d’œuvre qualifiée sur place.
Le Cobol pourrait ainsi s'avérer une garantie d'emploi au sein de la même structure. « Si (les programmeurs en Cobol) sont en place dans
une organisation qui désire maintenir la pérennité de ses applications en Cobol, alors ils y sont probablement pour la vie entière »,
explique au site InfoWorld Jeff Gould, directeur de recherche chez Interop Systems.
Une demande en croissance continue Conséquence directe : « les salaires proposés pour des programmeurs en Cobol ont augmenté
ces dernières années en raison de la pénurie de main-d’œuvre », souligne William Conner, directeur senior chez Deloitte.
« La demande surpasse l'offre car de nombreux programmeurs en Cobol ont atteint l'âge de la retraite et les jeunes diplômés ont plus
tendance à se tourner vers Java, XML, ou d'autres langages modernes », poursuit-il dans InfoWorld. Il indique aussi que sa société de
conseil « voit déjà une demande significative pour l'expertise en Cobol », en particulier dans les services financiers. Les programmeurs les
plus prisés sont ceux qui ont à la fois la connaissance des mainframes et du Cobol, mais aussi de langages plus récents.
Des claviers filaires piratés par des chercheurs suisses
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39384356,00.htm?xtor=EPR-101
En « écoutant » les ondes électromagnétiques émises par des claviers, deux chercheurs de l’université de Lausanne ont
réussi à intercepter le contenu intégral des frappes saisies à une distance de vingt mètres.
C'est une découverte assez inquiétante qu'ont faite deux étudiants, chercheurs du laboratoire Sécurité et Cryptographie de l'université de
Lausanne, en Suisse Romande. Ils ont « mis sur écoute » les ondes électromagnétiques émises par onze claviers filaires différents, reliés
en USB ou via un port PS/2 à des ordinateurs, et les résultats de leurs travaux sont assez confondants. À la manière d'un logiciel
keylogger, leur procédé leur a permis de savoir précisément ce qui était tapé sur ces claviers, et ce à une distance de 20 mètres.
Si leurs expériences ont été réalisées à l'aide d'une petite antenne captant l'intégralité du spectre électromagnétique émis par les claviers,
cette méthode pourrait être appliquée à plusieurs dizaines de mètres de distance, avec une antenne plus importante. Et
on peut imaginer qu'elle puisse être utilisée par des vrais pirates, par exemple pour récupérer les codes tapés sur un distributeur
automatique de billets, sans avoir besoin de s'approcher de celui-ci.
De quoi largement simplifier la tâche des contrefacteurs de carte de crédit, qui utilisent encore des méthodes d'écoute bien plus
sophistiquées et onéreuses pour récupérer les données nécessaires à la création de fausses cartes bancaires. À ce jour, il n'existerait
aucun moyen de bloquer la transmission de ces ondes émises par les claviers filaires.
Les patrons de Google se paient un avion de chasse
http://www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/10/20081024-153645.html
Certains individus collectionnent les timbres, d’autres collectionnent les papillons. Les plus riches peuvent collectionner des voitures et les
gens très très riches peuvent se payer plusieurs avions.
C’est le cas, semble-t-il, des membres de la haute direction de Google. Selon des informations publiées par le New York Times, la société
H211 appartenant entre autres aux deux fondateurs de Google, Larry Page et Sergey Brin, de même qu’au PDG Éric Schmidt, vient
d’acheter un 5e avion. Il s’agit d’un appareil connu sous le nom d’Alpha Jet. En réalité, il s’agit carrément d’un avion de chasse, conçu
pour la guerre. Il est fabriqué la compagnie allemande Dornier et par la société française Dassault-Breguet.
Les quatre autres appareils appartenant à la société privée sont un Boeing 757, un Boeing 767, et deux Gulfstream V.
Tous les appareils sont stationnés à Moffett Field, un aéroport situé tout près du campus de Google et appartenant à la Nasa.
Que peut-on bien faire avec autant d’appareils, dont un avion de chasse ? Réponse: on peut les louer à la Nasa ! En effet, une porteparole de l’agence spatiale américaine a expliqué que ces appareils pouvaient être loués, dans le cadre d’événements bien spéciaux. L’un
des derniers fut l’observation du retour dans l’atmosphère du «Jules Verne», ce camion à ordures de l’espace qui a servi à évacuer des
tonnes de déchets en provenance de la station spatiale internationale.
Aucune information n’a été fournie concernant les pilotes de ces appareils, mais le PDG Éric Schmidt est un pilote passionné.
