dossier de presse - Théâtre Les Tanneurs
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dossier de presse - Théâtre Les Tanneurs
Petr Zelenka / David Strosberg Michal Chelbin / INSTITUTE 30.09 > 04.10.14 & 7 > 11.10.14 DOSSIER DE PRESSE PETITES HISTOIRES DE LA FOLIE ORDINAIRE Il n’existe qu’un moyen de s’en sortir. Se faire expédier comme colis postal. Petr Zelenka Contact presse Juliette Mogenet [email protected] 02/213 70 52 - La pièce et ses thèmes - Mise en scène et scénographie - Extraits - Distribution - Biographies - Infos pratiques La pièce et ses thèmes Au départ, c’est le rire de l’impuissance présent dans le texte qui a séduit David Strosberg. Il a apprécié la sincérité des personnages dans cette pièce qui décortique les rapports humains et montre les besoins d’amour et de reconnaissance des uns et des autres en même temps que la difficulté de vivre ensemble. Dans un premier temps, ce sont donc les thèmes de la solitude dans les grandes villes et de la fin des utopies collectives et leur traitement humoristique qui ont attiré David Strosberg et l’ont décidé à mettre en scène ce spectacle. Au fil du travail sur le texte avec les comédiens, il est apparu que les questions de la solitude et des difficultés dans la communication interpersonnelle étaient abordées dans le spectacle par autant de tentatives de briser le silence, d’espaces de parole intergénérationnelle, de rencontres parfois hasardeuses et improbables. Malgré tout, les personnages vont les uns vers les autres, se parlent, s’entraident, sont sincères et ouverts. Ainsi, point d’impuissance ou de désespérance dans l’humour de Zelenka mis en scène par David Strosberg, mais plutôt une force positive et généreuse qui essaie de dépasser les barrières entre hommes, femmes, générations. La pièce est donc traversée de questionnements aussi fondamentaux que divers : qu’est-ce que la folie ? Comment vivre ensemble ? Qu’est-ce que la solitude ? Quelles sont les utopies qu’il nous reste ? Comment appréhender la vieillesse ? Quels sont les mécanismes sociaux et familiaux dans lesquels nous sommes pris ? Nous broient-ils ? Nous grandissent-ils ? Qu’est-ce que la folie ? Qu’est-ce que la normalité ? Le spectacle n’apporte évidemment aucune réponse toute faite à ces nombreuses questions soulevées, mais il laisse toutefois poindre une vision du monde nuancée, à la fois tourmentée et optimiste. Mise en scène et scénographie David Strosberg a choisi d’exploiter dans sa mise en scène la densité des dialogues de l’écriture de Petr Zelenka. L’écriture est rapide, rythmée, les répliques se succèdent et l’humour émerge de cet enchaînement. Contrairement à ses derniers spectacles qui proposaient une mise en scène plutôt épurée et un ou deux comédiens sur scène (Une Lettre à Cassandre ou encore Et avec sa queue, il frappe !), David Stroberg nous offre aujourd’hui un spectacle où se croisent sur scène dix comédiens dans un beau désordre maîtrisé et foisonnant. Le travail de direction d’acteur est toujours aussi important : la recherche de la justesse des comédiens est primordiale. Même dans les situations absurdes, l’humour n’est pas traité de manière illustrative : le rire provient du fait que les personnages s’impliquent dans ce qu’ils font. Le jeu des comédiens repose sur la sincérité avec laquelle les peurs et les faiblesses sont affichées. La scénographie de Marie Szersnovicz a été pensée pour exprimer la succession des évènements qui se déroule sur scène. Elle est conçue pour que les scènes puissent s’enchaîner et pour maintenir le rythme du spectacle, mais également pour refléter le joyeux désordre des vies que l’on découvre sur scène. Sans être nullement illustrative, la scénographie utilisera également les éléments concrets du texte pour ancrer le spectacle dans le réel et rendre tangibles les personnages et leurs aventures. La lumière de Harry Cole soulignera de manière nuancée non seulement le rythme effréné du spectacle mais également la subtilité du jeu des comédiens. Extraits du