Dossier de presse - Rencontres internationales REUT Vendée

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Dossier de presse - Rencontres internationales REUT Vendée
Dossier de presse
Novembre 2016
Rencontres internationales « Faire de l’eau une ressource inépuisable »
La Vendée, département pilote
Le Puy-du-Fou 24-25 novembre 2016
Les Rencontres Internationales « Faire de l’eau une ressource inépuisable », proposées par Vendée Eau
et Veolia, accueillent des acteurs majeurs de la réutilisation des eaux usées traitées (REUT ou Reuse) en
Europe et dans le monde. Organisées au Puy du Fou les 24 et 25 novembre 2016, elles clôturent trois
années d’implication de Vendée Eau et Veolia dans le projet de recherche européen DEMOWARE qui
rassemble 27 partenaires de dix pays et est doté d’un budget de 10 M€ financé à 50 % par l’Union
européenne. Elles se situent au cœur de l’actualité française et européenne de ce secteur innovant et
stratégique pour l’avenir.
Plus de 250 invités participeront à ces Rencontres dont l’objectif est de montrer que l’eau usée peut
avoir une seconde vie dans différents usages avec des exemples concrets réalisés en France et à
l’international et en identifiant des besoins sur le territoire français.
Les Rencontres sont placées sous le signe du débat, de l’échange d’idées, des retours d’expérience pour
encourager la réflexion commune sur des sujets clefs. Trois tables rondes, auxquelles participeront des
personnalités internationales, nationales et locales, complétées par des échanges avec la salle
permettront de partager les expériences, les bonnes pratiques et les difficultés rencontrées, et de
formuler des propositions concrètes.
En Vendée, le syndicat départemental d’alimentation en eau potable Vendée Eau a décidé de s’engager
sur la voie de la réutilisation des eaux usées traitées (REUT). Adhérent au programme européen
DEMOWARE en partenariat avec Veolia, impliqué dans plusieurs autres projets européens, Vendée Eau a
le projet d’installer un démonstrateur à la sortie de la station de traitement des eaux usées du secteur
des Olonnes. Après un traitement complémentaire, l’eau serait transférée vers le cours d’eau du Jaunay,
situé à une vingtaine de kilomètres. Ce site pilote pourrait être opérationnel en 2019.
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Les eaux usées : une richesse sous-exploitée
La réutilisation des eaux usées, ou recyclage, consiste à récupérer les eaux usées après plusieurs
traitements destinés à en éliminer les impuretés et éventuellement les micro-polluants et les
contaminants viraux et microbiens, afin de valoriser cette eau pour un nouvel usage.
Les eaux usées domestiques ou industrielles constituent aujourd’hui une richesse largement inexploitée,
au moment où l’eau devient un enjeu humain et économique majeur. Réutiliser les eaux usées c’est les
valoriser en tant que ressource et sécuriser l’environnement. Simples sur le principe, ces projets sont
complexes à mettre en œuvre car éminemment multi-acteurs, multidisciplinaires et nécessitent une
législation spécifique et des adaptations au contexte local.
Une source alternative d'eau
L'enjeu principal est de disposer d'une source alternative d'eau, généralement pour l'irrigation, dans les
régions arides, où l'eau manque périodiquement ou pourrait manquer, mais aussi dans certains contextes
d'urbanisation, d'industrialisation ou de développement d'une agriculture irriguée, dans des régions
régulièrement touchées par le déficit en eau, comme c’est le cas en Vendée.
Le recyclage remplit donc un double objectif d’économie de la ressource : il permet à la fois d'économiser
les ressources en amont en les réutilisant, mais aussi de diminuer le volume des rejets pollués.
Des avantages économiques et environnementaux
Au plan économique, l'eau usée recyclée affiche de multiples avantages : elle se trouve précisément là où
on en a besoin, elle est la seule ressource qui croisse avec les besoins et elle est moins chère à traiter que
l'eau de mer.