Les esprits les plus tordus diront certainement que Google prépare une attaque… contre Microsoft.
Total rejoint le centre de recherche en calcul scientifique Cerfacs
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-total-rejoint-le-centre-de-recherche-en-calcul-scientifique-cerfacs-27244.html
Le pétrolier Total entre, à hauteur de 9%, au capital du Cerfacs, centre européen de recherche spécialisé dans le calcul scientifique à
haute performance, où il rejoint six autres groupes, le CNES, EADS, EDF, Météo-France, l'Onera et Safran.
Constitué en société civile, le Cerfacs rassemble une centaine de physiciens, mathématiciens et informaticiens. Il permet à l'ensemble de
ses actionnaires de mettre en commun des ressources afin d'accéder aux capacités de simulation numérique et de calcul intensif
qu'exigent leurs recherches (météorologie, aéronautique, aérospatiale...) Le CNRS est également associé à la recherche du Cerfacs.
La simulation numérique devient essentielle dans la R&D de Total
Pour Total, l'entrée au Cerfacs s'inscrit dans une démarche visant à préparer l'arrivé de la prochaine génération de calculateurs
petaflopiques (un petaflop équivaut à un million de milliards opérations en virgule flottante par seconde). Le groupe rappelle qu'il vient
également d'acquérir un calculateur haute performance, installé dans son centre scientifique et technique de Pau.
La simulation numérique permet d'exploiter plus rapidement les données expérimentales. Le groupe pétrolier souligne l'importance que
prend la simulation dans ses activités de R&D, en amont, dans les domaines des géosciences (pour le traitement des données sismiques,
par exemple) et en aval, notamment pour optimiser les unités de transformation ou développer la compréhension du comportement de
nouveaux matériaux élastomères et composites.
Les assureurs espagnols misent sur l'Internet mobile
http://www.atelier.fr/banque-assurance/10/24102008/prima--espagne--assurance-37347-.html
Le projet Prima permettra aux professionnels de l'assurance d'améliorer leur gestion et de proposer de nouveaux
services mobiles à leurs clients.
Pour accélérer le développement des services Web et mobile dans le secteur de l'assurance, quelques uns des principaux assureurs
espagnols se réunissent au sein d'un projet baptisé Prima pour Plate-forme de Ressources Intermédiaires et Mobiles dans le secteur de
l'Assurance. Concrètement, il s'agit d'utiliser les technologies de l'information pour améliorer la communication et la concertation entre les
professionnels du secteur. Et ainsi optimiser leurs processus de gestion en interne. Mais les utilisateurs ne seront pas oubliés puisque le
projet souhaite aussi réfléchir à la mise en place de nouveaux services qui leur seront destinés, notamment grâce à l'Internet mobile.
Suivi des demandes d'indemnisation A l’avenir, les particuliers pourront ainsi se servir de leurs téléphones portables pour accéder à
la plupart des informations relatives aux produits d'assurance. Ils pourront également comparer les offres des prestataires, vérifier la
qualité de leurs services ou encore contrôler à distance le suivi de leurs déclarations de sinistres ou de leurs demandes de réparation. Le
projet est censé s'étaler sur deux ans au cours desquels seront définies et développées les technologies permettant la mise en place de
ces nouveaux services électroniques. Pour ce faire, l'école informatique de l'université polytechnique de Madrid (UPM) sera mise à
contribution. Ce sont en effet des chercheurs d'un de ses laboratoires, le CoNWeT Lab, qui seront chargés de développer les nouvelles
applications Web mobiles destinés au secteur.
Un projet R&D&I Si le projet n'en est qu'à ses prémisses et peut encore sembler un peu abstrait, ses promoteurs n'en sont pas peu
fiers. E2000, une société espagnole spécialisée dans la médiation en assurances, déclare ainsi que "le projet Prima est le premier projet
de recherche, développement et innovation dans le secteur des assurances". Parmi les autres sociétés participant au projet figurent des
leaders européens du secteur de l'assurance tel que Allianz Seguros et Groupama. Mais également l'opérateur de téléphonie ibère
Telefonica, la fondation de promotion des nouvelles technologies CTIC ainsi que le ministère espagnol de l'industrie.
PDC 2008 : Microsoft rend son Windows Cloud plus concret
http://www.vnunet.fr/news/pdc_2008_microsoft_rend_son_window_cloud_plus_concret_-2029141
Ray Ozzie, Chief Software Architect chez Microsoft, a présenté la plate-forme Windows Azure, premièregrande annonce à
l'occasion de la Professional Developers Conference (PDC). Une version restreinte CTP est déjà disponible.
