51 JE T`AIME - Webagoo.net
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51 JE T’AIME Dans la forêt d’Afrique, Un Congolais chantait Pastis 51 Boisson alcoolisée Basile (ou X) est au comptoir Il sert l’apéro Il va de verre en verre Pour servir le Pernod Répéter en choeur Répéter en choeur 51 je t’aime J’en boirais des tonneaux A me rouler par terre Sous les noix de coco Basile (ou X) est au Brésil Il baise à tours de bras Il va de fille en fille Répandre le sida Répéter en choeur Répéter en choeur Et si tu m’abandonnes Alors je m’empoisonne Avec une bombonne De bon Ricard bien jaune Basile (ou X) n’a plus de membre Il est à l’hôpital On va de chambre en chambre Pour voir s’il va mal Répéter en choeur Basile (ou X) est au Brésil Il danse la samba Il va de ville en ville Pour apprendre le pas Répéter en choeur A CAPES A Capes, A Sexis, A Centrum Occulate ! A Capes, A Sexis, A Centrum Audate ! A Capes, A Sexis, A Centrum Olfacte ! A Capes, A Sexis, A Centrum Gustate ! A Capes, A Sexis, A Centrum Discutate ! A Capes, A Sexis, A Centrum De novo discutate ! A Capes, A Sexis, A Centrum Dagoubitate ! A Capes, A Sexis, A Centrum Hydrate ! A LA CLAIRE FONTAINE A la Claire Fontaine est sans doute l’une des chansons les plus visitées pour inspirer des variantes pas toujours chastes. A la claire fontaine Hier après dîner Il y avait trois capitaines Qui m’ont déshabillée. Là je vis sous la lune Arriver le bedeau Qui me dit: viens, ma brune, Faire la bête à deux dos. Refrain Refrain Il y a longtemps que je baise Jamais je ne m’arrêterai. Puis le maître d’école A son tour est venu M’a glissé son obole Dans l’abricot fendu. Et là sous la verdure Tous les trois à la fois M’ont glissé leur nature Dans tous les bons endroits. Refrain Après les capitaines Vint le gentil meunier M’a pris la turlutaine Et s’en est régalé. Refrain Puis ce fut le notaire Passant sur le chemin Qui me mit son affaire Gentiment dans la main. Refrain Après quoi les gendarmes Vinrent les polissons, Tous deux verser leurs larmes Sur mon petit gazon. Refrain Refrain Enfin tout le village Par l’amour alléché Me fit un ramonage Dont je me souviendrai. Refrain Quelle belle nuit pour une femme Quel voluptueux gala Car comme vous mesdames Je ne pense qu’à cela. AH CE QU’ON EST BIEN ICI Le long du cou, Cette douce bière glisse Arrivée en bas Il faut que je la pisse, pom, pom … (bis) Ah ce qu’on est bien Quand on est complètement plein, Complètement bourré, Prêt à dégueuler, pom, pom … (bis) Au cours d’une pipe, Je lui éjacule dans la bouche, Quand je la sodomise, Voilà que tout bouge, pom,pom … (bis) Ah ce qu’on est bien, Quand on est dans un vagin, Complètement mouillé, Prêt à décharger, pom, pom …(bis) Avec la langue, Je lui entrouvre les portes du con, Et quand elle décharge, Mon Dieu que c’est bon, pom, pom … (bis) Ah ce qu’elle est bien, Quand on lui taille une bavette, Et que la langue remonte, Vers le trou qui pète, pom, pom … (bis) ou Ah ce qu’on est bien Quand on est complètement plein, Complètement bourré, Prêt à dégueuler, pom, pom … (bis) Bourré à toute heure, Soutien aux viticulteurs. Peinté 24 heures, Soutien aux brasseurs. AH QUE NOS PERES ETAIENT HEUREUX Ah que nos pères étaient heureux (bis) Quant ils étaient à table. Le vin coulait à côté d’eux (bis) Cela leur était fort agréable. Refrain Et ils buvaient à pleins tonneaux, Comme des trous, comme des trous morbleu, Bien autrement que nous morbleu, Bien autrement que nous. Ils n’avaient ni riches buffets (bis) Ni verres de Venise Mais ils avaient des gobelets (bis) Aussi grands que leurs barbes grises. Refrain Ils ne savaient ni le latin (bis) Ni la théologie Mais ils avaient le goût du vin (bis) C’était là leur philosophie. Refrain Quand ils avaient quelques chagrins (bis) Ou quelques maladies Ils plantaient là le médecin (bis) Apothicaire et pharmacie. Refrain Celui qui planta le Provins (bis) Au doux pays de France Dans l’éclat du rubis divin (bis) Il a planté notre espérance. AH VOUS DIRAIS JE MAMAN Ah vous dirais je maman A quoi nous passons le temps Avec mon cousin Eugène Sachez que ce phénomène Nous a inventé un jeu Auquel nous jouons tous les deux Mais ce petit rat curieux Très souvent devient furieux Voilà qu’il sort et qu’il rentre Et qu’il me court dans le ventre Mon cousin a bien du mal A calmer son animal Il m’emmène dans le bois Et me dit déshabille-toi Quand je suis nue toute entière Il me fait coucher par terre Et de peur que je n’aie froid Il vient se coucher sur moi Complètement essoufflé Il essaie de le rattraper Moi je ris à perdre haleine Devant les efforts d’Eugène Si vous étiez là, maman, Vous ririez pareillement Puis il me dit d’un ton doux Ecarte bien tes genoux Et la chose va vous faire rire Il embrasse ma tirelire Oh ! vous conviendrez maman Qu’il a des idées vraiment … Au bout de quelques instants Le petit rat sort en pleurant Alors Eugène qui tremblote Le remet dans sa redingote Et puis tous deux nous rentrons Sagement à la maison Puis il sort je ne sais d’où Un petit animal très doux Une espèce de rat sans pattes Qu’il me donne et que je flatte Oh le joli petit rat D’ailleurs il vous le montrera Mon cousin est merveilleux Il connaît des tas de jeux Demain soir sur la carpette Il doit m’apprendre la levrette Si vraiment c’est amusant Je vous l’apprendrai en rentrant Et c’est juste à ce moment Que le jeu commence vraiment Eugène prend sa petite bête Et la fourre dans une cachette Qu’il a trouvé le farceur Où vous situez mon honneur Voici ma chère maman Comment je passe mon temps Vous voyez je suis très sage Je fuis tous les bavardages Et j’écoute vos leçons Je ne parle pas aux garçons ALCOOLO C’est un fameux pistard Plein comme un tonneau, Alcoolo, Kanterbräu, Dix huit Kro et une syphilo, Je suis fier d’être un pilier d’bistrot. Refrain Tiens bon ta 33 et tiens bon ta Kro, Alcoolo, Kanterbräu, Si jamais t’as une petite soif On ira tous au bistrot d’en face. Je pars pour de longs mois Faire une cure dePernod, Alcoolo, Kanterbräu De penser à toutes ces bourrées, Je suis sûr d’en prendre plein le nez. Refrain Il parait que là-bas L’alcool coule à flots Alcoolo, Kanterbräu. On en trouve même dans les ruisseaux, Ils font fort dans ce pays de poivrots. Refrain On dit que là-bas On ne paye pas qu’un pot, Alcoolo, Kanterbräu Car le pinard est obligatoire Et la bière encore plus nécessaire. Refrain Un jour je reviendrai Plein comme un tonneau, Alcoolo, Kanterbräu. Si il y en a un qui me dit que ça craint Je lui raconterai comme j’étais plein. ALKA SELTZER C’était le temps des cuites On ignorait le Pschitt Et tous les soirs, C’était la gueule de bois. On était tous bourrés, On a tous dégueulé, Alka Seltzer nous a réconfortés. C’était le temps des fleurs Où j’enculais ma sœur Sur le divan de la salle à manger. Elle me disait vas-y Enfonce moi ton kiki, Ca me fait du bien, ça me fait pas mal aux seins. C’était le temps des chtouilles Où je me grattais les couilles Avec ardeur et beaucoup de bonheur. Le pénis fut trouvé, Mes couilles furent sauvées. Amis amis, ce que j’avais mal au zob. C’était le temps du shit On n’avait plus les cuites Et tous les soirs, c’était le nirvana. On était tous flippés On a tous voyagé Le lendemain, on a fumé un joint. ALLONS A MESSINE Ils étaient deux amants, Qui s'aimaient tendrement Qui voulaient voyager Mais ne savaient comment. Mon rouston de gauche Sera lieutenant. Les poils de mon cul Feront les haubans. Refrain Refrain Ah ! Ah ! Ah ! Allons à Messine Pêcher la sardine Allons à Lorient Pêcher le hareng. Les poils de mon cul Feront les haubans. Et tous les morpions Grimperont dedans. Refrain Qui voulaient voyager Mais ne savaient comment Le vit dit au con: Tu seras bâtiment. Et tous les morpions Grimperont dedans. La peau de mes couilles Fera voile au vent. Refrain Refrain Le vit dit au con Tu seras bâtiment. Je serai le grand mât Que l'on plante dedans. La peau de mes couilles Fera voile au vent. Le trou de mon cul Soufflera dedans. Refrain Refrain Je serai le grand mât Que l'on plante dedans. Mon rouston de droite Sera commandant. Refrain Mon rouston de droite Sera commandant. Mon rouston de gauche Sera lieutenant. Refrain Le trou de mon cul Soufflera dedans. Et sacré nom de nom Ce que cela puera là dedans. AMI LEVE TON VERRE Ami X (bis) Lève donc ton verre Et surtout ne le renverse pas Et porte le Du frontibus au nasibus, Du nasibus au mentibus, Du mentibus au ventribus, Du ventribus au sexibus, Du sexibus au pedibus, Du pedibus à l’aquarium, Et glou, et glou, et glou, et glou, … Il est des nô-ôtres Il a bu son verre comme les au-autres C’est un ivro-ogne, Ça se voit rien qu’à sa tro-ogne. AU CLAIR DE LA LUNE Au clair de la lune Mon ami Pierrot Prête-moi ta plume Mon mari est sot Et sur la pelouse Des gens distingués Faisaient une partouze C’était follement gai Sa chandelle est morte Et manque de feu Ouvre-moi ta porte Pour baiser un peu Au clair de la lune J’entrais dans le jeu Entouré de plumes C’était merveilleux Au clair de la lune Pierrot répondit Je garde ma plume Pour baiser Nini J’en pris une belle Sur un rayon d’or Ah quelle chandelle Je la sens encore Va chez la voisine Elle aime s’amuser Elle est un peu gouine Elle a du doigté Au clair de la lune Je fus au déduit Je pris toutes les plumes Oh là là quelle nuit Mais chez la voisine Y avait un monde fou Des chambres aux cuisines On baisait partout Soufflées de la sorte Par le vent d’amour Les chandelles sont mortes Au lever du jour AVE LE PETIT DOIGT Les saints et les anges, Et tous les élus, …… tous les élus. Quand ça les démange, Se grattent le trou du cul, …… le trou du cul, Avé, avé, avé le petit doigt Avé, avé, avé le petit doigt, , …… le petit doigt. Avé le petit doigt, la bite au cul, les couilles pendantes, Avé le petit doigt, la bite au cul, bien enfoncée. Ohé ! ohé ! ohé ! Ohé ! ohé ! ohé ! Et tous les archanges, Ces enfants de putain, , …… oui de putain, Quand ça les démange, Se grattent le boudin, , …… oui le boudin, Avé, avé, avé le petit doigt Avé, avé, avé le petit doigt Avé, avé, avé le petit doigt, , …… le petit doigt. Avé le petit doigt, la bite au cul, les couilles pendantes, Avé le petit doigt, la bite au cul, bien enfoncée. Ohé ! ohé ! ohé ! Ohé ! ohé ! ohé ! BALI BALO Bali Balo dans son berceau Bandait déjà comme un taureau Fils de putain lui dit sa mère Tu bandes déja plus que ton père. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. Bali Balo dans son avion Avec sa femme et son cochon. Dès que sa femme eut tourné la tête Il encula la pauvre bête. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. Bali Balo dans le désert Se trimbalait les couilles à l’air. Arriva un nuage de grenouilles Qui lui bouffa la peau des couilles. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. Bali Balo au cinéma Péta si fort qu’il s’envola. Il atterrit dans les coulisses Et encula le pompier de service. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. Bali Balo sur sa moto Faisait du cent et du zéro Et c’est dans ce putain de virage Qu’il se les a prises dans l’embrayage. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. Bali Balo dans son cercueil Bandait encore comme un chevreuil. Avec sa bite en arc de cercle Il parvint à soulever le couvercle. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. Bali Balo chez les bonnes soeurs Se tapa la mère supérieure. La vieille lui dit jamais le seigneur Ne m’a donné autant de bonheur. Ah ! Ah ! Ah ! Oui vraiment Bali Balo est un salaud. BOIRE UN PETIT COUP Refrain Boire un petit coup, c’est agréable, Boire un petit coup, c’est doux, Mais il ne faut pas rouler dessous la table, Boire un petit coup, c’est agréable, Boire un petit coup, c’est doux. Un petit coup, tra la, la, la (bis) Un petit coup, c’est doux. Allons dans les bois ma mignonette, Allons dans les bois du roi. Nous y cueillerons la fraîche violette, Allons dans les bois ma mignonette, Allons dans les bois du roi. Oui dans les bois, tra la, la, la (bis) Oui dans les bois du roi. Refrain J’aime le jambon et la saucisse Et le vin quand il est bon Mais j’aime encore mieux le lait de ma nourrice, J’aime le jambon et la saucisse Et le vin quand il est bon. J’aime le vin, tra la, la, la (bis) Le vin quand il est bon. Refrain Non Julien tu n’auras pas ma rose, Non Julien tu n’auras rien. Monsieur le curé a défendu la chose Non Julien tu n’auras pas ma rose, Non Julien tu n’auras rien. Non, non, Julien, tra la, la, la (bis) Tu n’auras rien, rien, rien. Refrain CAROLINE Ah ! Mes amis, versez à boire, Versez à boire du bon vin, Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin. Je m’en vais vous conter l’histoire De Caroline, la putain, Tin tin, tin taine et tin tin. Elle voulut aller à Rome, Pour recevoir l’absolution, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. Le pape était fort bien à Rome, Mais il était dans un boxon, Ton ton, ton taine et ton ton. Son père était un machiniste Au théâtre de l’Odéon, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. Sa mère était une fleuriste Qui vendait des roses en boutons, Ton ton, ton taine et ton ton. Et s’adressant au grand vicaire, Elle dit : j’ai trop prêté mon con Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. Si tu l’as tant prêté, ma chère, Eh bien, alors, prête-le-moi donc Ton ton, ton taine et ton ton. A quatorze ans, suçant des pines, Elle fit son éducation, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. A dix-huit ans, dans la débine, Elle s’engageât dans un boxon, Ton ton, ton taine et ton ton. Et la serrant entre ses cuisses, Il lui donna l’absolution, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. Il attrapa la chaude pisse, Et trente-six douzaines de morpions, Ton ton, ton taine et ton ton. A vingt-quatre ans, sur ma parole, C’était une fière putain, Tin tin, tin tin, tin taine et tin tin. Elle avait foutu la vérole Aux trois quarts du quartier latin, Tin tin, tin taine et tin tin. Elle finit cette tourmente, Entre les bras d’un marmiton, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. Elle mourut la pine au ventre, Le con fendu jusqu’au menton, Ton ton, ton taine et ton ton. Le marquis de la Couille Molle Lui fit construire une maison, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton, A l’enseigne du Morpion qui vole, Une belle enseigne pour un boxon, Ton ton, ton taine et ton ton. Et quand on la mit en bière, On vit pleurer tous ses morpions, Ton ton, ton ton, ton taine et ton ton. Puis quand on la mit en terre, Ils s’arrachèrent les poils du con, Ton ton, ton taine et ton ton. C’EST A BOIRE, A BOIRE, A BOIRE Nous étions cinq, six bons bougres Qui revenions de Longjumeau. On entra dans une auberge Pour y boire du vin nouveau. Oh ! Nom de Dieu, dit la patronne Leurs capotes, leurs godillots. Quand ils furent en liquette Ils montèrent sur les tonneaux. Oh ! Refrain Refrain C’est à boire, à boire, à boire, C’est à boire qu’il nous faut, Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! C’est à boire, à boire, à boire, C’est à boire qu’il nous faut. Quand ils furent en liquette Ils montèrent sur les tonneaux. Leurs liquettes étaient si courtes Qu’on leur voyait leurs marteaux. Oh ! Refrain On entra dans une auberge Pour y boire du vin nouveau. Chacun fouilla dans sa poche Quand il fallut payer le pot. Oh ! Sacrebleu, dit la patronne Qu’ils sont noirs, mais qu’ils sont beaux. Jarnidieu, dit la petite bonne, J’en voudrais bien un morceau. Oh ! Refrain Refrain Chacun fouilla dans sa poche Quand il fallut payer le pot. Le plus riche fouille dans la sienne Et n’y trouve qu’un écu faux. Oh ! Jarnidieu, dit la petite bonne, J’en voudrais bien un morceau. Ventrebleu, dit la patronne, Tous les six il me les faut. Oh ! Refrain Refrain Le plus riche fouille dans la sienne Et n’y trouve qu’un écu faux. Sacrebleu, dit la patronne Qu’on leur prenne leurs shakos. Oh ! Ventrebleu, dit la patronne, Tous les six, il me les faut Et depuis sur cette auberge Il y a un écriteau. Oh ! Refrain Refrain Sacrebleu, dit la patronne Qu’on leur prenne leurs shakos. Nom de Dieu, dit la patronne Leurs capotes, leurs godillots. Oh ! Refrain Et depuis sur cette auberge Il y a un écriteau, C’est ici qu’on boit, qu’on verge Et qu’on paie à coups de marteaux. Oh ! CHARLOTTE Dans son boudoir la petite Charlotte Chaude du con, faute d’avoir un vit, Se masturbait avec une carotte Et jouissait sur le bord de son lit. Un médecin praticien, fort habile Fût appelé qui lui fit bien du mal Mais par malheur la carotte indocile, Ne put sortir du conduit vaginal. Refrain Refrain Branle, branle, branle Charlotte Branle, branle ça fait du bien. Branle, branle, branle Charlotte Branle, branle jusqu’à demain. Mesdemoiselles, que le sort de Charlotte Puisse longtemps vous servir de leçon. Ah ! Croyez moi, laissez là la carotte, Préférez-lui un vigoureux garçon. Ah ! Disait elle, dans le siècle où nous sommes, Refrain Il faut savoir se passer des garçons. Moi, pour ma part, je me fous bien des hommes, Avec ardeur, je me branle le con. Refrain Alors sa main n’étant plus paresseuse Allait, venait comme un petit ressort Et faisait jouir la petite farceuse Aussi ce jeu lui plaisait-il bien fort. Refrain Mais oh malheur, oh fatale disgrâce, Dans son bonheur, elle fait un brusque saut, Du contrecoup, la carotte se casse Et dans le con, il en reste un morceau. Refrain Ah ! Mes amies, n’imitez pas Charlotte Son sort fût triste et combien malheureux. Pour vous branler, pas besoin de carotte Prenez mon vit, ça vaudra beaucoup mieux. Refrain CHEVALIERS DE LA TABLE RONDE En répétant les deux premières phrases et en reprenant le début de la deuxième. Chevaliers de la Table Ronde Goûtons voir si le vin est bon Goûtons voir, oui, oui, oui, Goûtons voir, non, non, non, Goûtons voir si le vin est bon. J’en boirai cinq à six bouteilles, Une femme sur les genoux. Pan, pan, pan, qui frappe à la porte, Je crois bien que c’est mon amie. Si c’est elle, que le diable l’emporte, De venir troubler mon plaisir. Si je meurs, je veux qu’on m’enterre, Dans une cave où il y a du bon vin. Les deux pieds contre la muraille, Et la tête sous le robinet. Et les quatre plus grands ivrognes, Porterons les quatre coins du drap. Et si le tonneau se débonde, J’en boirai jusqu’à mon loisir. Et s’il en reste quelques gouttes, Ce sera pour nous rafraîchir. Sur ma tombe je veux qu’on inscrive, Ici gît le roi des buveurs. COCHON DE MOINE Entrant dans une église, Je ne vis d’abord rien Qu’un vieux cochon de moine Qui se branlait dans un coin. Et nous ferons ensemble, Un petit capucin, Aux couilles tricolores, Aux poils du cul châtains. Refrain Refrain Si je t’encule, cule, cule, cule, Si je t’encule jusqu’à demain Si je t’encule, cule, cule, cule, Si je t’encule, c’est pour ton bien. Et le petit bonhomme, Bandera comme un saint, Il ira au bordel, Son père y allait bien. Qui confessait les filles, Du soir jusqu’au matin. Il dit à la plus jeune : Tu reviendras demain. Refrain Refrain Je te ferais voir l’herbe, Qui pousse dans la main. Qui fait grossir le ventre, Et arrondir les seins. Refrain Enfiler les maquerelles, Son père le faisait bien. Il aura la vérole, Son père l’avait bien. Refrain CREME NIVEA Refrain Ah ! Crème Nivéa, Si tu étais là Fini les gerçures au cul, Et les engelures. Quand vient le printemps, j’ai le nez qui gèle Et les petons tout déshydratés. Refrain Quand vient l’été, j’ai le con qui suinte Et les nichons tout ratatinés. Refrain Quand vient l’automne, j’ai le fion qui pète Et les roustons tout desséchés Refrain Quand vient l’hiver, j’ai le cul qui pèle Et le zizi tout ratatiné. Refrain DANS LE BROUILLARD Dans le brouillard S’avançait un corbillard, un corbillard Suivi de trois squelettes A bicyclette, à bicyclette. Ils s’en allaient à la morgue Voir s ‘il y avait pas des crevés, pas des crevés Il y avait une vieille morte Qui se faisait lécher les pieds, lécher les pieds. Sa peau du ventre était si verte Qu’on aurait dit des épinards, des épinards Et sur son dos, les asticots Avaient gravé ces quelques mots, ces quelques mots. J’aime le crachat des vieux, La morve des vieilles, La diarrhée des nouveau-nés, Le miel aux oreilles. C’est bon, c’est gluant. Ca glisse sous la dent. Mmh, qui veut du rab ? DANS LES PRISONS DE NANTES Dans les prisons de Nantes (bis) Il y avait un prisonnier. (bis) Personne ne vint le voir (bis) Que la fille du geôlier. (bis) Un jour il lui demande (bis) Et que dit t-on de moi ? (bis) On dit de vous en ville (bis) Que vous serez pendu. (bis) Mais s’il faut qu’on me pende (bis) Déliez moi les pieds. (bis) La fille était jeunette (bis) Les pieds lui a déliés. (bis) Le prisonnier alerte (bis) Dans la Loire s’est jeté. (bis) Dès qu’il fut sur les rives (bis) Il se mit à chanter. (bis) Je chante pour les belles (bis) Surtout celle du geôlier. (bis) Si je reviens à Nantes (bis) Oui je l’épouserais. (bis) Dans les prisons de Nantes (bis) Il y avait un prisonnier. (bis) DANS UN AMPHITHEATRE Sur le principe de la répétition de la première strophe. Dans un amphithéâtre, (ter) ... phithéâtre, phithéâtre, phithéâtre, phithéâtre, tsoin, tsoin. Il y avait un maccabé, Ce maccabé disait, Ah ! Ce qu’on s’emmerde ici, On serait mieux chez nous, Sur des coussins moelleux, Sur un balcon fleuri, DANS UNE TOUR DE LONDRES Dans une tour de Londres, Il y avait un prisonnier. Comme il était sans femme Il ne pouvait baiser Il grimpait sur une chaise, Le soir après souper. Par le judas de la porte, Sa queue faisait passer. Grâce à ce stratagème, Le brave prisonnier Se faisait faire des choses Par la fille du geôlier. Mais un soir les gendarmes Vinrent les séparer. On emmena la fille Au couvent de Trévier. Le prisonnier fidèle Attendit dix années. Mais un soir de tristesse Voulut se contenter. Il en sortit une mite Qui se mit à voler. Comme un flocon de neige Dans le beau soir doré. Et toutes les cloches de Londres Se mirent à sonner. DE PROFONDIS MORPIONIBUS Oh ! Muse, prête-moi ta lyre Afin qu’en vers, je puisse dire Un des combats les plus fameux Qui se déroula sous les cieux. Ils ont bouché presque la fente Que les morpions morts ensanglantent Et la vallée du cul au con Etait jonchée de morpions Refrain Refrain De profundis, pom, pom, …, pom, pom, Morpionibus, pom, pom, …, pom, pom, Tralala, lalalalalalalalalala, ha !. Le commandant d’une escouade Voyant périr ses camarades Cria : morpions, nous sommes foutus Piquons une charge au trou du cul. Un jour de fête, comme Sainte Thérèse A Notre Dame écoutait la messe, Elle sentit soudainement Un énorme chatouillement. Refrain Dans son vagin de forte taille, Cent milles poux livraient bataille A un nombre égal de morpions Qui défendaient l’entrée du con. Refrain Le choc fut épouvantable On croyait que c’était le diable Les femmes enceintes en accouchant Chiaient de la merde au lieu d’enfants. Refrain La bataille fut gigantesque Tous les morpions périrent ou presque A l’exception des plus trapus Qui s’accrochèrent aux poils du cul. Refrain Refrain Un morpion de noble origine Qui revenait de Palestine Leva sa lance et s’écria : Les morpions ne se rendent pas. Refrain Pour reprendre l’avantage Les morpions luttaient avec rage Mais leurs efforts furent superflus Les poux gardèrent le dessus. Refrain Le général, nouvel Enée, Sortant des rangs de son armée, A son rival, beau chevalier, Propose un combat singulier. Refrain Malgré son épaisse cuirasse, Tout bardé de foutre et de crasse, Le général des morpions Tomba sans vie au fond du con. Devant ce spectre qui murmure D’être privé de sépulture, Les morpions firent serment De lui élever un monument. Refrain Refrain A cheval sur un poil de roupette Armé d’une longue lorgnette, Le capitaine des morpions Examinait les positions En vain, on cherche sa dépouille Sur la pine et sur les deux couilles On ne trouva qu’un bout de queue Qu’un sabre avait coupé en deux. Refrain Refrain Soudainement, un obus arrive Qui lui fait perdre l’équilibre Le capitaine est bien foutu, Il tombe au fond du cul. La troupe aussitôt prend les armes L’enterre en versant force larmes Comme au convoi d’un cardinal Ou bien d’un garde national Refrain Refrain Un morpion motocycliste, Prenant le cul pour une piste, Vint avertir l’état major Que le capitaine était mort. Douze des plus jolies morpionnes Pleuraient en portant des couronnes De fleurs blanches et de poils du cul Qu’avait tant aimé le vaincu. Refrain Refrain Les morpions firent la chaîne Pour retirer leur capitaine, Ils s’épuisèrent en vains efforts Car l’enfer ne rend pas ses morts. Son cheval même l’accompagne, Et quatre morpions d’Espagne, La larme à l’œil, le crêpe au bras, Tenant les quatre coins du drap. Refrain Refrain Un soir, au bord de la ravine, Tout couvert de foutre et d’urine, On vit un fantôme tout nu A cheval sur un poil du cul. Au bord du profond précipice, On rangea les morpions novices, Qui défilèrent par escadrons En faisant sonner leurs clairons. Refrain Refrain C’était l’ombre du capitaine De chancres et d’asticots pleine Qui, faut d’inhumation Puait le maroilles et l’arpion. Ils le suivirent au cimetière S’assirent en rond sur leurs derrières La crotte au cul, la larme à l’œil Tous les morpions étaient en deuil. Refrain Refrain On lui éleva un cénotaphe, Où l’on grava cette épitaphe : Ci-gît un morpion de valeur Tombé sans vie au champ d’honneur. Depuis ce temps, dans la vallée, On entend des bruits de mêlée. Les morpions, pour venger le vaincu Se cramponnent à tous les poils du cul. Refrain Refrain Tandis que la foule en détresse, En sanglotant lisait la messe, L’adversaire de l’onguent gris Monta tout droit au Paradis. Et parfois dans les soirs de brume, A l’heure où se lève la lune, On voit les âmes des morpions Voltiger tout autour du con. Refrain Refrain Depuis ce jour, on voit dans l’ombre A la porte d’un caveau sombre, Les morpions de noir vêtus, Montant la garde au trou du cul. Refrain DIRTY OLD TOWN I