Casablanca - L`opinion
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Casablanca Lundi 14 décembre 2009 [email protected] Grippe A/H1N Circulation/Espace public Campagne de vaccination à l'Hôpital 20 Août du personnel soignant et médical du secteur privé U ne campagne de vaccination du personnel soignant et médical du secteur privé de Casabb blanca contre la grippe A/H1N1 a été lancée, samedi, à l'hôpital du 20 août (CHU Ibn Rochd de Casablanca). Cette campagne fait suite à celle mené parmi le personnel du secteur public de la Santé depuis le lancemb ment de la vaccination contre la pandémie, mercredi 9 décembre. Le personnel soignant et médical ainsi que toutes les personnes en contact avec les patients au niveau des hôpitaux, cliniques, cabinets médicaux et centres de santé figurent parmi les personnes prioritaires devant se faire vacciner. Ceci pour la simple raison que ce personnel serait en contact ou appeler à prendre en charge des personnes infectées par le virus. La priorité à la vaccination est par ailleurs donnée aux personnes avec risque élevé de développer des complications en cas d'infection. Ce sont les nourrissons de 6 à 2 ans, les adultes et enfants avec des pathologies chroniques (maladies respiratoires, cardiovasculaires, neurologiques, métaboliques, immunitaires...) et les femmes enceintes quel que soit l'âge de la grossesse. La vaccination est aussi réservée en priorité aux personnes susceptibles de transmettre le virus aux personnes ayant un risque élevé de complications (enfants de 2 à 5 ans et les personnes vivant sous le même toit avec les personnes présentant le risque de complications). Et il en est de même pour les professionnels devant assumer des taches indispensables au bon fonctionnement de la société. La vaccination contre la grippe A/H1N1, qui couvrira à terme 60% de la population, est assurée dans 1258 points répartis entre 419 centres de santé et hôpitaux en milieu urbain et 839 dispensaires et centres de santé en milieu rural. Le vaccin actuellement administré, et qui ne sera probablement pas mis en vente dans les pharmacies de ville, constitue avec les autres mesures (médicaments antiviraux, maintien d'une distance sociale et une hygiène personnel) l'un des moyens le plus utiles pour protéger les individus contre la pandémie. On souligne que les autres vaccins contre la grippe saisonnière ne protègent pas contre A/H1N1. C'est d'ailleurs ce que rappelle un Guide Pratique édité par des spécialistes avec le soutien du Ministère de la Santé, la Société Marocaine de Sciences Médicales et le Conseil National de l'Ordre des Médecins. Ce guide, qui a été distribué samedi à l'hôpital du 20 août aux médecins privés, présente la maladie sous ses différents aspects, sa prévention, ses symptômes, ses complications, son traitement, et met l'accent sur les pratiques et usages devant être adoptés par l'ensemble des praticiens. Il leur communique aussi les numéros des téléphones portables des responsables du Ministère de la Santé au niveau de l'ensemble des régions du pays. Selon le Ministère de la Santé, la vaccination qui couvrira à terme 60% de la population, est assurée dans 1258 points, répartis entre 419 centres de santé et hôpitaux en milieu urbain et 839 dispensaires et centres de santé en milieu rural. M.G. Droit du piéton bafoué « J'étais avec mon enfant de trois mois que j'avais mis dans la poussette et je traversais une rue dans un quartier chic Racine. A un moment je n'ai plus pu avancer à cause des trous et des remblais. On avait effectué des travaux dans la rue et on est parti sans remettre les choses dans leur état initial. Comme je ne pouvais pas passer.j'ai dû faire un détour et emprunter la chaussée. Une voiture 4x4 a failli me faucher avec mon enfant. Je me suis fait engueuler par le chauffeur qui m'a traitée de tous les noms car je n'avais pas à circuler sur la chaussée !» Voilà ce que raconte une jeune mère qui avait du mal à trouver un chemin pour circuler sur le trottoir avec sa poussette. Ceci se passe dans un quartier chic où les trottoirs normalement sont relativement spacieux, où il y a des immeubles haut standing, des magasins de franchises avec articles haut de gamme. Mais ce qui se passe là se passe aussi ailleurs avec des situations pires car il s'agit de quartiers dits populaires où les plans d'urbanisme particulièrement parcimonieux n'ont accordé que des trottoirs d'à peine un mètre et dem. De l'impensable ! Là, la circulation piétonnière est compromise dès