dossier de presse - COMPAGNIE HALLET EGHAYAN international
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dossier de presse - COMPAGNIE HALLET EGHAYAN international
Avant propos “Pour Sapiens, courir pour abattre ou pour fuir un animal, c’est chasser ; courir pour trouver l’état de la course, c’est danser ; nous le savons tous. Ainsi pour lui le geste utilitaire et le geste symbolique sont le même. Ce qui les différencie c’est la conscience qu’il en a. Mais en fut-il de même pour tous les hominidés, et la quête symbolique de Sapiens fut-elle préparée par ses prédécesseurs, comme le furent les bipédies au cours de l’évolution de notre famille ? Aujourd’hui peut-on répondre oui, peut-on répondre non ? La réponse est cachée. Elle est enfouie dans notre corps, dans sa mémoire. Peut-on la retrouver au travers de la danse, au sein des connaissances sur ce que furent l’évolution de l’anatomie et des bipédies, sur ce que furent les besoins, les aspirations et les danses de nos prédécesseurs, sur ce que furent les solutions toujours précaires qu’ils mirent en forme pendant des millions d’années pour atteindre l’émotion sublime de leurs joies immenses et de leurs terribles peurs ? La réponse est cachée. Elle nous attend au cœur de nos intuitions dans la mesure où l’on ose en écarter les préjugés acquis, les idées ancrées qui pavent l’histoire de nos questionnements éternels. Pour nous la seule façon d’oser une réponse c’est de n’en formuler aucune et de nous effacer devant le foisonnement des possibles, ce patrimoine gestuel qui recouvre ce que les scientifiques appellent les contraintes ancestrales, c’est redéployer le jeu des variations. Et pour nous la seule façon de vivre l’arbre des possibles c’est de laisser les danseurs se fondre dans l’état des corps et l’état des cœurs de nos lointains ancêtres. Seule la danse peut savoir puisqu’elle écrit pour le vent.” Michel HALLET EGHAYAN “N’en déplaise à la longue tradition de l’échelle des espèces héritée du fond des âges de la pensée anthropocentrique occidentale, la bipédie n’est pas apparue à la suite d’un coup de rein audacieux décidé par un ancêtre grand singe fatigué de sa condition simiesque et brusquement animé d’un désir de devenir humain. Ce n’est pas la bipédie mais des bipédies qui descendent des arbres. Il y a même une forêt de bipédies. Mais comment exprimer cette diversité des déambulations sur deux pieds ? Toutes ces valses hésitations peuvent se traduire par des équations biomécaniques, des modélisations sur ordinateurs, des descriptions anatomico-fonctionnelles… Nécessaire et rigide tâche des scientifiques. Cependant est-ce que toutes ces démarches scientifiques peuvent tout dire ? Ce que l’on sait, c‘est que notre corps conserve quelques unes des grandes étapes de son évolution. Si la bipédie peut se concevoir comme une libération du corps, pour autant elle en conserve les empreintes de son passé. C’est donc par la danse que l’on peut à la fois retrouver et exprimer ce que les sciences ne peuvent pas dire. Ce corps de bipède, le nôtre, peut ainsi entrer dans la danse des hypothèses et exprimer par la gestuelle et la musique les premiers pas si maladroits qui vont de “Lucy in the sky with diamonds” aux danseurs étoiles.” Pascal PICQ Which side story ? Spectacle d’1 heure sur les origines et l’évolution de l’homme Création chorégraphique de Michel Hallet Eghayan avec la collaboration avec du paléoanthropologue Pascal Picq. Musiques de Gilles Colliard et Jean-Christophe Désert. 1er Acte “De l’eau vers le ciel” Prélude suivi de 9 tableaux, 20 min Des vertébrés sortis des eaux se métamorphosent en six types morphologiques aux allures et cadences propres à chacune des grandes lignées d’animaux terrestres puis aériens. Un poisson devient Saurien et évolue vers le reptile pour devenir oiseaux,ou vers les mammifères pour donner les Prosimiens.