51 JE T`AIME - Webagoo.net

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51 JE T`AIME - Webagoo.net
51 JE T’AIME
Dans la forêt d’Afrique,
Un Congolais chantait
Pastis 51
Boisson alcoolisée
Basile (ou X) est au comptoir
Il sert l’apéro
Il va de verre en verre
Pour servir le Pernod
Répéter en choeur
Répéter en choeur
51 je t’aime
J’en boirais des tonneaux
A me rouler par terre
Sous les noix de coco
Basile (ou X) est au Brésil
Il baise à tours de bras
Il va de fille en fille
Répandre le sida
Répéter en choeur
Répéter en choeur
Et si tu m’abandonnes
Alors je m’empoisonne
Avec une bombonne
De bon Ricard bien jaune
Basile (ou X) n’a plus de membre
Il est à l’hôpital
On va de chambre en chambre
Pour voir s’il va mal
Répéter en choeur
Basile (ou X) est au Brésil
Il danse la samba
Il va de ville en ville
Pour apprendre le pas
Répéter en choeur
A CAPES
A Capes, A Sexis, A Centrum
Occulate !
A Capes, A Sexis, A Centrum
Audate !
A Capes, A Sexis, A Centrum
Olfacte !
A Capes, A Sexis, A Centrum
Gustate !
A Capes, A Sexis, A Centrum
Discutate !
A Capes, A Sexis, A Centrum
De novo discutate !
A Capes, A Sexis, A Centrum
Dagoubitate !
A Capes, A Sexis, A Centrum
Hydrate !
A LA CLAIRE FONTAINE
A la Claire Fontaine est sans doute l’une des chansons les plus visitées pour inspirer des variantes pas toujours
chastes.
A la claire fontaine
Hier après dîner
Il y avait trois capitaines
Qui m’ont déshabillée.
Là je vis sous la lune
Arriver le bedeau
Qui me dit: viens, ma brune,
Faire la bête à deux dos.
Refrain
Refrain
Il y a longtemps que je baise
Jamais je ne m’arrêterai.
Puis le maître d’école
A son tour est venu
M’a glissé son obole
Dans l’abricot fendu.
Et là sous la verdure
Tous les trois à la fois
M’ont glissé leur nature
Dans tous les bons endroits.
Refrain
Après les capitaines
Vint le gentil meunier
M’a pris la turlutaine
Et s’en est régalé.
Refrain
Puis ce fut le notaire
Passant sur le chemin
Qui me mit son affaire
Gentiment dans la main.
Refrain
Après quoi les gendarmes
Vinrent les polissons,
Tous deux verser leurs larmes
Sur mon petit gazon.
Refrain
Refrain
Enfin tout le village
Par l’amour alléché
Me fit un ramonage
Dont je me souviendrai.
Refrain
Quelle belle nuit pour une femme
Quel voluptueux gala
Car comme vous mesdames
Je ne pense qu’à cela.
AH CE QU’ON EST BIEN ICI
Le long du cou,
Cette douce bière glisse
Arrivée en bas
Il faut que je la pisse, pom, pom … (bis)
Ah ce qu’on est bien
Quand on est complètement plein,
Complètement bourré,
Prêt à dégueuler, pom, pom … (bis)
Au cours d’une pipe,
Je lui éjacule dans la bouche,
Quand je la sodomise,
Voilà que tout bouge, pom,pom … (bis)
Ah ce qu’on est bien,
Quand on est dans un vagin,
Complètement mouillé,
Prêt à décharger, pom, pom …(bis)
Avec la langue,
Je lui entrouvre les portes du con,
Et quand elle décharge,
Mon Dieu que c’est bon, pom, pom … (bis)
Ah ce qu’elle est bien,
Quand on lui taille une bavette,
Et que la langue remonte,
Vers le trou qui pète, pom, pom … (bis)
ou
Ah ce qu’on est bien
Quand on est complètement plein,
Complètement bourré,
Prêt à dégueuler, pom, pom … (bis)
Bourré à toute heure,
Soutien aux viticulteurs.
Peinté 24 heures,
Soutien aux brasseurs.
AH QUE NOS PERES ETAIENT HEUREUX
Ah que nos pères étaient heureux (bis)
Quant ils étaient à table.
Le vin coulait à côté d’eux (bis)
Cela leur était fort agréable.
Refrain
Et ils buvaient à pleins tonneaux,
Comme des trous, comme des trous morbleu,
Bien autrement que nous morbleu,
Bien autrement que nous.
Ils n’avaient ni riches buffets (bis)
Ni verres de Venise
Mais ils avaient des gobelets (bis)
Aussi grands que leurs barbes grises.
Refrain
Ils ne savaient ni le latin (bis)
Ni la théologie
Mais ils avaient le goût du vin (bis)
C’était là leur philosophie.
Refrain
Quand ils avaient quelques chagrins (bis)
Ou quelques maladies
Ils plantaient là le médecin (bis)
Apothicaire et pharmacie.
Refrain
Celui qui planta le Provins (bis)
Au doux pays de France
Dans l’éclat du rubis divin (bis)
Il a planté notre espérance.
AH VOUS DIRAIS JE MAMAN
Ah vous dirais je maman
A quoi nous passons le temps
Avec mon cousin Eugène
Sachez que ce phénomène
Nous a inventé un jeu
Auquel nous jouons tous les deux
Mais ce petit rat curieux
Très souvent devient furieux
Voilà qu’il sort et qu’il rentre
Et qu’il me court dans le ventre
Mon cousin a bien du mal
A calmer son animal
Il m’emmène dans le bois
Et me dit déshabille-toi
Quand je suis nue toute entière
Il me fait coucher par terre
Et de peur que je n’aie froid
Il vient se coucher sur moi
Complètement essoufflé
Il essaie de le rattraper
Moi je ris à perdre haleine
Devant les efforts d’Eugène
Si vous étiez là, maman,
Vous ririez pareillement
Puis il me dit d’un ton doux
Ecarte bien tes genoux
Et la chose va vous faire rire
Il embrasse ma tirelire
Oh ! vous conviendrez maman
Qu’il a des idées vraiment …
Au bout de quelques instants
Le petit rat sort en pleurant
Alors Eugène qui tremblote
Le remet dans sa redingote
Et puis tous deux nous rentrons
Sagement à la maison
Puis il sort je ne sais d’où
Un petit animal très doux
Une espèce de rat sans pattes
Qu’il me donne et que je flatte
Oh le joli petit rat
D’ailleurs il vous le montrera
Mon cousin est merveilleux
Il connaît des tas de jeux
Demain soir sur la carpette
Il doit m’apprendre la levrette
Si vraiment c’est amusant
Je vous l’apprendrai en rentrant
Et c’est juste à ce moment
Que le jeu commence vraiment
Eugène prend sa petite bête
Et la fourre dans une cachette
Qu’il a trouvé le farceur
Où vous situez mon honneur
Voici ma chère maman
Comment je passe mon temps
Vous voyez je suis très sage
Je fuis tous les bavardages
Et j’écoute vos leçons
Je ne parle pas aux garçons
ALCOOLO
C’est un fameux pistard
Plein comme un tonneau,
Alcoolo, Kanterbräu,
Dix huit Kro et une syphilo,
Je suis fier d’être un pilier d’bistrot.
Refrain
Tiens bon ta 33 et tiens bon ta Kro,
Alcoolo, Kanterbräu,
Si jamais t’as une petite soif
On ira tous au bistrot d’en face.
Je pars pour de longs mois
Faire une cure dePernod,
Alcoolo, Kanterbräu
De penser à toutes ces bourrées,
Je suis sûr d’en prendre plein le nez.
Refrain
Il parait que là-bas
L’alcool coule à flots
Alcoolo, Kanterbräu.
On en trouve même dans les ruisseaux,
Ils font fort dans ce pays de poivrots.
Refrain
On dit que là-bas
On ne paye pas qu’un pot,
Alcoolo, Kanterbräu
Car le pinard est obligatoire
Et la bière encore plus nécessaire.
Refrain
Un jour je reviendrai
Plein comme un tonneau,
Alcoolo, Kanterbräu.
Si il y en a un qui me dit que ça craint
Je lui raconterai comme j’étais plein.
ALKA SELTZER
C’était le temps des cuites
On ignorait le Pschitt
Et tous les soirs,
C’était la gueule de bois.
On était tous bourrés,
On a tous dégueulé,
Alka Seltzer nous a réconfortés.
C’était le temps des fleurs
Où j’enculais ma sœur
Sur le divan de la salle à manger.
Elle me disait vas-y
Enfonce moi ton kiki,
Ca me fait du bien, ça me fait pas mal aux seins.
C’était le temps des chtouilles
Où je me grattais les couilles
Avec ardeur et beaucoup de bonheur.
Le pénis fut trouvé,
Mes couilles furent sauvées.
Amis amis, ce que j’avais mal au zob.
C’était le temps du shit
On n’avait plus les cuites
Et tous les soirs, c’était le nirvana.
On était tous flippés
On a tous voyagé
Le lendemain, on a fumé un joint.
ALLONS A MESSINE
Ils étaient deux amants,
Qui s'aimaient tendrement
Qui voulaient voyager
Mais ne savaient comment.
Mon rouston de gauche
Sera lieutenant.
Les poils de mon cul
Feront les haubans.
Refrain
Refrain
Ah ! Ah ! Ah !
Allons à Messine
Pêcher la sardine
Allons à Lorient
Pêcher le hareng.
Les poils de mon cul
Feront les haubans.
Et tous les morpions
Grimperont dedans.
Refrain
Qui voulaient voyager
Mais ne savaient comment
Le vit dit au con:
Tu seras bâtiment.
Et tous les morpions
Grimperont dedans.
La peau de mes couilles
Fera voile au vent.
Refrain
Refrain
Le vit dit au con
Tu seras bâtiment.
Je serai le grand mât
Que l'on plante dedans.
La peau de mes couilles
Fera voile au vent.
Le trou de mon cul
Soufflera dedans.
Refrain
Refrain
Je serai le grand mât
Que l'on plante dedans.
Mon rouston de droite
Sera commandant.
Refrain
Mon rouston de droite
Sera commandant.
Mon rouston de gauche
Sera lieutenant.
Refrain
Le trou de mon cul
Soufflera dedans.
Et sacré nom de nom
Ce que cela puera là dedans.
AMI LEVE TON VERRE
Ami X (bis)
Lève donc ton verre
Et surtout ne le renverse pas
Et porte le
Du frontibus au nasibus,
Du nasibus au mentibus,
Du mentibus au ventribus,
Du ventribus au sexibus,
Du sexibus au pedibus,
Du pedibus à l’aquarium,
Et glou, et glou, et glou, et glou, …
Il est des nô-ôtres
Il a bu son verre comme les au-autres
C’est un ivro-ogne,
Ça se voit rien qu’à sa tro-ogne.
AU CLAIR DE LA LUNE
Au clair de la lune
Mon ami Pierrot
Prête-moi ta plume
Mon mari est sot
Et sur la pelouse
Des gens distingués
Faisaient une partouze
C’était follement gai
Sa chandelle est morte
Et manque de feu
Ouvre-moi ta porte
Pour baiser un peu
Au clair de la lune
J’entrais dans le jeu
Entouré de plumes
C’était merveilleux
Au clair de la lune
Pierrot répondit
Je garde ma plume
Pour baiser Nini
J’en pris une belle
Sur un rayon d’or
Ah quelle chandelle
Je la sens encore
Va chez la voisine
Elle aime s’amuser
Elle est un peu gouine
Elle a du doigté
Au clair de la lune
Je fus au déduit
Je pris toutes les plumes
Oh là là quelle nuit
Mais chez la voisine
Y avait un monde fou
Des chambres aux cuisines
On baisait partout
Soufflées de la sorte
Par le vent d’amour
Les chandelles sont mortes
Au lever du jour
AVE LE PETIT DOIGT
Les saints et les anges,
Et tous les élus, …… tous les élus.
Quand ça les démange,
Se grattent le trou du cul, …… le trou du cul,
Avé, avé, avé le petit doigt
Avé, avé, avé le petit doigt, , …… le petit doigt.
Avé le petit doigt, la bite au cul, les couilles pendantes,
Avé le petit doigt, la bite au cul, bien enfoncée.
Ohé ! ohé ! ohé ! Ohé ! ohé ! ohé !
Et tous les archanges,
Ces enfants de putain, , …… oui de putain,
Quand ça les démange,
Se grattent le boudin, , …… oui le boudin,
Avé, avé, avé le petit doigt
Avé, avé, avé le petit doigt
Avé, avé, avé le petit doigt, , …… le petit doigt.
Avé le petit doigt, la bite au cul, les couilles pendantes,
Avé le petit doigt, la bite au cul, bien enfoncée.
Ohé ! ohé ! ohé ! Ohé ! ohé ! ohé !
BALI BALO
Bali Balo dans son berceau
Bandait déjà comme un taureau
Fils de putain lui dit sa mère
Tu bandes déja plus que ton père.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
Bali Balo dans son avion
Avec sa femme et son cochon.
Dès que sa femme eut tourné la tête
Il encula la pauvre bête.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
Bali Balo dans le désert
Se trimbalait les couilles à l’air.
Arriva un nuage de grenouilles
Qui lui bouffa la peau des couilles.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
Bali Balo au cinéma
Péta si fort qu’il s’envola.
Il atterrit dans les coulisses
Et encula le pompier de service.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
Bali Balo sur sa moto
Faisait du cent et du zéro
Et c’est dans ce putain de virage
Qu’il se les a prises dans l’embrayage.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
Bali Balo dans son cercueil
Bandait encore comme un chevreuil.
Avec sa bite en arc de cercle
Il parvint à soulever le couvercle.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
Bali Balo chez les bonnes soeurs
Se tapa la mère supérieure.
La vieille lui dit jamais le seigneur
Ne m’a donné autant de bonheur.
Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment
Bali Balo est un salaud.
BOIRE UN PETIT COUP
Refrain
Boire un petit coup, c’est agréable,
Boire un petit coup, c’est doux,
Mais il ne faut pas rouler dessous la table,
Boire un petit coup, c’est agréable,
Boire un petit coup, c’est doux.
Un petit coup, tra la, la, la (bis)
Un petit coup, c’est doux.
Allons dans les bois ma mignonette,
Allons dans les bois du roi.
Nous y cueillerons la fraîche violette,
Allons dans les bois ma mignonette,
Allons dans les bois du roi.
Oui dans les bois, tra la, la, la (bis)
Oui dans les bois du roi.
Refrain
J’aime le jambon et la saucisse
Et le vin quand il est bon
Mais j’aime encore mieux le lait de ma nourrice,
J’aime le jambon et la saucisse
Et le vin quand il est bon.
J’aime le vin, tra la, la, la (bis)
Le vin quand il est bon.
Refrain
Non Julien tu n’auras pas ma rose,
Non Julien tu n’auras rien.
Monsieur le curé a défendu la chose
Non Julien tu n’auras pas ma rose,
Non Julien tu n’auras rien.
Non, non, Julien, tra la, la, la (bis)
Tu n’auras rien, rien, rien.
Refrain
CAROLINE
Ah ! Mes amis, versez à boire,
Versez à boire du bon vin,
Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin.
Je m’en vais vous conter l’histoire
De Caroline, la putain,
Tin tin, tin taine et tin tin.
Elle voulut aller à Rome,
Pour recevoir l’absolution,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
Le pape était fort bien à Rome,
Mais il était dans un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Son père était un machiniste
Au théâtre de l’Odéon,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
Sa mère était une fleuriste
Qui vendait des roses en boutons,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Et s’adressant au grand vicaire,
Elle dit : j’ai trop prêté mon con
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
Si tu l’as tant prêté, ma chère,
Eh bien, alors, prête-le-moi donc
Ton ton, ton taine et ton ton.
A quatorze ans, suçant des pines,
Elle fit son éducation,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
A dix-huit ans, dans la débine,
Elle s’engageât dans un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Et la serrant entre ses cuisses,
Il lui donna l’absolution,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
Il attrapa la chaude pisse,
Et trente-six douzaines de morpions,
Ton ton, ton taine et ton ton.
A vingt-quatre ans, sur ma parole,
C’était une fière putain,
Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin.
Elle avait foutu la vérole
Aux trois quarts du quartier latin,
Tin tin, tin taine et tin tin.
Elle finit cette tourmente,
Entre les bras d’un marmiton,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
Elle mourut la pine au ventre,
Le con fendu jusqu’au menton,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Le marquis de la Couille Molle
Lui fit construire une maison,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton,
A l’enseigne du Morpion qui vole,
Une belle enseigne pour un boxon,
Ton ton, ton taine et ton ton.
Et quand on la mit en bière,
On vit pleurer tous ses morpions,
Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton.
Puis quand on la mit en terre,
Ils s’arrachèrent les poils du con,
Ton ton, ton taine et ton ton.
C’EST A BOIRE, A BOIRE, A BOIRE
Nous étions cinq, six bons bougres
Qui revenions de Longjumeau.
On entra dans une auberge
Pour y boire du vin nouveau. Oh !
Nom de Dieu, dit la patronne
Leurs capotes, leurs godillots.
Quand ils furent en liquette
Ils montèrent sur les tonneaux. Oh !
Refrain
Refrain
C’est à boire, à boire, à boire,
C’est à boire qu’il nous faut,
Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
C’est à boire, à boire, à boire,
C’est à boire qu’il nous faut.
Quand ils furent en liquette
Ils montèrent sur les tonneaux.
Leurs liquettes étaient si courtes
Qu’on leur voyait leurs marteaux. Oh !
Refrain
On entra dans une auberge
Pour y boire du vin nouveau.
Chacun fouilla dans sa poche
Quand il fallut payer le pot. Oh !
Sacrebleu, dit la patronne
Qu’ils sont noirs, mais qu’ils sont beaux.
Jarnidieu, dit la petite bonne,
J’en voudrais bien un morceau. Oh !
Refrain
Refrain
Chacun fouilla dans sa poche
Quand il fallut payer le pot.
Le plus riche fouille dans la sienne
Et n’y trouve qu’un écu faux. Oh !
Jarnidieu, dit la petite bonne,
J’en voudrais bien un morceau.
Ventrebleu, dit la patronne,
Tous les six il me les faut. Oh !
Refrain
Refrain
Le plus riche fouille dans la sienne
Et n’y trouve qu’un écu faux.
Sacrebleu, dit la patronne
Qu’on leur prenne leurs shakos. Oh !
Ventrebleu, dit la patronne,
Tous les six, il me les faut
Et depuis sur cette auberge
Il y a un écriteau. Oh !
Refrain
Refrain
Sacrebleu, dit la patronne
Qu’on leur prenne leurs shakos.
Nom de Dieu, dit la patronne
Leurs capotes, leurs godillots. Oh !
Refrain
Et depuis sur cette auberge
Il y a un écriteau,
C’est ici qu’on boit, qu’on verge
Et qu’on paie à coups de marteaux. Oh !
CHARLOTTE
Dans son boudoir la petite Charlotte
Chaude du con, faute d’avoir un vit,
Se masturbait avec une carotte
Et jouissait sur le bord de son lit.
Un médecin praticien, fort habile
Fût appelé qui lui fit bien du mal
Mais par malheur la carotte indocile,
Ne put sortir du conduit vaginal.
Refrain
Refrain
Branle, branle, branle Charlotte
Branle, branle ça fait du bien.
Branle, branle, branle Charlotte
Branle, branle jusqu’à demain.
Mesdemoiselles, que le sort de Charlotte
Puisse longtemps vous servir de leçon.
Ah ! Croyez moi, laissez là la carotte,
Préférez-lui un vigoureux garçon.
Ah ! Disait elle, dans le siècle où nous sommes,
Refrain
Il faut savoir se passer des garçons.
Moi, pour ma part, je me fous bien des hommes,
Avec ardeur, je me branle le con.
Refrain
Alors sa main n’étant plus paresseuse
Allait, venait comme un petit ressort
Et faisait jouir la petite farceuse
Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort.
Refrain
Mais oh malheur, oh fatale disgrâce,
Dans son bonheur, elle fait un brusque saut,
Du contrecoup, la carotte se casse
Et dans le con, il en reste un morceau.
Refrain
Ah ! Mes amies, n’imitez pas Charlotte
Son sort fût triste et combien malheureux.
Pour vous branler, pas besoin de carotte
Prenez mon vit, ça vaudra beaucoup
mieux.
Refrain
CHEVALIERS DE LA TABLE RONDE
En répétant les deux premières phrases et en reprenant le début de la deuxième.
Chevaliers de la Table Ronde
Goûtons voir si le vin est bon
Goûtons voir, oui, oui, oui,
Goûtons voir, non, non, non,
Goûtons voir si le vin est bon.
J’en boirai cinq à six bouteilles,
Une femme sur les genoux.
Pan, pan, pan, qui frappe à la porte,
Je crois bien que c’est mon amie.
Si c’est elle, que le diable l’emporte,
De venir troubler mon plaisir.
Si je meurs, je veux qu’on m’enterre,
Dans une cave où il y a du bon vin.
Les deux pieds contre la muraille,
Et la tête sous le robinet.
Et les quatre plus grands ivrognes,
Porterons les quatre coins du drap.
Et si le tonneau se débonde,
J’en boirai jusqu’à mon loisir.
Et s’il en reste quelques gouttes,
Ce sera pour nous rafraîchir.
Sur ma tombe je veux qu’on inscrive,
Ici gît le roi des buveurs.
COCHON DE MOINE
Entrant dans une église,
Je ne vis d’abord rien
Qu’un vieux cochon de moine
Qui se branlait dans un coin.
Et nous ferons ensemble,
Un petit capucin,
Aux couilles tricolores,
Aux poils du cul châtains.
Refrain
Refrain
Si je t’encule, cule, cule, cule,
Si je t’encule jusqu’à demain
Si je t’encule, cule, cule, cule,
Si je t’encule, c’est pour ton bien.
Et le petit bonhomme,
Bandera comme un saint,
Il ira au bordel,
Son père y allait bien.
Qui confessait les filles,
Du soir jusqu’au matin.
Il dit à la plus jeune :
Tu reviendras demain.
Refrain
Refrain
Je te ferais voir l’herbe,
Qui pousse dans la main.
Qui fait grossir le ventre,
Et arrondir les seins.
Refrain
Enfiler les maquerelles,
Son père le faisait bien.
Il aura la vérole,
Son père l’avait bien.
