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Le Cri du Port le lieu de tous les Jazz(s)
Edito
Une nouvelle saison Jazz Marseille s’annonce, celle-ci est un peu particulière car l’association fêtera
ses 35 ans en février 2016 !
Des centaines de concerts, des milliers de musiciens et de spectateurs accueillis !
Aujourd’hui, Le Cri du Port fait partie des acteurs jazz du paysage hexagonal, sollicité par de nombreux artistes français et internationaux.
Si nous pouvions recevoir tous les musiciens qui se proposent, nous aurions une programmation
continue tous les jours de l’année, mais nous avons la tache délicate de faire des choix en tenant
compte de multiples paramètres.
C’est en pensant aux attentes de nos chers spectateurs et l’envie de solliciter leur curiosité que nous
prenons parfois le soin d’inviter des musiciens qui ne sont pas encore connus, mais dont l’intérêt
artistique nous semble pertinent. La liste serait longue si nous devions citer tous ceux que nos avons
eu le plaisir de faire découvrir, dont les noms aujourd’hui sont sur les affiches des grands festivals, et
théâtres nationaux.
Soutenir les productions de nos artistes régionaux est aussi une part importante de nos actions,
comme faire l’écho de leurs parutions discographiques ou de leurs projets auprès du public et des
professionnels.
Sans oublier de proposer des valeurs incontournables du jazz, pour que le jazz se conjugue à tous les
temps et tous les modes.
Notre démarche culturelle, artisanale, résistante, mais non moins professionnelle prend tout son
sens dans le paysage mondial hyper-industrialisé et formaté par les pouvoirs financiers qui imposent
leurs diktats jusque dans les programmations musicales.
Une nouvelle saison et sur le point de commencer, nous espérons qu’elle saura retenir votre attention et vous contenter.
Le Cri du Port
Le lieu de tous les Jazz(s)
8, rue du Pasteur Heuzé 13003 Marseille
Tel : 04 91 50 51 41 www.criduport.fr
contact presse : [email protected] - Tél : 06 08 91 61 13
CALENDRIER SEPTEMBRE À DÉCEMBRE 2015
Septembre
Vendredi 18 septembre
Jeudi 24 septembre Camion Pizza
Jean-Jacques Élangué & Le Just Friends Jazz Lab
Octobre
Jeudi 1er octobre
Samedi 3 octobre
Jeudi 8 octobre
Jeudi 15 octobre
Vendredi 16 octobre
Samedi 17 octobre
Yonathan Avishai Modern Times trio
Christian Brazier quartet album 7ème Vague // Moulin à Jazz - Vitrolles
Guilhem Flouzat quartet avec Ben Wendel
The Jeff Ballard trio avec Lionel Loueke & Chris Cheek
Salubrité Publique spectacle de la C° Le temps de Dire
Salubrité Publique spectacle de la C° Le temps de Dire
Novembre
Tous nos concerts de novembre s’inscrivent dans le cadre de la 9e édition de Jazz sur la Ville
Jeudi 5 novembre Samedi 7 novembre
Mardi 10 novembre Samedi 14 novembre Jeudi 19 novembre
Samedi 21 novembre
Gary Bartz quartet
SoulJazz Orchestra // Le Cabaret Aléatoire
Simon Bolzinger Compagnie Tambor y Canto
Rita Marcotulli – Luciano Biondini // La Criée - 22e édition des Rencontres d’Averroès
Gaël Horellou quartet
Film Paco de Lucía - La Búsqueda / concert Juan & Enrique Santiago //
L’Alhambra Cinémarseille
Jeudi 26 novembre
Takt // Olivier Lalauze sextet
Décembre
Jeudi 3 décembre
Jeudi 10 décembre
Gilad Hekselman trio
Didier Labbé quartet Écho à Abdullah Ibrahim
Les communiqués de presse, visuels et autres éléments pour la communication sont disponibles en téléchargement sur le site
du Cri du Port : cliquer ici
www.criduport.fr/téléchargements.html
Chaque trimestre la playlist des artistes programmés est à écouter sur Deezer
ansi qu’un choix de vidéos à visionner sur la chaîne YouTube du Cri du Port
Le Cri du Port
Le lieu de tous les Jazz(s)
8, rue du Pasteur Heuzé 13003 Marseille
Tel : 04 91 50 51 41 www.criduport.fr
contact presse : [email protected] - Tél : 06 08 91 61 13
CAMION PIZZA
Claude Vesco - guitare
Philippe Pes - piano
Bernard Abeille - contrebasse
Claude Mennillo - batterie
communiqué
CAMION PIZZA
VENDREDI 18 SEPTEMBRE
20:30 le cri du port
Créé dans les années 80, l’amitié et la musique animent les membres du groupe Camion
Pizza, qui nous préparent un nouvel album. 25 années se sont écoulées depuis la sortie
du 1er album ! C’était hier.
Claude Vesco - guitare
Philippe Pes - piano
Bernard Abeille - contrebasse
Claude Mennillo - batterie
Ces deux rythmiciens inspirés donnent au quartet les
fondations indispensables à l’expressivité et à la liberté
d’improviser qui caractérisent Claude Vesco, guitariste,
et Philippe Pes, pianiste, qui tous deux tissent la toile harCe groupe de marseillais exilés à Aix-en-Provence s’est monique sur laquelle s’impriment des chorus qu’on situe
constitué au cours des années 80, et les quatre musi- sans hésiter dans le style hard-bop et portent l’essentiel
ciens qui en font partie depuis cette période ont tou- des improvisations qui donnent au groupe sa respiration.
jours su garder entre eux un contact musical et amical,
Un album enregistré par le label «Toufou» en 1990 avait
réussissant chaque année à se retrouver pour quelques
réuni trois des quatre musiciens (Abeille, Pes, Vesco)
dates, construisant à travers plusieurs décennies un parpour un travail centré sur les compositions de Claude
cours musical et humain sortant de l’ordinaire.
Vesco et Philippe Pes, le batteur qui participa à ce CD intitulé Sarong était Alain Couffignal. 25 ans après, Claude
Bernard Abeille, contrebassiste réputé de part le monde
Mennillo reprend sa place pour un nouveau projet d’alpour ses spectacles Baleine et Contrebasse, passe une parbum qui devrait permettre à ce quartet de se retrouver
tie de son temps en voyage pour son travail artistique, il
et d’enregistrer des standards et de nouvelles composia gardé au fil des ans une identité musicale centrée sur
tions.
le jazz, avec, depuis ses débuts sur l’instrument une prédilection pour le style de Charlie Mingus. Il apporte à ce
quartet ses compositions, sa «zénitude» et sa capacité à Du 14 au 18 septembre, Le Cri du Port accueillera les
proposer, en appui sur Claude Mennillo, batteur attentif musiciens de Camion Pizza en résidence pour leur peret original, des bases rythmiques à la fois riches, ouvertes mettre d’enregistrer et présenter leur nouveau réperet solides.
toire au public marseillais.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
8 rue du Pasteur Heuzé. 13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Tarifs :
normal 13€ / réduit 10€ (hors frais de location)
Album à écouter : Sarong / Toufou
Bernard Abeille
photo : D.R.
Billetterie :
www.criduport.fr / www.digitick.com
Fnac, Carrefour, Géant
Espaceculture_Marseille
Le Cri du Port saison Jazz Marseille 2015/2016 septembre à décembre / contact presse : 06 08 91 61 13 [email protected]
JEAN-JACQUES ÉLANGUÉ
& LE JUST FRIENDS JAZZ LAB
Jean-Jacques Élangué - saxophone ténor
Jobic Le Masson - piano
Peter Giron - contrebasse
John Betsch - batterie
JEAN-JACQUES ELANGUÉ
& LE JUST FRIENDS JAZZ LAB
JEUDI 24 SEPTEMBRE
Compositeur de jazz accompli et maître sans concession de son instrument, le
saxophone, Jean-Jacques Élangué a investi jusqu’au sommet cette musique du
XXe siècle à l’écoute des dieux du panthéon, Charlie Parker, Lester Young, Coltrane, plus tard Monk et bien d’autres.
Le Just Friends Jazz Lab
Jobic Le Masson - piano
Sa musique à lui, ses tripes ou «Missounga» dans une
langue africaine qu’il affectionne, plonge toujours au
plus profond d’une tradition jazz où les codes de l’écriture sont traversés de fulgurances, de contrastes, et de
surprises.
Réfractaire à la routine des gammes de premier prix de
conservatoire qu’il est, il initie son concept de laboratoire musical vivant et transparent : le Just Friends Jazz
Lab. Cette créativité nomade prend pied au bar O’Paris
à Belleville en région parisienne, pour mieux s’étendre
vers l’inconnu, l’incertain, l’improvisation.
Accompagné des excellents Jobic Le Masson (piano),
Peter Giron (contrebasse), John Betsch (batterie), JeanJacques Élangué et son saxo de pèlerin revient à Marseille, ville qu’il connaît très bien, question d’y poursuivre
son work in progress.
Le Jazz vivant n’est-il pas aussi ce nomade’s land fait de
voyages, déplacements, itinérances, poésie de l’instant ?
Ici artistes talentueux d’horizons divers, vieux complices
ou invités d’un jour, se côtoient le moment d’une inoubliable session, tous réunis derrière la bannière d’un jazz
de la tradition, certes, mais avec bonheur désacralisé,
revivifié.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
8 rue du Pasteur Heuzé
13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Tarifs : normal 15€ / réduit 12€ (hors frais de location)
Billetterie :
francebillet.com - Fnac, Carrefour, Géant
ticketmaster.fr - Auchan, Cora, Cultura, e.leclerc
www.jeanjacqueselangue.com
Jobic.lemasson.free.fr
Photo : Jean-Baptiste Millot
Album à écouter :This is you / BlangMusic
A lire ici IT de Peter Giron sur Jazz Hot de juillet 2015 :
Né à Clamart le 1er août 1967 de parents Camerounais,
Jean-Jacques Élangué étudie la musique en autodidacte
pendant ses études au collège Vogt de Yaoundé (Cameroun). Il développe sa connaissance du Jazz à travers la
musique de Charlie Parker.
Né dans le Bronx, le 2 novembre 1952, Peter Giron est
installé en France depuis près de trente ans, il est l’un
des animateurs de cette communauté américaine dont
le dynamisme est essentiel à la vitalité du jazz à Paris.
Accompagnateur solide et énergique, c’est d’abord aux
côtés de ces «pairs» qu’on le retrouve: Sarah Morrow,
Kirk Lightsey, Sylvia Howard et surtout son vieux complice John Betsch (autre pilier de clubs !) dans le trio de
Jobic Le Masson (p), avec lequel il avait sorti l’album Hill
(Enja, 2007). Ce trio accueille désormais régulièrement
Steve Potts (ts), ce qui devrait donner lieu à un nouvel
enregistrement.
Peter Giron participe ainsi à de nombreuses formations:
celle de Rick Margitza (ts) – avec Jeff Boudreaux (dm) et
Manuel Rocheman (p) – qui est chaque mois en résidence
au Baiser Salé et qui vient de passer en studio; celle de
Denise King (voc) qui se produira en juillet au Sunside
avec Chris Culpo (p) et Tony Match (dm); celle de Julien
Coriatt (p) avec Viktorija Gecyté (voc); et le quartet de
Ricky Ford (ts) avec Tom McClung (p) et Doug Sides (dm).
Le contrebassiste sera également du disque de Philippe
O’Neill (dm) avec Ronald Baker (tp, voc), et travaille sur
un autre projet discographique avec Francis Bourrec (ts)
et Olivier Hutman (p).
De 1990 à 1993, il participe au festival «Jazz sous les Manguiers» de Yaoundé où il fait la rencontre de Pharoah
Sanders.
Il revient en France en 1992 pour participer au spectacle
Dom Juan mis en scène par Alexandre Fabre. Il compose
également la musique de la pièce d’Yves Borrini Pourquoi j’ai mangé mon Père d’après Roy Lewis, et enregistre avec le groupe Tchokola du batteur Brice Wassy.
Jean-Jacques intègre la classe de Jazz du CNR de Marseille et décroche un premier prix en 1995 avec le saxophoniste Raphaël Imbert. Il fonde la même année le
Hemlé Orchestra qui se produira à la cité de la musique
de Marseille, au Théâtre des Salins à Martigues, au festival International des Big Bands d’Aix-en-Provence, ou
encore à la Fiesta des Suds de Marseille en 1996...
En 1996, il tourne avec le batteur Brice Wassy en Afrique
du Sud et à Berlin, et enregistre à Londres. Jean-Jacques
part au Cameroun avec le quartet de la pianiste Claudine
François, avec laquelle il continue de se produire, en duo
ou dans différentes formations (Métis Quintet notamment).
Il enregistre en Irlande et tourne en Europe, au Maroc,
à Singapour et en Chine avec le groupe Accoules Sax. Il
joue avec son propre trio et fonde un quartet de saxophones.
Jean-Jacques Élangué obtient le diplôme d’état de jazz, et
enseigne aux conservatoires de Marseille puis de Niort.
Il réalise une prestation exceptionnelle avec plus de 100
musiciens sous sa direction.
Discographie sélective :
Brice Wassy, Nga Funk - 1995 / Melt2000
Brice Wassy, Shrine Dance - 1997 / Meltt2000
Jean-Jacques Elangué, Héritages - 1998 / autoproduction
Claudine Francois Metis Quintet - 2002 / Amazon autoproduction
Boogaloo Baby, #1, Philippe Combelle - Jeff Hoffman - Philippe Petit - 2004 / Zzz’t Productions
Jean-Jacques Elangué & Los Africanos, Missounga, Nicolas Genest - Mario Canonge - Linley Marthe - Félix Sabal
Lecco, - 2005 / Zzz’t Productions
Philippe Combelle, Tribute to the Mother of Groove, Nicolas Genest - Hervé Meschinet - Mina Agossi - Gilles Renne
- Tom McClung - Linley Marthe - Guy N’Wuogang - 2005 /
Zzz’t Productions - 2005)
Jean Jacques Elangué et Tom McClung, This is you - 2010
/ BlangMusic
Professeur à l’IMEP (International Music Educator of
Paris, ex-American School), son activité d’enseignant
ne lui a pas permis de développer sa carrière sur le plan
international, bien qu’il soit dans son élément avec les
artistes de cette dimension: Luther Allison (avec lequel
il a tourné pendant quatre ans), mais aussi Kurt Elling,
Dave Liebman, Archie Shepp, Ted Curson et, plus récemment, Steve Turre. Un musicien discret qui n’en est pas
moins une pièce maîtresse pour les meilleurs sections
rythmiques.
Par Jérôme Partage pour Jazz Hot.
IT de Peter Giron sur Jazz Hot de juillet 2015 :
http://www.jazzhot.net/PBCPPlayer.asp?ID=1616367
Jobic Le Mason - piano
Jobic Le Masson, né en France en 1968, débute son éducation musicale à l’âge de 7 ans au conservatoire. Dès ses
16 ans, il s’expatrie aux Etats-Unis pour étudier la théorie
musicale et la composition à la Greenwich High School
dans le Connecticut. En 1987, il rentre à la Berklee School
of Music à Boston et après avoir obtenu un diplôme d’Ingénieur du Son et de Bachelor of Music, il retourne en
France où il vit depuis 1990.
Père de trois enfants et co-propriétaire avec sa femme,
Penelope Le Masson, de la librairie “The Red Wheelbarrow” à Paris, Jobic dédie son temps à la composition,
l’arrangement et l’organisation de concerts avec beaucoup de formations variées allant d’un Jazz traditionnel
à l’improvisation libre.
On le retrouve dans plusieurs projets avec les musiciens de la scène Parisienne tels que Benjamin Duboc,
Didier Lasserre (avec qui ils viennent de sortir leur premier album), Aldridge Hansberry, Rasul Siddik, Christine
Flowers, Amy Gamlen, Alexandra Grimal, Jean-Jacques
Avenel, ainsi que des musiciens de passage tels que Roy
Campbell, Hanah Jon Taylor, Jeri Brown... Il joue aussi
avec François Thébèrge, Makoto Sato, Antoine Paganotti, Lucien Johnson, Daniel Erdman, Steve Potts, Thomas
Kpade, Michael Felberbaum, Karl Januska, Jean-François
Pauvros, Sylvain Guérineau.
C’est dans son trio avec Peter Giron et John Betsch que
son travail est principalement centré.
Quelques albums avec John Betsch et Peter Giron aux
côtés de Jobic Le Masson et d’autres musiciens :
In a New Mood - A tribute to Oscar Brown jr - Christine
Flowers - 2010
Trance Atlantic - The MJ Williams Paris project - 2010
Hill - Jobic Le Masson Trio - 2008 / Enja
http://jobic.lemasson.free.fr/home/main.html
John Betsch est né à Jacksonville, (Floride) dans une
famille musicale. Sa mère est organiste et pianiste dans
une église et sa sœur aînée deviendra soprano lyrique.
Il commence la batterie à l’âge de neuf ans, et débute
professionnellement en 1963 à Nashville, aux côtés de
l’organiste Bob Holmes et du trompettiste Louis Smith.
De 1965 à 1967, il étudie à la Berklee School of Music de
Boston, Massachusetts, puis à l’Université du Massachusetts à Amherst, sous la direction d’Archie Shepp et
de Max Roach. John Betsch devient ensuite à son tour
enseignant à l’Université d’Amherst, et prend part à des
programmes éducatifs pour les détenus des prisons de
ce même État.
En 1974, il se produit au Newport Jazz Festival aux côtés
de Max Roach.
Il s’installe à New York en 1975, enregistre et se produit
avec, entre autres, Jeanne Lee, Abbey Lincoln, Dewey
Redman (tournée en 1979), Archie Shepp, Abdullah Ibrahim et Mal Waldron.
En 1985, Betsch s’installe à Paris et devient le batteur
attitré de Steve Lacy. Il joue et enregistre aussi avec Mal
Waldron, Sarah Morrow, Jim Pepper et Claudine François.
John Betsch est un batteur à la frappe sèche et précise,
et sa maîtrise de la polyrythmie en fait l’un des héritiers
directs de Max Roach.
THE JOHN BETSCH SOCIETY - Alive in Paris / Tribal Disorder Records - Sept. 2010
Claudine François :
2004 : Lonely Woman / 1992 : Healing Force / 1989 : Camargue
Jim Pepper :
1990 : Remembrance / 1989 : Flying Eagle - Live at New
Morning / 1988 : The Path /1987 : Dakota Song
Mal Waldron : 1990 : Spring in Prague / 1989 : Live at Utopia Vol. I & II / 1988 : No More Tears : For Lady Day / 1987
: Mal, Dance & Soul Simon Nabatov / 1988 : Inside Lookin
Out
Marty Cook :
1997 : Theory of strange / 1987 : Red, White, Black and
Blue / 1986 : Nightwork
Steve Lacy :
1999 : Monk’s Dream / 1996 : Bye-Ya / 1995 : Revenue /
1993 : Clangs / 1993 : Vespers / 1993 : We see / 1990 : Itinerary / 1989 : Anthem
Dollar Brand :
1979 : Africa - Tears and Laughter / 1977 : The Journey
Alain-Jean Marie : 2000 : Lazy Afternoon
Archie Shepp : 1981 : I Know About the Life
YONATHAN AVISHAI
MODERN TIMES TRIO
Yonathan Avishai - piano
Yoni Zelnik - contrebasse
Donald Kontomanou - batterie
YONATHAN AVISHAI
MODERN TIMES TRIO
JEUDI 1er OCTOBRE
Concert avec le soutien du Consulat Général d’Israël de Marseille et du Centre Fleg.
« Yonathan est un de ces rares musiciens véritablement imprévisibles... Il donne
toujours l’impression d’être libre et de pouvoir transformer tout en jeu. »
Yaron Herman, pianiste.
Le pianiste franco-israélien présente Modern Times son premier volet en trio. Modern Times Trio
Remarqué auprès de son ami le contrebassiste Omer
Avital, le pianiste Yonathan Avishai possède un style
original qui réactive les éléments principaux du jazz - le
swing, le blues, l’improvisation - de manière très personnelle.