le départ car ce petit espace est convoité par les commerces en tout genre. Dans ces conditions que se passe-t-il pour la circulation piétonnière pour des personnes âgées, des enfants, des handicapés moteurs, non-voyants etc. ? Malheureusement tous les quartiers, tous les arrondissements sont concernés par la même situation : Ignorance totale du droit du piéton. Pour les piétons, circuler sur les trottoirs est une difficulté quotidienne. Souvent on reproche aux piétons de ne pas respecter le code en traversant les chaussées à n'importe quel moment et à n'importe quel endroit au lieu de traverser aux passages rayés. Figurant parmi les premières victimes des accidents les piétons ont bon dos. Avant de les clouer au pilori il suffirait de se demander si tout est fait pour leur rendre la circulation aisée. C'est plutôt tout le contraire qui est fait. L'espace public, réservé aux piétons, est de plus en plus érodé par les commerces dont les terrasses de cafés, les chantiers de construction, voire les véhicules qui y stationnent allègrement, de plus en plus à cause du grand problème de stationnement auquel on n'a pas trouvé de solution à moins des horodateurs qui ont A la rencontre des Chikhates aux abattoirs 'Institut français de Casablanca organb nise sous le titre de "l'Appel de l'Aïta les samedi", 19 et dimanche 20 décembre 2009, deux journées consacrées à l'art de l'Aïta abordé sous différentes formes. Comme son nom l'indique, l'Aïta est un appel. Un appel de femme. Au départ lancinant, porteur d'une infinie nostalgie, il s'en va crescendo, suivant des étapes codifiées, vers une explosion de joie libératrice. L'art de l'Aïta, dont les spécialistes date la naissance de la première moitié du XIXe siècle, n'est pas sans rappeler certaine forme de flamenco ou encore le fado. Art féminin issu des plaines océanes s'étendant entre les régions de Safi et d'Essaouira, mais apprécié de tout le pays, il a connu une dégénérescence certaine ces dernières décennies. Les représentantes de la forme classique de cet art se font de plus en plus rares. Elles sont recherchées et traitées par leurs aficionados comme de véritables divas d'opéra. Chikha Khadija Margoum (ex élève de Fatna Bent Lhoucine) en est assurément une. Khadija Margoum ainsi que sa troupe seront habillées pour l'occasion par la très en vogue designer de mode Fadela El Gadi. Bouchra Ouizguen, danseuse, chorégraphe, membre de la compagnie Marrakchie Anania, a pris l'art et la vie des chikhates comme point de départ de son dernier spectacle. « Madame Plaza », dernièrement créée au Festival de Montpellier Danse, est une chorégraphie contemporaine à la fois très énergique, très physique, et d'une abstraction raffinée. Elle a été plébiscitée par le public averti du ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L’INTERIEUR WILAYA DE LA REGION MEKNES-TAFILALET COMMUNE URBAINE DE MEKNES DIVISION DES FINANCES ET BUDGET SERVICE DES MARCHES ET INVESTISSEMENTS AVIS D’APPEL D’OFFRES OUVERT Marché N°10/2009 Le 07/01/2010 à 10 h, il sera procédé dans les bureaux de Monsieur Le Président de le Commune Urbaine de Meknès, à l’ouverture des Les dossiers d’appel d’offres peuvent être retirés au service des marchés de la Commune, Ils peuvent également être téléchargés à partir du portail des marchés des marchés de l’Etat: www.marchespublics.gov.ma. Les dossiers d’appel d’offres peuvent être envoyés par vole postale aux concurrent qui le demandent dans les conditions prévus à l’article 19 du décret n°2-06-388 du 16 Moharrem 1428 (5 Février 2007) fixant les conditions et les formes de passation des marchés de l’Etat ainsi que certaines règles relatives à leur gestion et à leur contrôle. Le contenu ainsi que la présentation des dossiers des concurrents doit être conforme aux dispositions des articles 26 et 28 du décret n°206-388 précité. Les concurrents peuvent: Soit déposer contre récépissé leurs plis dans le bureau d’ordre de la Commune. Soit les envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception au bureau précité; Soit les remettre au Président de la commission d’appel d’offres au début de la séance et avant l’ouverture des plis. Les pièces Justificatives à fournir sont celles prévues par l’article 23 du décret n°2-06388 à savoir: 1) Dossier administratif comprenant: a) la déclaration sur l’honneur: b) la ou les pièces Justifiant les pouvoirs conférés à la personne agissant au nom du concurrent; c) l’attestation ou copie certifiée conforme délivrée depuis moins d’un an par