met my love, by the gas works wall Dreamed a dream, by the old canal Kissed my girl, by the factory wall Dirty old town, dirty old town Clouds are drifting across the moon Cats are prowling on their beat Springs a girl in the street at night Dirty old town, dirty old town Heard a siren from the docks Saw a train set the night on fire Smelled the breeze on the smoky wind Dirty old town, dirty old town I'm going to make a big sharp axe Shining steel tempered in the fire I'll cut you down like an old dead tree Dirty old town, dirty old town I Met my love, by the gas yard wall Dreamed a dream, by the old canal Kissed my girl, by the factory wall Dirty old town, dirty old town (bis) DUDULE C’était des amoureux qui s’aimaient tous les deux, Ils étaient heureux, Et du soir au matin, Ils allaient au turbin, Le cœur plein d’entrain. A l’atelier, ses copines lui disaient : Pourquoi tu l’aimes tant ton Dudule ? Il est pas beau, il est mal fait. Mais elle, gentiment répondait : Ben, voilà, les amies, moi ce que j’aime en lui. Qu’est ce que c’est ? Refrain C’est la grosse bite à Dudule, Je la prends, je la suce, elle m’encule. Ah ce que c’est chouette, Ah ce que c’est bon. Quand il me la carre dans l’oignon. Ça devait arriver, Ils prenaient tant leur pied, Qu’ils se sont mariés. D’abord ça tournait rond, Après c’était moins bon, Et il lui mit des gnons. A l’atelier ses copines lui disaient : Pourquoi tu ne le tues pas ton Dudule ? Il est pas beau, il est mal fait. Mais elle, gentiment répondait : Ben, voilà, les amies, moi ce que j’aime en lui. Qu’est ce que c’est ? Refrain C’est pas une bite ordinaire, Quand il me la fout dans le derrière. Je me sens soudain Toute remplie Du cul jusqu’au nombril Du Dudule. EN DESCENDANT LA RUE CUVIER En descendant la rue Cuvier (bis) Par une putain, je fus accosté (bis) Elle me dit d’un air tendre : Eh bien ? Monte donc dans ma chambre . Et vous m’entendez bien ? Et nous t’entendons bien. Un vieux toubib, quatre infirmiers (bis) Furent désignés pour me soigner (bis) Mais cette bande d’andouilles. Eh bien ? Ils m’ont aussi coupé les couilles. Et vous m’entendez bien ? Et nous t’entendons bien. Moi qui suis de l’Université (bis) J’aime à savoir où je mets les pieds (bis) J’achète une chandelle Eh bien ? Pour monter chez la belle. Et vous m’entendez bien ? Et nous t’entendons bien. Quand on n’a plus ni couilles ni vit (bis) Rien ne nous plaît, ni nous sourit (bis) On s’en va au bordel. Eh bien ? Faire minette aux maquerelles. Et vous m’entendez bien ? Et nous t’entendons bien. Comme je ne suis qu’un grand dégoûtant (bis) Je monte l’escalier en me branlant (bis) En haut je la carambole. Eh bien ? Elle avait la vérole. Et vous m’entendez bien ? Et nous t’entendons bien. Depuis ce jour, soir et matin (bis) Je maudis toutes les putains (bis) Car elles me rappellent. Eh bien ? Mes couilles qui étaient si belles Et qui marchaient si bien (bis) Quand la vérole fut attrapée (bis) A l’hôpital, il fallut aller (bis) A l’hôpital maritime. Eh bien ? Me faire soigner la pine. Et vous m’entendez bien ? Et nous t’entendons bien. EN REVENANT DE LA FETE En revenant de la fête De la fête de Charenton J’ai rencontré trois fillettes, tape ta pine Qui se chatouillaient le bouton Et tape ta pine contre mon con J’ai rencontré trois fillettes Qui se chatouillaient le bouton J’ai demandé à la plus belle, tape ta pine Comment vous appelle t-on donc ? Et tape ta pine contre mon con La suite, sur le même principe On m’appelle la Gabrielle Gabrielle, c’est mon nom Je la prends et je l’embrasse Je la couche sur le gazon Je déboutonne ma braguette Et j’en sors mon Jean Luron Jean Luron, fort en colère Crache au nez de Barbançon Barbançon qui est fou de rage Avala mon Jean Luron Mes deux couilles restent à la porte A la porte, en faction Un poil du cul leur demande Que faites-vous là, couillons ? Nous attendons notre maître Qui est entré chez Barbançon Qui est entré, la tête haute Il en sortira accordéon EN REVENANT DE LA FOIRE En revenant de la foire De la foire à Montluçon J’ai rencontré trois fillettes, tape ta pine Trois fillettes et trois garçons Et tape ta pine contre mon con Tagada, tatoum, tatoum, tatoum (bis) J’ai rencontré trois fillettes Trois fillettes et trois garçons Les garçons disaient aux filles, tape ta pine Les filles disaient aux garçons Et tape ta pine contre mon con Tagada, tatoum, tatoum, tatoum (bis) La suite, sur le même principe Si vous n’étiez pas si bête Si vous n’étiez pas si con Vous soulèveriez nos jupettes Vous soulèveriez nos jupons Vous y trouveriez une petite bête Pas plus grosse qu’un hérisson Avec le poil bien moins raide Mais aussi beaucoup plus long Tenez votre pine bien raide Enfoncez-la jusqu’au fond Les roustons restent à la porte Pour danser le rigodon Trois poils du cul leur demandent Qu’attendez-vous là roustons Nous attendions notre maître Qu’est entré dans la maison Il y est entré bien raide Il en sortira moins long Plein de foutre, plein de merde Comme un chien qui a bu le bouillon EN REVENANT DU PIEMONT En nous revenant du Piémont (bis) Nous étions trois jeunes garçons (bis) De l'argent nous n’en avions guère Sans dessus dessous et sans devant derrière A nous trois, nous n'avions qu'un sou Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis) Hôtesse, nous voulons manger (bis) Qu'avez-vous donc à nous donner ? (bis) J'ai du bon lapin, de la bonne bière Sans dessus dessous et sans devant derrière Et de la bonne soupe aux choux Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis) Hôtesse nous voulons coucher (bis) Qu'avez-vous donc à nous donner ? (bis) J'ai ma chambre sur le derrière Sans dessus dessous et sans devant derrière Et ma servante qui couche en dessous Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis) Sur les onze heures, on entendit (bis) L'hôtesse, pousser un grand cri (bis) Oh ! vous me pétez la charnière Sans dessus dessous et sans devant derrière Allez-y donc un peu plus doux ! Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis) Puis quand ce fût près de minuit (bis) Il se fit un bien plus grand bruit (bis) C'était le lit qui se foutait par terre Sans dessus dessous et sans devant derrière Et la servante qui baisait dessous Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis) Quand vous repasserez par ici (bis) Souvenez-vous du bon logis (bis) Souvenez-vous de la bonne hôtesse Qui remue le cul et qui remue les fesses Et de la petite bonne qui remue tout Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis) FANCHON Amis, il faut faire une pause, J’aperçois l’ombre d’un bouchon. Buvons à l’aimable Fanchon Chantons pour elle, quelque chose. Refrain Et ah ! Ce que son entretien est bon, Qu’elle a de mérite et de gloire ! Elle aime à rire, elle aime à boire, Elle aime à chanter comme nous. Elle aime à rire, elle aime à boire, elle aime à chanter comme nous Elle aime à rire, elle aime à boire, Elle aime à chanter comme nous. Oui comme nous ! (ter) Fanchon, quoique bonne chrétienne, Fut baptisée avec du vin. Un Bourguignon fut son parrain, Une Bretonne sa marraine. Refrain Fanchon préfère la grillade A d’autres mets plus délicats. Son teint prend un nouvel éclat Quand on lui verse une rasade. Refrain Un jour, le copain La Grenade Lui mit la main dans le corset. Elle répondit par un soufflet Sur le museau du camarade. Refrain Fanchon, si quelquefois, elle est cruelle, C’est quand on lui parle d’amour. Mais moi, je ne lui fais la cour Que pour m’enivrer avec elle. FLOWERS OF SCOTLAND O Flower of Scotland When will we see Your like again, That fought and died for Your wee bit Hill and Glen And stood against him Proud Edward's Army, And sent him homeward Tae think again. The hills are bare now And autumn leaves lie thick and still O'er land that is lost now Which those so dearly held That stood against him Proud Edward's Army And sent him homeward Tae think again. Those days are past now And in the past they must remain But we can still rise now And be the nation again That stood against him Proud Edward's Army And sent him homeward, Tae think again. 0 Flower of Scotland When will we see Your like again, That fought and died for Your wee bit Hill and Glen And stood against him Proud Edward's Army, And sent him homeward Tae think again FRERE LA GUILLAUMETTE Parlé En continuant sur le même système Frère La Guillaumette, Quand tu rencontres une fillette, Que fais-tu ? Je soulève sa chemisette. Je déboutonne ma braguette. Je sors ma grosse bistouquette. Je me fais faire une petite branlette. Je me fais faire une petite sucette. Je lui écarte les gambettes. Je lui mets dans sa craquette. Je fais juter ma bistouquette. Je décharge dans sa craquette. Je tire une première crampette. Je tire une deuxième crampette. Je sens le bon dieu dans mes roupettes. Je me fais faire une petite lichette. Je lui fais une petite minette. Je lui fous dans le trou qui pète. Je retire ma petite bistouquette. Puis je la baise en levrette. Je me lave la belle dans sa cuvette. Je me l’essuie dans la serviette. Je bois l’eau de la cuvette. Je demande pardon à confesse. Je recherche une autre nonette. Je recommence l’historiette. Le chœur Amen ! Chanté Je l’emmène dans ma chambrette, Domino, mino, domino, minette, Je l’emmène dans ma chambrette, Do min no ! Parlé Frère La Guillaumette, Quand tu rencontres une fillette, Que tu l’emmènes dans ta chambrette, Que fais-tu ? Le chœur Amen ! Chanté Je l’étends sur ma couchette Domino, mino, domino, minette, Je l’étends sur ma couchette, Do min no ! IL EST UN COIN DE FRANCE Il est un coin de France Où le bonheur fleurit, Où on connaît d’avance, Les joies du paradis, Et quand on a la chance D’être de ce pays, On est comme en vacances, Durant toute la vie. Refrain Aire tun Txikiyun Aire tun Laïre Aire tun Txikiyun Aire tun Laïre Aire tun Txikiyun Aire tun Laïre Aire tun Txikiyun Laïre. Olé. Le jour de sa naissance On naît pelotari. Dès la plus tendre enfance, Le douanier vous poursuit. Refrain Quand vient l’adolescence, Les filles vous sourient, Et on chante et on danse Même quand on vieillit. Refrain Et le soir dans nos montagnes Nous chantons au coin du feu. Le vent qui vient d’Espagne Porte au loin cet air joyeux. Refrain IL ETAIT UN VAISSEAU DE GUERRE Sur l’air de Il était un petit navire Il était un vaisseau de guerre (bis) Venant de Ca-Ca-Calédonie (bis) Ohé ! Ohé ! Comme on manquait de jolies femmes (bis) Pour occu-cu-cuper les matelots (bis) Ohé ! Ohé ! On mit exprès pour leur usage (bis) Une barrique-que-que percée d’un trou (bis) Ohé ! Ohé ! Tout le temps de la traversée (bis) Les marins vi-vi-visitèrent le tonneau (bis) Ohé ! Ohé ! On prit sans doute pour de la graisse (bis) Ce qu’y mi-mi-mirent les matelots (bis) Ohé ! Ohé ! On le vendit à l’arrivée (bis) Pour en con-con-confectionner des bougies (bis) Ohé ! Ohé ! Dans un couvent de jeunes filles (bis) Ces bougies ser-ser-servirent aux sœurs (bis) Ohé ! Ohé ! Je ne sais pas pour quel usage (bis) Mais au bout de neu-neu-neuf longs mois (bis) Ohé ! Ohé ! Chacune d’elles devint mère (bis) Devint mère-mère-mère d’un petit matelot (bis) Ohé ! Ohé ! Depuis dans les couvents de filles (bis) On met des ca-ca-capotes aux bougies (bis) Ohé ! Ohé ! IL ETAIT UNE BERGERE Il était une bergère Et ron et ron, petit patapon D’humeur assez légère Qui aimait les garçons ron ron Bien plus que ses moutons. Puis elle ouvrit les cuisses Et ron et ron, petit patapon Afin que le gars puisse Caresser sans façons ron ron Le duvet de son chaton. Un jour, près d’une rivière Et ron et ron, petit patapon Voyant son ami Pierre Elle quitta son jupon ron ron Et son petit pantalon. Donne ta main dit-elle Et ron et ron, petit patapon J’aime la bagatelle Caresse-le sinon ron ron Tu auras du bâton. Le garçon plein de fièvre Et ron et ron, petit patapon Se pourléchant les lèvres S’approcha l’air fripon ron ron Pour tâter son chaton. Il n’y mit pas la patte Et ron et ron, petit patapon Il n’y mit pas la patte Il y mit le menton cochon ron ron Il y mit le menton. La bergère peu sage Et ron et ron, petit patapon Entrouvrit son corsage En disant au garçon ron ron Embrasse mes tétons . Et le long de la rivière Et ron et ron, petit patapon Retentit cette prière N’arrête pas c’est bon ron ron Nous recommencerons. JEAN GILLES Le gendre Le beau père Beau père, mon beau père, Je viens me plaindre à vous. (bis) Que ne la branlez-vous, Jean Gilles, mon gendre ? Que ne la branlez-vous, Ma fille est toute à vous. Le beau père De quoi vous plaignez-vous, Jean Gilles, mon gendre ? De quoi vous plaignez-vous, Ma fille est toute à vous. Le gendre Le gendre Le beau père Oui mais, que faut-il faire Quand nous sommes entre nous ? (bis) Que ne la gougnotez-vous, Jean Gilles, mon gendre ? Que ne la gougnotez-vous, Ma fille est toute à vous. Le beau père Oui mais, si je la branle On se foutra de nous. (bis) Que ne la baisez-vous, Jean Gilles, mon gendre ? Que ne la baisez-vous, Ma fille est toute