Marqué par l’influence de musiciens tels que John Lewis,
Duke Ellington, Ahmad Jamal ou Bobby Timmons, pianistes de la note juste au jeu économe, il revient aux fondements et à l’essence du trio, en cheville avec le contrebassiste Yoni Zelnik et le batteur Donald Kontomanou.
Convaincu que le minimalisme est un moyen d’observer
le mouvement et d’aller à l’essentiel, Yonathan Avishai
développe sous le concept de
Lieu du concert :
Le Cri du Port
8 rue du Pasteur Heuzé 13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Billetterie :
Modern Times une réflexion sur les cycles, le son et le jeu
de la musique qui lui sert à élaborer un univers riche en
émotions et en couleurs.
Qu’il revisite des thèmes anciens de l’histoire du jazz
(Cornet Chop Suey de Louis Armstrong, I Got It Bad de
Duke Ellington) ou qu’il interprète ses propres compositions aux mélodies évocatrices, il accède à un niveau de
poésie et de simplicité devenu rare.
Adepte du « less is more », marqué par l’art du peintre
Mark Rothko, le pianiste recherche à travers une épuration de moyens à donner à chaque note une raison d’être
et au son toute son ampleur.
En parfaite connivence avec ses partenaires, il offre dans
ce premier volet en trio de ses explorations musicales,
un exemple particulièrement abouti de ce que le jazz
permet de faire surgir comme source d’émotion avec un
matériau parfois réduit à sa quintessence.
yonathanavishai.com
Photo : Eric Garault
Album à écouter : Modern Times Paru le 10 mars 2015 chez
Jazz & People
écouter ici
Vidéo sur youtube
Représentant de la nouvelle vague du jazz israélien,
le pianiste franco-israélien Yonathan Avishai s’est fait
connaître au sein du groupe Third World Love dont il
était l’un des cofondateurs avec le trompettiste Avishai
Cohen, le contrebassiste Omer Avital et le batteur Daniel
Freedman (cinq albums). Après des débuts à Tel Aviv où
il a eu l’occasion d’accompagner des musiciens tels que
Walter Blanding ou Marcus Printup ainsi que Arnie Lawrence, mentor de nombreux jazzmen israéliens, il s’est
installé en France. Membre du quintet d’Omer Avital, il
se produit aussi régulièrement avec The Three Cohens.
Baignant dans la musique depuis la petite enfance entre
les États-Unis, la Suède et la France grâce à sa mère, Elisabeth, chanteuse qu’il accompagne sur disque et sur
scène, Donald Kontomanou s’est affirmé comme l’un
des batteurs les plus talentueux de la jeune génération.
A New York entre 1995 et 2001, il a aiguisé son jeu auprès de musiciens tels que J.D. Allen, avant de côtoyer à
Paris des musiciens tels que Laurent Coq, Julien Lourau
ou Jean-Michel Pilc. Il est membre des formations de la
pianiste Leïla Olivesi, du trio de Laurent de Wilde et du
quartet de David Linx et Diederik Wissels.
« Yonathan is one of my favorite musicians alive, and his
voice needs to be heard. His music is deep and soulful, different than anything you might have heard. Please support
by donating and sharing this. » Avishai Cohen, trompettiste.
« Si deux jeunes musiciens aussi exigeants que le
contrebassiste Yoni Zelnik et le batteur Donald Kontomanou sont allés chercher (à moins que ce ne soit le
contraire) le pianiste Yonathan Avishai, c’est qu’il y a
une «chimie» dans l’air, «a chemistry», comme disent
les jazzmen.
On est intrigué... »
Michel Contat, Télérama
Né en 1975 à Haïfa en Israël. Il commence par jouer de
la basse électrique pendant son adolescence dans des
groupes de rock. Il étudie ensuite le jazz et la contrebasse à l’Académie de Musique de Jérusalem et part en
1995 à Paris pour étudier au CIM.
Depuis, il s’est installé à Paris et se produit sur la scène
française et internationale.
Remarqué auprès de la chanteuse Youn Sun Nah, il
s’est distingué dans de nombreuses formations dont
le quartet Uncaged de Sophie Alour, le Time Out Trio
de Géraldine Laurent ou encore au sein du Paris Jazz
Underground, collectif dont il est l’un des membres fondateurs. Actuellement il se produit régulièrement avec
le trio Triveni du trompettiste Avishai Cohen et dans le
quartet Lucky Dog de Borey/Loustalot.
Il a participé à plus de 50 disques (Youn Sun Nah, Géraldine Laurent, Sophie Alour, Laurent Coq, Sandro Zerafa,
David Prez, Pierre de Bethmann…), et se produit avec
des artistes tels que Dave Douglas,Billy Hart, Ari Hoenig,
Aldo Romano, Stéphane Belmondo, Rick Margitza, Nelson Veras, Gilad Hekselman, Baptiste Trotignon…
La presse sujet de Modern Times :
« Toutes les grandes promesses sont tenues dans ce
disque absolument sublime » Djam
« Enivrante , excitante , cette musique possède un
souffle , une respiration constante. On l’applaudit
sans réserve » Jazz Magazine
« Yonathan livre dans Modern Times une déambulation poétique au royaume des cycles, et une réflexion
acérée sur ce que doit être l’essence de la musique. »
Jazz News
« Modern Times est captivant d’un bout à l’autre… On
n’a pas fini de parler de Yonathan Avishai, l’homme
qui fait chanter son piano et danser les rythmes. »
Muziq
CHRISTIAN BRAZIER QUARTET
SORTIE DE L’ALBUM
SEPTIÈME VAGUE
Christian Brazier - contrebasse, composition
Christophe Leloil - trompette
Perrine Mansuy - piano
Dylan Kent - batterie
CHRISTIAN BRAZIER QUARTET
communiqué
SORTIE DE L’ALBUM SEPTIÈME VAGUE
SAMEDI 3 OCTOBRE
21:00 le moulin à jazz - vitrolles
Concert coproduit par Le Cri du Port et Charlie Free
Après avoir rendu hommage avec succès au célèbre navigateur et écrivain
Bernard Moitessier dans son précédent disque Circumnavigation, le contrebassiste
et compositeur Christian Brazier publie Septième Vague, son septième album personnel, enregistré aux studios de La Buissonne, pour le ACM jazz label.
Christian Brazier quartet
Christophe Leloil - trompette
Constitué pratiquement avec le même équipage, ce
quartet de jazz acoustique est formé de musiciens aux
fortes personnalités, dont la complicité s’est renforcée
au fil des concerts.
L’esprit de la nouvelle vague, où un vent de liberté et de
nouveauté soufflait sur la création, est la source d’inspiration principale de ces nouvelles compositions. Et
comme à chaque fois, c’est aussi l’évocation de la mer,
lieu des grands espaces, qui sert de fil conducteur onirique à l’ensemble du projet. D’après les scientifiques,
dans le cycle des vagues, la 7ème est la plus forte, la plus
belle, la plus libre…
Émotions et mélodies sont toujours au rendez-vous...
Parution en septembre 2015 du nouvel album
Septième Vague / ACM jazz Label.
Avec le jeu incisif et brillant de Christophe Leloil, l’univers lyrique et mélodique de Perrine Mansuy, les rythmes
polymorphes et l’éclectisme anglo-saxon de Dylan Kent,
orchestrées de mains de maître sur sa contrebasse, les
nouvelles compositions de Christian Brazier prennent
tout leur essor.
Lieu du concert :
Le Moulin à Jazz
Domaine de Fontblanche. 13127 Vitrolles
infoline Charlie Free : 04 42 79 63 60
[email protected]
http://www.charliefree.com
Ecouter : Septième Vague - ACM jazz label /socadisc
Photo : Patrick Glotain
Chronique de l’album Circumnavigation sur Citizenjazz.com
Tarifs : normal 12€ / réduit 10€
(hors frais de location)
Billetterie : auprès de Charlie Free
Fnac, Carrefour, Géant
A partir de 1978, il collabore avec de nombreux artistes du
bassin méditerranéen... et des musiciens de jazz : Charles
Tyler, Denis Charles, Sunny Murray, Steve Potts, John
Betsch, Famoudou don Moye, Barre Phillips, André Jaume,
Philippe Deschepper...
Pendant de nombreuses années il joue régulièrement
dans les festivals internationaux et enregistre au sein du
Akosh S. Unit
Après avoir obtenu le premier prix de la classe de jazz de
Philippe Renault, au Conservatoire de Marseille, ainsi que le
Prix du Département, Perrine Mansuy enregistre un premier
album en Trio, où elle interprète ses compositions personnelles : Autour de la Lune, réédité sous le nom la Nuit par les
Ateliers Sawano, au Japon. Elle forme peu après le Quartet
Maneggio, qui remporte en 2000 le troisième prix orchestre
du Concours de Jazz à la Défense, et qui enregistre un premier CD en 2001. En 2002, elle est compositeur et interprète
dans « Le baiser des Louves », spectacle de danse contemporaine de la Compagnie Yun Chane, et participe à de nombreux
projets musicaux aux cotés de Philippe Canovas (CD Contres
Favorables 2003), Christian Mariotto, Bernard Santacruz,
Bernard Jean (CD On both Sides 2003), Isabelle Wolfman,
Rémi Charmasson..
Après une collaboration musicale avec la chanteuse Valérie
Perez, le duo enregistre son premier album Verso. Leur passage au Festival de Crest est très remarqué (2ème Prix du
Concours Vocal), et de nombreux concerts suivront. Le duo
devient trio en 2004 avec la venue de Jean-Luc Difraya aux
percussions. Baptisé Délubies, le trio enregistre l’album Le
voyage d’Alba.
Contactée en janvier 2006 par le producteur Alan Douglas,
légendaire partenaire d’Eric Dolphy, Miles ou Jimmy Hendrix,
elle enregistre deux albums avec François Cordas, sous le
nom Le Duo, sur les musiques de Jacques Brel et de Charles
Aznavour. (Le Duo plays Jacques Brel, Le Duo plays Charles Aznavour. Douglas records / Spirale AD13 – 2006).
C’est aux côtés d’Eric Surménian à la contrebasse et de
Joe Quitzké à la batterie que Perrine Mansuy enregistre un
nouvel album très personnel, en trio : Mandragore & Noyau
de Pêche, initié par Jean-Paul Ricard, et produit par le label
Ajmiseries en 2007.
Elle participe au projet hommage à Jimi Hendrix, The Wind
Cries Jimi de Rémi Charmasson (g),
2015, sort son nouvel Album Rainbow Shell /Laborie jazz.
Depuis plus de vingt ans, il développe également un travail autour de ses compositions, avec ses propres groupes,
autour d’un jazz mélodique. Sept albums témoignent de
ses projets à ce jour : Septième Vague (2015), Circumnavigation (2010), Sazanami (2007), Mémoire Vive (2004), Lumière
(2002), Le temps d’un Rêve (1999), Pérégrinations ( 1997).
Vous avez pu le retrouver derrière sa contrebasse en
Europe : Festival de Sziget (Budapest-Hongrie), Festival
de Leipzig (Allemagne), Festival Jeunesse de Vienne (Autriche)..., au Japon : (Cap-House à Kobé, Université de Kyoto...), en Russie (Festival Long Arms de Moscou, Aposition
Musical Forum de Saint-Petersbourg)... en France : Festival de la Villette (Paris), Radio-France (Paris), Sons d’hiver
(Val de marne), Fête de l’Humanité (La Courneuve), Nancy
Jazz Pulsations, festival de Montpellier et de Radio-France,
Jazz sur son 31 (Toulouse), Flâneries musicales de Reims...
et dans bien d’autres lieux.
Il a fait ses études en classe de Jazz au Conservatoire National de Région de Marseille avec Guy Longnon.
Christophe Leloil - trompette & bugle
Après avoir essayé le piano, il adopte la trompette à 18 ans.
Il étudie au Caen Jazz Action puis au CRR de Caen dont il
sort avec un prix en 1997.
Il a joué notamment avec Emmanuel Bex, Pete King, Alain
Jean-Marie, Stefano Di Battista, Serge Lazarevitch, Siegfried Kessler, Éric Barret, Sophie Alour, Pierrick Pédron,
Denis Leloup, Gilles Naturel, Karl Jannuska, Géraldine Laurent... et dans les Bigs Bands de Maria Schneider, d’Albert
Mangelsdorff (Franco-allemand de Jazz de 1997 à 1999) ou
Antoine Hervé (UMJ band en 2002). Il est aussi un collaborateur régulier des projets du saxophoniste Raphaël
Imbert.
Il a participé à la musique des téléfilms Malaterra (2004
) et Liberata (2005), de l’écrivain et réalisateur Philippe
Carrese.
Il dirige en 2008 un sextet qui relit le répertoire enregistré
par Booker Little à la fin de sa vie en 1961.
Son disque E.C.H.O.E.S. enregistré en sextet avec Thomas
Savy, Carine Bonnefoy, Raphaël Imbert, Simon Tailleu et
Cédrick Bec est sorti en 2009 chez AJMI Séries. Il est salué
par la critique.
Il sort en 2013, Line4, qui propose une sorte de voyage à
travers divers pays jazzistiques. Figurent sur ce disque Carine Bonnefoy, Eric Surmenian et André Charlier. Le disque
est apprécié par la critique.
Il participe également au big band Attica Blues d’Archie
Shepp au sein duquel il côtoie Ambrose Akinmusire, Famoudou Don Moye, Tom McClung, Stéphane Belmondo,
Reggie Washington ou Darryl Hall.
A l’âge de 17 ans Dylan quitte l’Australie pour une tournée
en Europe avec le groupe d’Electro Jazz Night Z. Ils jouent en
Suisse, Holland, Allemagne, Angleterre, France, Italie et Espagne. Il retourne en Australie où il se produit avec plusieurs
groupes de jazz et musique actuelle (Mussikki Oy, The Big
One, eSkud Jazz, Freeboppers, et Phat) et plusieurs des meilleurs musiciens Australiens (Ted Vining, Paul Grabowski, Bob
Sedegreen, Mark Simmonds, Ren Walters...).
En 1999, il s’installe en Europe ou il enseigne la batterie dans
plusieurs écoles de musiques et anime de nombreux stages
batterie et percussions en France, Suisse et Angleterre.
Batteur avec des musiciens internationaux comme Bill Frisel, Steve Coleman, Cecil Taylor, Jorge Rossi, Liza Minelli, Ben
Aronov et Flavio Boltro et Français : Christian Escoudé, David
Reinhardt, Alain Mion, Georges Arvanitas, Marcel Zanini,
Henri Florens.
En 2004, il crée et réalise la musique pour Tristan and Isolde
en Autriche avec A.B.C.Dance au Festspiel Haus.
Création du groupe de Lynda Kent (batterie, percussions,
paroles, compositions et arrangements).
Formation: BAC + 3 Bachelor of Arts en Musique (Victorian
College of the Arts). Médaille d’or au Conservatoire de Aix-enProvence et 2 ans au Conservatoire de Marseille.
GUILHEM FLOUZAT QUARTET
AVEC BEN WENDEL
Ben Wendel - saxophone ténor
Laurent Coq - piano
Desmond White - contrebasse
Guilhem Flouzat - batterie
GUILHEM FLOUZAT QUARTET
AVEC BEN WENDEL
communiqué
JEUDI 8 OCTOBRE
« Ce qui est arrivé de mieux au jazz français depuis un bout de temps »
Vincent Bessières, JazzNews.
Installé depuis 6 ans au coeur de la scène New-Yorkaise, Guilhem Flouzat n’est
pas un batteur comme les autres. Inspiré par l’écriture et le cinéma, il présente
avec son deuxième album Portraits, son projet le plus ambitieux à ce jour : décrire les musiciens qui l’entourent, ses accompagnateurs et inspirateurs.
Guilhem Flouzat quartet
Ben Wendel - saxophone ténor
Laurent Coq - piano
Guilhem Flouzat - batterie
Empruntant aux univers musicaux de chacun d’eux, aux
nuances de leur personnalité, il propose une suite de
neuf morceaux pleins de sensibilité et de surprises, entre
la pointe du jazz New Yorkais et Francis Poulenc.
Le saxophoniste Ben Wendel apporte son incandescence à tout l’album, tandis que l’étoile montante Becca Stevens vient chanter deux chansons composées et
écrites par le leader. L’album sera accompagné d’un recueil de portraits écrits complétant chacune des pistes.
Guilhem Flouzat a collaboré notamment avec Tigran
Hamasyan, Cyrille Aimée, Lionel Loueke, Jacques
Schwartz-Bart, Gilad Hekselman et Greg Osby.
A ses côtés des musiciens d’origines différentes qui
font de belles carrières en tant que leader. Ben Wendel saxophoniste canadien installé à NY, membre
fondateur du groupe Kneebody (signé chez Concord
Records), a été nominé aux Grammy Awards. Laurent
Coq, originaire d’Aix-en-Provence vit entre Paris et
NY, avec plus de 11 disques en leader, il compose aussi
pour le cinéma, et collabore avec Julien Lourau, Miguel
Zenon ou encore Pierrick Pedron. Quant à Desmond
White, contrebassiste australien, il fait partie des plus
sollicités de la scène new yorkaise. Très remarqué aussi
à la tête de son propre groupe, il puise son inspiration
dans les mondes du jazz, de la pop-rock et de la musique folklorique.
A propos de l’album précédent : One Way... Or Another
NOUVEL ALBUM Portraits
chez Sunnyside/ Naïve - Parution prévue pour le
15/09/2015
« Une musique que l’on écoute et que l’on réécoute.»
Franck Bergerot, Jazzman/ Jazz magazine.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
guilhemflouzat.com
laurentcoq.com
benwendel.com
deswhite.com
Photo : Tayla Nebesky
Billetterie :
Albums à écouter : One Way... Or Another, et Portraits
« De superbes compositions. Un coup de maître »
Jean-Marc Gelin, Les Dernières Nouvelles du Jazz.
IT à lire sur les DNJ ici
Ben Wendel - saxophone
Laurent Coq - piano
Ben Wendel est né à Vancouver, au Canada et a grandi à
Los Angeles. Il vit actuellement à Brooklyn, NY. Il poursuit une carrière variée comme interprète, compositeur,
producteur et chef d’orchestre.
Il participe à de nombreuses tournées nationales et internationales avec des artistes tels que Ignacio Berroa,
Tigran Hamasyan, Gerald Clayton, Eric Harland, Taylor Eigsti, Snoop Dogg et l’artiste anciennement connu
comme Prince.
Ben est un membre fondateur du groupe Kneebody, qui
a été nominé aux Grammy Awards, actuellement signé
chez Concord Records.
Il a été primé à plusieurs occasions : en tant que compositeur, il a reçu un ASCAP Award Jazz, par la Chamber Music
America en 2008 et 2011 et plus récemment a reçu le prix
Victor Lynch-Staunton du Conseil des Arts du Canada.
En 2009, il a également co-écrit le score pour l’adaptation de Brief Interviews With Hideous Men de David Foster
Wallace, réalisé par John Krasinski.
Ben Wendel a eu l’honneur de travailler avec le chef Kent
Nagano dans la production d’une série de concerts pour
le Festspiel plus à Munich. Depuis 2008, il a produit une
série de performances multi-genre sur la scène du Broad
à Santa Monica, en Californie. Récemment, il a été nommé à la tête de leur Jazz et Blues initiative, qui comprendra la production et le développement des ces styles de
musiques à Los Angeles. Dans le cadre de cette nomination, Ben a participé à la création d’un conseil artistique
qui comprend des sommités comme Quincy Jones, Herb
Alpert et Luciana Souza. Son activité de producteur est
distinguée par la nomination aux Grammy Awards de l’album Life Forum du pianiste Gerald Clayton sur Concord
Records.
Ben Wendel enregistre chez Sunnyside Records et
Concord Records, deux albums solo, Simple Song (2009)
et Frame (2012), et un projet en duo avec le pianiste français-américain Dan Tepfer intitulé Petites Constructions
(2013). Un troisième album solo prévu pour une sortie en
2015. Ben est un ancien professeur adjoint des études de
jazz à l’USC et un auxiliaire de cours à la New School à
New York. Son activité de pédagogue a toujours été importante dans sa carrière avec plus de 250 masterclasses.