texte LE PÈRE Je voulais juste vous demander si vous alliez bien. SYLVIE Vous voulez dire si je ne suis pas dans le même état que la dernière fois ? LE PÈRE Oui. SYLVIE Non. J’ai juste fait une petite crise. Ça peut arriver à tout le monde. LE PÈRE Vous vouliez avaler des cachets. SYLVIE Des cachets ? Vraiment ? Sylvie crache de l’eau sur la terre glaise. LE PÈRE SYLVIE LE PÈRE SYLVIE C’était quoi ce bruit ? J’humidifie la terre. Vous êtes avec quelqu’un ? Je vous dérange ? Non. Je suis simplement de bonne humeur alors je crée. (...) JANA chose. PETR Ah bon ? Très bien. Moi aussi je dois te dire quelque Je ne sais pas si j’ai envie de savoir. Il essaye de l’embrasser à nouveau. JANA Attends. C’est intéressant. Quand on s’est séparé, ça m’a complètement brisé. J’ai un peu pété les plombs. Je suis sortie avec divers types. PETR C’est sûr, je ne veux rien savoir. JANA Tu te rappelles de la cabine téléphonique qui se trouve en bas de chez moi ? PETRLa nôtre. JANA Maintenant tu en fais notre cabine téléphonique. C’est une cabine comme une autre. J’ai noté son numéro. La nuit, je regardais par la fenêtre et quand un homme à peu près correct passait à côté, j’appelais. PETR Avec le téléphone ? JANA Oui, avec le téléphone. La plupart des hommes décrochaient. PETRÉvidemment. JANA Toi aussi tu aurais décroché. Il y a quelque chose de magique là-dedans et vous y êtes particulièrement réceptifs. Une rue déserte la nuit, une cabine téléphonique dans laquelle sonne un téléphone. Tu as le sentiment que le Créateur de l’univers en personne veut te dire quelque chose. PETR Évidemment. Et après ? JANA Je faisais semblant de m’être trompée de numéro, bien sûr ces types trouvaient ça très romantique. On parlait un moment et après je les invitais à prendre un café. En général on le faisait déjà dans le couloir ou dans l’ascenseur. PETRAaaaah. (...) Distribution Texte Petr Zelenka Mise en scène David Strosberg Assistant à la mise en scène Clément Goethals Avec Angèle Baux, François Beukelaers, Romain Cinter, Chloé De Grom, Inès Dubuisson, Janine Godinas, Clément Goethals, Philippe Grand’Henry, Sofie Kokaj et Alexandre Trocki Scénographie et costumes Marie Szersnovicz Lumières Harry Cole Une coproduction du Théâtre Les Tanneurs, du Manège.Mons, du Théâtre de Liège et du Théâtre de Namur Avec l’aide du Centre des Arts Scéniques Avec le soutien de la Commission Communautaire Française Biographies Petr Zelenka Ecrivain, scénariste et réalisateur né en 1967 à Prague, Petr Zelenka a étudié à la Faculté de Cinéma de l’Ecole des Arts du Spectacle de Prague (FAMU). Il se fait connaître du grand public en 1996 avec son film Les boutonneurs. En 2002, il obtient le premier prix du festival de cinéma de Carlsbad pour son film L’année du diable. Il a également adapté à l’écran l’histoire des Frères Karamazov. En 2001, sa première pièce de théâtre, Petites histoires de la folie ordinaire, connaît un vif succès et reçoit le prestigieux prix de la Fondation Alfred Radokces, qui récompense le meilleur texte de théâtre, qui est depuis traduit en de nombreuses langues. Il adaptera également au cinéma ce spectacle sous le titre Wrong side up. En 2007, il commence une collaboration avec le théâtre de Cracovie. David Strosberg Metteur en scène, artiste associé au KVS pendant quatre ans, et directeur artistique du Théâtre Les Tanneurs depuis 2010, David Strosberg est actif dans les communautés française et flamande. Après ses études à l’INSAS, il commence comme metteur en scène au Théâtre Varia avec L’Enfant rêve d’Hanokh Levin en 2000. Féru d’écritures contemporaines, il n’a de cesse depuis de faire découvrir au public des textes qui font résonner le présent. Ainsi, parmi ses mises en scène, Ode maritime de Fernando Pessoa, Le tueur souriant de Jean-Marie Piemme, Djurdjurassique bled de Fellag, Schitz d’Hanokh Levin ou encore Mein Kampf (Farce) de Georges Tabori. En 2011, il est coach/œil extérieur pour Rue du Croissant de Philippe Blasband. En 2013, il crée Une Lettre à Cassandre de l’auteur