Lutte contre le blanchiment d`argent et la fraude dans les banques et
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Lutte contre le blanchiment d`argent et la fraude dans les banques et
Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 Lutte contre le blanchiment d'argent et la fraude dans les banques et assurances soutenue par l'informatique Valeur ajoutée dans une logique holistique de GRC Frank Holzenthal, informaticien diplômé*1 Sur la base d'une approche holistique "Gouvernance, Risque & Conformité" - en bref l´approche de GRCaujourd´hui les réponses appropriées sont données aux défis de l´économie dans un monde de plus en plus interconnecté. Les systèmes informatiques qui intègrent des fonctions de GRC aident les banques et les assurances à remplir les nombreuses demandes légales, juridiques et régulatrices, à obtenir la transparence dans les relations d'affaires, à projeter et à poursuivre des mesures et contrôles et à prendre des décisions stratégiques en vue du risque et de la conformité. 1 Défis pour les banques et les assurances 1.1 Lutte contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme Le blanchiment d'argent est l'introduction des valeurs patrimoniales provenant du traffic de drogue illégal, de la prostitution, du jeu de hasard illégal ou du commerce d'armes dans la circulation financière et économique légale en dissimulant l'origine. Avec la globalisation des marchés les méthodes sont devenues plus complexes et l'empêchement plus difficile. Pour endiguer l'élargissement de la criminalité organisée et protéger le système financier de l'abus, des standards et une multitude de lois et règles (entre autres la directive d'UE concernant le blanchiment d'argent, USA Patriot Act, Bank Secrecy Act, Recommandations FATF (40+9) ont été développés au monde qui sont renforcés régulièrement. Les banques et les assurances sont particulièrement affectées du risque de blanchiment d'argent en raison de leurs produits offerts. Les départements de conformité qui ont vocation à lutter le blanchiment d'argent font face au défi de protéger continuellement leur banque contre l'abus et de remplir les directives légales actuelles. La pression exige de fournir une preuve complète des liaisons d'affaires et l'observation des nombreuses exigences régulatrices. 1 Frank Holzenthal, informaticien diplômé et membre de direction de TONBELLER AG, Bensheim, contact : [email protected] Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 Une stratégie de contrôle effective à base de technologie d´information devient un facteur de compétition décisif pour les prestataires de services financiers. A côté de l'observation des directives légales, la flexibilité et les investissements des frais et du temps réduit pour le maintien et la mise à jour des processus de contrôle contre le blanchiment d'argent sont décisifs. 1.2 Lutte contre la fraude et prévention de fraude Aussi la lutte contre la fraude et la prévention de la fraude se mettent de plus en plus au centre d'attention des banques et des assurances. En principe, le sujet n’est limité ni à une région, ni à un secteur, ni à une branche de l’industrie, ni à la taille d’une organisation. Des études nationales et internationales, comme par exemple de l´ « Association of Certified Fraud Examiners » (ACFE)2 prouvent que le dommage à cause des actions frauduleuses prend des dimensions macro- et microéconomiques considérables. En outre, une multitude d'exigences légales (p. ex. UK Bribery Act, loi sur le crédit) demande l'extension des contrôles à "d'autres infractions pénales". Cela comporte la nécessité de rechercher les actions frauduleuses. La créativité des criminels produit toujours des nouvelles variantes de fraude - s'il s'agit de la fraude des services bancaires en ligne, la fraude d'assurance ou la fraude interne. Pour leurs actions criminelles les fraudeurs utilisent de plus en plus de moyens électroniques. Justement ces transactions financières électroniques "invisibles" et "anonymes" permettent de dissimuler plus facilement la fraude. Les coûts réels qui résultent de la fraude dépassent largement la perte financière. Les banques et les assurances ne se trouvent pas seulement devant le défi de protéger les valeurs en capital, apportées par le client et empêcher les propres inconvénients financiers, mais encore de prévenir le dommage à long terme de leur propre réputation. La lutte efficiente contre la fraude nécessite des solutions de progiciel qui découvrent non seulement les actions frauduleuses, mais aussi aident à les rendre impossible. Des composantes de temps réel enchâssés, permettent des temps de réaction minimaux avec une haute qualité de décision, et visent aux activités frauduleuses avec un haut potentiel de dommage. 