Rapport technique Indice d`aptitude générale (IAG)
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Rapport technique Indice d`aptitude générale (IAG)
Échelle d’intelligence de Wechsler pour enfants™ Quatrième édition Version pour francophones du Canada Rapport technique Indice d’aptitude générale (IAG) Normes franco-ontariennes Août 2006 - Tableau de valeurs critiques d’IAG révisé (janvier 2009) Marie-Josée Gendron, PhD Troy G. Courville, PhD Susan E. Raiford, PhD Lawrence G. Weiss, PhD ® Aperçu Le présent Rapport technique vise à présenter l’Échelle d’intelligence de Wechsler pour enfants – Quatrième édition – Version pour francophones du Canada (WISC–IVCDN-F; Wechsler, 2005). Cette version a été créée avec des tableaux obtenus à partir du Manuel d’administration et de notation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) et des Tableaux de normes et conversion du WIAT–IICDN-F (Wechsler, 2005). Tous les tableaux contenus dans ce rapport reflètent donc les normes franco-ontariennes. Ce rapport suit la méthodologie psychométrique de sa version anglaise basée sur les normes canadiennes-anglaises du WISC–IVCDN (Saklofske et al., 2005). Ce rapport fournit de l’information sur ce qu’il est possible d’obtenir à partir de l’Indice d’aptitude générale (IAG) et les utilisations de cet Indice. L’IAG est une composante basée sur trois sous-tests de la Compréhension verbale et trois sous-tests du Raisonnement perceptif; il n’englobe pas les sous-tests de la Mémoire de travail et de la Vitesse de traitement de l’information, inclus dans l’Échelle globale/QI (EGQI). En plus des aspects couverts dans le présent Rapport technique, il est possible de trouver des informations détaillées sur l’IAG dans un chapitre du WISC–IV Clinical use and interpretation: Scientist-practitioner perspectives (Prifitera, Saklofske et Weiss, 2005), rédigé par Saklofske, Prifitera, Weiss, Rolfhus et Zhu. Contexte et historique des composantes Wechsler et de l’IAG La première version de l’Échelle d’intelligence de Wechsler pour enfants (WISC; Wechsler, 1949), l’Échelle d’intelligence de Wechsler pour enfants – Forme révisée (WISC–R; Wechsler, 1974) et le WISC–III permettaient d’établir une EGQI ainsi qu’un QI verbal (QIV) et un QI de performance (QIP). Le WISC–III introduisait quatre nouveaux indices factoriels pour représenter les sphères plus restreintes de la fonction cognitive : l’Indice de la Compréhension verbale (ICV), l’Indice de l’Organisation perceptuelle (IOP), l’Indice de la Résistance à la distraction (IRD) et l’Indice de la Vitesse de traitement (IVT). Avec l’introduction de ces indices factoriels, un total de sept scores des composantes pouvait être calculé à l’aide du WISC–III : l’EGQI, le QIV, le QIP, l’ICV, l’IOP, l’IRD et l’IVT. Avec l’introduction de ces indices factoriels, les praticiens étaient désormais en mesure de choisir les scores des composantes qui décrivaient le mieux la compétence verbale et la compétence perceptive, en se basant sur le résultat de l’évaluation. Lorsque c’était nécessaire pour faciliter l’interprétation, le praticien pouvait décrire les compétences verbales à l’aide de l’ICV de préférence au QIV et décrire les compétences perceptives à l’aide de l’IOP de préférence au QIP. Cette souplesse était particulièrement utile lorsque les scores de certains sous-tests entrant dans le calcul du QIV ou du QIP présentaient une divergence significative et inhabituelle. Plus précisément, les indices factoriels étaient préférables dans les cas où le QIV était considéré comme moins descriptif de la compétence verbale que l’ICV parce qu’il y avait une divergence inhabituelle par rapport à l’échantillon de normalisation entre les résultats au sous-test Arithmétique – sous-test du domaine de la Mémoire de travail – et les résultats aux sous-tests de la Compréhension verbale. Les indices factoriels étaient également préférables lorsque le QIP était considéré comme moins descriptif de la compétence perceptive que l’IOP parce qu’il y avait une divergence inhabituelle par rapport à l’échantillon de normalisation entre les résultats au sous-test Code – sous-test du domaine de la Vitesse de traitement – et les résultats aux sous-tests d’Organisation perceptuelle. Mis au point par Prifitera, Weiss et Saklofske (1998), l’IAG a d’abord été conçu pour être utilisé avec le WISC–III afin de permettre une plus grande souplesse dans la description de l’aptitude intellectuelle générale. L’IAG du WISC–III donnait une mesure de l’aptitude cognitive générale qui n’incluait pas l’influence des sous-tests Arithmétique ou Code sur l’EGQI. Cet IAG était basé sur la somme des scores d’équivalence pour tous les sous-tests servant à calculer l’EGQI, traditionnellement au nombre de dix, à l’exception des sous-tests Arithmétique et Code. Les huit sous-tests pris en compte, qui provenaient tous des domaines de la Compréhension verbale et de l’Organisation perceptuelle, étaient les suivants : Images à 3 compléter, Information, Similitudes, Arrangement d’images, Blocs, Vocabulaire, Assemblage d’objets et Compréhension. L’IAG du WISC–III était considéré comme une composante utile pour évaluer l’aptitude globale lorsque la variabilité dans le QIV et/ou le QIP était considérable en raison de faibles scores aux soustests Arithmétique et/ou Code (Prifitera et al., 1998). Par la suite, l’IAG a été utilisé avec le WISC–III en appliquant les normes canadiennes-anglaises (Weiss, Saklofske, Prifitera, Chen et Hildebrand, 1999), avec le WAIS–III (Tulsky, Saklofske, Wilkins et Weiss, 2001) et avec le WAIS–III en appliquant les normes canadiennes-anglaises (Saklofske, Gorsuch, Weiss, Zhu et Patterson, 2005). Ce rapport représente la première instance où les normes franco-ontariennes ont été utilisées pour calculer l’IAG. Le WISC–IV fournit une EGQI et un cadre composé de quatre indices, semblable à celui du WISC–III. Le cadre est basé sur la théorie et s’appuie sur des recherches cliniques et des résultats d’analyse factorielle. Comme il est noté dans le Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005), dans le WISC–IV CDN Canadian Manual (Wechsler, 2004), et dans le WISC–IV Technical and interpretive manual (Wechsler, 2003), l’IOP a été renommé Indice du Raisonnement perceptif (IRP) pour refléter plus fidèlement l’accent accru mis sur les capacités de raisonnement fluide dans cet Indice, et l’IRD a été renommé Indice de la