portugais Pedro Eiras avec Anne-Pascale Clairembourg et Karim Barras. En 2014, il met en scène Et avec sa queue, il frappe ! de l’auteur belge Thomas Gunzig, un seul en scène porté par le comédien Alexandre Trocki . Angèle Baux-Godard Angèle Baux-Godard, née en 1987, sort de l’Insas en juin 2012 avec la production Angels in America sous la direction d’Armel Roussel. Avant sa formation à l’Insas, Angèle a suivi une licence Arts du spectacle à l’université de Montpellier et mis en scène Héritage_s, pièce inspirée des écrits journalistiques de Pierre Paolo Pasolini, jouée au Théâtre de la Vignette. En septembre 2012, elle crée l’association Probedones d’Abaigt. Association avec laquelle elle organise une résidence de création et de recherche artistique dans les Pyrénées orientales. Cette résidence accueille le travail du Collectif Wow !, d’Alexandra Agullo Soler, de Roberto Secchi, d’Amélie Lemonnier et de Jean-Baptiste Delcourt pour l’édition 2013. Depuis 2013, elle travaille en tant que comédienne avec Antoine Laubin, Clément Goethals, Jean-Baptiste Delcourt, Salvatore Calcagno, et aujourd’hui David Strosberg. François Beukelaers Comédien, acteur et metteur en scène belge né en 1938, François Beukelaers joue en français, néerlandais, anglais et allemand. Diplômé de La Cambre en architecture, de l’Institut des Arts Dramatiques d’Antwerpen en mise en scène et acteur. Au théâtre, il travaille au KNS (Théâtre royal néerlandophone d’Antwerpen), enseigne le théâtre au Studio Herman Teirlinck, rejoint la troupe du Varia en 1981, enseigne à l’INSAS, joue au KVS. Il met en scène la première pièce de Jean-Marie Piemme Neige en décembre, et crée à Avignon dans la Cour d’Honneur Histoires de larmes de Jan Fabre en 2005. Au cinéma, il tourne avec Hugo Claus, André Delvaux, Marc Didden et Dominique Deruddere. Réalisateur pour la BRT, il joue également dans plus de 40 longs métrages. Romain Cinter Comédien suisse de 26 ans, Romain Cinter a étudié à l’INSAS. Son parcours dans l’école s’achève avec la très remarquée production de sortie Angels in America mise en scène par Armel Roussel au Théâtre National. Parallèlement à ses études, il participe en 2009 au concours Danse Elargie du théâtre de la Ville à Paris où il est finaliste avec le collectif NousLoveChachacha, et s’essaie à la mise en scène avec une création autour de Peter Pan. Durant la saison 2012-2013, il est engagé par Philippe Sireuil dans la pièce de JeanMarie Piemme La Main qui ment au théâtre du Grütli à Genève et par Armel Roussel pour le work in progress Mélo présenté au Théâtre Les Tanneurs et au Théâtre de Vanves à Paris. Il crée également avec Chloé De Grom sur invitation d’Armel Roussel une performance Primus Tempus dans le cadre du focus [e]utopia&&& au Théâtre Les Tanneurs. En novembre 2013, il joue le monologue Rearview de Gilles Poulin-Denis mis en scène par Armel Roussel au Théâtre Les Tanneurs. Le spectacle sera repris en 2015 à Vanves. Pour cette saison 14/15, en plus de son rôle dans Petites histoires de la folie ordinaire, il jouera dans Le garçon de la piscine, prochaine création de Salvatore Calcagno et Ondine (démontée), prochaine création d’Armel Roussel. Parallèlement, Romain continue l’écriture de son spectacle autour de Peter Pan, JAMAISJAMAIS. Chloé De Grom Chloé De Grom sort de sa formation à l’INSAS en 2012 sous la direction d’Armel Roussel avec Angel’s in America et enchaîne au théâtre en jouant avec plusieurs metteurs en scène : Claude Schmitz (Le Salon des Refusés à la Balsamine), Philippe Sireuil (La main qui ment au Grütli-Alambic), Stéphane Arcas (Bleu bleu au ThéâtreOcéan Nord), Yves- Noël Genod (Avant première de 1er Avril au théâtre des Bouffes du Nord), en duo avec Romain Cinter pour une perfomance (Primus Tempus au Théatre Les Tanneurs). Elle joue également dans les créations de Salvatore Calcagno : La Vecchia Vacca, créée au Théâtre Les Tanneurs et reprise à Bozar, et aux théâtres de Vanves, de Liège et de La Chapelle), La tragédie musicale, courte pièce