2 http://www.acfe.com/uploadedFiles/ACFE_Website/Content/rttn/2012-report-to-nations.pdf Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 2 Systèmes informatiques pour la lutte contre le blanchiment d'argent et la fraude 2.1 Plus-value par des systèmes informatiques intégrés et des logiciels standards flexibles En connectant les domaines de Gouvernance, Risques et Conformité les organisations évitent le dommage économique et juridique ou la diffamation et obtiennent des avantages de compétition avec un effet durable. En intégrant des fonctions GRC dans les départements spécialisés et unités commerciales locales, les solutions informatiques produisent immédiatement de la plus-value pour la direction de l'entreprise. Cette intégration est un facteur critique pour le succès et la rentabilité des systèmes de conformité, car la liaison du système de risque, système de surveillance et système de conduite augmente la transparence du processus de conformité et par ceci rend la complexité saisissable. Si les fonctions particulières de conformité sont conduites dans des systèmes isolés, l'intégration des informations est plus difficile. Des interdépendances de risque dans les domaines d'entreprise qui identifient et surveillent des risques indépendamment l'un de l'autre, ne sont pas reconnues dans le cas le plus défavorable, et produisent ou augmentent le dommage possible pour l'entreprise ou empêchent la reconnaissance de liens qui donnent une indication sur la criminalité financière. À l'aide des systèmes informatiques intégrés, les "îles" individuelles des opérations de conformité peuvent être regroupées dans un système compact et pertinent lors de la lutte contre la criminalité financière. L'intégration permet la transparence nécessaire ainsi qu'une approche coordonnée à travers les frontières des départements et des organisations. L'intégration des systèmes de conformité élargit le radar de la gestion du risque qui dépasse maintenant les risques purement opérationnels. La liaison avec la gestion du risque assure que la "camisole de force" de la conformité devient un "gilet pare-balles". Et la gouvernance profite de son côté d'une base plus solide pour la gestion de l'entreprise. L'intégration augmente la profitabilité d'une entreprise, des frais sont réduits parce que des services ont moins de chevauchements et de redondances dans leurs processus. Dans les banques et les assurances des solutions de standard flexibles devraient être préférées. Elles peuvent être adaptées individuellement sans ajustement fait sur mesure coûteux à des structures, des processus et des systèmes informatiques ou des directives ainsi qu'être intégrées dans les systèmes GRC Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 existants. La flexibilité joue aussi un rôle en vue de la technicité. Des solutions implémentées de manière rigide ne conviennent pas pour tenir compte de l'approche basée sur le risque qui est légalement exigé. Si on suit celui-ci il est raisonnable que la solution puisse être adaptée sans connaissance de programmation à la situation de risque de l'entreprise. Cela se produit via des éditeurs de scénarios par lesquels des patterns de détection peuvent être définis facilement sur les données de base de la clientèle, des comptes, des transactions, mais aussi des données de profil de client. 