Ben Wendel a eu l’honneur de diriger une re-création de
Bird With Strings au Jazz Lincoln Center avec en invités :
Charles McPherson et Wes «Warm Daddy» Anderson.
Après 10 ans à New York, Laurent Coq est un musicien et
compositeur ayant déjà onze albums à son actif, dont le plus
récent, Lafayette Suite a été co-écrit avec le saxophoniste
Walter Smith III. Il a collaboré avec des artistes comme Julien Lourau, Miguel Zenon ou encore Pierrick Pedron, et écrit
la musique des films Mille Bornes, et Qui Perd Gagne de Laurent Benegui.
En tant leader et co-leader :
Small Constructions - 2013 - Sunnyside
Frame - 2012 - Sunnyside
ACT - 2009 - BJU Records
Simple Song - 2009 - Sunnyside
Né en 1970 à Marseille, il grandit dans la campagne aixoise.
Entre au Conservatoire National de Musique d’Aix-en-Provence en 1980, dans la classe de Mlle Courtin (professeur de
Hélène Grimaud). Obtient son prix en 1988, et part s’installer à Paris pour se consacrer au Jazz. En 1994, il obtient une
bourse d’étude Lavoisier du Ministère des Affaires Etrangères et part pour six mois à New York. Etudie avec Mulgrew
Miller, John Hicks, et surtout Bruce Barth qui va devenir son
mentor et un ami toujours fidèle aujourd’hui.
1997 - Enregistre son premier disque en tant que leader à
New York, Jaywalker. Ecrit la musique de Mauvais Genre
(Laurent Benegui) et de J’irai au Paradis car l’Enfer est ici
(Xavier Durringer). Enchaîne en 1998 avec Mille Bornes de
Alain Beigel.
1999 - Enregistre à New York Versatile avec son quartet, et
Thelonious & Bud Together Again avec le Sextet de Laurence Allison.
2001 - Sortie de Laurent Coq Blowing Trio/Live@the Duc
des Lombards (Grand Prix du Disque Charles Cros 2002).
Monte son nouveau quartet avec Jérôme Sabbagh au tenor,
Brandon Owens à la basse, et Damion Reid à la batterie.
2003 - Enregistre Like A Tree In The City avec son quartet
américain. L’album sort conjointement aux US (Sunnyside)
et en Europe (Cristal).
2004 - Signe la musique de Qui perd gagne ! (Laurent Benegui) enregistré à Sofia pour un orchestre symphonique.
2005 - Sort Spinnin’, premier disque en trio piano/ basse /
batterie, enregistré à New York en novembre 2004 avec le
batteur Otis Brown III et le bassiste Reuben Rogers. Se produit sur la scène du Parc Floral en trio dans le cadre du Paris
Jazz Festival.
2006 - Voyage à Haïti avec Julien Lourau, qui marque la
naissance du Quartet Jacmel. Enregistre The Thing To
Share, son sixième disque en leader, le deuxième avec le
Blowing Trio. Part une semaine au Japon pour se produire
en solo et faire la promotion de Spinnin’ qui sort là-bas sur
le label Wards Records. Voyage au Vietnam avec Julien Lourau, Vincent Artaud et Otis Brown III. Enregistre Uncaged, le
nouveau disque de Sophie Alour.
2007 - Sortie du nouveau disque du Blowing Trio, The Thing
To Share, chez Cristal.
2008 - Arrange et enregistre le nouveau répertoire de Pierrick Pedron Omry. Retourne à New-York pour tout un été
consacré à l’élaboration d’un nouveau répertoire avec ses
anciens complices de Like A Tree in the City. Retourne au
Japon fin Août pour assurer la promotion du dernier disque
du Blowing trio the Thing to share qui sort sur Ward Records
(ainsi que Versatile, Live @ the Duc des Lombards et Like A
Tree in the City). Se produit à quatre reprises dans le cadre
du Tokyo Jazz Festival.
Est appelé par l’altiste Portoricain Miguel Zenon en remplacement de Luis Perdomo pour deux concerts en Pologne et
en Suisse. Enregistre le disque du quartet Saïgon de Julien
Lourau avec le contrebassiste Thomas Bramerie et le batteur Otis Brown III.
(suite biographie de Laurent Coq)
2009 - Sortie du nouveau disque de Pierrick Pedron
Omry en février et concerts avec cette nouvelle formation à deux batteurs. Création de 88TREES, le nouveau
label du pianiste compositeur. Sortie de Eight Fragments
of Summer, le nouveau disque de Laurent en quartet
avec Jérôme Sabbagh, Joe Sanders et Damion Reid.
Participe à deux projets commandités par la fondation américaine Chamber Music Orchestra : l’écriture
d’un répertoire autour de poètes contemporains pour
le saxophoniste américain Sam Sadigursky, et l’écriture
d’une musique inspirée du livre de Julio Cortazar Rayuela
pour le saxophoniste portoricain Miguel Zenon.2010 Enregistrement de Cheerleadrers, le deuxième disque
d’Omry - le groupe Rock-Jazz de Pierrick Pedron - dont
il signe les arrangements et une composition originales,
Toshiko.
Enregistrement du disque de Guilhem Flouzat (One
way... or Another) dont il prend en charge la direction
artistique. En septembre, repart pour deux mois à New
York où il retrouve Miguel Zenon et les membres du
groupe Rayuela (Dana Leong et Dan Weiss) avec lesquels
il enregistre la musique que Laurent et Miguel ont écrite
(basée sur le livre de Julio Cortazar Rayuela) et qui sortira
sur Sunnyside en 2012. À son retour, reprend le chemin
du studio (La Buissonne) pour enregistrer le nouveau
disque du guitariste Maltais Sandro Zerafa qui sortira
début 2011 sur le label du collectif PJU.
2011 - Prend la tête d’un grand débat sur l’état du jazz en
France et la condition toujours plus préoccupante des
musiciens en ouvrant le blog revolution-de-jazzmin. Enregistre le répertoire qu’il a co-signé avec le saxophoniste
Sam Sadigursky, ainsi que le prochain disque de Sam. Les
deux disques sont enregistrés à La Buissonne avec Laurence Allison, Christine Correa, Yoni Zelnik et Karl Jannuska. Retourne à New York pour mixer et masteriser ce
travail avec Katsuhito Naito à Avatar. Enregistre le prochain disque du saxophoniste ténor David Prez encore
- toujours à La Buissonne - en Juillet. Le disque Cheerleaders de Pierrick Pedron sort sur le label ACT.
Ce bassiste Australien est un accompagnateur très demandé sur la scène New Yorkaise, qui a joué avec des
artistes comme le guitariste Gilad Hekselman ou le pianiste Shai Maestro. Il a composé et enregistré un album
de chansons, Short Stories, paru sur le label du pianiste
Fabian Almazan.
Le bassiste et compositeur Desmond White devient
rapidement l’un des contrebassistes des plus sollicité
de New York. Il est aussi remarqué aussi à la tête de son
propre groupe, sa musique puise son inspiration dans les
mondes du jazz, pop / rock et de la musique folklorique.
Originaire de Perth, en Australie occidentale, il est diplômé de l’Académie de West Australian Performing Arts.
Il a joué avec certains des plus grands artistes de jazz
de l’Australie, y compris Joe Chindamo, Kate Ceberano,
Jamie Oehlers, Rumberos, Los Cabrones, Julien Wilson,
Mark Fitzgibbon, Stephen Magnusson, James Muller,
Zac Hurren, Scott Tinkler et beaucoup d’autres. Il fut
membre fondateur de l’ARIA, groupe pop rock de Washington, avec lequel il fit de nombreuses tournées.
Après une carrière couronnée de succès en Australie,
il déménage à New York en 2009 pour poursuivre son
diplôme de maîtrise grâce à l’obtention d’une bourse de
la Manhattan School of Music. Il joue maintenant régulièrement avec des artistes basés à New York, comme :
Gilad Hekselman, Nir Felder, Camila Meza, Shai Maestro, Ari Hoenig, Matt Wilson, Marko Djordevic, Barney
McCall et de nombreux autres.
Il est aussi bénéficiaire d’une bourse d’aide au développement artistique et à la création de la ArtsWA (du Conseil
Australien). Il a été finaliste des National Jazz Awards au
Festival de Jazz Wangaratta en 2008.
Récemment, il a reçu la prestigieuse subvention de
ArtsStart de l’Australia Council, pour lui permettre de
développer son travail de compositeur et d’édition.
Sa création Open Land en 2008, confirme ses talents de
compositeur et l’originalité de son style, Open Land a été
acclamé par la critique par les médias en Australie.
A écouter : Short Stories - Desmond White / Biophilia
Records.
THE JEFF BALLARD TRIO
WITH LIONEL LOUEKE & CHRIS CHEEK
Jeff Ballard - batterie
Chris Cheek - saxophone ténor
Lionel Loueke - guitare
THE JEFF BALLARD TRIO
communiqué
with LIONEL LOUEKE & CHRIS CHEEK
JEUDI 15 OCTOBRE
Jeff Ballard est sans aucun doute l’un des plus grands noms de la batterie jazz
aujourd’hui, il nous présente son projet avec un groupe de très haut niveau : le
prolifique saxophoniste Chris Cheek (membre du Steve Swallow quintet), et le
protégé de Herbie Hancock, le guitariste Lionel Loueke.
Chris Cheek - saxophone ténor
« Derrière Chick Corea, Joshua Redman, Kurt Rosenwinkel, Danilo Perez ou Mark Turner, Jeff Ballard groove,
innove et surprend constamment par ses talents. »
Batteur magazine N° 176
Apprécié aussi sein du groupe Fly créé en 2002 avec
Mark Tuner et Larry Grenadier, le batteur Jeff Ballard est
ces dernières années très présent sur les scènes jazz du
monde.
Il aura pris le temps avant sortir son premier album personnel Time’s Tales enregistré en trio avec Lionel Loueke
et Miguel Zenon (saxophone alto).
Sur la scène du Cri du Port c’est en trio entouré de deux
fortes personnalités du jazz actuel que aurons le plaisir
de le recevoir.
A ne manquer sous aucun prétexte.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
8 rue du Pasteur Heuzé. 13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Time’s Tales couvre un large spectre sonore qui va du jazz
moderne au heavy metal en passant par les rythmes africains et latins. Une volonté de diversité qui reflète le côté
aventureux de ce trio qui a su affiner son style depuis sa
création en 2006.
Cet album arrive aussi à un moment important dans la
vie de Jeff Ballard qui fête cette année là ses 50 ans et
déclare : « J’arrive à la moitié de ma vie, enregistrer ce projet
avec le groupe était en quelque sorte une occasion de faire le
bilan de ma vie jusqu’à aujourd’hui. »
www.jeffballard.com
www.chrischeek.net
www.lionelloueke.com
photo : Andrea Boccalini
Album à écouter : Jeff ballard Trio Time’s Tales / Okeh 2014
Billetterie :
epk du trio à visionner sur youtube
Émission à écouter sur France Musique
Chris Cheek - saxophone
Né en 1963 à New Port Beach en Californie, c’est à Santa
Cruz qu’il grandit. Baigné dès son enfance dans un environnement musical, son père (batteur) lui permet de
découvrir à travers sa discothèque les univers de Count
Basie, Ella Fitzgerald, Louis Armstrong, Sergio Mendez,
Oscar Peterson, Milton Nascimento…
L’apprentissage au collège puis au lycée où il intègre le Big
Band lui permet d’évoluer très tôt en formation, et d’affirmer sa vocation.
Né à St. Louis dans le Missouri, Chris Cheek étudie le saxophone alto dès l’âge de 12 ans. Grâce à l’enseignement musical
proposé par son école et au soutien de sa famille, Chris reçoit
dès ses débuts une solide formation musicale et une bonne expérience de la scène. A la Webster University, Chris se produit
avec des ensembles de jazz et de blues locaux, notamment le
groupe du légendaire saxophoniste Willie Akins et le Bob Kuban Brass. Chris se rend en 1988 au Berklee College of Music où
il étudie auprès de Herb Pomeroy, Joe Viola et Hal Crook.
Chris Cheek s’installe à New York en 1992, dès lors il joue et
enregistre avec Paul Motian, Charlie Haden’s Liberation Music
Orchestra, The Bloomdaddies, et l’Orquestra de Jazz de Matosinhos. Il se produit aussi aux côtés de Bill Frisell, Brian Blade,
Lee Konitz, Carla Bley, Tom Harrell, Wolfgang Muthspiel, Frank
Carlberg, Eliot Zigmund, Brad Mehldau, Kurt Rosenwinkel et
bien d’autres...
Chris joue aussi avec le Brooklyn Boogaloo Blowout, Rudder, le
Quintette de Steve Swallow et Los Guachos de Guillermo Klein.
En plus des nombreux CDs auxquels il a participé en tant que
sideman, Chris a enregistré 4 albums pour Fresh Sound Records. Il réside aujourd’hui à Brooklyn, New York.
Quelques dates :
1988 - 1889, âgé de 25 ans, il tourne et enregistre avec Ray
Charles.
1990 - 1994 s’installe à New York et collabore avec de nombreux
musiciens : Lou Donaldson, Buddy Montgomery, et avec les
groupes Los Guachos de Guillermo Klein, Medicine Wheel de
Ben Allison, et le Kurt Rosenwinkel Band.
Il attache une importance au son et approfondit ses recherches à
travers grâce à ses diverses expériences.
1994-98 tourne avec Diane Schuur aux US et en Europe; ainsi
qu’avec le pianiste Danilo Perez, tout en continuant ses participations comme sideman à NY.
1998-2003, intègre les formations de Chick Corea (Origin, The
New Trio…)
2002 - il créé le groupe Fly avec Mark Tuner et Larry Grenadier,
au sein duquel se développe une réelle interaction et exploration harmonique et sonore, sortant leurs instruments de leurs
rôles traditionnels. L’album Fly (2004) fut plébiscité par la presse
professionnelle et le public.
2003 - c’est principalement dans les formations Elastic de
Joshua Redman, du trio de Brad Mehldau et du groupe de Kurt
Rosenwinkel qu’il apparaît en tournée ou dans les enregistrements.
Il consacre aussi une part de son temps à l’enseignement et intervient auprès d’autres musiciens de la scène new-yorkaise et
internationale.
“ Hearing Tony Williams play with Miles completely changed the way
I played drums. Hearing John Coltrane and Elvin Jones, and listening
to Ornette Coleman’s music changed my whole world. It was like
coming home.”
Jeff ballard Trio Time’s Tales est le premier album personnel du
batteur, qui aura pris le temps de développer son art tout au long
de sa carrière, sa discographie en tant que sideman témoigne de
ses nombreuses collaborations.
Discographie sélective
Ben Allison Medicine Wheel (1998), Third Eye (1999), Riding the Nuclear Tiger (2001)
Avishai Cohen : Adama (1998), Colors (2000), At Home (2005)
Chick Corea : Chick Corea & Origin Change (1999), Concerto (2000),
Presents Originations (2000), New Trio Past, Present & Futures (2001),
Rendezvous in New York (2003)
Steve Davis Portrait in Sound [Japan Bonus... (2000)
Fly : Fly (2004)
The Herbie Nichols Project Love Is Proximity (1995)
Frank Kimbrough Chant (1998), Frank Kimbrough/Joe Locke Willow (2001), Frank Kimbrough Trio Quickening (2003)
Guillermo Klein : Guachos, Vol. 2 (1999), Los Guachos III (2002)
Jay Klum Home Cookin’ (2002) Drums
Wolfgang Muthspiel : Work in Progress 89-98 (1999)
Ted Nash Sidewalk Meeting (2001)
DanÌlo Perez : Central Avenue (1998) Drums
Joshua Redman : Elastic Band Momentum (2005)
Kurt Rosenwinkel :Enemies Of Energy (2000), Next Step (2001,
Heartcore (2003), Deep Song (2005)
Maria Schneider Orchestra Allegresse (2000), Concert in the Garden
(2004)
Né en 1973 au Bénin, l’auteur, compositeur, arrangeur, chanteur
et guitariste virtuose, Lionel Loueke, offre du jazz original tiré du
patrimoine musical béninois.
En 1990, il s’installe en Côte d’Ivoire pour étudier au « National
Institute of Art », puis, à Paris à « L’American School of Modern
Music » de 1994 à 1998 et enfin, à Boston, aux Etats-Unis à « Berklee College of Music » jusqu’en 2000.
Son diplôme en poche, Lionel Loueke est sélectionné en 2001
par la Thelonious Monk Institute of Jazz à l’Université de Californie. Il y reste deux ans et commence à jouer avec le trompettiste
Terrence Blanchard, avec lequel il enregistre deux albums pour
le label « Blue Note ». Il participera à l’enregistrement de Flow
(Blue Note - 2005), nominé aux Grammy Awards.
En 2004, Lionel Loueke autoproduit Incantation, son premier album afro-jazz tiré notamment du patrimoine musical du Bénin,
dont le yoruba, et réalisé avec le Hongrois Ferenc Nemeth (batterie) et l’Italien Massimo Biolcati (basse), tous deux rencontrés
à Berklee College of Music à Boston. Avec ces derniers, il fonde le
trio Gilfema avec lequel il enregistre plusieurs albums dont Gilfema et In a Trance (2005), Gilfema + 2 réalisé en 2008 avec Anat
Cohen (clarinette) et John Ellis (saxophone), et Heritage (2012).
Outre ses propres albums, Lionel Loueke pose ses riffs de guitares fluides sur les disques de plusieurs grands noms de la
scène jazz : Esperanza Spalding (Radio Music Society), Gretchen
Parlato (In a Dream), Avishai Cohen (After the Rain Big), Kendrick Scott (Source), Jack DeJohnette (Sound Travels), Charlie
Haden (Land of the Sun), Kenny Barron (Le voyageur), Gonzalo
Rubalcaba (XXI Siècle) ou encore Herbie Hancock avec lequel il
tourne aussi, comme guitariste, aux quatre coins de la planète
(River : The Joni Letters)...
Discographie sélective, en tant que leader ou coleader :
In A Trance, Space Time Records - 2005
Gilfema, Gilfema, ObliqSound - 2005
Virgin Forest, ObliqSound - 2007
Karibu, Blue Note - 2008
Gilfema, Gilfema + 2 avec les clarinettistes Anat Cohen et John Ellis, ObliqSound - 2008
Mwaliko, Blue Note - 2010
Heritage, EMI - 2012
En tant que sideman :
Charlie Haden, Land of The Sun, Verve Records 2004
Gretchen Parlato, Gretchen Parlato - 2005 / In a Dream -2009
Terence Blanchard, Flow - 2005/ Choices - 2009
Herbie Hancock, Possibilities - 2006 / The Joni Letters - 2007
Avishai Cohen, After the Big Rain - 2007
Au sujet de l’album Time’s Tales
Le batteur et compositeur Jeff Ballard a pris son temps
avant de signer Time’s Tales, un album éminemment singulier. La renommée du trio de Brad Mehldau dont il est un
des membres éminents et son inventivité au sein du groupe
Fly (avec Larry Grenadier et Mark Turner) ont nourri sa volonté de repenser la formule en trio.
Time’s Tales couvre un large spectre sonore qui va du jazz
moderne au heavy metal en passant par les rythmes africains et latins. Une volonté de diversité qui reflète le côté
aventureux de ce trio qui a su affiner son style depuis sa
création en 2006. Cet album arrive aussi à un moment important dans la vie de Jeff Ballard qui fête cette année ses
50 ans et déclare : « J’arrive à la moitié de ma vie, enregistrer
ce projet avec le groupe était en quelque sorte une occasion de
faire le bilan de ma vie jusqu’à aujourd'hui. »
Du coup, ce batteur aux facettes multiples ne pouvait trouver meilleurs partenaires pour cet album que le guitariste
et chanteur béninois Lionel Loueke, et le saxophoniste portoricain Miguel Zenón. Tous deux ont une palette sonore
très riche, largement inspirée par leurs origines, ce qui correspond idéalement à l’approche polyrythmique de Ballard.
