Livret candidatures 1er tour
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Livret candidatures 1er tour
ELECTION PORTANT RENOUVELLEMENT DU CONSEIL REGIONAL DE L’ORDRE DES ARCHITECTES DE PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR 1er TOUR : le 15 septembre 2010 ème 2 TOUR : le 21 octobre 2010 (le cas échéant) Le conseil régional est élu pour six ans et est renouvelé par moitié tous les trois ans. Pour le conseil régional de l’ordre des architectes de PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR composé de 24 membres, 12 sièges sont à pourvoir. Conseillers non sortants : Didier BABEL, Pascale BIROTTEAU, Jean-Luc CORRIOL, Sophie DERUAZ, Bernard HEAMS, Christian HUBERT, Christiane MARS, Jean MARTA, Philippe NAVONI, Marie PARENTE, Bénédicte RIFFARD-MARINACE et Gérard THOREL. Conseillers sortants non rééligibles : Gilles BADER, Didier BONNET, Martine BRESSON, Marc DALIBARD, François DUFAYARD, Eric DUSSOL, Jean-Christophe NOZIERES, JeanLuc PEREZ, François ROUANET, Claude TARTAR, Jean-Marc THIEFFIN et Philippe VESCO. Sommaire des candidatures Les candidatures individuelles classées par ordre d’arrivée 2 1) Evelyne CIGOLINI-MAHEO 2 2) Bertrand DENEUX 4 3) Serge BOTELLO 6 4) Michel MAZUET 7 5) Marc SOLITAIRE 8 Les candidatures groupées par liste classées par ordre d’arrivée 10 1) 10 Liste « TOUTES LES MISSIONS LEGALES UN PROGRAMME POUR LES ARCHITECTES » 1 Les candidatures individuelles classées par ordre d’arrivée 1) Evelyne CIGOLINI-MAHEO Architecte DPLG 51 ans 83440 FAYENCE Syndicat des Architectes du Var Maison de l’Architecture Villa Romée 2 PROFESSION DE FOI _______________________ Evelyne CIGOLINI-MAHEO ______________________ Aider les architectes dans l’exercice de leur profession. 2) Bertrand DENEUX Architecte DPLG 58 ans 13616 AIX EN PROVENCE Ingénieur en chef dans la fonction publique territoriale 4 PROFESSION DE FOI Je propose d'apporter à la profession mon expérience, essentiellement en matière de maitrise d'ouvrage publique ; j'ai également à mon profit un certain nombre de maitrises d'œuvre significatives. Dans l'exercice de mon métier, je suis régulièrement amené tantôt à défendre les architectes auprès des élus et autres décideurs, tantôt à faire comprendre aux maitres d'œuvre ce que le maitre d'ouvrage attend d'eux. La question du niveau des honoraires est aussi récurrente ; il importe de lutter contre les prix anormalement bas, de faire comprendre que ce n'est l'intérêt ni des maitres d'ouvrages qui pourtant sont toujours tentés de commander des prestations au moindre coût, ni des maitres d'œuvre qui ne peuvent assurer de missions correctes s'ils ne sont pas assez rémunérés. Les honoraires trop élevés sont également dénoncés lorsqu'ils ne sont pas suivis d'un travail satisfaisant. Je pourrai au sein du conseil travailler avec mes confrères sur ces aspects ainsi que sur les concours. 3) Serge BOTELLO Architecte DPLG 51 ans 83160 LA VALETTE DU VAR 6 4) Michel MAZUET Architecte DPLG 64 ans 06410 BIOT 7 5) Marc SOLITAIRE Architecte DPLG 59 ans 13500 MARTIGUES 8 PROFESSION DE FOI Question Rolex c’est vrai j’ai quelques belles pièces. N’empêche, pour la vie souvent je me dis… S’il n’y avait pas bonheur cette vocation pour le « bien public ». Oh oui ! Dès l’enfance. Et mes parents : Bravo ! Mais assure par exemple avec l’Archi… Longtemps, je ne vis le rapport. Jusqu’à cette nuit, charrette, fatigue et le plus emblématique projet marseillais, où, autant dans l’équipe lauréate que dans la première dauphine, étaient présents, de récents présidents du Conseil régional de l’Ordre des Architectes. O l’allégresse du concours ; pour la concurrence mon sacerdoce. Car compétence, réussite, il ne pouvait s’agir que de cela, d’autant qu’à la queue leu leu, quai de la Joliette, on retrouvait non seulement l’un de l’autre, mais encore quant aux restants, parmi ces derniers quasiment les mêmes que plus loin… et nonobstant