2.2 Lutte contre le blanchiment d'argent s'appuyant sur l'informatique 2.2.1 Évaluer et gérer les risques du blanchiment d'argent Une solution globale pour la lutte contre le blanchiment d'argent soutient la création et le développement continu de l'analyse de danger spécifique à l'institut. Pour ce but l'identification, la catégorisation et l'évaluation des risques du blanchiment d'argent constituent la base pour toutes les activités de suivi afin d'initier et former des programmes contre le blanchiment d'argent. Des étapes ciblées organisatrices peuvent alors être déduites, et des mesures de prévention s'appuyant sur la technologie de l'information peuvent être implémentées. Ainsi pas seulement le contrôle individuel des risques du blanchiment d'argent est supporté. Par la focalisation sur les risques essentiels il est possible de réaliser des avantages de frais par l'utilisation de ressources plus effectives et les processus de contrôle plus efficaces. Des flux de travaux intégrés pour l'évaluation des risques à travers les divisions, des possibilités de documentation sécurisées à réviser et des possibilités d’exploitation individuelles devraient arrondir l´étendue de fonction d´une évaluation de risque. 2.2.2 Classification de risque de nouveaux clients La classification de risque de nouveaux clients s'effectue sur la base des informations relevées lors de la réception du client. Ces données devraient être comparées avec toutes les bases de données disponibles. D'une part il s'agit des bases de données qui identifient le bénéficiaire effectif pour un client d'entreprise. Si l'un des bénéficiaires effectif présente par exemple un risque élevé pour l'entreprise entière il est à traiter comme présentant un risque élevé. D'autre part les listes de sanction et listes PEP qui sont à comparer avec les données de client (et éventuellement les bénéficiaires effectifs) sont à prendre en considération. Les personnes sanctionnées doivent déjà être rejetées lors de l'ébauche de la relation d'affaires. Des personnes avouées comme politiquement exposées (PEP) sont à regarder comme des clients à haut risque et à traiter par la suite avec une obligation de diligence renforcée. En outre, les Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 demandeurs sont à classifier sur la base de leurs indications à l'aide d'une classification de risque. Pour cela il est judicieux que les critères pour une classification de risque soient réglables librement, c.-à-d. sur la base des données3 relevées individuellement sur le nouveau client. 2.2.3 Classification de risque des clients fidélisés Contrairement à la classification de risque initial d'un nouveau client, la classification de risque des clients fidélisés est un processus continu qui doit être effectué dans des cycles réguliers. Une reclassification est à représenter sur demande. Pour la classification de risque des clients fidélisés un système de recherche peut invoquer beaucoup plus d'informations que lors d'une classification initiale, car le comportement de transaction, les données de profil de client ainsi que l'utilisation de produit actuel sont déjà connus en général. Une intégration dans la classification initiale de risque permet la reconnaissance des déviations du comportement mentionné lors de la réception du client et de prendre en considération cette information lors de la classification de risque continue. 2.2.4 Détection du blanchiment d'argent sur la base de scénarios définissables Des obligations de diligence convenable sont à 4appliquer à chaque client classifié de risque (p. ex. client privé à haut risque) dans le cadre de la recherche du blanchiment d'argent. La méthode d´imagerie de ces obligations de diligence graduées doit être un élément standard d'une solution pour la découverte du blanchiment d'argent. En outre, un système devrait déjà être livré avec un assortiment des règles de contrôle du blanchiment d'argent définies. En font partie des règles pour le contrôle de Smurfing, les comptes dormants chez les banques avec des augmentations de chiffre d'affaires soudaines ou la résiliation précoce de polices, le changement fréquent des bénéficiaires, la demande de remboursement des contributions trop payés chez les assurances. Les solutions se distinguent par ce que le responsable de conformité peut décrire lui-même d'autres scénarios du blanchiment à travers des surfaces graphiques. Si le processus de la réception de clients est intégré il est aussi possible de détecter de manière automatisée des déviations du comportement qui a été déclaré initialement comme "projeté". Si un client se comporte autrement, une alerte est déclenchée. Des fonctionnalités intégrées de la gestion des 3 Appartiennent aux données individuellement relevées les données de base, données pertinentes à la conformité, informations sur l'utilisation de produit projetée, le comportement de transaction projeté ou les buts des relations d'affaires. 4 Selon la directive d'UE No. 2005/60/EG Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 cas devraient offrir du soutien pour l'examen des messages d'alerte, et implémenter le processus complet de la prise de décision jusqu'à l'infirmation de la suspicion, ou au fait de porter une plainte en suspicion. 2.2.5 Contrôle des transactions financières par rapport aux listes de sanctions Toutes les entreprises qui effectuent des transactions doivent assurer selon les demandes internationales5 qu'ils ne financent pas involontairement le terrorisme. Pour cela des transactions sont à examiner en temps réel par rapport aux listes de sanction publiques, librement accessibles6. En cas de concordance le paiement doit être arrêté immédiatement et présenté au responsable pour une décision. Ici, il s'agit d'un processus critique en vue de la sécurité et du temps qui doit être soutenu par un flux de travaux (ci-inclus avertissement par e-mail, authentification de l'utilisateur, double contrôle etc.). Des systèmes intelligents n'effectuent pas seulement le contrôle par rapport aux listes de sanctions mais permettent aussi de définir des business rules individuelles. Ces business rules peuvent aiguiser le résultat des listes de sanctions, éviter des faux positifs ou par exemple informer sur un paiement via email au cas de certaines constellations de données. 2.2.6 Visualisation, gestion et controlling des mesures pour la lutte contre le blanchiment d'argent La gestion des risques du blanchiment d'argent active à travers tous les départements et établissements dans le pays et à l'étranger connectés, requiert une vue globale, du jour central aux plus importantes variables réglantes. Les cockpits peuvent offrir aux banques une vue holistique de l'analyse de risque avec toutes les mesures de prévention et leurs état dans une présentation unique et visuellement agréable. Sur la base des données agrégées des systèmes intégrés d´évaluation du risque et recherche des indicateurs, peuvent être calculés et illustrés de manière simple et structurée par le biais des techniques de visualisation sophistiquées. 2.3 Lutte contre la fraude et prévention de fraude basé sur l'informatique 2.3.1 Évaluer et gérer les risques de fraude 5 Selon la directive d'UE No. 2580/2001, No. 881/2002, US Patriot Act et d'autres p. ex. listes de surveillance de l'Union Européenne, du Office of Foreign Assets Control (OFAC), du ministère de finances des États Unis, de la résolution NU 1267 et 1988, du HM Treasury (le ministère de l'économie et des finances du Royaume Uni) 6 Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 Une lutte efficace contre la fraude suppose une évaluation de risque dans toute l'entreprise et requiert des instruments pour saisir et surveiller les risques connus et les risques nouveaux complexes. Si l'évaluation du risque basé sur l'informatique est couplée au système de recherche pour la lutte contre la fraude, l'analyse de dangers peut être enrichie par des indicateurs réels. L'efficacité des actions de prévention informatisées peut alors être déterminée automatiquement et l'évaluation du risque peut être affinée de manière continue par les mesures résultantes. 2.3.2 Classification de risque des clients nouveaux et fidélisés La classification du risque des clients nouveaux et fidélisés sous l'aspect des actions frauduleuses potentielles peut être comprise comme extension de la classification de risque sous l'aspect du blanchiment d'argent déjà décrit en sections 2.2.2. et 2.2.3. À ce sujet non seulement les données de transactions et les profils de clients sont à utiliser, mais aussi d'autres données et des événements non monétaires (p. ex. changements d'adresse multiples, interrogation fréquente de certaines données, résiliations prématurées de contrats conclus) sont à prendre en considération. En outre il est nécessaire de ne pas seulement soumettre les clients à une classification de risque mais aussi prendre en considération d'autres partis qui participent à la transaction (comme les banques, les destinataires et les employés exécutifs). 