Refrain
CREME NIVEA
Refrain
Ah ! Crème Nivéa,
Si tu étais là
Fini les gerçures au cul,
Et les engelures.
Quand vient le printemps, j’ai le nez qui gèle
Et les petons tout déshydratés.
Refrain
Quand vient l’été, j’ai le con qui suinte
Et les nichons tout ratatinés.
Refrain
Quand vient l’automne, j’ai le fion qui pète
Et les roustons tout desséchés
Refrain
Quand vient l’hiver, j’ai le cul qui pèle
Et le zizi tout ratatiné.
Refrain
DANS LE BROUILLARD
Dans le brouillard
S’avançait un corbillard, un corbillard
Suivi de trois squelettes
A bicyclette, à bicyclette.
Ils s’en allaient à la morgue
Voir s ‘il y avait pas des crevés, pas des crevés
Il y avait une vieille morte
Qui se faisait lécher les pieds, lécher les pieds.
Sa peau du ventre était si verte
Qu’on aurait dit des épinards, des épinards
Et sur son dos, les asticots
Avaient gravé ces quelques mots, ces quelques mots.
J’aime le crachat des vieux,
La morve des vieilles,
La diarrhée des nouveau-nés,
Le miel aux oreilles.
C’est bon, c’est gluant.
Ca glisse sous la dent.
Mmh, qui veut du rab ?
DANS LES PRISONS DE NANTES
Dans les prisons de Nantes (bis)
Il y avait un prisonnier. (bis)
Personne ne vint le voir (bis)
Que la fille du geôlier. (bis)
Un jour il lui demande (bis)
Et que dit t-on de moi ? (bis)
On dit de vous en ville (bis)
Que vous serez pendu. (bis)
Mais s’il faut qu’on me pende (bis)
Déliez moi les pieds. (bis)
La fille était jeunette (bis)
Les pieds lui a déliés. (bis)
Le prisonnier alerte (bis)
Dans la Loire s’est jeté. (bis)
Dès qu’il fut sur les rives (bis)
Il se mit à chanter. (bis)
Je chante pour les belles (bis)
Surtout celle du geôlier. (bis)
Si je reviens à Nantes (bis)
Oui je l’épouserais. (bis)
Dans les prisons de Nantes (bis)
Il y avait un prisonnier. (bis)
DANS UN AMPHITHEATRE
Sur le principe de la répétition de la première strophe.
Dans un amphithéâtre, (ter)
... phithéâtre, phithéâtre, phithéâtre, phithéâtre, tsoin, tsoin.
Il y avait un maccabé,
Ce maccabé disait,
Ah ! Ce qu’on s’emmerde ici,
On serait mieux chez nous,
Sur des coussins moelleux,
Sur un balcon fleuri,
DANS UNE TOUR DE LONDRES
Dans une tour de Londres,
Il y avait un prisonnier.
Comme il était sans femme
Il ne pouvait baiser
Il grimpait sur une chaise,
Le soir après souper.
Par le judas de la porte,
Sa queue faisait passer.
Grâce à ce stratagème,
Le brave prisonnier
Se faisait faire des choses
Par la fille du geôlier.
Mais un soir les gendarmes
Vinrent les séparer.
On emmena la fille
Au couvent de Trévier.
Le prisonnier fidèle
Attendit dix années.
Mais un soir de tristesse
Voulut se contenter.
Il en sortit une mite
Qui se mit à voler.
Comme un flocon de neige
Dans le beau soir doré.
Et toutes les cloches de Londres
Se mirent à sonner.
DE PROFONDIS MORPIONIBUS
Oh ! Muse, prête-moi ta lyre
Afin qu’en vers, je puisse dire
Un des combats les plus fameux
Qui se déroula sous les cieux.
Ils ont bouché presque la fente
Que les morpions morts ensanglantent
Et la vallée du cul au con
Etait jonchée de morpions
Refrain
Refrain
De profundis, pom, pom, …, pom, pom,
Morpionibus, pom, pom, …, pom, pom,
Tralala, lalalalalalalalalala, ha !.
Le commandant d’une escouade
Voyant périr ses camarades
Cria : morpions, nous sommes foutus
Piquons une charge au trou du cul.
Un jour de fête, comme Sainte Thérèse
A Notre Dame écoutait la messe,
Elle sentit soudainement
Un énorme chatouillement.
Refrain
Dans son vagin de forte taille,
Cent milles poux livraient bataille
A un nombre égal de morpions
Qui défendaient l’entrée du con.
Refrain
Le choc fut épouvantable
On croyait que c’était le diable
Les femmes enceintes en accouchant
Chiaient de la merde au lieu d’enfants.
Refrain
La bataille fut gigantesque
Tous les morpions périrent ou presque
A l’exception des plus trapus
Qui s’accrochèrent aux poils du cul.
Refrain
Refrain
Un morpion de noble origine
Qui revenait de Palestine
Leva sa lance et s’écria :
Les morpions ne se rendent pas.
Refrain
Pour reprendre l’avantage
Les morpions luttaient avec rage
Mais leurs efforts furent superflus
Les poux gardèrent le dessus.
Refrain
Le général, nouvel Enée,
Sortant des rangs de son armée,
A son rival, beau chevalier,
Propose un combat singulier.
Refrain
Malgré son épaisse cuirasse,
Tout bardé de foutre et de crasse,
Le général des morpions
Tomba sans vie au fond du con.
Devant ce spectre qui murmure
D’être privé de sépulture,
Les morpions firent serment
De lui élever un monument.
Refrain
Refrain
A cheval sur un poil de roupette
Armé d’une longue lorgnette,
Le capitaine des morpions
Examinait les positions
En vain, on cherche sa dépouille
Sur la pine et sur les deux couilles
On ne trouva qu’un bout de queue
Qu’un sabre avait coupé en deux.
Refrain
Refrain
Soudainement, un obus arrive
Qui lui fait perdre l’équilibre
Le capitaine est bien foutu,
Il tombe au fond du cul.
La troupe aussitôt prend les armes
L’enterre en versant force larmes
Comme au convoi d’un cardinal
Ou bien d’un garde national
Refrain
Refrain
Un morpion motocycliste,
Prenant le cul pour une piste,
Vint avertir l’état major
Que le capitaine était mort.
Douze des plus jolies morpionnes
Pleuraient en portant des couronnes
De fleurs blanches et de poils du cul
Qu’avait tant aimé le vaincu.
Refrain
Refrain
Les morpions firent la chaîne
Pour retirer leur capitaine,
Ils s’épuisèrent en vains efforts
Car l’enfer ne rend pas ses morts.
Son cheval même l’accompagne,
Et quatre morpions d’Espagne,
La larme à l’œil, le crêpe au bras,
Tenant les quatre coins du drap.
Refrain
Refrain
Un soir, au bord de la ravine,
Tout couvert de foutre et d’urine,
On vit un fantôme tout nu
A cheval sur un poil du cul.
Au bord du profond précipice,
On rangea les morpions novices,
Qui défilèrent par escadrons
En faisant sonner leurs clairons.
Refrain
Refrain
C’était l’ombre du capitaine
De chancres et d’asticots pleine
Qui, faut d’inhumation
Puait le maroilles et l’arpion.
Ils le suivirent au cimetière
S’assirent en rond sur leurs derrières
La crotte au cul, la larme à l’œil
Tous les morpions étaient en deuil.
Refrain
Refrain
On lui éleva un cénotaphe,
Où l’on grava cette épitaphe :
Ci-gît un morpion de valeur
Tombé sans vie au champ d’honneur.
Depuis ce temps, dans la vallée,
On entend des bruits de mêlée.
Les morpions, pour venger le vaincu
Se cramponnent à tous les poils du cul.
Refrain
Refrain
Tandis que la foule en détresse,
En sanglotant lisait la messe,
L’adversaire de l’onguent gris
Monta tout droit au Paradis.
Et parfois dans les soirs de brume,
A l’heure où se lève la lune,
On voit les âmes des morpions
Voltiger tout autour du con.
Refrain
Refrain
Depuis ce jour, on voit dans l’ombre
A la porte d’un caveau sombre,
Les morpions de noir vêtus,
Montant la garde au trou du cul.
Refrain
DIRTY OLD TOWN
I met my love, by the gas works wall
Dreamed a dream, by the old canal
Kissed my girl, by the factory wall
Dirty old town, dirty old town
Clouds are drifting across the moon
Cats are prowling on their beat
Springs a girl in the street at night
Dirty old town, dirty old town
Heard a siren from the docks
Saw a train set the night on fire
Smelled the breeze on the smoky wind
Dirty old town, dirty old town
I'm going to make a big sharp axe
Shining steel tempered in the fire
I'll cut you down like an old dead tree
Dirty old town, dirty old town
I Met my love, by the gas yard wall
Dreamed a dream, by the old canal
Kissed my girl, by the factory wall
Dirty old town, dirty old town (bis)
DUDULE
C’était des amoureux qui s’aimaient tous les deux,
Ils étaient heureux,
Et du soir au matin,
Ils allaient au turbin,
Le cœur plein d’entrain.
A l’atelier, ses copines lui disaient :
Pourquoi tu l’aimes tant ton Dudule ?
Il est pas beau, il est mal fait.
Mais elle, gentiment répondait :
Ben, voilà, les amies, moi ce que j’aime en lui. Qu’est ce que c’est ?
Refrain
C’est la grosse bite à Dudule,
Je la prends, je la suce, elle m’encule.
Ah ce que c’est chouette,
Ah ce que c’est bon.
Quand il me la carre dans l’oignon.
Ça devait arriver,
Ils prenaient tant leur pied,
Qu’ils se sont mariés.
D’abord ça tournait rond,
Après c’était moins bon,
Et il lui mit des gnons.
A l’atelier ses copines lui disaient :
Pourquoi tu ne le tues pas ton Dudule ?
Il est pas beau, il est mal fait.
Mais elle, gentiment répondait :
Ben, voilà, les amies, moi ce que j’aime en lui. Qu’est ce que c’est ?
Refrain
C’est pas une bite ordinaire,
Quand il me la fout dans le derrière.
Je me sens soudain
Toute remplie
Du cul jusqu’au nombril
Du Dudule.
EN DESCENDANT LA RUE CUVIER
En descendant la rue Cuvier (bis)
Par une putain, je fus accosté (bis)
Elle me dit d’un air tendre :
Eh bien ?
Monte donc dans ma chambre .
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien.
Un vieux toubib, quatre infirmiers (bis)
Furent désignés pour me soigner (bis)
Mais cette bande d’andouilles.
Eh bien ?
Ils m’ont aussi coupé les couilles.
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien.
Moi qui suis de l’Université (bis)
J’aime à savoir où je mets les pieds (bis)
J’achète une chandelle
Eh bien ?
Pour monter chez la belle.
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien.
Quand on n’a plus ni couilles ni vit (bis)
Rien ne nous plaît, ni nous sourit (bis)
On s’en va au bordel.
Eh bien ?
Faire minette aux maquerelles.
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien.
Comme je ne suis qu’un grand dégoûtant
(bis)
Je monte l’escalier en me branlant (bis)
En haut je la carambole.
Eh bien ?
Elle avait la vérole.
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien.
Depuis ce jour, soir et matin (bis)
Je maudis toutes les putains (bis)
Car elles me rappellent.
Eh bien ?
Mes couilles qui étaient si belles
Et qui marchaient si bien (bis)
Quand la vérole fut attrapée (bis)
A l’hôpital, il fallut aller (bis)
A l’hôpital maritime.
Eh bien ?
Me faire soigner la pine.
Et vous m’entendez bien ?
Et nous t’entendons bien.
EN REVENANT DE LA FETE
En revenant de la fête
De la fête de Charenton
J’ai rencontré trois fillettes, tape ta pine
Qui se chatouillaient le bouton
Et tape ta pine contre mon con
J’ai rencontré trois fillettes
Qui se chatouillaient le bouton
J’ai demandé à la plus belle, tape ta pine
Comment vous appelle t-on donc ?
Et tape ta pine contre mon con
La suite, sur le même principe
On m’appelle la Gabrielle
Gabrielle, c’est mon nom
Je la prends et je l’embrasse
Je la couche sur le gazon
Je déboutonne ma braguette
Et j’en sors mon Jean Luron
Jean Luron, fort en colère
Crache au nez de Barbançon
Barbançon qui est fou de rage
Avala mon Jean Luron
Mes deux couilles restent à la porte
A la porte, en faction
Un poil du cul leur demande
Que faites-vous là, couillons ?
Nous attendons notre maître
Qui est entré chez Barbançon
Qui est entré, la tête haute
Il en sortira accordéon
EN REVENANT DE LA FOIRE
En revenant de la foire
De la foire à Montluçon
J’ai rencontré trois fillettes, tape ta pine
Trois fillettes et trois garçons
Et tape ta pine contre mon con
Tagada, tatoum, tatoum, tatoum (bis)
J’ai rencontré trois fillettes
Trois fillettes et trois garçons
Les garçons disaient aux filles, tape ta pine
Les filles disaient aux garçons
Et tape ta pine contre mon con
Tagada, tatoum, tatoum, tatoum (bis)
La suite, sur le même principe
Si vous n’étiez pas si bête
Si vous n’étiez pas si con
Vous soulèveriez nos jupettes
Vous soulèveriez nos jupons
Vous y trouveriez une petite bête
Pas plus grosse qu’un hérisson
Avec le poil bien moins raide
Mais aussi beaucoup plus long
Tenez votre pine bien raide
Enfoncez-la jusqu’au fond
Les roustons restent à la porte
Pour danser le rigodon
Trois poils du cul leur demandent
Qu’attendez-vous là roustons
Nous attendions notre maître
Qu’est entré dans la maison
Il y est entré bien raide
Il en sortira moins long
Plein de foutre, plein de merde
Comme un chien qui a bu le bouillon
EN REVENANT DU PIEMONT
En nous revenant du Piémont (bis)
Nous étions trois jeunes garçons (bis)
De l'argent nous n’en avions guère
Sans dessus dessous et sans devant derrière
A nous trois, nous n'avions qu'un sou
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
Hôtesse, nous voulons manger (bis)
Qu'avez-vous donc à nous donner ? (bis)
J'ai du bon lapin, de la bonne bière
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Et de la bonne soupe aux choux
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
Hôtesse nous voulons coucher (bis)
Qu'avez-vous donc à nous donner ? (bis)
J'ai ma chambre sur le derrière
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Et ma servante qui couche en dessous
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
Sur les onze heures, on entendit (bis)
L'hôtesse, pousser un grand cri (bis)
Oh ! vous me pétez la charnière
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Allez-y donc un peu plus doux !
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
Puis quand ce fût près de minuit (bis)
Il se fit un bien plus grand bruit (bis)
C'était le lit qui se foutait par terre
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Et la servante qui baisait dessous
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
Quand vous repasserez par ici (bis)
Souvenez-vous du bon logis (bis)
Souvenez-vous de la bonne hôtesse
Qui remue le cul et qui remue les fesses
Et de la petite bonne qui remue tout
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
FANCHON
Amis, il faut faire une pause,
J’aperçois l’ombre d’un bouchon.
Buvons à l’aimable Fanchon
Chantons pour elle, quelque chose.
Refrain
Et ah ! Ce que son entretien est bon,
Qu’elle a de mérite et de gloire !
Elle aime à rire, elle aime à boire,
Elle aime à chanter comme nous.
Elle aime à rire, elle aime à boire, elle aime à chanter comme nous
Elle aime à rire, elle aime à boire,
Elle aime à chanter comme nous.
Oui comme nous ! (ter)
Fanchon, quoique bonne chrétienne,
Fut baptisée avec du vin.
Un Bourguignon fut son parrain,
Une Bretonne sa marraine.
Refrain
Fanchon préfère la grillade
A d’autres mets plus délicats.
Son teint prend un nouvel éclat
Quand on lui verse une rasade.
Refrain
Un jour, le copain La Grenade
Lui mit la main dans le corset.
Elle répondit par un soufflet
Sur le museau du camarade.
Refrain
Fanchon, si quelquefois, elle est cruelle,
C’est quand on lui parle d’amour.
Mais moi, je ne lui fais la cour
Que pour m’enivrer avec elle.
FLOWERS OF SCOTLAND
O Flower of Scotland
When will we see
Your like again,
That fought and died for
Your wee bit Hill and Glen
And stood against him
Proud Edward's Army,
And sent him homeward
Tae think again.
The hills are bare now
And autumn leaves lie thick and still
O'er land that is lost now
Which those so dearly held
That stood against him
Proud Edward's Army
And sent him homeward
Tae think again.
Those days are past now
And in the past they must remain
But we can still rise now
And be the nation again
That stood against him
Proud Edward's Army
And sent him homeward,
Tae think again.
0 Flower of Scotland
When will we see
Your like again,
That fought and died for
Your wee bit Hill and Glen
And stood against him
Proud Edward's Army,
And sent him homeward
Tae think again
FRERE LA GUILLAUMETTE
Parlé
En continuant sur le même système
Frère La Guillaumette,
Quand tu rencontres une fillette,
Que fais-tu ?
Je soulève sa chemisette.
Je déboutonne ma braguette.
Je sors ma grosse bistouquette.
Je me fais faire une petite branlette.
Je me fais faire une petite sucette.
Je lui écarte les gambettes.
Je lui mets dans sa craquette.
Je fais juter ma bistouquette.
Je décharge dans sa craquette.
Je tire une première crampette.
Je tire une deuxième crampette.
Je sens le bon dieu dans mes roupettes.
Je me fais faire une petite lichette.
Je lui fais une petite minette.
Je lui fous dans le trou qui pète.
Je retire ma petite bistouquette.
Puis je la baise en levrette.
Je me lave la belle dans sa cuvette.
Je me l’essuie dans la serviette.
Je bois l’eau de la cuvette.
Je demande pardon à confesse.
Je recherche une autre nonette.
Je recommence l’historiette.
Le chœur
Amen !
Chanté
Je l’emmène dans ma chambrette,
Domino, mino, domino, minette,
Je l’emmène dans ma chambrette,
Do min no !
Parlé
Frère La Guillaumette,
Quand tu rencontres une fillette,
Que tu l’emmènes dans ta chambrette,
Que fais-tu ?
Le chœur
Amen !
Chanté
Je l’étends sur ma couchette
Domino, mino, domino, minette,
Je l’étends sur ma couchette,
Do min no !
IL EST UN COIN DE FRANCE
Il est un coin de France
Où le bonheur fleurit,
Où on connaît d’avance,
Les joies du paradis,
Et quand on a la chance
D’être de ce pays,
On est comme en vacances,
Durant toute la vie.
Refrain
Aire tun Txikiyun
Aire tun Laïre
Aire tun Txikiyun
Aire tun Laïre
Aire tun Txikiyun
Aire tun Laïre
Aire tun Txikiyun Laïre. Olé.
Le jour de sa naissance
On naît pelotari.
Dès la plus tendre enfance,
Le douanier vous poursuit.
Refrain
Quand vient l’adolescence,
Les filles vous sourient,
Et on chante et on danse
Même quand on vieillit.
Refrain
Et le soir dans nos montagnes
Nous chantons au coin du feu.
Le vent qui vient d’Espagne
Porte au loin cet air joyeux.
Refrain
IL ETAIT UN VAISSEAU DE GUERRE
Sur l’air de Il était un petit navire
Il était un vaisseau de guerre (bis)
Venant de Ca-Ca-Calédonie (bis)
Ohé ! Ohé !
Comme on manquait de jolies femmes (bis)
Pour occu-cu-cuper les matelots (bis)
Ohé ! Ohé !
On mit exprès pour leur usage (bis)
Une barrique-que-que percée d’un trou (bis)
Ohé ! Ohé !
Tout le temps de la traversée (bis)
Les marins vi-vi-visitèrent le tonneau (bis)
Ohé ! Ohé !
On prit sans doute pour de la graisse (bis)
Ce qu’y mi-mi-mirent les matelots (bis)
Ohé ! Ohé !
On le vendit à l’arrivée (bis)
Pour en con-con-confectionner des bougies (bis)
Ohé ! Ohé !
Dans un couvent de jeunes filles (bis)
Ces bougies ser-ser-servirent aux sœurs (bis)
Ohé ! Ohé !
Je ne sais pas pour quel usage (bis)
Mais au bout de neu-neu-neuf longs mois (bis)
Ohé ! Ohé !
Chacune d’elles devint mère (bis)
Devint mère-mère-mère d’un petit matelot (bis)
Ohé ! Ohé !
Depuis dans les couvents de filles (bis)
On met des ca-ca-capotes aux bougies (bis)
Ohé ! Ohé !
IL ETAIT UNE BERGERE
Il était une bergère
Et ron et ron, petit patapon
D’humeur assez légère
Qui aimait les garçons ron ron
Bien plus que ses moutons.
Puis elle ouvrit les cuisses
Et ron et ron, petit patapon
Afin que le gars puisse
Caresser sans façons ron ron
Le duvet de son chaton.
Un jour, près d’une rivière
Et ron et ron, petit patapon
Voyant son ami Pierre
Elle quitta son jupon ron ron
Et son petit pantalon.
Donne ta main dit-elle
Et ron et ron, petit patapon
J’aime la bagatelle
Caresse-le sinon ron ron
Tu auras du bâton.
Le garçon plein de fièvre
Et ron et ron, petit patapon
Se pourléchant les lèvres
S’approcha l’air fripon ron ron
Pour tâter son chaton.
Il n’y mit pas la patte
Et ron et ron, petit patapon
Il n’y mit pas la patte
Il y mit le menton cochon ron ron
Il y mit le menton.
La bergère peu sage
Et ron et ron, petit patapon
Entrouvrit son corsage
En disant au garçon ron ron
Embrasse mes tétons .
Et le long de la rivière
Et ron et ron, petit patapon
Retentit cette prière
N’arrête pas c’est bon ron ron
Nous recommencerons.
JEAN GILLES
Le gendre
Le beau père
Beau père, mon beau père,
Je viens me plaindre à vous. (bis)
Que ne la branlez-vous,
Jean Gilles, mon gendre ?
Que ne la branlez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le beau père
De quoi vous plaignez-vous,
Jean Gilles, mon gendre ?
De quoi vous plaignez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre
Le gendre
Le beau père
Oui mais, que faut-il faire
Quand nous sommes entre nous ? (bis)
Que ne la gougnotez-vous,
Jean Gilles, mon gendre ?
Que ne la gougnotez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le beau père
Oui mais, si je la branle
On se foutra de nous. (bis)
Que ne la baisez-vous,
Jean Gilles, mon gendre ?