l’autre de l’une, en rang d’oignon alors, pour le Grand Paris (c’est dire !). Comme chez Platon, l’un et le multiple ne sont jamais très loin de la République. Par exemple, moi aussi j’ai dix doigts et deux mains, oui mais il y a des milliers d’architectes en PACA, et des dizaines de milliers en France. Même s’il est vrai qu’il n’y a qu’une Caisse des dépôts, qu’une RATP, un aéroport de Paris… un EPAD, et guère plus d’architectes diplômé par le Président. Non ! Nous ne sommes pas dans le pire des pays, même si le plus célèbre des Services publics résonne de son JT, à son maroquin de tutelle, par « mon tonton est le meilleur » le plus prospère des Etablissements publics, par « je ne suis pas là par mon papa », et qu’il est difficile de ne pas penser à « ma femme n’y est pour rien ». Je dis non ! Parce que le concours par sa nature ne peut poser de problème ; du libéral au libéralisme. Tout juste devrait-on renforcer le poids du Jury, des Jeunes. Mais quant à parler de conflit d’intérêts. De fait qui a vu l’Ordre se préoccuper de cela. Ce triomphe du concours, nous rappelle vers ces temps où de « jeunes turcs » criaient « feu sur le quartier général » des Mandarins. Tout n’était encore que libertaire ! (mais Mai 68 ayant découvert des Indes à l’Occident, le libéralisme était pour bientôt). On remarquera que sur les ruines des Beaux Arts, devait s’édifier très vite, tout un fatras bureaucratique : IFA, CAUE, Maison de turc et Cité de chose… Direction de l’Architecture. Bon prince, il eut été bête de se priver de l’ordre. On nous promettait Le Corbusier partout, et ce fut le retour de Pouillon. Vintage ! A cette charnière historique, trois ans que le premier venait de mourir, et pas plus pas moins pour que le second se voit amnistié, d’avoir fait du marron avec du Rouge et du Vert. Grand rescapé des monopoles, n’ayant jamais connu le moindre concours, ne flairait-il pas, que ce « libéralisme avancé », malgré le hoquet de « nationalisations » était bien fait pour lui. A défaut d’un mittérandesque Grand travaux, le temps de se faire élire Conseiller régional de l’Ordre, il recevait une (nouvelle) médaille qui le rapprochait cyniquement de l’architecte du siècle. Les deux architectes ne boxaient pas la même catégorie, mais nous n’examinons le problème que sous l’angle de la déontologie, pour l’histoire paradoxale, qu’ils permettent d’entrevoir ; la notre. L’histoire de l’Ordre né d’une démarche millénariste de l’Etat français, après la débâcle de 39-40, et qui devait survivre au rétablissement de la République et à son épuration. Fouillon, comme s’il avait retardé ses Beaux Arts tout exprès (faisant dans l’antiquité après les bombardements, l’exode ; les valises encore…) devait tout naturellement s’y inscrire, mais prendre aussi une carte qui constituait un sésame pour le monopole d’état. Là fut son seul univers, jusqu’à le poursuivre sous divers cieux, quitte à vendre son âme. Quand un célèbre confrère parle de façon « grammatologique » de traces à son endroit, je n’hésiterais pas moi, pour ces millions de m² construits, à évoquer un maculage ; Région, Département, Mairie à lui seul, Fouillon a pu régner sur le Var, les Alpes, le Vaucluse et même la Corse… et bientôt l’Algérie ou la Banlieue de Paris (prémonition). Aéroport, Cité, Facs, Commissariats, Immeubles… par la seule vertu du fameux Pass ! Tout cela inquiétait-il l’Ordre avant que la case prison ne survienne ? En tout cas, célébrer cela, entre vide et néant, m’a toujours paru indécent parce qu’on doit comprendre au seul nom des villes citées, que tout cela s’est réalisé contre Le Corbusier. A l’envers ce dernier n’a jamais eu le monopole de rien, il a cru plus que personne à la vertu du concours sans en gagner aucun. Tout ce qu’il réalisera ne le fut que de commandes privées, de mécènes (même en pensant à l’UH ou Chandi). Le parallèle est éloquent et justifie la pensée de Nietsscher : devoir défendre les forts contre les faibles, contre la médiocratie. Mais que Fouillon ait pu faire retour et être célébré, la chose indique bien la nature d’un problème dont Marseille ne cesse d’être un théâtre exemplaire. Parce que là, le système, la tierce personne, le Saint-Esprit rencontré au lendemain de la guerre, nos deux protagoniste disparus, a été miraculeusement conservé. Dans la stratification de collectivités telles des communautés (on en annonce une nouvelle…) qui ressemble sinon à des couches géologiques riches en fossiles, qu’à une cassate ; oui je pense à Naples… Répétons, ce qui est contestable, c’est l’idée que tous les architectes seraient dans l’égalité de leur diplôme, sur une ligne de départ pour le Grand Concours du suprême talent. Qu’on me permette la plaisanterie, que parmi tous ces confrères, certains seraient plus « frères » que d’autres ; je prends pour moi le préfixe si je mens. Or toute cette porosité, cet inextricable dont parlait Rousseau entre particulier et général, ne peut que s’amplifier avec l’hypertrophie administrative, la multiplication des potentats et édiles locaux, le nombre de plus en plus grand des architectes fonctionnaires. On ne doit pas l’ignorer, un tel risque de « conflit d’intérêts » spécifie notre profession au regard d’autres libérales (Médecins, Avocats…), la rendent vulnérable et subordonnée à toutes les pressions y compris sur les honoraires ! Alors que faire ? Même s’il a oublié ou même jamais pensé à sa fonction discriminatoire intrinsèque, on ne doit pas cacher que l’Ordre est bien peu de chose face à tout cela ; et beaucoup ont dû en être par avance découragé. Sans doute ont-ils pensé s’abriter derrière cette instance de contrôle sur la « concurrence et les fraudes » ; c’est celle qui enregistre que dans un jury, parmi les candidats, il y a d’un côté Monsieur Général et de l’autre Mr De Gaulle, et qu’il n’existe aucun rapport entre eux. Il y a donc des déclarations sur l’honneur à exiger à toutes nouvelles inscriptions au tableau de l’Ordre. En fait, à l’instar d Rousseau père des Lumière qui se désolant de voir ces « intérêts particuliers » d’un autre genre corrompre la transparence sociale rêvée, ne voyait le salut que dans l’Education, l’Ordre a naturellement été conduit à développer sa politique culturelle, de façon concomitante à l’ère des concours. Voici alors la Maison, le Magasine (l’aventure d’A…), le Lobbying à Bruxelles… voire même à la veille du krach financier de 2008, tel un acte manqué symptomatique, le démarchage pour la banque HSBC. Enfin dans ce puit sans fond de la communication, sinon les spots Leroy Merlin, du moins le recours annoncé à l’IFOP ! Au but avoué, de sanctionner les auteurs de Dumping. Menace qui ignore, sachant les bureaux hindous ou chinois pas encore à nos portes ni la directive « service » entérinée, les actes désespérés d’acquérir une clientèle lorsqu’on manque de relation, lorsqu’on vit hors des cercles d’initiés. Reste que passé le temps des fantasmes, on commence à se trouver au pied du mur de la mécanique mise en œuvre depuis longtemps avec la fanfare de Beaubourg. Avec « Bolkestein » l’effroi saisit notre monopole à la concurrence, que l’état ne garantirait plus de part sa délégation à Bruxelles. Il est temps ! Parce qu’une telle directive a pu être initiée en fait, au Tokyo Round du GATT consacré à la « libéralisation des services » en 1985 ; donc en plein dans l’euphorie des « Grands Travaux » et de leurs Concours. Dans cet élan qu’on pensait alors irrésistible, l’Ordre a entreprit la réforme de la cotisation sur le mode de l’impôt moderne bruxellois. Tandis que l’INSEE vient d’indiquer qu’au sein des libéraux à « très hauts revenus », on trouvait d’abord des architectes, ces derniers n’ont pas à s’acquitter davantage que le premier canard boiteux venu. A lui la paperasserie des justificatifs de plus en plus nombreux ; érigés en parcours