« C'est là que nous nous rencontrons », précise Ballard. «Leur
sophistication et leur sens du rythme est si élevé. Lionel est à
l'écoute de trois rythmes différents en même temps et Miguel
peut tout entendre. Je pioche quelque chose de mélodique dans
ce qu’ils jouent que j’adapte à la batterie, pendant qu’ ils font de
même dans le sens inverse. »
E
U
Q
I
L
B
U
P
É
T
I
R
B
U
L
SA
Paul Fructus - conception, chant
Patrick Fournier – accordéon
Jean-Louis Morell - piano
communiqué
SALUBRITÉ PUBLIQUE
Textes et chansons à hauteur d’homme - Création de la Cie théâtrale Le Temps de Dire
VENDREDI 16 & SAMEDI 17 OCTOBRE
« ...Apprenez à marcher et à rire, parce que ce serait trop bête, à la fin,
que tant soient morts, et que vous viviez,
sans rien faire de votre vie... »
Charlotte Delbo
Paul Fructus - conception, jeu et chant
Accompagné par les compositions et arrangements de :
Patrick Fournier - accordéon
Jean-Louis Morell - piano
Complicité à la mise en scène et lumière :
Florence Pasquet
C’est ainsi : En ce début de 21ème siècle la bête immonde a fait des petits. Elle rôde, elle rampe. Elle éructe
ou elle sourit. Tous les coups médiatiques lui sont permis. Elle entre dans les familles, dans les mairies,
dans les circonscriptions par la grande porte de la frustration, par la fenêtre de la misère matérielle et
intellectuelle.
Loi du plus fort, haine ouverte de l’autre, haine cachée de soi, amour d’une patrie étouffant dans sa mauvaise graisse. Fermer les yeux, se boucher les oreilles ne sert à rien. Hurler sur tous les tons et sur l’air des
lampions que le fascisme ne passera pas n’est qu’une conjuration chaleureuse mais essoufflée.
Ne pas baisser les bras pour autant.
Ne pas rester seul.
Aller avec les autres, vers les autres.
C’est la dignité de l’artiste que de faire partie de cette communauté humaine qui ne renonce pas, qui
résiste au flux du racisme et de la xénophobie. C’est sa raison d’être que d’apporter son savoir faire dans
cette lutte démocratique . Une lutte toujours à recommencer.
Ce n’est pas gagné. Mais ce n’est pas perdu.
Encore faut-il concrétiser cette contribution artistique à l’humanisme
Lieu du concert :
Le Cri du Port
13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Cie Le Temps de Dire
www.cieletempsdedire.fr
photo : Rolland Pleinecassagne
Tarifs : normal 13€ / réduit 10 (hors frais de location)
Billetterie :
ticketmaster.fr - Auchan,Cora, Cultura, e.leclerc
Une fois de plus reprendre le chemin des mots .
« Les mots me manquent » c'est une des expressions les plus employées par ceux et celles qui veulent
exprimer leur désarroi devant la montée des périls.
Ces « mots qui manquent » ne sont pas loin.
Il suffit d'aller les chercher chez les écrivains, de tous les temps , de tous les ciels.
Chez ces « drôles de types » que chantait Léo Ferré.
Ces drôles de types qui n'ont cessé d'écrire, de chanter
que le malheur des uns ne fait pas le bonheur des autres.
Les mots qui manquent sont dans les livres. Il suffit de les poser sur les lèvres.
Il est une fois de plus temps de faire résonner aux oreilles de nos parents, de nos amis, de nos voisins et
surtout de la jeunesse, la musique d'un monde à hauteur d'hommes
Mais aussi le chant de Charlotte Delbo, Wislawa Szymborska, Michaël Gluck… et tant d'autres précieux.
Le contre-chant de l'humanisme.
Pour que la réponse au déchaînement de la bête ne soit pas en miroir
dans l'invective et dans la bave
mais dans la beauté de la poésie et de la pensée,
dans le poétique et le politique .
Il faut tenter, encore et si on rate, recommencer.
« Rater mais mieux » disait Samuel Beckett
Partout
Pour tous
Colporter la beauté.
Il en restera toujours quelque chose
Paul FRUCTUS
« L’important c’est la beauté. »
Claude Nougaro
Au fil de la presse
( à propos de LES TRAVAILLEURS DE LA MER) :
« C’est fort, vivant, chaleureux. À l’image du poète inusable dont on ne se lasse pas. »
Jean-Pierre Léonardini. L’HUMANITE
« Vous trouverez dans ce texte et dans le jeu époustouflant
de Paul Fructus, le lyrisme de Victor Hugo propre à rendre au peuple sa dignité et son courage. » Aline Pailler . FranceCulture
« Tenus en haleine sans relâche et captifs du récit, on ressort enchantés et ébahis de cette heure trente sur l'île de
Guernesey et ses côtes. Une belle réussite »
Fredéric Marty VAUCLUSE MATIN
( à propos A QUOI ON JOUE ? TAIS TOI ET BOSSE) :
...Une plongée étourdissante dans « les mots et les maux du monde du travail ». On ressort secoué mais ragaillardi
par ce flot de témoignages à vif, de rires rebelles et de musiques libératrices... Sorties-Sud
« En feuilletant leur livre d'histoires glanées lors de vraies rencontres, les comédiens convient aussi gaiement à lever
le pouce, a saisir la liberté des dimanches dont le cœur dit toujours :
Battez-vous ? Battez-vous ! »
Gwenola GABELLEC. LA PROVENCE
PRINCIPALES CREATIONS 1990-2013
LE RIRE DE L’AVEUGLE - d’après « Partition Blanche » de Michaël Gluck. Création Scène nationale de Martigues. Mise en scène Pierre Aufrey
MIDI A NOS PORTES - de et par Paul Fructus
NORD SUD BALLADE HEXAGONAL - de Paul Fructus mise en scène de Dominique Lardenois. Création aux
quatre saisons du Revest les Eaux. Editions Les Cahiers de l’Egaré.
MAISON DU PEUPLE - monologue d’Eugène Durif. Mise en scène Dominique Lardenois
LES CONFERENCES JUBILATOIRES - de Paul Fructus et Michaël Gluck d’après Charles Fourier .Création
Salines royale d’Arc et Senans.
LE PETIT TRAITE DES SENS INTERDITS - de Paul Fructus mise en scène Joëlle Cattino création théâtre de
Fontblanche-Vitrolles et théâtre le Sémaphore de Port de Bouc
CABARETS LITTERAIRES CHEMINOTS - coproduction CE des cheminots PACA
DU TRAIN OU VONT LES HOMMES d’après « Le Désordre des Tranquilles » de Jean-Paul Curnier. Coproduction avec le CE des cheminots Paca.
LETTRES DU MONDE CONTRE L’ IMMONDE. Salon antifasciste de Gardanne.
CHANSONS A HAUTEUR D’HOMME, Caussimon, Dimey, Mouloudji - coproduction cdc des PENNES Mirabeau. mise en scène Paul Fructus et Eloïse Brunet
ECHAPPEES D’ELLES - mise en scène Paul Fructus (tournée nationale CCAS)
C’EST PAS POUR DIRE - de et par Paul Fructus accompagné par Florian Vidgrain, mise en scène Eloïse Brunet
LE MURMURE DES EAUX - Texte et mise en scène Paul Fructus
BESOIN DE PERSONNES - une coproduction assoc le Pavé de Nilvange- GRAT Jean-Louis Hourdin- groupe
Evasion Vocal 26-cie Le Temps De Dire . Texte et mise en scène Paul Fructus assisté de Daniel Briquet.
SBAM (Sourire, Bonjour, Au revoir, Merci) texte et mise en scène de Paul Fructus.
LES TRAVAILLEURS DE LA MER - d’après Victor Hugo .
A QUOI ON JOUE ? TAIS TOI ET BOSSE - d Paul Fructus une coproduction « SIGNES EN FETE » Association
de comités d’entreprise PACA
GARY BARTZ QUARTET
Gary Bartz - saxophone alto, soprano
Barney McAll - piano
James King - contrebasse
Greg Bandy - batterie
communiqué
GARY BARTZ QUARTET
JEUDI 5 NOVEMBRE
Concert dans le cadre de Jazz sur la Ville 2015
Une légende du jazz.
Gary Bartz a commencé sa carrière dans le bouillonnement musical du
New-York du début des années soixante, notamment dans les formations
de Charles Mingus, Max Roach, ou Art Blakey.
Gary Bartz quartet
Gary Bartz - saxophone alto et soprano
Le saxophoniste s’inscrit pleinement dans le son des
années soixante-dix avec ses rythmiques funky et électriques, ses influences africaines et ses chants soulful.
En 1970, au festival de L’île de Wight il joue dans le groupe
de Miles Davis aux côtés de Chick Corea, Dave Holland,
Jack DeJohnette, Airto Moreira, concert historique enregistré et filmé.
Mais ce contexte de fusion ne le fait jamais s’éloigner
complètement du swing et du blues, les deux composantes essentielles de la tradition musicale dont il est
issu.
Depuis une cinquantaine d’années Gary Bartz s’est exprimé aux côtés de quelques-uns des plus grands noms
associés à cette musique.
Parmi lesquels, il a développé une collaboration privilégiée avec McCoy Tyner tant sur disques que sur scène.
On a ainsi pu l’entendre en tournées dans les différentes
formations du pianiste, en quartet ou en quintet avec
Ravi Coltrane ou Bill Frisell.
Son impressionnante discographie témoigne d’une carrière très riche. Lorsqu’il n’est pas en tournée, il consacre
aussi une part importante à l’enseignement.
En tournée européenne, Gary Bartz sera avec ses compagnons de route qui forment son groupe régulier, dont les
carrières respectives ne manquent pas d’intérêt.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
garybartz.com
barneymcall.com
Albums à écouter :
Gary Bartz Coltrane Rules vol. II, et It’s Missing all the Rest
photo : Champagne Visuals
Billetterie :
Gary Bartz - saxophone alto & soprano
Né en 1940 à Baltimore. D’abord attiré par la batterie, il
opte pour l’alto en découvrant Charlie Parker. A dix-sept
ans, il passe 2 ans à la Juilliard School de New York; l’enseignement trop formel à son goût, l’attire moins que les
rencontres (Lee Morgan, Grachan Moncur III...).
Grâce au club de son père à Baltimore, il joue avec la plupart des célébrités.
En 1964, Max Roach lui propose son premier engagement d’importance. C’est en suite Art Blakey, Roach de
nouveau (1968-69), Jackie Mclean (1973), mais surtout
McCoy Tyner (1968-70-74) et Miles Davis (1970-71).
Gary Bartz s’affirme aussi comme leader et enregistre
dès 1967 plusieurs disques sous son nom, pour Prestige notamment, à la tête de Ntu Troop, ensemble avec
lequel il cherche à réaliser une synthèse de la musique
africaine, du blues et du jazz (1973). Dans la seconde
moitié des années 70, il va vers une musique plus commerciale (funk). En 1980, on l’entend aux côté de Woody
Shaw et à la tête de son propre quartet, et, en 1985, avec
le tromboniste Dick Griffin.
Gary Barzt se passionne moins pour les altistes (à l’exception de Charlie Parker) que pour les ténors, ce qui
explique sans doute son goût pour le registre grave de
l’instrument. Son style foisonnant s’accommode assez
mal des contraintes propres au jazz, mais son goût
pour les œuvres construites l’éloigne aussi des audaces
avant-gardistes.
Extrait du Dictionnaire du Jazz.
Né en 1966 à Melbourne (Australie). Pianiste compositeur et arrangeur, il passe ses jeunes années en Australie et obtient son diplôme de fin d’études musicales en
1991.
Dès la fin des années 80, il tourne professionnellement
avec des musiciens tels que Vince Jones, Kate Ceberano
et Renee Geyer. Il s’installe à New York en 1997, après
avoir été invité au sein du quartet de Gary Bartz. Il joue
aussi dans les groupes de Fred Wesley and the JB’s, Josh
Roseman et Daniel Merriweather.
En tant que compositeur Barney Mc All écrit aussi des
musiques de films. Il a été nomminé pour les Grammy
Award en 2007, il a également reçu la prestigieuse
bourse du Conseil des arts d’Australie en 2007-2008.
Il se produit avec : Kurt Rosenwinkel, Dewey Redman,
Maceo Parker, Doug Devries, Kenny Garrett, Vernel
Fournier, Badal Roy, Stefon Harris, Jimmy Cobb, Eddie
Henderson, Gary Costello, Ben Monder, Mark Turner,
Peter Apfelbaum, Bernie Worrell, Alan Browne, Billy
Harper, Jim Black, Steve Turre and Roy Ayers.
On dit de lui qu’il est un prestidigitateur musical de premier ordre ! Il est apprécié pour son touché ses grandes
possibilités.
«Il est un musicien authentique, pas seulement un artiste
de talent.» BILLY HARPER.
James King est né à Houston, Texas, il débute sa carrière
à Washington. Depuis trente ans il a collaboré avec des
groupes locaux et s’est produit aux côtés d’artistes aussi
renommés que Shirley Horn, Max Roach, James Moody,
Pharoah Sanders, mais aussi des excellents Stanley
Turrentine, Buck Hill, John Malachi, Sharon Clark, Sonny Fortune, Harold Mabern, Gary Thomas, Geri Allen,
Ronnie Mathews, Ronnie Burrage, John Hicks, James
Williams, Jon Hendricks, Junior Cook, Eddie Henderson,
Steve Williams, Barry Harris, Rueben Brown, Dick Morgan, Freddy Cole...
Très sollicité il se produit régulièrement au sein des
Smithsonian Jazz Masterworks Orchestra.
A écouter l’album : Allen’s Odyssey.
Né à Cleveland en 1949.
Greg Bandy a vécu à New York pendant des années,
mais c’est à Cleveland qu’il a grandi et garde encore de
bons souvenirs de cette l’époque où son père, l’emmenait dans les clubs de jazz. Bandy commence à étudier
la trompette, mais son asthme l’empêche de jouer et le
contraint à changer d’instrument, il choisit alors la batterie.
Il a tout juste 20 ans lorsque Charles Mingus le découvre.
Greg a joué avec des artistes de jazz de premier plan au
cours de sa carrière : Joe Henderson, Betty Carter, Pharoah Sanders, Olu Dara, Curtis Fuller, Jack McDuff, Leon
Thomas, Lee Morgan, Freddie Hubbard, Stanley Turrentine, George Benson, Yusef Lateef et bien d’autres.
Il se distingue en tant que leader en 1997 lorsque parait
son album Lightning in a Bottle qui lui valu deux nominations aux Grammy Awards. Ses compositions sont inspirées par le blues, le funk, le calypso et le bop.
Il produit Bandy does Blakey, un hommage à l’un de
ses mentors, le regretté Art Blakey, et réunit d’anciens
membres des Jazz Messengers de Art Blakey.
La chose la plus importante, dit Bandy, est d’avoir un
bon groove.
THE SOULJAZZ ORCHESTRA
Pierre Chrétien - claviers vintage, percussions, chant
Marielle Rivard - percussions et chant
Ray Murray - sax. baryton, percussions, chant
Steve Patterson - sax. ténor, percussions, chant
Zakari Frantz - sax. alto, percussions, chant
Philippe Lafrenière - batterie, percussions, chant
SOULJAZZ ORCHESTRA // + DJ SET
communiqué
SAMEDI 7 NOVEMBRE
20:30 le cabaret aléatoire
Concert coproduit par Le Cri du Port et Le Cabaret Aléatoire, dans le cadre de Jazz sur la Ville 2015
Cet automne le collectif multiculturel canadien est en tournée européenne
avec un nouvel album percutant, Résistance, poursuivant son partenariat
avec la maison de disque londonienne Strut Records.
Pierre Chrétien - claviers vintage, percussions, chant
Marielle Rivard - percussions et chant
Ray Murray - sax. baryton, percussions, chant
Steve Patterson - sax. ténor, percussions, chant
Zakari Frantz - sax. alto, percussions, chant
Philippe Lafrenière - batterie, percussions, chant
Depuis son éruption sur la scène canadienne au tournant
du millénaire, le Souljazz Orchestra ne cesse de perfectionner son groove imparable : un tourbillon de styles
soul, jazz, afro, latin et antillais, livré par une section de
cuivres dévastatrice, un bazar de vieux claviers poussiéreux et un ensemble tapageur de percussions polyrythmiques.
Le collectif multiculturel est en tournée européenne cet
automne 2015, pour la parution de leur nouvel album
percutant, Résistance.
Lieu du concert :
Le Cabaret Aléatoire / Friche de la Belle de Mai
41 rue Jobin13003 Marseille
Tel : 04 95 04 95 09
www.cabaret-aleatoire.com
« On voulait approcher l’album avec un esprit ouvert », explique le compositeur Pierre Chrétien. « On cherchait à développer le son et le message du groupe, alors j’ai pensé incorporer certains éléments de musique des Antilles françaises et
de l’Afrique francophone, que j’écoute depuis mon enfance. »
Conséquemment, les sonorités explosives du coupé-décalé, du zouk, et du ndombolo sont venues s’ajouter au
métissage afro, soul et jazz typique du groupe.
Toujours dans l’esprit revendicateur de leurs albums
précédents, le Souljazz Orchestra greffe des textes
puissants sur ces rythmes envoûtants, juxtaposant critiques sociales et messages d’espoir. Enregistré à l’aide
des techniques analogiques caractéristiques du groupe,
l’album qui en résulte est un opus audacieux, un soulèvement euphorique célébrant la justice sociale et le pouvoir populaire.
Nouvel album :
Résistance / Strut Records
Parution le 15 octobre 2015.
www.souljazzorchestra.com
photo : Alexandre Mattar
Albums à écouter : Solidarity (2012), et Inner Fire (2014)
Tarifs : 12€ en prévente (hors frais de location)
Soir du concert tarif unique 15€ sur place.
Billetterie :
www.digitick.com
Souljazz Orchestra (suite)
Cette dernière parution vient s’ajouter à la discographie
imposante de ce groupe formé à Ottawa il y a plus de
treize ans déjà. S’étant fait remarquer avec deux albums
redoutables sous le label torontois Do Right!, Freedom
No Go Die (2006, avec le tube « Mista President ») et
Manifesto (2008), le groupe a ensuite fait paraître Rising
Sun (2010), Solidarity (2012), et Inner Fire (2014), leurs
trois premiers avec Strut. Ces disques ont été reconnus
comme chefs-d’oeuvre en leurs genres respectifs, et ont
d’ailleurs été nommés pour plusieurs prix Juno au Canada.
Entre temps, côté live, grâce à des années de tournées
incessantes, les prestations scéniques du Souljazz
Orchestra sont devenues quasi légendaires : la rythmique monstrueuse et les déchaînements improvisés
du groupe causent souvent le délire collectif, où chacun
finit bien trempé de sueur, les talons en feu, les oreilles
bourdonnantes. Jusqu’à présent, le sextuor a eu l’occasion de se produire dans plus d’une vingtaine de pays
dans le monde, côtoyant des légendes telles que Stevie
Wonder, Bob Dylan et Femi Kuti en chemin, et ce, sans
montrer le moindre signe d’essoufflement. « Quand tu es
passionné de musique comme nous, ce n’est pas comme un
robinet que tu peux ouvrir ou fermer à volonté », conclut le
saxophoniste Ray Murray. « Souljazz, pour nous, c’est plus
qu’un simple groupe, c’est un mode de vie. »
COMPAGNIE TAMBOR Y CANTO
Arturo Martinez Cabrera et Miguel Ballumbrosio - percussions et chant
Rodolfo Muñoz - percussions
Patinho Axé Correia - percussions
Rocco Sedano - percussions
Olivier Temime - saxophone
Rafael Paseiro - contrebasse
Simon Bolzinger - piano et direction
Sergio Othanazetra - percussions et chant
+ invités
communiqué
SIMON BOLZINGER CIE TAMBOR Y CANTO
MARDI 10 NOVEMBRE
Concert coproduit par Le Cri du Port et l’Assos’Picante dans le cadre de Jazz sur la Ville 2015
Attention sortie de disque !!