Que ne la baisez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre
Le gendre
Le beau père
Oui mais, si je la baise
Des gosses elle me fout. (bis)
Que ne l’enculez-vous,
Jean Gilles, mon gendre ?
Que ne l’enculez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le beau père
Oui mais, si je la gougnote
Ca me laisse comme un goût. (bis)
Que ne la pelotez-vous,
Jean Gilles, mon gendre ?
Que ne la pelotez-vous,
Ma fille est toute à vous.
Le gendre
Le gendre
Le beau père
Oui mais, si je la pelote
Ses nichons deviendront mous. (bis)
C’est vous qui me faites chier,
Jean Gilles, mon gendre,
C’est vous qui me faites chier,
Allez vous faire branler.
Oui mais, si je l’encule
Elle chiera partout. (bis)
JEANNETON
Jeanneton prend sa faucille
Larirette, larirette,
Jeanneton prend sa faucille
Et s’en va couper des joncs (bis)
En chemin, elle rencontre
Larirette, larirette,
En chemin, elle rencontre
Quatre jeunes et beaux garçons (bis)
Sur le même principe
Le premier un peu timide
Lui caressa le menton
Le second un peu moins sage
La coucha sur le gazon
Le troisième, un intrépide
Lui souleva le jupon
Ce que fit le quatrième
N’est pas dit dans la chanson
Si vous le saviez Mesdames,
Vous iriez coupez des joncs
La morale de cette histoire,
C’est que les hommes sont des cochons
La morale de cette morale
C’est que les femmes aiment les cochons
On en tire de cette histoire,
C’est que sur quatre il y a trois couillons
La synthèse de cette histoire
C’est que ça fait des petits cochons
JESUS
Jesus est né au Pays-Basque,
Dans une cave remplie d’irrouleguy.
Jesus est né au Pays-Basque ;
C’est un berger qui me l’a dit.
Sur le plus haut fronton de France,
On le voyait jouer au jokari.
Sur le plus haut fronton de France,
C’était celui de Guethary.
Tous les dimanches après-midi,
On le voyait rentrer en percussion.
Tous les dimanches après-midi,
Il jouait pilier à l’Aviron.
Quand il prêchait son évangile,
On le voyait lever les bras aux cieux.
Et c’est ainsi que ses disciples
Apprirent à danser le fandango.
KANTERBRAU KRONENBOURG
J’ai deux amours :
La Kanterbraü, la Kronenbourg.
La Kanterbraü pour faire dodo,
La Kronenbourg pour faire l’amour.
J’ai deux ennemis :
L’eau de Badoit, l’eau de Vichy.
L’eau de Badoit pour faire caca,
L’eau de Vichy pour faire pipi.
J’ai deux passions :
La branlette et la fellation.
La branlette parce que c’est chouette,
La fellation parce que c’est bon.
Et c’est fini ...
LA BERNADETTE
Sur l’air des tuyaux
En pleine nuit la Bernadette,
Doucement me fit un pompier.
Je lui éjacule dans la tête,
Elle en a les dents toutes collées.
Et comme j’en ai plein les roupettes,
J’ai encore envie de décharger.
Oui mais voilà, je lui ai dit la Bernadette,
Il va falloir me sucer.
Elle m’a mordu le tuyau, le tuyau, le tuyau
Me l’a coincé dans la braguette,
Elle m’a mordu le tuyau, le tuyau, le tuyau
Et j’ai gueulé comme un salaud.
Motivé par cette sucette,
Et comme je suis un rigolo,
Je lui propose une levrette,
Et c’est parti pour la sodo.
Et comme j’assure point de vue quéquette,
Elle me disait : vas-y franco.
Oui mais voilà, pendant ce temps là,
Il y a le caca qui me mettait dans l’embarras.
Elle m’a lavé le tuyau, le tuyau, le tuyau
Me l’a frotté au tampon jex
Elle m’a lavé le tuyau, le tuyau, le tuyau
Et j’ai gueulé comme un salaud.
Quand elle a quitté ma couchette,
Son petit trou dégoulinait,
Alors discrètement dans ma tête,
Je me suis dit : tiens je vais la lécher.
Et comme j’ai un bon coup de languette,
Elle me pria de continuer.
Oui mais voilà pendant ce temps là,
Avec fracas, elle me péta à l’odorat.
Ça m’a ramolli le tuyau, le tuyau, le tuyau
Ça m’a calmé mes grosses roupettes
Ça m’a ramolli le tuyau, le tuyau, le tuyau
Et j’ai pioncé comme un salaud.
LA BITE ET LE MORPION
Un jour sur une bite,
Un morpion élut domicile.
Il portait son sac a douilles,
Et ses affaires de gratouilles.
Il avait beaucoup voyagé,
Beaucoup sauté, beaucoup piqué,
Et pour ne pas qu’on le voit,
Sur un poil noir, il s’installa.
Mais soudain, la lune apparut,
Et des couilles frappèrent son oreille.
Une chatte lui suintait dessus,
Sa colère fut sans pareil.
Il suivit ses évolutions
Avec des yeux plein d’attention,
Pour essayer de grimper
Sur les couilles qui l’avaient frappé.
Lorsqu’enfin, il y parvint,
Il affina sa gratouille
Et se mit à planter la couille,
Tout en baignant dans la mouille.
Mais soudain, la couille s’agita
Et son rythme s’accéléra
Et le morpion tout excité
De plus belle se remit à gratter.
Dans la douleur et la démangeaison,
La bite se faisait plus rapide,
Ne suivait plus le trou du con
Et n’avait plus aucun guide.
Mais dans la piaule, la nana criait
Sans deviner que c’était
Grâce à un morpion tout excité
Que la sodomie était née.
LA BROUSSAILLE A MORPIONS
C'est l'histoire d'une rosière,
Une pauvre enfant solitaire.
Son cul sans gaieté tout couvert de morpions
Faisait débander les pointeurs de croupions.
Petits insectes parasites,
Vous qui roucoulez sur les bites
A cause de vous la mignonne
Ne se tapait jamais personne.
Refrain
Elle frisait sa broussaille à morpions
Et jouissait des entrailles aux tétons.
Ah ! Qu'elle aimait la branlette
La libido des nymphettes.
Elle n'avait pas encore éprouvé
Les bienfaits d'une bite bandée
Et son petit coeur attendait le champion
De la broussaille a morpions
La broussaille a morpions (bis)
Dans sa fendasse génitale
Grouillait la vermine infernale
Et ses vibrations excitant son désir
D'une certaine façon ajoutait au plaisir.
Refrain
En dépit de cet avantage
Elle maudissait son pucelage.
La nuit dans son lit la pauvrette
Rêvait d'une paire de roupettes.
Refrain
LA CAGE AUX POIVROTS
Sur l’air de Ouvrez la cage aux oiseaux de Pierre Perret
Ouvrez, ouvrez la cage aux poivrots
Laissez les picoler, c’est beau.
Les parents si vous voyez,
Vos enfants rentrer bourrés
Ouvrez leur la porte vers les cabinets.
Répétition en inversant parents et enfants
LA COMPLAINTE DES FILLES DE GRENOBLE
Lécher, tirer, sucer
Oh ! prends moi fort !
Pour les filles de Grenoble
Il n’y a rien de plus ignoble
Qu'une petite couille molle
Epuisée par l'alcool
Viens me fourrer
Tu vas pas le regretter.
Lécher, tirer, sucer
Oh ! Prends moi fort.
Je vais pas simuler
Faudra te défoncer
Moi, j'ai trois trous
Faudra me prendre partout
Avant de vider tes boules
Explose-moi la foufoune.
Lécher, tirer, sucer
Oh ! Prends moi fort.
Ta queue entre mes seins
Puis à 180
De tes coups de reins
Bourre-moi le vagin
Lèche moi le clito
Sinon tu es zéro.
LA DEMOISELLE
Que c'est bon d'être demoiselle
Car le soir dans mon petit lit
Quand l'étoile Vénus étincelle
Quand doucement tombe la nuit
Je me fais sucer la friandise
Je me fais caresser le gardon
Je me fais empeser la chemise
Je me fais picorer le bonbon
Je me fais frotter la péninsule
Je me fais béliner le joyau
Je me fais remplir le vestibule
Je me fais ramoner l'abricot
Je me fais farcir la mottelette
Je me fais couvrir le rigondonne
Je me fais gonfler la mouflette
Je me fais donner le picotin
Je me fais laminer l'écrevisse
Je me fais foyer le coeur fendu
Je me fais tailler la pelisse
Je me fais planter le mont velu
Je me fais briquer le casse-noisettes
Je me fais mamourer le bibelot
Je me fais sabrer la sucette
Je me fais reluire le berlingot
Je me fais gauler la mignardise
Je me fais rafraîchir le tison
Je me fais grossir la cerise
Je me fais nourrir le hérisson
Je me fais chevaucher la chosette
Je me fais chatouiller le bijou
Je me fais bricoler la cliquette
Je me fais gâter le matou
Et vous me demanderez peut-être
Ce que je fais le jour durant
Oh ! cela tient en peu de lettres
Le jour, je baise, tout simplement
LA DIGUE DU CUL
En revenant de Nantes, (bis)
De Nantes à Montaigu, la digue, la digue,
De Nantes à Montaigu, la digue du cul.
Refrain
Lève la jambe, voilà que ça rentre
Lève la cuisse, la cuisse, la cuisse
Voilà que ça glisse. Oh ! Hisse.
Je rencontre une belle, (bis)
Qui dormait le cul nu, la digue, la digue,
Qui dormait le cul nu, la digue du cul.
Refrain
Sur le même principe
Je tend mon arbalète,
Et lui fous droit dans le cul.
Refrain
La belle se réveille,
Croyant le diable au cul.
Refrain
Non ce n’est pas le diable,
C’est mon kiki poilu.
Refrain
Qui bande et qui décharge,
Et qui t’en fout plein le cul.
Refrain
Si ce n’est pas le diable,
Refous moi le dans le cul.
Refrain
S’il y est bien qu’il y reste,
Et qu’il n’en sorte plus.
LA FEMME DU ROUTIER
Il est minuit, la femme du routier
S’en va de porte en porte, de taverne en taverne,
Pour chercher son mari, tireli
Avec une lanterne.
Madame l’hôtesse, as-tu vu mon mari ?
Ton mari est ici, il est dans la soupante,
En train de tirer son coup, tirelou
Avec notre servante.
Ah ! Chien d’ivrogne, pilier de cabaret,
C’est ainsi que tu te saoules et que tu fais ripaille
Pendant que tes enfants, tirelan
Sont couchés sur la paille.
Et toi la belle aux yeux de merlan frit,
Tu m’as pris mon mari je vais te prendre mesure
D’une bonne culotte de peau, tirelo
Qui ne craint pas l’usure.
Tais-toi ma femme, tais-toi tu me fais chier,
Dans la bonne société, est-ce ainsi qu’on se comporte ?
Je te fous mon pied dans le cul, tirelu
Si tu ne prends pas la porte !
Ah mes enfants, mes pauvres petits enfants.
Pleurez votre maman, vous n’avez plus de père
Je l’ai trouvé couché, tirelé
Avec une autre mère.
Il a raison, répondirent les enfants,
D’aller tirer son coup avec la celle qu’il aime
Et quand nous serons grands, tirelan
Nous ferons tous de même.
Charognes d’enfants, sacrés fumiers d’enfants,
Quand vous serez plus grands, croyez-en votre mère,
Vous serez tous cocus, tirelu
Comme le fut votre père.
LA FEMME DU VIDANGEUR
L’autre jour, l’idée m’est venue,
Cré nom de Dieu, d’enculer un pendu,
Mais le vent soufflait dans la potence,
Voilà mon pendu qui se balance,
J‘ai jamais pu l’enculer qu’en sautant,
Cré nom de Dieu, on n’est jamais content.
Foutu.
L’autre jour l’idée m’est venue ,
Cré nom de Dieu, d’enculer un zébu
La bête était dans la rivière,
Elle avait de l’eau jusqu’au derrière,
Je n’ai jamais pu l’enculer qu’en nageant,
Cré nom de Dieu, on est jamais content.
Refrain
Refrain
La femme du vidangeur,
Préfère à toute odeur,
L’odeur de son amant,
Qu’elle aime tendrement.
Ils étaient deux amants,
Qui s’aimaient tendrement,
Qui baisaient par devant,
Par derrière.
Ils étaient deux amants,
Qui s’aimaient tendrement,
Qui faisaient par derrière,
Ce qu’on fait par devant.
La peau de mes rouleaux,
Par tous les caporaux,
La peau de mes roupettes,
Pour le caporal Clairon.
Ce qui prend par devant,
Ce sera pour l’adjudant,
Le reste de la boutique,
Pour le chef de musique,
Mes balles, mes balles.
J’ai la castapiane dans le ventre,
Disait un curé à ses chantres,
A ses enfants de chœur
Deo gratias.
J’ai du poil au cul, du poil au cul,
Du poil aux fesses,
J’ai du poil au cul, du poil au cul,
Du poil au con.
Refrain
J’ai le trou du cul tout déchiré,
Tout décousu,
L’autre jour , l’idée m’est venue,
Cré nom de Dieu, d’enculer une statue,
Elle était faite toute de marbre,
Voilà son cul qui se lézarde,
Je n’ai jamais pu l’enculer qu’en
morceaux,
Cré nom de Dieu, on est tous des salauds.
Refrain
L’autre jour, l’idée m’est venue,
Cré nom de Dieu, d’enculer un poilu,
Il se trouvait dans la tranchée,
En position du tireur couché,
Je n’ai jamais pu l’enculer qu’en rampant,
Cré nom de Dieu, on est jamais content.
Refrain
Quand on baise un con trop petit,
Cré nom de Dieu, on s’écorche le vit,
Mais quand on baise un con trop large,
On ne sent pas quand on décharge,
Et se branler est bien emmerdant,
Cré nom de Dieu, on n’est jamais content.
Refrain
En arrivant au paradis,
J’ai senti se lever mon vit,
J’enculais saint archange,
La sainte vierge et tous les anges,
Et si le bon Dieu ne s’était pas cavalé,
Cré nom de lui, je l’aurais enculé.
LA FEMME QUI PETE AU LIT
La femme qui péte au lit
Eprouve quatre jouissances,
Elle parfume son lit,
Elle soulage son ventre,
Elle entend son cul qui chante,
Dans le silence de la nuit,
Elle entend son trou du cul qui chante,
Et elle emmerde son mari.
LA FILLE DU BEDOUIN
La fille du bédouin,
Se branlait dans un coin,
Avec une banane ...
Et moi dans l’autre coin,
En voyant son vagin,
Je bandais comme un âne ...
Tout d’abord, il ne faut pas chanter, mais faire mmh, ..., mmh.
La chanson est chantée en boucle, et à chaque fois, on progresse.
Au 1er passage, on chante la 1ère ligne, puis on marmonne les autres,
Au 2ème passage, on lit les 2 premières lignes, .....
LA HAUT SUR LA COLLINE
Cette chanson se chante sur l’air de Malbrough s’en va-t’en guerre, une aimable bouffonnerie dont on ne
connaît pas l’auteur et qui fut sans doute composée après la bataille de Malplaquet (1709), rencontre
indécise à l’issue de laquelle les troupes du maréchal de Villars durent battre en retraite, non sans avoir
infligé des pertes doubles aux Anglais commandés par John Churchill, duc de Marlborough. Le bruit de
la mort du général anglais avait couru parmi les Français et elle inspira cette joyeuse chanson qui n’est
pas originale. Elle reproduit en effet une partie des couplets du Convoi du duc de Guise (1563), chanson
écrite après l’assassinat du duc et elle-même inspirée d’une romance du Moyen Age.
Là-haut sur la colline,
Trop été au bordel,
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Là-haut sur la colline,
Il y avait un cul (bis).
Trop été au bordel,
Où il allait quêter (bis).
Un gros curé de campagne,
Quêter l’aumône des pauvres,
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Un gros curé de campagne,
Qui astiquait son bout (bis).
Quêter l’aumône des pauvres,
Qui en avaient besoin (bis).
Son bouquin de prières,
Variante de deux couplets du texte
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Son bouquin de prières,
Pour entrer dans un con (bis).
Un coupable de l’enfer
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Un coupable de l’enfer
Qui avait fait un gros pet (bis).
Dans un confessionnal,
Pour y tirer un coup (bis).
Un gros péché mortel,
Dans un confessionnal,
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Un couplet de prière,
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Un couplet de prière,
Pour en tirer un jus (bis).
Un jugement de Saint-Pierre,
Les deux pieds, les deux mains dans la merde.
Un jugement de Saint-Pierre,
Et avait trop été (bis).
Un gros péché mortel
Et avait trop été (bis).
LA JEUNE FILLE SIMPLE ET BONNE
C’était une jeune fille simple et bonne
Qui ne demandait rien à personne
Un soir dans le métro y avait presse (presse, presse)
Un jeune homme osa je confesse (fesse, fesse)
Lui passer la main sur les …… cheveux
Comme elle était gentille, elle s’approcha un peu.
Et comme il la trouvait très belle
Il s’approcha un petit peu d’elle
Et comme en chaque homme tout de suite (suite, suite)
S’éveille le démon qui l’habite (bite, bite)
Le jeune homme lui sorti sa …… carte
Et lui dit je m’appelle Jules et j’habite rue Descartes.
Mais comme elle craignait pour ses robes,
A ses attaques elle se dérobe
Sentant quelque chose qui la chatouille (touille, touille)
Derrière son dos, elle tripatouille (touille, touille)
Et tombe sur une belle paire de …… gants
Que le jeune homme à la main tenait négligemment.
Le métro continue son voyage
Elle se dit ce jeune homme n’est pas sage
Sentant quelque chose de pointu (tu, tu)
Qui d’un air ferme et convaincu (cu, cu)
Cherche à pénétrer dans son …… cœur
Ah qu’il est doux d’aimer, quel frisson de bonheur.
Ainsi à Paris quand on s’aime
On peut se le dire sans problème
Peu importe le véhicule (cule, cule)
N’ayons pas peur du ridicule (cule, cule)
Dites lui simplement je t’en …… prie
Viens donc à la maison manger des spaghettis.
LA MARIEE
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le trottoir, qui va m’enjamber ce soir ?
Qui va m’enjamber ce soir ? dit la mariée ohé !
Qui va m’enjamber ce soir ? dit le trottoir.
Sur le même principe
Oh ! Oh ! Oh ! Le corridor, c’est moi qu’on enfile d’abord.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit l’escalier, c’est moi qu’on monte en premier.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit la serrure, je ne savais pas que c’était si dur.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit l’œil de bœuf, c’est moi qui fait le 69.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit la carpette, c’est sur moi qu’on fait minette.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit la pendule, c’est moi qui avance et qui recule.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le fauteuil, c’est sur moi qu’on baise à l’œil.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le tiroir, c’est moi qu’on tire dans le noir.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le vase de nuit, c’est moi qu’on remplit la nuit.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le sommier, c’est sur moi qu’on prend son pied.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le matelas, surtout ne me transpercez pas.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le drap du dessous, c’est moi qui prend toujours tout.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le drap du dessus, c’est moi qui prend les coups de cul.
Oh ! Oh ! Oh ! Dit le ciel de lit, je ne savais pas que c’était fini.
Mais je suis prête à recommencer dit la mariée.
LA MARSEILLAISE DES VIDANGEURS
Refrain
Pompons la merde
Et pompons la gaiement
Et envoyons se faire foutre
Ceux qui ne sont pas nos frères.
Pompons la merde
Et pompons la gaiement
Et envoyons se faire foutre
Ceux qui ne sont pas contents.
Soupe à l’oignon, bouillon démocratique
Perdreau truffé du Boulevard Saint Germain
Vous serez tous, c’est une loi physique
Bouffés un jour et chiés le lendemain.
Refrain
Fille de roi, de ta beauté si fière
Tu dois chier, ainsi Dieu l’a voulu.
Ton cul royal, comme un cul prolétaire
A la nature doit payer son tribut.
Refrain
Humble ouvrier, ta modeste cuisine
Te fait du riche envier les festins.
Console-toi, les produits qu’il rumine
Ne sentiront pas meilleurs que les tiens.
Refrain
Aux vanités des choses de ce monde
Roses, jasmins, qu’êtes vous devenues ?
Vous embaumiez à cent lieues à la ronde
La merde passe et l’on ne vous sent plus.
Refrain
Et puisqu’il faut que rien ne se perde
Dans la nature où tout est bon
Amis poussons, poussons la pompe à merde
Le jour se lève à l’horizon.
LA MERE A PAPA
Mon père m'a donné cents sous
Pour acheter des bretelles.
J'ai gardé les cent sous
Pour aller au bordel.
Chemin faisant,
J'ai rencontré Grand Mère
Où vas tu mon enfant ?
Mais je vais au bordel.
Donne moi les cents sous
Je ferai bien l'affaire
J'ai donné les cent sous
Et j'ai baisé Grand Mère.
Chemin rentrant,
J'ai rencontré mon père
D'où viens tu mon enfant ?
Je viens de baiser Grand Mère.
Fils de salaud
Tu as baisé ma mère
Salaud toi même
Tu baises bien la mienne.
LA MERE MICHEL
C'est la mère Michel qui a montré son chat
En criant par la fenêtre : qui donc me le prendra ?
C'est le père Lustucru qui lui a répondu
J'arrive la mère Michel, j'aime les chats bien poilus.
Refrain
Sur l'air du tru lu lu lu
Sur l'air du tru lu lu lu
Sur l'air du tru déru déru
Tru lu lu
Alors la mère Michel lui a donné son chat
En disant ce minet a mangé beaucoup de rats
Mais la chaude luronne s'écria tout à coup
Sortez, père Lustucru, mon chat n'aime pas le mou
Refrain
Le père Lustucru se retira furieux
En disant j'ai une verge pour les chats coléreux
La mère Michel lui dit avec ta verge papa
Il n'y a vraiment pas de quoi fouetter mon chat.
Refrain
LA PAIMPOLAISE
Version bretonne, remake de la Paimpolaise
On s’en fout de l’armée de France,
Et de la marine à Toulon,
Nous ce qu’on veut, c’est l’indépendance,
Vive le front libéral breton.
J’aime Paimpol et sa falaise,
Et son front de libération
Mais chez nous, il y a un malaise,
Faut que ça pète au pays breton.
J’aime Paimpol et sa falaise,
Son calvaire et son grand pardon
Mais je préfère ma Paimpolaise
qui m’attend au pays breton.