présentée au Festival XS au Théâtre National et très prochainement dans Le Garçon de la piscine qui sera créé au Théâtre Les Tanneurs et repris à Vanves. Elle a été nominée espoir féminin par le prix de la critique en 2013 pour son rôle dans La Vecchia Vacca. D’autres futures et nouvelles collaborations se dessinent pour elle, notamment avec Nicolas Luçon.Du côté du cinéma, elle fait ses débuts avec Sébastien Petretti (Famille à vendre/ court-métrage), Pierre Dozin (Bug Inka/ Clip) Camille Mikolajczak (Triptyque/ Court-métrage expérimental) et tiendra un rôle dans le prochain film de Joann Sfar (La femme dans l’auto avec des lunettes et un fusil/ Long métrage). Inès Dubuisson Diplomée de l’INSAS en 2012, la comédienne Inès Dubuisson joue dans la pièce Derniers remords avant l’oubli de Jean-Luc Lagarce mise en scène par Michel Kacenelenbogen en 2013. Créé au Théâtre de Poche à Genève, ils la rejouent en avril 2014 à Bruxelles au Théâtre le Public mais également au Théâtre de l’Orangerie à Genève. Inès fait également depuis 2008 partie des Rougisseurs, un Collectif Urbain d’intervention mobile créé par Valérie Vanhoutvinck qui travaille sur la notion de trouble en espace public. De septembre à novembre 2014, nous la retrouvons sur les planches du Théâtre Les Tanneurs à Bruxelles, du Théâtre de Liège, du Manège.Mons et au Théâtre Royal de Namur dans Petites histoires de la folie ordinaire. En 2015, on la retrouvera au Théâtre le Public pour la pièce On achève bien les chevaux de Horace McCoy dans une mise en scène de Michel Kacenelenbogen. Janine Godinas Janine Godinas est une comédienne essentielle du théâtre belge. Dans son travail, la rigueur et la recherche continuelle de la justesse sont omniprésentes. Cette rigueur, elle la retrouve aussi chez des metteurs en scène dont elle est la fidèle interprète. Philippe Sireuil l’a mise en scène notamment dans Pleurez mes yeux, pleurez, d’après le Cid de Corneille, Mort de chien de Hugo Claus, Café des patriotes et Scandaleuses et Jean-Marie Piemme, La Mouette de Tchékhov, etc. Elle a également joué de nombreuses fois pour Michel Dezoteux : dans La Cerisaie de Tchékhov, Sauvé d’Edward Bond, Les présidentes de Werner Schwab, ou encore Périclès, Prince de Tyr de Shakespeare. Gildas Bourdet l’a également dirigée dans plusieurs de ses spectacles, notamment Le Saperleau et Une station service. Elle travailla avec tant d’autres metteurs en scène encore avec qui elle révéla au public de nombreux textes forts. Elle est aussi indissociable de Gil Lagay dont elle partagea la vie et la passion du théâtre. Une passion qu’elle communiqua à ses élèves de l’IAD où elle enseigna durant 20 ans. Elle est aussi metteure en scène (notamment S.T.I.B. de Geneviève Damas au Public, Marrakech de Paul Pourveur, Cosmétique de l’ennemi d’Amélie Nothomb, Tatouage de Dea Loher, Les yeux inutiles de Jean-Marie Piemme...). Clément Goethals Né en octobre 1991 à Roubaix, il achève sa formation à l’INSAS en juin 2013 dans l’option “Réalisation Théâtre” avec la mise en scène de Eléments moins performants de Peter Turrini dont il présente 45 minutes. Parallèlement à l’INSAS, il suit régulièrement des productions professionnelles en tant qu’assistant à la mise en scène, notamment avec Armel Roussel et Frederic Dussenne. Il crée Tout ce vide me bourre la panse. Forêt , petite forme poétique pour le Festival Premiers Acte en Août 2013. Il joue également dans Angels in america de Tony Kushner, mis en scène par Armel Roussel au Théâtre National dans le cadre de la production de sortie de l’INSAS 2011/2012. Il a joué en Juin 2014 dans la création de Romain Cinter JamaisJamais et il a participé à la reprise de Catalina in Fine de Fabrice Melquiot mis en scène par Vincent Goethals lors de la saison estivale 2014 du Théâtre du Peuple de Bussang. Il jouera également dans Le garçon de la piscine, de Salvatore Calcagno. Côté mise en scène, il travaille actuellement sur son prochain spectacle: Et la tendresse? autour de l’oeuvre d’Evelyne de la Chenelière. Ce spectacle sera le premier porté par la compagnie F.A.C.T. qu’il a co-créé en janvier 2014. Philippe Grand’Henry Philippe Grand’Henry a travaillé sous la direction de nombreux metteurs en scène: Mathias Simons, Philippe Sireuil, Lorent Wanson, Nathalie Mauger, Isabelle Pousseur, Jean-Marie Piemme, Charlie Degotte, David Strosberg, Elizabeth Ancion, Armel Roussel, Céline Chrel, Xavier Schaffers, Antoine Laubin… Au cinéma, il joue entre autres dans Les Convoyeurs Attendent de Benoît Mariage, Madame Edouard de Nadine Monfils, Kill Me Please de Olias Barco et Bullhead de Michael R. Roskam. Sofie Kokaj Formée à la danse contemporaine et classique puis à l’INSAS à la mise en scène, Sofie Kokaj se lie dès 1993 aux expériences du Groupov. Outre la mise en scène (entre autres On rendra les grands idéaux à leur exécuteurs – 2005, This is not a love song – 2008, et plus récemment Mange ta glace que l’on a pu voir au Théâtre Les Tanneurs en avril 2014), elle expérimente le jeu (dans les spectacles d’Armel Roussel, d’Anisia Uzeyman ou de Jacques Delcuvellerie) et l’écriture pour Pierre Droulers et Maya Boesch... Elle a été invitée à Lisbonne, Paris et Genève pour des résidences d’écriture, de jeu et de mise en scène. Alexandre Trocki Sorti de l’INSAS à la fin des années 80, Alexandre Trocki travaille depuis avec de nombreux metteurs en scène, notamment Michel Dezoteux, Philippe Sireuil, Jacques Delcuvellerie, Lars Noren, David Strosberg, Lorent Wansons, Virginie Thirion, AnneCécile Vandalem, Vincent Goethals… et à travers de nombreux auteurs tels que Tchékov, Shakespeare, Musset, Molière, Claudel, ou encore Feydeau, Labiche , Piemme, Schwab, Tabori, Lagarce, Müller, Kleist… Au cinéma, il tourne dans plusieurs courts-métrages et travaille notamment avec les frères Dardenne dans Le silence de Lorna. Marie Szersnovicz Diplômée en 2005 de l’Ecole Supérieure des Arts Décoratifs de Strasbourg, Marie Szersnovicz se forme à la scénographie et à la conception de costumes. Au théâtre, elle collabore un temps avec le metteur en scene suisse Eric Devanthery (L’inattendu, Discopigs). Installée à Bruxelles depuis 2006, Marie Szersnovicz travaille avec les metteurs et metteures en scène Noémie Carcaud (Au plus près), Anne-Cecile Vandalem (Habit(u)ation), Stéphane Arcas (L’argent), Sabine Durand (Le Banquet dans les bois), ainsi qu’avec Nalini Menamkat (1913). Depuis 2008, elle a développé une complicité particulière avec Transquinquennal (Blind Date 3, Coalition (avec Tristero) Capital Confiance (avec le groupe Toc), La Estupidez), avec Tristero (Reset, Toestand) ainsi qu’avec Guy Dermul (Barakstad, It’s my life and I do what I want avec la collaboration de Pierre Sartenaer, Skieven). Harry Cole Harry Cole Harry Cole a commencé à travailler comme régisseur en 1984. Entre 1989 et 1997, il a travaillé en tant que créateur lumière à l’ancien KJT, aujourd’hui Het Paleis. En 1997, il est devenu indépendant et a travaillé comme créateur lumière sur de nombreuses productions en théâtre et en danse. Il a travaillé entre autres avec et pour Jan Fabre, Alain Platel, Arne Sierens, le Théâtre Antigone, le KVS, le Young Heart Choeur de Northampton aux USA, la Compagnie Lamaison à Toulouse, etc. Au même moment, il décida de transmettre sa passion et ses connaissances à travers diverses formations données en flandre. INFOS Dates 30.09 > 04.10.14 7 > 11.10.14 >> 20h30 sauf mercredis 01.10 et 08.10 à 19h Durée 1h40 Le jeudi 2.10.14 après le spectacle : rencontre avec l’équipe artistique Réservations Théâtre Les Tanneurs [email protected] 02 512 17 84 Prix Prix plein : 12 € Prix réduits : 8 € / 5 € Article 27 & Arsène 50 A voir également... > au Manège.Mons : 15 > 17.10.14 > au Théâtre de Namur : 21 > 24.10.14 > au Théâtre de Liège : 18 > 22.11.14 Dossier de presse et photos également disponibles sur www.lestanneurs.be > presse > petites histoires de la folie ordinaire Contact presse Juliette Mogenet [email protected] 02/213 70 52
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