Un plateau véritablement exceptionnel et inédit, formé de spécialistes
chevronnés des rythmes latino-américains
La Compagnie Tambor y Canto
Arturo Martinez Cabrera et
Miguel Ballumbrosio - percussions et chant
Rodolfo Muñoz - percussions
Patinho Axé Correia - percussions
Rafael Paseiro - contrebasse
Simon Bolzinger - piano et direction
Sergio Othanazetra - percussions et chant
+ invités
La passion du musicien Simon Bolzinger pour les musiques
traditionnelles latino-américaines l’amène à explorer en
profondeur les cultures de nombreux pays: Cuba, Venezuela, Brésil, Colombie, Pérou, Mexique, Argentine, Uruguay.
Directeur artistique de l’Assos’Picante à Marseille, c’est en
2005, qu’il crée les Rencontres Tambor y Canto à la Cité de
la Musique de Marseille, et quelques années plus tard en
2014, la Compagnie Tambor y Canto dans le but de diffuser les
musiques traditionnelles de ces pays, et la création actuelle
qui en découle.
La compagnie est composée de chanteurs, percussionnistes et danseurs, ainsi que de musiciens de jazz.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Soir du concert tarif unique 15€
Billetterie :
La Compagnie Tambor y Canto, avec ses artistes cu-
bains, brésiliens, argentins et péruviens, qui mélangent
la tradition des tambours ancestraux et le jazz d’aujourd’hui, sous la houlette du pianiste Simon Bolzinger,
nous a concocté son tout premier bébé : Tambor y Canto
un album de seize titres, où le piano se fraie un chemin
entre pandeiro et cajón, la mâchoire d’âne dialogue avec
le saxophone, le bombo fait du danzón et la chacarera
chante les Orishas. Un plateau véritablement exceptionnel et inédit, formé de spécialistes chevronnés des
rythmes latino-américains. Ils fêtent pour l’occasion la
sortie de cet album à écouter absolument de quoi embrasser la diversité et l’unité d’un continent tout entier !
www.assospicante.com
photo : Jaime Andrés Rojas Mickan
Albums à écouter : Tambor y Canto / Phonopaca, parution
automne 2015.
A voir : sur youtube
Simon Bolzinger - piano, direction
Directeur artistique de l’Assos’Picante à Marseille, sa passion pour les musiques traditionnelles latino-américaines
l’amènent à explorer en profondeur les cultures de nombreux pays : Cuba, Venezuela, Brésil, Colombie, Pérou,
Mexique, Argentine, Uruguay. Issu d’une tradition familiale
baignée de chant choral, docteur ingénieur en Physique et
diplômé de la classe de Jazz du Conservatoire de Marseille,
il quitte la France à l’âge de 20 ans pour s’installer à Caracas (Venezuela). De 1992 à 2006 il parcourt la planète avec
son groupe franco-vénézuélien « Zumbao » (Salsa-Jazz). En
2005 il crée les « Rencontres Tambor y Canto » à la Cité de
la Musique de Marseille. En 2014, il créé la Compagnie Tambor y Canto, dans le but de diffuser les musiques traditionnelles de ces pays, et la création actuelle qui en découle,
par l’enregistrement de disque et le spectacle vivant. La
compagnie est composée de chanteurs, percussionnistes
et danseurs, ainsi que de musiciens de jazz.
Arturo Martinez - percussions, chant
Chanteur et percussionniste cubain, né à La Havane.
À Cuba, il dirige la comparsa Los Componedores de Batea,
très connue à Cuba, et devient chanteur soliste du célèbre
groupe de rumba Clave y Guaguanco. Lauréat du Latin
Grammy Award en 2001 avec l’album «La Rumba soy Yo».
Co-directeur de la compagnie anglaise de musique latine
La Timbala et soliste de plusieurs groupes de musique
latine, comme Siguaraya de Juan «El Indio» Diaz et Chano
Dominguez. Chanteur de musique de cérémonie de la religion afro cubaine, il enseigne aussi la percussion et le chant
traditionnels.
Depuis 2006, il habite et travaille en Allemagne. Il a participé comme musicien et acteur dans la pièce de théâtre El
Perro Cubano, une adaptation libre du film de Pedro Almodovar, Carne Trémula, au théâtre de Berlin Volksbühne de
Frank Castorf.
Miguel Ballumbrosio Guadalupe - percussions, chant
En 1976, Miguel né à l’hôpital de Ica, au Pérou. Son frère
jumeau José, est né une demie heure avant, et sa mère Adelina n’attendait pas un deuxième enfant, c’est le numéro
11 parmi ses 15 frères et soeurs, tous musiciens et/ou danseurs. Son père, Amador, est reconnu comme un des ambassadeur de la culture Afro péruvienne, et sa maison est
un lieu de pélerinage pour tous ceux qui sont intéressés par
celle-ci.
Depuis sa naissance, par conséquent, Miguel s’est frotté
aux plus grands musiciens du Pérou, Depuis l’âge de 4 ans
il pratique le «zapateo» : la danse consacrée à la Vierge du
Carmen et l’enfant Jésus. De nos jours il est «caporal» (Chef
des danseurs), de l’atajo de Negritos du Carmen, où l’on vénère la vierge du Carmen chaque mois de décembre.
Son talent comme danseur et musicien est reconnu depuis
très jeune, à l’âge de 14 ans Miguel prend déjà part aux tournées internationales avec le rockeur péruvien «Miki Gonzales».
A 17 ans il émigre à Lima, où il joue avec de nombreuses formations afro-péruviennes Cofradia Negra, Theatro Milenio
et le groupe de funk-fusion la Pura Purita avant de partir à
la conquête de l’Europe avec le groupe Milenio avec qui il
enregistre le CD Viento y Ausencia en France en 2002.
(suite : Miguel Ballumbrosio Guadalupe)
Des années plus tard il s’installe en Espagne, où il explore la
fusion avec le groupe Hecho contra el Decoro, percussionniste
du groupe il enregistre le cd Línea de Fuga.
En France, depuis 2004, il est un des fondateurs du groupe
afro-péruvien Chinchiví et co-fondateur du cuarteto de musique créole Mistura Peruana, qui diffuse le répertoire traditionnel de la côte du Pérou.
Il y a deux ans, Miguel commence la construction dans son
village natal El Carmen du «Centre Culturel Amador Ballumbrosio» avec une succursale à Paris «l’association culturelle
Amador Ballumbrosio» qui diffuse et protège la culture afroandine du Pérou.
Il est aussi membre du groupe du percussionniste argentin
Minino Garay et les Tambours du Sud ainsi que du Paris Jazz big
band ainsi que des groupes de percussionnistes Frapadingos,
et Inca Mandinga.
Entre-temps en Europe en plus d’être musicien il est professeur de percussions et danses Afro-péruviennes à la Citée de
la Musique Philarmonique de Paris. Et d’autre nombreuses
structures culturelles où il mène à bien des ateliers techniques de fabrication d’instruments de percussion et donne
des conférences sur la culture noire Afro-Andine du Pérou.
Il retourne chaque année avec sa famille dans son village
pour prendre part aux festivités afin de transmettre et maintenir vivaces les traditions que leur père Amador Ballumbrosio leur a laissé en héritage.
Rodolfo Munoz - percussions et chant
Né à Lima au Pérou, Rodolfo Munoz s’initie aux percussions
afro-péruviennes , créoles et latines dans son pays.
Il part à Cuba à la poursuite des rythmes Sacrées et s ‘installe
à la Havane pour y travailler les percussions afro-cubaines,
période très riche musicalement et spirituellement et cela
finira pour une initiation « Omo Aña » fils des tambours sacrés BATA, initié par son Maître Javier Campos Martinez.
A Cuba, il rencontre Tony Gatlif et il travaille comme premier
assistant musique pour le documentaire musical Lucumi, le
rumbero de Cuba (1995).
Des allers et retours entre la Havana et Lima , il crée un
groupe mythique de percussions qui finira par un album
avant-gardiste au Pérou, SANDUNGA, Cantan los Tambores
premier album comme compositeur-auteur, interprète et
producteur.
Installé en France depuis 2001, il participe à différents projets et formations des musiques d’Amérique Latines, musiques du monde, jazz , musique électronique , musique
contemporaine et cinéma, notamment avec le réalisateur
Tony Gatlif pour sa création musical Vertige. Entre Paris et
Lima, il fait une rencontre importante avec le producteur et
musicien Christophe Müller de Gotan Project, qui donnera un
autre album marquant en Europe Radiokijada, Nuevos Sonidos Afroperuanos.
Il développe ses connaissances, étudie la batterie Jazz, ainsi
que l’harmonie, la composition et l’arrangement musical à la
Bill Evans Jazz Academy à Paris.
Actuellement, il participe notamment aux groupes, Frapadingos avec Minino Garay, et Chinchiví avec les frères Ballumbrosio, il aussi créé son trio Kijada in 3/4 (jazz world), et le
Duo Bolandó (création percussions et danse).
Depuis plusieurs années , il se consacre également à l’enseignement des percussions.
Né d’un père danseur chorégraphe de folklore argentin
et d’une mère danseuse classique et pianiste, Georges
Rocco Sedano a baigné toute sa vie dans un univers artistique. Il étudie le piano pendant neuf ans au conservatoire de Rennes avec Pierre Froment (élève d’Alfred Cortot) et Eliane Froment. Par la suite son père lui enseigne
le malambo (claquettes argentines), les boleadoras (instrument percussif dansé), les percussions argentines
ainsi que des techniques de danse jazz et sa mère complète ce travail en lui apprenant les rudiments de danse
classique.
Ces danses traditionnelles percussives sont sa spécialité
et il les développera à l’aide de son travail assidu en percussions et batterie.
Il s’est produit sur de nombreuses scènes de théâtres
et festivals. Il a également travaillé avec : Sylvie Thomas (compagnie Pies y manos), la compagnie de Magui
et Anibal Pannunzio, le Cirque du Soleil à Valence et en
Suisse avec Luis Lopez, la compagnie Danse au coeur à
Berlin, au festival Color Tango à la Réunion, à l’opéra de
Hannovre.
A quatorze ans, il étudie la musique avec un professeur
particulier, puis avec Philippe Renault au conservatoire
de Marseille ou il obtient la médaille d’or de la classe
de jazz. Lauréat du concours Jazz Futur 90 parrainé par
Dee Dee Bridgewater et prix de soliste au tremplin de
la Défense 97, il s’impose au gré des festivals ( Marciac,
Calvi, Antibes, Montreux...), jam sessions et rencontres
( Johnny Griffin, Wynton Marsalis, Jon et Michèle Hendricks, Steve Grossman, Daniel Humair, Emmanuel Bex,
Laurent de Wilde, les Belmondo, Jean Loup Longnon,
Eric Le Lann, etc...), comme un des plus vifs improvisateurs de la scène européenne. Le plus souvent au ténor,
il se produit dans les années 2000 entouré de ses Volunteered Slaves (clin d’oeil à Roland Kirk) à dimension
et personnels variables, sans pour autant renoncer à ses
appétits boeufeurs. S’il ne renie pas le legs coltranien,
il s’impose au ténor comme un héritier des souffleurs
du hard bop, qu’il prolonge et actualise avec une verve
toujours cantabile de hérissements, déchirements et
paroxysmes qui doivent autant au Free qu’aux saxes du
rythm and blues.
Philippe Carles, dans le « Nouveau Dictionnaire du Jazz».
Rafael Paseiro- contrebasse
Rafael Paseiro est un surdoué des quatre cordes avec lesquelles il accompagne les plus grands autour du monde ;
d’abord dans les musiques cubaines (Puppy, Bamboleo,
Raul Paz, Maraca, Rumba abierta...) mais aussi dans le
jazz (Harold Lopez Nussa, Grupo Mezcla, Galarumba,
Simon Bolzinger...) et dans les musiques du monde
(Mayra Andrade). C’est cette versatilité qui fait de lui l’un
des bassistes les plus demandés de la scène parisienne
actuelle. Le Cri du Port saison Jazz Marseille 2015/2016 septembre à décembre / contact presse : 06 08 91 61 13 [email protected]
RICA MARCOTULLI &
LUCIANO BIONDINI
DUO ART
Rita Marcotulli - piano
Luciano Biondini - accordéon
RICA MARCOTULLI & LUCIANO BIONDINI
communiqué
SAMEDI 14 NOVEMBRE
20:30 la criée théâtre national de marseille
Concert coproduit par Espaceculture_Marseille et Le Cri du Port,
dans le cadre de la 22e édition des Rencontres d’Averroès et de Jazz sur la Ville
Le duo a été choisi pour illustrer en musique la 22e édition des Rencontres
d’Averroès sur le thème « Méditerranée, un rêve brisé ? ».
Ces deux musiciens italiens imprégnés de la culture méditerranéenne font une
carrière internationale.
Rita Marcotulli - piano
Luciano Biondini - accordéon
La pianiste Rita Marcotulli s’est forgée une carrière internationale impressionnante en peu de temps.
La native de Rome s’est notamment illustrée sur la scène
jazz aux côtés de Chet Baker, Joe Lovano, Paul Bley, Palle
Danielsson, Michel Portal, Enrico Rava, Pat Metheny ou
Nguyên Lê, mais elle a également joué avec des stars de
la musique pop italienne comme Pino Daniele et Gianmaria Testa.
Son partenaire dans ce nouveau titre de la collection
Duo Art est Luciano Biondini, l’un des plus éminents
accordéonistes européens, que l’on a pu voir aux côtés
de Rabih Abou-Khalil, Michel Godard, Enrico Rava et
plus récemment du jeune prodige violoniste polonais
Adam Baldych. Ces derniers apprécient son esprit libre
et l’émotion parfois bouleversante qui imprègne un jeu
qui ne bascule jamais dans la superficialité ou l’esbroufe
technique.
Lieu du concert :
La Criée Théâtre National Marseille
30, quai de Rive Neuve. 13007 Marseille
Billetterie à partir du 10 septembre
Tarifs : normal 14 € / réduit 10 €(hors frais de location)
Tel : 04 96 11 04 61 Espaceculture_ Marseille
www.espaceculture.net www.rencontresaverroes.net
Jazz, réminiscences classiques et chansons italiennes
sont au menu de cet album en duo inspiré, riche de nombreux moments joyeux, humoristiques, mélancoliques,
emportés et tendres. Une belle réussite.
Ils se sont distingués aux côtés de Joe Lovano, Paul Bley,
Enrico Rava... C’est lors d’un mémorable concert du Cri
du Port, que nous avions découvert Rita Marcotulli auprès du saxophoniste Dewey Redman.
Ce concert s’inscrit dans le cadre du Temps fort des Rencontres
d’Averroès sur le thème « Méditerranée, un rêve brisé ? » qui se
déroule du 12 au 15 novembre au théâtre de la Criée.
[Coproduction Espaceculture_Marseille - France Culture]
Site sur les artistes
Photo : ACT / Steven Haberland
Album à écouter :
La Strada Invisibile - Act music ( sept 2014)
Tel : 04 91 54 70 54 (La Criée)
www.theatre-lacriee.com
GAËL HORELLOU QUARTET
Gaël Horellou - saxophone alto, composition
Etienne Déconfin - piano
Victor Nyberg - contrebasse
Antoine Paganotti - batterie
GAËL HORELLOU QUARTET
communiqué
JEUDI 19 NOVEMBRE
concert dans le cadre de Jazz sur la Ville 2015
Saxophoniste reconnu, musicien passionné et exigeant, Gaël Horellou se
concentre depuis quelques années sur la composition et la pratique du jazz
acoustique, après avoir largement exploré les possibilités offertes par la fusion
jazz-électro.
Gaël Horellou quartet
Gaël Horellou - saxophone alto, composition
Victor Nyberg - contrebasse
Saxophoniste reconnu, musicien passionné et exigeant,
Gaël Horellou se concentre depuis quelques années sur
la composition et la pratique du jazz acoustique, après
avoir largement exploré les possibilités offertes par la
fusion jazz-électro, notamment au sein du sextet du pianiste Laurent de Wilde dans les années 2000,ou encore
avec le batteur Philippe Garcia co-fondateur du groupe
Cosmik Connection.
En juin 2011, Gaël Horellou enregistre l’album Time after
Time pour le label Fresh Sound, entouré des musiciens
Perico Sambeat, Albert Sanz, Nicolas Moreaux et Antoine Paganotti.
Puis en 2013, Legacy un nouvel opus live au Duc des Lombards en quintet avec Etienne Déconfin, Viktor Nyberg,
Antoine Paganotti et en invité exceptionnel le saxophoniste américain Abraham Burton.
« L’esprit du label Blue Note investit avec bonheur chaque
espace du disque composé et arrangé par Gaël Horellou, en
hommage aux maîtres (Jackie McLean, John Coltrane, Sonny Rollins, Clifford Jordan). Né en 1975, l’ancien du conservatoire de jazz de Caen brillait déjà sur plusieurs albums de
jazz-électro live (quand le flot volubile de son saxophone alto
survolait le son des groupes de Laurent de Wilde). »
Jazz News - mars 2014.
« Il y a dans Legacy, album du saxophoniste Gaël Horellou
enregistré en live en janvier 2013 au Duc des Lombards,
comme une déclaration d’amour aux fondamentaux, dans
un retour au jazz acoustique qui symbolise la tradition des
années 60, avec de vifs torrents et de saisissantes fulgurances. Et pour cause, le répertoire entièrement composé
d’originaux a été écrit en hommage aux vénérables aînés
tels John Coltrane, Jackie McLean ou encore Sonny Rollins.
On comprend comment l’ancien membre du Collectif Mu
de Mâcon (entre 1994 et 1997) a réussi à convaincre le digne
héritier de Charlie Parker, le ténor Abraham Burton, élève
lui-même de Jackie McLean et soufflant pour des pointures
(Roy Haynes, Roy Hargrove, Mingus Big Band…), à le suivre
dans cette aventure exaltée.»
Dominique Queillé - Libération - Février 2014
Lieu du concert :
Le Cri du Port
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
www.gaelhorellou.com
Émission à écouter sur France Musique
Billetterie :
Article à lire sur Télérama
Photo : Philippe Lemenuel
Albums à écouter : Time after Time, et Legacy
Au sujet de l’album LEGACY (Breakz/Harmonia Mundi).
Dominique QUEILLÉ - Février 2014 LIBERATION et
CULTURE JAZZ
Avec Legacy, le musicien rend hommage à ses aînés.
Il y a dans Legacy, album du saxophoniste Gaël Horellou
enregistré en live en janvier 2013 au Duc des Lombards,
comme une déclaration d’amour aux fondamentaux, dans
un retour au jazz acoustique qui symbolise la tradition des
années 60, avec de vifs torrents et de saisissantes fulgurances. Et pour cause, le répertoire entièrement composé
d’originaux a été écrit en hommage aux vénérables aînés
tels John Coltrane, Jackie McLean ou encore Sonny Rollins. On comprend comment l’ancien membre du Collectif
Mu de Mâcon (entre 1994 et 1997) a réussi à convaincre le
digne héritier de Charlie Parker, le ténor Abraham Burton,
élève lui-même de Jackie McLean et soufflant pour des
pointures (Roy Haynes, Roy Hargrove, Mingus Big Band…),
à le suivre dans cette aventure exaltée.
Un retour aux sources opéré depuis quelques années par
celui que l’on a connu prompt aux expérimentations électro-jazz. Notamment avec le pianiste Laurent de Wilde
dont il intègre, en 2000, le sextet pour les albums Time
for Change et Stories. Vers cette époque, le saxophoniste
alto pousse davantage son exploration en produisant
un live electro drum’n’bass, seul aux machines, sous le
pseudo Dual Snake, et continue de mêler son instrument
à la musique électronique pour des enregistrements avec
UHT ou DJ Volta. Dans la foulée, il fonde le groupe NHX qui
s’inscrit dans la lignée de ce mouvement de fusion électro
avec une bande de musiciens dont le batteur, Yoann Serra,
et le bassiste, Philippe Bussonnet (échappé de Magma),
ne sont autres que les artificiers de l’Electric Epic de Guillaume Perret. C’est avec le même ingénieur du son, Dominique «Dume» Poutet, que Legacy a été réalisé.