À la fin de ce prélude où les danseurs transforment leur corps pour se fondre dans les grandes étapes de l’évolution locomotrice des vertébrés,six êtres sont au sol (Prosimiens).Un bruit les affole : tous s’enfuient à quatre pattes, excepté l’un d’entre eux qui tente de monter à l’arbre invisible. La scène se reproduit plusieurs fois jusqu’à ce qu’il reste dans les arbres. À leur démarche on voit que tous se déplacent désormais sur des branches :ils sont devenus des singes. Dans le tableau suivant, un jeu d’intention s’engage entre un mâle et une femelle : mains, corps, visage, tout participe à la danse qui s’achève lorsqu’ils se prennent la main. Plus tard les singes passent sous les branches :l’un d’entre eux joue à se suspendre et découvre la verticalité.Il saute au sol :il est vertical, mais préfère rejoindre les arbres. À la fin du huitième tableau de nouveaux êtres bipèdes apparaissent, marchent lentement : les australopithèques. On voit là toutes les bipédies et toutes les fantaisies locomotrices. Lucy, Orrorin,Homo Habilis et Toumaï dansent tour à tour sous le regard d’un être solitaire.À la fin de la scène les australopithèques ont disparu, seul l’ultime danseur reste en scène: il est le “ nouveau venu “ (Homo Ergaster). 2ème Acte “Le retour sur terre” 5 tableaux, 20 min Pendant le solo d’Ergaster,le grand marcheur,une femme achève la construction de la cabane. Elle se redresse et dans une danse de séduction révèle les attributs de son corps pour capter le mâle. Un pas de deux s’engage. L’homme et la femme se regardent,s’attirent.Seuls les mouvements vifs évoquent la fécondation. D’autres hommes et d’autres femmes viennent troubler la scène. La nuit venue le langage naît des caresses échangées. Dans le tableau suivant la femme accouche tandis que des êtres dont la prestation corporelle signe Neandertal en périphérie construisent des cabanes. Au centre la femme accouche de son enfant lorsque apparaissent les Homo Sapiens. 3ème Acte 5 tableaux, 20min “Sapiens face à lui-même” C’est la guerre,les danseurs vêtus de couleurs différentes se précipitent armés les uns contre les autres.La femme fuit pour protéger son enfant.Le danseur “bleu”entame un solo puis suivent cinq autres solos (vert, jaune, violet, orange, rouge). Les corps des guerriers morts sont tirés hors de scène. Les danseurs colorés accomplissent la cérémonie d’enterrement, et dans un même élan enchaînent la parade militaire (première chorégraphie à l’unisson). Les danseurs dressent une palissade de bâtons séparant la scène en deux. “Un espace pour soi” D’un côté une flamme brûle,de l’autre un couple s’aime. “Un monde au delà du visible”,“Regard sur l’indicible”, “Un écrit pour le vent”. Les tableaux suivants évoquent la vénération de l’invisible, que certains nommeront dieux, et la découverte de l’art. Enfin, c’est la naissance de la danse. Les danseurs poussent à l’extrême les limites de leurs gestes pour en découvrir l’élan,le moteur vivant de la danse.La lumière tombe sur les six danseurs en mouvement. © Photographies : Youri Bilak, Thierry Rollet Le projet “Arborescence” Initié par le Musée des Confluences à Lyon, “Arborescence” est né d’une rencontre entre les sciences et les arts. C’est un projet scientifique par la rigueur des connaissances mises en scène ; c’est un projet artistique par la rigueur de la danse. Ni vulgarisation, ni illustration vivante, ni adaptation, c’est une création. L’architecture d’”Arborescence” se déploie comme un arbre au fil des saisons et d’une vie : graine, arbuste fragile, arbre aux branches déployées, élagages dus