l’administration compétente du lieu plis relatif à l’appel d’offres ouvert sur offres de prix pour: d’Imposition certifiant que le concurrent est en situation fiscale régulière. d) l’attestation ou copie conforme délivrée depuis moins d’un an par la CNSS certifiant que le concurrent est en situation régulière envers cet organisme. e) le récépissé du cautionnement provisoire ou l’attestation de la caution personnelle et solidaire en tenant lieu. f) Le certificat d’immatriculation au registre du commerce. N.B : les concurrents non Installés au Maroc doivent fournir l’équivalent des pièces visées aux paragraphes c, d, et f ci-dessus, et à défaut, une déclaration faite devant une autorité Judiciaire ou administrative, un notaire ou un organisme professionnel qualifié lorsque de tels documents ne sont pas délivrés par leurs pays d’origine. 2 Dossier technique comprenant : a) une note Indiquant les moyens humains et techniques du concurrent comportant les Indications prévues par l’article 23 du décret n°2- 06-388 précité. b) Les attestations délivrées par les hommes de l’art sous la direction desquels lesdites prestations ont été exécutées ou par les bénéficiaires publics ou privés des dites prestations comportant les indications prévues par l’article 23 du décret précité des trois dernières années. 3) Dossier additif Les renseignements et pièces d’ordre technique ou pièces complémentaires concernant l’entreprise. Festival. Le spectacle sera présenté au public casablancais pour la première fois. Tout a été dit et écrit sur la beauté, l'intelligence et la sensibilité du documentaire joliment intitulé « Le blues des chikhates » signé Ali Essafi. Il sera également présent à l'Appel ainsi que « Aïta », un documentaire réalisé dans les années 80 par Izza Genini, où on y voit évoluer et parler feue Chikha Fatna Ben Lhoucine. Une table ronde réunissant des chercheurs en la matière mais également de simples amateurs du genre (avec Ghita El Khayat et Hassan Nejmi, écrivains; Ali Essaifi, cinéaste; Jean-Paul Montanari, directeur de Montpellier Danse) permettra une discussion à caractère informel autour de l'Aïta d'hier, d'aujourd'hui et de demain. Le débat sera modéré par le journaliste Jamal Boushaba. tellement mauvaise presse. Autre entrave à la circulation piétonnière les marchands ambulants dans les quartiers où le phénomène est particulièrement aigu comme Derb Soltane. Mais là il y a la spécificité de quartier commerçant comme Derb Omar. Les habitants se plaignent partout des trottoirs défoncés, pleins de trous ce qui provoque des accidents aux piétons. L'entretien des trottoirs, le moins qu'on puisse en dire, ne figure pas dans les préoccupations des arrondissements. Que de fois des piétons se retrouvent avec blessures voire fractures à cause des crevasses, trous, égouts sans couvercle oubliés par Lydec. Autant de guet-apens qui leur sont tendus. Les piétons se retrouvent devant des crevasses, des monticules de remblai à la suite de travaux de divers services qui ne remettent pas le trottoir en l'état initial après la fin des travaux. Et personne pour demander des comptes. Entre les commerces qui s'accaparent les trottoirs et le manque d'entretien de ces derniers, le piéton ne sait plus à quel saint se vouer. Or il est peut-être important pour le problème des accidents de la circulation de porter un soin particulier à l'espace piétonnier. C'est parce que les trottoirs ne sont plus préservés comme espace piétonnier, que les piétons sont parfois obligés de circuler à même la chaussée avec les véhicules ce qui provoque des accidents. Nul doute qu'avant de demander des comptes aux piétons qui circulent à tort et à travers sur la chaussée, il faut d'abord aménager l'espace piéton adéquat. Un espace public convoité par les commerces et laissé dans un état lamentable par les arrondissements. M.B Annonces de casablanca Musique de l'Aïta L DEMANDES D’EMPLOI F. cuisinier exp. 20 ans ch. pl. st. Tél : 06-69-98-33-97 H. chauffeur permis B 6 ans d’exp. ch pl. st. Tél : 05-27-44-35-05 LOCAL A VENDRE Vente local comm. (pas de porte situé au 49, Rue de Rome, Casablanca d’une sup. de 127 m2 + sous pente de 30 m2 px 150.000,00 dh. Tél : 06-61-46-44-21 / 06-61-37-70-90 La banque populaire lance CAP PME IMTIAZ dans le cadre du partenariat avec l’ANPME ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L’INTERIEUR WILAYA DE LA REGION MEKNES-TAFILALET COMMUNE URBAINE DE MEKNES DIVISION DES FINANCES ET BUDGET SERVICE DES MARCHES ET INVESTISSEMENTS AVIS D’APPEL D’OFFRES OUVERT Marché N°17/2009 Le 06/01/2010 à 10 h, il sera procédé dans les bureaux de Monsieur Le Président de le Commune Urbaine de Meknès, à l’ouverture des plis relatif à l’appel d’offres ouvert sur offres de prix pour: L Les dossiers d’appel d’offres peuvent être retirés au service des marchés de la Commune, Ils peuvent également être téléchargés à partir du portail des marchés des marchés de l’Etat: www.marchespublics.gov.ma. Les dossiers d’appel d’offres peuvent être envoyés par vole postale aux concurrent qui le demandent dans les conditions prévus à l’article 19 du décret n°2-06-388 du 16 Moharrem 1428 (5 Février 2007) fixant les conditions et les formes de passation des marchés de l’Etat ainsi que certaines règles relatives à leur gestion et à leur contrôle. Le contenu ainsi que la présentation des dossiers des concurrents doit être conforme aux dispositions des articles 26 et 28 du décret n°206-388 précité. Les concurrents peuvent: Soit déposer contre récépissé leurs plis dans le bureau d’ordre de la Commune. Soit les envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception au bureau précité; Soit les remettre au Président de la commission d’appel d’offres au début de la séance et avant l’ouverture des plis. Les pièces justificatives à fournir sont celles prévues par l’article 23 du décret n°2- 06- 388 à savoir: 1) Dossier administratif comprenant: a) la déclaration sur l’honneur: b) la ou les pièces Justifiant les pouvoirs conférés à la personne agissant au nom du concurrent; c) l’attestation ou copie certifiée conforme délivrée depuis moins d’un an par l’administration compétente du lieu d’Imposition certifiant que le concurrent est en situation fiscale régulière. d) l’attestation ou copie conforme délivrée depuis moins d’un an par la CNSS certifiant que le concurrent est en situation régulière envers cet organisme. e) le récépissé du cautionnement provisoire ou l’attestation de la caution personnelle et solidaire en tenant lieu. f) Le certificat d’immatriculation au registre du commerce. N.B : les concurrents non Installés au Maroc doivent fournir l’équivalent des pièces visées aux paragraphes c, d, et f ci-dessus, et à défaut, une déclaration faite devant une autorité Judiciaire ou administrative, un notaire ou un organisme professionnel qualifié lorsque de tels documents ne sont pas délivrés par leurs pays d’origine. 2 Dossier technique comprenant : a) une note Indiquant les moyens humains et techniques du concurrent comportant les Indications prévues par l’article 23 du décret n°2- 06-388 précité. b) Les attestations délivrées par les hommes de l’art sous la direction desquels lesdites prestations ont été exécutées ou par les bénéficiaires publics ou privés des dites prestations comportant les indications prévues par l’article 23 du décret précité des trois dernières années. 3) Dossier additif : Les renseignements et pièces d’ordre technique ou pièces complémentaires concernant l’entreprise. a Banque Populaire a signé le 13 février dernier le Pacte National pour l’Emergence Industrielle (PNEI) par lequel elle s’est engagée à contribb buer à l’amélioration de la compétitivité des PME marocaines. Le programme IMTIAZ de l’ANPME s’inscrit dans le cadre des actions phares du PNEI destinées à soutenir la modernisation et l’amélioration de la compétitivité des PME. La Banque Populaire est partenaire de l’ANPME depuis l’initiation du programme IMTIAZ. Elle a fortement contribué à son élaboration, notamment dans la mise en place de la plateforme de rating qui constitue un outil d’appréciation novateur de l’éligibb bilité des PME à IMTIAZ. Pour contribuer à la réussite du programme IMTIAZ, la Banque Populaire a développé une offre spécifique « CAP PME IMTIAZ » qui permet de financb cier les projets d’investissements s’inscrivant dans le cadre de ce programme. Grâce à la subvention de l’Etat, qui peut atteindre 5 millions de dirhams et au financement de la Banque Populaire, la PME a fort potentiel dont les projets ne pouvaient être financés en raison d’un déficit de fonds propres, accède ainsi au financement de 80% de son projet. « CAP PME IMTIAZ » est disponible dans l’ensb semble du réseau des centres d’affaires de la Banque Populaire où les PME trouveront des interlocuteurs dédiés pour leur apporter toute l’assistance nécessb saire. Une tournée régionale est également programmb mée en partenariat avec l’ANPME, pour informer et sensibiliser les PME dans l’ensemble des régions du Maroc.