Son virage acoustique, Horellou le prend en 2008, après
sa participation à la composition de l’album Organics de
Laurent de Wilde, avec deux sorties : la première, Pour La
Terre, un double CD en quartet enregistré aussi au contact
du public (au Sunside à Paris) en compagnie du pianiste
Jean-Sébastien Simonoviez, de François Gallix à la contrebasse et du batteur new-yorkais Ari Hoenig ; et le second,
Live 2008, en trio dans une ambiance de club.
Février 2014 TELERAMA Michel Contat
« Pour la sortie d’un album très réussi, Legacy, le sax alto
Gaël Horellou se présente en quartet, plus son ami le saxophoniste (alto aussi) Abraham Burton. C’est un jazz qui
évoque, sans esprit de « revivalisme », la grande époque
de l’esthétique Blue Note. »
Février 2014 FRANCE INFO
« Abraham Burton, ancien élève de Jackie Mc Lean,
était le partenaire idéal pour un hommage aux maîtres
du saxophone. »
Février 2014 TSF JAZZ
« Gaël Horellou est chez lui avec cette musique. »
Février 2014 JAZZMAN
« Aussi tonique que généreux. Comme on les aime ! »
Décembre 2013 SINE
« Quelle Pêche ! Ebouriffant ! Il décoiffe autant que
Jackie McLean quand il était en forme ! C’est tout dire
! A ses côtés, Abraham Burton, un ténor comme je les
aime, qui swingue autant que lui et une section rythmique des plus convaincantes. »
Toujours aussi expressif et en verve, Gaël Horellou réanime ici encore cette pulsion collective dans un hard bop
aussi à vif que ses exécutants.
Gaël Horellou - saxophones, composition, arrangements
De formation musicale classique et jazz, Gaël Horellou
débute sa carrière en 1992 avec le batteur bas-normand
Jean-Benoît Culot. Il étudie par ailleurs au conservatoire
de Caen dans la classe de jazz de Richard Foy.
De 1994 à 1997, il est membre du Collectif MU avec lequel
il remporte le concours du festival de Vienne en 1995 et
le concours de jazz de la Défense en 1996. A la même
période, il participe à la fondation du Crescent Jazz Club
où il partage la scène avec de nombreux artistes dont
Charles Bellonzi, Luigi Trussardi, Clovis Nicolas, Wayne
Dockery, Eric Le Lann, Steve Grossman, Peter King,
Ricardo Del Fra, Simon Goubert, Georges Arvanitas, Ted
Hawk …
En 1997, il co-fonde avec Philippe Garcia, le groupe Cosmik Connection, projet électro-jazz, lauréat Talents
MIDEM 2001 et « Découverte électro » du Printemps de
Bourges en 2000. S’ensuivent de très nombreux concerts
en France et à l’étranger (notamment Jazz a Montréal en
2000 et 2001, MEG en 1999, Jazz à Vienne en 2000, Berchida 2010, Jazz à Luz 2012…).
En 2000, il intègre le sextet de Laurent de Wilde, l’accompagne sur toutes ses tournées et collabore sur ses
albums Time For Change et Stories. En 2004 il co-signe
avec lui l’album Organics (prix Talent Jazz ADAMI 2005).
De 2000 a 2003, il joue dans le quintet de Luigi Trussardi
(tournées et enregistrement du disque Introspection en
2003). Parallèlement, il participe à plusieurs enregistrements d’albums Drum’n’Bass (UHT, DJ Volta, DJ Ben…) en
même temps qu’il se produit en live solo sous le pseudonyme Dual Snake.
En 2002, il fonde le groupe NHX avec des musiciens de
jazz et de rock progressif (Yoan Serra, Philippe Bussonnet, Emmanuel Borghi et James Mac Gaw). Deux albums
sortiront sur le label DTC Records.
En 2003, il fait la rencontre de Barry Harris lors d’un
stage au conservatoire de La Haye. Depuis il étudie régulièrement avec le maître du Be-Bop, en Europe ou aux
Etats-Unis.
En 2006, il enregistre Explorations, un bel album nu-jazz
à mi-chemin entre acoustique et composition à l’ordinateur (DTC records/La Baleine).
En 2008, il réunit un quartet avec Jean-Sébastien Simonoviez, Francois Gallix et le batteur américain Ari Hoenig.
Le groupe enregistre un double album live au Sunside à
Paris Pour la Terre (DTC Records/Harmonia Mundi). Il
s’en suit une tournée en 2009 et 2010. Le groupe participe au programme « French American Jazz Exchange
» et donne un concert à Jazz Gallery à New-York en mai
2009.
En 2010, il produit en solo un album entre musique répétitive et jazz Travels, sorti en 2011 toujours sur Le Petit
Label.
En mars 2011, il enregistre en sextet un album live au
Sunside dans la tradition du jazz des années soixante,
avec David Sauzay (sax tenor), Michael Joussein (trombone), Etienne Déconfin (piano), Geraud Portal (contrebasse) et Philippe Soirat (batterie). L’album Live ! sortira
en décembre 2011 sur le label DTC Records.
Depuis 2010, il co-organise un stage pédagogique suivi
d’un festival de jazz dans l’Aude, à Fontiers-Cabardes (Jazz
à Fontiers). Il organise régulièrement des masterclass de
Jazz et d’improvisation (CNR de Caen, Annecy, Chamalières, Paris, Festival des Cuivres du Monastier sur Gazeille, Arpej à Paris...).
Depuis 2008, il intervient en tant que formateur en MAO
dans le cadre de la formation «Fusion et électro sur Ableton Live» à Cifap (Montreuil).
En Juin 2011, il enregistre un nouvel album Time after Time
pour le label Fresh Sound, avec Perico Sambeat, Albert
Sanz, Nicolas Moreaux et Antoine Paganotti.
En janvier 2013, il enregistre un album live au Duc des
Lombards en quintet avec Etienne Déconfin, Viktor Nyberg, Antoine Paganotti et en invité exceptionnel le saxophoniste américain Abraham Burton. L’album intitulé
Legacy est sorti le 11 février 2014 sur le label BREAKZ.
http://www.gaelhorellou.com
Discographie sélective de Gaël Horellou :
Legacy (Breakz / Harmonia Mundi 2014)
Time after Time (Fresh Sound 2013)
Plo (Petit Label 2012)
Travels (Petit Label 2011)
Live ! (DTC Records - La Baleine 2011)
Segment (Petit Label 2010)
Live 2008 (Petit Label 2008)
Pour la Terre (DTC Records/Harmonia Mundi 2008)
Explorations (DTC Records/Harmonia Mundi 2006)
COSMIK CONNECTION
Electrojazz4tet - COSMIK CONNECTION (Plein Gaz - Pias
1999)
Grand Panache - COSMIK CONNECTION (DTC records/La
Baleine 2007)
Atomik - COSMIK CONNECTION (Cosmik Prod 2011)
Live au Crescent - COLLECTIF MU (7th records - Harmonia
Mundi 1995)
Don Quichotte - COLLECTIF MU (7th records -Harmonia
Mundi 1996)
Versus - D. SAUZAY & G. HORELLOU QUINTET (Fresh Sound
1999)
Depuis 2002, il se produit régulièrement en trio avec Géraud Portal et Antoine Paganotti (ou Philippe Soirat). De
très nombreux concerts s’enchaînent et trois albums en
trio sont nés à ce jour sur Le Petit Label.
Entre 2006 et 2011, il joue avec le groupe Transition du
pianiste-compositeur Jean-Sébastien Simonoviez, avec
lequel il enregistre deux albums.
Viktor Nyberg - contrebasse
Un jeune prodige. Il commence à 6 ans les cours de piano
classique à l’école de musique de Vierzon avec Jean-François Boudry. Il remporte à l’âge de 10 ans le concours national Claude Kahn, devant des concourantes de 18 ans…
Vers l’âge de 12 ans, il commence à s’intéresser au jazz,
sous l’influence de ses parents et plus particulièrement
de son père, Jean-Louis Déconfin, lui même pianiste de
jazz. Il entre dans la classe de jazz du conservatoire de
Bourges à 13 ans, et monte son premier groupe Alakazam Quintet avec lequel il vit ses premières expériences
de scène.
Tout jeune, Viktor est soliste et choriste à l’Opéra Royal
de Stockholm où il travaille cinq nuits par semaine.
A 15 ans il se passionne pour le jazz. Après cinq années de
pratique de la trompette, il délaisse cet instrument pour
la contrebasse à l’âge de 18 ans. Après 6 mois de pratique
intensive, il postule pour le Royal College of Music de
Stockholm où il obtient des résultats remarquables. Sa
contrebasse est en tellement mauvais état que l’école lui
offrira une bourse pour en acquérir une neuve.
En 2005, il rencontre le contrebassiste Géraud Portal. Ils
montent un duo et obtiennent une résidence au pub des
Jacobins, à Bourges. Ils invitent d’autres musiciens dont
le batteur Nicolas Charlier et le saxophoniste Benjamin
Dousteyssier. Leur entente débouche sur la création de
l’Ascension Quartet.
L’été 2006, il participe au stage du Crescent à Macôn.
Il apprend aux côtés de musiciens tels que Jean-Sébastien Simonoviez (piano), Francois Gallix (contrebasse),
Gaël Horellou (sax alto). Il y rencontre le contrebassiste
londonien Patrick Cleaver et le saxophoniste alto Julien
Chinier. Ensemble, ils forment le Black Cab Trio.
Depuis 2007, il développe plusieurs projets avec le
saxophoniste new-yorkais Tony Pagano, ainsi qu’avec le
contrebassiste et batteur Géraud Portal, Lolo Bellonzi,
Jeremy Pelt, Marcus Miller, Alex Han. Par ailleurs, on le
retrouve régulièrement au sein du Gaël Horellou Quartet.
En 2012, il accomplit 250 concerts dans différents pays
d’Europe et d’Afrique. On le voit aussi à la télévision française et suédoise.
Par ailleurs, il joue dans des comédies musicales et des
pièces de théâtre.
Habitué des « After Hours Rythm Section » du Duc des
Lombards, il a collaboré avec des artistes tels que Joel
Frahm, Nelson Veras, Julien Lourau, Dan Tepfer, Jeremy
Pelt, Monty Alexander, Eric Legnini, Baptiste Trotignon,
Gael Horellou, Kendrick Scott, Peter Asplund, Margareta
Bengtsson, Pierre de Bethmann, Franck Amsallem, Russel Malone, Pierrick Pedron, Ari Hoenig et Yutaka Shiina.
Antoine Paganotti a choisi sa carrière artistique dès son
enfance en intégrant à 9 ans le conservatoire pour étudier le piano. Autodidacte et passionné, il travaille parallèlement la batterie qu’il pratiquera par la suite au sein
d’une classe du conservatoire.
Fan de jazz depuis l’âge de 11 ans, il écoute en douce, en
compagnie de sa soeur Himiko, les albums de la discothèque de son père, le bassiste Bernard Paganotti.
Il reste fidèle à cette musique, tout en cultivant d’autres
jardins éclectiques qui l’amènent à jouer notamment
avec Patrick Gauthier, Bertrand Lajudie, Richard Pinhas,
Sébastien Paindestre, Monkey Toon, Rocé...
Il a fait partie du groupe Magma, en tant que chanteur,
entre 2002 et 2010. Christian Vander n’hésitait cependant pas à lui confier ses baguettes lors de prestations
scéniques du groupe.
Il collabore régulièrement avec le saxophoniste Gaël Horellou avec lequel il a enregistré plusieurs disques de jazz
acoustique et de fusion électro-instrumentale.
PACO DE LUCÍA - LA BÚSQUEDA
communiqué
JUAN & ENRIQUE SANTIAGO DUO
SAMEDI 21 NOVEMBRE
20:30 l’alhambra cinémarseille
Coproduction Le Cri du Port et L’Alhambra cinémarseille, Dans le cadre de Jazz sur la Ville 2015
Une soirée élaborée par le Cri du Port et L’Alhambra Cinémarseille autour de la sortie
du film documentaire sur le musicien Paco de Lucía. Brillant hommage au célèbre guitariste, ce documentaire réalisé par son fils retrace le destin musical et artistique du
génie de la guitare flamenco disparu en 2014. Avec les témoignages exceptionnels de
Chick Corea, John McLaughlin, Jorge Pardo ou encore Rubén Blades.
Réalisation : Curro Sánchez Varela
Avec Paco de Lucía
Durée : 1h30
Pays : Espagne
Année : 2014
Production : Ziggurat Films, S.L.
Date de sortie : 28 octobre 2015
Goya 2015 du Meilleur Documentaire.
Concert jazz - flamenco (personnel en attente de
confirmation.
Considéré comme le plus universel des artistes flamenco, l’artiste andalou a tout au long de sa vie fait évoluer la
guitare flamenca et a modernisé le flamenco traditionnel. Musique classique, arabe, hindou, blues ou bossa
nova, Paco de Lucía s’inspirait de toutes les influences
musicales. Mais il avait surtout rapproché flamenco et
jazz avec l’album Friday night in San Francisco, enregistré lors d’un concert au Théâtre Warfield (San Francisco),
le 5 décembre 1980, avec les guitaristes John McLaughlin
et Al di Meola.
Malgré la célébrité, le guitariste était toujours resté discret. Il avait notamment contribué au succès de la voix
légendaire du flamenco espagnol, Camaron de la Isla, qui
a enregistré avec lui ses neuf premiers albums.
Lieu :
L’Alhambra Cinémarseille
2, rue du Cinéma. 13016 Marseille
tel : Tel : 04 91 03 84 66
www.alhambracine.com
www.criduport.fr
Il entraîne un genre populaire, le flamenco, vers la musique dite « érudite ». Doctor honoris causa de l’université de Cadix et du Berklee College of Music, il avait reçu en
2004 le prix Prince des Asturies des arts, l’une des plus
hautes distinctions espagnoles. Paco de Lucía, soulignait
la Fondation Prince des Asturies, « a dépassé les frontières
et les styles, pour devenir un musicien de dimension universelle. A partir de la guitare flamenco, il a aussi exploré le
répertoire classique espagnol, d’Isaac Albeniz à Manuel de
Falla, l’émotion de la bossa-nova et du jazz ».
1ère partie de soirée concert avec le duo
Juan Santiago - guitare
Enrique Santiago - cajon
La musique est une histoire de famille, et c’est dès leur
enfance que les deux frères se forment et se produisent
auprès de leurs aînés. Juan apprend la guitare, en écoutant
le maître Paco de Lucía et ses oncles, dont le grand guitariste flamenco, «Frasco Santiago».
Membres de la compagnie ABIYELAR, ils jouent dans de
nombreux festivals (Gorbio, Mont de Marsan) et « Tablao »
dans la région. Ils marient un flamenco
traditionnel à d’autres influences (jazz, musique contemporaine), et puisent dans le répertoire de tangos, Soléares,
et Bulerias.
Photo : D.R.
Visionner la B.O. du film
Billetterie :
Paco de Lucía - guitare
Paco de Lucía, de son vrai nom Francisco Sanchez Gomez,
était né le 21 décembre 1947 à Algésiras, ville de la région de
Cadix, avant de devenir un guitariste mondialement connu,
qui a su moderniser le flamenco traditionnel en l’associant
avec le jazz et en puisant son inspiration dans divers horizons
musicaux, y compris dans la musique classique. En 2004, il
avait reçu le prix Prince des Asturies des Arts, l’une des plus
hautes distinctions espagnoles.
«Considéré comme le plus universel des artistes flamenco,
son style a fait école parmi les plus jeunes générations et son
art est devenu un des meilleurs ambassadeurs de la culture
espagnole à travers le monde», avait souligné le jury.
Par Véronique Mortaigne Le Monde 26.02.2014
Le guitariste flamenco Paco de Lucía a été pris d’un malaise,
mardi 25 février, alors qu’il jouait avec ses enfants sur une
plage de Cancún (Mexique), où il possédait une maison. Son
cœur, qu’il avait profondément gitan, sans en être un luimême, a lâché sur le chemin de l’hôpital. Né le 21 décembre
1947 à Algésiras (province de Cadix).
Francisco Sánchez Gómez de son vrai nom, virtuose qui a su
mélanger le flamenco sans le dénaturer, vivait à Palma de
Majorque mais vagabondait de Tolède à Cuba.
La famille de Paco de Lucía était pauvre. Il a grandi dans le
triangle magique du Sud andalou. Il a appris la guitare avec
son père, ses frères, qui jouaient pour les riches dans des
fêtes, après avoir parfois attendu toute la nuit qu’ils manifestent leur bon vouloir. Il est le seul guitariste flamenco à
avoir étendu son champ d’expérience, son succès, son public,
sans y laisser son âme. Paco de Lucía était comme le vin de
Sanlúcar et respirait le parfum du Guadalquivir. Chaque
rythme était pris avec le même sens du frôlement, comme
des vagues, comme des brises. Rien n’est plus simple que
de jouer virtuose et hystérique, Paco de Lucía était tout le
contraire : la douceur des violences. Les caresses animées sur
les cordes. Le jazz avait changé son regard, pas sa musique. Sa
technique fascinante l’a fait intégrer le trio (guitares acoustiques) de John McLaughlin et Al Di Meola. Il a également rencontré Larry Coryell, Carlos Santana et Egberto Gismonti. Au
début, leur aisance d’improvisation l’a effaré. Il a alors laissé
parler son cœur, comme on le fait entre amis à Cadix, pendant
une nuit flamenca, quand la fête est « formée ».
Tomatito.
Paco de Lucia commence sa carrière à l’âge de 14 ans, engagé
comme guitariste pour la compagnie de danse José Greco. En
tournée aux Etats-Unis, il croise Mario Escudero et Sabicas,
deux guitaristes espagnols de renommée qui l’encouragent
à mener une carrière de soliste. Il enregistre son premier
disque en 1965 et donne un concert au Teatro Real de Madrid.
En 1975, année charnière en Espagne qui revenait à la démocratie, Paco de Lucía connaît un grand succès commercial
avec une rumba, Entre dos Aguas.
Il fonde un groupe avec ses frères, le chanteur Pepe de Lucía
et le guitariste Ramón de Algeciras, et introduit des instruments et des rythmiques sud-américaines — avec un cajon
péruvien. Deux albums confirment le succès et l’originalité
du groupe : Solo quiero caminar (1981) et Live… One Summer
Night (1984).
Il adapte ainsi plusieurs thèmes du compositeur espagnol
Manuel de Falla et, quelques années plus tard, il enregistre
l’œuvre majeure de Joaquín Rodrigo, le Concerto d’Aranjuez.
Il entraîne un genre populaire, le flamenco, vers la musique
dite « érudite ». Doctor honoris causa de l’université de Cadix et du Berklee College of Music, il avait reçu en 2004 le
prix Prince des Asturies des arts, l’une des plus hautes distinctions espagnoles. Paco de Lucía, soulignait la Fondation
Prince des Asturies, « a dépassé les frontières et les styles,
pour devenir un musicien de dimension universelle. A partir
de la guitare flamenco, il a aussi exploré le répertoire classique espagnol, d’Isaac Albeniz à Manuel de Falla, l’émotion
de la bossa-nova et du jazz »
Juan Santigao - guitare
Juan Santiago est né à Marseille. Il est le neveu du grand guitariste flamenco, «Frasco Santiago».
Il a appris la guitare en écoutant le maître de tous, Paco de
Lucia, et bien sûr, ses oncles. Dès l’âge de 3 ans, ces musiciens, qu’il idolâtre, lui ont donné l’envie d’apprendre.
Dés qu’il touche sa première guitare, à l’âge de 8 ans, sa vie
change entièrement.
Il commence, alors, à composer ses propres morceaux et se
produit sur scène à 13 ans, aux côtés de son oncle.
Par la suite, il accompagne les meilleurs danseurs et danseuses de France : Paca Santiago, dans la compagnie ABIYELAR , Manuel Gutierrez, Kuki Santiago, Isabel Gasquez et
Mélinda Sala, et tant d’autres.
Il a fait une belle rencontre, musicale avec Luis de la Carrasca.
Il a également participé au Festival de Gorbio et de Mont de
Marsan et à de nombreux « Tablao ».