Lors d'un keynote, Ray Ozzie a présenté la nouvelle plate-forme de Microsoft fondée sur le cloud computing. Ce concept vise à mettre à
disposition des capacités informatiques (stockage, calcul, infrastructures, applications) à distance par l’intermédiaire d’Internet.
Fidèle à son étiquette marketing, Microsoft intègre déjà la dimension "Azure" dans sa stratégie "software plus services". Il présente cette
plate-forme "Windows in the cloud" comme un outil de nouvelle génération pour les développeurs. Elle servira à développer les
applications du futur dans un mode multi-support (PC, Web et téléphone) à partir du réseau mondial de centres de données de Microsoft.
Pour certains participants de la PDC, Windows Azure n'est plus abstrait. Une version limitée en mode Community technology preview
(CTP) est disponible pour des développeurs sur place. "La plate-forme Azure Services, conçue pour être cohérente avec l'engagement de
Microsoft en termes d'ouverture et d'interopérabilité, a vocation à transformer le mode de fonctionnement des entreprises et des
consommateurs, la manière d'accéder à leurs informations et de vivre des expériences sur le Web", déclare Ray Ozzie.
Tous les produits Microsoft mobilisés pour le cloud Le manager de Microsoft se veut rassurant vis-à-vis des clients. Ils seront
libres de choisir leur mode de déploiement : Windows cloud, installation de logiciels sur site ou un mixte des deux. "Du moment que le
choix des entreprises soit le plus sensé possible au nom du business", précise le manager de Microsoft.
Pour animer le "Windows Cloud", Microsoft met à contribution l'ensemble des gammes de logiciels (middleware, serveurs, postes
clients..) comme le framework Microsoft .NET mais aussi Visual Studio (logiciel de développement), Microsoft SQL Services (bases de
données), Microsoft SharePoint (outils collaboratifs) ou Dynamics CRM Services (gestion de la relations clients ou business intelligence).
Outre le volet software, les services Internet de sa famille Microsoft Online Services seront mis à contribution : Exchange Online,
SharePoint Online, Microsoft Dynamics CRM Online, Office Communications Online and Office Live Meeting.
Microsoft
Microsoft de moins en moins frileux aux standards ouverts
http://www.vnunet.fr/news/microsoft_de_moins_en_moins_frileux_aux_standards_ouverts-2029124
La firme de Redmond va militer pour une plate-forme de messagerie ouverte en intégrant le groupe de travail AMQP.
Microsoft s'est associée à un groupe de travail visant à établir un standard de messagerie ouvert. La société a déclaré qu'elle travaillerait
avec des firmes comme Cisco, Red Hat et Novell dans le cadre du groupe de travail AMQP (Advanced Message Queuing Protocol). Le
projet vise à établir un standard ouvert pour les futures plates-formes de messagerie d'entreprise.
"En rejoignant le groupe de travail AMQP, Microsoft a l'intention de contribuer au développement de cette spécification par des moyens
qui vont promouvoir au mieux l'interopérabilité des solutions existantes sur le marché, et donner aux clients un choix plus large" ,
explique Sam Ramji, Directeur Senior de Microsoft pour la stratégie de plate-forme.
Cette décision s'inscrit dans l'effort continu de Microsoft de se présenter comme l'un des principaux défenseurs de l'interopérabilité et de
la coopération sur le marché IT. La firme de Redmond a longtemps été critiquée par les communautés des standards ouverts et de l'open
source à propos de ses batailles légales avec les distributeurs de Linux.
La société a également été empêtrée dans un combat de longue haleine avec les partisans du système ODF, concurrent du format de
document Office OpenXML. Microsoft a tenté d'apaiser ce conflit en faisant en sorte qu'Office prenne en charge les deux formats.
Enabled lance le GPS tactile pour malvoyants
http://www.atelier.fr/sante/10/27102008/enabled--vital--handicapes--aveugles--gps--plan--haptique--tactile-37361-.html
Afin d'aider au déplacement des personnes souffrant d'un handicap visuel, le projet mise sur l'élaboration d'assistants de
navigation personnelle tactiles et haptiques.
L'application mobile Mapped se contente d'instructions audio pour aider les malvoyants à se déplacer en ville. Problème : ce format est
insuffisamment adapté aux personnes souffrant d'un déficit visuel. Les chercheurs du projet européen Enabled élaborent donc des
dispositifs et des logiciels mobiles haptiques et tactiles censés guider plus sûrement les aveugles. Intitulé Vital, l'un de ces prototypes fait
office d'assistant de navigation tactile. L'utilisateur peut bouger un curseur sur un plan tandis que des signaux électromagnétiques
reproduisent des formes sous la paume de sa main. Le dispositif peut donner une sensation de cube pour définir un immeuble.