Bretagne, Bretagne, Bretagne...
LIBRE !!!
Version non bretonne
La Bretagne, c’est pas la France,
C’est vraiment un pays de cons,
Donnez-leur leur indépendance,
Qu’ils nous lâchent un peu les roustons.
Bretagne, Bretagne, Bretagne
On t’encule
LA PECHE AUX FOUNES
A la pèche aux founes, founes, founes
Je ne veux plus fourrer maman
Les filles de ma pine, pine, pine
M’ont mordu le gland maman.
LA PENA BAIONA
Refrain
Dans notre cher petit Bayonne
Il est une peña
La peña baiona
Ils portent fièrement partout
Leur foulard bleu et blanc
A Dax ou a Narbonne
On ne voit plus que ces gars là
Qui ont dans le coeur
Leurs chers joueurs
Du rugby roi.
Chez nous à Jean Dauger
Ou bien partout à l'extérieur
Sur tous les stades enfiévrés
Elle met tant d'ardeur
C'est la peña
Qui crie sa joie
Sur cet air là.
Refrain
Allez allez
Les bleus et blancs
De l'Aviron Bayonnais
C'est la peña
C'est la peña baiona
On est tous là
Allez les gars
Encore une fois.
Allez allez
Les bleus et blancs
De l'aviron bayonnais
Jouez au ras
Puis écartez c'est l'essai
On applaudit à vos exploits,
C'est gagné.
Refrain
Ils portent fièrement partout leur foulard bleu et blanc
A Dax ou à Narbonne
On ne voit plus que ces gars là
Qui ont dans le coeur
Leurs chers joueurs
Du rugby roi.
Partout nos joueurs brillent
Souvent la victoire est au bout,
Les rues de bleu et blanc
S'habillent
Et la fête est partout
C'est la peña qui crie sa joie
Sur cet air là.
Refrain
LA PETITE EMILIE
La petite Emilie m’avait bien promis
Trois poils de son cul
Pour en faire un tapis.
Les poils sont tombés, le tapis est foutu
La petite Emilie n’a plus de poils au cul
Refrain
Taïo, oh taïo, oh taïo
Ferme ta gueule, répondit l’écho.
L’écho m’a si bien répondu,
Que j’en suis tombé sur le cul.
Le duc de Bordeaux ayant décrété
Que tous les cocus devaient être noyés.
Refrain
Sa femme, aisément, lui dit simplement
Etes vous si sûr de bien savoir nager.
Arrache, arrache, les poils de mes fesses
Arrache, arrache les poils de mon cul.
Refrain
LA PETITE HUGUETTE
Un jour, la petite Huguette,
Tripote moi la bite avec les doigts,
Un jour, la petite Huguette
S’en revenait des bois (bis).
En chemin, elle rencontre,
Tripote moi la bite avec les doigts,
En chemin elle rencontre,
Un étudiant en droit (bis).
Sur le même principe
Il la prend, il la monte
Sur le foin qui était là.
Le foin était si sec
Qu’il en faisait fla fla.
La mère de la petite Huguette
Vint à passer par là.
Elle dit : baise, ma fille.
On n’en meurt pas pour ça.
Car si on en mourait
Je ne serais plus là.
Car si tu en mourais,
Sur ta tombe, on mettrait.
Ci-gît la petite Huguette
Qui est morte en faisant ça.
En faisant sa prière
Au grand Saint Nicolas.
Le grand saint que les hommes
Portent la tête en bas.
Quand ils la portent en l’air
Ils inondent les draps.
LA PETITE OUVRIERE
Refrain
Quel plaisir je ressens à l'ouvrage
Ah je suis toute en nage
Je suis toute en nage
Ma mère avait raison je le vois
Notre bonheur est au bout des doigts (bis)
Défunte maman me disait sans cesse
Au bout de tes doigts est la richesse
Fille qui travaille avec honneur
Se fait soi-même son petit bonheur
Refrain
Le coeur à l'ouvrage au mois de décembre
Sans feu je m'enferme dans ma chambre
Quand il gèle à claquer des dents
Je réchauffe mes doigts sans souffler dedans
Refrain
Je me rappelle le grand Léandre
Qui devant me fenêtre d'un air tendre
Se déboutonna comme un impur
Sans se tourner du côté du mur
Refrain
De beaux messieurs proposent de me faire
Des enfants qui mourraient de misère
Chers enfants par le travail que voilà
Je vous épargne ce chagrin-là
Refrain
L'ouvrière qui craint la satyre
Doit se chatouiller pour se faire rire
En travaillant cela rend le coeur gai
Et le poignet seul est fatigué
Refrain
LA PUCE
Au dortoir
Sur le soir
La soeur Luce
En chemise
Et sans mouchoir
Cherchant du blanc au noir
A surprendre une puce
A tâtons
Du téton
A la cuisse
L'animal ne fait qu'un saut
Ensuite un peu plus haut
Se glisse
Dans la petite ouverture
Croyant sa retraite sûre
De pincer
Sans danger
Il se flatte
Luce pour se soulager
Y porte un doigt léger
Et gratte
En ce lieu
Par ce jeu
Tout s'humecte
A force de chatouiller
Venant à se mouiller
Elle noya l'insecte
Mais enfin
Ce lutin
Qui rend l'âme
Veut faire un dernier effort
Luce grattant plus fort
Se pâme
LA ROBE DE MARIEE
Marie avait une robe
Ram ti pétam ti pétapéta pétam
Marie avait une robe
Une robe de cinq sous (ter)
Sa robe était trop courte
Ram ti pétam ti pétapéta pétam
Sa robe était trop courte
On voyait tout par dessous (ter)
Sur le même principe
On voyait toutes les montagnes
La chapelle de la vieille Giroux
Pour aller dans cette chapelle
Il faut se mettre à genoux
Il vous faut une chandelle
Qui n'a pas de mèche au bout
Car s'il y avait une mèche
Ça mettrait le feu partout
Ça brûlerait toutes les montagnes
La chapelle de la vieille Giroux.
LA ROMANCE DU QUATORZE JUILLET
Elle avait ses quinze ans à peine
Quand elle sentit battre son coeur
Un beau soir près du mec Gégène
Marinette a crû au bonheur
C'était le jour de la fête nationale
Quand la bombe éclate en l'air
Elle sentit comme une lame
Qui lui pénétrait dans la chair
Par devant par derrière
Tristement comme toujours
Sans chichis sans manières
Elle a connu l'amour
Les oiseaux dans les branches
En les voyant s'aimer
Entonnèrent la romance
Du quatorze juillet
Lorsque refleurit l'aubépine
Aux premiers jours du printemps
Fallait voir la pauvre gamine
Mettre au monde un petit enfant
Mais Gégène qu'est le mec à la coule
Lui dit ton gosse moi je m'en fous
Si tu savais comme je me les roule
A ta place moi je lui tordrais le cou
Par devant par derrière
Tristement comme toujours
Fallait voir la pauvre mère
Avec son gosse de huit jours
En fermant les paupières
Elle lui tordit le kiki
Et dans le trou des waters
Elle jeta son petit
Mise au banc de la cour d'assises
Et de celui de la société
Elle fut traitée de fille soumise
A la veille du quatorze juillet
Elle entendait son petit gosse
Qui appelait sa maman
Tandis que le verdict atroce
La condamne au bagne pour vingt ans
Par devant par derrière
Tristement comme toujours
Elle est morte la pauvre mère
A Cayenne un beau jour
Morte avec l'espérance
De revoir son bébé
Dans la fosse d'aisance
Où elle l'avait jeté
Elle avait ses quinze ans à peine
Quand elle sentit battre son coeur
Un beau soir près du mec Gégène
Marinette a crû au bonheur
LA SALOPE
Il était une fillette qui s’appelait Suzon
Et qui aimait à rire avec tous les garçons.
Refrain
Ah ! La salope, va laver ton cul malpropre,
Car il n’est pas propre tirelire
Car il n’est pas propre tirelira
Car il n’est pas propre tirelire
Car il n’est pas propre tirelira
Et qui aimait à rire avec tous les garçons.
Mais à force d’en rire son ventre devint rond
Refrain
Mais à force d’en rire son ventre devint rond
Sa mère lui demande : qui t’a fait ça Suzon?
Refrain
Sa mère lui demande : qui t’a fait cela Suzon?
C’est le fils du garde-barrière par derrière sa maison
Refrain
C’est le fils du garde-barrière par derrière sa maison
Il amis sous ma robe un gros bâton tout rond
Refrain
Il amis sous ma robe un gros bâton tout rond
Au bout il y avait de la crème, mon Dieu que c’était bon
Refrain
Au bout il y avait de la crème, mon Dieu que c’était bon
Si c’était à refaire, nous recommencerions
Refrain
LA SUCEUSE DE SANTE
Le godemichet à la main
Elle se branle dans tous les coins
Quand un michton a le trac de lui mettre
Elle s'astique sur les parcmètres
Refrain
C'est la suceuse de santé
Il y en a plus d'un qui s'est fait déboîté
Par sa baveuse et son doigté
La nuit embusquée elle guette
Attention planquez vos braguettes
C'est pas couvert par la sécurité
La suceuse de santé
Elle a l'écume aux naseaux
Dès qu'elle renifle un puceau
J'en connais un qui est resté coincé
Et qui ne peut plus débander
Refrain
Elle pompe pour le plaisir
Elle aime ceux qui ont peine à jouir
Pour la turlutte on dit que sa technique
Vaut la trayeuse électrique
Refrain
Pas question de bander mou
Tu sors de là sur les genoux
Et si tu n’as pas un calbar en béton
Fais bien gaffe à tes roustons.
Refrain
LA TOUR DE LONDRES
Dans une tour de Londres,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit
Sans bruit, sans bruit (bis)
Dans une tour de Londres,
Il y avait un prisonnier (bis)
Eins, zwei
Il y avait un prisonnier
La bite au cul, les couilles pendantes,
Il y avait un prisonnier, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
Quand il fut sur le trône,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit
Sans bruit, sans bruit (bis)
Quand il fut sur le trône,
Il n’avait pas de papier (bis)
Eins, zwei
Il n’avait pas de papier,
La bite au cul, les couilles pendantes,
Il n’avait pas de papier, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
Il ne voyait personne,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit
Sans bruit, sans bruit (bis)
Il ne voyait personne,
Que la fille du geôlier (bis)
Eins, zwei
Que la fille du geôlier
La bite au cul, les couilles pendantes,
Que la fille du geôlier, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
En attendant que cela sèche,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit
Sans bruit, sans bruit (bis)
En attendant que cela sèche,
Il se mit à chanter (bis)
Eins, zwei
Il se mit à chanter,
La bite au cul, les couilles pendantes,
Il se mit à chanter, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
Un jour, il lui demande,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit
Sans bruit, sans bruit (bis)
Un jour, il lui demande
La clef pour aller chier (bis)
Eins, zwei
La clef pour aller chier,
La bite au cul, les couilles pendantes,
La clef pour aller chier, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
J’emmerde les gendarmes,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit
Sans bruit, sans bruit (bis)
J’emmerde les gendarmes
Et la maréchaussée (bis)
Eins, zwei
Et la maréchaussée,
La bite au cul, les couilles pendantes,
Et la maréchaussée, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
Les gendarmes l’entendirent,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit,
Sans bruit, sans bruit (bis)
Les gendarmes l’entendirent
Et le firent fusiller (bis)
Eins, zwei
Et le firent fusiller
La bite au cul, les couilles pendantes,
Et le firent fusiller, la bite au cul, bien
enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
La morale de cette histoire,
Il y a des morpions qui m’emmerdent la
nuit,
Sans bruit, sans bruit (bis)
La morale de cette histoire,
C’est qu’il ne faut pas chier
Quand on n’a pas de papier
C’est qu’il ne faut pas chier,
La bite au cul, les couilles pendantes,
C’est qu’il ne faut pas chier, la bite au cul,
bien enfoncée
Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis)
LE BERGER FIDELE
Oh mon berger fidèle,
Viens t’en reposer sur mon cœur, cœur, cœur,
Cœur, cœur, cœur, cœur
A ma voix qui t’appelle,
Viens t’en me donner du bonheur, neur, neur,
Neur, neur, neur, neur
Refrain
Ah ! Fous-moi donc ta pine dans le cul
Et qu’on en finisse
Ah ! Fous-moi donc ta pine dans le cul
Et qu’on n’en parle plus
Ta langue me chatouille,
Jusqu’au fond du gosier,
Et ton doigt me trifouille
Bien plus bas que le gésier.
Refrain
Je sens tes testicules,
Tambouriner sur mon pétard,
Je crois bien que tu m’encules,
Hola, le puissant braquemart.
Refrain
Mais ta queue devient molle,
Et tu ne peux plus bander,
Oh ce désir qui m’affole,
Passe-moi donc le godemichet.
Refrain
Ah ! Fous-moi le godemichet dans le cul
Et qu’on en finisse
Ah ! Fous-moi le godemichet dans le cul
Et qu’on n’en parle plus
LE BON ROI DAGOBERT
Le bon roi Dagobert
Baisait à tort et à travers
Le grand Saint Eloi
Lui dit oh mon roi
Votre Majesté
Va se fatiguer
Le bon roi Dagobert
Etait demeuré très primaire
Au grand Saint Eloi
Qui lui demanda
Dites-moi au moins
Combien font un et un
Cochon lui dit le roi
Tu voudrais bien foutre pour moi
Il gueula comme un boeuf
Un et un, cela fait soixante-neuf
Le bon roi Dagobert
Enfilait les femmes à l'envers
Le grand Saint Eloi
Lui dit oh mon roi
Vous êtes entrés
Du mauvais côté
Le bon roi Dagobert
Se faisait sucer au dessert
La reine fort choquée
Lui dit c'est assez
Devant tout le palais
C'est vraiment très laid
Crétin lui dit le roi
Tu sais bien que l'envers vaut l'endroit
Le roi lui dit: Souveraine,
On ne doit pas parler la bouche pleine
C'est le roi Dagobert
Qui bandait toujours comme un cerf
Le grand Saint Eloi
Lui dit oh mon roi
On voit votre gland
Ce n'est pas élégant
Le bon roi Dagobert
En mourant fit cette prière
Mon cher Saint Eloi
Je voudrais ma foi
Que l'on mît à part
Mon grand braquemart
Le roi dit aussitôt
Bon je vais y accrocher mon chapeau
Il servira d'ailleurs
De sceptre à tous mes successeurs
Le bon roi Dagobert
Avait toujours la queue à l'air
Le grand Saint Eloi
Lui dit oh mon roi
Au mois de décembre
Faut rentrer son membre
Le roi lui dit très fier
Rien ne vaut le vit au grand air
LE CHANT DES PHARMACIENS
C’est nous les pharmaciens
Qui venons vous trouver
Du fond des facultés pour vous administrer
Les capotes, les forceps,
La poudre à faire bander
Et la vaseline Codex
Pour mieux faire pénétrer
La pine dans le con
Comme un couteau dans le beurre.
Les impuissants baisseront avec ardeur
Et si quelqu’un nous traite d’épicier
Son cul fera connaissance avec notre pied,
Avec notre pied.
Refrain
Baisons ma mère
Devant, derrière
Les petites pucelles
Les vieilles maquerelles
Les filles de rien
C’est nous les Pharmaciens.
Les littéraires sont des andouilles,
Les scientifiques sont des bizuths,
Oui, des bizuths,
Vingt carabins ne valent pas la couille
D’un pharmacien,
Cela c’est connu (bis)
En avant, en marchant, en gueulant, ...
Refrain
Et quand plus tard, dans nos boutiques
Nous nous rappellerons
Le bon vieux temps (bis),
Où nous bandions comme des triques
C’était l’époque
De nos vingt ans (bis),
En avant, en marchant, en gueulant, ...
Refrain
Les pharmaciennes ont la main douce
Elles épuiseraient
Un régiment (bis),
Il la leur faut bien de six pouces
En largeur, naturellement, naturellement
En avant, en marchant, en gueulant, ...
Refrain
Bien rembourrées devant, derrière,
C’est le propre
De nos consoeurs (bis),
Un bon pilon en la matière
Ne remplace pas
Un bon baiseur (bis),
En avant, en marchant, en gueulant, ...
Refrain
Ainsi, baisons à tour de rôle
Ça ne sort pas de la maison, de la maison
Si quelqu’un attrape la vérole
Le 606 en aura raison, aura raison
En avant, en marchant, en gueulant, ...
Refrain
LE CIRQUE
Ma mère m’a donné
La permission de minuit
Pour aller me saouler la gueule
A la Pitchoulie
Ma mère m’a donné
Comme prénom : Roi des Cons
Et moi, je trouve que Roi des Cons
C’est un joli prénom
Deuxième numéro
Refrain
Refrain
La Pitchoulie (bis)
Le rendez vous
De tous les Basques du pays
La Pitchoulie (bis)
Le rendez vous, tous les dimanches
Après le rugby
La, la, la, la …….Zim, boum (bis)
Troisième numéro
Parlé
Et voici le grand cirque
De tel ou tel groupe ou association
Z est le plus grand buveur
De tous les temps
Un pochtron mondialement connu
Mais comme il n’urine
Qu’une seule fois par mois
Les premiers rangs
Sont priés de dégager
Voici XX, la personne
La plus haute du monde
Capable, d’un seul bond
De sauter vingt mètres
Mais comme la salle
Ne fait que deux mètres
Elle sautera dix fois deux mètres
Refrain
Quatrième numéro
Premier numéro
J’ai nommé X et Y
Deux frères exceptionnels
X mange du bois
Il chie des copeaux
Y mange du fer
Il chie des boulons
Voici YY, la personne
La plus forte du monde
Capable d’arrêter un TGV lancé
A 350 kilomètres heure
D’une seule main, d’une seule
….
En tirant sur la sonnette d’alarme
Refrain
Refrain
Cinquième numéro
Septième numéro
Voici ZZ, l’homme élastique
Aux doigts si fins
Qu’il est capable de passer
Son index à travers le chat d’une aiguille
En interpellant la demoiselle la plus proche
Mademoiselle, disposeriez vous d’une
aiguille ?
Ce n’est pas, je vous invite à proposer
Autre chose et à aller en coulisse avec ZZ
Pour répéter ce numéro
Le clou de notre spectacle
Voici le quasimodo des temps modernes
La personne la plus laide au monde
Si laide que vos coeurs s’en retournent
Préparez vos mouchoirs
Préparez les bassines
En faisant mine de décrocher le téléphone
Ah ! Un petit contretemps.
La bête est souffrante
Nous ne pouvons la montrer
Par contre, j’ai le plaisir
De vous présenter ses parents
Choisir deux femmes ou deux hommes
J’ai nommé YYY et ZZZ
Sixième numéro
Notre spectacle touche à sa fin
Ames sensibles s’abstenir
Les enfants sont priés de sortir
Voici XXX, l’homme le plus poilu du
monde
Si poilu, que les scientifiques
Du monde entier réunis
Ont mis six mois, six semaine et six jours
Pour lui trouver
….
Le trou du cul
Refrain
Refrain
LE CORBILLARD
Un corbillard s’avançait dans le brouillard,
Suivi de près par un autre corbillard ...
On est allé jusqu’à la morgue,
Voir si il n’y avait pas des crevés (bis).
Il y avait une femme morte,
qui se faisait lécher les pieds (bis).
La peau du ventre était si verte,
Qu’on aurait dit les épinards du réfectoire.
Et sur son dos, oh ! Les asticots, oh !
Avaient gravé ces quelques mots : Oh ! Oh ! Oh !
J’aime le crachat des vieux,
La morve des vieilles,
La diarrhée des nouveaux nés,
Et les crottes de nez.
Hum! C’est bon. C’est gluant.
Ça glisse sous la dent.
LE CORDONNIER PAMPHILE
Le cordonnier Pamphile
A élu domicile
Près d’un couvent de filles
Et bien il s’en trouva.
Alors toute contente,
Elle retire de sa fente
La carotte écumante
Et puis elle la jeta.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et bien il s’en trouva. (bis)
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et puis elle la jeta. (bis)
Car la gente monastique
Jetait dans sa boutique
Des trognons et des chiques,
Restes de ses repas.
Par un hasard comique,
La carotte impudique
Tomba dans la boutique
Du cordonnier d’en bas.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Restes de ses repas. (bis)
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Du cordonnier d’en bas. (bis)
Un soir la sœur Charlotte
S’asticotait la motte
Avec une carotte
Grosse comme le bras.
Ah ! Dit-il, quelle chance.
C’est aujourd’hui dimanche,
Elle est à la sauce blanche.
Et hop, il l’avala.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et hop il l’avala. (bis)
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Grosse comme le bras. (bis)
Elle s’astique les tétasses,
Se branle la connasse,
Mais quelque effort qu’elle fasse,
Le foutre ne vient pas.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Le foutre ne vient pas. (bis)
Mais comme tout a un terme,
Enfin jaillit le sperme,
Son con s’ouvre et se ferme,
Enfin elle déchargea.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Enfin elle déchargea. (bis)
Crénom de dieu, fit-il,
Cette carotte sent l’urine,
Elle a servi de pine.
Et il la dégueula.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et il la dégueula. (bis)
LE DOIGT GELE
Cet hiver, par un froid intense,
Rentrant chez lui tout accablé,
A sa femme il dit : mon Hortense,
Je crois que j'ai le doigt gelé.
Oh ! La femme, l'être adorable
Pétrie de grâce et de bonté,
Chacune en sa foi secourable
Est un masseur de charité.
Tiens, regarde, il est insensible;
Va, peu d'espoir, il est bien mort.
Mon ami, ce serait horrible.
Peut-être bien qu'il vit encore.
Elle massa mais avec rage,
Car stérile fut son effort,
Pendant qu'il murmurait: courage,
Peut-être bien qu'il n'est pas mort.
Mais le doigt, misérable tige,
N'était plus, piteux, racorni,
Et, nini, c'était bien fini
Lasse de la besogne aride,
Elle lâchait le doigt transi,
Qui s'obstinait, morne et rigide,
Quand soudain son front s'éclaircit.
L'épouse s'écria plaintive :
Si tu le frictionnais fort ?
Tiens, voici de l'eau sédative,
Peut-être bien qu'il n'est pas mort.
Sommes-nous nigauds tout de même.
La flamme n'y peut rien, d'accord,
Mais il est un moyen suprême
De s'assurer qu'il est bien mort.