à vous. Le gendre Le gendre Le beau père Oui mais, si je la baise Des gosses elle me fout. (bis) Que ne l’enculez-vous, Jean Gilles, mon gendre ? Que ne l’enculez-vous, Ma fille est toute à vous. Le beau père Oui mais, si je la gougnote Ca me laisse comme un goût. (bis) Que ne la pelotez-vous, Jean Gilles, mon gendre ? Que ne la pelotez-vous, Ma fille est toute à vous. Le gendre Le gendre Le beau père Oui mais, si je la pelote Ses nichons deviendront mous. (bis) C’est vous qui me faites chier, Jean Gilles, mon gendre, C’est vous qui me faites chier, Allez vous faire branler. Oui mais, si je l’encule Elle chiera partout. (bis) JEANNETON Jeanneton prend sa faucille Larirette, larirette, Jeanneton prend sa faucille Et s’en va couper des joncs (bis) En chemin, elle rencontre Larirette, larirette, En chemin, elle rencontre Quatre jeunes et beaux garçons (bis) Sur le même principe Le premier un peu timide Lui caressa le menton Le second un peu moins sage La coucha sur le gazon Le troisième, un intrépide Lui souleva le jupon Ce que fit le quatrième N’est pas dit dans la chanson Si vous le saviez Mesdames, Vous iriez coupez des joncs La morale de cette histoire, C’est que les hommes sont des cochons La morale de cette morale C’est que les femmes aiment les cochons On en tire de cette histoire, C’est que sur quatre il y a trois couillons La synthèse de cette histoire C’est que ça fait des petits cochons JESUS Jesus est né au Pays-Basque, Dans une cave remplie d’irrouleguy. Jesus est né au Pays-Basque ; C’est un berger qui me l’a dit. Sur le plus haut fronton de France, On le voyait jouer au jokari. Sur le plus haut fronton de France, C’était celui de Guethary. Tous les dimanches après-midi, On le voyait rentrer en percussion. Tous les dimanches après-midi, Il jouait pilier à l’Aviron. Quand il prêchait son évangile, On le voyait lever les bras aux cieux. Et c’est ainsi que ses disciples Apprirent à danser le fandango. KANTERBRAU KRONENBOURG J’ai deux amours : La Kanterbraü, la Kronenbourg. La Kanterbraü pour faire dodo, La Kronenbourg pour faire l’amour. J’ai deux ennemis : L’eau de Badoit, l’eau de Vichy. L’eau de Badoit pour faire caca, L’eau de Vichy pour faire pipi. J’ai deux passions : La branlette et la fellation. La branlette parce que c’est chouette, La fellation parce que c’est bon. Et c’est fini ... LA BERNADETTE Sur l’air des tuyaux En pleine nuit la Bernadette, Doucement me fit un pompier. Je lui éjacule dans la tête, Elle en a les dents toutes collées. Et comme j’en ai plein les roupettes, J’ai encore envie de décharger. Oui mais voilà, je lui ai dit la Bernadette, Il va falloir me sucer. Elle m’a mordu le tuyau, le tuyau, le tuyau Me l’a coincé dans la braguette, Elle m’a mordu le tuyau, le tuyau, le tuyau Et j’ai gueulé comme un salaud. Motivé par cette sucette, Et comme je suis un rigolo, Je lui propose une levrette, Et c’est parti pour la sodo. Et comme j’assure point de vue quéquette, Elle me disait : vas-y franco. Oui mais voilà, pendant ce temps là, Il y a le caca qui me mettait dans l’embarras. Elle m’a lavé le tuyau, le tuyau, le tuyau Me l’a frotté au tampon jex Elle m’a lavé le tuyau, le tuyau, le tuyau Et j’ai gueulé comme un salaud. Quand elle a quitté ma couchette, Son petit trou dégoulinait, Alors discrètement dans ma tête, Je me suis dit : tiens je vais la lécher. Et comme j’ai un bon coup de languette, Elle me pria de continuer. Oui mais voilà pendant ce temps là, Avec fracas, elle me péta à l’odorat. Ça m’a ramolli le tuyau, le tuyau, le tuyau Ça m’a calmé mes grosses roupettes Ça m’a ramolli le tuyau, le tuyau, le tuyau Et j’ai pioncé comme un salaud. LA BITE ET LE MORPION Un jour sur une bite, Un morpion élut domicile. Il portait son sac a douilles, Et ses affaires de gratouilles. Il avait beaucoup voyagé, Beaucoup sauté, beaucoup piqué, Et pour ne pas qu’on le voit, Sur un poil noir, il s’installa. Mais soudain, la lune apparut, Et des couilles frappèrent son oreille. Une chatte lui suintait dessus, Sa colère fut sans pareil. Il suivit ses évolutions Avec des yeux plein d’attention, Pour essayer de grimper Sur les couilles qui l’avaient frappé. Lorsqu’enfin, il y parvint, Il affina sa gratouille Et se mit à planter la couille, Tout en baignant dans la mouille. Mais soudain, la couille s’agita Et son rythme s’accéléra Et le morpion tout excité De plus belle se remit à gratter. Dans la douleur et la démangeaison, La bite se faisait plus rapide, Ne suivait plus le trou du con Et n’avait plus aucun guide. Mais dans la piaule, la nana criait Sans deviner que c’était Grâce à un morpion tout excité Que la sodomie était née. LA BROUSSAILLE A MORPIONS C'est l'histoire d'une rosière, Une pauvre enfant solitaire. Son cul sans gaieté tout couvert de morpions Faisait débander les pointeurs de croupions. Petits insectes parasites, Vous qui roucoulez sur les bites A cause de vous la mignonne Ne se tapait jamais personne. Refrain Elle frisait sa broussaille à morpions Et jouissait des entrailles aux tétons. Ah ! Qu'elle aimait la branlette La libido des nymphettes. Elle n'avait pas encore éprouvé Les bienfaits d'une bite bandée Et son petit coeur attendait le champion De la broussaille a morpions La broussaille a morpions (bis) Dans sa fendasse génitale Grouillait la vermine infernale Et ses vibrations excitant son désir D'une certaine façon ajoutait au plaisir. Refrain En dépit de cet avantage Elle maudissait son pucelage. La nuit dans son lit la pauvrette Rêvait d'une paire de roupettes. Refrain LA CAGE AUX POIVROTS Sur l’air de Ouvrez la cage aux oiseaux de Pierre Perret Ouvrez, ouvrez la cage aux poivrots Laissez les picoler, c’est beau. Les parents si vous voyez, Vos enfants rentrer bourrés Ouvrez leur la porte vers les cabinets. Répétition en inversant parents et enfants LA COMPLAINTE DES FILLES DE GRENOBLE Lécher, tirer, sucer Oh ! prends moi fort ! Pour les filles de Grenoble Il n’y a rien de plus ignoble Qu'une petite couille molle Epuisée par l'alcool Viens me fourrer Tu vas pas le regretter. Lécher, tirer, sucer Oh ! Prends moi fort. Je vais pas simuler Faudra te défoncer Moi, j'ai trois trous Faudra me prendre partout Avant de vider tes boules Explose-moi la foufoune. Lécher, tirer, sucer Oh ! Prends moi fort. Ta queue entre mes seins Puis à 180 De tes coups de reins Bourre-moi le vagin Lèche moi le clito Sinon tu es zéro. LA DEMOISELLE Que c'est bon d'être demoiselle Car le soir dans mon petit lit Quand l'étoile Vénus étincelle Quand doucement tombe la nuit Je me fais sucer la friandise Je me fais caresser le gardon Je me fais empeser la chemise Je me fais picorer le bonbon Je me fais frotter la péninsule Je me fais béliner le joyau Je me fais remplir le vestibule Je me fais ramoner l'abricot Je me fais farcir la mottelette Je me fais couvrir le rigondonne Je me fais gonfler la mouflette Je me fais donner le picotin Je me fais laminer l'écrevisse Je me fais foyer le coeur fendu Je me fais tailler la pelisse Je me fais planter le mont velu Je me fais briquer le casse-noisettes Je me fais mamourer le bibelot Je me fais sabrer la sucette Je me fais reluire le berlingot Je me fais gauler la mignardise Je me fais rafraîchir le tison Je me fais grossir la cerise Je me fais nourrir le hérisson Je me fais chevaucher la chosette Je me fais chatouiller le bijou Je me fais bricoler la cliquette Je me fais gâter le matou Et vous me demanderez peut-être Ce que je fais le jour durant Oh ! cela tient en peu de lettres Le jour, je baise, tout simplement LA DIGUE DU CUL En revenant de Nantes, (bis) De Nantes à Montaigu, la digue, la digue, De Nantes à Montaigu, la digue du cul. Refrain Lève la jambe, voilà que ça rentre Lève la cuisse, la cuisse, la cuisse Voilà que ça glisse. Oh ! Hisse. Je rencontre une belle, (bis) Qui dormait le cul nu, la digue, la digue, Qui dormait le cul nu, la digue du cul. Refrain Sur le même principe Je tend mon arbalète, Et lui fous droit dans le cul. Refrain La belle se réveille, Croyant le diable au cul. Refrain Non ce n’est pas le diable, C’est mon kiki poilu. Refrain Qui bande et qui décharge, Et qui t’en fout plein le cul. Refrain Si ce n’est pas le diable, Refous moi le dans le cul. Refrain S’il y est bien qu’il y reste, Et qu’il n’en sorte plus. LA FEMME DU ROUTIER Il est minuit, la femme du routier S’en va de porte en porte, de taverne en taverne, Pour chercher son mari, tireli Avec une lanterne. Madame l’hôtesse, as-tu vu mon mari ? Ton mari est ici, il est dans la soupante, En train de tirer son coup, tirelou Avec notre servante. Ah ! Chien d’ivrogne, pilier de cabaret, C’est ainsi que tu te saoules et que tu fais ripaille Pendant que tes enfants, tirelan Sont couchés sur la paille. Et toi la belle aux yeux de merlan frit, Tu m’as pris mon mari je vais te prendre mesure D’une bonne culotte de peau, tirelo Qui ne craint pas l’usure. Tais-toi ma femme, tais-toi tu me fais chier, Dans la bonne société, est-ce ainsi qu’on se comporte ? Je te fous mon pied dans le cul, tirelu Si tu ne prends pas la porte ! Ah mes enfants, mes pauvres petits enfants. Pleurez votre maman, vous n’avez plus de père Je l’ai trouvé couché, tirelé Avec une autre mère. Il a raison, répondirent les enfants, D’aller tirer son coup avec la celle qu’il aime Et quand nous serons grands, tirelan Nous ferons tous de même. Charognes d’enfants, sacrés fumiers d’enfants, Quand vous serez plus grands, croyez-en votre mère, Vous serez tous cocus, tirelu Comme le fut votre père. LA FEMME DU VIDANGEUR L’autre jour, l’idée m’est venue, Cré nom de Dieu, d’enculer un pendu, Mais le vent soufflait dans la potence, Voilà mon pendu qui se balance, J‘ai jamais pu l’enculer qu’en sautant, Cré nom de Dieu, on n’est jamais content. Foutu. L’autre jour l’idée m’est venue , Cré nom de Dieu, d’enculer un zébu La bête était dans la rivière, Elle avait de l’eau jusqu’au derrière, Je n’ai jamais pu l’enculer qu’en nageant, Cré nom de Dieu, on est jamais content. Refrain Refrain La femme du vidangeur, Préfère à toute odeur, L’odeur de son amant, Qu’elle aime tendrement. Ils étaient deux amants, Qui s’aimaient tendrement, Qui baisaient par devant, Par derrière. Ils étaient deux amants, Qui s’aimaient tendrement, Qui faisaient par derrière, Ce qu’on fait par devant. La peau de mes rouleaux, Par tous les caporaux, La peau de mes roupettes, Pour le caporal Clairon. Ce qui prend par devant, Ce sera pour l’adjudant, Le reste de la boutique, Pour le chef de musique, Mes balles, mes balles. J’ai la castapiane dans le ventre, Disait un curé à ses chantres, A ses enfants de chœur Deo gratias. J’ai du poil au cul, du poil au cul, Du poil aux fesses, J’ai du poil au cul, du poil au cul, Du poil au con. Refrain J’ai le trou du cul tout déchiré, Tout décousu, L’autre jour , l’idée m’est venue, Cré nom de Dieu, d’enculer une statue, Elle était faite toute de marbre, Voilà son cul qui se lézarde, Je n’ai jamais pu l’enculer qu’en morceaux, Cré nom de Dieu, on est tous des salauds. Refrain L’autre jour, l’idée m’est venue, Cré nom de Dieu, d’enculer un poilu, Il se trouvait dans la tranchée, En position du tireur couché, Je n’ai jamais pu l’enculer qu’en rampant, Cré nom de Dieu, on est jamais content. Refrain Quand on baise un con trop petit, Cré nom de Dieu, on s’écorche le vit, Mais quand on baise un con trop large, On ne sent pas quand on décharge, Et se branler est bien emmerdant, Cré nom de Dieu, on n’est jamais content. Refrain En arrivant au paradis, J’ai senti se lever mon vit, J’enculais saint archange, La sainte vierge et tous les anges, Et si le bon Dieu ne s’était pas cavalé, Cré nom de lui, je l’aurais enculé. LA FEMME QUI PETE AU LIT La femme qui péte au lit Eprouve quatre jouissances, Elle parfume son lit, Elle soulage son ventre, Elle entend son cul qui chante, Dans le silence de la nuit, Elle entend son trou du cul qui chante, Et elle emmerde son mari. LA FILLE DU BEDOUIN La fille du bédouin, Se branlait dans un coin, Avec une banane ... Et moi dans l’autre coin, En voyant son vagin, Je bandais comme un âne ... Tout d’abord, il ne faut pas chanter, mais faire mmh, ..., mmh. La chanson est chantée en boucle, et à chaque fois, on progresse. Au 1er passage, on chante la 1ère ligne, puis on marmonne les autres, Au 2ème passage, on lit les 2 premières lignes, ..... LA HAUT SUR LA COLLINE Cette chanson se chante sur l’air de Malbrough s’en va-t’en guerre, une aimable bouffonnerie dont on ne connaît pas l’auteur et qui fut sans doute composée après la bataille de Malplaquet (1709), rencontre indécise à l’issue de laquelle les troupes du maréchal de Villars durent battre en retraite, non sans avoir infligé des pertes doubles aux Anglais commandés par John Churchill, duc de Marlborough. Le bruit de la mort du général anglais avait couru parmi les Français et elle inspira cette joyeuse chanson qui n’est pas originale. Elle reproduit en effet une partie des couplets du Convoi du duc de Guise (1563), chanson écrite après l’assassinat du duc et elle-même inspirée d’une romance du Moyen Age. Là-haut sur la colline, Trop été au bordel, Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Là-haut sur la colline, Il y avait un cul (bis). Trop été au bordel, Où il allait quêter (bis). Un gros curé de campagne, Quêter l’aumône des pauvres, Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Un gros curé de campagne, Qui astiquait son bout (bis). Quêter l’aumône des pauvres, Qui en avaient besoin (bis). Son bouquin de prières, Variante de deux couplets du texte Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Son bouquin de prières, Pour entrer dans un con (bis). Un coupable de l’enfer Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Un coupable de l’enfer Qui avait fait un gros pet (bis). Dans un confessionnal, Pour y tirer un coup (bis). Un gros péché mortel, Dans un confessionnal, Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Un couplet de prière, Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Un couplet de prière, Pour en tirer un jus (bis). Un jugement de Saint-Pierre, Les deux pieds, les deux mains dans la merde. Un jugement de Saint-Pierre, Et avait trop été (bis). Un gros péché mortel Et avait trop été (bis). LA JEUNE FILLE SIMPLE ET BONNE C’était une jeune fille simple et bonne Qui ne demandait rien à personne Un soir dans le métro y avait presse (presse, presse) Un jeune homme osa je confesse (fesse, fesse) Lui passer la main sur les …… cheveux Comme elle était gentille, elle s’approcha un peu. Et comme il la trouvait très belle Il s’approcha un petit peu d’elle Et comme en chaque homme tout de suite (suite, suite) S’éveille le démon qui l’habite (bite, bite) Le jeune homme lui sorti sa …… carte Et lui dit je m’appelle Jules et j’habite rue Descartes. Mais comme elle craignait pour ses robes, A ses attaques elle se dérobe Sentant quelque chose qui la chatouille (touille, touille) Derrière son dos, elle tripatouille (touille, touille) Et tombe sur une belle paire de …… gants Que le jeune homme à la main tenait négligemment. Le métro continue son voyage Elle se dit ce jeune homme n’est pas sage Sentant quelque chose de pointu (tu, tu) Qui d’un air ferme et convaincu (cu, cu) Cherche à pénétrer dans son …… cœur Ah qu’il est doux d’aimer, quel frisson de bonheur. Ainsi à Paris quand on s’aime On peut se le dire sans problème Peu importe le véhicule (cule, cule) N’ayons pas peur du ridicule (cule, cule) Dites lui simplement je t’en …… prie Viens donc à la maison manger des spaghettis. LA MARIEE Oh ! Oh ! Oh ! Dit le trottoir, qui va m’enjamber ce soir ? Qui va m’enjamber ce soir ? dit la mariée ohé ! Qui va m’enjamber ce soir ? dit le trottoir. Sur le même principe Oh ! Oh ! Oh ! Le corridor, c’est moi qu’on enfile d’abord. Oh ! Oh ! Oh ! Dit l’escalier, c’est moi qu’on monte en premier. Oh ! Oh ! Oh ! Dit la serrure, je ne savais pas que c’était si dur. Oh ! Oh ! Oh ! Dit l’œil de bœuf, c’est moi qui fait le 69. Oh ! Oh ! Oh ! Dit la carpette, c’est sur moi qu’on fait minette. Oh ! Oh ! Oh ! Dit la pendule, c’est moi qui avance et qui recule. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le fauteuil, c’est sur moi qu’on baise à l’œil. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le tiroir, c’est moi qu’on tire dans le noir. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le vase de nuit, c’est moi qu’on remplit la nuit. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le sommier, c’est sur moi qu’on prend son pied. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le matelas, surtout ne me transpercez pas. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le drap du dessous, c’est moi qui prend toujours tout. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le drap du dessus, c’est moi qui prend les coups de cul. Oh ! Oh ! Oh ! Dit le ciel de lit, je ne savais pas que c’était fini. Mais je suis prête à recommencer dit la mariée. LA MARSEILLAISE DES VIDANGEURS Refrain Pompons la merde Et pompons la gaiement Et envoyons se faire foutre Ceux qui ne sont pas nos frères. Pompons la merde Et pompons la gaiement Et envoyons se faire foutre Ceux qui ne sont pas contents. Soupe à l’oignon, bouillon démocratique Perdreau truffé du Boulevard Saint Germain Vous serez tous, c’est une loi physique Bouffés un jour et chiés le lendemain. Refrain Fille de roi, de ta beauté si fière Tu dois chier, ainsi Dieu l’a voulu. Ton cul royal, comme un cul prolétaire A la nature doit payer son tribut. Refrain Humble ouvrier, ta modeste cuisine Te fait du riche envier les festins. Console-toi, les produits qu’il rumine Ne sentiront pas meilleurs que les tiens. Refrain Aux vanités des choses de ce monde Roses, jasmins, qu’êtes vous devenues ? Vous embaumiez à cent lieues à la ronde La merde passe et l’on ne vous sent plus. Refrain Et puisqu’il faut que rien ne se perde Dans la nature où tout est bon Amis poussons, poussons la pompe à merde Le jour se lève à l’horizon. LA MERE A PAPA Mon père m'a donné cents sous Pour acheter des bretelles. J'ai gardé les cent sous Pour aller au bordel. Chemin faisant, J'ai rencontré Grand Mère Où vas tu mon enfant ? Mais je vais au bordel. Donne moi les cents sous Je ferai bien l'affaire J'ai donné les cent sous Et j'ai baisé Grand Mère. Chemin rentrant, J'ai rencontré mon père D'où viens tu mon enfant ? Je viens de baiser Grand Mère. Fils de salaud Tu as baisé ma mère Salaud toi même Tu baises bien la mienne. LA MERE MICHEL C'est la mère Michel qui a montré son chat En criant par la fenêtre : qui donc me le prendra ? C'est le père Lustucru qui lui a répondu J'arrive la mère Michel, j'aime les chats bien poilus. Refrain Sur l'air du tru lu lu lu Sur l'air du tru lu lu lu Sur l'air du tru déru déru Tru lu lu Alors la mère Michel lui a donné son chat En disant ce minet a mangé beaucoup de rats Mais la chaude luronne s'écria tout à coup Sortez, père Lustucru, mon chat n'aime pas le mou Refrain Le père Lustucru se retira furieux En disant j'ai une verge pour les chats coléreux La mère Michel lui dit avec ta verge papa Il n'y a vraiment pas de quoi fouetter mon chat. Refrain LA PAIMPOLAISE Version bretonne, remake de la Paimpolaise On s’en fout de l’armée de France, Et de la marine à Toulon, Nous ce qu’on veut, c’est l’indépendance, Vive le front libéral breton. J’aime Paimpol et sa falaise, Et son front de libération Mais chez nous, il y a un malaise, Faut que ça pète au pays breton. J’aime Paimpol et sa falaise, Son calvaire et son grand pardon Mais je préfère ma Paimpolaise qui m’attend au pays breton. Bretagne, Bretagne, Bretagne... LIBRE !!! Version non bretonne La Bretagne, c’est pas la France, C’est vraiment un pays de cons, Donnez-leur leur indépendance, Qu’ils nous lâchent un peu les roustons. Bretagne, Bretagne, Bretagne On t’encule LA PECHE AUX FOUNES A la pèche aux founes, founes, founes Je ne veux plus fourrer maman Les filles de ma pine, pine, pine M’ont mordu le gland maman. LA PENA BAIONA Refrain Dans notre cher petit Bayonne Il est une peña La peña baiona Ils portent fièrement partout Leur foulard bleu et blanc A Dax ou a Narbonne On ne voit plus que ces gars là Qui ont dans le coeur Leurs chers joueurs Du rugby roi. Chez nous à Jean Dauger Ou bien partout à l'extérieur Sur tous les stades enfiévrés Elle met tant d'ardeur C'est la peña Qui crie sa joie Sur cet air là. Refrain Allez allez Les bleus et blancs De l'Aviron Bayonnais C'est la peña C'est la peña baiona On est tous là Allez les gars Encore une fois. Allez allez Les bleus et blancs De l'aviron bayonnais Jouez au ras Puis écartez c'est l'essai On applaudit à vos exploits, C'est gagné. Refrain Ils portent fièrement partout leur foulard bleu et blanc A Dax ou à Narbonne On ne voit plus que ces gars là Qui ont dans le coeur Leurs chers joueurs Du rugby roi. Partout nos joueurs brillent Souvent la victoire est au bout, Les rues de bleu et blanc S'habillent Et la fête est partout C'est la peña qui crie sa joie Sur cet air là. Refrain LA PETITE EMILIE La petite Emilie m’avait bien promis Trois poils de son cul Pour en faire un tapis. Les poils sont tombés, le tapis est foutu La petite Emilie n’a plus de poils au cul Refrain Taïo, oh taïo, oh taïo Ferme ta gueule, répondit l’écho. L’écho m’a si bien répondu, Que j’en suis tombé sur le cul. Le duc de Bordeaux ayant décrété Que tous les cocus devaient être noyés. Refrain Sa femme, aisément, lui dit simplement Etes vous si sûr de bien savoir nager. Arrache, arrache, les poils de mes fesses Arrache, arrache les poils de mon cul. Refrain LA PETITE HUGUETTE Un jour, la petite Huguette, Tripote moi la bite avec les doigts, Un jour, la petite Huguette S’en revenait des bois (bis). En chemin, elle rencontre, Tripote moi la bite avec les doigts, En chemin elle rencontre, Un étudiant en droit (bis). Sur le même principe Il la prend, il la monte Sur le foin qui était là. Le foin était si sec Qu’il en faisait fla fla. La mère de la petite Huguette Vint à passer par là. Elle dit : baise, ma fille. On n’en meurt pas pour ça. Car si on en mourait Je ne serais plus là. Car si tu en mourais, Sur ta tombe, on mettrait. Ci-gît la petite Huguette Qui est morte en faisant ça. En faisant sa prière Au grand Saint Nicolas. Le grand saint que les hommes Portent la tête en bas. Quand ils la portent en l’air Ils inondent les draps. LA PETITE OUVRIERE Refrain Quel plaisir je ressens à l'ouvrage Ah je suis toute en nage Je suis toute en nage Ma mère avait raison je le vois Notre bonheur est au bout des doigts (bis) Défunte maman me disait sans cesse Au bout de tes doigts est la richesse Fille qui travaille avec honneur Se fait soi-même son petit bonheur Refrain Le coeur à l'ouvrage au mois de décembre Sans feu je m'enferme dans ma chambre Quand il gèle à claquer des dents Je réchauffe mes doigts sans souffler dedans Refrain Je me rappelle le grand Léandre Qui devant me fenêtre d'un air tendre Se déboutonna comme un impur Sans se tourner du côté du mur Refrain De beaux messieurs proposent de me faire Des enfants qui mourraient de misère Chers enfants par le travail que voilà Je vous épargne ce chagrin-là Refrain L'ouvrière qui craint la satyre Doit se chatouiller pour se faire rire En travaillant cela rend le coeur gai Et le poignet seul est fatigué Refrain LA PUCE Au dortoir Sur le soir La soeur Luce En chemise Et sans mouchoir Cherchant du blanc au noir A surprendre une puce A tâtons Du téton A la cuisse L'animal ne fait qu'un saut Ensuite un peu plus haut Se glisse Dans la petite ouverture Croyant sa retraite sûre De pincer Sans danger Il se flatte Luce pour se soulager Y porte un doigt léger Et gratte En ce lieu Par ce jeu Tout s'humecte A force de chatouiller Venant à se mouiller Elle noya l'insecte Mais enfin Ce lutin Qui rend l'âme Veut faire un dernier effort Luce grattant plus fort Se pâme LA ROBE DE MARIEE Marie avait une robe Ram ti pétam ti pétapéta pétam Marie avait une robe Une robe de cinq sous (ter) Sa robe était trop courte Ram ti pétam ti pétapéta pétam Sa robe était trop courte On voyait tout par dessous (ter) Sur le même principe On voyait toutes les montagnes La chapelle de la vieille Giroux Pour aller dans cette chapelle Il faut se mettre à genoux Il vous faut une chandelle Qui n'a pas de mèche au bout Car s'il y avait une mèche Ça mettrait le feu partout Ça brûlerait toutes les montagnes La chapelle de la vieille Giroux. LA ROMANCE DU QUATORZE JUILLET Elle avait ses quinze ans à peine Quand elle sentit battre son coeur Un beau soir près du mec Gégène Marinette a crû au bonheur C'était le jour de la fête nationale Quand la bombe éclate en l'air Elle sentit comme une lame Qui lui pénétrait dans la chair Par devant par derrière Tristement comme toujours Sans chichis sans manières Elle a connu l'amour Les oiseaux dans les branches En les voyant s'aimer Entonnèrent la romance Du quatorze juillet Lorsque refleurit l'aubépine Aux premiers jours du printemps Fallait voir la pauvre gamine Mettre au monde un petit enfant Mais Gégène qu'est le mec à la coule Lui dit ton gosse moi je m'en fous Si tu savais comme je me les roule A ta place moi je lui tordrais le cou Par devant par derrière Tristement comme toujours Fallait voir la pauvre mère Avec son gosse de huit jours En fermant les paupières Elle lui tordit le kiki Et dans le trou des waters Elle jeta son petit Mise au banc de la cour d'assises Et de celui de la société Elle fut traitée de fille soumise A la veille du quatorze juillet Elle entendait son petit gosse Qui appelait sa maman Tandis que le verdict atroce La condamne au bagne pour vingt ans Par devant par derrière Tristement comme toujours Elle est morte la pauvre mère A Cayenne un beau jour Morte avec l'espérance De revoir son bébé Dans la fosse d'aisance Où elle l'avait jeté Elle avait ses quinze ans à peine Quand elle sentit battre son coeur Un beau soir près du mec Gégène Marinette a crû au bonheur