Différentes icônes peuvent être élaborées pour suggérer la présence de boutiques ou de services, par exemple un "H" pour hôpital.
Ne pas renfermer l'utilisateur sur lui-même Autre prototype imaginé par les membres du projet Enabled : Viflex. Il s'agit cette fois
d'un dispositif semblable à une télécommande de télévision dont l'extrémité se meut pour indiquer la direction à suivre. La personne n'a
qu'à poser son pouce sur cette partie du dispositif. Laquelle transpose alors les directions indiquées par un GPS intégré en mouvements
indiquant la route. "C'est beaucoup plus discret et naturel que de suivre des instructions audio", explique Wai Yu, un ingénieur à la
Queen's University de Belfast et coordinateur du projet. "Les dispositifs qui fonctionnent uniquement comme des podcasts peuvent être
déconcertants pour des aveugles. Non seulement ils peuvent être difficiles à écouter en milieux bruyants, mais ils ne font que renfermer
un peu plus l'utilisateur sur lui-même là où il faut au contraire lui donner une impression d'extériorité".
Deux prototypes brevetés En tout, ce sont déjà dix sept prototypes et plates-formes applicatives qui ont été élaborées dans le cadre
du projet Enabled, dont deux seulement ont déjà été brevetés. L'objectif du projet n'est pas de remplacer les cannes, les chiens et les
livres en braille y précise-t-on. Mais seulement d'élaborer des dispositifs complémentaires qui réduisent encore un peu plus la dépendance
quotidienne des personnes souffrant d'un handicap visuel. "Un chien peut certes faire éviter des dangers à son maître mais il ne sera
jamais capable de lui indiquer une nouvelle route. De même, une personne dans la rue peut indiquer la route à suivre à un aveugle. Mais
qu'il y arrive effectivement est un autre problème". Le projet Enabled fait partie du sixième programme cadre pour la recherche et le
développement technologique de l'union européenne. Aucune date de commercialisation des dispositifs élaborés n'est encore indiquée.
La Grande chambre des recours de l'OEB chargée de statuer sur la brevetabilité des logiciels
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-la-grande-chambre-des-recours-de-l-oeb-chargee-de-statuer-sur-la-brevetabilite-des-logiciels-27263.html
Après plusieurs années de tergiversations sur la brevetabilité des logiciels, l'Office européen des brevets (OEB, European patent office ou
EPO en anglais) a décidé de confier la patate chaude à sa plus haute juridiction, la Grande chambre des recours (Enlarged board of
appeal ou Eboa). Alison Brimelow, présidente de l'OEB, a signé la saisine vendredi 24, expliquant qu'elle espérait ainsi clarifier le contexte
juridique de la brevetabilité des logiciels une fois pour toutes. Car de fait, si les logiciels sont théoriquement exclus du champ de la
brevetabilité, des tribunaux ont soulevé des exceptions, ce qui a conduit des offices nationaux à décerner des brevets à des programmes
informatiques. Et le Parlement européen a de son côté échoué à élaborer une législation s'appliquant à tous uniformément.
Dans l'introduction de sa demande, Alison Brimelow note que les auteurs de la loi sur les brevets, conscients du caractère changeant des
nouvelles technologies, souhaitaient laisser une certaine marge de manoeuvre à l'OEB et à la jurisprudence. Toutefois, note la présidente
de l'OEB, « des décisions divergentes des cours d'appel ont créé de l'incertitude » autour des brevets logiciels, et les questions qu'elles
ont soulevées appellent une réponse unique « pour un développement harmonieux du droit ».
L'Office européen des brevets veut des réponses à quatre grandes questions
Le texte adressé à la Grande chambre des recours pose quatre grandes questions. La première a un caractère très général, puisqu'elle
demande si une invention qualifiée de « programme informatique » doit être exclue du champ de la brevetabilité justement à cause de
cette dénomination. En d'autres termes, quelle formulation un impétrant devrait-il employer pour ne pas voir sa demande rejetée d'office.
Les trois questions suivantes (elles-mêmes découpées en plusieurs questions) tâchent de définir une distinction claire entre les inventions
qui pourraient être brevetées et les autres. Par exemple, le fait d'utiliser un média de stockage - donc un support physique - évite-t-il à
un programme informatique d'être exclu du champ de la brevetabilité ? Ou encore, que se passe-t-il si le programme produit un « un
effet technique sur une entité physique du monde réel » ?