aux tempêtes, redéploiement de la couronne, interventions des hommes…. Analogie aussi naïve que puissante, car elle dit tout ce qu’on croit connaître avec toutes ses incertitudes, ses lacunes. Cette architecture est devenue double, avec trois chorégraphies accompagnées de trois conférences dansées. Tout commence avec “Which side Story ?” qui a donné par bouturage la conférence dansée ou parole de danse “Danser avec l’évolution”. La bouture est devenue un spectacle en soi qui complète superbement la chorégraphie. Entre temps le projet d’une chorégraphie en trois parties a pris forme et l’idée d’une trilogie correspondante pour une série de conférences dansées aussi. L’évolution du projet est une évolution en soi, comme dans l’histoire de la vie. Une espèce ancestrale donne une lignée principale alors que des populations périphériques connaissent une dérive qui, si elle rencontre le succès, donne une autre lignée. Origines communes et divergence en jouant différemment de la même partition ancestrale. Il ne s’agit pas d’un double projet, mais de projets qui se nourrissent l’un l’autre. L’explicite de la parole scientifique et l’implicite de l’expression corporelle se déploient dans des éventails plus ou moins ouverts d’un spectacle à l’autre. La conférence dansée exige une écriture qui précise le contenu scientifique, matière première pour l’inspiration et le travail du chorégraphe. Puis des moments de la chorégraphie connaissent d’autres développements pour venir épouser le texte de la conférence dansée. En 2004, Pascal Picq et Michel Hallet Eghayan ont ainsi mis au point les deux créations autour de la première thématique de la trilogie, les origines et de la bipédie et de l'homme : la conférence dansée “Danser avec l'évolution” avec Pascal Picq, la soprano Isabelle Eschenbrenner et les six danseurs de la Compagnie Hallet Eghayan. la pièce chorégraphique “Which side story”. En 2006 et 2007 se développe le deuxième volet d' »Arborescence » autour du thème de l'arbre, de l'histoire de l'homme et du foisonnement des cultures avec la création de : la conférence dansée “Palabres” avec Pascal Picq, le baryton basse Guy Lathuraz et les six danseurs de la Compagnie Hallet Eghayan. La pièce chorégraphique “Seul l'arbre…”. Prochainement, le devenir de l'homme, la nature, l'environnement et la question du développement durable seront au cœur du 3ème volet avec la création de “Quid !”. Les oeuvres crées seront diffusées en tant que pièces autonomes mais sont conçues pour être rassemblées à l’occasion de l’inauguration du Musée des Confluences à Lyon. Distribution ` Chorégraphe et directeur artistique Michel Hallet Eghayan Recherche et collaboration scientifique Pascal Picq Danseurs Samuel Hubert Bruno Miachon-Midenet Cécilia Moutardier Emeline Olry Charlotte Philippe Maude Rieder Musiciens compositeurs Gilles Colliard Jean-Christophe Désert Chants Isabelle Eschenbrenner Guy Lathuraz Philippe Noncle Costumes Carole Boissonnet Peintures et décors L’ours blond Régie générale et lumières Stéphane Rimasauskas Régie son Jean-Christophe Désert. Production et communication Thierry Rollet Administration Isabelle Lacroix Pascal Picq Michel Hallet Eghayan Collaborateur scientifique Chorégraphe Trente trois années de création n’ont en rien émoussé l’énergie de ce chorégraphe lyonnais né en 1946, co-fondateur de la Maison de la Danse, qui développe un important parcours d’auteur doublé d’un attachement à propager l’art et la danse dans la Cité en tant que ferment et ciment de la vie sociale. C’est en 1973, à New York, qu’il découvre deux maîtres incontournables : Margaret Craske et Merce Cunningham. Il entame alors en 1975 son cycle de création à la Dance Gallery de New York avec “Premièrement”. De retour dans sa ville natale en 1976, il fonde sa Compagnie en même temps que l’Ecole. Cette double naissance témoigne de la liaison incessante entre son travail de création et de formation, phénomène qui ne fera que croître en puissance. Depuis cette date il est l’auteur de plus de 60 oeuvres dont certaines, comme “Retour en avant”, “Orlando Furioso”, “L’île aux ruisseaux”, “Hommage à Kandinsky” sont des pièces d’anthologie de la danse contemporaine française. Puisant à la source de notre patrimoine gestuel, il crée son propre langage privilégiant la forme chorégraphique et le mouvement. Après une première période de compositions autour du thème de la Variation, il entame depuis plusieurs années un travail sur les racines et explore les liens entre nos origines et la pensée contemporaine. Aujourd’hui, il investit de nouveaux espaces entre arts et sciences en compagnie de Pascal Picq, paléoanthropologue au Collège de France avec qui il développe depuis 2004 un cycle de créations inédites intitulé “Arborescence” abordant les origines, l’histoire et le devenir de l’homme. Cette double trilogie liant arts et sciences, donne lieu à de spectaculaires conférences dansées mettant en scène le scientifique aux côtés des artistes mais également à des oeuvres stricto senso chorégraphiques ne gardant plus que les signes de cette recherche commune entre arts et sciences. Riche de cette expérience, fort de ces potentiels artistiques et scientifiques et d’un très beau théâtre à “aux Echappées Belles”, l’avenir de sa compagnie semble radieux. La saison 2010 / 2011 est ainsi l’occasion d’explorer le coeur de l’important répertoire de la Compagnie avec “Retour en avant” (pièce de 1983) recréée en 2008 en ouverture de la Biennale Internationale de la Danse de Lyon, travail qui se poursuit aujourd’hui avec “Pour Giselle”, commande de la Maison de la Danse de Lyon. C’est également l’opportunité de continuer ces oeuvres liant arts et sciences avec l'astrophysicien Roland Bacon et la conférence dansée “13 heures et des poussières...” mais également avec les 4 pièces du projet “Arborescence” créées avec Pascal Picq (“Danser avec l’évolution”, “Which side story?”, “Palabres” et “Seul l’arbre...”) dont le succès se confirme de saisons en saison. Entre racines et avenir, l’espace est son domaine... Riche d'un double cursus, l'un en physique et l'autre en archéologie préhistorique à la Sorbonne (Paris I), il se tourne résolument vers la paléoanthropologie au début des années 1980. Ses directeurs de thèse, Bernard Vandermeersch et Yves Coppens, l'amènent à exploiter au mieux ses doubles compétences de physicien et de paléontologue pour mener des recherches sur la morphologie évolutive du crâne des singes et des hommes. Après un long séjour au Duke University Medical Center, il obtient un doctorat puis devient chercheur associé et enseignant en anatomie, Pascal Picq est de retour en France en 1990. Il rejoint le Collège de France et la chaire de Paléoanthropologie et Préhistoire du professeur Yves Coppens. Ses recherches s'intéressent à l'évolution et l'adaptation des ancêtres de l'homme - les hominidés - notamment en relation avec leur régime alimentaire. Cette approche l'amène à intégrer les travaux sur les comportements des singes et des grands singes. La particularité de la position de Pascal Picq au Collège de France lui a permis de développer de nombreuses actions pour la diffusion des connaissances scientifiques. Cela passe par quelques expositions, différents colloques ou conférences, de nombreux ouvrages et de la participation à la réalisation de nombreux films. Il est conseiller scientifique auprès des grands musées et auprès de la Fondation Nicolas Hulot, notamment