LA SALOPE Il était une fillette qui s’appelait Suzon Et qui aimait à rire avec tous les garçons. Refrain Ah ! La salope, va laver ton cul malpropre, Car il n’est pas propre tirelire Car il n’est pas propre tirelira Car il n’est pas propre tirelire Car il n’est pas propre tirelira Et qui aimait à rire avec tous les garçons. Mais à force d’en rire son ventre devint rond Refrain Mais à force d’en rire son ventre devint rond Sa mère lui demande : qui t’a fait ça Suzon? Refrain Sa mère lui demande : qui t’a fait cela Suzon? C’est le fils du garde-barrière par derrière sa maison Refrain C’est le fils du garde-barrière par derrière sa maison Il amis sous ma robe un gros bâton tout rond Refrain Il amis sous ma robe un gros bâton tout rond Au bout il y avait de la crème, mon Dieu que c’était bon Refrain Au bout il y avait de la crème, mon Dieu que c’était bon Si c’était à refaire, nous recommencerions Refrain LA SUCEUSE DE SANTE Le godemichet à la main Elle se branle dans tous les coins Quand un michton a le trac de lui mettre Elle s'astique sur les parcmètres Refrain C'est la suceuse de santé Il y en a plus d'un qui s'est fait déboîté Par sa baveuse et son doigté La nuit embusquée elle guette Attention planquez vos braguettes C'est pas couvert par la sécurité La suceuse de santé Elle a l'écume aux naseaux Dès qu'elle renifle un puceau J'en connais un qui est resté coincé Et qui ne peut plus débander Refrain Elle pompe pour le plaisir Elle aime ceux qui ont peine à jouir Pour la turlutte on dit que sa technique Vaut la trayeuse électrique Refrain Pas question de bander mou Tu sors de là sur les genoux Et si tu n’as pas un calbar en béton Fais bien gaffe à tes roustons. Refrain LA TOUR DE LONDRES Dans une tour de Londres, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit Sans bruit, sans bruit (bis) Dans une tour de Londres, Il y avait un prisonnier (bis) Eins, zwei Il y avait un prisonnier La bite au cul, les couilles pendantes, Il y avait un prisonnier, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) Quand il fut sur le trône, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit Sans bruit, sans bruit (bis) Quand il fut sur le trône, Il n’avait pas de papier (bis) Eins, zwei Il n’avait pas de papier, La bite au cul, les couilles pendantes, Il n’avait pas de papier, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) Il ne voyait personne, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit Sans bruit, sans bruit (bis) Il ne voyait personne, Que la fille du geôlier (bis) Eins, zwei Que la fille du geôlier La bite au cul, les couilles pendantes, Que la fille du geôlier, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) En attendant que cela sèche, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit Sans bruit, sans bruit (bis) En attendant que cela sèche, Il se mit à chanter (bis) Eins, zwei Il se mit à chanter, La bite au cul, les couilles pendantes, Il se mit à chanter, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) Un jour, il lui demande, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit Sans bruit, sans bruit (bis) Un jour, il lui demande La clef pour aller chier (bis) Eins, zwei La clef pour aller chier, La bite au cul, les couilles pendantes, La clef pour aller chier, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) J’emmerde les gendarmes, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit Sans bruit, sans bruit (bis) J’emmerde les gendarmes Et la maréchaussée (bis) Eins, zwei Et la maréchaussée, La bite au cul, les couilles pendantes, Et la maréchaussée, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) Les gendarmes l’entendirent, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit, Sans bruit, sans bruit (bis) Les gendarmes l’entendirent Et le firent fusiller (bis) Eins, zwei Et le firent fusiller La bite au cul, les couilles pendantes, Et le firent fusiller, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) La morale de cette histoire, Il y a des morpions qui m’emmerdent la nuit, Sans bruit, sans bruit (bis) La morale de cette histoire, C’est qu’il ne faut pas chier Quand on n’a pas de papier C’est qu’il ne faut pas chier, La bite au cul, les couilles pendantes, C’est qu’il ne faut pas chier, la bite au cul, bien enfoncée Ohé ! Ohé ! Ohé ! (bis) LE BERGER FIDELE Oh mon berger fidèle, Viens t’en reposer sur mon cœur, cœur, cœur, Cœur, cœur, cœur, cœur A ma voix qui t’appelle, Viens t’en me donner du bonheur, neur, neur, Neur, neur, neur, neur Refrain Ah ! Fous-moi donc ta pine dans le cul Et qu’on en finisse Ah ! Fous-moi donc ta pine dans le cul Et qu’on n’en parle plus Ta langue me chatouille, Jusqu’au fond du gosier, Et ton doigt me trifouille Bien plus bas que le gésier. Refrain Je sens tes testicules, Tambouriner sur mon pétard, Je crois bien que tu m’encules, Hola, le puissant braquemart. Refrain Mais ta queue devient molle, Et tu ne peux plus bander, Oh ce désir qui m’affole, Passe-moi donc le godemichet. Refrain Ah ! Fous-moi le godemichet dans le cul Et qu’on en finisse Ah ! Fous-moi le godemichet dans le cul Et qu’on n’en parle plus LE BON ROI DAGOBERT Le bon roi Dagobert Baisait à tort et à travers Le grand Saint Eloi Lui dit oh mon roi Votre Majesté Va se fatiguer Le bon roi Dagobert Etait demeuré très primaire Au grand Saint Eloi Qui lui demanda Dites-moi au moins Combien font un et un Cochon lui dit le roi Tu voudrais bien foutre pour moi Il gueula comme un boeuf Un et un, cela fait soixante-neuf Le bon roi Dagobert Enfilait les femmes à l'envers Le grand Saint Eloi Lui dit oh mon roi Vous êtes entrés Du mauvais côté Le bon roi Dagobert Se faisait sucer au dessert La reine fort choquée Lui dit c'est assez Devant tout le palais C'est vraiment très laid Crétin lui dit le roi Tu sais bien que l'envers vaut l'endroit Le roi lui dit: Souveraine, On ne doit pas parler la bouche pleine C'est le roi Dagobert Qui bandait toujours comme un cerf Le grand Saint Eloi Lui dit oh mon roi On voit votre gland Ce n'est pas élégant Le bon roi Dagobert En mourant fit cette prière Mon cher Saint Eloi Je voudrais ma foi Que l'on mît à part Mon grand braquemart Le roi dit aussitôt Bon je vais y accrocher mon chapeau Il servira d'ailleurs De sceptre à tous mes successeurs Le bon roi Dagobert Avait toujours la queue à l'air Le grand Saint Eloi Lui dit oh mon roi Au mois de décembre Faut rentrer son membre Le roi lui dit très fier Rien ne vaut le vit au grand air LE CHANT DES PHARMACIENS C’est nous les pharmaciens Qui venons vous trouver Du fond des facultés pour vous administrer Les capotes, les forceps, La poudre à faire bander Et la vaseline Codex Pour mieux faire pénétrer La pine dans le con Comme un couteau dans le beurre. Les impuissants baisseront avec ardeur Et si quelqu’un nous traite d’épicier Son cul fera connaissance avec notre pied, Avec notre pied. Refrain Baisons ma mère Devant, derrière Les petites pucelles Les vieilles maquerelles Les filles de rien C’est nous les Pharmaciens. Les littéraires sont des andouilles, Les scientifiques sont des bizuths, Oui, des bizuths, Vingt carabins ne valent pas la couille D’un pharmacien, Cela c’est connu (bis) En avant, en marchant, en gueulant, ... Refrain Et quand plus tard, dans nos boutiques Nous nous rappellerons Le bon vieux temps (bis), Où nous bandions comme des triques C’était l’époque De nos vingt ans (bis), En avant, en marchant, en gueulant, ... Refrain Les pharmaciennes ont la main douce Elles épuiseraient Un régiment (bis), Il la leur faut bien de six pouces En largeur, naturellement, naturellement En avant, en marchant, en gueulant, ... Refrain Bien rembourrées devant, derrière, C’est le propre De nos consoeurs (bis), Un bon pilon en la matière Ne remplace pas Un bon baiseur (bis), En avant, en marchant, en gueulant, ... Refrain Ainsi, baisons à tour de rôle Ça ne sort pas de la maison, de la maison Si quelqu’un attrape la vérole Le 606 en aura raison, aura raison En avant, en marchant, en gueulant, ... Refrain LE CIRQUE Ma mère m’a donné La permission de minuit Pour aller me saouler la gueule A la Pitchoulie Ma mère m’a donné Comme prénom : Roi des Cons Et moi, je trouve que Roi des Cons C’est un joli prénom Deuxième numéro Refrain Refrain La Pitchoulie (bis) Le rendez vous De tous les Basques du pays La Pitchoulie (bis) Le rendez vous, tous les dimanches Après le rugby La, la, la, la …….Zim, boum (bis) Troisième numéro Parlé Et voici le grand cirque De tel ou tel groupe ou association Z est le plus grand buveur De tous les temps Un pochtron mondialement connu Mais comme il n’urine Qu’une seule fois par mois Les premiers rangs Sont priés de dégager Voici XX, la personne La plus haute du monde Capable, d’un seul bond De sauter vingt mètres Mais comme la salle Ne fait que deux mètres Elle sautera dix fois deux mètres Refrain Quatrième numéro Premier numéro J’ai nommé X et Y Deux frères exceptionnels X mange du bois Il chie des copeaux Y mange du fer Il chie des boulons Voici YY, la personne La plus forte du monde Capable d’arrêter un TGV lancé A 350 kilomètres heure D’une seule main, d’une seule …. En tirant sur la sonnette d’alarme Refrain Refrain Cinquième numéro Septième numéro Voici ZZ, l’homme élastique Aux doigts si fins Qu’il est capable de passer Son index à travers le chat d’une aiguille En interpellant la demoiselle la plus proche Mademoiselle, disposeriez vous d’une aiguille ? Ce n’est pas, je vous invite à proposer Autre chose et à aller en coulisse avec ZZ Pour répéter ce numéro Le clou de notre spectacle Voici le quasimodo des temps modernes La personne la plus laide au monde Si laide que vos coeurs s’en retournent Préparez vos mouchoirs Préparez les bassines En faisant mine de décrocher le téléphone Ah ! Un petit contretemps. La bête est souffrante Nous ne pouvons la montrer Par contre, j’ai le plaisir De vous présenter ses parents Choisir deux femmes ou deux hommes J’ai nommé YYY et ZZZ Sixième numéro Notre spectacle touche à sa fin Ames sensibles s’abstenir Les enfants sont priés de sortir Voici XXX, l’homme le plus poilu du monde Si poilu, que les scientifiques Du monde entier réunis Ont mis six mois, six semaine et six jours Pour lui trouver …. Le trou du cul Refrain Refrain LE CORBILLARD Un corbillard s’avançait dans le brouillard, Suivi de près par un autre corbillard ... On est allé jusqu’à la morgue, Voir si il n’y avait pas des crevés (bis). Il y avait une femme morte, qui se faisait lécher les pieds (bis). La peau du ventre était si verte, Qu’on aurait dit les épinards du réfectoire. Et sur son dos, oh ! Les asticots, oh ! Avaient gravé ces quelques mots : Oh ! Oh ! Oh ! J’aime le crachat des vieux, La morve des vieilles, La diarrhée des nouveaux nés, Et les crottes de nez. Hum! C’est bon. C’est gluant. Ça glisse sous la dent. LE CORDONNIER PAMPHILE Le cordonnier Pamphile A élu domicile Près d’un couvent de filles Et bien il s’en trouva. Alors toute contente, Elle retire de sa fente La carotte écumante Et puis elle la jeta. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et bien il s’en trouva. (bis) Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et puis elle la jeta. (bis) Car la gente monastique Jetait dans sa boutique Des trognons et des chiques, Restes de ses repas. Par un hasard comique, La carotte impudique Tomba dans la boutique Du cordonnier d’en bas. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Restes de ses repas. (bis) Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Du cordonnier d’en bas. (bis) Un soir la sœur Charlotte S’asticotait la motte Avec une carotte Grosse comme le bras. Ah ! Dit-il, quelle chance. C’est aujourd’hui dimanche, Elle est à la sauce blanche. Et hop, il l’avala. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et hop il l’avala. (bis) Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Grosse comme le bras. (bis) Elle s’astique les tétasses, Se branle la connasse, Mais quelque effort qu’elle fasse, Le foutre ne vient pas. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Le foutre ne vient pas. (bis) Mais comme tout a un terme, Enfin jaillit le sperme, Son con s’ouvre et se ferme, Enfin elle déchargea. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Enfin elle déchargea. (bis) Crénom de dieu, fit-il, Cette carotte sent l’urine, Elle a servi de pine. Et il la dégueula. Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Et il la dégueula. (bis) LE DOIGT GELE Cet hiver, par un froid intense, Rentrant chez lui tout accablé, A sa femme il dit : mon Hortense, Je crois que j'ai le doigt gelé. Oh ! La femme, l'être adorable Pétrie de grâce et de bonté, Chacune en sa foi secourable Est un masseur de charité. Tiens, regarde, il est insensible; Va, peu d'espoir, il est bien mort. Mon ami, ce serait horrible. Peut-être bien qu'il vit encore. Elle massa mais avec rage, Car stérile fut son effort, Pendant qu'il murmurait: courage, Peut-être bien qu'il n'est pas mort. Mais le doigt, misérable tige, N'était plus, piteux, racorni, Et, nini, c'était bien fini Lasse de la besogne aride, Elle lâchait le doigt transi, Qui s'obstinait, morne et rigide, Quand soudain son front s'éclaircit. L'épouse s'écria plaintive : Si tu le frictionnais fort ? Tiens, voici de l'eau sédative, Peut-être bien qu'il n'est pas mort. Sommes-nous nigauds tout de même. La flamme n'y peut rien, d'accord, Mais il est un moyen suprême De s'assurer qu'il est bien mort. L'eau n'y fit rien. La pauvre femme Se lamentait dans sa douleur. Si tu le réchauffais à la flamme ? Ce qu'il lui faut c'est la chaleur. On n'entendit plus, dans la chambre, Rien sinon des mots encourageants Que la victime de décembre Bégayait sur des tons changeants. Approche donc. Quoi, tu recules ? Poltron. Que l'angoisse me tord. Comprends bien que si tu te brûles Ça prouvera qu'il n'est pas mort. Et tout à coup l'épouse émue S'écria: mon ami Victor, Béni soit le ciel, il remue. Ah ! quel bonheur, il n'est pas mort. Toujours rien. En vain ils varient L'eau, le feu, le chaud, le froid. Il essaya le bain-marie. Rien ne ranimait plus le doigt. Maris, méditez cette histoir. Le doigt peut vous geler demain. Vous avez, la chose est notoire, Le remède exquis sous la main. Ah ! fit l'épouse toute blême, Il me resterait un remords Si je n'essayais pas moi-même De m'assurer qu'il est bien mort. Le feu, cet élément du diable, Peut vous rendre un peu votre essor. Mais le cul d'une femme aimable Est mille fois plus chaud encore. Qu'un souffle, un rien, moins qu'un vestige, LE DUC DE BORDEAUX Le duc de Bordeaux ressemble à son frère, Son frère à son père et son père à mon cul. De là je conclus que le duc de bordeaux Ressemble à mon cul comme deux gouttes d’eau. La duchesse de la Trémouille Malgré sa très grande piété, A patiné plus de paires de couilles, Que la grande armée n’a usé de souliers. Refrain Refrain Taïo oh (ter) Ferme ta gueule, répondit l’écho. La petite Amélie m’avait bien promis Nom de Dieu, disait la princesse En voyant la pine du baron, J’aimerais mieux l’avoir dans les fesses Que la voir dans son pantalon. Refrain Chasseur as-tu-vu le trou de mon cul ? Si tu veux le voir, tu reviendras ce soir. Moi, j’ai vu le tien, je n’en ai rien dit Si tu vois le mien, tu n’en diras rien. Refrain Le duc de Chevreuse ayant déclaré Que tous les cocus devaient être noyés Madame de Chevreuse lui a demandé, S’il était bien sûr de savoir nager. Refrain Trois poils de son cul pour en faire un tapis. Les poils sont tombés, le tapis est foutu, La petite Amélie n’a plus de poils au cul. Refrain Le roi Dagobert a une pine de fer. Le bon Saint Eloi lui dit : oh mon Roi, Si vous m’enculez, vous m’écorcherez . C’est vrai lui dit le roi, j’en ferai une en bois. Refrain LE GRAND VICAIRE Chez nous le méchoui, c’est une coutume Mon papa fait le barbecue, Ma maman fait le mouton, Et le curé l’embroche Et le grand vicaire, toujours par derrière N’a jamais pu l’embrocher. Chez nous le jardinage, c’est une coutume Mon papa fait la charrue, Ma maman elle fait les bœufs, Et le curé laboure. Et le grand vicaire, toujours par derrière, N’a jamais pu la bourrer. Chez nous l’escalier, c’est une coutume Mon papa monte la marche, Ma maman descend la marche, Et le curé la saute … Chez nous la musique, c’est une coutume Mon papa joue de la guitare, Ma maman, c’est le piano, Et le curé la viole … Chez nous les vendanges, c’est une coutume Mon papa fait le raisin, Ma maman fait les bouteilles, Et le curé l’embouche … Sur le même principe Chez nous l’évasion, c’est une coutume Mon papa c’est la prison, Ma maman c’est les barreaux Et le curé la lime … Chez nous la glace, c’est une coutume Mon papa, c’est le cornet, Ma maman, elle fait la boule, Et le curé la lèche ... Chez nous le vélo, c’est une coutume Mon papa fait le boyau, Ma maman fait la rustine, Et le curé la pompe … Chez nous la pétanque, c’est une coutume Mon papa fait le cochonnet, Ma maman elle fait la boule, Et le curé la tire … Chez nous la torture, c’est une coutume Mon papa arrache les ongles, Ma maman lui crève les yeux, Et le curé l’empale … Chez nous la basse-cour, c’est une coutume Mon papa fait le goret, Ma maman fait le canard, Et le curé lapine … Chez nous le supplice, c’est une coutume Mon papa apporte la corde, Ma maman l’attache aux chevaux, Et le curé l’écartèle … Chez nous les rideaux, c’est une coutume Mon papa fait les anneaux, Ma maman fait le tissu, Et le curé la tringle … Chez nous les baskets, c’est une coutume Mon papa fait les Reebok, Ma maman fait Adidas, Et le curé la Nike … Chez nous l’argenterie, c’est une coutume Mon papa sort l’argenterie, Ma maman lave l’argenterie, Et le curé l’astique … Chez nous les sciences, c’est une coutume Mon papa fait la physique, Ma maman fait la bio, Et le curé la math … Chez nous couper du bois, c’est une coutume Chez nous la géo, c’est une coutume Mon papa fait la carto, Ma maman fait la morpho, Et le curé l’écarte … Chez nous la maladresse, c’est une coutume Chez nous la maçonnerie, c’est une coutume Mon papa fait le mortier, Ma maman fait la truelle, Et le curé l’embrique … Chez nous les voyages, c’est une coutume Mon papa il fait l’Egypte, Ma maman la Macédoine, Et le curé la Perse … Chez nous la couture, c’est une coutume Mon papa prépare les fils, Ma maman c’est les aiguilles, Et le curé l’enfile … Chez nous les cadeaux, c’est une coutume Mon papa fait le paquet, Ma maman fait le ruban, Et le curé l’emballe … Chez nous le tricot, c’est une coutume Mon papa fait le patron, Ma maman fait les aiguilles, Et le curé la pelote … Chez nous la fête foraine, c’est une coutume Chez nous la boulangerie, c’est une coutume Mon papa c’est le mitron, Ma maman prépare la pâte, Et le curé l’enfourne … Chez nous jouer à chat, c’est une coutume Mon papa il fait le chat, Ma maman fait la souris, Et le curé l’attrape ... Chez nous les crêpes, c’est une coutume Mon papa il fait la poêle, Ma maman elle fait la pâte, Et le curé la retourne ... Chez nous être malade, c’est une coutume Mon papa c’est le choléra, Ma maman elle fait la grippe, Et le curé la crève … Chez nous pyromane, c’est une coutume Mon papa fait l’essence, Ma maman fait l’allumette, Et le curé l’allume … Chez nous l’anatomie, c’est une coutume Mon papa il fait les jambes, Ma maman elle fait les bras, Et le curé la tronche … Chez nous la gymnastique, c’est une coutume Mon papa fait le salto, Ma maman fait la rondade, Le curé la culbute … Chez nous les légos, c’est une coutume Mon papa fait les clipos, Ma maman fait les duplos, Et le curé l’emboîte … Chez nous la chasse, c’est une coutume Mon papa c’est le faisan, Ma maman c’est la bécasse, Et le curé la plombe … Chez nous le train, c’est une coutume Mon papa, c’est le contrôleur, Ma maman c’est le billet, Et le curé la poinçonne … Mon papa fait le billot, Ma maman elle fait la bûche, Et le curé la fend ... Mon papa c’est le couteau, Ma maman elle fait le doigt, Et le curé l’entaille … Mon papa fait les jetons, Ma maman fait la voiture, Le curé la tamponne … Chez nous la bricole, c’est une coutume Mon papa fait le marteau, Ma maman elle fait le clou, Et le curé l’enfonce … Chez nous les Noëls, c’est une coutume Mon papa fait les marrons, Ma maman elle fait la dinde, Et le curé se la farcit … Chez nous le football, c’est une coutume Mon papa tire les pénaux, Ma maman fait les corners, Et le curé la touche … Chez nous les conduits, c’est une coutume Mon papa fait les tuyaux, Ma maman la cheminée, Le curé la ramone … Chez nous la victoire, c’est une coutume Mon papa il fait Bordeaux, Ma maman c’est Marseille, Et le curé la branle … Chez nous les bébés, c’est une coutume Mon papa c’est le biberon, Ma maman c’est la tétine, Et le curé la couche … Chez nous les explosifs, c’est une coutume Mon papa fait la grenade, Ma maman elle fait la bombe, Et le curé l’explose … Chez nous l’alpinisme, c’est une coutume Mon papa c’est l’Everest, Ma maman c’est le Mont Blanc, Et le curé la monte … Chez nous les félins, c’est une coutume Mon papa c’est le puma, Ma maman elle fait la chatte, Et le curé chatouille … Chez nous l’équitation, c’est une coutume Mon papa c’est le jockey, Ma maman c’est le pur-sang, Et le curé l’enfourche … Chez nous le gazon, c’est une coutume Mon papa fait le terreau, Ma maman c’est la pelouse, Et le curé la broute … Chez nous l’électricité, c’est une coutume Mon papa il fait les fils, Ma maman elle fait la prise, Et le curé décharge … Chez nous les HLM, c’est une coutume Mon papa fait le concierge, Ma maman l’appartement, Et le curé l’habite … Chez nous le Yoyo, c’est une coutume Mon papa se tape Léia, Ma maman c’est Chewbacca, Et le curé la Force … Chez nous la corrida, c’est une coutume Mon papa fait le taureau, Ma maman le torero, Et le curé l’encorne … Chez nous plier Diaste, c’est une coutume Mon papa lui sert le chouchen, Ma maman le fait vomir, Et le curé l’allonge … Chez nous la vaisselle, c’est une coutume Mon papa c’est Paic citron, Ma maman c’est le torchon, Et le curé l’éponge … Chez nous la sucette, c’est une coutume Le grand maître veut sucer, Et Chupa s’est proposé, Et le curé l’avale … LE GRENADIER DES FLANDRES C’était un grenadier Qui revenait des Flandres Qui était si mal vêtu Qu’on lui voyait le membre Et aussi à baiser Quand l’occasion se présente. Refrain Et bien beau grenadier, Fous le moi donc dans le ventre. Le tambour bat la générale, La générale bat, Le régiment s’en va. La générale bat, Le régiment s’en va. Refrain Refrain Ah ! non, non, non, madame J’aurais peur de vous fendre. Qui était si mal vêtu Qu’on lui voyait le membre. Une dame de charité, Le fit monter dans sa chambre. Refrain Refrain Refrain Allume cinq, six fagots, Pour réchauffer le membre. La pine avec les couilles, Il faut que tout y entre. Refrain Refrain Quand le membre fut chaud, Il se mit à l’étendre. S’il en reste un petit bout, Ce sera pour votre servante. Refrain Refrain Aussi long que le bras, Aussi gros que la jambe. S’il n’en reste pas du tout, Elle se brossera le ventre. Refrain Refrain Dis moi beau grenadier, A quoi te sert ce membre ? Elle ira dire partout Madame est une gourmande. Refrain Refrain Il me sert à pisser, Quand l’envie m’en vient prendre. Quand il y a de la viande chez nous, Elle se fout tout dans le ventre. Refrain Refrain Fendu ou non fendu, Il faut que tout y entre. LE JOUEUR DE BINETTE Cette chanson se chante dans l’Anthologie hospitalière et latinesque, mais le joueur de luth est remplacé par un joueur de turlututu, ce dernier étant comme chacun le sait une espèce de flûte. L’épinette est ici remplacée par la binette. Dans mon village est venu (bis en choeur) Un artiste bien connu (bis en choeur) Qui apprend pour un petit écu Aux jeunes filles, à jouer de l’épinette Qui apprend pour un petit écu Aux jeunes filles, à jouer du … Faites moi passer la première Tenez voilà mon vieil écu Pour apprendre à jouer de l’épinette Tenez voilà mon vieil écu Pour apprendre à jouer du … Refrain Refrain Trou la la, trou la la, Trou la , trou la, trou la la, Trou la la, trou la la, Trou la , trou la, trou la la. Toutes les filles de Paris (bis en choeur) De Montmartre à Saint Denis (bis en choeur) Ont vendu leurs chemisettes, Leurs jupons, leurs collerettes Pour avoir un petit écu Et apprendre à jouer de l’épinette Pour avoir un petit écu Et apprendre à jouer du … Refrain Une jeune fille se présenta (bis en choeur) Qui des leçons demanda (bis en choeur) Ah que tes leçons sont bonnes Il faudra que tu m’en redonnes Tiens voilà mon petit écu Pour apprendre à jouer de l’épinette Tiens voilà mon petit écu Pour apprendre à jouer du … Refrain Une vieille aux cheveux gris (bis en choeur) Voulut en tâter aussi (bis en choeur) Par la porte de derrière Allons vieille allez vous en (bis en choeur) Et reprenez votre argent (bis en choeur) Car ce n’est pas à votre âge Qu’on fait son apprentissage Vous avez trop attendu Pour apprendre à jouer de l’épinette Vous avez trop attendu Pour apprendre à jouer du … Refrain Et la vieille en s’en allant (bis en choeur) Marmonnait entre ses dents (bis en choeur) Ah que vous me la baillez belle De me croire encore pucelle Voilà cinquante ans et plus Que j’ai appris à jouer de l’épinette Voilà cinquante ans et plus Que j’ai appris à jouer du … Refrain La morale de ceci (bis en choeur) Je vais vous la dire ici (bis en choeur) C’est que quand on est jeune et belle Il ne faut pas rester pucelle Il faut profiter de son beau cul Pour apprendre à jouer de l’épinette Il faut profiter de son beau cul Pour apprendre à jouer du … Refrain LE LUNDI EN LEVRETTE Il est huit heures du matin Je viens de me lever J’ai envie de sodomiser Je réveille ma compagne Refrain Le lundi en levrette Le mardi assise sur mes roupettes Le mercredi sodomie Et le jeudi, c’est encore sodomie Le vendredi, c’est encore sodomie Et le samedi, quel hasard, c’est encore sodomie Je pue le pâté de campagne J’ai vraiment une haleine à chier C’est