Avec OpusUna, IBM imagine le futur du travail collaboratif en ligne
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-avec-opusuna-ibm-imagine-le-futur-du-travail-collaboratif-en-ligne-27277.html
IBM a présenté lors du salon AjaxWorld RIA de San Jose ses travaux en matière de solutions de 'webconférence', ou travail collaboratif en
ligne. Le projet, baptisé OpusUna, ne sera mis entre les mains des utilisateurs qu'en 2009, mais il donne déjà un aperçu de ce que le
groupe de technologies Internet émergentes d'IBM essaie de faire - un « outil de collaboration de nouvelle génération [...] où les gens
interagissent d'une façon très différente ».
Les outils de travail collaboratif sur Internet existent déjà depuis longtemps et en grand nombre. Mais plutôt que les technologies de type
tableau blanc ou 'webinar' (séminaire en ligne) offertes par les solutions professionnelles de type Genesys Conferencing ou WebEx
(racheté par Cisco), le projet d'IBM se rapproche plus d'un Google Apps ou d'un Microsoft Sharepoint, avec la possibilité d'agir à plusieurs
sur un document et de converser en audio/vidéo. L'idée, explique David Boloker, directeur technique du groupe Emerging Internet
Technology Software d'IBM, est « d'étendre le concept Ajax afin de permettre des interactions multiples entre utilisateurs ».
Le projet est dérivé de QEDwiki, projet de wiki simple et rapide à mettre en place (qui a cédé depuis la place à IBM Lotus Mashups),
auquel IBM a voulu ajouter des fonctions de communication.
Les Taxis Bleus transformés en bureaux connectés au Web
http://www.vnunet.fr/news/les_taxis_bleus_transformes_en_bureaux_connectes_au_web-2029133
Associée à SFR et vYSoo, la compagnie de taxis teste un dispositif de Wi-Fi embarquée pour les passagers. Les
embouteillages paraîtront moins longs.
Dans les taxis, certains usagers profitent des trajets pour se détendre ou se concentrer avant leur rendez-vous suivant ; mais d'autres,
stressés, ont l'impression de perdre leur temps entre l'aéroport ou la gare et leur destination. Les compagnies de taxis réfléchissent donc
à différents moyens de les occuper.
Fin 2007, les Taxis G7 ont ainsi équipés une partie de leur flotte avec des récepteurs TNT destinés aux passagers. Les Taxis Bleus
creusent une autre idée dans le sens du travail : une dizaine de taxis d'Ile-de-France, affiliés chez Taxis Bleus, proposent à leurs clients
un PC connecté à une borne Wi-Fi embarquée, à partir de laquelle ils peuvent surfer sur Internet.
"Pour certains de nos clients, le taxi doit devenir une sorte de bureau élargi, explique Jean-Pierre Daverio, directeur général des Taxis
Bleus. La notion de mobilité et celle de connectivité permanente deviennent alors essentielles pour eux."
Techniquement, la connexion à Internet est réalisée via une clé 3G de SFR, tandis qu'un routeur Mobile 3G-WiFi MR600 de vYSoo
distribue le Wi-Fi dans la voiture. "La qualité de la connexion à Internet dépend donc de la couverture GSM, résume Marc Delort,
responsable commercial de vYSoo. En région parisienne, cela marche partout, sauf dans les tunnels, bien sûr."
D'où sort vYSoo ? Cette filiale du groupe Compal (un ODM taïwanais qui fabrique notamment les ordinateurs de HP, Dell, Lenovo, ou les
téléphones mobiles de Motorola et de Sony Ericsson) est spécialisée dans le Wi-Fi mobile.
Dans les taxis équipés, il est possible d'utiliser n'importe quel appareil doté d'une connexion Wi-Fi pour surfer sur Internet : il suffit de
s'identifier sur la page d'accueil du hotspot en fournissant (pour l'instant) une adresse e-mail.
La connexion peut-être partagée avec d'autres passagers du taxi. Mais toutes les voitures qui participent à l'expérience mettent
à la disposition des clients un UMPC eeePC d'Asus. Dans le cadre du test, les types de connexions et de travaux réalisés sur cet UMPC
sont enregistrés à des fins d'analyse. Pour l'instant, ce service est proposé gratuitement. "Mais d'ici à six semaines environ, ce sera
payant, précise Jean-Pierre Daverio. La session sera vraisemblablement facturée un à quatre euros. Le paiement se fera sans doute soit
dans le cadre d'un abonnement, soit au moment de la commande de son taxi, soit à bord."