pour la préservation de la diversité des cultures humaines et la sauvegarde des grands singes. Quelques uns de ses ouvrages : “Lucy et l'obscurantisme”, Odile Jacob, 2007 - Pascal Picq “Nouvelle histoire de l'homme”, Perrin, 2005 (Grand Prix Moron de philosophie et d'éthique de l'Académie Française 2006) Pascal Picq “Au commencement était l'homme”, Odile Jacob, 2003 - Pascal Picq Quelques extraits de presse... “(...) Le public est touché, les enfants captivés. Ne viennent-ils pas de traverser un grand morceau d’éternité ?” Danser - Dominique PILLETTE “(...) Un spectacle beau et intelligent dont on attend la suite annoncée.” Sciences et Avenir. “(...) Ici, passé, présent et futur se mêlent intimement et chacun peut ressentir dans son corps la pertinence d’un discours qui ouvre à la réflexion et au rêve.” La Vie - Christine Monin “(...) Ici, le propos , qui est de mettre en scène les découvertes scientifiques les plus récentes, est atteint avec plus de justesse que par exemple l’Odyssée de l’espèce (...)”. Le Figaro - Isabelle Brisson ... et quelques représentations passées. Musée des Confluences - Lyon Centre Léonard de Vinci - Feyzin Maison du Peuple - Pierre Bénite Musée d’Archéologie Nationale de St Germain en Laye Centre Culturel de Sarlat Festival de Neuville-aux-Bois L’Espalanade - Divonne-les-Bains Théâtre des Cordeliers - Romans Théâtre de Chartres CAC de Saint Avold Théâtre du Tournesol - Beyrouth Théâtre National Mohamed V - Rabat Festival International de Danse de Ramallah Maison de la Culture de Firminy Scène Nationale de Sète Auditorium du CRR de Nice Théâtre Olympe de Gouges - Montauban Yzeurespace - Yzeure Théâtre du Puy en Velay Théâtre de Blanzat Hangar 23 - Rouen Palais du Littoral - Grande Synthe Abbaye de Sylvanès “Pôle Arts Sciences Société” Depuis de nombreuses années, la Compagnie développe d’importants projets liant les arts et les sciences, participant tout aussi bien à ouvrir de nouveaux regards sur la danse qu’à développer la culture scientifique. Cela s’est notamment traduit par : • • • • La création d’un festival “Arts et Sciences” itinérant en Rhône-Alpes en 2000 et 2001, commande de la Région Rhône-Alpes. La réalisation depuis 2003 d’un cycle de recherche et de création artistique et scientifique initié par le Musée des Confluences à Lyon : 4 conférences dansées et créations chorégraphiques dans le cadre du projet “Arborescence” avec Pascal Picq, paléoanthropologue au Collège de France; 1 conférence dansée avec l’astrophysicien Roland Bacon. De nombreuses actions pédagogiques et culturelles en direction des scolaires et des publics “éloignés” favorisant l’accès à la culture et aux connaissances ainsi réunies dans le cadre de résidences, projets scolaires ou extrascolaires comme dans le cadre de la “Politique de la Ville” à Lyon / La Duchère et Pierre Bénite. La mise en oeuvre depuis 2007 d’une collaboration “Arts et Sciences” conventionné avec l’Ecole Normale Supérieure Sciences de Lyon favorisant de nouvelles recherches et productions entre chercheurs, enseignants et étudiants de l’ENS d’une part, danseurs en formation et artistes professionnels d’autre part. Depuis l’année scolaire 2007/2008, la Compagnie de danse Hallet Eghayan et l’Ecole Normale Supérieure Science de Lyon se sont engagées dans une collaboration conventionnée liant Arts et Sciences, en préfiguration de la création d’un “PASS - Pôle Arts Sciences Société”. Cette collaboration à l’initiative d’enseignants-chercheurs de l’ENS-Sciences et de professionnels de la Compagnie de danse Hallet Eghayan a été organisée pour les étudiants et élèves de l’Ecole Normale Supérieure de Lyon ainsi que pour les étudiants danseurs au coeur du processus de leur formation