Ce guitariste flamenco propose des compositions originales
qui marient un flamenco traditionnel et d’autres influences
(jazz, musique contemporaine). Il puise dans le répertoire
de tangos, Soléares, et Bulerias.
Il compose sa musique en gardant, à l’esprit, le maître, Paco
de Lucia. Interprète et compositeur, Juan Santiago a son
propre style et, son originalité, fait qu’il est différent des
autres.
Il fait partie de la fine fleur du flamenco de Marseille.
Enrique Santigao - cajon
Bercé, depuis sa plus tendre enfance par les rythmes flamencos, Enrique, développe très tôt, son talent pour la percussion flamenca.
De ses mains, il fait ressortir la magie de l’improvisation
rythmique, sans jamais s’éloigner du compás.
Sa précision et sa technique du cajón, font de lui, l’un des
percussionnistes les plus sollicités en France.
Il tourne dans toute la France : Marseille, Aix-en-Provence
(Cité du Livre), Avignon (Le Rouge Gorge), Théâtre de Lille,
Théâtre de Grenoble. Il participe également à plusieurs festivals : le Festival de Musique de Gorbio, le Festival Flamenco de Mont Marsan...
Il a fait, aussi la première partie, de la danseuse, la Yerbabuena, au Théâtre Toursky à Marseille et de Chico et les
Gypsis, à l’Hôtel Carlton à Cannes.
Il joue avec différentes compagnies, qu’il suit, aussi à l’étranger.
En mai 2002, il participe à la création d’un Cd audio ainsi
VERS LA MUSIQUE ÉRUDITE
qu’un clip vidéo pour les Assemblades (Festival des muParallèlement à son association avec Al Di Meola et John siques traditionnelles) de Correns.
McLaughlin, Paco de Lucía mélange le flamenco avec la mu- Depuis 2001, il est professeur de percussion, pour l’associasique indienne, la salsa, la bossa-nova, la musique arabe.
tion Traditionnelle Culture Flamenca.
TAKT
Roman Maresz - piano
Melvin Marquez - saxophone ténor
Emmanuel Camy - basse
Clément Cliquet - batterie
OLIVIER LALAUZE SEXTET
Olivier Lalauze - contrebasse, composition, arrangements
Ezequiel Celada - saxophones alto, soprano, clarinette
Alexandre Lantieri - saxophone ténor, clarinette
Romain Morello - trombone
Gabriel Manzaneque - guitare
Stéphane «Zef» Richard - batterie
TAKT // OLIVIER LALAUZE SEXTET
communiqué
JEUDI 26 NOVEMBRE
Concert dans le cadre de Jazz sur la Ville 2015
Formations Lauréates du Tremplin Jeunes Talents 2015 de Jazz à Porquerolles.
TAKT
OLIVIER LALAUZE Sextet
Olivier Lalauze - contrebasse, composition, arrange-
Quartet de Jazz éclectique nourri d’influences multiples,
TAKT joue avec et contre le temps une musique qui mêle
l’improvisation à l’écriture, qui, tout en se penchant vers
l’impressionnisme ou le contemporain, garde pour essence, le jazz de sa tradition à ses formes plus modernes.
Composé d’amis et musiciens de longue date autour
de compositions de Roman Maresz, le quartet cherche
à chaque instant à se transcender, se renouveler, à surprendre et à envoûter l’auditeur en l’entraînant dans
l’univers imprévisible et envoûtant de sa musique.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
ments
Ezequiel Celada - sax. alto, soprano, clarinette
Alexandre Lantieri - saxophone ténor, clarinette
Stéphane «Zef» Richard - batterie
Originaire de la région d’Aix-Marseille, cette formation a
été créée en 2012 par le contrebassiste Olivier Lalauze.
Ces musiciens proposent une musique aussi bien influencée par le New Orleans, le swing, le bop, ou encore
le free, rappelant ainsi que toutes ces esthétiques sont
intimement liées les unes aux autres. Le Lalauze Sextet
nous emmène, par le biais des compositions originales
de son leader, dans un univers subtil, coloré et captivant.
Takt
site du groupe
A écouter sur soundcloud
photo : Amandine Ferrando
Billetterie :
Olivier Lalauze sextet
photo : Yoan Blanc
TAKT
Né le 26 septembre 1991 à Monaco, Roman Maresz commence
le piano dès l’âge de cinq ans à la Villa Médicis à Rome où son
père est pensionnaire en tant que compositeur.
L’année suivante, il intègre la Classe Musicale de l’Académie de
Musique Prince Rainier III dans la classe de piano de Laurent
Alonso et suit parallèlement les cours de percussions de Christian Hamouy.
En 2007, il obtient le Premier Prix de Piano, couronné par le
Prix de Son Altesse Sérénissime le Prince Albert II récompensant les élèves prometteurs. En 2009, il obtient son Diplôme
d’Etudes Musicales de Piano.
Tout au long de sa formation musicale, il participe à de nombreux concerts (Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo,
Orchestre Régional de Cannes, Fondation Maeght…) Passionné
depuis toujours par le Jazz, il commence sa formation à l’Académie de Jazz de Monaco auprès de Roger Rossignol puis intègre
à Paris dès octobre 2009 les cours du CIM dans la classe de
Piano de Bernard Désormières puis de Jean-Marie Aversenget
consacre désormais entièrement sa carrière musicale au Jazz.
En 2010, il est sélectionné et participe au prestigieux Concours
Martial Solal.
En 2011, il intègre le Berklee College of Music de Boston et obtient des bourses d’études de la fondation Princesse Grace et
de la fondation Principale de Monaco. Il y suit les cours de nombreux musiciens de renommée tels que Danilo Perez, George
Garzone, Greg Osby, David Fiuczinski, Ron Savage, Marcello
Pellitteri, Jeff Galindo ou encore Bruno Raberg; et étudie lepiano et l’improvisation avec Tim Ray et Joanne Brackeen. Durant
ses deux années à Boston, il collabore avec de nombreuses formations jazz et musiques actuelles, allant du free-jazz, à la musique de film ou encore au soundpainting dans le Paintbrush
Orchestra du compositeur et arrangeur, Yeonathan Shachar.
Il se réinstalle à Paris en 2013 où il démarre son propre quartet TAKT, avec Melvin Marquez, Emmanuel Camy et Clément
Cliquet; avec lequel il se produit régulièrement et remporte en
2015 le Tremplin Jeunes Talents de Jazz à Porquerolles.
Né a Paris, Melvin Marquez commence la musique à l’âge de
11 ans. Après 4 ans d’études en clarinette classique, il entre au
CIM, école de musique Jazz et Musiques Actuelles, en saxophone ténor. Il intègre rapidement le cursus jazz au Conservatoire a Rayonnement Régional de Paris a 17 ans où il obtient son
Diplôme d’Etudes Musicales. A 20 ans, il entre dans le cursus
Jazz du Conservatoire National Supérieur de Musique et de
Danse de Paris où il est actuellement étudiant.
Parallèlement à ses études au conservatoire, Melvin rencontre
de nombreux musiciens et joue dans des salles telles que le
Baisé Salé, les Disquaires, le 38 riv’, le duc des lombards ainsi
que divers festivals et salles à l’étranger. Melvin a pu rencontrer, jouer ou étudier avec de nombreux musiciens de renommée tels que André Villeger, Mark Turner, Danilo Perez, Carl
Allen, Eddie Henderson, Bob Mintzer, Jerry Bergonzi, Dré Pallemaerts, Eddie Gomez, Nelson Veras, Pierre de Bethmann,
Cédric Hanriot, Jimmi Hueting, Viktor Nyberg, Rémi Vignolo,
Eric Vaughn ou encore Denis Leloup.
Emmanuel Camy prend ses premiers cours de musique à 17 ans
à la Réunion. Il étudie ensuite au CIM entre 18 et 22 ans, et y
obtient le certificat MIMA (musicien interprète des musiques
actuelles). Il est choisi par la FNEJMA (fédération nationale
des écoles d’influences jazz et des musiques actuelles) pour
participer à une tournée d’un an (2008-2009) en France et en
Europe durant laquelle il travaille auprès de prestigieux musiciens (David Liebman, Jean-Marie Machado notamment). Il fait
également une résidence de travail d’une semaine auprès du
bassiste Français, Dominique Di Piazza. Emmanuel achève sa
formation au CNR en 2010 avec Pierre Bertrand et Emyl Spanyi, année au cours de laquelle il suit l’enseignement de Jean
Bardy (bassiste de Chet Baker). Il participe à de nombreuses
Masterclass avec Jerry Bergonzy, Bob Mintzer, Louis Sclavis,
Martial Solal et Joelle Léandre entre autre.
Diplômé en 2012, il travaille actuellement au sein de plusieurs
projets et enseigne la basse, notamment au CIM. Ces dernières
années, Emmanuel a collaboré avec divers artistes tel que le
Slime (Hip Hop), June et Lula (chanson), Face (rock), Jean-Marie
Averseng Electric-BoB-jazz puis Tb4jazz. Il s’est produit au festival de Jazz de Marciac, au Paris Jazz Festival du Parc Floral, et
dans les clubs de jazz Parisiens tels que le Sunset, le Baiser Salé
ou encore le Caveau des Oubliettes .
Né en 1988, Clément Cliquet commence l’apprentissage de la
batterie à l’âge de 10 ans avec Joe Quitzke puis Gonzalo Campo
à Beauchamp. Adolescent, c’est avec le rock qu’il fait ses premières armes. A 16 ans, il suit l’enseignement de Gérard Siracusa au Concervatoire d’Argenteuil. En 2009, il obtient son BTS
Audiovisuel option son à l’INA qui l’amène à travailler à Radio
France International en tant qu’opérateur son. Il entre alors
au CRR de Cergy où il étudie le jazz auprès d’Andrea Michelutti, Laurent Colombani, François Méchali, Jean-Luc Fillon et
Georges Paczynski... En 2011, il intègre le cycle spécialisé du CRR de Paris où il se
perfectionne avec François Merville, Jean-Charles Richard,
Emil Spanyi, Pierre Bertrand... Deux ans plus tard, il obtient
son DEM Jazz mention très bien à l’unanimité. Depuis la rentrée 2013, il accompagne la classe de danse jazz de Patricia Dolambi au CRR d’Aubervilliers et enseigne la batterie à l’école de
musique de Saint-Leu-La-Forêt. Oscillant entre jazz et hip-hop,
il participe à différents projets avec lesquels il se produit régulièrement: Slime, TAKT, Kévin Lam 5tet, Théo Philippe 5tet, RG
Hybrid Project, Fishmatix, NMO...
Il a eu l’occasion de jouer à Jazz in Marciac, Jazz à Vienne, Jazz au
fil de l’Oise, Paris Jazz Festival, Jazz à Porquerolles, au Théâtre
du Châtelet, au Divan du Monde, au Studio de l’Ermitage, à l’Alimentation Générale ainsi que dans les clubs parisiens (SunsetSunside, Baiser Salé, Caveau des Oubliettes, 38 Riv’, Disquaires,
Café Universel, Entrepôt, Âge d’Or, Olympic, Petites Gouttes,
59 Rivoli...
OLIVIER LALAUZE SEXTET
Olivier Lalauze - contrebasse, composition, arrangements
Olivier commence la Musique à l’âge de douze ans en tant que
guitariste. Après une première jeunesse d’influence rock, il découvre le jazz grâce à l’un de ses professeurs qui lui fait écouter
Django Reinhardt. Viendront ensuite Charlie Parker, John Coltrane, Miles et tous les autres… Il entre en 2005 à l’Institut Musical de Formation Professionnelle (IMFP) de Salon de Provence
pendant 3 ans et suit des cours avec Michel Zenino, Mario Stantchev, etc… Il y obtient le MIMA (ex-certificat FNEIJMA) en 2007,
et y suit des cours d’arrangements avec Gérard Maurin.
Depuis 2008, il se consacre entièrement à la contrebasse. Après
quelques cours avec Michel Zenino, Olivier Lalauze entre au
conservatoire d’Aix-en-Provence dans la classe de Jean- François
Bonnel en 2009. Il fait partie de plusieurs groupes : JFB’s New
Quartet, Tribute to Ornette ! (Raphaël Imbert, Jean-François
Bonnel, Mourad Benhammou), Philippe Gillet Trio, Christine
Lutz Quartet, More Time Papa Orchestra (Eric Luter) et a joué
entre autres avec Jean-François Bonnel, Cécile McLorin-Salvant,
Raphael Imbert, Mourad Benhammou, Nicolas Dary, Archie
Shepp, Cedrick Bec, Daniel Huck, Philippe Baudoin, Eric Luter,
etc…
Masterclasses et leçons avec Ron Carter, Marcus Miller, Archie
Shepp, Michael Felberbaum, Pierre-Jean Gaucher, André Charlier, Benoît Sourisse, Michel Perez, Frederic Loiseau, Ben Monder…
Festivals de Carthage, Montauban, Beaupré, Jazz en Lubéron…
Romain Morello découvre le trombone à travers le jazz. Il entre
au Conservatoire de Marseille dans la classe de Philippe Renault,
où il obtient son prix à l’unanimité en 2011. Il s’investit parallèlement dans les musiques actuelles et improvisées.
Au gré de ses collaborations, il se produit aux côtés de Philippe
Renault, Jean-François Bonnel, Christophe Leloil, Raphaël
Imbert, Nicolas Koedinger… Romain Morello se passionne également pour les grandes formations; il fait partie du GrantOrK
de Philippe Renault, du Romain Thivolle Big Band, du More
Time Papa Orchestra, puis intègre en 2012 l’Attica Blues Band,
où il côtoie notamment Archie Shepp, Ambrose Akinmusire et
Famoudou Don Moye. Il rejoint en 2013 le Nine Spirit Brass Band
de Raphaël Imbert, où il joue aussi du soubassophone.
Né en 1984 à Nouméa, Docteur en musicologie, Gabriel Manzaneque est également titulaire d’un BEM de jazz et guitare jazz.
C’est dans la classe de Jean-François Bonnel qu’il rencontre Olivier Lalauze et commencent à jouer ensemble au sein d’une formation spécifiquement montée pour le cursus du conservatoire
Darius Milhaud. Quelques années plus tard, et après quelques
projets communs, Olivier décide alors de l’intégrer à son sextet
et de partager avec lui cette aventure artistique…
Stéphane « ZEF » Richard - batterie
Ezequiel Celada - saxophones, alto, soprano, clarinette
Ezequiel Celada est né 1995 à Draguignan. Il commence la batterie dès l’âge de sept ans et le saxophone à 13.
Avant de rentrer au Conservatoire d’Aix-en-Provence vers ses 15
ans, il prend ses cours de saxophone et de batterie à la MJC à
Martigues. C’est là qu’il commence à faire ses premiers concerts
- dès 13 ans – les baguettes à la main, accompagné de son père,
pianiste de Jazz professionnel. A ses 17 ans il entre à l’IMFP (Institut Musical de Formation Professionnelle) et joue aussi du saxophone dans d’autres formations : Mad in (manouche), Blue Out
(jazz) avec qui il joue au Festival Jazz de Marciac, au Théâtre de la
Calade en Arles, au Festival Jazz en Lubéron...
Alexandre Lantieri - saxophones alto, soprano, clarinette
Alexandre Lantieri débute la clarinette enfant puis, après une
incursion dans la guitare et le rock, se met au saxophone et au
jazz à la fin de son adolescence. Il restera toujours proche des
musiques actuelles (cofondateur de la Fada Tribu, expériences
dans divers groupes de reggae) tout en suivant une formation à
l’IMFP de Salon-de-Provence durant 3 ans.
Titulaire du diplôme interne de l’IMFP ainsi que du MIMA, il se
perfectionne dans la classe de Jean-François Bonnel au conservatoire d’Aix-en-Provence. Aujourd’hui, Alexandre met en valeur
ses talents de compositeur et d’arrangeur au sein du HKBM
Orchestra de Marie Gottrand. Il est aussi membre de Made In,
une formation manouche aux compositions personnelles (Jazz
Emergence, festival d’Avoriaz...). En parallèle à ses activités scéniques, Alexandre dirige un atelier et enseigne le saxophone à
l’IMFP.
Stéphane Richard, dit « Zef », commence le tambour dans l’école
de musique de Dives-sur- Mer (Calvados), où il acquiert un niveau
technique suffisant pour jouer dans une fanfare d’harmonie dès
l’âge de 11 ans. Il étudie la batterie de 15 à 19 ans et consolide
son expérience de musique d’ensemble en jouant parallèlement
dans des orchestres d’harmonie, des formations jazz (trio, quartet…) et dans le Big-Band de Jazz local. Zef descend ensuite à Aixen Provence pour terminer ses études secondaires, et joue dans
le Big-Band d’Aix-en-Provence et suit des cours avec Philippe
d’Ercole et Philippe Rousselet.
A 24 ans, il entre dans la classe de jazz du conservatoire d’Aix-enProvence. Zef se consacre totalement à sa carrière de musicien
jazz, multiplie les concerts, s’implique dans diverses formations
musicales et entretient des collaborations artistiques prometteuses avec notamment le “JFB’s New Quartet”, où Jean-François
Bonnel est leader et le Kirby Memory. Il a eu l’occasion de partager la scène avec Archie Shepp, Nicolas Peslier, Pauline Atlan,
Cécile McLorin-Salvant, Philippe Baudoin, Eric Luter, Jean Dionisi, Nicolas Dary…
GILAD HEKSELMAN TRIO
Gilad Hekselman - guitare
Joe Martin - contrebasse
Kush Abadey - batterie
GILAD HEKSELMAN TRIO
communiqué
JEUDI 3 DÉCEMBRE
Concert avec le soutien du Consulat Général d’Israël de Marseille et du Centre Fleg.
Possédant un beau son et un phrasé fluide et merveilleux, l’écriture de Gilad Hekselman
et toujours de première classe, à la fois personnel et émouvant au delà des clichés.
DOWNBEAT MAGAZINE.
Le guitariste Gilad Hekselman est en tournée européenne pour la parution de
Homes, son 5ème album.
Gilad Hekselman trio
Le nouvel album de Gilad Hekselman est une magnifique exploration de tous ses ports d’attache, tant au
niveau des ondes musicales qui s’en dégagent que pour
celui des valeurs humaines qui les sous-tendent. En
compagnie de ses fidèles partenaires depuis dix ans, sans
oublier un invité de marque, le guitariste nous révèle les
secrets de son inspiration et nous fait pénétrer dans son
Home intérieur.
Avec Gilad, deux musiciens hors pairs, dont le contrebassiste Joe Martin (Brad Mehldau, Kurt Rosenwinkel, Maria
Schneider, Art Farmer…) et le jeune batteur Kush Abadey
(JD Allen, Terrance Blanchard, Barry Harris, Wallace Roney, Gary Thomas, Ravi Coltrane...) qui remplacera Justin
Brown initialement prévu.
Lieu du concert :
Le Cri du Port
13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Billetterie :
Nouvel album Homes
JazzVillage /Harmonia Mundi
Paru en septembre 2015.
« Gilad est un excellent guitariste qui apporte une nouvelle
voix au jazz et pas seulement pour la guitare. Son jeu est
fluide et intense, avec une qualité lyrique dans ses improvisations et compositions. Quand il joue ça vient du coeur, et
ça aussi, c’est très important.»
Lionel Loueke.
« Depuis son installation à New York, Gilad Hekselman s’est
inscrit dans le sillon tracé par Pat Metheny et Kurt Rosenwinkel, avec un jeu de guitare incisif et chaleureux, une articulation précise, des envolées fougueuses, une compréhension
profonde des règles harmoniques, et la virtuosité nécessaire
pour accompagner toutes les improvisations de son groupe. »
Ben Ratliff
www.giladhekselman.com
www.joemartinbass.com
Justin Brown à voir sur youtube
Photo : Josh Goleman
Albums à écouter : This Just In (2013), Homes - 2015 JazzVillage - Harmonia Mundi.
Autres dates en France de la tournée :
26 au 28/12 Duck des Lombards (Paris) // 29/12 Masterclass .
