Haïku - Théâtre du Papyrus

Transcription

Haïku - Théâtre du Papyrus
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Haïku
À PARTIR DE 4 ANS
Une production du Théâtre du Papyrus
Dans un château, plein de toiles d’araignée, vit un petit
homme tout habillé de bleu.
Il s’appelle Bozo. Bozo vit seul, très seul.
Il regarde la lune au loin, … et sur la lune, il pense avoir
vu une ombre bouger.
« Une ombre ? Une araignée ? Une fée ? Un papillon ?...
mon amie change tout le temps », pense Bozo.
Mais, à minuit, tout sera fini. L’hiver, dans un soupir,
retourne sur la lune.
« A demain, petite fée », crie Bozo.
A obtenu le prix du Ministre de l’Enfance aux rencontres de Huy 2012
CE QUE L’ON DIT…
Je me suis réveillée ce matin encore toute chose, toute émue, soufflée d'avoir vu un spectacle dont j'ai le sentiment qu'il sera un chef d'œuvre !
Les premiers pas de cet enfant ne demandent qu'à marcher en plein son et lumière !
Bon chemin !
A tous !
Sophie Carpentiers – 22/08/2011
PRESSE
Deux papillons de papier volent, s’approchent d’une flamme, s’embrasent, disparaissent. Merveille éphémère, beauté que seul souvenir empêche
d’être fugace. Devant moi, les enfants se taisent subjugués, je sens leurs yeux écarquillés. A mes côtés, un vieil homme qui n’en est pas à son
centième spectacle, plutôt le millième, pleure. Moi j’ai 5 ans, je ne sais plus ce qu’est une dramaturgie ou une scénographie, j’ai 5 ans, je crois que
la magie est magique, je suis soudain convaincue que la vie est pleine de papillons en perpétuelles métamorphoses. (…)
Le petit Cyrano n°132 - février/mars 2012 - Cali Kroonen
Dans un château plein de toile d’araignées vit Bozo, petit homme habillé de bleu, ami de Bernard Chemin, ce cher comédien qui a toujours l’air
d’être ailleurs, là où rêvent les enfants. Une chandelle se couche dans la boîte en veillant à ne pas réveiller les allumettes et Bozo, bonhomme
solitaire, marionnette à la tête en tasse de thé, parfois ornée d’une marguerite, se balade dans ce château hanté de poésie, perçoit l’ombre d’une
araignée, d’une fée, ou d’un papillon sur la lune… Il ne sait pas, en réalité, mais saisit l’émotion de chaque instant à l’image du « Haïku », titre d’un
spectacle truffé de merveilles.
Dossier des rencontres de Huy /La Libre Culture - septembre 2012 - Laurence Bertels
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Comment ne pas fantasmer quand on sort d’une heure de mirage poétique, de théâtre d’objets aux vertus illusionnistes, hors temps ?
Avec Haïku de Didier de Neck et Bernard Chemin, on entre dans une autre dimension, où les bougies se tortillent comme des serpents, la lune se
fait montgolfière, les bonhommes s’envolent suspendus aux bulles de savon, et le piano se met à jouer tout seul. Le rythme pourrait être un
tantinet plus dynamique mais l’avalanche de surprises visuelles vous scotche à chaque seconde. Pour combattre sa solitude, le petit Bozo traque
les ombres, espérant y dénicher une amie, mais celle-ci se métamorphose sans cesse. Ce n’est plus un spectacle mais un récit qui se pèle, chaque
couche révélant une nouvelle trouvaille, un décor ou un personnage improbable. Un véritable château de glace survole la scène, un plat de purée
laisse place à un autre château, de sable celui-là, des princesses papillons partent en flamme/ l’émerveillement est constant, les effets spéciaux
hallucinants sans être grandiloquents. C’est sûr, le Papyrus n’a pas perdu la main depuis Hulul, qui a déjà été joué plus de 1000 fois et sera encore
à la Balsamine en novembre.
Le Soir - août 2012- Catherine Makereel
Les spectateurs sont accueillis par Georges et Flore qui les invitent à pénétrer dans le château intérieur. Il y fait toujours nuit et Monsieur dort. Une
fois le public installé, Monsieur se réveille au milieu d’un nuage de bulles. Il commence à nous conter, avec l’aide de ses deux serviteurs, l’histoire
de Bozo. Nous voici partis, guidés par la petite marionnette qui ne veut pas rester seule et poursuit des ombres, dans une féerie visuelle dont
chaque séquence à la légèreté poétique d’un haïku. Un piano se met à jouer seul, un château de glace s’élève dans les airs, une petite fée apparaît,
se transforme en papillon…On nage dans l’onirisme, dans un univers magique. De nombreuses inventions pour émerveiller les yeux du jeune
spectateur.
Le Ligueur - septembre 2012 - Philippe Mathy
CONTACT
Théâtre du Papyrus
Valérie KOHL
Responsable administrative et diffusion
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Théâtre du Papyrus – Valérie KOHL