2.3.3 Protection contre des essais de fraude Au contraire de la vérification simple du blanchiment d'argent, le contrôle des "autres actes sanctionnables" est plus sophistiqué. Les scénarios ne sont pas clairement définis et les modèles des actes sanctionnables changent quotidiennement. Aussi, il s'agit fréquemment des événements complexes à détecter en cohabitation et dans une suite temporelle restreinte. Une solution du traitement des événements complexes associe des événements différents qui ne sont pas connectés à l`évidence. Si des modèles et séquences suspects sont détecté,s cela déclenche tout d'abord un avertissement et à partir d'un seuil d´anomalies une alerte qui est annoncée en temps réel et doit être décidée rapidement. Seulement ainsi il est possible d'éviter ou d'endiguer les dommages qui résultent des actions frauduleuses. Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 Figure 1 : Prévention de la fraude en temps réel Figure 1 illustre ceci: Fraude interne : Un employé interroge fréquemment un compte inactif. Ici à l'âge du titulaire du compte est pris en garde. Ensuite l'adresse du client est modifiée pour que le client bancaire ne reçoive plus de relevés de compte. À ce point le système génère déjà un avertissement. Dès que l'employé transfère de l'argent du compte une alerte est déclenchée automatiquement en temps réel. Fraude externe : Au guichet automatique bancaire une petite somme est retirée moyennant une carte. Dans un délai relativement court la même chose se produit dans un deuxième guichet automatique avec la même carte. Maintenant le système peut déjà générer un avertissement, en particulier si les deux guichets bancaires ne se trouvent pas à proximité géographique l'un de l'autre. Si cela étaient des retraits de test le fraudeur ayant testé deux fois essayera parfois de retirer des sommes plus grandes après peu de temps. Le système génère immédiatement un message d'alerte et la carte sera d'abord bloquée automatiquement. Une solution qui supporte le traitement des événements complexes permet aux banques et aux assurances de réagir rapidement et de définir des scénarios flexibles. Il faut prendre en considération que le système de détection basé sur l'informatique doit être associé étroitement avec les processus bancaires. Du point de vue professionne,l la délégation du personnel et la cassation doivent toujours être "prises à bord" à l’introduction de telle solution basée à l´informatique, en particulier s'il s'agit de la lutte contre la fraude interne. Les données sensibles doivent être anonymisées et pseudonymisées. Seulement dans un cas suspect justifié, ces données sensibles sont à déchiffrer en consultant un tiers (p. ex. la cassation). Publié dans: ZRFC – Risk, Fraud & Compliance, Volume 9, Juin 2014 2.3.4 Visualisation, gestion et controlling des mesures pour la détection de la fraude Comme lors de la lutte contre le blanchiment d'argent il est aussi indispensable pour la lutte contre la fraude, et la prévention de la fraude d'obtenir une vue holistique sur des dommages produits et empêchés ainsi que sur des domaines de fraude potentiels (clients, produits, types de transactions et pays) afin de disposer de paramètres pertinentes pour la gestion. Pour cela des tableaux de bord et des cockpits sont nécessaires. 3 Considérations finales Seulement par la réalisation d'une approche informatique intégrative qui relie les domaines de gouvernance, de risque et de conformité dans les banques ou assurances les mesures pour la lutte contre la criminalité financière et économique puissent être passées dans les faits effectivement. Ce qui est important c'est une connexion intelligente de toutes les disciplines, partant de l'analyse de risque (analyse de menace), à travers la détection efficace des actions frauduleuses et la lutte contre elles (fraude, blanchiment d'argent, financement du terrorisme et d'autres) jusqu'à la représentation intégrale et la visualisation des indicateurs et variables réglantes pertinents dans une vue d'ensemble. Les solutions informatiques doivent être appropriées pour l'utilisateur final, les interfaces doivent être intuitives et offrir un accès rapide aux fonctions dont on a besoin. Le service informatique ne devrait être consulté que lors de l'introduction d´un logiciel de façon analogue et dans le cadre de l'entretien. Des logiciels standards qui offrent de la flexibilité et implémentent la complexité professionnelle sont à favoriser. En même temps les systèmes informatiques devraient se laisser intégrer entièrement dans les processus existants chez les banques et assurances.