initiale. Aujourd’hui... Les instigateurs et porteurs de ce projet aspirent aujourd’hui à l’ouvrir aux scientifiques professionnels et aux danseurs, aux artistes professionnels en créant en 2012 le “PASS” soutenu par la Ville de Lyon, la Région Rhône-Alpes et l’Etat avec le label “Investissements d’avenir”, impliquant de nombreuses institutions artistiques et scientifiques. Ils considèrent avoir expérimenté ces nouvelles approches qui les mettent en mesure de révéler des champs de connaissances et de pratiques constituant de nouvelles dynamiques artistiques et culturelles pour la recherche et la diffusion des connaissances scientifiques et pour la recherche artistique contemporaine. Ces nouvelles dynamiques s’adressent à tous les publics de la Cité. Cette initiative permet donc aujourd’hui : • • • • • de nouvelles dynamiques de recherche entre artistes, scientifiques et industriels dans de nombreux domaines (design, textiles intelligents, nouvelles lumières, physique, mathématiques, ...), la création d’oeuvres nouvelles nées de ces frottements : “Conférences dansées” mettant en scène les scientifiques, les artistes, ou pièces chorégraphiques autonomes, véritables objets de médiation en faveur des sciences et des connaissances, la diffusion de ces créations et recherches dans les espaces artistiques, lieux de culture scientifique et sites patrimoniaux, en suscitant de nouvelles synergies et mutualisations, grâce notamment à un équipement scénique mobile, léger et innovant (plancher flottant, régie son structure et régie lumière leds, la mise en oeuvre d’outils et d’actions pédagogiques et culturelles accompagnant la diffusion de ces créations en direction des publics scolaires, universitaires, et du tout public, des actions permettant l’accès à ces connaissances au profit des publics “éloignés” dans le cadre de ses résidences et missions “Politique de la Ville” pour lesquelles la Compagnie est conventionnée à Lyon (9ème arrondissement, quartier de la Duchère) et à Pierre Bénite. Conditions financières et techniques Contrat de cession Cachet pour 1 représentation : 6 500, 00 Euros HT (TVA à 5,5%) soit 6 857, 50 Euros TTC. + Défraiements (hébergements et repas) de 11 personnes sur 2 jours. + Transport de 10 personnes et des accessoires depuis Lyon + 1 personne depuis Paris Plateau Loges pour 6 danseurs équipées de chaises, tables et miroirs. Eau minérale, jus de fruits café, thé, chocolat, fruits secs coca cola et bouteilles d’eau pour 12 personnes. Aire de jeu souhaitée : 14 m d’ouverture (+ dégagements en coulisses) X 13 m de profondeur (en dessous de ces dimensions, nous consulter). Plancher en bois souple (non collé sur le béton, sur lambourdes, praticables...). Tapis de danse noir sur tout le plateau. Six jeux de deux pendrillons. 1 cyclorama si possible gris anthracite. Son Régie en salle (si possible) 2 lecteurs de CD audio (de préférence Technics ou Sony avec fonction Auto-Cue). 1 console de mixage 8 entrées sur au minimum 4 sorties indépendantes sur potentiomètres linéaires. 1 réverbération (type Yamaha Spx 990 ou 2000 ou Lexicon PCM 91). 3 égaliseurs 2 X 31 bandes (type klark teknik dn 360, bss fcs 960 ou équivalent). 1 double compresseur limiteur (type dbx 266, klark teknik dn dn 500 ou équivalent). 2 paires d’enceintes de type retour à fixer sur perche (type MTD 115 L acoustics, Atelier 33 MPB 600 ou équivalent). 2 amplificateurs stéréo d’une puissance supérieure ou égale à 500W par canal pour les retours. 1 système de diffusion stéréo pour la façade (avec sub) et pour la facade élargie. Lumière et vidéo Régie en salle (si possible). Pupitre Avab Presto, Prompto ou ADB Phénix. 18 PAR 64. 24 Fresnel 2 KW. 12 PC 1000 W. 10 Découpes loyennes 1000 W ou 10 PC 1000 W. 14 Cycliodes. 