Mémoire de travail (IMT), ce qui décrit plus précisément les compétences mesurées. De plus, la structure double (QI/Indice factoriel) n’était plus utilisée. Son élimination a fait diminuer les craintes relatives à l’influence de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement lors de la synthèse des compétences de compréhension verbale et de raisonnement perceptif, respectivement. Cependant, dans une plus large mesure que l’Échelle globale/QI du WISC–III, l’EGQI du WISC–IV inclut l’influence de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement afin de tenir compte des recherches qui indiquent que les deux facteurs – mémoire de travail et vitesse de traitement – sont des facteurs importants qui contribuent au fonctionnement intellectuel global (Engle, Laughlin, Tuholski et Conway, 1999; Fry et Hale, 1996, 2000; Heinz-Martin, Oberauer, Wittmann, Wilhelm et Schulze, 2002; Miller et Vernon, 1996; Vigil-Colet et Codorniu-Raga, 2002). Les recherches récentes continuent à confirmer l’importance de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement de l’information pour l’aptitude cognitive et à préciser les connaissances sur la nature de ces relations (Colom, Rebollo, Palacios, Juan-Espinosa, et Kyllonen, 2004; Mackintosh et Bennett, 2003; Schweizer et Moosbrugger, 2004). L’EGQI sert le plus souvent à décrire un aspect global, sous-jacent, de l’intelligence générale, ou g. Elle est utilisée à de nombreuses fins en pratique clinique. Elle peut servir de synthèse des performances dans divers domaines précis de l’aptitude cognitive (c.-à-d., compréhension verbale, raisonnement perceptif, mémoire de travail et vitesse de traitement de l’information). La plupart du temps, elle est utilisée conjointement avec d’autres informations dans le cadre d’une évaluation diagnostique dans les cliniques et les hôpitaux, afin de déterminer l’admissibilité à des services d’éducation spécialisée dans les établissements d’enseignement publics ou pour prendre des décisions relatives au niveau de soins et au placement en établissement. L’EGQI est un score complet qui résume en un seul chiffre la performance de multiples aptitudes cognitives. Si une variabilité inhabituelle est observée dans l’ensemble des sous-tests qui entrent dans le calcul de l’EGQI, l’interprétation clinique devrait décrire cette diversité d’aptitudes, pour être le plus utile possible aux parents, professeurs et autres professionnels. Introduction à l’IAG du WISC–IVCDN-F Comme les IAG du WISC–III et du WAIS–III, l’IAG du WISC–IVCDN-F fournit au praticien un score sommaire qui est moins sensible à l’influence de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement de l’information. Chez les enfants qui présentent des problèmes neuropsychologiques (p. ex., troubles d’apprentissage, troubles d’hyperactivité avec déficit de l’attention et autres problèmes similaires), les difficultés éprouvées avec la mémoire de travail et la vitesse de traitement de l’information peuvent produire des scores d’EGQI plus faibles (Wechsler, 2003). Chez les enfants dont le fonctionnement 4 neuropsychologique est intact, l’IAG peut fournir une approximation de l’aptitude intellectuelle globale comparable à celle qui est représentée par l’EGQI (Prifitera et al., 2005; Weiss et al., 1999). L’IAG peut être utilisé comme un substitut de l’EGQI pour déterminer l’admissibilité à des services d’éducation spécialisée et la classification relative au placement. À ces fins, l’IAG offre une plus grande souplesse, parce qu’il tient compte des cas où il y a un écart inhabituel entre la performance aux tests de la mémoire de travail et la performance aux tests de la compréhension verbale et/ou entre la performance aux tests de la vitesse de traitement de l’information et la performance aux tests du raisonnement perceptif. Il peut également être comparé à l’EGQI pour évaluer les effets de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement de l’information sur la manifestation de l’aptitude cognitive. Les tableaux de ce Rapport technique ont été créés à l’aide de l’échantillon de normalisation réel du WISC–IVCDN-F (N= 814 franco-ontariens). Ils fournissent pour l’IAG des valeurs basées sur l’échantillon de normalisation et sur la somme des scores d’équivalence aux sous-tests qui entrent dans le calcul de l’Indice factoriel. Il est conseillé aux praticiens canadiens-anglophones d’utiliser les tableaux inclus dans le Rapport technique 4.1 qui sont basés sur les normes canadiennes-anglaises décrites dans le WISC–IV CDN Canadian manual. Enfin, pour les praticiens canadiens-francophones, il est recommandé d’utiliser les tableaux inclus dans le présent Rapport technique qui sont basés sur les normes franco-ontariennes décrites dans le Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005). Quand utiliser l’IAG Dans la pratique qui a cours présentement, les divergences entre l’aptitude et le rendement scolaire (DARS) sont utilisées comme outils généraux de dépistage des troubles d’apprentissage non spécifiés. Le WISC–IV Integrated technical and interpretive manual (Wechsler et al., 2004) expose un certain nombre d’inquiétudes quant à l’utilisation isolée du modèle DARS pour identifier les troubles d’apprentissage. D’autres défendent le rôle de l’évaluation cognitive dans l’évaluation d’individus ayant des troubles d’apprentissage d’étiologie neurologique, sans nécessairement déclarer une adhésion stricte aux DARS comme la seule méthode de classification (Hale, Naglieri, Kaufman, et Kavale, 2004; Scruggs et Mastropieri, 2002). Une divergence entre l’aptitude et le rendement scolaire indique qu’un problème existe, puisque le niveau de rendement n’est pas proportionnel à l’aptitude cognitive. Après la constatation générale qu’une telle divergence existe, une évaluation additionnelle devrait être effectuée avant qu’un diagnostic officiel soit posé. Pour déterminer la présence d’un trouble d’apprentissage, il faut prouver qu’il existe une déficience dans les processus cognitifs de base sous-jacents de l’habileté scolaire visée, mais une DARS en isolation peut être une preuve suffisante pour obtenir des services d’éducation spécialisée dans de nombreux établissements scolaires publics. Même si plusieurs nouveaux modèles d’évaluation des troubles et difficultés d’apprentissage ont été proposés récemment (Berninger, Dunn et Alper, 2005; Berninger et O’Donnell, 2005), il reste