L'eau n'y fit rien. La pauvre femme
Se lamentait dans sa douleur.
Si tu le réchauffais à la flamme ?
Ce qu'il lui faut c'est la chaleur.
On n'entendit plus, dans la chambre,
Rien sinon des mots encourageants
Que la victime de décembre
Bégayait sur des tons changeants.
Approche donc. Quoi, tu recules ?
Poltron. Que l'angoisse me tord.
Comprends bien que si tu te brûles
Ça prouvera qu'il n'est pas mort.
Et tout à coup l'épouse émue
S'écria: mon ami Victor,
Béni soit le ciel, il remue.
Ah ! quel bonheur, il n'est pas mort.
Toujours rien. En vain ils varient
L'eau, le feu, le chaud, le froid.
Il essaya le bain-marie.
Rien ne ranimait plus le doigt.
Maris, méditez cette histoir.
Le doigt peut vous geler demain.
Vous avez, la chose est notoire,
Le remède exquis sous la main.
Ah ! fit l'épouse toute blême,
Il me resterait un remords
Si je n'essayais pas moi-même
De m'assurer qu'il est bien mort.
Le feu, cet élément du diable,
Peut vous rendre un peu votre essor.
Mais le cul d'une femme aimable
Est mille fois plus chaud encore.
Qu'un souffle, un rien, moins qu'un vestige,
LE DUC DE BORDEAUX
Le duc de Bordeaux ressemble à son frère,
Son frère à son père et son père à mon cul.
De là je conclus que le duc de bordeaux
Ressemble à mon cul comme deux gouttes d’eau.
La duchesse de la Trémouille
Malgré sa très grande piété,
A patiné plus de paires de couilles,
Que la grande armée n’a usé de souliers.
Refrain
Refrain
Taïo oh (ter)
Ferme ta gueule, répondit l’écho.
La petite Amélie m’avait bien promis
Nom de Dieu, disait la princesse
En voyant la pine du baron,
J’aimerais mieux l’avoir dans les fesses
Que la voir dans son pantalon.
Refrain
Chasseur as-tu-vu le trou de mon cul ?
Si tu veux le voir, tu reviendras ce soir.
Moi, j’ai vu le tien, je n’en ai rien dit
Si tu vois le mien, tu n’en diras rien.
Refrain
Le duc de Chevreuse ayant déclaré
Que tous les cocus devaient être noyés
Madame de Chevreuse lui a demandé,
S’il était bien sûr de savoir nager.
Refrain
Trois poils de son cul pour en faire un tapis.
Les poils sont tombés, le tapis est foutu,
La petite Amélie n’a plus de poils au cul.
Refrain
Le roi Dagobert a une pine de fer.
Le bon Saint Eloi lui dit : oh mon Roi,
Si vous m’enculez, vous m’écorcherez .
C’est vrai lui dit le roi, j’en ferai une en bois.
Refrain
LE GRAND VICAIRE
Chez nous le méchoui, c’est une coutume
Mon papa fait le barbecue,
Ma maman fait le mouton,
Et le curé l’embroche
Et le grand vicaire, toujours par derrière
N’a jamais pu l’embrocher.
Chez nous le jardinage, c’est une coutume
Mon papa fait la charrue,
Ma maman elle fait les bœufs,
Et le curé laboure.
Et le grand vicaire, toujours par derrière,
N’a jamais pu la bourrer.
Chez nous l’escalier, c’est une coutume
Mon papa monte la marche,
Ma maman descend la marche,
Et le curé la saute …
Chez nous la musique, c’est une coutume
Mon papa joue de la guitare,
Ma maman, c’est le piano,
Et le curé la viole …
Chez nous les vendanges, c’est une coutume
Mon papa fait le raisin,
Ma maman fait les bouteilles,
Et le curé l’embouche …
Sur le même principe
Chez nous l’évasion, c’est une coutume
Mon papa c’est la prison,
Ma maman c’est les barreaux
Et le curé la lime …
Chez nous la glace, c’est une coutume
Mon papa, c’est le cornet,
Ma maman, elle fait la boule,
Et le curé la lèche ...
Chez nous le vélo, c’est une coutume
Mon papa fait le boyau,
Ma maman fait la rustine,
Et le curé la pompe …
Chez nous la pétanque, c’est une coutume
Mon papa fait le cochonnet,
Ma maman elle fait la boule,
Et le curé la tire …
Chez nous la torture, c’est une coutume
Mon papa arrache les ongles,
Ma maman lui crève les yeux,
Et le curé l’empale …
Chez nous la basse-cour, c’est une
coutume
Mon papa fait le goret,
Ma maman fait le canard,
Et le curé lapine …
Chez nous le supplice, c’est une coutume
Mon papa apporte la corde,
Ma maman l’attache aux chevaux,
Et le curé l’écartèle …
Chez nous les rideaux, c’est une coutume
Mon papa fait les anneaux,
Ma maman fait le tissu,
Et le curé la tringle …
Chez nous les baskets, c’est une coutume
Mon papa fait les Reebok,
Ma maman fait Adidas,
Et le curé la Nike …
Chez nous l’argenterie, c’est une coutume
Mon papa sort l’argenterie,
Ma maman lave l’argenterie,
Et le curé l’astique …
Chez nous les sciences, c’est une coutume
Mon papa fait la physique,
Ma maman fait la bio,
Et le curé la math …
Chez nous couper du bois, c’est une coutume
Chez nous la géo, c’est une coutume
Mon papa fait la carto,
Ma maman fait la morpho,
Et le curé l’écarte …
Chez nous la maladresse, c’est une coutume
Chez nous la maçonnerie, c’est une coutume
Mon papa fait le mortier,
Ma maman fait la truelle,
Et le curé l’embrique …
Chez nous les voyages, c’est une coutume
Mon papa il fait l’Egypte,
Ma maman la Macédoine,
Et le curé la Perse …
Chez nous la couture, c’est une coutume
Mon papa prépare les fils,
Ma maman c’est les aiguilles,
Et le curé l’enfile …
Chez nous les cadeaux, c’est une coutume
Mon papa fait le paquet,
Ma maman fait le ruban,
Et le curé l’emballe …
Chez nous le tricot, c’est une coutume
Mon papa fait le patron,
Ma maman fait les aiguilles,
Et le curé la pelote …
Chez nous la fête foraine, c’est une coutume
Chez nous la boulangerie, c’est une coutume
Mon papa c’est le mitron,
Ma maman prépare la pâte,
Et le curé l’enfourne …
Chez nous jouer à chat, c’est une coutume
Mon papa il fait le chat,
Ma maman fait la souris,
Et le curé l’attrape ...
Chez nous les crêpes, c’est une coutume
Mon papa il fait la poêle,
Ma maman elle fait la pâte,
Et le curé la retourne ...
Chez nous être malade, c’est une coutume
Mon papa c’est le choléra,
Ma maman elle fait la grippe,
Et le curé la crève …
Chez nous pyromane, c’est une coutume
Mon papa fait l’essence,
Ma maman fait l’allumette,
Et le curé l’allume …
Chez nous l’anatomie, c’est une coutume
Mon papa il fait les jambes,
Ma maman elle fait les bras,
Et le curé la tronche …
Chez nous la gymnastique, c’est une coutume
Mon papa fait le salto,
Ma maman fait la rondade,
Le curé la culbute …
Chez nous les légos, c’est une coutume
Mon papa fait les clipos,
Ma maman fait les duplos,
Et le curé l’emboîte …
Chez nous la chasse, c’est une coutume
Mon papa c’est le faisan,
Ma maman c’est la bécasse,
Et le curé la plombe …
Chez nous le train, c’est une coutume
Mon papa, c’est le contrôleur,
Ma maman c’est le billet,
Et le curé la poinçonne …
Mon papa fait le billot,
Ma maman elle fait la bûche,
Et le curé la fend ...
Mon papa c’est le couteau,
Ma maman elle fait le doigt,
Et le curé l’entaille …
Mon papa fait les jetons,
Ma maman fait la voiture,
Le curé la tamponne …
Chez nous la bricole, c’est une coutume
Mon papa fait le marteau,
Ma maman elle fait le clou,
Et le curé l’enfonce …
Chez nous les Noëls, c’est une coutume
Mon papa fait les marrons,
Ma maman elle fait la dinde,
Et le curé se la farcit …
Chez nous le football, c’est une coutume
Mon papa tire les pénaux,
Ma maman fait les corners,
Et le curé la touche …
Chez nous les conduits, c’est une coutume
Mon papa fait les tuyaux,
Ma maman la cheminée,
Le curé la ramone …
Chez nous la victoire, c’est une coutume
Mon papa il fait Bordeaux,
Ma maman c’est Marseille,
Et le curé la branle …
Chez nous les bébés, c’est une coutume
Mon papa c’est le biberon,
Ma maman c’est la tétine,
Et le curé la couche …
Chez nous les explosifs, c’est une coutume
Mon papa fait la grenade,
Ma maman elle fait la bombe,
Et le curé l’explose …
Chez nous l’alpinisme, c’est une coutume
Mon papa c’est l’Everest,
Ma maman c’est le Mont Blanc,
Et le curé la monte …
Chez nous les félins, c’est une coutume
Mon papa c’est le puma,
Ma maman elle fait la chatte,
Et le curé chatouille …
Chez nous l’équitation, c’est une coutume
Mon papa c’est le jockey,
Ma maman c’est le pur-sang,
Et le curé l’enfourche …
Chez nous le gazon, c’est une coutume
Mon papa fait le terreau,
Ma maman c’est la pelouse,
Et le curé la broute …
Chez nous l’électricité, c’est une coutume
Mon papa il fait les fils,
Ma maman elle fait la prise,
Et le curé décharge …
Chez nous les HLM, c’est une coutume
Mon papa fait le concierge,
Ma maman l’appartement,
Et le curé l’habite …
Chez nous le Yoyo, c’est une coutume
Mon papa se tape Léia,
Ma maman c’est Chewbacca,
Et le curé la Force …
Chez nous la corrida, c’est une coutume
Mon papa fait le taureau,
Ma maman le torero,
Et le curé l’encorne …
Chez nous plier Diaste, c’est une coutume
Mon papa lui sert le chouchen,
Ma maman le fait vomir,
Et le curé l’allonge …
Chez nous la vaisselle, c’est une coutume
Mon papa c’est Paic citron,
Ma maman c’est le torchon,
Et le curé l’éponge …
Chez nous la sucette, c’est une coutume
Le grand maître veut sucer,
Et Chupa s’est proposé,
Et le curé l’avale …
LE GRENADIER DES FLANDRES
C’était un grenadier
Qui revenait des Flandres
Qui était si mal vêtu
Qu’on lui voyait le membre
Et aussi à baiser
Quand l’occasion se présente.
Refrain
Et bien beau grenadier,
Fous le moi donc dans le ventre.
Le tambour bat la générale,
La générale bat,
Le régiment s’en va.
La générale bat,
Le régiment s’en va.
Refrain
Refrain
Ah ! non, non, non, madame
J’aurais peur de vous fendre.
Qui était si mal vêtu
Qu’on lui voyait le membre.
Une dame de charité,
Le fit monter dans sa chambre.
Refrain
Refrain
Refrain
Allume cinq, six fagots,
Pour réchauffer le membre.
La pine avec les couilles,
Il faut que tout y entre.
Refrain
Refrain
Quand le membre fut chaud,
Il se mit à l’étendre.
S’il en reste un petit bout,
Ce sera pour votre servante.
Refrain
Refrain
Aussi long que le bras,
Aussi gros que la jambe.
S’il n’en reste pas du tout,
Elle se brossera le ventre.
Refrain
Refrain
Dis moi beau grenadier,
A quoi te sert ce membre ?
Elle ira dire partout
Madame est une gourmande.
Refrain
Refrain
Il me sert à pisser,
Quand l’envie m’en vient prendre.
Quand il y a de la viande chez nous,
Elle se fout tout dans le ventre.
Refrain
Refrain
Fendu ou non fendu,
Il faut que tout y entre.
LE JOUEUR DE BINETTE
Cette chanson se chante dans l’Anthologie hospitalière et latinesque, mais le joueur de luth est remplacé
par un joueur de turlututu, ce dernier étant comme chacun le sait une espèce de flûte. L’épinette est ici
remplacée par la binette.
Dans mon village est venu (bis en choeur)
Un artiste bien connu (bis en choeur)
Qui apprend pour un petit écu
Aux jeunes filles, à jouer de l’épinette
Qui apprend pour un petit écu
Aux jeunes filles, à jouer du …
Faites moi passer la première
Tenez voilà mon vieil écu
Pour apprendre à jouer de l’épinette
Tenez voilà mon vieil écu
Pour apprendre à jouer du …
Refrain
Refrain
Trou la la, trou la la,
Trou la , trou la, trou la la,
Trou la la, trou la la,
Trou la , trou la, trou la la.
Toutes les filles de Paris (bis en choeur)
De Montmartre à Saint Denis (bis en
choeur)
Ont vendu leurs chemisettes,
Leurs jupons, leurs collerettes
Pour avoir un petit écu
Et apprendre à jouer de l’épinette
Pour avoir un petit écu
Et apprendre à jouer du …
Refrain
Une jeune fille se présenta (bis en choeur)
Qui des leçons demanda (bis en choeur)
Ah que tes leçons sont bonnes
Il faudra que tu m’en redonnes
Tiens voilà mon petit écu
Pour apprendre à jouer de l’épinette
Tiens voilà mon petit écu
Pour apprendre à jouer du …
Refrain
Une vieille aux cheveux gris (bis en
choeur)
Voulut en tâter aussi (bis en choeur)
Par la porte de derrière
Allons vieille allez vous en (bis en choeur)
Et reprenez votre argent (bis en choeur)
Car ce n’est pas à votre âge
Qu’on fait son apprentissage
Vous avez trop attendu
Pour apprendre à jouer de l’épinette
Vous avez trop attendu
Pour apprendre à jouer du …
Refrain
Et la vieille en s’en allant (bis en choeur)
Marmonnait entre ses dents (bis en choeur)
Ah que vous me la baillez belle
De me croire encore pucelle
Voilà cinquante ans et plus
Que j’ai appris à jouer de l’épinette
Voilà cinquante ans et plus
Que j’ai appris à jouer du …
Refrain
La morale de ceci (bis en choeur)
Je vais vous la dire ici (bis en choeur)
C’est que quand on est jeune et belle
Il ne faut pas rester pucelle
Il faut profiter de son beau cul
Pour apprendre à jouer de l’épinette
Il faut profiter de son beau cul
Pour apprendre à jouer du …
Refrain
LE LUNDI EN LEVRETTE
Il est huit heures du matin
Je viens de me lever
J’ai envie de sodomiser
Je réveille ma compagne
Refrain
Le lundi en levrette
Le mardi assise sur mes roupettes
Le mercredi sodomie
Et le jeudi, c’est encore sodomie
Le vendredi, c’est encore sodomie
Et le samedi, quel hasard, c’est encore sodomie
Je pue le pâté de campagne
J’ai vraiment une haleine à chier
C’est une matinée idéale
Pour la prendre par voie anale
Refrain
Je lui mets dans le canal
Ma gaule matinale
Et je sens qu’elle a mal.
Wizzzzzzzzzzzzzzzz
Refrain
La journée continue
Elle en a pris plein le cul
Elle ne peut déjà plus marcher
Oh la pauvre fille
Refrain
Elle va reprendre mon vit
J’ai de la peine vous savez
C’est une journée fantastique
J’ai vraiment une très grosse trique
Refrain
Je l’allonge sur la carpette
Lui écarte les gambettes
Je lui mets dans le trou qui pète
LE MANCHON
Voilà ce que c'est d'être si bonne
Un de ces matins qu'il gelait
Dans la vigne à la grande Simone
Maître Simon se morfondait
Il me dit venez ça, venez ça mademoiselle Javotte
Réchauffez-moi car je grelotte
Refrain
Revenez y Maître Simon
Portez-vous y
Je vous prêterai mon manchon mignon
Réchauffez-moi car je grelotte
Par malheur j'avais mon manchon
Vous me direz que j'étais bien sotte
De le prêter à Maître Simon
J'ai ce jour-là bien gagné ma journée
Je ne m'en pus servir de l'année
Refrain
Je ne m'en pus servir de l'année
Car la main de Maître Simon
Que rien jamais n'avait gêné
N'y faisait pas tant de façons
Il en a tout chiffonné la fourrure
Et même élargi l'ouverture
Refrain
Il en élargit l'ouverture
Ce petit objet si mignon
A sitôt changé de figure
C'était le plus petit de la maison
Il bouffe autant que celui de ma tante
Pensez comme ça me rend bien contente
Refrain
LE MUSEE D’ATHENES
Cette chanson se chante sur l’air de Il était un petit navire que tous les enfants connaissent mais elle n’est
pas la seule à avoir adopté cet air.
Vous verrez au musée d’Athènes
Un bout de la bite de Démosthène
Vous y verrez le bel Alcibiade
Qui tire son coup en cinq saccades
Refrain
Refrain
Et les roustons, tons, tons du père Platon
(bis)
Ohé, Ohé (bis)
Vous y verrez le grand Périclès
Les roupettes noyées dans la graisse
Vous y verrez dans une vitrine
Trois poils du cul de Proserpine
Et l’idyllique Théocrite
Dans le cul d’un bouc, poussant sa bite
Refrain
Refrain
Vous y verrez la chaste Diane
Le cul dans l’eau comme une vieille cane
Vous y verrez ce cochon de Socrate
La main dans la poche qui se la gratte
Refrain
Refrain
Vous y verrez les fils d’Hercule
Photographiés quand ils s’enculent
Vous y verrez une des fesses
De Sapho, la belle poétesse
Refrain
Refrain
Vous y verrez le vieil Homère
En train de se taper sa belle mère
Vous y verrez dans une amphore
Un peu de foutre du vieux Nestor
Refrain
Refrain
Vous y verrez le père Ulysse
En train de soigner sa chaude pisse
Vous y verrez le cul de Diogène
Dévérolé à l’hydrogène
Refrain
Refrain
Vous y verrez le Discobole
La pine rongée par la vérole
Vous y verrez un pucelage
Momifié dans un sarcophage
Refrain
Refrain
Vous y verrez Aristophane
Quand il se polit la banane
Vous y verrez la mère Egée
Carambolée par le Pirée
Refrain
Refrain
Refrain
LE PERE DUPANLOUP
Cadet Rousselle, dont on chante les mésaventures, était sans doute un niais qui appartenait probablement
à un régiment français cantonné dans le Brabant, vers 1792. Les auteurs de la chanson consacrée au Père
Dupanloup, sur l’air de Cadet Rousselle, sont aussi inconnus que l’auteur de la précédente. Par contre,
cette chanson a fait beaucoup pour la gloire posthume De Mgr Félix Dupanloup, né à Saint Félix près de
Chambéry en 1802 et mort en 1878. Evêque d’Orléans en 1849, il devint vite une vedette de l’actualité et
lorsqu’il entra à l’Académie Française en 1854, il eut droit à une épigramme assez méchante : «
l’Académie assurément choisit un prince de l’Eglise pour l’absoudre de la sottise qu’elle va faire en le
nommant ». En Belgique, on remplace le père Dupanloup par Saint Nicolas, auquel on prête les mêmes
mauvaises manières. Plus récemment, la chanson évoque Bali Balo.
Le père Dupanloup dans l’utérus (bis)
Etait déjà si plein d’astuce (bis)
Que dans le ventre de sa mère
Il suçait la pine de son père.