Au plan environnemental, la réutilisation des eaux usées évite de prélever dans des ressources en eau
douce rares, elle accroît la productivité des eaux brutes prises initialement dans la nature en multipliant
les cycles de l'eau, elle réduit la charge polluante rejetée in fine dans le milieu naturel.
La REUT en France
7 millions m3 d’eaux usées traitées recyclées par an
dont 867 000 m3 par Veolia
Irrigation : ≈ 40 sites
1/3 golfs, terrains de sport, étendues vertes
2/3 irrigation des cultures (agriculture)
La REUT, une nécessité absolue
La réutilisation des eaux usées dans l’agriculture, l’industrie ou même en eau potable comme c’est le cas
par exemple à Windhoek en Namibie, est une nécessité absolue. La production directe d’eau potable à
partir d’eaux usées est encore anecdotique avec seulement quelques villes dans le monde, confrontées à
un stress hydrique, notamment aux Etats-Unis, en Espagne, et le plus ancien projet à Windhoek en
Namibie. La réutilisation peut être indirecte dans le cas de la recharge de nappe ou de rivière/retenue par
exemple. Se pose alors la question des normes sanitaires à appliquer qui varient, bien sûr, suivant l'usage
fait de ces eaux.
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Aujourd’hui, seulement 2 % des 165 milliards de m³ d’eau collectés et traités dans le monde sont
réutilisés. Les contraintes réglementaires et parfois l’opposition d’une partie de la population sont un frein
au développement du recyclage de l’eau.
« L’eau devrait être jugée non sur son histoire mais sur sa qualité »
Une réglementation qui évolue
Alors que la REUT est en plein essor dans de nombreuses régions du monde, elle stagne en France et peine
à se développer en Europe, où le potentiel est pourtant important, en raison d’une réglementation qui
n’est pas toujours adaptée, malgré quelques évolutions récentes.
Dès 2007, l’OMS a émis des recommandations pour favoriser les pratiques de recyclage des eaux usées.
L’un des rares pays à avoir adapté sa législation en ce sens est Singapour, afin de réduire au minimum sa
dépendance avec la Malaisie. Le recyclage des eaux usées assure ainsi aujourd’hui un tiers des besoins
quotidiens de la cité-Etat.
En France, le seul usage autorisé pour la REUT concerne l’irrigation et l’arrosage, avec des contraintes
techniques fortes. Des discussions sont en cours depuis avril 2015 entre les parties prenantes sur une
possible remise à plat des textes afin d’assouplir la réglementation. Outre la nature des précautions
sanitaires à prendre, l’un des enjeux est le coût des projets qui doivent permettre de produire une eau à
un coût moindre que l’eau potable.
De son côté, l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du
travail chargée de la sécurité sanitaire) ne s’oppose pas à l’utilisation d’eaux usées traitées pour la
consommation humaine et suit le projet de Vendée eau pour lequel elle a établi un ensemble de
préconisations et de mesures de contrôle à mettre en œuvre.
La législation européenne vise à encourager le recyclage. Elle a d’abord été relativement floue avant de
proposer, en 2000, un cadre pour la « gestion durable » des ressources et d’affirmer que le recyclage
contribue à cette gestion durable. La Commission Européenne vient de lancer une nouvelle consultation
(en cours, jusqu’au 27 janvier 2017) afin de déterminer les exigences de qualité minimales pour les eaux
réutilisées et aboutir ainsi à d’éventuelles adaptations réglementaires pour favoriser le développement
de la REUT.
« La REUT pourrait se développer en France si les freins réglementaires étaient levés »
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Le projet européen DEMOWARE et les Rencontres Internationales « Faire de l’eau une
ressource inépuisable »
Vendée Eau et Veolia participent au projet européen DEMOWARE, Innovation Demonstration for a
Competitive and Innovative European Water Reuse Sector. Il vise à surmonter les obstacles qui entravent
la mise en œuvre généralisée de réutilisation de l'eau en Europe. Il permet de renforcer le rendement
opérationnel, la capacité de planification et les économies, de réduire les impacts destructeurs sur
l’environnement et de faciliter la gestion du réchauffement planétaire.