du combattant. Aux autres un simple droit d’entrée comme pour un Club, un péage, un permis de chasse… Il est impératif de revenir à l’ancien mode de calcul des cotisations. Mais s’il est évident que tous ne peuvent être partout (le concours « d’idées » lui-même n’évite pas la cooptation) on doit soutenir la participation au maximum, de chacun qui le souhaite, au concours. Parce que dans la situation présente il représente pour beaucoup le seul moyen d’être reconnu, mais aussi de connaître ; même avec peu de chance de l’emporter (comme l’histoire des projets en papier de L.C. le prouve). En outre, l’indemnité représente quoi qu’on en dise une source de revenu quoi qu’on en dise. Après tout, les enfants chéris de la Direction de l’architecture n’en n’alignaient-ils pas des dizaines aux quatre coins de l’hexagone. Alors, à l’image des Jurés populaire (qu’on veut justement remettre en cause…) il serait nécessaire de constituer un quota. Sans aucune intention de favoriser une tendance esthétique, un tranche d’âge, une catégorie citoyenne (l’ordre n’est ni un syndicat, ni un critique…). Bref, un quota aléatoire ;c'est-à-dire en tirage au sort. C'est-à-dire quelque chose à mille lieux de la caricature déterministe, constituée sur la « discrimination positive » offerts aux yeux de tous, par Monsieur « 12000 euros de Cigares ». Oui un quota qui ne présagerait en rien du « talent », pas plus que du chiffre d’affaire ou des références. Serait-ce quelque chose apte à paniquer les Maitres d’ouvrage ? A affoler la raison ? Or par la grâce du hasard plus que du concours en tant que concurrence, n’existe-t-il pas ces lauréats d’un jour, sortis de nulle part, qui mort ou vivant, ne réitèreront plus ces exploits dont il n’y a pas lieu de se plaindre ; à la Défense notamment. Quota, presque quanta, qui ferait prévaloir avant tout la chance qui lorsque les dés s’avèrent pipés demeure la seule chose pouvoir encore les relancer. Et dans l’aléa, du fait des grands nombres, rassurons les Maitres d’ouvrage qu’on retrouverait le même résultat ; n’avons-nous pas le même diplôme, et L.C. n’en avait même pas… Et puis il y a les Lumières et l’Antiquité, il y a la présupposition du talent inné et puis la reconnaissance du don. Heidegger exhume le fragment d’Héraclite sur la dispensation de l’être, qui n’est jamais qu’un enfant qui joue au tric-trac. Et puis notre maître à tous, L.C., a passé sa vie une maquette de Gratte-ciel sous le bras, chargé de représenter la civilisation française. Sans bruit, dans l’anonymat, loin de toute association de la Méditerranée à un Euro qui porte la poisse, il se bâtit sans bruit, dans l’anonymat, des milliers de Tours chaque année dans le monde, ou même dans la seule ville de Chungking ; très loin d’ici. Marc SOLITAIRE 10 juillet 2010 Les candidatures groupées par liste classées par ordre d’arrivée 1) Liste « TOUTES LES MISSIONS LEGALES UN PROGRAMME POUR LES ARCHITECTES » François AVEROUS Xavier BABIKIAN Architecte DPLG 50 ans Architecte DPLG 38 ans 13005 MARSEILLE 13014 MARSEILLE Syndicat des architectes des Bouches du Rhône Syndicat des architectes des Bouches du Rhône Jean-Michel BATTESTI Michel BENAIM Architecte DPLG 56 ans Architecte DPLG 59 ans 13008 MARSEILLE 06000 NICE Syndicat des architectes des Bouches du Rhône Architecte conseil du Ministère de la Culture détaché auprès de la DRAC de Bourgogne Syndicat des architectes des Alpes Maritimes Jean-Paul CASSULO Jean-Luc COULOMB Architecte DPLG 53 ans Architecte DPLG 57 ans 84000 AVIGNON 83000 TOULON Syndicat des architectes du Vaucluse Syndicat des architectes du Var Jean-Michel FRADKIN Frédéric PASQUALINI Architecte DPLG 42 ans Architecte DPLG 49 ans 13002 MARSEILLE 83700 SAINT-RAPHAEL Syndicat des architectes des Bouches du Rhône Syndicat des architectes du Var Jean-Luc ROLLAND François TOURNEUR Architecte DPLG 58 ans Architecte DPLG 53 ans 13003 MARSEILLE 13005 MARSEILLE