Le père Dupanloup le quatorze juillet (bis)
Alla se promener à dos de mulet (bis)
Pour que la fête soit complète
Il encula la pauvre bête
Refrain
Refrain
Zut, merde, pine et boxon,
Le père Dupanloup est un cochon
Zut, merde, pine et boxon,
Le père Dupanloup est un cochon
Le père Dupanloup à bicyclette (bis)
Faisait pas beaucoup de kilomètres (bis)
Car sa longue pine qui traîne
Se prenait toujours dans la chaîne
Variante originale
ou
Ah ! ah ! ah ! oui vraiment
Le père Dupanloup est dégoûtant
Le père Dupanloup monte à vélo (bis)
Mais il avait le système si gros (bis)
Qu’en pédalant à perdre haleine
La peau de ses couilles se prit dans la
chaîne
Le père Dupanloup dans son berceau (bis)
Bandait déjà comme un taureau (bis)
Pour satisfaire ses caprices
Il enculait sa vieille nourrice
ou
Et sur le sein de sa nourrice
Il attrapa la chaude pisse
Refrain
Le père Dupanloup monte en bateau (bis)
La pine en l’air, les couilles sous l’eau
(bis)
Les petits poissons, les grosses grenouilles
Lui tripotaient la peau des couilles
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup à la cuisine (bis)
Battait les oeufs avec sa pine (bis)
Cochon, dit la cuisinière
Fous la moi plutôt dans le derrière
Le père Dupanloup monte en ballon (bis)
Mais il avait le système si long (bis)
Qu’à trois cent mètres dans l’atmosphère
Ses couilles traînaient encore par terre
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup dans un wagon (bis)
Se conduisait comme un cochon (bis)
Passant sa bite par la portière
Il creva l’œil du garde barrière
Le père Dupanloup au cinéma (bis)
Avait le vit plus long qu’un mât (bis)
En voyant le cul des étoiles
D’un coup de gland, il perça la toile
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup à l’Opéra (bis)
Se conduisit comme un goujat (bis)
Avec la peau de ses roupettes
Il boucha le trou des clarinettes
Le père Dupanloup au régiment (bis)
Voulut enculer l’adjudant (bis)
Bon Dieu lui dit la colonelle
Je vais vous servir de maquerelle
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup à l’Odéon (bis)
Se conduisit comme un cochon (bis)
Au troisième acte, dans les coulisses
Il enculait le pompier de service
Lors de la prise de la Smalah (bis)
Le père Dupanloup était déjà là (bis)
On le chercha devant, derrière
Il enculait les dromadaires
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup à Saint Malo (bis)
Confesse les femmes dans un tonneau (bis)
Il passa sa pine par la bonde
Et dit : voilà le sauveur du monde
Au passage de la Bérézina (bis)
Le père Dupanloup se trouvait là (bis)
Il mit sa pine sur la rivière
Pour faire passer l’armée entière
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup au Vatican (bis)
Se conduisit comme un dégoûtant (bis)
Derrière la statue d’Esculape
Il essaya d’enculer le pape
A la bataille de la Moskowa (bis)
C’est encore lui qui nous sauva (bis)
Il n’eut qu’à montrer sa biroute
Pour mettre les Russes en déroute
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup en Amérique (bis)
S’en va explorer le Mexique (bis)
Lançant sa pine très, très haut
Il attrape les chevaux au lasso
Le père Dupanloup à l’Institut (bis)
Ne voulait voir que des culs nus (bis)
Ne respectant aucune barrière
Il enculait tous ses confrères
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup à Zanzibar (bis)
Voulait montrer tout son bazar (bis)
Mais empêché par une patrouille
Il ne put montrer qu’une de ses couilles
Le père Dupanloup au Parlement (bis)
Se conduisit comme un garnement (bis)
Monta jusque sur la tribune
Pour exhiber la peau de ses burnes
Refrain
Refrain
Le père Dupanloup, près de Luchon (bis)
Avait les poils du cul si longs (bis)
Que du haut de Superbagnères
Il tirait le funiculaire
Le père Dupanloup dans son cercueil (bis)
Bandait encore comme un chevreuil (bis)
Avec sa pine en arc de cercle
Il essayait de soulever le couvercle
Refrain
Refrain
Pendant la grève des tramways (bis)
Il montra bien ce qu’il était (bis)
Pour aiguiller les grosses machines
Il manoeuvrait avec sa pine
Refrain
Le père Dupanloup chez Citroën (bis)
Qui a ses usines sur le Quai de Javel (bis)
Dit : la Tour est bien trop petite
Faites donc la pub sur ma bite
Refrain
Le père Dupanloup devenu vieux (bis)
Ne bandait plus qu’une fois sur deux (bis)
S’arrachant la pine avec rage
Il s’en fit une canne de voyage
ou
Il se coupa les couilles de rage
Pour en faire un sac de voyage
Refrain
Le père Dupanloup au paradis (bis)
Voulait enculer Jésus Christ (bis)
Nom de Dieu, dit le Père Eternel
Tu prends le ciel pour un bordel
ou plus sacrilège
Le père Dupanloup au paradis (bis)
Enculait la Vierge Marie (bis)
Et le Bon Dieu qui le voyait faire
Se la fit foutre par derrière
Refrain
Le père Dupanloup fut tout confus (bis)
De ne pouvoir lui foutre au cul (bis)
Branlant sa pine de part et d’autre
Il aspergea les douze apôtres
Refrain
LE PETIT GREGORY
En remontant les berges de la Vologne,
On a noyé le petit Grégory,
On a noyé, a noyé, a noyé,
On a noyé le petit Grégory,
Glou, glou, glou …
Pour le noyer, il faut savoir s’y prendre,
Lui lier les mains et bien le bâillonner,
Lui lier les mains, lier les mains, lier les mains,
Lui lier les mains et bien le bâillonner,
Mmh, mmh, mmh …
Quand il ressort, il est déjà tout vert,
Le petit homme a de l’eau plein les artères,
Le petit homme, petit homme, petit homme,
Le petit homme a de l’eau plein les artères,
Fla, fla, fla …
Pour seul linceul, il a un sac poubelle,
Un sac poubelle, sac poubelle, sac poubelle,
Un sac poubelle avec de la ficelle,
Prop’sac, prop’sac, prop’sac …
Mais quel est donc cet étrange oiseau
Qui a tué l’enfant mais bien sûr, c’est le corbeau,
Qui a tué l’enfant, tué l’enfant, tué l’enfant,
Qui a tué l’enfant mais bien sûr, c’est le corbeau,
Crôaa, crôaa, crôaa …
En variantes
Pour un million, le petit Béré est mort,
Près d’un canal avec un pistolet,
Près d’un canal, d’un canal, d’un canal,
Près d’un canal avec un pistolet,
Pan, pan, pan …
En revenant de Corse à Furiani,
On a tombé les tribunes de Bastia
On a tombé, a tombé, a tombé,
On a tombé les tribunes de Bastia,
Crac, crac, crac …
LE PLAISIR DES DIEUX
Du dieu Vulcain quand l’épouse friponne
Va boxonner loin de son vieux sournois,
Le noir jaloux que l’amour aiguillonne
Tranquillement se polit le chinois.
Va t’en dit-il à sa foutue femelle,
Je me fous bien de ton con chassieux
De mes cinq doigts je fais une pucelle
Masturbons nous, c’est le plaisir des Dieux.
Quant à Ploutos avec sa large panse
Le moindre effort lui semble fatiguant
Aussi veut-il éviter la dépense
Et fait sucer son pénis arrogant.
Tout en rêvant aux extases passées
Tout alanguis, nous réjouissons nos yeux
Et laissant faire une amante empressée
Faisons pomper, c’est le plaisir des Dieux.
Bah ! Laissons lui ce plaisir ridicule
Chacun d’ailleurs s’amuse à sa façon
Moi je préfère la manière d’Hercule
Jamais sa main ne lui servit de con.
Le plus sale con, la plus vieille fendasse
Rien ne résiste à son vit glorieux.
Nous serons fiers de marcher sur ses traces
Baisons, baisons, c’est le plaisir des Dieux.
De Jupiter façon vraiment divine
Le con lui pue, il aime le goudron
D’un nid à merde il fait un moule à pine
Et bat le beurre au milieu de l’étron.
Cette façon est cruellement bonne
Pour terminer un gueuleton joyeux
Du dieu Bacchus, quand accablé d’ivresse,
Le vit mollit et sur le con s’endort
Soixante neuf et le vit se redresse
Soixante neuf ferait bander un mort.
Oh ! Clitoris ton parfum de fromage
Fait regimber nos engins glorieux
A ta vertu nous rendons tous hommage.
Gamanuchons, c’est le plaisir des Dieux.
Au reste ami qu’on en fasse à sa tête
Après le dessert, on s’encule tous en couronne
Enculons nous, c’est le plaisir des Dieux.
Main, con, cul, bouche au plaisir tout est bon
Sur quelque autel qu’on célèbre la fête
Toujours là haut on est sûr du pardon.
Foutre et jouir voilà l’unique affaire.
Foutre et jouir voilà quels sont nos voeux.
Foutons amis qu’importe la manière
Foutons, foutons, c’est le plaisir des Dieux.
LE POU ET L’ARAIGNEE
Un jour un pou dans la rue
Y rencontra, chemin faisant,
Chemin faisant,
Une araignée bon enfant
Qui était toute velue.
Elle vendait du verre pilé
Pour s’acheter des petits souliers.
Refrain
Là tu m’, là tu m’emmerdes
Là tu m’, là tu me fais chier
Tu nous emmerdes, tu nous fais chier,
Tu nous fais chier, tu nous emmerdes.
Et on attend dans les champs
Gazouiller les éléphants,
Et on entend dans les fossés
Se masturber les chimpanzés,
Et on entend dans les plumards
Battre le foutre à coups de braquemards
Et on entend sous les ormeaux
Battre la merde à coups de marteaux
Non, non, non, non Saint Eloi n’est pas
mort (bis)
Car il bande encore. (bis)
Le pou qui voulait la séduire
L’emmena chez le mastroquet du coin
Troquet du coin,
Lui fit boire cinq, six coups de vin.
L’araignée ne fit qu’en rire.
La pauvrette ne se doutait pas
Qu’elle courait à son trépas.
Refrain
Le pou lui offrit une prise,
En lui disant d’un air joyeux,
D’un air joyeux :
Colle toi cela dans le trou des yeux
Et mouche toi avec ta chemise.
L’araignée qui n’en avait pas
Lui fit voir tous ses appas.
Lui proposa trois francs, six sous,
Trois francs, six sous,
Ah ! Dit elle, ce n’est pas le Pérou,
Ce n’est qu’un fétu de paille,
Mais si tu me donnes quatre sous de plus,
Je te ferai voir le trou de mon cul.
Refrain
Alors commencèrent les horreurs.
Le pou monta sur l’araignée,
Sur l’araignée.
Il ne pouvait plus se retirer
Tant il éprouvait de bonheur,
Si bien que la pauvre araignée
Ecopa de la maternité.
Refrain
Le père de l’araignée en colère
Lui dit : tu m’as déshonoré,
Déshonoré.
Tu t’es laissée enceinter.
Tu es aussi putain que ta mère.
L’araignée de désespoir,
S’est foutue quatre coups de rasoir.
Refrain
Le pou, le désespoir dans l’âme,
S’arrache des poignées de cheveux,
Poignées de cheveux.
Ah ! Dit il, il n’y a plus de Bon Dieu.
Il monta sur Notre Dame
Et c’est là qu’il s’est foutu
Les cinq doigts et le pouce dans le cul.
Refrain
Refrain
Alors, les poux du voisinage
Se réunirent pour l’enterrer,
Pour l’enterrer,
Au cimetière de Levallois Perret,
Tout comme un grand personnage
Et c’était bien triste à voir,
Tous ces poux en habit noir.
Le pou, une franche canaille,
Refrain
LE TRENTE ET UN DU MOIS D’AOUT
Le trente et un du mois d’août, (bis)
Une frégate d’Angleterre
Fendant la mer et les flots,
C’était pour attaquer Bordeaux.
Le maître donne un coup de sifflet (bis)
En haut, larguez les perroquets. (bis)
Larguez les ris et vent arrière,
Laissez porter jusqu’à son bord,
On verra qui sera le plus fort.
Refrain
Refrain
Buvons un coup et tirons-en deux, c’est
mieux !
A la santé des amoureux,
A la santé du roi de France,
Et merde pour le roi d’Angleterre
Qui nous a déclaré la guerre.
Vire lof pour lof au même instant, (bis)
Nous l’attaquâmes sur son avant. (bis)
A coups de hache d’abordage,
De piques et de mousquetons,
Nous le foutîmes à la raison.
Nous vîmes venir, sous le vent, sur nous, (bis)
Refrain
Le capitaine, au même instant, (bis)
Fit appeler son lieutenant (bis)
Lieutenant, te sens-tu capable
De les attaquer à leur bord,
On verra qui sera le plus fort.
Hors, que dira-t-on d’eux bientôt, (bis)
En Angleterre et à Bordeaux, (bis)
D’avoir laissé prendre sa frégate,
Par un corsaire de six canons,
Eux qui en avaient trente et si bons.
Refrain
Refrain
Le lieutenant, fier et hardi, (bis)
Lui répondit : capitaine oui. (bis)
Faites monter tout l’équipage,
Mousses, gabiers et matelots,
Faites les tous monter en haut.
Refrain
LE TRENTE ET UN DU MOIS D’AOUT (VARIANTE)
Le 31 du mois d'août, (bis)
Nous aperçûmes, sous le vent à nous, (bis)
Une capote d'Angleterre
Qui s'en allait sur l'eau
Comme un joli petit bateau.
Le capitaine tout aussitôt, (bis)
Fit mettre le cap sur Bornéo, (bis)
Mais quand on débarqua dans l'île,
Le marin n'avait plus de roustons
Et les filles se suçaient le bouton.
Refrain
Refrain
Buvons un coup, tirons en deux
A la santé des amoureux,
A la santé du roi de France,
Et merde au roi d'Angleterre
Qui nous a déclaré la guerre.
En voyant débarquer les gars (bis)
Les filles poussèrent des cris de joie (bis)
Et réclamant tout l'équipage
Chacune étendue sur le dos
Se fit baiser par trois matelots.
Le capitaine au même instant, (bis)
Fit arrêter son bâtiment, (bis)
Et la capote d'Angleterre
Fut pêchée par les matelots
Et remontée sur le bateau.
Refrain
Refrain
Dans la capote il y avait un mot : (bis)
Je suis au large de Bornéo, (bis)
Naufragé sur une île déserte,
Avec trente filles au cul trop chaud,
Je n'ai plus que la peau et les os.
Refrain
Tout l'équipage pendant un mois (bis)
Baisa soixante douze milles fois (bis)
Et le navire revint en France,
Avec une vérole mes agneaux
Qui fut donnée à tout Bordeaux.
LE TROUBADOUR
Refrain
C’est le c’est le troubaba, c’est le troubadour
Qui chante la nuit et qui chante le jour.
C’est le c’est le troubaba, c’est le troubadour
Qui chante la nuit, le jour, toujours.
C’est la reine d’Angleterre qui traversa la mer
Pour voir si les Français baisaient mieux que les Anglais.
Ah ! Saperlipopette. Ah ! Sacré non de non.
C’est encore la levrette qui remporte le pompon.
Refrain
C’est la reine d’Espagne qui dit à son mari
J’apprécie le champagne mais je préfère ton vit.
Ce soir au clair de lune, mon petit Alfonso,
Je te taillerai une plume pour mettre à ton chapeau.
Refrain
C’est la reine d’Autriche qui sur son canapé
Se faisait peloter les miches par un petit Français.
Mais au mois de septembre, oh ! Chose inattendue,
Elle s’aperçut que son ventre était plus gros que son cul.
Refrain
C'est l'empereur de Chine qui n’est pas convaincu
Qu'au bas de son échine se trouve le trou de son cul.
C'est l'empereur du Siam qui n'ayant pas d'enfant
Fit enculer sa femme par un éléphant blanc.
Refrain
C'est la reine de Hollande qui dit au prince consort
Voilà six heures que tu bandes et il n'y a rien qui sort.
C'est la reine d'Italie qui a le jet si puissant
Qu'elle pisse à la volée par-dessus les Balkans.
Refrain
C'est l'empereur du Danemark qui dit à sa moitié,
Depuis quelque temps je remarque que tu sens fort des pieds.
C'est le roi du Portugal qui est allé au boxon
Il a chopé la gale et une chiée de morpions.
Refrain
J’ai fait le tour du monde et partout j’ai baisé
Des brunes et des blondes, le soir dans les fossés.
J’ai sucé les grenouilles, enculé les crapauds
Qui me suçaient les couilles le soir au bord de l’eau.
Refrain
LE VAISSEAU DE GUERRE
Il était un vaisseau de guerre (bis)
Venant de Ca Ca Ca Calédonie. (bis)
On le vendit à l'arrivée (bis)
Refrain
Refrain
Ohé ! Ohé ! Matelot.
Matelot se branle sur les flots.
Ohé ! Ohé ! Matelot.
Matelot se tape un cachalot.
Dans un couvent de jeunes filles, (bis)
Comme on manquait de petites femmes (bis)
Je ne sais pas pour quel usage (bis)
Pour occu cu cuper les matelots. (bis)
Mais au bout de neu neu neu neuf longs mois, (bis)
Refrain
Refrain
On mis exprès pour leur usage (bis)
Chacune d'elles devint mère, (bis)
Une barrique que que percée d'un trou. (bis)
Refrain
Tout le temps de la traversée, (bis)
Les marins vi vi visitèrent le tonneau. (bis)
Refrain
On pris sans doute pour de la graisse (bis)
Ce qu'y mi mi mirent les matelots. (bis)
Refrain
Pour en con con confectionner des bougies. (bis)
Ces bougies ser ser servirent aux sœurs. (bis)
Refrain
Devint mère d’ mère d’ mère d'un petit matelot. (bis)
Refrain
Depuis dans les couvents de filles, (bis)
On met des ca ca capotes aux bougies. (bis)
Refrain
LE VIEUX CURE DE PARIS
Je vais vous conter l'histoire
D'un vieux curé de Paris
D'un vieux cu oui oui
D'un vieux cu la la
D'un vieux curé de Paris
Il aime sa cuisinière
Pour ses festins de Gargantua
Pour ses fes oui oui
Pour ses fes la la
Pour ses festins de Gargantua
Chaque fois qu'il dit sa messe
Son grand vicaire le suit
Son grand vi oui oui
Son grand vi la la
Son grand vicaire le suit
Il possède une rivière
Au bord d'elle il se complaît
Au bord d'elle oui oui
Au bord d'elle la la
Au bord d'elle il se complaît
Chaque fois qu'il monte en chaire
Tire un coupable d'enfer
Tire un cou oui oui
Tire un cou la la
Tire un coupable d'enfer
Il aime la botanique
Il en cultive les fleurs
Il en cul oui oui
Il en cul la la
Il en cultive les fleurs
Il aime une jeune bergère
Pour son troupeau de moutons
Pour son trou oui oui
Pour son trou la la
Pour son troupeau de moutons
Le héros de cette histoire
Est Pinaud, curé de Paris
Pinaud cu oui oui
Pinaud cu la la
Pinaud curé de Paris
L’ENVIE DE BAISER
Sur l’air des Champs Elysées de Joe Dassin
Je me baladais sur l’avenue
Braguette ouverte à l’inconnue
J’avais envie de montrer mon vit
A n’importe qui
N’importe qui et ce fut toi
Je t’ai brandi n’importe quoi
Et quand tu as vu qu’elles étaient deux
Tu as dit je les veux
Refrain
Oh cette envie de baiser (bis)
En TP, en amphi
En ballade ou dans un lit
Ils ne risquent pas de s’ennuyer les faluchés
Tu m’as dit j’ai rendez-vous
Dans un sous-sol avec des fous
Qui passent toutes les nuits à baiser
Sans débander
Alors je t’ai accompagné
Et nous avons tellement baisé
Qu’on ne s’est même pas servi du godemichet
Refrain
Il est cinq heures du matin
Et toutes les filles ont mal aux seins
D’avoir baisé toute la nuit
Des carabins
Alors étendues dans la cour
Toutes les pucelles de jadis
Rigolent d’offrir avec amour des chaudes pisses
Refrain
LES AVANTS DE BAYONNE
Refrain
Allez y, poussez, poussez, les avants de Bayonne
Allez y, poussez, poussez, les avants bayonnais
Bayonne, Bayonne, sur la Nive et sur l’Adour
Bayonne, Bayonne, ville de mes amours
Mademoiselle, faites vous belle
Votre galant viendra ce soir
S’il vous embrasse, faites lui grâce,
S’il vous mord, criez bien fort
Allez y, poussez, poussez, les avants de Bayonne
Allez y, poussez, poussez, les avants bayonnais
Allez goûter ce pays, boire l’Irulegui qui vous désarçonne
Chanter toute la nuit, faire des âneries, des choses polissonnes.
Et si cela l’impressionne, prendre la cocarde entre les cornes,
Se faire un paquet d’amis, la vie est si bonne aux fêtes de Bayonne.
Refrain
LES BITES DANS LES CHAMPS
Version originale
Voici venu le temps
Des rires et des champs
Dans l’île aux enfants
C’est tous les jours le printemps.
C’est le pays joyeux
Des enfants heureux
Des monstres gentils
Oui, c’est un paradis
Première version modifiée
Voici venu le temps
Des bites dans les champs
Des sucettes à glands
Qui font monter le jus blanc.
C’est le petit jus visqueux,
Qui colle dans les cheveux
Qui se coince dans les dents
Et qui soulage la queue.
Deuxième version modifiée
Voici venu le temps
Des pines et des glands
Dans l’île aux enfants
C’est la jouissance à plein temps
C’est le pays joyeux
Des glands et des noeuds
Des monstres lubriques
Mais oui, on a la trique
LES CORSAIRES
Après des lunes de guerres, de batailles et de tourments, (bis)
Nous voilà nous les corsaires, ni pervers ni méchants
Nous voilà nous les corsaires, en chantant et en buvant.
Après de longues nuits entières, sans femme et sans contentement, (bis)
On se fait des tonneaux de bière, par derrière et par devant.
On se fait des tonneaux de bière, par devant, c'est plus marrant.
La vigie a vu la terre, débarquons sans perdre de temps. (bis)
Une fois loin de la mer, femmes et rhum sont tentants.
Une fois loin de la mer, on dépense tout notre argent.
L'homo niais de la galère, bon pépère bon enfant, (bis)
Défendant par ses prières, les pauvres et les paysans
Défendant par ses prières, la justice et le vraiment.
Le second à sa manne hier, D'Huile Homer s'appelant (bis)
Mais qu'a-t-il bien pu faire, qu'on le surnomme éléphant ?
Mais qu'a-t-il bien pu faire, pour se retrouver à ce rang ?
Pour voguer sur toutes les mers, le journal de bord aidant (bis)
Le Joe Bart fait bien l'affaire, l'écriture c'est pas marrant.
Le Joe Bart fait bien l'affaire, et parfois même en rampant.
Et pour le butin de guerre, tous ces braves rapportant (bis)
Gold Michel, je crois que c'est clair, ses écus comptant,
Gold Michel, je crois que c'est clair, tout l'or est compensant.
La Palliss'Hook c'est une affaire, l'équipage coordonnant (bis)
Mais faut-il le laisser faire, son costume, son air galant ?
Mais faut-il le laisser faire, le paillard saigner à blanc ?
Le paillard nous mène sur les mers, Haddock en est le commandant (bis)
Sur le pont, tous les corsaires, à bâbord il y a des navrants.
Sur le pont tous les corsaires, à tribord il y a des harengs.
Les marins ne manquent pas d'air, les sirènes les attirant.
Loin de toutes les misères, au milieu de l'océan,
Et toujours par vent contraire, se fiant au firmament,
Et toujours par vent contraire, le corsaire reste fringuant.
LES DEUX SOEURS
Zoé, de votre soeur cadette,
Que voulez-vous ? Entre deux draps
Que sans chemise je me mette?
Fi, ma soeur, vous n’y pensez pas.
Mais à vos fins, vous voilà parvenue.
Et vous baisez ma gorge nue.
Vous me tiraillez.
Vous me chatouillez,
M’émoustillez.
Refrain
Mais au fond, ce n’est rien.
Je me sens bien.
Au fond ce n’est rien.
Pour vous en prendre à notre sexe
Avez-vous mis l’autre aux abois ?
C’est peu que votre main me vexe,
Vous usez pour vous de mes doigts.
La tête aux pieds, la voilà qui se couche.
Ciel où mettez-vous votre bouche ?
Pour une sœur,
Quelle noirceur,
Quelle douceur.
Refrain
Rougirions-nous, je le demande ?
Si nos amants pouvaient nous voir.
Pourtant, il faut que je vous rende
Le plaisir que je viens d’avoir.
Je m’enhardis car, jamais que je sache,
Je n’ai baisé d’homme à moustache.
Ah ! Nous jouissons.
Et des garçons
Nous nous passons.
Refrain
LES FETES DE MAULEON
Jusqu’au plus petit coin de Navarre,
De la Soule et même de Labour,
On parle de Mauléon Licharre
Avec envie et beaucoup d’amour.
Mauléon, de ses superbes fêtes
Si vivantes et si pleines d’entrain,
De ses allées de Soule coquettes
De son beau folklore souletin.
Refrain
Farandole qui s’envole
Fandango, feux de la Saint Jean.
Jolies filles qui pétillent,
Dans les bras de leurs chers galants.
Cavalcade, sérénade, irrintzina cette chanson
Nuit d’ivresse, d’allégresse,
Tout cela, c’est les fêtes de Mauléon.
Allez donc un peu voir le programme.
Vous me direz s’il est vraiment beau.
Vous y trouverez messieurs, mesdames
L’éternelle course de chevaux,
De splendides parties de pelote
Et un choix de danseurs souletins.
Fandango, danses du verre et gavottes
Tout cela dans l’ambiance des bons copains.
Refrain
La nuit, c’est la cohue générale,
Du vieux fort au fin fond du platchot.
Il faut voir un peu comment se trimballent
Nos Maritchus et nos Ramuntchos.
Les fougueux bergers de nos montagnes
Et la jeunesse des environs
Ont, ce soir, déserté la campagne
Pour goûter aux fêtes de Mauléon.
Refrain
LES FILLES DE CAMARET
Les filles de Camaret se disent toutes vierges. (bis)
Une simple supposition que tu serais ma tante (bis)
Mais quand elles sont dans mon lit
Elles préfèrent tenir mon vit
Qu’un cierge. (ter)
Je te ferais le présent
De l’andouille qui me tend
Au ventre. (ter)
Fillette de Camaret, où est ton pucelage ? (bis)
Si les filles de Camaret s’en vont à la prière (bis)
Il s’en est allé sur l’eau
Avec un beau matelot.
Il nage. (ter)
Ce n’est pas pour prier le Seigneur
Mais pour branler le prieur
Qui bande. (ter)
Mon mari s’en est allé à la pêche en Espagne. (bis)
Le curé de Camaret a des couilles qui pendent (bis)
Il m’a laissé sans un sou
Mais avec mon petit trou.
J’en gagne. (ter)
Et quand il s’assied dessus
Elles lui rentrent dans le cul.
Il bande. (ter)
Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis)
La servante à monsieur le curé a le ventre qui gargouille. (bis)
Mais quand nous sommes dedans
La rage du cul nous prend.
Tout bouge. (ter)
C’est qu’elle en a trop mangé
De l’andouille à monsieur le curé
De l’andouille. (ter)
Mon mari que fais-tu là ? Tu me perces la cuisse. (ter)
Célina si tu m’aimais, tu me ferais des nouilles (bis)
Faut-il donc que tu sois saoul
Pour ne pas trouver le trou
Qui pisse ? (ter)
Et tandis que je les mangerais
Ton petit doigt me chatouillerait
Les couilles. (ter)
Le maire de Camaret a acheté un âne, (bis)
Un âne républicain
Pour baiser toutes les putains
De France. (ter)
LES FILLES DE LA ROCHELLE
Sont les filles de la Rochelle
Ont armé un bâtiment.
Elles ont la cuisse légère
Et la fesse à l'avenant.
Et sous la lune jolie,
Etendues sans vêtements,
Elles ont écarté les cuisses
Toutes sur le gaillard d'avant.
Refrain
Refrain
Ah ! La feuille s'envole, s'envole.
Ah ! La feuille s'envole au vent.
Ont baisé à perdre haleine
Jusqu'au clair soleil levant
Et c'était la capitaine
Qui menait le mouvement.
Sont parties aux Amériques,
Un matin la voile au vent.
Ont choisi pour capitaine
Une fille de quinze ans.
Refrain
Nous n'avons pas besoin d'homme,
Disaient-elles à tout venant
Mais au bout de six semaines
Elles avaient le cul brûlant.
Refrain
Un beau soir, une frégate
Apparut sur l'océan,
Pleine de jolis pirates,
De beaux gars appétissants.
Refrain
Elles allèrent à l'abordage,
A coups de sabre et à coups de dent.
Elles y prirent l'avantage
Et se ramenèrent des galants.
Refrain
Refrain
Le lendemain, le beau navire
Repartit vers le couchant
Et les filles de la Rochelle,
Le cul frais, allaient chantant.
Refrain
J'ai perdu mon pucelage,
Au milieu de l'océan.
Il est parti ventre arrière.
Reviendra en louvoyant.
Refrain
LES LORIENTAISES
Les Lorientaises sont comme des homards.
Elles ont toutes des rubans rouge et noir.
Les Bordelais aimeraient bien les voir,
Pour se les enfiler sous la douche le soir.
Devinez ce qui a deux ? (bis)
Il y a deux beaujolais : l’ancien et le nouveau ... Zob
Devinez ce qui a trois ? (bis)
Il y a trois en Champagne.
Il y a deux beaujolais : l’ancien et le nouveau ... Zob
Devinez ce qui a quatre ? (bis)
Il y a quatre rine de Russie.
Il y a trois en Champagne.
Il y a deux beaujolais : l’ancien et le nouveau ... Zob
Sur le même système.
Il y a cinq Pétersbourg.
Il y a six tème métrique.
Il y a sept épatant.
Il y a huit res de Bretagne.
Il y a neuf à la coque.
Il y a dix symétrie.
Il y a onze se fait chier.
Il y a douze salopards.
Il y a treize ennuyeux.
LES MOEURS
Mes chers amis, respectons la décence.
Ce mot tout seul vaut presque une chanson.
Sans équivoque et surtout sans licence
Je vais parler de l'amant de Lison.
Le drôle, un jour, d'un ton fait pour séduire,
Lui débitait de lubriques horreurs.
Ce qu'il disait, je pourrais vous le dire
Mais je me tais par respect pour les mœurs.
Sachez que Lise est une fille honnête
Qui se choqua d'un pareil impromptu
Mais au vaurien ne vint-il pas en tête
De pénétrer le fond de sa vertu.
Sein ferme et blanc ne saurait lui suffire.
Déjà deux doigts sont en besogne ailleurs.
Ce qu'ils y font je pourrais vous le dire
Mais je me tais par respect pour les mœurs.
Au bord du lit, sur le nez, il la pousse
Et bravement l'attaque par le dos.
Lise indignée, en sentant qu'il la trousse,
Sans doute alors, se livrait aux sanglots.
Dans ce coeur tendre, aussitôt ce satyre,
Enfonce, enfonce un long sujet de pleurs.
Ce que c'était, je pourrais vous le dire
Mais je me tais par respect pour les mœurs.
Longtemps encore, Lison dans sa posture,
A tour de reins se débat vivement.
On me dira que c'était par luxure
C'est par vertu, moi j'en fais le serment.
Or, pour six mois sa vertu sut réduire
L'assaillant, même à pleurer ses erreurs.
Ce qu'il gagna je pourrais vous le dire
Mais je me tais par respect pour les mœurs.
LES MOINES DE SAINT BERNARDIN
Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis)
Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis)
Si le prieur nous engueule, on chante des chansons
Voilà que c’est bon et bon et bon
Refrain
Et voilà la vie, la vie, la vie, la vie chérie. Ah ! Ah ! (bis)
Et voilà la vie que tous les moines font
Pour notre dîner, de bons petits oiseaux (bis)
Que l’on nomme cailles, bécasses ou perdreaux (bis)
Et la fine andouillette ou la tranche de jambon
Voilà que c’est bon et bon et bon
Refrain
Pour notre coucher, dans un lit aux draps blancs (bis)
Avec un jeune homme de quinze à seize ans (bis)
A la taille bien faite et aux nichons bien ronds
Voilà que c’est bon et bon et bon
Refrain
La nuit tous ensemble, nous nous enculons (bis)
Jusqu’au jour ensemble nous buvons, buvons (bis)
Puis après, sous la table, nous roulons et dormons
Voilà que c’est bon et bon et bon
Refrain
Si c’est cela la vie que tous les moines font (bis)
Je me ferai moine avec ma Jeanneton (bis)
Le soir, dans ma chambrette, je lui chatouillerai le bouton
Voilà que c’est bon et bon et bon
Refrain
LES OISEAUX
En français
Les oiseaux gazouillent dans les prés (ter)
Gazouillent dans les prés.
C’est bien connu.
En espagnol, une fois
En tchèque
Quand j’érecte, j’éjecte du sperme sec.
En polonais
La capote, faut pas qu’elle Cracovie.
Gonzales, dans son slip, il bande à l’aise (ter)
Bande à l’aise.
C’est bien connu
En russe
Ivanov suce la bite au sous-off.
Sur le même principe
En japonais
C’est Hiro qui m’a au cul mis ça
En espagnol, deux fois
J’ai le sida, tu peux y aller franco.
En italien, une fois
C’est Lola qui est ravie au lit.
En italien, deux fois
C’est Florence qui est baisée Assise
En belge, une fois
C’est Thérèse qui rit quand on la baise.
En belge, deux fois
Monte en Anvers pour que mon Ostende.
En anglais
Do you know you masturb my bite ?
En écossais
Quitte ton kilt que je t’écosse les petits
pois.
En grec
Les femmes en Grèce parce que les
Saloniques.
En allemand
Baisse ta gaine, Grechta, que je tâte ta
croupe.
En suisse
Tu te Bernes, t’auras pas mon trou de Bâle.
En chinois
C’est Mao qui chie du haut du mat.
En américain, une fois
Walt Disney m’a mis sa Pinocchio.
En américain, deux fois
La Missouri quand le Minessota.
En cubain
Tu me Castro les couilles quand tu as le
Cuba.
En juif
Par derrière, c’est 500 balles moins cher.
En égyptien
Rien Nasser de s’obstruer le canal.
En malgache
Bande très fort quant Tananarive.
En alsacien, une fois
Pas de mystère, on est tous Soïwatter
En alsacien, deux fois
A Colmar, ils ont tous le Braquemard.
En français
Les oiseaux gazouillent dans les prés.
LES PORTES DU PENIS ENTIER
Les portes du pénis entier
Bientôt vont éjaculer
Et je ne pourrais pas essuyer
Mon fut tout dégueulasse.
Pour moi, ma mère a sacrifié
Sa robe de mariée
Peux-tu jamais me pardonner
Pour tant de machines à laver ?
Le soleil n’est pas fait pour les taches
C’est la nuit qu’on peut se branler.
Toi qui ce soir a tout lâché
Demain, tu pourras recommencer.
O mères, écoutez-moi
Ne laissez jamais vos garçons
Seuls la nuit, utiliser leurs doigts
Ils iront droit à la perdition.
Toi la fille qui m’as aimé
Je t’ai trop fait pleurer.
Les larmes de foutre que j’ai versées,
Il faut les avaler.
Les portes du pénis entier
Bientôt vont éjaculer
Et je ne pourrais pas essuyer
Mon fut tout dégueulasse.
LES PREMISSES D’AMOUR
Sur l’air de Milord, d’Edith Piaf.
Allez venez messieurs
Nous allons vous chanter
Les gestes merveilleux
Qui nous font toutes crier.
Il ne suffit pas de bander
Il ne suffit pas de planter,
Il faut pouvoir nous amener
Là où on veut aller.
Pour nous déshabiller,
Il ne faut pas tout arracher,
Il ne faut pas se précipiter,
Il faut beaucoup de doigté.
Attend pour le coït.
Il faut d’abord que tu m’excites
Avant de viser le vagin,
Arrête toi sur les seins.
Une fois déshabillée,
Il ne faut pas tout de suite charger,
Il faut encore s’appliquer.
Il faut tout explorer,
Tout doucement lécher,
Lubriquement mordiller,
Vicieusement caresser,
Intimement frotter.
Après, tu peux y aller.
Tous les prémisses passés,
Je suis complètement mouillée.
Dépêche toi de t’enfoncer
Oh ! Oui, je sens que cela vient.
Encore un coup de reins,
Ca y est, je suis arrivée
Là où je voulais aller.
LES SAINTS ET LES ANGES
Les saints et les anges
Et le petit Jésus,
Quand ça les démange,
Se grattent le trou du cul,
Avé, avé, avé le petit doigt. (bis)
Et on entend dans les champs
S’enculer les éléphants
Et on entend dans les prés
Se masturber les chimpanzés
Et on entend dans les plumards
Battre le foutre à coups de braquemards
Et l’on entend sous les ormeaux
Battre la merde à coups de marteau.
Ohé ! Ohé !
Mais non, mais non,
Saint Eloi ou X n’est pas mort,
Car il bande encore. (bis)
LES STANCES A SOPHIE
Refrain
Sophie, toi que j’aimais tant,
Je t’emmerde, je t’emmerde.
Sophie, toi que j’aimais tant,
Je t’emmerde à présent.
Tu me demandes tes lettres, ta
photographie,
Ton éponge à cul, ton bidet de métal.
Je m’en fous pas mal, ingrate Sophie,
Et je te renvoie le tout par colis postal.
Refrain
Tu veux faire la peau, un métier de
grenouille
Et me remplacer par d’autres amants.
Mais, vois tu, je m’en fous comme de la
peau de mes couilles
Car tu pues de la gueule et t’as le con trop
grand.
Refrain
Quand je tai rencontrée un soir dans la rue
Où tu dégueulais tripes et boyaux,
Ah ! Si j’avais su que tu fusses une grue,
Je t’aurais balancée par le trou des
goguenots.
Refrain
Mais je t’ai recueillie, Dieu que j’étais
bête.
Car le lendemain, je me suis aperçu
Que avais des morpions des pieds à la tête,
Des poils du nombril jusqu’au trou du cul.
Refrain
Puis le lendemain, tu avais tes affaires.
Le sang inondait la chambre à coucher
Et j’ai consenti, pour te satisfaire,
A te sucer le con pour mieux le sécher.
Refrain
J’ai même aspiré tes pertes blanches.
Mais quand j’ai voulu tirer un bon coup,
Tu ne gigotais pas plus qu’une planche,
Et je m’esquintais sans rien faire du tout.
Refrain
Et puis, tu avais des passions honteuses.
J’en rougis encore, rien que d’y penser
Et pour apaiser ta chair luxurieuse,
A tout tes caprices, il m’a fallu céder.
Refrain
N’as tu pas voulu que ma langue se perde,
Dans les plis profonds du trou de ton cul ?
Je l’ai retiré toute pleine de merde.
J’en ai dégueulé, tu n’en as rien su.
Refrain
Adieu pour toujours, vas, tu me dégouttes.
De toi je me fous, je sais me branler.
Je ferais gicler mon sperme, goutte à
goutte
Plutôt que de revenir te caramboler.
Refrain
Oui, c’est bien fini, je te le dis sans glose.
N’ayant plus de putain, je ne serai plus
cocu.
Et si par hasard, je te remets quelque
chose,
Ce ne sera jamais que mon pied dans le
cul.
Refrain
LES TRENTE BRIGANDS
Sur l’air de la Complainte de Mandrin
Ils étaient vingt ou trente
Brigands dans une bande.
Chacun sous le préau,
Voulait me toucher, vous m'entendez ?
Chacun sous le préau
Voulait me toucher un mot.
Le vent soulevait ma robe
Quand l'un d'eux d'un air noble,
S'approcha mine de rien
Et caressa, vous m'entendez ?
S'approcha mine de rien
Et caressa mon chien.
Un beau jour sur la lande,
L'un d'eux se fit très tendre
Et d'un petit air guilleret
Vint me trousser, vous m'entendez ?
Et d'un petit air guilleret
Vint me trousser un couplet.
Comme je filais la laine,
Un autre avec sans-gêne,
Sans quitter son chapeau,
Vint me peloter, vous m'entendez?
Sans quitter son chapeau,
Vint me peloter mon écheveau.
Comme j'étais dans ma chambre,
Un matin de septembre,
Un autre vint tout à coup
Pour me sauter, vous m'entendez ?
Un autre vint tout à coup
Pour me sauter au cou.
Comme j'étais à coudre,
Ils rappliquèrent en foule
Et voulaient, les fripons,
Tous m'enfiler, vous m'entendez ?
Et voulaient, les fripons,
M'enfiler mon coton.
Un soir dans une fête,
Un autre perdit la tête.
Et jusqu'au lendemain,
Voulut me baiser, vous m'entendez ?
Et jusqu'au lendemain,
Voulut me baiser les mains.
Celui qui sût me prendre,
C'est un garçon des Flandres.
Un soir entre deux draps
Ce qu'il me fit, vous m'entendez
Un soir entre deux draps
Je ne vous le dirai pas.
LES TROIS ORFEVRES
Aristide Bruant avait mis cette chanson à son répertoire mais dans une version arrangée par Francis
Salabert et que les enfants, eux-mêmes, pouvaient chanter. La version estudiantine est beaucoup plus osée.
Trois orfèvres à la Saint Eloi,
S’en allèrent dîner chez un autre orfèvre.
Trois orfèvres à la Saint Eloi,
S’en allèrent dîner chez un bon bourgeois.
Ils ont baisé la famille entière,
La mère au nichon,
Le père au cul, la fille au con .
Par les petits mitrons se firent enculer.
Puis voyant leur pines pleines de merde,
Ils ont bouffé cela,
En guise d’éclairs au chocolat.
Refrain
Les orfèvres, chez le père Balzar,
Relevez la belle, votre blanc jupon,
Se sont foutus des demis, à travers la gueule,
Qu’on vous voie le cul, qu’on vous voie les fesses.
Relevez la belle, votre blanc jupon,
Qu’on vous voie le cul, qu’on vous voie le con.
La servante qui avait tout vu
Leur dit : foutez-moi votre pine aux fesses.
La servante qui avait tout vu
Leur dit : foutez-moi votre pine dans le
cul.
Ils l’ont baisée, tous trois, sur une chaise.
La chaise a cassé.
Ils sont tombés sans débander.
Refrain
Les orfèvres, non contents de cela,
Montèrent sur le toit pour baiser minette.
Les orfèvres, non contents de cela,
Montèrent sur le toit pour baiser le chat.
Chat, petit chat, chat, tu m’égratignes.
Petit polisson,
Tu m’égratignes les roustons.
Refrain
Couplet gastronomique
Les orfèvres, chez le pâtissier,
Entrèrent pour manger quelques friandises.
Les orfèvres, chez le pâtissier,
Refrain
Couplet biturique
Les orfèvres, chez le père Balzar,
Pour mieux pisser, retirèrent leurs falzars.
Le père Balzar, voyant leur bites immondes,
S’écria : je vais
En faire une salade de cervelas.
Refrain
Les orfèvres, pour voir des rastas,
S’en furent au Vachette, café des petites vaches,
Les orfèvres, pour voir des rastas,
S’en furent au Vachette, café de ces gens là,
Très excités par un Bulgare,
Pour voir son anus,
Ils ont mis cet enculé à nu.
Refrain
Couplet patriotique
Les orfèvres, au son du canon,
Se retrouveront tous à la frontière.
Les orfèvres, au son du canon,
En guise de boulets, lanceront des étrons.
En bandant, tous comme des carmes,
A grand coups de vits,
Repousseront les ennemis.
Refrain
LES TUYAUX
Refrain
Mais où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux ?
Mais où est passée la grande échelle ?
Mais où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux ?
A tout prix, il nous les faut.
Pam, pam, pa la, pam pam.
En pleine nuit, une sirène
Appelle au feu les pompiers
Et tout Rio qui se réveille
Voit brûler l’usine à café.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Il n’y a plus de temps à perdre
Sinon tout le quartier va brûler
Oui mais voilà, pendant ce temps là,
A la caserne, on entend les pompiers crier.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Quand tout à coup, dans le jour blême
On vit accourir un pompier qui s’écria :
Je viens de la part du capitaine
Pour dire de ne pas vous affoler.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Refrain
On a retrouvé les tuyaux, les tuyaux, les
tuyaux
On a retrouvé la grande échelle,
Mais on est en panne d’auto, panne d’auto, panne d’auto.
On a perdu la manivelle.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Refrain
Un autre couplet peut être proposé à cette chanson
Refrain
Alors que l’incendie fait rage,
Que le ciel est noir de fumée,
Tout le monde, dans les étages
S’écrie : mais que font les pompiers ?
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Il n’y a plus de temps à perdre
Sinon l’immeuble va brûler.
Oui mais voilà, pendant ce temps là
A la caserne, on entend les pompiers crier.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Pendant ce temps là, la Bernadette
Doucement me fait un pompier.
Je lui éjacule dans la tête.
Elle a les dents toutes collées.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Comme il m’en reste dans les roupettes,
Je lui dis de recommencer.
Oui mais voila, la Bernadette c’est pas tout cela
Il va falloir continuer.
Ohé ! Ohé ! Ohé !
Sur l’air du refrain
Refrain
Elle m’a pompé le tuyau, le tuyau, le tuyau.
Le lendemain, on le devine.
Tout le quartier avait brûlé.
Il ne reste plus que des ruines,
Sur des centaines de mètres carrés.
Elle m’a pompé les roupettes, les roupettes, les roupettes.
Elle m’a pompé le tuyau, le tuyau, le tuyau
Et j’ai gueulé comme un taureau.
Pam, pam, pa la, pam pam.
LEVE LA JAMBE
Une fois, deux fois, …, six fois
Cette fois je la sens bien, tu me l’a mise.
Ce n’est plus ton petit doigt qui me chatouille.
Je sens, à travers ta chemise,
La douce chaleur de tes grosses couilles.
Ton doigt n’étais pas si mouillé.
Il allait et venait sans cadence.
Maintenant, c’est bien plus régulier.
Ah ! Non de dieu. Ah ! Non de Dieu, quelle jouissance.
Lève la jambe, voilà que ça rentre.
Lève la cuisse, la cuisse, la cuisse.
Voilà que ça glisse. Oh ! Hisse. (bis)
One time, two time, three time, four time, five time, six time,
Seven time. You put it. I feel it.
Ein, zwei.
This is not your finger qui me chatouille,
I feel your nombril against mine
And the calor of your coucouille.
Your finger was not si mouillé
Ein, zwei.
It was going and coming back in cadence,
But now, it is more regular,
Fuck off of Zeus. Fuck off of Zeus. What jouissance.
Up the leg, ‘s going to penetrate
Up the cuisse, the cuisse, the cuisse.
‘s going to glisse. Ho ! Hisse. (bis)
MADELEINE
Elle naquit un beau matin,
D'un archonte et d'une putain,
Madeleine.
Dès huit ans, on l'enculait
Car la pédérastie régnait
A Athènes.
Platon, plus malin, se fit branler,
Etendu sur un canapé,
Par Madeleine.
Xenophon tira six coups,
Attrapa douze chancres mous,
A Athènes.
A seize ans, sans plus de façons,
Elle faisait la retape sur le Parthénon,
Madeleine.