Le projet DEMOWARE, doté de 10 M€, a reçu un financement du septième programme-cadre de l'Union
européenne pour la recherche, le développement technologique et de démonstration, en vertu de la
convention de subvention NE 619.040.
Dans ce projet, les plus grands acteurs européens sont impliqués, à l’image de Veolia pour démontrer qu’il
est possible de faire de la REUT pour des applications et dans des conditions extrêmement variées ; que
c’est une solution d’avenir pour lutter contre les trop grands prélèvements des ressources en eau en
Europe. C’est un projet qui a un intérêt de démonstration et de développement.
Le General Meeting annuel qui marquera la fin du programme DEMOWARE se tiendra les 23 et 24
novembre au Puy-du-Fou, juste avant les Rencontres Internationales « Faire de l’eau une ressource
inépuisable » qui se tiendront le 25 novembre et qui bénéficieront de la présence de ses participants.
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Le programme des Rencontres internationales
Après l’accueil d’Eric Rambaud, président de Vendée Eau, et d’Alain Franchi, directeur général de l’activité
eau Veolia en France, la matinée sera introduite par Yves Auvinet, président du Conseil départemental de
la Vendée, et Maxence de Rugy, conseiller régional des Pays de la Loire, membre de la commission
Environnement, Transition énergétique, Croissance verte.
La vision européenne est apportée par Thomas Petitguyot, responsable des politiques, DG
Environnement unité Eau à la Commission européenne. Dans le cadre de sa promotion d'une Economie
plus Circulaire, la Commission européenne s'est engagée à développer un ensemble d'actions visant à
promouvoir la réutilisation des eaux usées traitées en Europe, comme une mesure permettant d'atteindre
l'équilibre quantitatif dans une gestion intégrée des ressources en eau.
Miquel Rovira, coordinateur du projet DEMOWARE, expliquera comment ce programme a stimulé
l'innovation et amélioré la cohésion au sein du secteur européen de la réutilisation de l'eau avec deux
ambitions majeures : améliorer la disponibilité et la fiabilité des solutions innovantes de réutilisation de
l'eau et créer une identité professionnelle unifiée pour le secteur européen de la REUT.
Trois tables rondes se succéderont :
- Irrigation et usages agricoles, utilisation dans les villes avec :
. Jean-Luc Capes, président du groupe Eau FNSEA
. Francesca Pizza responsable process industriel d’épuration d’eau, Milan (Italie)
. Marie Raffin, chef de projet réutilisation de l’eau, Thames Water (Londres) : programme de
recyclage des eaux usées de la station de traitement et de recyclage des eaux usées d’Old Ford.
. Marilya Chatzistamatiou, expert technique Environnement Maintenance Infrastructures &
Bâtiments DISNEYLAND Paris : construction d'une station d'épuration pour l’irrigation des espaces
verts du site et du golf, nettoyage des voiries, l’appoint en eau des bassins des parcs et du golf.
- Les enjeux de la réutilisation des eaux dans le secteur industriel seront :
. Thierry Chancereul, directeur industriel du groupe LDC.
. Marie-Christine Huau, déléguée au développement à la Direction Commerciale et du
Développement.
. Yvan Paussade, ingénieur expert Veolia – animateur d’un comité dédié au recyclage de l’eau.
- Faire de l’eau potable avec les eaux usées, déjà une réalité, avec :
. Piet du Pisani, ingénieur-consultant gestion de l’eau, Windhoec (Namibie) : station de recyclage
des eaux usées traitées pour la production en eau potable de la ville de Windhoek en Namibie.
. Emmanuel Van Houtte, directeur Qualité/Environnement/Personnel IWVA de Torreele
(Belgique) : production d’eau d’infiltration pour la recharge artificielle d’une nappe dunaire.
. Jérôme Bortoli, directeur de Vendée Eau.
En conclusion interviendront Joël Pélicot, président du Comité de Bassin Loire Bretagne, Jean-Charles
Guy, directeur du Centre régional Pays de la Loire Veolia, et Eric Rambaud, président de Vendée Eau.