qu’en général, les marqueurs diagnostiques n’ont pas encore été établis clairement dans la littérature. Des progrès ont toutefois été faits dans ce domaine. Par exemple, le décodage de pseudo-mots et la dénomination automatique rapide semblent prédire les troubles précoces de la lecture. Présentement, de nombreux districts scolaires continuent, en vertu de leurs politiques, d’exiger la preuve d’une DARS avant que des services d’éducation spécialisée soient offerts à un élève. C’est en grande partie pour cette raison que l’IAG a au départ été élaboré. Chez certains enfants ayant des difficultés d’apprentissage, des troubles de l’attention ou d’autres problèmes neuropsychologiques, les déficiences concomitantes de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement abaissent l’EGQI. Ainsi on constate que parmi les enfants de l’échantillon canadien du WISC–IVCDN, version anglaise, provenant de populations cliniques qui avaient reçu un diagnostic d’hyperactivité avec déficit de l’attention et de troubles de la lecture et de l’expression écrite, on obtenait plus souvent les profils EGQI < IAG. Ces résultats contrastent chez les enfants identifiés comme surdoués ou ayant une déficience mentale de niveau léger à modéré, chez qui on a noté la tendance inverse (EGQI > IAG). Aux États-Unis, dans les échantillons provenant de populations cliniques, la tendance vers EGQI < IAG a été notée chez plus de 70 % des enfants ayant eu un diagnostic de 5 trouble de la lecture, de troubles de la lecture et de l’expression écrite, de troubles de la lecture, de l’expression écrite et de mathématiques, et de trouble d’apprentissage et de trouble déficitaires de l’attention avec hyperactivité. Même si elle est potentiellement significative sur le plan clinique, cette baisse dans l’EGQI peut réduire l’ampleur de la divergence entre l’aptitude et le rendement scolaire pour certains enfants ayant des troubles d’apprentissage et les rendre moins susceptibles d’être déclarés admissibles aux services d’éducation spécialisée dans les systèmes d’éducation qui n’autorisent pas l’utilisation d’autres méthodes pour déterminer l’admissibilité. Dans bon nombre d’autres situations, il peut également être informatif sur le plan clinique de comparer l’EGQI et l’IAG pour évaluer ce qui arriverait si on mettait moins l’accent sur la mémoire de travail et la vitesse de traitement de l’information dans l’évaluation de l’aptitude cognitive générale chez les enfants ayant des difficultés dans ces domaines en raison de traumatisme cérébral ou d’autres difficultés neuropsychologiques. Cette comparaison peut éclairer la planification et la mise en œuvre de programmes de réadaptation et/ou des interventions pédagogiques. Il est important que les praticiens reconnaissent que l’IAG n’est pas nécessairement une estimation plus juste de l’aptitude cognitive globale que l’EGQI. La mémoire de travail et la vitesse de traitement de l’information sont essentielles à l’évaluation exhaustive de l’aptitude cognitive et exclure ces compétences de l’évaluation peut induire en erreur. Il est probable que deux enfants ayant le même score IAG mais des scores IMT/IVT très différents auront des résultats scolaires très différents. Dans les situations pédagogiques où la preuve d’une importante DARS est nécessaire pour obtenir des services, l’IAG peut être utilisé comme score d’aptitude; cependant, l’IMT et l’IVT doivent tout de même être communiqués et interprétés. Vous référer aux chapitres 2 et 3 du WISC–IV Clinical use and interpretation: Scientist-practitioner perspectives (Prifitera et al., 2005) pour une discussion approfondie de la question. Le praticien pourrait envisager d’utiliser l’IAG dans un certain nombre de situations cliniques incluant, sans s’y limiter, les suivantes : • une divergence significative et inhabituelle existant entre l’ICV et l’IMT; • une divergence significative et inhabituelle existant entre l’IRP et l’IVT; • une divergence significative et inhabituelle existant entre l’IMT et l’IVT; ou • des dispersions inter-sous-tests significatives et inhabituelles existant entre l’IMT et/ou l’IVT. Pour examiner les divergences des indices factoriels, consulter les tableaux B.1 à B.6 sur les tableaux de valeurs critiques et de taux de base pour les comparaisons des divergences du Manuel d’administration et de notation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) en utilisant les procédures décrites au chapitre 4 du Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005). La Page d’analyse du Cahier de notation du WISC–IVCDN-F fournit de l’espace pour les comparaisons des divergences par paires de sous-tests dans le tableau Comparaison des divergences. Toutefois, une différence statistiquement significative entre les indices factoriels peut ne pas indiquer une différence cliniquement significative ; la fréquence d’occurrence dans l’échantillon de normalisation (taux de base), et non seulement la valeur critique, doit être considérée. Consulter le Tableau B.2 du Manuel d’administration et de notation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) pour obtenir le taux de base pour une divergence donnée. Sattler (2001) suggère que les différences entre les scores qui se produisent dans moins de 10 % à 15 % de l’échantillon de normalisation doivent être jugées inhabituelles. La dispersion inter-sous-tests peut être observée en ce qui a trait à l’EGQI ainsi que dans l’ICV et l’IRP, à l’aide du Tableau B.6 du même manuel. Les étapes suivantes sont fournies comme guide pour calculer l’IAG et le comparer à l’EGQI afin d’obtenir plus d’information sur l’aptitude cognitive d’un enfant. Calcul de l’aptitude générale à partir de la somme des scores d’équivalence Si vous avez déterminé qu’il est important de tenir compte de l’IAG dans l’interprétation, calculer l’aptitude générale à partir de la somme des scores d’équivalence. Il s’agit du total des scores d’équivalence pour trois 6 sous-tests de la Compréhension verbale (Vocabulaire, Compréhension et Similitudes) et de trois sous-tests du Raisonnement perceptif (Blocs, Matrices et Concepts en images). Enregistrer l’aptitude générale obtenue à partir de la somme des scores d’équivalence. Dans certaines situations, vous pouvez décider de substituer un sous-test supplémentaire à l’un des sous-tests principaux permettant de calculer l’IAG. À cette fin, suivre les règles de substitution de