1/12 Masterclass à l’IMFP - 2/12 concert à Salon de Musique
(Salon-de-Provence)
Né en Israël en 1983, Gilad a étudié le piano classique dès
l’âge de six ans et la guitare à l’âge de 9 ans. De 12 à 14 ans
il joue régulièrement avec un groupe pour une émission
hebdomadaire de télévision pour enfants.
À 15 ans, il entre dans la prestigieuse Thelma Yellin
School of Arts, où il obtient son diplôme avec excellence,
du département de jazz. Gilad a reçu une bourse d’études
de l’America Israel Cultural Fondation. Il est diplômé de
la New School à New York.
Gilad Hekselman devient un des guitaristes les plus prometteurs de New York depuis son arrivée en 2004. En
quelques années seulement, cet israélien d’origine, a
partagé la scène avec certains des plus grands artistes
de la scène jazz new-yorkaise dont Chris Potter, Mark
Turner, John Scofield, Anat Cohen, Ari Hoenig, Sam Yahel, Jeff Ballard, Gretchen Parlato, Avishai Cohen, “Tain”
Watts Jeff Ballard, Tigran Hamasyan, Aaron Parcs et Greg
Hutchinson.
Il est constamment en tournée dans le monde entier et
joue dans les grands festivals (Montreux, The North Sea
Jazz Festival, Montréal, San Francisco Jazz Festivals... ).
Gilad est le gagnant du Concours International de la Guitare Gibson de Montreux en 2005. Il a aussi fait la première partie pour le légendaire guitariste Paco de Lucia
à Montreux en 2006, ce qui lui a value une série de performances lors de la Conférence IAJE, et au Dizzy’s Club
Coca-Cola à New York.
En 2006, Gilad sort son premier album Split Life (Smalls
Records) enregistré avec le bassiste Joe Martin et le batteur Ari Hoenig. Il a reçu des critiques élogieuses de la
presse comme l’a fait son deuxième album, Words Unspoken (LateSet Records), enregistré avec le batteur Marcus
Gilmore et le saxophoniste Joel Frahm.
En 2009, Gilad a enregistré trois titres pour Walt Disney
Records pour une collection qui comporte Dave Brubeck,
Joshua Redman, Esperanza Spalding, Diane Reeves, Roy
Hargrove, Kurt Rosenwikel, The Bad et d’autres légendes
du jazz.
Au printemps de 2010, Gilad a enregistré son troisième
album, Hearts Wide Open sous le label Le Chant du Monde
(Harmonia Mundi), avec Joe Martin à la basse, Marcus
Gilmore à la batterie et le saxophoniste de renommée
mondiale, Mark Turner. L’album a été très remarqué par
la presse à l’international et a figuré parmi les « Best of »
de 2011 du New York Times, Amazon et Itunes.
This Just In, l’album paru en avril 2013, est basé sur le
concept imaginatif d’un journal radio où les morceaux
sont entrecoupés d’interludes en forme de flashs soniques avant-gardistes. L’album met en valeur ses compositions aux influences très ouvertes. Des reflets rock,
folk, africains, israéliens et de musique classique d’Inde
du Nord parsèment l’album où l’inventivité harmonique
et la maîtrise rythmique de Gilad Hekselman se révèlent
les compléments naturels de la virtuosité qui est sa
marque de fabrique.
À la tête de son power trio avec Joe Martin à la basse et
Marcus Gilmore à la batterie, sans oublier la présence de
Mark Turner au sax sur deux titres, sa musique, délicieusement dynamique, irradie.
Pour l’automne 2015, est attendu son dernier opus
Homes.
Né à Kansas City en 1970, il grandit au sein d’une famille
d’amateurs de musique et c’est naturellement qu’il commence son apprentissage musical dès l’âge de 7 ans.
Après l’obtention de ses diplômes de fin d’études en
1994, il s’installe a NY et commence sa carrière professionnelle auprès des grands noms du jazz. Aujourd’hui
c’est l’un des bassistes les plus recherchés de la scène
de jazz new-yorkaise. Reconnu pour sa sonorité chaleureuse, son écoute, sa créativité harmonique et le lyrisme
de ses sols, il joue avec différentes personnalités musicales Kurt Rosenwinkel, Avishai Cohen, Art Farmer, Lionel Loueke, Brad Mehldau, Chris Potter, Maria Schneider,
Mark Turner... et bien d’autres. Le dialogue continue avec
les grands musiciens est une source majeure d’inspiration pour Joe Martin. La composition est un autre aspect
essentiel de son monde musical. Un sens mélodique fort
ainsi que l’utilisation de la partie de basse comme basse
et contrepoints sont des traits forts de son écriture musicale.
Agé de 24 ans et originaire de Washington D.C., Kush
Abadey est déjà un jeune batteur américain accompli.
Petit fils et fils de batteur de jazz , il commence l’apprentissage de la musique à l’age de 5 ans par le piano avec
Harlan Jones. Très jeune il joue de la batterie au sein de
l’orchestre de Fred Foss le « Youth Jazz Orchestra » et il
fréquente la « Levine School Of Music » ou il étudie la
batterie avec Tom Teasley.
A l’âge de 16 ans, c’est le tournant , il est engagé dans le
quintet du trompettiste Wallace Roney et il participe aux
nombreux concerts et tournées à travers le monde. En
2010 , il reçoit la bourse présidentielle pour étudier au
« Berklee College Of Music » de Boston ou il passe 2 ans.
Kush Abadey à enregistré en 2013 Understanding de Wallace Roney. Il enregistre aussi avec Frank Lacy et son
« Smalls Legacy Band » ainsi que l’album Fort Greene
Story de Géraud Portal. Depuis 2012, il vit a New York et
se produit en concert avec : JD Allen, Terrance Blanchard,
Barry Harris, Wallace Roney, Gary Thomas, Ravi Coltrane
...
EXTRAITS DE PRESSE
Ludovic Florin-JazzMan
Bien que son évidente qualité mélodique et sa faculté à penser ses solos par longues séquences développées
sautent aux oreilles, Gilad Hekselman est d'abord perçu comme le guitariste le plus doué de ce début de millénaire
sur le plan rythmique.
DOWNBEAT MAGAZINE
Possédant un beau son et un phrasé fluide et merveilleux, l’écriture de Gilad Hekselman et toujours de première
classe, à la fois personnel et émouvant au delà des clichés.
JazzNews
Une écriture lisible et un jeu fluide articulé avec une précision et une justesse remarquables.
TSF JAZZ
Le guitariste Gilad Hekselman a très vite gagné la confiance des plus grands, de Chris Potter à Mark Turner en
passant par Gretchen Parlato ou encore Jeff « Tain » Watts. Fascinant d’aisance et de talent, il est désigné comme
l’un des guitaristes les plus prometteurs de New-York.
Culturejazz.fr
Musique lumineuse, légère mais exigeante, complexe et abordable servie par un quartet de rêve : la fine fleur du
jazz actuel à New-York ! Indispensable !
NPR / WGBO Radio
...ils sont venus, ils ont joué, ils sont partis. La musique raconte une histoire tout à fait différente - engageante et
risquée, émotionnelle et vibrante, livrée avec les exigences du moment.
ABOUT.COM
Gilad Hekselman est à la pointe du monde de la guitare jazz, apportant sa marque à la technique, à l’humeur et à
la composition créés par des grands comme John Scofield et Kurt Rosenwinkel. Hearts Wide Open est fortement
recommandé.
Jazzmag Jazzman
Saluons donc en Hearts Wide Open un bel album et en son leader l’un des meilleurs représentants d’une talentueuse génération de guitaristes israéliens.
The Revivalist
Cet album est propulsé par le jeu d’Hekselman. Le son est définitivement rafraîchissant. Il joue avec la précision
d’un vétéran expérimenté et porte l’esprit optimiste d’une jeune âme...
NY TIMES
(...) Il a la capacité de se détacher des accords et du rythme afin de jouer avec plus de liberté, ce qui fait penser à
Paul Bley ou Ornette Cooleman... il est sur la bonne route, et il bouge...
Jazz Times
A travers des harmonies complexes, Hekselman a joué avec fluidité et lyrisme, sans s’éloigner des tensions dissonantes et sans résolutions prévisibles, tout en restant frais et excitant. Son trio a captivé le public très attentif du
club Upstairs.
Le Devoir, Montréal
Hekselman symbolise un jazz incisif, tourné vers l’avenir... Mais encore ? Un jazz qui emprunte des harmonies aux
musiques du monde pour mieux les fondre dans les rythmiques nord-américaines.
DIDIER LABBÉ QUARTET
ECHO À ABDULLAH IBRAHIM
Didier Labbé - saxophone, flûte
Grégory Daltin - accordéon
Laurent Guitton - tuba
Alain Laspeyres - batterie
DIDIER LABBÉ QUARTET
ECHO À ABDULLAH IBRAHIM
communiqué
JEUDI 10 DÉCEMBRE
La musique d’Abdullah Ibrahim reflète la complexité identitaire de son pays, à
travers la richesse et la diversité empruntées aux chants Malay du Cap, à la musique traditionnelle africaine, aux succès populaires de l’époque, à la musique
de carnaval, aux standards de jazz afro-américain et aux musiques religieuses.
Didier Labbé quartet
Didier Labbé - saxophone, flûte
S’inspirant pour cette création des mélodies et des
rythmes très festifs, mais aussi de la dimension sacrée
qui traverse les thèmes du grand compositeur sudafricain Dollar Brand/Abdullah Ibrahim, Didier Labbé
propose un répertoire de compositions personnelles
et de reprises, mariant l’art de la nuance et une fougue
presque sauvage...
Les thèmes se succèdent tantôt festifs tantôt plus abstraits qui emmènent ce programme au-delà d’une rencontre entre world-music et free jazz. Le musicien Didier Labbé, directeur artistique de la
Compagnie Messieurs Mesdames, puise son inspiration
au croisement du jazz, des musiques improvisées et des
musiques populaires. Figurent parmi ses rencontres
artistiques les plus marquantes Hermeto Pascoal, John
Tchicaï, Bojan Z, ou encore Lindsay Cooper...
Lieu du concert :
Le Cri du Port
13003 Marseille
infoline 04 91 50 51 41
www.criduport.fr
Didier Labbé enchaîne les tournées en France et à l’étranger et
entretient une relation privilégiée avec la Turquie, l’Afrique du
Sud, le Sénégal et Madagascar.
Il participe aux Saisons Croisées France-Turquie en 2007 avec
la création Bazar Kumpanya et plus récemment en 2012 et
2013 aux Saisons France-Afrique du Sud avec son Quartet dans
un programme en écho à Abdullah Ibrahim.
Compagnie Messieurs Mesdames compte aujourd’hui près
d’une vingtaine d’artistes et a produit une dizaine d’albums,
elle fêtera ses 25 ans cet automne 2015.
La Cie Messieurs Mesdames est conventionnée par la Région MidiPyrénées, et reçoit le soutien de la DRAC Midi-Pyrénées, de la Ville de
Toulouse et du Conseil Général de la Haute-Garonne. Pour certains
projets elle reçoit le soutien de l’INSTITUT FRANÇAIS, de l’ADAMI, de
la SPEDIDAM, de la Fondation Orange et du Crédit Mutuel.
www.didierlabbe.com
Photo : Pierre Frot (portrait) / Mamyscopitone (groupe)
Album à écouter : Le Cap
A visionner sur youtube
Billetterie :
Didier Labbé - saxophone, flûte, direction de la Cie Messieurs Mesdames
Le musicien Didier LABBÉ, directeur artistique de la Compagnie Messieurs Mesdames, puise son inspiration au
croisement du jazz, des musiques improvisées et des musiques populaires.
Figurent parmi ses rencontres artistiques les plus marquantes Hermeto Pascoal, John Tchicaï, Bojan Z. ou encore
Lindsay Cooper...
Didier Labbé enchaîne les tournées en France et à l’étranger et entretient une relation privilégiée avec la Turquie,
l’Afrique du Sud, le Sénégal et Madagascar.
ll participe aux Saisons croisées France-Turquie en 2007
avec la création Bazar Kumpanya et plus récemment en
2012 et 2013 aux Saisons France-Afrique du Sud avec son
Quartet dans un programme en écho à Abdullah Ibrahim.
La Cie Messieurs Mesdames compte aujourd’hui près
d’une vingtaine d’artistes et a produit en 25 ans une dizaine
d’albums (CHOC JAZZMAN pour Zadar, ****JAZZMAN pour
Tous au Souk, ***JAZZMAN et BRAVO de Trad Magazine
pour l’album Bazar Kumpanya...).
Pour les 25 ans de la Cie un temps fort se prépare à l’automne 2015 avec le soutien de nombreux partenaires : rétrospective des créations, concerts, performances... C’est
dans ce contexte que sera présentée la nouvelle création
du Quartet En écho à Hermeto Pascoal.
Prix du Syndicat de la critique du meilleur compositeur de
musiques de scène en 1999 et CHOC Jazzman en 2002.
Grégory Daltin s’est formé au Conservatoire (CRR) et au
Centre d’études supérieures Musique et Danse (CESMD)
de Toulouse dans la classe de Guy Ferla, où il obtient de
nombreux prix à l’unanimité ainsi qu’ un Diplôme d’Etat de
professeur.
Aucune frontière à son accordéon et sa grande dynamique
de jeu, il explore les styles et créée ses propres tonalités en
jouant sur les nuances et le souffle ample de l’instrument.
Principales collaborations :
Musique classique/contemporaine : Orchestre National
du Capitole, Ensemble Pythagore, Eric Sammut (création
accordéon/marimba).
Jazz/musiques actuelles : Didier Labbé, Coco Guimbaud,
Les grandes bouches, Mouss et Hakim, La rue Kétanou,
Batignolles.
Il se produit régulièrement dans le cadre de ciné-concerts
improvisés à la Cinémathèque Nationale de Toulouse.
Premier Prix du CNSMD de Paris en 1995, Laurent Guitton
se tourne ensuite vers le jazz et les musiques improvisées.
Virtuose de cet instrument, il est un des solistes les plus
recherchés à cet instrument, pour son phrasé, les techniques qu’il développe inspirées des chants diphoniques
par exemple.
A partir de 1996, il devient membre du Didier Labbé Quartet et réalise avec celui-ci plus de 200 concerts en France
et à l’étranger, crée de nombreux spectacles et projets (Bojan Z et Brad Schépik) (Octet) et enregistre plusieurs CD,
dont un ‘‘Choc Jazzman’’.
En 1999, il intègre le groupe Dézoriental, qui signe un album chez Dreyfus Jazz. Il noue des collaborations dans le
domaine du jazz et des musiques du monde et fera partie
notamment des projets du Trio Amestoy, Sardana Jazz de
Michel Marre, des créations de J.M. Machado et de François Merville, le Big Band d’Abdu Salim...
Il remporte le Concours de jazz de Barcelone en 2007 avec
le projet du Vrak’Trio, aux côtés d’E. Lecomte et O. Roca.
En tant que compositeur et leader, en 2008 il crée l’Electric
Tuba Gang, écrit et dirige la musique de Querbes Banlieues
(commande du festival Les Jours et les Nuits).
Côté théâtre, il participe aux pièces Casimir et Caroline Faut pas payer et la Ménagerie de Verre mise en scène
par Jacques Nichet (TNT) et fait partie de l’aventure du
Fantasia Orchestra aux côtés du chanteur Abdel Sefsaf et
du directeur musical Georges Baux.
Il travaille également en studio avec Bernard Lavilliers,
Les Yeux Noirs, Bernard Joyer.
Il collabore dès 2001 avec des chorégraphes contemporains (Cie Taffanel, Cie Yann Lheureux), en particulier l’Ikapa Dance Theatre de Cape Town et la Cie Vincent Mantsoe
dans le cadre de la création de Didier Labé Echo à Abdulah
Ibrahim.
Alain Laspeyres étudie la batterie et la composition au
CNR de Toulouse à Music’halle puis, obtient le prix de Jazz
et musiques improvisées du CNSM de Paris où il fût élève
de Daniel Humair, Ricardo Del Fra, François Jeanneau,
François Théberge, Glen Ferris et Hervé Sellin.
Il participe à la création nationale du Sound Painting sous
la direction du compositeur et chef d’orchestre américain
Walter Thompson.
Parallèlement à ses propres projets, il se produit essentiellement sur scène et dans la rue. On a pu le voir au
coté d’Andy Emler, Emmanuel Bex, Vincent Peirani, Brice
Martin, Abdu Salim, Dick Annegarn... et à participer entre
autres au festival Paris Jazz, La Défense, Jazz Sous Les
Pommiers, Jazz in Marciac...
INFORMATIONS PRATIQUES
ADHÉSION saison 2015 - 2016
Comme de nombreuses association disposant d’un bar, Le Cri du Port est soumis selon la législation au principe
du Cercle Privé, réservé aux seuls membres usagers. Pour cette saison deux formules d’adhésion :
• Carte PARKER, 10€ qui permet de bénéficier des tarifs réduits, de recevoir les brochures de la saison, et l’accès
au cercle du bar.
• Carte ZAZOU, gratuite qui permet de recevoir nos informations par e-mail, et l’accès au cercle du bar.
BILLETTERIE
- Il est possible de réserver directement ses billets au Cri du Port (sans frais de location) en nous contactant :
tél : 04 91 50 51 41 ou par courriel : [email protected] , .
Sur place, les soirs des concerts ouverture de la billetterie 45’ avant la représentation.
- Sur les points de ventes habituels, et billetteries en ligne (avec frais de location), chez nos distributeurs partenaires :
• Espaceculture_marseille - 42, la Cannebière Marseille 1er. Tél : 04 96 11 04 61
• www.francebillet.com - Fnac, Carrefour, Géant
• www.ticketmaster.fr - Auchan, Cora, Cultura, e.leclerc
• www.digitick.com
TARIF RÉDUIT
• Jeunes de 8 à 18 ans, étudiants, demandeurs d’emplois, bénéficiaires du RSA (sur présentation d’un justificatif
récent.
• Élèves des classes de Jazz des Conservatoires de Marseille, Aix-en-Provence, Toulon, et les élèves de l’IMFP sur
présentation de la carte en cours. Musiciens intermittents du spectacle.
• Adhérents Fnac, et certaines enseignes sur leurs points de vente.
• Groupe de dix personnes au moins, nous contacter au préalable.
ACCÈS
Le Cri du Port 8, rue du Pasteur. Marseille 3e. Tél : 04 91 50 51 41
Située dans le bâtiment du Parvis des Arts, dans le quartier Saint-Lazare, entre la Joliette et la Gare Saint-Charles,
la salle du Cri du Port est au premier étage sans ascenseur.
Au rez-de-chaussée l’espace bar est ouvert 45’ avant le début des concerts.
Nous sommes à cinq minutes des stations de métro, 50m des arrêts de bus, et facilement accessible en voiture.
• Métro : ligne 1 - stations Colbert ou Saint-Charles // ligne 2 - stations Saint-Charles, Jules Guesde ou Désirée
Clary
• Bus : lignes n°31, 32, 49, 70, ou 89 - arrêt Place de Strasbourg // lignes n° 82s et 97 - arrêt Blidah Saint Lazare
• Tramway : arrêt - La Joliette
L’association Le Cri du Port est subventionnée par : La Ville de Marseille, le Conseil Départemental des Bouches-du-Rône, la Région PACA,
le Ministère de la Culture (DRAC PACA), et les sociétés civiles : CNV, SACEM, et SPEDIDAM.
L’association est membre : de la FEDELIMA Fédération des Lieux de Musiques Actuelles, d’AJC, et du SMA (Syndicat des Musiques Actuelles). Le Cri du Port est aussi membre fondateur du réseau TREMA et de l’association Jazz sur la Ville.
A chaque saison Le Cri du Port collabore avec différents acteurs culturels Marseillais, Français ou étrangers, pour ce programme nous
avons le plaisir d’avoir comme partenaires :
L’Alhambra Cinémarseille, l’Assos’Picante, les Bibliothèques de la Ville de Marseille, Cabaret Aléatoire, Centre Edmond Fleg, Charlie Free, le
Consulat Général d’Israël de Marseille, Cultures du Cœur, Denova, Espaceculture_Marseille, Espace Julien, Maison Blanche Mairie du 9-10

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(Article Jazzophone 3 Décembre 2015)

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