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Pourquoi des rencontres sur la réutilisation des eaux usées traitées en Vendée ?
L’alimentation en eau potable du département de la Vendée dépend, en grande majorité, de ressources
superficielles sensibles. Les périodes de canicule et de sécheresse provoquent des épisodes très critiques
en termes de disponibilité de ressources pour la production d’eau potable, créant des situations de stress
hydrique, notamment sur le secteur côtier en période estivale.
Pour faire face à cette situation à risques, Vendée Eau, syndicat départemental d’alimentation en eau
potable qui regroupe 266 communes sur les 269 du département, soit 380 000 abonnés, a engagé des
démarches à la fois pour sécuriser la ressource en eau et pour trouver des solutions classiques ou
innovantes. Les solutions conventionnelles concernent les transferts et imports d’eau potable, la
recherche de nouvelles ressources souterraines, l’utilisation d’anciennes carrières pour le stockage d’eau
brute. Elles ne sont toutefois pas suffisantes pour couvrir les besoins futurs et nécessitent la recherche de
solutions innovantes. Parmi celles-ci, le dessalement d’eau de mer qui est pour l’instant en stand-by en
raison des fortes contraintes et ne verra pas le jour avant 2025. L’autre solution est la réutilisation des
eaux usées traitées (REUT).
Un projet dans le secteur des Olonnes
Cette solution de réutilisation des eaux usées traitées fait partie depuis 2011 d’un bouquet de solutions
étudiées par Vendée Eau. Depuis 2014, Vendée Eau participe au programme européen DEMOWARE,
destiné à accompagner le développement des programmes de REUT pour différents usages en Europe.
Dans un premier temps, l’objectif de Vendée Eau est de créer un projet de démonstrateur de la station
de traitement des eaux usées des Olonnes, sur la côte vendéenne. Une fois affinées, ces eaux seraient
transférées, via une canalisation à créer, vers le cours d’eau du Jaunay, situé à une vingtaine de kilomètres
au nord-est, et utilisé pour la production d’eau potable. Ces eaux affinées seraient donc valorisées comme
ressource complémentaire pour répondre aux futurs besoins du secteur côtier.
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Le démonstrateur permettra de prendre en compte tous les aspects intervenant sur un tel projet :
techniques de traitement, maîtrise des risques, suivi des impacts sanitaires et environnementaux,
optimisation du point d’injection, acceptation sociétale… Le projet pourrait être accompagné par l’Agence
de l‘Eau, la Région des Pays de la Loire, le Département de la Vendée et des collectivités.
Vendée Eau
Organisées en Syndicats Intercommunaux d’Alimentation en Eau Potable (SIAEP) depuis 1961, les communes de
Vendée ont choisi de se regrouper en un seul service départemental, Vendée Eau, en charge de la production et de
la distribution de l’eau potable. Aujourd’hui, 266 des 269 communes de Vendée ont rejoint Vendée Eau, regroupant
380 000 abonnés. Exemplaire en France, ce regroupement permet, par une gestion d’ensemble, de faire jouer l’esprit
de solidarité pour financer et exploiter les équipements nécessaires à la couverture des besoins en eau potable à
l’échelle départementale.
Vendée Eau et les SIAEP sont propriétaires de 12 barrages, 12 captages, 10 usines, 90 réservoirs d’eau potable,
14 700 km de canalisation.
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
Veolia, un acteur majeur, partenaire de Vendée Eau
La présence de Veolia auprès de Vendée Eau marque son engagement au service des collectivités et des
territoires pour les accompagner dans leurs défis environnementaux et d’aménagement urbain.
La force de Veolia, à la fois opérateur et équipementier, c’est sa capacité à proposer une approche
intégrée, en s’appuyant sur des expertises uniques dans la gestion de l’eau : sociales, technologiques,
environnementales, économiques, stratégiques, réglementaires, excellence opérationnelle. C’est ainsi
que le groupe a la capacité de proposer des solutions dans le domaine de l’eau comme le dessalement de
l’eau de mer ou la réutilisation des eaux usées traitées.