Google Earth : embarquement immédiat sur l'iPhone
http://www.vnunet.fr/news/google_earth_embarquement_immediat_sur_l_iphone-2029143
La firme Internet a lancé une version de son application cartographique par images satellite dédiée à l'iPhone d'Apple.
Google propose en téléchargement une version de son outil de localisation Google Earth via l'AppStore d'Apple. Cette application est
disponible dès aujourd'hui en 18 langues. Elle contient également des informations sur 22 pays.
Cet outil sera très utile aux entreprises cherchant à équiper leurs employés en situation de mobilité d'une application de cartographie,
d'informations locales et de planifications de trajets.
Cette application utilise l'accéléromètre de l'iPhone pour permettre aux utilisateurs de regarder autour d'eux, et de vérifier les spécificités
de l'environnement qui les entourent en inclinant leur iPhone. Ils peuvent aussi contrôler le zoom par des gestes des doigts en utilisant
l'interface Multi-Touch de l'iPhone.
Et Google de déclarer sur son blog : "Avec Google Earth, vous bénéficiez d'une page d'informations complètes sur les entreprises. Vous
pourrez ainsi obtenir des articles, des photos, du contenu utilisateur, les heures d'ouverture et d'autres informations utiles. Nous avons
également ajouté une fonctionnalité permettant en un seul geste de localiser des entreprises à proximité, sans avoir à naviguer dans le
programme ou à entrer le nom de la ville".
PDC2008 : Office 14 sera
sera disponible en version web !
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/10/29/pdc2008___office_14_sera_disponible_en_version_web__
La version web d’Office 14 est globalement similaire à la mouture classique. Google Docs vient de prendre un sérieux un coup de vieux
La nouvelle vient de tomber lors de la PDC2008; Office 14 pourra fonctionner au sein d’un navigateur Internet. Les développeurs
de Microsoft ont créé une version web de certaines applications de la suite Office, en utilisant Silverlight 2.
Ce produit sera utilisable sous Internet Explorer, Mozilla Firefox et même Apple Safari. Les utilisateurs Windows et Mac OS X accéderont
ainsi à cette offre. Microsoft Office qui comprendra des versions web de Word, d’Excel, de PowerPoint et de OneNote. La démonstration
faite lors de la keynote du 28 octobre fut très impressionnante : les versions en ligne de ces applications sont totalement similaires
aux moutures classiques.
Les responsables de Microsoft nous ont également montré les différentes possibilités de travail collaboratif. Les mises à jour sont
diffusées très rapidement auprès de tous les participants, le résultat étant visible en quelques secondes, aussi bien dans les versions
classiques que web des applications Office.
Mieux, lorsque l’utilisateur exporte et publie un élément (par exemple un graphique généré par Excel) sur un blogue ou un site web,
Office conserve la trace de cette manipulation. Si les données du document sont mises à jour, la suite bureautique se charge de
modifier automatiquement l’élément publié. Génial. Notez enfin qu’Office 12 pourra s’intégrer à Live Mesh, ce qui facilitera encore
le partage des documents sur Internet.
Les versions web des applications Office seront disponibles sur Office Live Workspace… à une date encore inconnue. Les utilisateurs ne
disposant pas d’une licence de la suite bureautique pourront très probablement accéder gratuitement à ces modules web. Selon nos
informations, des modules de publicité seraient alors intégrés au sein de l’application.
Google va augmenter ses investissements dans le secteur de l'énergie
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/10/28/google_va_augmenter_ses_investissements_dans_le_secteur_de_l_energie
La firme n'entend pas seulement faire de la philanthropie
Google.org devrait passer à la vitesse supérieure. Cette division du géant de Mountain View rassemble les différents projets
philanthropiques du groupe dont l'objectif est "faire de Google une société qui améliore le monde".
Plus de 25 millions de dollars de subventions et investissements pour le financement de nouveaux projets ont été octroyés par le groupe.
Aujourd'hui, selon le New York Times, Google étoffe les ressources humaines de Google.org avec des recrutements de taille. Google a
ainsi débauché des ingénieurs, des scientifiques, et même un ancien astronaute de la NASA.
Il s'agit de mettre le paquet sur les énergies renouvelables. 10 millions de dollars seront donnés à eSolar, société basée à Pasadena
(Californie), spécialisée dans l’énergie solaire thermique. Car, l'objectif de Google est double : "contrairement aux fondations
philanthropiques traditionnelles, Google.org est un organisme hybride, ce qui lui permet de faire soit des subventions directes, soit des
investissements dans des sociétés à but lucratif dont les retours risquent d’être profitables", expliquait Google en janvier dernier.