une matinée idéale Pour la prendre par voie anale Refrain Je lui mets dans le canal Ma gaule matinale Et je sens qu’elle a mal. Wizzzzzzzzzzzzzzzz Refrain La journée continue Elle en a pris plein le cul Elle ne peut déjà plus marcher Oh la pauvre fille Refrain Elle va reprendre mon vit J’ai de la peine vous savez C’est une journée fantastique J’ai vraiment une très grosse trique Refrain Je l’allonge sur la carpette Lui écarte les gambettes Je lui mets dans le trou qui pète LE MANCHON Voilà ce que c'est d'être si bonne Un de ces matins qu'il gelait Dans la vigne à la grande Simone Maître Simon se morfondait Il me dit venez ça, venez ça mademoiselle Javotte Réchauffez-moi car je grelotte Refrain Revenez y Maître Simon Portez-vous y Je vous prêterai mon manchon mignon Réchauffez-moi car je grelotte Par malheur j'avais mon manchon Vous me direz que j'étais bien sotte De le prêter à Maître Simon J'ai ce jour-là bien gagné ma journée Je ne m'en pus servir de l'année Refrain Je ne m'en pus servir de l'année Car la main de Maître Simon Que rien jamais n'avait gêné N'y faisait pas tant de façons Il en a tout chiffonné la fourrure Et même élargi l'ouverture Refrain Il en élargit l'ouverture Ce petit objet si mignon A sitôt changé de figure C'était le plus petit de la maison Il bouffe autant que celui de ma tante Pensez comme ça me rend bien contente Refrain LE MUSEE D’ATHENES Cette chanson se chante sur l’air de Il était un petit navire que tous les enfants connaissent mais elle n’est pas la seule à avoir adopté cet air. Vous verrez au musée d’Athènes Un bout de la bite de Démosthène Vous y verrez le bel Alcibiade Qui tire son coup en cinq saccades Refrain Refrain Et les roustons, tons, tons du père Platon (bis) Ohé, Ohé (bis) Vous y verrez le grand Périclès Les roupettes noyées dans la graisse Vous y verrez dans une vitrine Trois poils du cul de Proserpine Et l’idyllique Théocrite Dans le cul d’un bouc, poussant sa bite Refrain Refrain Vous y verrez la chaste Diane Le cul dans l’eau comme une vieille cane Vous y verrez ce cochon de Socrate La main dans la poche qui se la gratte Refrain Refrain Vous y verrez les fils d’Hercule Photographiés quand ils s’enculent Vous y verrez une des fesses De Sapho, la belle poétesse Refrain Refrain Vous y verrez le vieil Homère En train de se taper sa belle mère Vous y verrez dans une amphore Un peu de foutre du vieux Nestor Refrain Refrain Vous y verrez le père Ulysse En train de soigner sa chaude pisse Vous y verrez le cul de Diogène Dévérolé à l’hydrogène Refrain Refrain Vous y verrez le Discobole La pine rongée par la vérole Vous y verrez un pucelage Momifié dans un sarcophage Refrain Refrain Vous y verrez Aristophane Quand il se polit la banane Vous y verrez la mère Egée Carambolée par le Pirée Refrain Refrain Refrain LE PERE DUPANLOUP Cadet Rousselle, dont on chante les mésaventures, était sans doute un niais qui appartenait probablement à un régiment français cantonné dans le Brabant, vers 1792. Les auteurs de la chanson consacrée au Père Dupanloup, sur l’air de Cadet Rousselle, sont aussi inconnus que l’auteur de la précédente. Par contre, cette chanson a fait beaucoup pour la gloire posthume De Mgr Félix Dupanloup, né à Saint Félix près de Chambéry en 1802 et mort en 1878. Evêque d’Orléans en 1849, il devint vite une vedette de l’actualité et lorsqu’il entra à l’Académie Française en 1854, il eut droit à une épigramme assez méchante : « l’Académie assurément choisit un prince de l’Eglise pour l’absoudre de la sottise qu’elle va faire en le nommant ». En Belgique, on remplace le père Dupanloup par Saint Nicolas, auquel on prête les mêmes mauvaises manières. Plus récemment, la chanson évoque Bali Balo. Le père Dupanloup dans l’utérus (bis) Etait déjà si plein d’astuce (bis) Que dans le ventre de sa mère Il suçait la pine de son père. Le père Dupanloup le quatorze juillet (bis) Alla se promener à dos de mulet (bis) Pour que la fête soit complète Il encula la pauvre bête Refrain Refrain Zut, merde, pine et boxon, Le père Dupanloup est un cochon Zut, merde, pine et boxon, Le père Dupanloup est un cochon Le père Dupanloup à bicyclette (bis) Faisait pas beaucoup de kilomètres (bis) Car sa longue pine qui traîne Se prenait toujours dans la chaîne Variante originale ou Ah ! ah ! ah ! oui vraiment Le père Dupanloup est dégoûtant Le père Dupanloup monte à vélo (bis) Mais il avait le système si gros (bis) Qu’en pédalant à perdre haleine La peau de ses couilles se prit dans la chaîne Le père Dupanloup dans son berceau (bis) Bandait déjà comme un taureau (bis) Pour satisfaire ses caprices Il enculait sa vieille nourrice ou Et sur le sein de sa nourrice Il attrapa la chaude pisse Refrain Le père Dupanloup monte en bateau (bis) La pine en l’air, les couilles sous l’eau (bis) Les petits poissons, les grosses grenouilles Lui tripotaient la peau des couilles Refrain Refrain Le père Dupanloup à la cuisine (bis) Battait les oeufs avec sa pine (bis) Cochon, dit la cuisinière Fous la moi plutôt dans le derrière Le père Dupanloup monte en ballon (bis) Mais il avait le système si long (bis) Qu’à trois cent mètres dans l’atmosphère Ses couilles traînaient encore par terre Refrain Refrain Le père Dupanloup dans un wagon (bis) Se conduisait comme un cochon (bis) Passant sa bite par la portière Il creva l’œil du garde barrière Le père Dupanloup au cinéma (bis) Avait le vit plus long qu’un mât (bis) En voyant le cul des étoiles D’un coup de gland, il perça la toile Refrain Refrain Le père Dupanloup à l’Opéra (bis) Se conduisit comme un goujat (bis) Avec la peau de ses roupettes Il boucha le trou des clarinettes Le père Dupanloup au régiment (bis) Voulut enculer l’adjudant (bis) Bon Dieu lui dit la colonelle Je vais vous servir de maquerelle Refrain Refrain Le père Dupanloup à l’Odéon (bis) Se conduisit comme un cochon (bis) Au troisième acte, dans les coulisses Il enculait le pompier de service Lors de la prise de la Smalah (bis) Le père Dupanloup était déjà là (bis) On le chercha devant, derrière Il enculait les dromadaires Refrain Refrain Le père Dupanloup à Saint Malo (bis) Confesse les femmes dans un tonneau (bis) Il passa sa pine par la bonde Et dit : voilà le sauveur du monde Au passage de la Bérézina (bis) Le père Dupanloup se trouvait là (bis) Il mit sa pine sur la rivière Pour faire passer l’armée entière Refrain Refrain Le père Dupanloup au Vatican (bis) Se conduisit comme un dégoûtant (bis) Derrière la statue d’Esculape Il essaya d’enculer le pape A la bataille de la Moskowa (bis) C’est encore lui qui nous sauva (bis) Il n’eut qu’à montrer sa biroute Pour mettre les Russes en déroute Refrain Refrain Le père Dupanloup en Amérique (bis) S’en va explorer le Mexique (bis) Lançant sa pine très, très haut Il attrape les chevaux au lasso Le père Dupanloup à l’Institut (bis) Ne voulait voir que des culs nus (bis) Ne respectant aucune barrière Il enculait tous ses confrères Refrain Refrain Le père Dupanloup à Zanzibar (bis) Voulait montrer tout son bazar (bis) Mais empêché par une patrouille Il ne put montrer qu’une de ses couilles Le père Dupanloup au Parlement (bis) Se conduisit comme un garnement (bis) Monta jusque sur la tribune Pour exhiber la peau de ses burnes Refrain Refrain Le père Dupanloup, près de Luchon (bis) Avait les poils du cul si longs (bis) Que du haut de Superbagnères Il tirait le funiculaire Le père Dupanloup dans son cercueil (bis) Bandait encore comme un chevreuil (bis) Avec sa pine en arc de cercle Il essayait de soulever le couvercle Refrain Refrain Pendant la grève des tramways (bis) Il montra bien ce qu’il était (bis) Pour aiguiller les grosses machines Il manoeuvrait avec sa pine Refrain Le père Dupanloup chez Citroën (bis) Qui a ses usines sur le Quai de Javel (bis) Dit : la Tour est bien trop petite Faites donc la pub sur ma bite Refrain Le père Dupanloup devenu vieux (bis) Ne bandait plus qu’une fois sur deux (bis) S’arrachant la pine avec rage Il s’en fit une canne de voyage ou Il se coupa les couilles de rage Pour en faire un sac de voyage Refrain Le père Dupanloup au paradis (bis) Voulait enculer Jésus Christ (bis) Nom de Dieu, dit le Père Eternel Tu prends le ciel pour un bordel ou plus sacrilège Le père Dupanloup au paradis (bis) Enculait la Vierge Marie (bis) Et le Bon Dieu qui le voyait faire Se la fit foutre par derrière Refrain Le père Dupanloup fut tout confus (bis) De ne pouvoir lui foutre au cul (bis) Branlant sa pine de part et d’autre Il aspergea les douze apôtres Refrain LE PETIT GREGORY En remontant les berges de la Vologne, On a noyé le petit Grégory, On a noyé, a noyé, a noyé, On a noyé le petit Grégory, Glou, glou, glou … Pour le noyer, il faut savoir s’y prendre, Lui lier les mains et bien le bâillonner, Lui lier les mains, lier les mains, lier les mains, Lui lier les mains et bien le bâillonner, Mmh, mmh, mmh … Quand il ressort, il est déjà tout vert, Le petit homme a de l’eau plein les artères, Le petit homme, petit homme, petit homme, Le petit homme a de l’eau plein les artères, Fla, fla, fla … Pour seul linceul, il a un sac poubelle, Un sac poubelle, sac poubelle, sac poubelle, Un sac poubelle avec de la ficelle, Prop’sac, prop’sac, prop’sac … Mais quel est donc cet étrange oiseau Qui a tué l’enfant mais bien sûr, c’est le corbeau, Qui a tué l’enfant, tué l’enfant, tué l’enfant, Qui a tué l’enfant mais bien sûr, c’est le corbeau, Crôaa, crôaa, crôaa … En variantes Pour un million, le petit Béré est mort, Près d’un canal avec un pistolet, Près d’un canal, d’un canal, d’un canal, Près d’un canal avec un pistolet, Pan, pan, pan … En revenant de Corse à Furiani, On a tombé les tribunes de Bastia On a tombé, a tombé, a tombé, On a tombé les tribunes de Bastia, Crac, crac, crac … LE PLAISIR DES DIEUX Du dieu Vulcain quand l’épouse friponne Va boxonner loin de son vieux sournois, Le noir jaloux que l’amour aiguillonne Tranquillement se polit le chinois. Va t’en dit-il à sa foutue femelle, Je me fous bien de ton con chassieux De mes cinq doigts je fais une pucelle Masturbons nous, c’est le plaisir des Dieux. Quant à Ploutos avec sa large panse Le moindre effort lui semble fatiguant Aussi veut-il éviter la dépense Et fait sucer son pénis arrogant. Tout en rêvant aux extases passées Tout alanguis, nous réjouissons nos yeux Et laissant faire une amante empressée Faisons pomper, c’est le plaisir des Dieux. Bah ! Laissons lui ce plaisir ridicule Chacun d’ailleurs s’amuse à sa façon Moi je préfère la manière d’Hercule Jamais sa main ne lui servit de con. Le plus sale con, la plus vieille fendasse Rien ne résiste à son vit glorieux. Nous serons fiers de marcher sur ses traces Baisons, baisons, c’est le plaisir des Dieux. De Jupiter façon vraiment divine Le con lui pue, il aime le goudron D’un nid à merde il fait un moule à pine Et bat le beurre au milieu de l’étron. Cette façon est cruellement bonne Pour terminer un gueuleton joyeux Du dieu Bacchus, quand accablé d’ivresse, Le vit mollit et sur le con s’endort Soixante neuf et le vit se redresse Soixante neuf ferait bander un mort. Oh ! Clitoris ton parfum de fromage Fait regimber nos engins glorieux A ta vertu nous rendons tous hommage. Gamanuchons, c’est le plaisir des Dieux. Au reste ami qu’on en fasse à sa tête Après le dessert, on s’encule tous en couronne Enculons nous, c’est le plaisir des Dieux. Main, con, cul, bouche au plaisir tout est bon Sur quelque autel qu’on célèbre la fête Toujours là haut on est sûr du pardon. Foutre et jouir voilà l’unique affaire. Foutre et jouir voilà quels sont nos voeux. Foutons amis qu’importe la manière Foutons, foutons, c’est le plaisir des Dieux. LE POU ET L’ARAIGNEE Un jour un pou dans la rue Y rencontra, chemin faisant, Chemin faisant, Une araignée bon enfant Qui était toute velue. Elle vendait du verre pilé Pour s’acheter des petits souliers. Refrain Là tu m’, là tu m’emmerdes Là tu m’, là tu me fais chier Tu nous emmerdes, tu nous fais chier, Tu nous fais chier, tu nous emmerdes. Et on attend dans les champs Gazouiller les éléphants, Et on entend dans les fossés Se masturber les chimpanzés, Et on entend dans les plumards Battre le foutre à coups de braquemards Et on entend sous les ormeaux Battre la merde à coups de marteaux Non, non, non, non Saint Eloi n’est pas mort (bis) Car il bande encore. (bis) Le pou qui voulait la séduire L’emmena chez le mastroquet du coin Troquet du coin, Lui fit boire cinq, six coups de vin. L’araignée ne fit qu’en rire. La pauvrette ne se doutait pas Qu’elle courait à son trépas. Refrain Le pou lui offrit une prise, En lui disant d’un air joyeux, D’un air joyeux : Colle toi cela dans le trou des yeux Et mouche toi avec ta chemise. L’araignée qui n’en avait pas Lui fit voir tous ses appas. Lui proposa trois francs, six sous, Trois francs, six sous, Ah ! Dit elle, ce n’est pas le Pérou, Ce n’est qu’un fétu de paille, Mais si tu me donnes quatre sous de plus, Je te ferai voir le trou de mon cul. