le programme en pdf - Orchestre Philharmonique Royal de Liège
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CLASSIQUE & JAZZ 1 € SAMEDI 27 JUIN 2015 – 16H TCHAIKOVSKI, Concerto pour violon et orchestre en ré majeur op. 35 (1878) w env. 35’ 1. Allegro moderato 2. Canzonetta (Andante) 3. Finale (Allegro vivacissimo) PAUSE EMLER, Concerto pour trio de jazz et orchestre « Un Été malmené » (création, commande de l’ONL) w env. 45’ 1.Incursions 2. Trouble panique 3.Essoufflance 4. Réveil incandescent, Évacuation Trio E.T.E. Andy Emler, piano Claude Tchamitchian, contrebasse Éric Échampard, batterie Fernand Iaciu, concertmeister Orchestre National de Lille Jean-Claude Casadesus, direction C omposé en 1878 sur les rives du Lac Léman, le Concerto pour violon de Tchaikovski demeure le plus populaire des concertos russes. À quelques jours des vacances d’été, l’Orchestre National de Lille et JeanClaude Casadesus dévoilent le Concerto « Un été malmené » du pianiste et compositeur français Andy Emler (né en 1958), à la croisée du classique et du jazz. SAMEDI 27 JUIN 2015 CLASSIQUE & JAZZ [PROGRAMME 36] Alena Baeva, violon Kotek et Tchaikovski, 1877 EMLER CONCERTO POUR TRIO DE JAZZ ET ORCHESTRE « UN ÉTÉ MALMENÉ » TCHAIKOVSKI CONCERTO POUR VIOLON (1878) (CRÉATION, COMMANDE DE L’ONL) Au sujet du compositeur Andy Emler, voir sa biographie en page 5. INSPIRÉ PAR LALO. Après l’échec de son mariage, Piotr Ilyitch Tchaikovski (1840-1893) décide de partir pour la Suisse où il loue avec son frère Anatole une maison à Clarens, sur les rives du lac Léman. Il y travaille à la fin de sa 4e Symphonie et à son opéra Eugène Onéguine. En mars 1878, Yossif Kotek, un jeune violoniste (ancien élève de Tchaikovski) débarque à Clarens pour faire une cure contre la tuberculose. Ensemble, les deux hommes déchiffrent quantités de partitions, parmi lesquelles la récente Symphonie espagnole pour violon et orchestre de Lalo (1873) que le compositeur découvre avec ravissement : « Cette œuvre m’a beaucoup plu. Beaucoup de fraîcheur, des rythmes piquants, de belles mélodies remarquablement harmonisées. Elle s’apparente beaucoup aux autres œuvres que je connais de l’école française à laquelle appartient Lalo. De même que Léo Delibes et Bizet, il ne recherche pas la profondeur, mais il évite soigneusement la routine, cherche des formes nouvelles et se soucie davantage de la beauté musicale que de l’observation des règles établies, contrairement aux Allemands. » (lettre à Mme von Meck, 3 mars 1878). EN MOINS D’UN MOIS. Retrouvant goût à la vie, Tchaikovski se lance aussitôt dans la composition d’un Concerto pour violon qu’il achève en moins d’un mois. Seul le second mouvement, qui ne satisfait pas les deux amis, est remplacé par la merveilleuse Canzonetta actuelle, tandis que l’original est intégré en première partie du triptyque Souvenir d’un lieu cher pour violon et piano. Tchaikovski adresse d’abord sa partition au célèbre violoniste Leopold Auer, qui la juge injouable. Après une exécution à New York (vraisemblablement de la version pour violon et piano) en 1879 par Leopold Damrosch, le Concerto doit encore attendre deux ans avant d’être créé dans sa version orchestrale, le 8 décembre 1881 2 par Adolf Brodsky (30 ans), sous la direction de Hans Richter. L’événement, qui a lieu à Vienne, suscite l’une des critiques les plus virulentes d’Édouard Hanslick : « […] Pendant quelque temps il s’écoule musicalement et non sans inspiration, mais la grossièreté ne tarde pas à faire irruption et ne quitte plus le premier mouvement jusqu’à la fin. Le violon ne joue plus, il grince, racle et hurle. […] Dans le finale, nous entendons des jurons grossiers et respirons des relents d’eau-de-vie […] » Ce jugement excessif ne put toutefois rien contre la popularité de l’œuvre. SURSAUTS DE BRAVOURE. Pour son concerto, Tchaikovski adopte la tonalité de ré majeur, la plus commode au violon, également choisie par Beethoven (1806), Brahms (1878), Prokofiev (Concerto n° 1, 1917) et Stravinsky (1931). Annoncé aux violons de l’orchestre, le premier thème de l’Allegro moderato est exposé dans sa version définitive par le soliste. Au terme d’un épisode déjà virtuose, un second thème paraît toujours sous les doigts du soliste. Les effets de virtuosité s’accentuent dans le développement pour aboutir à une brillante cadence précédant la réexposition. La Canzonetta centrale repose sur un très beau thème nostalgique, chantant au violon solo avec sourdine. Un long trille marque la fin du mouvement. Bondissant dans le style tzigane, l’Allegro vivacissimo se distingue par son côté populaire et ses irrésistibles sursauts de bravoure. Après la mort du compositeur, Leopold Auer accepta finalement de jouer le Concerto. Entretemps, la partition, portée par le succès, s’était imposée comme un incontournable du violon. ÉRIC MAIRLOT LE TRIO E.T.E., avec Claude Tchamitchian à la contrebasse et Éric Échampard à la batterie, a une véritable couleur musicale, et ce malgré une instrumentation traditionnelle « jazz ». Le confronter à « l’outil » symphonique pose quantité de questions et c’est pour tenter d’y répondre que j’ai décidé d’entreprendre l’écriture d’un tel projet. « C’est dans la contrainte que l’on trouve la liberté ». Imaginer puis inventer sont des moteurs générant une nourriture inépuisable pour l’esprit. LA RENCONTRE DE DEUX MONDES. L’univers de la culture dite classique avec son histoire et ses rigueurs et le monde du jazz avec ses rigueurs et son histoire. Le XXe siècle a aussi généré son lot de musiques amplifiées, populaires, le rock’n roll et ses dérivés notamment. Ces musiques à l’énergie débordante (comme souvent leur volume parfois...) font aussi partie de ma culture musicale et se mêlent souvent à mon écriture. Le jazz et ces musiques « actuelles » ont en commun une volonté de « groove »1 que pratiquent les musiciens improvisateurs de ce milieu. De nombreux compositeurs, dans l’histoire de la musique dite « savante », ont su par leur habileté faire « groover » l’orchestre. MES PRÉFÉRENCES MUSICALES vont de Bach à Miles Davis en passant par Mozart, Schumann, Ravel, Stravinsky, Varèse, Dutilleux, Frank Zappa et bien d’autres... Dans ce Concerto nous parlons de « groove » essentiellement binaire, mais aussi ternaire certaines fois, sans toucher au swing ternaire » inventé par le jazz, mais avec l’idée d’une empreinte de la culture européenne. Il est dit souvent que les musiciens de formation classique ont une manière différente de concevoir le rythme, les accents et les syncopes écrites que les improvisateurs de culture jazz ou pop-rock. Je m’efforce dans cette œuvre de montrer que ces deux mondes peuvent « groover » ensemble et y prendre beaucoup de plaisir. ATTRACTIF ET NOURRISSANT. L’écriture tient compte de la mise en valeur des instrumentistes ainsi que des différents pupitres, comme pour les musiciens du trio que ce soit en trio, duo ou solo. Il me semble que l’univers proposé dans ce projet peut être attractif et musicalement « nourrissant » autant pour un orchestre symphonique que pour notre trio. En effet le langage mélodique, rythmique et harmonique ou modal, qui n’a en aucune façon une prétention « avant-gardiste », peut amener à une mise en phase réussie de ces deux mondes musicaux. Ce qui peut, à plus ou moins long terme, élargir les publics respectifs de ces deux univers. ANDY EMLER 1Groove. Ce terme vient de l’expression anglaise in the groove (littéralement « dans le sillon ») signifiant « dans le rythme », « dans la note » dans l’argot des musiciens de jazz. Le terme est utilisé dans la musique populaire noire américaine à partir du XXe siècle. Il désigne tout d’abord un « rythme régulier » puis un « jeu inspiré », un « jeu superbe » (d’où le verbe « groover », « jouer de façon inspirée », « jouer magnifiquement bien ») et enfin un style musical, aux sonorités chaudes et au rythme chaloupé, mêlant funk, dance et soul. (Wiktionnaire) 3 JEAN-CLAUDE CASADESUS DIRECTION NÉ À PARIS EN 1935, formé auprès de Pierre Dervaux et Pierre Boulez, Jean-Claude Casadesus est engagé en 1965 comme directeur musical du Châtelet. En 1969, il est nommé chef permanent à l’Opéra de Paris et à l’Opéra-Comique. Il participe ensuite à la création de l’Orchestre des Pays de la Loire dont il est directeur adjoint jusqu’en 1976, année où il crée l’Orchestre National de Lille. Sous sa direction, l’ONL a su porter son large répertoire, son dynamisme et la qualité de son projet artistique au fil de quatre continents et de 30 pays. Parallèlement, Jean-Claude Casadesus est l’invité des orchestres de Philadelphie, Salt Lake City, Baltimore, Montréal, Londres, Paris, Lisbonne, Berlin, Moscou, Saint-Pétersbourg, Séoul, Singapour, Tokyo… Également très actif à l’opéra, il dirige des productions à Monte-Carlo, Trieste, Aix-en-Provence et Orange, à l’Orchestre de Paris, à l’Opéra des Flandres et bien entendu à l’Opéra de Lille. Ardent défenseur de la musique contemporaine, président de Musique Nouvelle en Liberté, il a mis en place depuis 2001 des résidences de compositeurs. Une trentaine d’enregistrements réalisés à la tête de l’ONL lui ont valu plusieurs récompenses. En 2004, les Victoires de la Musique Classique lui décernent une Victoire d’Honneur. Il a été directeur musical de l’Orchestre Français des Jeunes jusqu’en décembre 2007. 4 ALENA BAEVA VIOLON NÉE EN 1985, Alena Baeva commence le violon à cinq ans à Alma Ata avec Olga Danilova. À dix ans, elle poursuit ses études avec Eduard Grach à l’École Centrale de Musique de Moscou, puis de 2002 à 2007 au Conservatoire de Moscou. Bénéficiant du soutien de Mstislav Rostropovitch et de Seiji Ozawa, elle suit les masterclasses de nombreux maîtres dont Ida Haendel et Maxim Vengerov. Elle a gagné les Premiers Prix des Concours de Novossibirsk, Varsovie, Poznan (Henryk Vieniawski), Moscou (Niccolo Paganini, 2004), et remporté la Médaille d’or et le Prix du public au Concours international de Sendai (Japon, 2007). Étoile montante au firmament du violon contemporain, Alena Baeva joue dans les salles les plus prestigieuses de New York, Tokyo, Moscou, Saint-Pétersbourg, Londres, Paris, Milan… En 2013-2014, elle est partie en tournée avec l’ONL et Jean-Claude Casadesus. Elle a enregistré les Concertos de Bruch et Chostakovitch avec l’Orchestre National de Russie (Pentatone), les Concertos de Szymanowski (DUX), les Sonates de Poulenc, Prokofiev et Debussy (SIMC), ainsi que Le Roi des Aulnes de Schubert avec Yuri Bashmet (Sony Classical). Son répertoire comprend plus de 40 concertos et de nombreuses sonates. Elle joue un Stradivarius appartenant à la Collection d’instruments remarquables de Russie. ANDY EMLER PIANO NÉ À PARIS EN 1958, Andy Emler est tout à la fois compositeur, pianiste, organiste, initiateur de rencontres, arrangeur, improvisateur et homme d’inventions. Après les classes d’écritures (harmonie, contrepoint, fugue et orchestration au Conservatoire Supérieur de Paris) et les bals du samedi soir (rock, pop), il se lance dans de multiples expériences avec des musiciens tels qu’Antoine Hervé, Michel Portal, François Jeanneau, Woody Shaw, Trilok Gurtu… Il crée son laboratoire personnel, le MegaOctet en 1989 (avec huit des « plus flambeurs improvisateurs » des années 80) qui obtient le Django d’Or de la meilleure formation de jazz français en 1992. Cette formation marquera fortement le paysage musical du début des années 90. Entre 1994 et 1999, il devient co-directeur de la Scène-et-Marnaise de Création Musicale, et partage l’aventure collective du POM (big band à géométrie variable). Parallèlement il se produit en duo avec Philippe Sellam, en trio avec Denis Badault et Emmanuel Bex, ou avec Claude Tchamitchian et Éric Échampard. Il travaille régulièrement avec Ars Nova et Pascal Contet pour la musique contemporaine et avec le MegaOctet. Par ailleurs il est l’auteur de multiples commandes composées pour tous les formats et formules d’orchestres professionnels, ou mêlant musiciens professionnels et amateurs. CLAUDE TCHAMITCHIAN CONTREBASSE NÉ À PARIS EN 1960, d’une mère française et d’un père arménien, Claude Tchamitchian grandit dans une famille de musiciens (ses parents sont pianistes et son père a été l’élève d’Alfred Cortot). Il commence toutefois en autodidacte puis suit des études au Conservatoire d’Avignon. Il y fait la connaissance de Rémi Charmasson et André Jaume, avec qui il collabore en 1988 au premier Festival de Sorgues. Il est membre des formations suivantes : Quartet de Claude Barthélémy, Quartet Lazro, Mc Phee, Boni, François Corneloup trio, Quartet de Gérard Marais... Depuis 2001, il est un indéfectible compagnon de route du MegaOctet d’Andy Emler. Il crée et dirige le Lousadzak en septette (1994), le Grand Lousadzak (1998) et l’Acoustic Lousadzak (2001), avec lesquels il se produit en France et à l’étranger. En 2006, il monte le New Lousadzak, qu’il reprend en 2014. Il joue également avec Angélique Ionatos, John Watson, Sébastien Texier, Sophia Domancich, Next to you, Yom… Avec Andy Emler et Éric Échampard, il est bien sûr membre du Trio E.T.E. Co-fondateur, en 1994, de la structure de production Émouvance, il dirige le Festival Les Émouvantes et un label de disques. Très impliqué dans un travail pédagogique sur la pratique des musiques improvisées et d’influence jazz, il est l’un des bassistes qui comptent en France. 5 NÉ À BOURG-EN-BRESSE EN 1970, Éric Échampard aborde très jeune la batterie. Attiré vers l’âge de 14 ans par le jazz et l’improvisation, il devient membre de l’ORJA dirigé par Bernard Struber en 1992. À ce jour, il en fait toujours partie. En 1993, la rencontre avec Jacques Di Donato est déterminante, il intègre son quintette et devient musicien professionnel. Il est diplômé en percussion classique et contemporaine du Conservatoire Supérieur de Lyon en 1995. De goûts éclectiques, il revendique sa culture « pop-rock » qui lui a fait écouter des batteurs tels Bill Bruford (Yes), Mitch Mitchell (Jimi Hendrix Experience), puis Manu Katché chez Michel Jonasz. Dans le milieu du jazz et des musiques improvisées, il est vite remarqué et rejoint Louis Sclavis, Philippe Deschepper, Claude Tchamitchian, Xavier Charles, Bruno Chevillon, François Jeanneau, Tim Berne entre autres… En 1996, il intègre le trio (et quartette) de François Corneloup, l’année suivante celui de Marc Ducret, dont il est toujours membre. On le retrouve aujourd’hui au sein du MegaOctet d’Andy Emler (depuis 2001), du trio de Benjamin Moussay, de Caravaggio, du Trio E.T.E. et de l’Orchestre National de Jazz d’Olivier Benoît. Il affirme un style de jeu très ciselé, énergique, subtil, précis dans lequel le contrepoint de la percussion prend toute sa signification. ORCHESTRE NATIONAL DE LILLE CRÉÉ EN 1976 grâce à la volonté de la Région Nord-Pas de Calais avec l’appui de l’État français, l’ONL dirigé par Jean-Claude Casadesus s’est imposé comme un orchestre de référence ouvert à tous les publics avec la volonté de « porter la musique partout où elle peut être reçue ». Chaque année, l’ONL se produit dans sa salle de concerts du Nouveau Siècle à Lille (entièrement rénovée et inaugurée en janvier 2013), dans sa région, en France et à l’étranger. Depuis sa création, il a ainsi irrigué musicalement plus de 200 communes du Nord-Pas de Calais et a été invité à se produire dans plus de 30 pays sur quatre continents. Fidèle à sa mission de diffusion, l’ONL interprète le « grand » répertoire symphonique, l’opéra avec une production annuelle à l’Opéra de Lille mais aussi la musique de notre temps. Parallèlement, il innove avec des événements dédiés aux nouveaux publics (ciné-concerts live, Must du Classique, concerts flash à 12h30 et Lille piano(s) Festival). Dans toutes les facettes de sa programmation, l’orchestre invite des chefs et solistes internationaux confirmés ainsi que des jeunes talents à promouvoir. L’ONL place le jeune public au centre de son projet en développant une large palette d’actions. Au fil des années, l’ONL a enregistré une trentaine d’opus salués par la critique et récompensés par de nombreux prix. 6 AB ON NE Z-V OU S ! ÉRIC ÉCHAMPARD BATTERIE SALLE PHILHARMONIQUE SAISON 2015/2016 DIMANCHE 20 SEPTEMBRE 2015 – 15H/17H DIMANCHE 4 OCTOBRE 2015 – 20H PORTES OUVERTES [GRATUIT] COLLEGIUM VOCALE GENT 15h : BEETHOVEN, Fidelio, ouverture TCHAIKOVSKI, Symphonie n° 4, extrait DVOŘÁK, Symphonie n° 8, extrait 17h : FALLA, L’amour sorcier, extrait BONIS, Suite en forme de valses, extrait BRUCKNER, Symphonie n° 4, extrait Orchestre Philharmonique Royal de Liège Christian Arming, direction STRAVINSKY, Messe DOWLAND, Lachrimae BREWAEYS, Sonnets to Sundry Notes of Music / Threnos (création) TOMKINS, Funeral sentences I Solisti del Vento | Collegium Vocale Gent Philippe Herreweghe, direction DIMANCHE 20 SEPTEMBRE 2015 – 20H CINÉ-CONCERT BUSTER KEATON, Les trois âges Éric Cordé, orgue VENDREDI 25 SEPTEMBRE 2015 – 20H CONCERT D’OUVERTURE BEETHOVEN, Fidelio, ouverture Clara SCHUMANN, Concerto pour piano BRUCKNER, Symphonie n° 4 « Romantique » (version 1878/80) Claire-Marie Le Guay, piano Orchestre Philharmonique Royal de Liège Christian Arming, direction DIMANCHE 27 SEPTEMBRE 2015 – 16H PIANO 5 ÉTOILES CLAIRE-MARIE LE GUAY BACH, Partita n° 1 GUBAÏDULINA, Chaconne BACH, Concerto italien LISZT, Sonate en si mineur Claire-Marie Le Guay, piano MERCREDI 7 OCTOBRE 2015 – 18H30 MUSIC FACTORY EFFET DE SURPRISE HAYDN, Symphonie n° 94, « La surprise », extraits et autres extraits OPRL | Fayçal Karoui, direction et présentation AVEC LE SOUTIEN D’ETHIAS DIMANCHE 11 OCTOBRE 2015 – 16H LES CONCERTS DU CHEF DVOŘÁK 8 DVOŘÁK, Symphonie n° 8 OPRL | Christian Arming, direction MERCREDI 14 OCTOBRE 2015 – 18H30 RENCONTRE AVEC… DOMINGO HINDOYAN [GRATUIT] Stéphane Dado, présentation JEUDI 15 OCTOBRE 2015 – 20H COHEN / DVOŘÁK LEKEU, Ophélie DVOŘÁK, Concerto pour violoncelle TCHAÏKOVSKI, Symphonie n° 4 David Cohen, violoncelle OPRL | Domingo Hindoyan, direction À ÉCOUTER TCHAIKOVSKI, CONCERTO POUR VIOLON wLaurent Korcia, Orchestre Philharmonique Royal de Liège, dir. Jean-Jacques Kantorow (NAÏVE) wAlina Baeva, Orchestre Philharmonique de Sendai, dir. Philippe Verrot (FONTEC) wValery Sokolov, Orchestre de la Tonhalle de Zurich, dir. David Zinman (VIRGIN CLASSICS) wJames Ehnes, Orchestre Symphonique de Sydney, dir. Vladimir Ashkenazy (ONYX) wJanine Jansen, Orchestre de Chambre Mahler, dir. Daniel Harding (DECCA) wAnne-Sophie Mutter, Orchestre Philharmonique de Berlin, dir. Herbert von Karajan (DGG) 8