"Nous voulons faire de l'argent et nous voulons avoir un impact", souligne au New York Times, Dan Reicher, directeur des initiatives
énergie pour Google.org. Reste que le ralentissement économique risque de mettre à mal ces investissements...
HP lance un ultraportable sous Linux
http://www.macgeneration.com/news/voir/132390/hp-lance-un-ultraportable-sous-linux
La rumeur disait vrai. HP commercialisera un
ultraportable sans Windows début 2009
(lire: HP voudrait se passer de Vista ?). Vendu à
partir de 379 $, le HP Mini 1000 MIE (Mobile
Internet Experience) sera livré avec une version
Ubuntu personnalisée pour l'occasion.
L'ordinateur en question embarquera un
processeur Atom N270, jusqu'à 2 Go de
mémoire vive ainsi qu'un disque SSD de 8 ou 16
Go, une webcam, un chipset graphique intégré
Intel GMA 950, deux ports USB 2.0, le Wi-Fi et
Ethernet. Choix au niveau de l'écran : 8,9" ou
10,2" tous deux en 1024×600.
HP insiste sur le fait que le clavier de son ultraportable a quasiment la taille (92 %) d'un clavier normal.
Le fabricant d'ordinateurs n'abandonne pas Windows pour autant, le reste de la gamme Mini 1000, disponible dès aujourd'hui à la vente
aux États-Unis à partir de 399 $, est livré avec Windows XP.
Nouveautés pour In Quotes, l'outil de recherche de citations de Google News
http://labs.google.com/inquotes/ http://actu.abondance.com/2008/10/nouveauts-pour-in-quotes-loutil-de.html
En avril dernier, Google lançait sur son outil de recherche d'actualités (Google News) un système d'extraction de citations nommé "Google
In Quotes". Dans cette première version, l'extraction de citations s'effectuait sur le mois qui venait de s'écouler. Dorénavant, le moteur
vient d'annoncer que la recherche pouvait s'effectuer sur les cinq dernières années.
La page d'accueil de l'outil, qui abrite une sélection de citations des deux candidats à l'élection américaine (McCain et Obama), est
également configurable avec les personnes et les sujets de votre choix (parmi une liste prédéfinie cependant).
Mon Q, quand Motorola fait de la pub en Français, grande classe !
http://www.silicon.fr/fr/news/2008/10/29/mon_q__quand_motorola_fait_de_la_pub_en_francais__grande_classe__
'J'ai entré ton numéro dans mon Q'... Ah, les joies de la publicité... Les créatifs payés à prix d'or travaillant pour Motorola ont décidé de
se creuser la tête pour la campagne du dernier mobile de la firme, le Q11. Sauf que les publicitaires ont dû rater leurs cours de français
au lycée car la traduction de leur 'œuvre' est plutôt approximative.
En effet, le slogan trouvé certainement après des heures de brainstorming est une blague à lui tout seul : "Mon Q. L'intelligence
renouvelée". Un Q qui rend intelligent, ils sont trop forts chez Motorola. Et personne ne s'est rendu compte de rien.
Evidemment, le slogan a fait le tour du Web et des médias et les vannes vaseuses ont fusé. Le jeu de mot est trop facile : "J'ai perdu
mon Q", 'J'ai entré ton numéro dans mon Q', 'Qui veut acheter mon Q"., "Je téléphone avec mon Q"... etc
Motorola subit donc la honte de sa vie alors que le fabricant est en grande difficulté. Ses mobiles se vendent mal, sa part de marché
baisse... Le géant qui doit communiquer ses résultats ce jeudi se serait bien passé de cette publicité.
123People, un moteur de personnes qui pose quelques questions…
http://actu.abondance.com/2008/10/123people-un-moteur-de-personnes-qui.html http://www.123people.com/
Le moteur 123People.com est un outil d'origine européenne (ses concepteurs sont basés en Autriche) qui permet de trouver des
informations sur des personnes qui ont "laissé des traces" sur Internet : adresse e-mail, photos, vidéos, numéro de téléphone,
informations issues de réseaux sociaux (MySpace, Twitter, Facebook, Wikipedia et autres), etc.
Le moteur "renifle" toutes les données portant sur une personne, le contenu ou les articles qui lui ont été éventuellement consacrés, et
les rassemble sous une même interface. Bref, un profil complet de l'internaute ainsi que de son "e-réputation"... D'autres outils, comme
Spock, avaient également tracé la voie dans ce sens par le passé.