Valorisation systématique des ressources
Dans un monde de ressources rares et de croissance exponentielle de la demande, Veolia, en tant
qu’expert de l’eau, préconise, outre une consommation maîtrisée des ressources, une valorisation
systématique de ces dernières. Pour des usages agricoles ou industriels la réutilisation des eaux usées et
la valorisation des résidus de traitement sera la meilleure réponse. Lorsque ces techniques ne sont pas
envisageables pour des raisons physiques ou culturelles, ou lorsque l’appel d’offres le demande
expressément, notamment pour l’eau potable, le dessalement reste une réponse et apporte aujourd’hui
des solutions performantes à un coût raisonnable.
Pour Veolia, le développement de la réutilisation des eaux usées passe par la maîtrise d’un triptyque
Usages – Qualité – Traitement. Il nécessite de passer d’un système linéaire à un système circulaire où le
« déchet » de l’un devient la « ressource de l’autre ».
Veolia investit beaucoup dans des programmes de recherche sur la gestion des ressources en eau afin
d’améliorer la préservation du milieu naturel et la prévention des risques sanitaires, tout en optimisant
les coûts de traitement. L’objectif est d’améliorer continuellement les connaissances des problématiques
de la qualité chimique et écologique des eaux afin notamment de mieux lutter contre les dégradations
quantitatives et qualitatives des systèmes aquatiques. Veolia développe également des outils prédictifs
pour mieux maîtriser les risques sanitaires et environnementaux.
Préserver les ressources est un premier pilier de la durabilité de l’eau, mais la disponibilité stable de la
ressource pour une demande toujours plus importante nécessite d’être inventif et de créer de nouvelles
ressources.
Aujourd’hui, pour Veolia, la REUSE représente
plus de 3 millions de m3 de capacité installée
et plus 140 références dans le monde.
Très présent dans les programmes européens
Le groupe Veolia est très présent dans les projets européens sur l’eau, notamment à travers sa filiale
recherche Veolia Recherche et Innovation. Les thématiques portent principalement sur le traitement des
eaux (procédés, membranes, etc.), sur la réutilisation des eaux et sur la surveillance et la sécurité. Veolia
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Contacts presse
Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
Veolia : Anne-Catherine Forteza, responsable communication – 05 61 34 77 24 – 06 16 44 87 91
Alphacoms : Bruno Chéné, relations presse – 02 40 71 07 90 – 06 15 10 53 06
intervient également dans des projets plus globaux sur un domaine thématique comme la réutilisation
des eaux usées dans le projet européen DEMOWARE.
Pour Veolia, l’intérêt de participer à des projets européens, c’est le partage du savoir-faire technique.
Veolia intervient souvent avec sa maîtrise d’exploitant ou d’intégrateur sur des projets portant sur les
technologies, les procédés, en partenariat avec le monde universitaire, avec des centres de recherches
publics ou privés français ou européens. Un des intérêts des programmes européens est de permettre de
représenter et de défendre le l’expertise de l’école de l’eau à la française.
Veolia activité Eau en Vendée
L’implantation Veolia activité Eau de la Roche-sur-Yon pilote les activités du groupe dans le département de la
Vendée. Elle abrite 120 collaborateurs en charge des services d’eau et d’assainissement des quelque 140 000 clients
abonnés en eau potable, 80 000 en assainissement et des industriels de Veolia dans le département de la Vendée.
Depuis ce site sont gérés plus de 600 installations techniques, dont celles de La Roche-sur-Yon ville et agglomération.
Pour réaliser le suivi de qualité de l’eau potable et des rejets d’eaux usées, un laboratoire d’analyses a été intégré au
bâtiment. Doté de techniques d’analyses de pointe, il permet de mesurer les paramètres essentiels au suivi de la
qualité sanitaire et environnementale de l’eau en exploitation.
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Vendée Eau : Myriam Gantier, responsable communication – 02 51 24 81 89 – 06 68 37 80 93
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