Elle exhibait deux blancs nichons.
Cela faisait bander les vieux cochons
D'Athènes.
Devant Hippocrate, médecin des bites,
On lui fit passer la visite,
Non sans peine.
Il lui dit : tu as la syphilis,
Des chancres mous et la chaude pisse.
Pauvre Madeleine.
Un jour, Socrate très emmerdé,
Xanthippe venant de le plaquer,
Lui dit : je t'emmène.
Huit jours après, on ne le voyait plus
Que bouffant des boites de copahu,
A Athènes.
Dès lors, ses beaux jours furent passés.
Elle creva de faim sur le Pirée.
A ceux qui ignoraient sa vérole,
Elle suçait le dard pour une obole,
Madeleine.
A ses disciples, il la repassa,
Madeleine.
Aristipe qui ne fut pas sérieux
Eût une orchite, le malheureux,
A Athènes.
Enfin, lasse d'errer par les rues,
Elle avala de la cigüe,
Madeleine !
Socrate profita de l'occasion
Pour flétrir la prostitution
D'Athènes.
MADEMOISELLE
Mademoiselle
Fallait-il que je vous visse
Pour que vous me séduisassiez,
Qu'à vos genoux, je me misse
pour que vous me repoussassiez ?
Fallait-il que je vous aimasse
Pour que vous me dédaignassiez,
Et que pour vous, je m'enflamasse
Pour que vous m'assassinassiez ?
Mademoiselle
Quand on vous fit,
On fit la beauté même.
Quand on vous fit,
On fit tout ce que j'aime.
Souffrez que je vous fasse
Ce que l'on fit
Quand on vous fit.
MALBROUGH S’EN VA T’EN GUERRE
Malbrough s’en va t’en guerre
Mironton mironton mirontaine
Malbrough s’en va t en guerre
Ne sait quand baisera
Sa femme qui reste là
Avec son pauvre chat
Je te baiserai à Pâques
Mironton mironton mirontaine
Je te baiserai à Pâques
Ou à la Trinité
Dit-il d’un air navré
Avant de la quitter
Puis il partit combattre
Mironton mironton mirontaine
Puis il partit combattre
Laissant dans son château
La belle toute en sanglots
D’avoir le cul si chaud
Comme elle était fidèle
Mironton mironton mirontaine
Comme elle était fidèle
Elle repoussa du pied
Valets et officiers
Qui voulaient la baiser
Pendant dix-huit semaines
Mironton mironton mirontaine
Pendant dix-huit semaines
Madame Malbrough la sotte
Se caressa la motte
Avec une carotte
Mais un jour un beau page
Mironton mironton mirontaine
Mais un jour un beau page
Arriva de l’armée
Afin de l’informer
D’une triste vérité
Pris par les infidèles
Mironton mironton mirontaine
Pris par les infidèles
Malbrough venait d’être châtré
Lors sa femme atterrée
Se mit à sangloter
Qu’a-t-on fait de la chose
Mironton mironton mirontaine
Qu’a-t-on fait de la chose
Qui servait à baiser
Et qu’on vient de lui couper
Le page dit: écoutez
Je l’ai vue porter en terre
Mironton mironton mirontaine
Je l’ai vue porter en terre
Par quatre officiers
Qui l’avaient déposée
Dans un grand drap doré
A ces mots la châtelaine
Mironton mironton mirontaine
A ces mots la châtelaine
Se mit à jubiler : et vive la liberté
Plus de raison de me gêner
Puis elle appela l’armée
Et par trente officiers
Quarante deux canonniers
Cent trente cinq chevaliers
Deux cents trente cuirassiers
Trois cents six grenadiers
Six cents vingt non gradés
Elle se fit enfiler
MARGOT
Un jour à la barrière.
Margot, Margot
Tortillait son derrière.
Si beau, si beau.
Doucement, je m'approche.
Et puis, et puis,
Les deux mains dans les poches.
Je lui dis, je lui dis :
Oh ! Ma beauté divine.
Veux-tu ? Veux-tu
Que je te foute ma pine
Dans le cul, dans le cul ?
Monsieur, me répondit elle.
Je ne peux pas. Je ne peux pas.
Je suis encore pucelle.
Hélas, hélas.
Puisqu'il faut que je commence.
Eh ! Bien. Eh ! Bien.
A toi la préférence.
Pour rien, pour rien.
Je la crus sur parole.
Jésus, Jésus.
Elle avait la vérole.
Je l'eus, je l'eus.
Et ma pine encore vierge
Coula, coula.
Ni plus ni moins qu'un cierge.
Voilà, voilà.
Depuis cette aventure.
D'amour, d'amour.
Je me lave au mercure.
La nuit, le jour.
Depuis ce jour néfaste.
Mon Dieu. Mon Dieu.
Je me suis fait pédéraste.
Ça vaut bien mieux.
MARIE MADELEINE
Chanson sous titrée la Trémonzeise.
Madeleine a des pieds de cochon, (reprise en choeur)
Des pieds de cochon (reprise en choeur)
Refrain
Des pieds de cochon, Marie Madeleine
Des pieds de cochon, Marie Madelon.
Madeleine a des mollets ronds, (reprise en choeur)
Des mollets ronds (reprise en choeur) et des pieds de cochon.
Refrain
Madeleine a des genoux cagneux, (reprise en choeur)
Des genoux cagneux (reprise en choeur), des mollets ronds (reprise en choeur)
Et des pieds de cochon.
Sur le même principe
Madeleine a des cuisses graisseuses,
Madeleine a un cul terreux,
Madeleine a un vagin rougeâtre,
Madeleine a un ventre rond,
Madeleine a des seins qui pendouillent,
Madeleine a un menton crochu,
Madeleine a la goutte au nez,
Madeleine a un oeil de verre,
Madeleine a de faux cheveux,
Mais Madeleine, c’est celle que j’aime,
MEDECINE C’EST FINI
Nous n’irons plus jamais jouer avec les scalpels.
Nous n’irons plus jamais disséquer les mammies.
Nous n’irons plus jamais les couper en rondelles,
Transformer leurs bourrelets en tranches de salami.
Refrain
Médecine c’est fini,
Et dire que j’ai lamentablement raté le concours.
Médecine c’est fini,
Je ne pourrai jamais euthanasier un jour.
Nous n’irons plus jamais jouer avec les spéculums.
Nous n’irons plus jamais voir les cols dilatés.
Nous n’irons plus jamais inspecter les rectums,
Et leur mettre les deux doigts là où ça leur fait de l’effet.
Refrain
Nous n’irons plus jamais jouer avec les seringues jetables.
Nous n’irons plus jamais injecter le penthotal.
Nous n’irons plus jamais faire des dessous de table,
Pour payer la Rolex et les vacances au Sénégal.
MON TROU DU CUL
Quand je bande,
Je me demande
Où ma bite
Va s’arrêter.
De ma verge
Jaillit le sperme,
Comme l’eau
Jaillit du rocher.
Dédé ou X, l’as tu vu ?
Quoi ?
Le trou de mon cul.
Il est ovale,
Mon trou de balle.
Il n’est ni carré,
Ni tout rond,
Ni pointu,
Mon trou du cul.
NEUF MOIS
1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 5 mois, 6 mois, 7 mois, 8 mois, 9 mois,
Il est né le divin enfant,
Jouez hautbois, résonnez musettes,
Il est né le divin enfant,
Chantons tous son avènement.
1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 5 mois, 6 mois, 7 mois,
Il est né prématurément.
Jouez hautbois, résonnez musettes,
Il est né prématurément.
Chantons tous cet événement.
Sur le même principe
Il est né d’un avortement.
Il est né d’un bon lavement.
Il bande rapidement.
Il éjacule précocement.
NOUS SOMMES FALUCHARDS
Refrain
Solo: je suis Faluchard
Choeur: nous sommes Faluchards
Solo: et je reviens de Marseille
Choeur: et nous revenons de Marseille
Solo: e je sais jouer
Choeur: et nous savons jouer
Solo: de la grosse bite
Choeur: de la grosse bite
Tous: bite, bite, bite.
Refrain
Solo: de la grosse miche
Choeur: de la grosse miche
Tous: miche, miche, miche.
Bite, bite, bite.
Refrain
Sur le même principe
De la grosse gnouf
Du 69
Du pipeau baveur
De la grosse fesse
Du petit clito
OH ! MON CLITO
Oh ! Mon clito. Oh ! Oh ! Oh !
Tu es le plus beau des clitos.
Quand je te lèche de bas en haut. Oh ! Oh !
Cela te fait grimper aux rideaux.
Tu es le plus beau des clitos
Quand je te grimpe sur le dos. Oh ! Oh !
Avec ce que j’ai de plus gros.
Tu es le plus beau des clitos,
Des cli, des tos, des clicli, des totos.
PERNOD
Sur l’air de Zorro
Un apéro
Qui surgit du fond de la nuit
Qui court
Vers la biture au galop
Son nom
Il le signe à la table du bistrot
D’un P
Qui veut dire Pernod
Pernod.
Pernod.
L’apéro qui se boit
Sec et sans eau.
Pernoood. Pernoood. Pernoood.
PRENDRE UN ENFANT
Prendre un enfant par le fion
Et l’enfoncer bien profond.
On lui éclate bien fort la rondelle
Il en voit trente six chandelles.
Il s’appelait petit Rémi
Et on lui avait tout mis,
Les mains attachées dans le dos
En position de sodo.
RAMASSE TES COUILLES
Ra, ra, ramasse tes couilles dans ton caleçon.
Ramasse ta bite qui traîne.
Prends ta quéquette à deux mains, mon lapin,
Et fait face aux putains, tin tin.
SAINT PIERRE CANAILLE
Sur l’air de Paris Canaille, de Léo Ferré
Saint Pierre Canaille
Dans les bouteilles
Du sacré vin
Il y a le malin
Et sous les voûtes
Du Sacré Coeur
On y va foutre
Quel grand bonheur
Eteins le cierge
La Sainte Vierge
Ne peut pas voir
Les partouzards
Ni les fantasmes
De ces orgasmes
Qui font vautrer
Tout le clergé
Que de bêtises
Dans les églises
Elle ferme les yeux
La mère de Dieu
A Saint Sulpice
Plonge dans le vice
Zizi et bajoues
De l'enfant Jésus
Saint Pierre canaille
Sors ton andouille
Elle ne fera pas mal
Au cardinal
Puis prends l'abbesse
Du côté fesses
Fais la jouir
Et crever de plaisir
SCIENTIFIQUES AU TOP NIVEAU
Carabins, tenez vous bien
Epiciers, allez pisser
Nous voilà les scientifiques
C'est nous qui avons la trique (bis)
Vous les Mines, quelle vermine
Les écoles, on en rigole
Car en sciences on s'en balance
Fac de Sciences c'est l'excellence (bis)
Ah ! Dentaire quelle galère
Ça vous mène droit au cimetière
Mais en Sciences même en violet
On ne boit pas du petit lait (bis)
En Psycho on forme des veaux
Et en Droit rien que des putois
En Eco des vermisseaux
Et en Sciences on est les rois (bis)
SI TU VOULAIS CHATOUILLER MON LEZARD
En français
Si tu voulais chatouiller mon lézard
Je te ferais mimi, je te ferais minette
Si tu voulais chatouiller mon lézard
Je te ferais minette ce soir !
En anglais
If you wanted to gili my Aligator
I should you do mimi, I should you do minette
If you wanted to gili my aligator
I should you do minette ce soir
En allemand
Wenn du möchtest mein lezard giliren
Ich mache dich mimi, ich mache dich minette
Wenn du möchtest mein giliren
Ich mache dich minette diese nacht
SUR LA ROUTE DE LOUVIERS
Sur la route de Louviers
Il y avait un cantonnier
Et qui baisait (ter) comme un voyou
Au lieu de casser les cailloux
Une belle dame vint à passer
Dans un beau carrosse doré
Elle y baisait (ter) comme un voyou
A en faire craquer les roues
Elle aperçut le cantonnier
Dans le fond d'un grand fossé
Et qui baisait (ter) comme un voyou
Une fillette aux cheveux roux
Elle lui dit : brave cantonnier
Avec moi veux-tu monter
Pour me baiser (ter) comme un voyou
Le préfet est mon époux
A ces mots le cantonnier
Laisse la rousse dans le fossé
Et va baiser (ter) comme un voyou
La belle dame pleine de bijoux
Le lendemain par arrêté
Fut nommé chef cantonnier
Parce qu'il baisait (ter) comme un voyou
Au lieu de casser les cailloux
Voici la moralité :
Dans la vie pour arriver
Il faut baiser (ter) comme des voyous
Les belles dames qui ont des sous
THE WILD ROVER
I've been a wild rover for many a year
And I spent all my money on whiskey and beer,
And now I'm returning with gold in great store
And I never will play the wild rover no more
Refrain
And it's no, nay, never,
No nay never no more,
Will I play the wild rover
No never no more
I went to an ale-house I used to frequent
And I told the landlady my money was spent.
I asked her for credit, she answered me "nay
Such a custom as yours I could have any day"
Refrain
I took from my pocket ten sovereigns bright
And the landlady's eyes opened wide with delight.
She said "I have whiskey and wines of the best
And the words that I spoke sure were only in jest"
Refrain
I'll go home to my parents, confess what I've done
And I'll ask them to pardon their prodigal son.
And if they caress (forgive) me as ofttimes before
Sure I never will play the wild rover no more
Refrain
TIENS, VOILA MON ZOB
En revenant de Paris jusqu'à Nantes,
Oh ! La la. Oh ! La la, la la, la la, la la,
En revenant de Paris jusqu'à Nantes,
Tiens, voilà mon zob, zob, zob,
Tiens, voilà mon zob, zobi.
J'ai rencontré trois jeunes filles charmantes,
Oh ! La la. Oh ! La la, la la, la la, la la,
J'ai rencontré trois jeunes filles charmantes,
Tiens, voilà mon zob, zob, zob,
Tiens, voilà mon zob, zobi.
Sur le même principe
J'ai pas choisi, mais j'ai pris la plus belle.
Je lui ai dit de monter dans ma chambre.
Je lui ai foutu cinq à six coups dans le ventre.
Quand j'eus fini, elle me dit: recommence.
Il n’y a pas moyen, il n’y a plus d'huile dans la lampe.
Si c'est comme cela, tu reviendras dimanche.
Et s'il en reste, ce sera pour la servante.
TOC TOC TOC
Toc toc toc
- Qui est là ?
- C’est Jean Pierre Papin.
- Jean-Pierre Papin ? Quel drôle de nom.
Pourquoi pas libellule ou papillon ?
- Non, non, non, non, non, Jean-Pierre Papin.
Jean Pierre Papin, roi des forêts,
Que j’aime ta verdure.
Toc toc toc
- Qui est là ?
- C’est Jean Tigana.
- Jean Tigana ? Quel drôle de nom.
Pourquoi pas libellule ou papillon ?
- Non, non, non, non, non, Jean Tigana.
Jean Tigana, le renard et la belette,
Jean Tigana et le renard chanter.
Sur le même système
- Alen Boksic
Boksic dans les prés, fleurissent,
fleurissent,
Boksic dans les prés, c’est la fin de l’été.
- Didier Deschamps
Didier Deschamps de la montagne à cheval. Ohé ! (bis)
Didier Deschamps de la montagne (bis)
Didier Deschamps de la montagne à cheval. Ohé !
- Alain Giresse :
Giresse de Pampelune jusqu’à Bayonne,
J’irai de Dax jusqu’à Mont de Marsan,
Je ferai le plus grand pèlerinage
Basque espagnol de tous les temps.
- Eric Cantona :
Cantona que l’amour
A offrir en partage …
- Michel Chevalet :
Chevalet de la table ronde,
Goûtons voir si le vin est bon …
- Jean Marais
Jean Marais, oui, oui, oui.
Jean Marais, non, non, non.
Jean Marais jusqu’à mon plaisir …
- Sheila et Roger Moore
Sheila Moore
C’est l’amour, mour, mour.
- IAM et Marie Ange Nardi
I’m a Nardi girl
In a Nardi world,
Like a plastic,
It’s fantastic.
- Patricia Kass et Marc Lavoix
Kass et Lavoix,
Casser la voix …
TOUS LES POCHTRONS
Sur l’air de Tous les garçons et les filles de Françoise Hardy
Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux
Se retrouvent souvent le jeudi
Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux
Savent que très dure sera la nuit
Les coudes sur le comptoir
La soif dans le gosier
Ils se mettent tous à boire
Et se mettent tous à chanter
Un cul sec, deux cul sec, trois cul sec avalés
Pas une goutte d'alcool ne sera épargnée
Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux
Une fois toutes les bouteilles vidées
Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux
S'en vont faire la fête à une soirée
Ne pensant qu'à tirer
Les yeux exorbités
Cherchent un cul à bourrer
Ou des couilles à vider
Un petit cul, un gros cul, un beau cul, pas de quartier
Une petite pine, une grosse pine, une belle pine adjugée
TRAINE TES COUILLES
Re, re, regarde donc
Crénom de nom
La petite dame au second
Qui est à son balcon
Qui a les yeux fixés comme un canon
Sur le deuxième bouton
De mon pantaki, de mon pantaka
De mon pantako, de mon pantalon.
Refrain
Traîne tes couilles par terre
Prends ta pine à deux mains, mon cousin
Nous partons en guerre
A la chasse aux putains
Ce n'est pas par le cul
Que se font les cocus
Mais c'est bien par le con
Que les cocus se font.
Re, re, re, regarde donc
Crénom de nom
Les beaux nichons
Crénom de Dieu
Les jolis yeux !
Crénom d'un chien
Et toi, et moi, cela ferait du bien
Refrain
Elle est pucelle (bis)
Non, non, non, ce n'est pas vrai
Y a-t-il des cocus parmi nous?
Lesquels sont ce ? (bis)
Y a t il des cocus parmi nous?
Tous, tous, tous.
Refrain
TU NOUS DELAISSES
X, tu nous délaisses,
Cela fait longtemps qu’on ne les a pas vues.
Allez X montre nous tes fesses,
Allez X montre nous ton cul.
Et même si elles ne sont pas belles,
Et même si elles sont poilues,
Allez X montre nous tes fesses,
Allez X montre nous ton cul.
UN JOUR
Sur l’air de A la claire fontaine
Un jour dans un hôtel,
Je pris envie de baiser.
Je vis une fille si belle,
Que je voulus me la payer.
Refrain
Il y a longtemps
Que je bande
Jamais je n’ai déchargé.
Je vis une fille si belle,
Que je voulus me la payer.
Elle dit : je suis pucelle
Et tiens à le rester.
Refrain
Sur le même système
Mais t’en fais pas dit-elle,
T’as qu’à me sodomiser.
Refrain
Elle avait la vérole,
Elle me l’a refilée.
Refrain
Elle avait la vérole,
Elle me l’a refilée.
Refrain
Depuis, je n’ai plus de roubignolles,
On a dû me les couper.
Refrain
Et mon pauvre Popaul,
Ne peut plus décharger.
Refrain
UN MOT DE PLUS
Ivre de débauche et plein d'ardeur
De Lise un soir j'assiège la pudeur
Sans froncer votre nez pointu
Daignez lui dis-je entendre un impromptu
On fait l'amour de cent manières
Mais chantons les moins ordurières
Oh dis Lison vous devez ressentir
Un mot de plus monsieur je vais sortir
Un mot de plus c'est qu'entre nous
Puisqu'on est, on doit suivre ses goûts
Que j'ai massé de nos catins
L'heureux adresse et les tours libertins
Qu'il faut que la dame soit nue
Que sa main partout s'insinue
Oh dis Lison peut-on plus mal agir
Un mot de plus monsieur je vais rougir
Un mot de plus c'est qu'entre nous
Tout est plaisir dessus comme dessous
Qu'à l'aide du pibot mouvant
Je vas je viens et derrière et devant
Qu'il faut que servante ou princesse
Lutte de force et de souplesse
Oh dis Lison vous me faites souffrir
Un mot de plus monsieur je vais mourir
Un mot de plus c'est qu'entre nous
Plus nous limons plus le jeu nous est doux
Qu'à ce jeu là j'obtiens le prix
Mais que tricher ne convient qu'au mari
Qu'il faut pour de faire qu'une âme
Qu'ensemble on parte et se pâme
Oh dis Lison quel feu vient me trahir
Un mot de plus monsieur je vais jouir
VIVE LES ETUDIANTS
Vive les étudiants, ma mère
Vive les étudiants
Ils ont des femmes et pas d’enfants
Vive les étudiants
Vive les Sorbonnards,
Ils ont des couilles en peau de lézard
Vive les coloniaux,
Ils ont des couilles en peau de chameau
Refrain
Et l’on s’en fout d’attraper la vérole
Et l’on s’en fout pourvu qu’on tire un
coup,
Avec, avec une femme sur les roses.
Vive les étudiantes, ma mère
Vive les étudiantes
Elles aiment avoir la pine au ventre
Vive les étudiantes
Refrain
Vive les Carabins
Ils ont des femmes qui baisent bien
ou
Ils ont chacun trente six putains
Vive les Carabines,
Elles adorent sucer les pines
Vive les artilleurs,
Ils tirent un coup tous les quarts d’heure
Vive les Pharmaciens,
Ils ont le permanganate pour rien
Sur le même principe
Vive les médecins,
Ils voient des femmes à poil pour rien
Vive les vétérinaires
Ils marchent toujours la queue en l’air
Vive les beaux corsaires,
Et s’ils ne baisent ce n’est qu’à terre
Vive les cavaliers,
Ils montent les femmes sans étrier
Vive les ingénieurs,
Ils font l’amour à toute vapeur
Vive les juristes,
Ils ne sont pas unicouillistes
Vive les scientifiques,
Ils n’utilisent que du plastique
Vive les avocats,
Ils ont des couilles en chocolat
Vive les Pharmaciennes,
Elles sont toutes putains ou bien lesbiennes
Vive les aviateurs,
Ils lèvent la queue tous les quarts d’heure
ou
Ils ont des couilles à la hauteur
Vive les aviatrices,
Elles ont le manche entre les cuisses
Vive les Art Déco,
Ils ont les couilles prés du pinceau
Vive le Quartier Latin,
Toutes les filles y sont putains
Vive les Enisards,
Ils ont toujours de gros dards
Vive les Colmariens,
Ce sont les rois pour le coup de rein
Et que crèvent les Charlottes,
Ce ne sont que des salopes