1 vidoéprojectuer pour une image plein cadre (environ 10 X 7,5m) minimum 3000 lumens (prendre contact avec le régissuer pour plus d’infos. Précisions Cette fiche technique indicative s’entend pour une salle de spectacle, la fiche technique complète étant à votre disposition sur simple demande. Cette fiche technique peut être adaptée selon les lieux d’accueil en accord avec nos régisseurs. Personnel et Planning Personnel nécessaire pour l’installation, les réglages et répétition la veille et le jour de la représentation : 1 régisseur lumière, 1 technicien lumière, 1 régisseur son, 1 régisseur plateau et 1 costumière. Veille de la représentation : 8h / 12h Montage - 14h / 18h - 20h / 24h. Jour de la représentation : 8h / 12h Montage - 14h / 18h - 20h / 24h Régisseur général et lumières - Stéphane RIMASAUSKAS - tel : +33 (0)6 85 20 92 84- email : [email protected] Régisseur son - Jean-Christophe DESERT - tel : +33 (0)6 85 90 64 75 - email : [email protected] Contact Production - Thierry ROLLET Compagnie de Danse Hallet Eghayan - 65/73 rue du Bourbonnais 69009 LYON (France) tel : +33 (0)4 78 64 84 98 - cell : +33 (0)6 71 63 95 36 - fax : +33 (0)4 78 64 87 60 mail : [email protected] www.ciehalleteghayan.org Egalement en tournée... “Seul l’arbre...” Création chorégraphique pour 6 danseurs sur l’histoire de l’homme et des cultures du monde née d’une collaboration avec Pascal Picq, paléoanthropologue au Collège de France. Spectacle accessible dès 6 ans. “Rêves en évolution” Spectacle de deux heures sans entracte pour 8 danseurs composé de “Which side story?” et “Seul l’arbre...”. “13 heures et des poussières...” Spectacle conférence dansée sur l’origine de l’univers mettant en scène l’astrophysicien Roland Bacon et deux danseurs de la Compagnie. “Pour Giselle” Commande de la Maison de la Danse de Lyon née de la collaboration entre Michel Hallet Eghayan et le dramaturge Philippe Verrièle autour du chef d’oeuvre du ballet omantique “Giselle”, pièce pour 8 danseurs. “1ère correspondance” et “2ème correspondance” “Composition vivante” ou composition en temps instantanné liant danse, musique, design, textiles intelligents et nouvelles lumières, création du “PASS - Pôle Arts Sciences Société” “Florilèges” 3 soli de 20 minutes chorégraphiés et interprétés par 3 danseuses de la Compagnie qui revisitent quelques danses de 34 ans de répertoire de la Compagnie. Contact booking : tel : +33 (0)6 68 99 64 82 [email protected] www.soandus.com Contact production : Thierry Rollet / Compagnie de Danse Hallet Eghayan - 65/73 rue du Bourbonnais 69009 LYON (France) tel : +33 (0)4 78 64 84 98 - cell : +33 (0)6 71 63 95 36 - fax : +33 (0)4 78 64 84 98 mail : [email protected] - www.ciehalleteghayan.org La Compagnie est subventionnée par le programme Investissements d’Avenir, le Ministère de la Culture DRAC Rhône-Alpes, le Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, la Préfecture de Région / Fond Interministériel de la Ville, la Région Rhône-Alpes, le Conseil Général du Rhône, le Grand Lyon, la Ville de Lyon, la Ville de Pierre Bénite, la Mission Académique d’Action Culturelle. Elle reçoit le soutien de la Spedidam et de l’Adami. La Compagnie remercie ses partenaires : Le Musée des Confluences, l’ENS de Lyon, l’IDRAC, le Collectif Designers +, Saint-Etienne Métropole, le Théâtre Libre de Saint Etienne, le pôle de compétitivité Techtera (Textiles/Matériaux souples), le pôle Optique Rhône-Alpes et le Groupe ATC. La Compagnie reçoit l’aide au mécénat des membres de son club d’entreprises “Echappées Belles” : Bonnet Assure Finance, Clasquin SA, Crédit Mutuel de Caluire-et-Cuire, Entreprise MTG, IDRAC, KPMG, MFGI, Odicéo, Réseau Ferré de France, Riso France et Saniteo.