sous-tests qui sont expliquées dans le Manuel d’administration et de notation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) pour l’EGQI. Suivre les procédures standardisées d’administration des sous-tests données au chapitre 2 du Manuel d’administration et de notation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) même si vous prévoyez substituer un soustest supplémentaire à un sous-test principal. Déterminer le score de la composante de l’IAG Repérer l’aptitude générale à partir de la somme des scores d’équivalence dans la colonne de gauche du Tableau 1 (voir p. 8). Suivre la ligne pour trouver le score de la composante de l’IAG. Continuer à suivre la ligne pour trouver le rang centile correspondant et les intervalles de confiance. Enregistrer le score de la composante, le rang centile et l’intervalle de confiance (90 % ou 95 %). Analyser la divergence EGQI–IAG Calculer la divergence entre l’EGQI et l’IAG en soustrayant le score de la composante de l’IAG du score de la composante de l’EGQI. Enregistrer cette valeur. Le Tableau 2 donne les différences entre l’EGQI et l’IAG requises pour atteindre la signification statistique (valeurs critiques) aux niveaux 0,15 et 0,05 pour chaque groupe d’âge. Sélectionner le seuil désiré de signification statistique et le noter pour vos dossiers. À l’aide du Tableau 2, trouver le groupe d’âge de l’enfant et le seuil désiré de signification. Suivre la ligne de chiffres jusqu’à la colonne appropriée pour déterminer la valeur critique et enregistrer cette valeur. La valeur absolue de la différence de score de l’enfant doit être égale ou supérieure à cette valeur critique pour être statistiquement significative. Déterminer si la valeur absolue de la différence de score de l’enfant est égale ou supérieure à la valeur critique correspondante. Tableau 2 Différences entre les scores EGQI et IAG requises pour le seuil de signification statistique (valeurs critiques), par groupe d'âge et pour l'échantillon total de normalisation : Normes franco-ontariennes (révisé janvier 2009) Groupes d'âge 6:0–11:11 12:0–16:11 Tous les âges Seuil de Paire de composantes signification EGQI – IAG 0,15 0,05 0,15 0,05 0,15 0,05 3.36 4.57 3.01 4.10 3.19 4.34 Note : Les différences requises pour qu’il y ait signification statistique (valeurs critiques) sont calculées selon la formule suivante basée sur la théorie de Davis (1959), Cas 1, Équation [3] : Valeur critique de la différence = 2 22 Zz SEM − ETMXi ETMXj2Xj-2 Z Xi ++ SEM 2 ∑ETM ∑ 2SEM i i 2 (ETM 2 ∑ SEM )i ) (ETM ( SEM )( SEM ( SEMXj Xi))( SEM Xj ) 2 SEM Xi2 + SEM2 Xj Xi− 2 Xi Xj ∑ETM ∑ SEM ∑ SEM j j 2 j où z est la valeur de la courbe normale associée au seuil bilatéral de signification statistique et où ETMXi et ETMXj sont les erreurs types de mesure des composantes IAG et EGQI, ∑ETM2i est la somme des erreurs types de mesure au carré pour tous les sous-tests du IAG, et ∑ETM2j est la somme des erreurs types de mesure au carré pour tous les sous-tests du EGQI. Le Tableau 3 (voir p. 9) fournit le pourcentage d’enfants de l’échantillon de normalisation franco-ontarien du WISC–IVCDN-F qui ont obtenu une divergence égale ou supérieure entre l’EGQI et l’IAG (taux de base) aux valeurs données. Les valeurs présentées au Tableau 3 sont fournies pour l’ensemble de l’échantillon de normalisation et selon le niveau d’aptitude; elles sont divisées en colonnes « - » et « + », selon la direction de 7 Tableau 1 Équivalents IAG des sommes des scores d'équivalence du WISC–IVCDN-F : Normes franco-ontariennes Niveau de confiance Somme des scores d’équivalence 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 8 IAG 40 41 42 43 45 46 47 48 49 51 52 53 54 55 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 94 95 96 97 98 Rang-centile <0,1 <0,1 <0,1 <0,1 <0,1 <0,1 <0,1 <0,1 <0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,2 0,3 0,3 0,4 0,5 1 1 1 1 1 1 2 2 3 3 4 4 5 5 6 7 8 9 10 12 13 14 16 18 19 21 23 25 27 30 34 37 39 42 45 Niveau de confiance Somme des scores 90 % 95 % d’équivalence IAG 38–48 39–49 40–50 41–51 43–53 43–54 44–55 45–56 46–57 48–59 49–60 50–61 51–62 52–62 54–64 55–65 56–66 57–67 58–68 59–69 60–70 61–71 62–72 62–73 63–74 64–75 66–77 67–78 68–79 69–80 70–81 71–81 72–82 73–83 74–84 75–85 76–86 77–87 78–88 79–89 80–90 81–91 81–92 82–93 83–94 84–95 85–96 86–97 87–98 89–100 90–100 91–101 92–102 93–103 37–49 38–50 39–51 40–52 42–54 42–55 43–56 44–57 45–58 47–60 48–61 49–62 50–63 51–63 53–65 54–66 55–67 56–68 57–69 58–70 59–71 60–72 61–73 61–74 62–75 63–76 65–78 66–79 67–80 68–81 69–82 70–82 71–83 72–84 73–85 74–86 75–87 76–88 77–89 78–90 79–91 80–92 80–93 81–94 82–95 83–96 84–97 85–98 86–99 88–101 89–101 90–102 91–103 92–104 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 100 101 102 103 105 106 107 108 109 111 112 114 115 116 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 130 131 132 133 135 136 137 138 139 140 141 142 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 160 Rang-centile 50 53 55 58 63 66 68 70 73 77 79 82 84 86 88 90 91 92 93 94 95 95 96 96 97 98 98 98 99 99 99 99 99 99,5 99,6 99,7 99,7 99,8 99,9 99,9 99,9 99,9 99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 >99,9 90 % 95–105 96–106 97–107 98–108 100–110 100–111 101–112 102–113 103–114 105–116 106–117 108–119 109–119 110–120 112–122 113–123 114–124 115–125 116–126 117–127 118–128 119–129 119–130 120–131 121–132 123–134 124–135 125–136 126–137 128–138 129–139 130–140 131–141 132–142 133–143 134–144 135–145 137–147 138–148 138–149 139–150 140–151 141–152 142–153 143–154 144–155 145–156 146–157 147–157 148–158 149–159 150–160 151–161 152–162 152–162 95 % 94–106 95–107 96–108 97–109 99–111 99–112 100–113 101–114 102–115 104–117 105–118 107–120 108–120 109–121 111–123 112–124 113–125 114–126 115–127 116–128 117–129 118–130 118–131 119–132 120–133 122–135 123–136 124–137 125–138 127–139 128–140 129–141 130–142 131–143 132–144 133–145 134–146 136–148 137–149 137–150 138–151 139–152 140–153 141–154 142–155 143–156 144–157 145–158 146–158 147–159 148–160 149–161 150–162 151–163 151–163 la différence. Trouver la valeur absolue de la différence de score de l’enfant dans la colonne Divergences de gauche ou de droite et suivre la rangée jusqu’à la colonne qui correspond à la direction de la différence de score (p. ex., EGQI < IAG) pour l’ensemble de l’échantillon ou pour le niveau de compétence, au choix. Enregistrer cette valeur. Tableau 3 Pourcentages cumulés de l'échantillon de normalisation du WISC–IVCDN-F (taux de base) obtenant des divergences variées des scores EGQI - IAG, par échantillon total et par niveau de compétence : Normes franco-ontariennes Échantillon total IAG ≤ 79 80 ≤ IAG ≤ 89 90 ≤ IAG ≤ 109 110 ≤ IAG ≤ 119 IAG≥120 Divergences EGQI<IAG EGQI>IAG EGQI<IAG EGQI>IAG EGQI<IAG EGQI>IAG EGQI<IAG EGQI>IAG EGQI<IAG EGQI>IAG EGQI<IAG EGQI>IAG Divergences 18 17 16 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Moyenne σ Médiane (–) (+) (–) (+) (–) (+) (–) (+) (–) (+) (–) (+) 0,2 0,5 0,7 0,8 1,2 1,8 2,8 4,0 6,3 9,4 12,5 16,7 19,6 24,1 29,4 34,0 39,6 46,1 5,4 3,6 5,0 0,0 0,0 0,1 0,2 0,4 0,7 1,6 2,8 4,1 5,9 7,9 11,0 15,0 20,0 25,7 31,7 37,7 46,5 4,5 3,1 4,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 2,9 2,9 2,9 5,9 11,8 14,7 17,6 3,3 2,0 3,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,5 2,9 4,4 7,4 11,8 11,8 17,6 23,5 36,8 45,6 54,4 61,8 75,0 4,7 3,1 4,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 3,9 4,7 4,7 7,8 8,5 12,4 17,8 23,3 30,2 3,7 2,7 3,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,8 2,3 3,9 5,4 8,5 12,4 16,3 23,3 31,0 42,6 49,6 58,9 4,3 2,8 4,0 0,0 0,2 0,5 0,5 1,0 1,2 2,0 3,2 4,6 8,0 11,5 15,6 18,3 23,7 29,3 33,7 39,3 44,9 5,3 3,3 5,0 0,0 0,0 0,2 0,5 0,7 1,2 2,4 3,7 5,1 7,1 9,8 13,2 18,0 22,0 27,6 32,4 38,5 47,8 4,8 3,4 4,0 0,8 1,5 1,5 2,3 2,3 3,1 6,1 8,4 13,0 16,0 21,4 27,5 29,8 37,4 44,3 48,9 51,9 58,0 6,4 3,9 6,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,5 2,3 3,8 4,6 6,1 9,2 13,0 18,3 24,4 29,0 36,6 4,1 2,8 3,5 1,1 1,1 2,3 2,3 3,4 6,8 8,0 10,2 18,2 21,6 25,0 34,1 40,9 45,5 51,1 54,5 65,9 79,5 5,9 4,2 6,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 0,0 1,1 1,1 3,4 4,5 5,7 10,2 14,8 2,8 1,9 2,0 18 17 16 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Moyenne σ Médiane Rapporter et décrire l’IAG Score d’équivalence L’IAG est un score d’équivalence corrigé pour l’âge. Il peut être interprété comme d’autres scores de composantes, comme il est expliqué dans le Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005). Rang-centile Les rangs-centiles en fonction de l’âge sont fournis pour l’IAG; ceux-ci indiquent où se situe un enfant par rapport aux autres enfants du même âge. Les rangs-centiles reflètent, sur une échelle, le pourcentage des scores qui ont une valeur égale ou inférieure à un score donné dans l’échantillon de normalisation. Les rangscentiles pour l’IAG sont interprétés comme les autres rangs-centiles, comme il est décrit au chapitre 6 du Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005). Erreur type de mesure et intervalle de confiance Les scores obtenus lors des mesures de l’aptitude cognitive sont basés sur des données d’observation et ils représentent des estimations des véritables scores d’un enfant. Ils reflètent les aptitudes réelles d’un enfant combinées à un certain degré d’erreur de mesure. La fiabilité de l’IAG du WISC–IVCDN-F est de 0,95 et l’erreur type de mesure= 3,50. Les intervalles de confiance offrent un autre moyen d’exprimer la précision des scores et ils servent à rappeler que l’erreur de mesure est inhérente à tout score. Vous référer au chapitre 6 du Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) pour plus d’information sur les intervalles de confiance et leur utilisation dans l’interprétation. 9 Classification descriptive Les scores des composantes, incluant l’IAG, peuvent être décrits en termes qualitatifs selon le niveau de performance de l’enfant. Vous référer au chapitre 6 du Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) pour des descriptions qualitatives des scores des composantes du WISC–IVCDN-F, descriptions qui peuvent également s’appliquer à l’IAG. Procédure suggérée pour l’interprétation de base de l’IAG Noter que cette procédure est une procédure supplémentaire et qu’elle ne remplace aucune partie de la procédure en 10 étapes décrite au chapitre 6 du Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005). Évaluer le score global des composantes L’EGQI et l’IAG sont des composantes qui devraient toujours être évaluées dans le contexte des sous-tests qui permettent de calculer chacun de ces scores. Une extrême variabilité dans les sous-tests qui entrent dans le calcul de l’EGQI ou de l’IAG indique que le score représente une synthèse de diverses aptitudes. Les praticiens doivent examiner de près la performance relative obtenue aux sous-tests qui contribuent au score de la composante lorsqu’ils interprètent ce score. De plus, une partie de la décision d’utiliser l’IAG implique habituellement l’examen des divergences entre les quatre indices factoriels. Évaluer la divergence EGQI–IAG La première étape d’une comparaison par paire vise à déterminer si la valeur absolue de la différence entre les scores est significative. Le Tableau 2 présente les différences minimales requises entre l’EGQI et l’IAG pour obtenir une signification statistique (valeurs critiques) aux niveaux 0,15 et 0,05 par groupe d’âge. Lorsque la valeur absolue de la différence obtenue entre l’EGQI et l’IAG est égale ou supérieure à la valeur critique, la différence est considérée comme une vraie différence plutôt que comme une différence due à une erreur de mesure ou à une fluctuation due au hasard. Si les deux scores ne sont pas significativement différents, cela suppose que le fait de diminuer l’influence de la mémoire de travail et de la vitesse de traitement de l’information sur l’estimation de l’aptitude globale cause peu de différence. Si la comparaison de l’EGQI et de l’IAG indique une différence significative, le praticien doit alors juger dans quelle mesure la différence est rare dans l’ensemble de la population. Le Tableau 3 donne la fréquence cumulative des divergences entre l’EGQI et l’IAG dans l’échantillon de normalisation (taux de base) du WISC–IVCDN-F. Le taux de base fournit une base pour estimer dans quelle mesure la différence de score d’un enfant est courante ou rare par rapport à l’ensemble de la population. Vous référer au chapitre 6 du Manuel technique et d’interprétation du WISC–IVCDN-F (Wechsler, 2005) pour plus d’information. Divergence aptitude-rendement Lorsque l’évaluation de la divergence entre l’aptitude et le rendement scolaire fait partie du processus visant à déterminer si un enfant présente un trouble d’apprentissage, deux méthodes se présentent pour comparer l’aptitude intellectuelle et la compétence scolaire : la méthode de la différence du rendement prédit et la méthode de la différence simple. Même si les deux méthodes sont utilisées, la méthode de la différence du rendement prédit est généralement préférée parce que la formule rend compte des fiabilités et des corrélations entre les deux outils. L’utilisation de la méthode de la différence du rendement prédit exige que les outils de l’aptitude et de la compétence soient co-normalisés sur le même échantillon. Cette méthode utilise le score 10 d’aptitude pour prédire un score de compétence et compare ensuite les scores de compétence prédits et observés. La méthode de la différence simple compare simplement les scores d’aptitude et de compétence observés. Le Manuel d’administration, d’interprétation et de notation du WIAT–IICDN-F (Wechsler, 2005) fournit des détails additionnels sur la justification de ces méthodes et les procédures statistiques impliquées. Méthode du rendement prédit Le Tableau 4 (voir p. 12–13) fournit les scores des sous-tests et les scores des composantes du WIAT–IICDN-F, basés sur les données normatives franco-ontariennes, prédits à partir des scores d’IAG du WISC–IVCDN-F, scores qui sont également basés sur les données normatives franco-ontariennes. Trouver le score d’IAG dans la colonne de gauche ou de droite et suivre la ligne pour obtenir les scores WIAT–IICDN-F des sous-tests et les scores de composante prédits pour l’enfant. Enregistrer les scores prédits. Pour chaque sous-test ou composante, soustraire le score prédit de l’enfant du score obtenu afin d’obtenir la différence de score. Prendre note de ces différences de score. Le praticien doit tenir compte de la signification statistique et du taux de base des différences de score. Le Tableau 5 donne les différences requises entre les scores prédits et obtenus aux sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F pour atteindre la signification statistique (valeurs critiques) aux seuils 0,05 et 0,01 pour deux groupes d’âge (âges 6:0–11:11 et âges 12:0–16:11). Sélectionner le seuil désiré de signification statistique et le noter pour vos dossiers. À l’aide du Tableau 5, trouver le groupe d’âge de l’enfant et le seuil de signification désiré. Pour chaque sous-test ou composante, suivre la ligne jusqu’à la colonne appropriée pour déterminer la valeur critique et l’enregistrer. La valeur absolue de la différence de score de l’enfant doit être égale ou supérieure à la valeur critique pour être statistiquement significative. Déterminer si oui ou non la valeur absolue de la différence de score de l’enfant est égale ou supérieure à la valeur critique correspondante. Tableau 5 Différences entre les scores des sous-tests et composantes obtenus et prédits du WIAT–IICDN-F requises pour le seuil de signification statistique (valeurs critiques) : Méthode du rendement prédit basée sur l'IAG du WISC–IVCDN-F : Normes franco-ontariennes Sous test/Composante Lecture de mots Opérations numériques Compréhension de lecture Orthographe Décodage de pseudo-mots Raisonnement mathématique Expression ecrite Compréhension orale Expression orale Lecture Mathématiques Langage écrit Langage oral Rendement total Seuil de signification Âges 6–11 Âges 12–16 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 6,06 7,98 12,94 17,04 12,85 16,92 9,98 13,13 6,55 8,63 11,66 15,35 12,93 17,02 14,57 19,18 13,02 17,14 7,15 9,42 10,24 13,47 9,61 12,65 11,83 15,57 7,09 9,33 9,26 12,19 9,41 12,39 12,16 16,01 10,05 13,23 8,63 11,36 10,04 13,22 13,04 17,17 12,88 16,95 12,78 16,82 7,70 10,14 8,18 10,77 9,26 12,19 12,21 16,07 7,27 9,57 11 Tableau 4 Scores des sous-tests et des composantes du WIAT–IICDN-F prédits à partir des scores IAG du WISC–IVCDN-F : Normes franco-ontariennes WIAT–IICDN-F Scores des sous-tests Scores des composantes IAG du 12 IAG du WISC–IVCDN-F LM ON CL OR PM RM EE CO EO LC MA LE LO RT WISC–IVCDN-F 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 72 72 73 73 74 74 75 75 76 76 77 77 77 78 78 79 79 80 80 81 81 82 82 83 83 84 84 84 85 85 86 86 87 87 88 88 89 89 90 90 91 91 92 92 92 93 93 94 94 95 95 96 96 97 97 98 98 99 99 100 100 59 60 61 61 62 63 63 64 65 65 66 67 67 68 69 69 70 71 71 72 73 73 74 75 76 76 77 78 78 79 80 80 81 82 82 83 84 84 85 86 86 87 88 88 89 90 90 91 92 93 93 94 95 95 96 97 97 98 99 99 100 61 62 62 63 64 64 65 66 66 67 68 68 69 69 70 71 71 72 73 73 74 75 75 76 77 77 78 79 79 80 81 81 82 82 83 84 84 85 86 86 87 88 88 89 90 90 91 92 92 93 94 94 95 95 96 97 97 98 99 99 100 66 66 67 68 68 69 69 70 70 71 72 72 73 73 74 74 75 75 76 77 77 78 78 79 79 80 81 81 82 82 83 83 84 85 85 86 86 87 87 88 89 89 90 90 91 91 92 93 93 94 94 95 95 96 97 97 98 98 99 99 100 76 76 77 77 78 78 78 79 79 80 80 80 81 81 82 82 82 83 83 84 84 84 85 85 86 86 86 87 87 88 88 88 89 89 90 90 90 91 91 92 92 92 93 93 94 94 94 95 95 96 96 96 97 97 98 98 98 99 99 100 100 56 56 57 58 59 59 60 61 62 62 63 64 64 65 66 67 67 68 69 70 70 71 72 73 73 74 75 76 76 77 78 79 79 80 81 82 82 83 84 84 85 86 87 87 88 89 90 90 91 92 93 93 94 95 96 96 97 98 99 99 100 67 68 68 69 69 70 70 71 71 72 73 73 74 74 75 75 76 76 77 77 78 79 79 80 80 81 81 82 82 83 84 84 85 85 86 86 87 87 88 88 89 90 90 91 91 92 92 93 93 94 95 95 96 96 97 97 98 98 99 99 100 63 64 65 65 66 66 67 68 68 69 70 70 71 71 72 73 73 74 74 75 76 76 77 77 78 79 79 80 80 81 82 82 83 84 84 85 85 86 87 87 88 88 89 90 90 91 91 92 93 93 94 95 95 96 96 97 98 98 99 99 100 70 71 71 72 72 73 73 74 74 75 75 76 76 77 77 78 78 79 79 80 80 81 81 82 82 83 83 84 84 85 85 86 86 87 87 88 88 89 89 90 90 91 91 92 92 93 93 94 94 95 95 96 96 97 97 98 98 99 99 100 100 63 63 64 65 65 66 67 67 68 68 69 70 70 71 71 72 73 73 74 75 75 76 76 77 78 78 79 80 80 81 81 82 83 83 84 85 85 86 86 87 88 88 89 89 90 91 91 92 93 93 94 94 95 96 96 97 98 98 99 99 100 54 55 55 56 57 58 58 59 60 61 62 62 63 64 65 65 66 67 68 68 69 70 71 72 72 73 74 75 75 76 77 78 78 79 80 81 82 82 83 84 85 85 86 87 88 88 89 90 91 92 92 93 94 95 95 96 97 98 98 99 100 64 65 65 66 66 67 68 68 69 69 70 71 71 72 72 73 74 74 75 75 76 77 77 78 78 79 80 80 81 81 82 83 83 84 84 85 86 86 87 87 88 89 89 90 90 91 92 92 93 93 94 95 95 96 96 97 98 98 99 99 100 60 60 61 62 62 63 64 64 65 66 67 67 68 69 69 70 71 71 72 73 73 74 75 75 76 77 77 78 79 79 80 81 81 82 83 83 84 85 85 86 87 87 88 89 89 90 91 91 92 93 93 94 95 95 96 97 97 98 99 99 100 54 55 55 56 57 58 58 59 60 61 62 62 63 64 65 65 66 67 68 68 69 70 71 72 72 73 74 75 75 76 77 78 78 79 80 81 82 82 83 84 85 85 86 87 88 88 89 90 91 92 92 93 94 95 95 96 97 98 98 99 100 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 Note : LM = Lecture de mots, ON = Opérations numériques, CL = Compréhension de lecture, OR = Orthographe, PM = Décodage de pseudo-mots, RM = Raisonnement mathématique, EE = Expression écrite, CO = Compréhension orale, EO = Expression orale, LC = Lecture, MA = Mathématiques, LE = Langage écrit, LO = Langage oral, RT = Rendement total. Tableau 4 Scores des sous-tests et des composantes du WIAT–IICDN-F prédits à partir des scores IAG du WISC–IVCDN-F : Normes franco-ontariennes (suite) WIAT–IICDN-F Scores des sous-tests Scores des composantes IAG du IAG du WISC–IVCDN-F LM ON CL OR PM RM EE CO EO LC MA LE LO RT WISC–IVCDN-F 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 100 101 101 102 102 103 103 104 104 105 105 106 106 107 107 108 108 108 109 109 110 110 111 111 112 112 113 113 114 114 115 115 116 116 116 117 117 118 118 119 119 120 120 121 121 122 122 123 123 124 124 124 125 125 126 126 127 127 128 128 101 101 102 103 103 104 105 105 106 107 107 108 109 110 110 111 112 112 113 114 114 115 116 116 117 118 118 119 120 120 121 122 122 123 124 124 125 126 127 127 128 129 129 130 131 131 132 133 133 134 135 135 136 137 137 138 139 139 140 141 101 101 102 103 103 104 105 105 106 107 107 108 108 109 110 110 111 112 112 113 114 114 115 116 116 117 118 118 119 120 120 121 121 122 123 123 124 125 125 126 127 127 128 129 129 130 131 131 132 133 133 134 134 135 136 136 137 138 138 139 101 101 102 102 103 103 104 105 105 106 106 107 107 108 109 109 110 110 111 111 112 113 113 114 114 115 115 116 117 117 118 118 119 119 120 121 121 122 122 123 123 124 125 125 126 126 127 127 128 129 129 130 130 131 131 132 132 133 134 134 100 101 101 102 102 102 103 103 104 104 104 105 105 106 106 106 107 107 108 108 108 109 109 110 110 110 111 111 112 112 112 113 113 114 114 114 115 115 116 116 116 117 117 118 118 118 119 119 120 120 120 121 121 122 122 122 123 123 124 124 101 101 102 103 104 104 105 106 107 107 108 109 110 110 111 112 113 113 114 115 116 116 117 118 119 119 120 121 121 122 123 124 124 125 126 127 127 128 129 130 130 131 132 133 133 134 135 136 136 137 138 138 139 140 141 141 142 143 144 144 101 101 102 102 103 103 104 104 105 106 106 107 107 108 108 109 109 110 110 111 112 112 113 113 114 114 115 115 116 117 117 118 118 119 119 120 120 121 121 122 123 123 124 124 125 125 126 126 127 128 128 129 129 130 130 131 131 132 132 133 101 101 102 102 103 104 104 105 105 106 107 107 108 109 109 110 110 111 112 112 113 113 114 115 115 116 116 117 118 118 119 120 120 121 121 122 123 123 124 124 125 126 126 127 127 128 129 129 130 131 131 132 132 133 134 134 135 135 136 137 101 101 102 102 103 103 104 104 105 105 106 106 107 107 108 108 109 109 110 110 111 111 112 112 113 113 114 114 115 115 116 116 117 117 118 118 119 119 120 120 121 121 122 122 123 123 124 124 125 125 126 126 127 127 128 128 129 129 130 130 101 101 102 102 103 104 104 105 106 106 107 107 108 109 109 110 111 111 112 112 113 114 114 115 116 116 117 117 118 119 119 120 120 121 122 122 123 124 124 125 125 126 127 127 128 129 129 130 130 131 132 132 133 133 134 135 135 136 137 137 101 102 102 103 104 105 105 106 107 108 108 109 110 111 112 112 113 114 115 115 116 117 118 118 119 120 121 122 122 123 124 125 125 126 127 128 128 129 130 131 132 132 133 134 135 135 136 137 138 139 139 140 141 142 142 143 144 145 145 146 101 101 102 102 103 104 104 105 105 106 107 107 108 108 109 110 110 111 111 112 113 113 114 114 115 116 116 117 117 118 119 119 120 120 121 122 122 123 123 124 125 125 126 126 127 128 128 129 129 130 131 131 132 132 133 134 134 135 135 136 101 101 102 103 103 104 105 105 106 107 107 108 109 109 110 111 111 112 113 113 114 115 115 116 117 117 118 119 119 120 121 121 122 123 123 124 125 125 126 127 127 128 129 129 130 131 131 132 133 134 134 135 136 136 137 138 138 139 140 140 101 102 102 103 104 105 105 106 107 108 108 109 110 111 112 112 113 114 115 115 116 117 118 118 119 120 121 122 122 123 124 125 125 126 127 128 128 129 130 131 132 132 133 134 135 135 136 137 138 139 139 140 141 142 142 143 144 145 145 146 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 Note : LM = Lecture de mots, ON = Opérations numériques, CL = Compréhension de lecture, OR = Orthographe, PM = Décodage de pseudo-mots, RM = Raisonnement mathématique, EE = Expression écrite, CO = Compréhension orale, EO = Expression orale, LC = Lecture, MA = Mathématiques, LE = Langage écrit, LO = Langage oral, RT = Rendement total. 13 Si la comparaison des scores prédits et obtenus aux sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F indique une différence significative, le praticien doit alors juger dans quelle mesure la différence est rare dans l’ensemble de la population. Le Tableau 6 donne la fréquence cumulative des divergences entre les scores prédits et obtenus aux sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F dans l’échantillon de normalisation (taux de base) du WISC–IVCDN-F. Trouver le sous-test ou la composante qui vous intéresse dans la colonne de gauche et suivre la ligne pour trouver la différence de score de l’enfant. L’en-tête de la colonne où se trouve ce score indique le pourcentage de la distribution normale théorique (taux de base) qui représente le pourcentage des représentants de l’échantillon qui ont obtenu au WIAT–IICDN-F des scores inférieurs aux scores d’IAG qu’ils ont obtenus au WISC–IVCDN-F, la différence étant égale ou supérieure à la valeur spécifiée. Tableau 6 Différences entre les scores des sous-tests et des composantes obtenus et prédits du WIAT–IICDN-F pour plusieurs pourcentages de la distribution normale théorique (taux de base) : Méthode du rendement prédit basée sur l'IAG du WISC–IVCDN-F : Normes franco-ontariennes Pourcentage de la distribution normale théorique (taux de base) Sous test/Composante Lecture de mots Opérations numériques Compréhension de lecture Orthographe Décodage de pseudo-mots Raisonnement mathématique Expression écrite Compréhension orale Expression orale Lecture Mathématiques Langage écrit Langage oral Rendement total 25 20 15 10 5 4 3 2 1 9 8 8 9 10 7 9 9 9 8 7 9 8 7 12 10 10 11 12 9 11 11 11 10 9 11 10 9 14 12 12 13 15 11 13 13 14 13 10 13 12 10 17 15 15 16 18 13 17 16 17 16 13 16 15 13 22 19 19 21 23 17 21 20 22 20 16 20 19 16 24 20 20 22 25 18 22 21 23 21 17 22 20 17 25 21 22 24 26 19 24 23 25 23 19 23 21 19 28 23 24 26 29 21 26 25 27 25 20 25 23 20 31 26 27 29 32 24 30 28 31 28 23 28 26 23 Note : Les pourcentages du tableau 6 représentent la proportion théorique des scores du WIAT–IICDN-F inférieurs aux scores IAG du WISC–IVCDN-F par valeur spécifiée ou plus. Méthode de la différence simple Le Tableau 7 donne les différences requises entre les scores d’IAG au WISC–IVCDN-F et les scores obtenus aux sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F pour atteindre la signification statistique (valeurs critiques) aux seuils 0,05 et 0,01 pour deux groupes d’âge (âges 6:0–11:11 et âges 12:0–16:11). Sélectionner le seuil désiré de signification statistique et l’enregistrer pour vos dossiers. À l’aide du Tableau 7, trouver le groupe d’âge de l’enfant et le seuil désiré de signification. Pour chaque sous-test ou composante, suivre la ligne jusqu’à la colonne appropriée pour déterminer la valeur critique, et l’enregistrer. La valeur absolue de la différence de score de l’enfant doit être égale ou supérieure à cette valeur critique pour être statistiquement significative. Déterminer si la valeur absolue de la différence de score de l’enfant est égale ou supérieure à la valeur critique correspondante. Si la comparaison entre le score d’IAG obtenu au WISC–IVCDN-F et les scores obtenus aux sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F indique une différence significative, le praticien doit alors juger dans quelle mesure la différence est rare dans l’ensemble de la population. Le Tableau 8 donne la fréquence cumulative des divergences entre le score d’IAG au WISC–IVCDN-F et les scores obtenus aux sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F dans l’échantillon de normalisation (taux de base) du WISC–IVCDN-F. Trouver le sous-test ou la composante qui vous intéresse dans la colonne de gauche et suivre la ligne afin de trouver la différence de score de l’enfant. L’en-tête de la colonne où se trouve la différence de score de l’enfant indique le pourcentage de la distribution normale théorique (taux de base) qui représente le pourcentage des représentants de 14 l’échantillon qui ont obtenu au WIAT–IICDN-F des scores inférieurs aux scores d’IAG qu’ils ont obtenus au WISC–IVCDN-F, la différence étant égale ou supérieure à la valeur spécifiée. Tableau 7 Différences entre les scores IAG du WISC–IVCDN-F et les scores des sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F requises pour le seuil de signification statistique (valeurs critiques) : Méthode de la différence simple par groupe d'âge: Normes franco-ontariennes Seuil de signification Sous test/Composante Lecture de mots 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 0,05 0,01 Opérations numériques Compréhension de lecture Orthographe Décodage de pseudo-mots Raisonnement mathématique Expression ecrite Compréhension orale Expression orale Lecture Mathématiques Langage écrit Langage oral Rendement total Âges 6–11 Âges 12–16 IAG IAG 8,32 10,95 13,79 18,15 13,79 18,15 11,39 14,99 8,82 11,61 12.47 16,42 14,10 18,56 15,56 20,48 14,10 18,56 8,82 11,61 11,00 14,48 11,00 14,48 12,82 16,87 8,32 10,95 11,00 14,48 10,60 13,95 13,15 17,31 11,39 14,99 10,60 13,95 11,00 14,48 14,10 18,56 13,79 18,15 14,10 18,56 9,30 12,24 9,30 12,24 10,60 13,95 13,15 17,31 8,32 10,95 Tableau 8 Différences entre les scores IAG du WISC–IVCDN-F et les scores des sous-tests et composantes du WIAT–IICDN-F pour plusieurs pourcentages de la distribution normale théorique (taux de base) : Méthode de la différence simple : Normes franco-ontariennes Pourcentage de la distribution normale théorique (taux de base) Sous test/Composante Lecture de mots Opérations numériques Compréhension de lecture Orthographe Décodage de pseudo-mots Raisonnement mathématique Expression écrite Compréhension orale Expression orale Lecture Mathématiques Langage écrit Langage oral Rendement total 25 20 15 10 5 4 3 2 1 11 9 9 10 12 8 10 9 11 9 7 10 9 7 13 11 11 12 14 10 12 12 13 12 9 12 11 9 17 13 14 15 18 12 15 14 16 14 11 14 13 11 20 16 17 18 22 14 19 17 20 17 14 18 16 14 26 20 21 23 28 18 24 22 25 22 17 23 21 17 28 22 22 25 29 19 25 24 27 23 18 24 22 18 30 23 24 27 31 21 27 25 29 25 20 26 23 20 32 25 26 29 34 23 30 28 31 27 21 28 26 21 36 28 30 33 39 26 34 31 35 31 24 32 29 24 Note : Les pourcentages du tableau 8 représentent la proportion théorique des scores du WIAT–IICDN-F inférieurs aux scores IAG du WISC-IVCDN-F par valeur spécifiée ou plus. 15 Conclusion Le présent Rapport technique présente un aperçu de l’IAG, le contexte historique dans lequel a été développé l’IAG et recommande des procédures pour déterminer et interpréter l’IAG. Le fait que les données normatives franco-ontariennes aient été utilisées pour créer les tableaux se rapportant à l’IAG dans ce Rapport technique revêt une importance particulière. Ce rapport recommande également les procédures d’utilisation de l’IAG dans les comparaisons entre l’aptitude et le rendement scolaire, encore une fois à l’aide des données normatives franco-ontariennes du WIAT–IICDN-F. L’IAG fournit d’importantes informations sur le fonctionnement cognitif d’un enfant, mais il ne doit jamais être interprété en isolation. Il vaut mieux l’interpréter en utilisant en parallèle un historique complet et des observations cliniques détaillées de l’enfant. De nombreuses sources d’information additionnelles sont à la disposition du praticien : antécédents médicaux, scolaires et psychosociaux recueillis, au besoin, auprès de l’enfant et de ses proches, observations comportementales directes, scores obtenus aux tests précédents, aspects qualitatifs des résultats obtenus lors des tests et résultats d’autres instruments pertinents administrés ensemble. Enfin, le praticien doit évaluer les résultats dans le contexte du problème présenté ou du but de l’évaluation. 16 Références bibliographiques Berninger, V. W., Dunn, A., et Alper, T. (2005). Integrated multilevel model for branching assessment, instructional assessment, and profile assessment. In A. Prifitera, D. H. Saklofske, et L. G. Weiss (Eds.), WISC–IV clinical use and interpretation: Scientist-practitioner perspectives (pp. 151–185). New York: Academic Press. Berninger, V. W., et O’Donnell, L. (2005). Research-supported differential diagnosis of specific learning disabilities. In A. 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