Syndicat des architectes des Bouches du Rhône Syndicat des architectes des Bouches du Rhône Gérard VOLLENWEIDER Paul WAGNER Architecte DPLG 72 ans Architecte DPLG 60 ans 06400 CANNES 05000 GAP Syndicat des architectes des Alpes Maritimes Syndicat des architectes des Hautes Alpes 10 TOUTES LES MISSIONS LEGALES UN PROGRAMME POUR LES ARCHITECTES . DEONTOLOGIE . LEGITIMITE . VISIBILITE Soutenue par les Syndicats d’Architectes de la Région PACA, l’Union Régionale et l’Union Nationale des Syndicats d'Architectes, la liste « Toutes les Missions Légales, un Programme pour les Architectes » rappelle que l’Ordre est en premier lieu le garant de la qualité du port du Titre d'Architecte et concourt à la représentation de la Profession auprès des Pouvoirs Publics. La profession est actuellement questionnée par la normalisation récurrente qui s’impose à nous, économique, administrative et technique. L’évolution des modes d’exercice et des pratiques professionnelles est un chantier vital pour le devenir du métier d'architecte. Il n’appartient pas au Conseil Régional de l'Ordre de le mener seul, cela échappe au cadre strict de ses missions légales ; il peut néanmoins influer de tout son poids, en partenariat avec les autres organisations professionnelles (Syndicats et associations) et le Conseil National pour avancer sur la mutation vitale de nos métiers. C’est une des actions que nous voulons mener ensemble au sein du CROA PACA. Dans ce cadre nous nous engageons à assurer toutes les missions légales avec autorité et discernement: . Réactiver la déontologie de la profession mise à mal par la crise économique poussant notamment à des pratiques de "dumping" sur les rémunérations. . Refonder la légitimité de la profession par des actions orientées vers la Société Civile et les Politiques, par un travail permanent d’information couplé à un travail de veille réglementaire sur les pratiques et les procédures. . Renforcer la visibilité des architectes par une présence active dans les instances de décisions Régionales et Départementales et par une participation aux actions de diffusion de la culture architecturale auprès des professionnels et du public (partenariat avec les Maisons de l’Architecture, les syndicats, les associations). . Soutenir la formation des jeunes architectes (relation avec l’Ecole d’Architecture), inciter à qualité de la formation continue (Sésame), faciliter l’immersion des jeunes dans le métier après la HMONP par des actions de type "parrainages". Nous nous attacherons également à : . Renforcer et développer l’outil juridique du Conseil Régional de l'Ordre de Provence Alpes Côte d'Azur. . Mettre en place un véritable observatoire de la Commande Publique. . Oeuvrer en bonne intelligence avec les Syndicats et les associations d'architectes afin d'inciter chaque structure à prendre sa place véritable au cœur de la Société et de conforter son rôle en complémentarité dans ses actions. François AVEROUS Jean-Paul CASSULO Jean-Luc ROLLAND Xavier BABIKIAN Jean-Luc COULOMB François TOURNEUR Jean-Michel BATTESTI Jean-Michel FRADKIN Gérard VOLLENWEIDER Frédéric PASQUALINI Paul WAGNER Michel BENAIM Proclamation des élus et notification des résultats Sont proclamés élus au premier tour du scrutin, dans l'ordre déterminé par le nombre de voix qu'ils ont obtenues, les candidats ayant réuni un nombre de suffrages correspondant à la majorité absolue des suffrages exprimés. Les bulletins blancs ne font pas partie des suffrages exprimés. En cas d'égalité des suffrages le plus âgé est élu. Le résultat du vote est affiché au siège du conseil régional. Eventualité d'un second tour le 21 octobre 2010 Dans l’hypothèse d’un second tour, les électeurs recevront de nouveau par courrier, leurs identifiants et mots de passe ainsi que le résultat du premier tour, le ou les noms des conseillers élus le cas échéant et le nombre de sièges restant à pourvoir au second tour. 12