123People a beau dire que toutes les données ainsi collectées sont publiques et disponibles librement sur la Toile, les protecteurs des
données privées, déjà mises à mal au quotidien sur les réseaux, vont adorer... D'autant plus qu'il ne semble pas exister de possibilité
d'exclure de l'affichage telle ou telle information proposée par le site...
Banque en ligne : IBM explore la sécurité sur clef USB
http://www.vnunet.fr/news/banque_en_ligne_ibm_explore_la_securite_sur_clef_usb-2029173
Le centre de recherche suisse de la firme IT sort un prototype de clef USB qui rend les connections bancaires fiables.
IBM a dévoilé mercredi une solution prototype destiné à sécuriser les transactions bancaires en ligne depuis son ordinateur personnel. Le
produit ressemble à une grosse clef USB et instaure une connection sécurisée entre les serveurs bancaires et son ordinateur, évitant une
connexion potentiellement vérolée.
"Face à la présence de cyber criminels de plus en plus sophistiqués, il devenait évident que les solutions d'authentification sur PC étaient
vulnérables et que nous devions innover", explique Peter Buhler, du Research Lab d'IBM à Zurich. L'outil d'IBM, appelé Zone Trusted
Information Channel (ZTIC), assure des transactions bancaires encryptées, évitant toute interception de données sensibles par des
hackers. "Les différentes étapes de validation et d'acceptation de la transaction sont déplacées du PC vers le ZTIC", explique le directeur
de la stratégie pour la sécurité chez IBM Gunter Ollmann, dans une interview sur eWeek.com. ZTIC dispose d'un petit écran avec deux
boutons "OK" et "Cancel". Il est également doté d'un lecteur de Smart Card et d'une capacité de stockage. Les drivers sont prêts à l'essai,
selon IBM. Une vidéo démo est disponible sur YouTube.
Android débarque au RoyaumeRoyaume-Uni
http://www.vnunet.fr/news/android_debarque_au_royaume_uni-2029176
Après les Etats-Unis, le téléphone Google est disponible outre-Manche. L'appareil est gratuit avec un abonnement chez T-Mobile UK.
Le téléphone G1, fonctionnant avec le système d'exploitation Google Android, est commercialisé au Royaume-Uni dès aujourd'hui. Le
terminal sera disponible uniquement pour les abonnés T-Mobile, et attribué gratuitement avec un abonnement de £40 par mois (€50,43).
"L'annonce du mois dernier ayant généré un tel enthousiasme, nous sommes heureux d'apporter T-Mobile G1 au Royaume-Uni à temps
pour Noël", déclare Jim Hyde, directeur général de T-Mobile au Royaume-Uni. "Il devrait révolutionner la façon dont nous utilisons
Internet sur téléphone portable : il a été spécialement conçu pour simplifier la communication en ligne, via e-mail, SMS ou blogs. De plus,
grâce à l'accès à des applications révolutionnaires sur le marché Android, les possibilités sont réellement illimitées."
Ubuntu 8.10 disponible en téléchargement
http://www.01net.com/editorial/394623/linux-ubuntu-8.10-disponible-en-telechargement/
La distribution Linux, très prisée du grand public, arrive dans une nouvelle version. Au menu : la prise en charge des
réseaux 3G, Wi-Fi, et l'environnement graphique Gnome 2.24.
C'est la distribution Linux la plus populaire à en croire le site DesktopLinux.com. Même les députés l'ont adoptée et Dell l'installe sur
certains de ses PC à la place de Windows. Ubuntu arrive dans une nouvelle version, 8.10 (Intrepid Ibex), disponible en téléchargement
gratuit (en français notamment) depuis ce jeudi 30 octobre. La version serveur est également proposée.
Pour cette nouvelle mouture, l'éditeur Canonical met l'accent sur le sans-fil. Il assure que la détection et la connexion aux réseaux
mobiles 3G à partir d'un PC équipé se fait plus simplement grâce à une interface unique.
Les utilisateurs auront, par ailleurs, la possibilité de lancer le système d'exploitation à partir d'une simple clé USB, et non plus
seulement depuis un CD ou un DVD, des supports moins rapides. Ils bénéficieront enfin de la dernière version de l'environnement Gnome
(2.24). Celle-ci inclut une nouvelle messagerie instantanée et assure une meilleure gestion de l'affichage multi-écran. Pour le reste,
Ubuntu 8.10 bénéficie des atouts qui ont fait le succès des versions précédentes : installation rapide, mises à jour automatiques.
A noter que le site Ubuntu-fr propose une procédure de migration de la version 8.04 à la version 8.10.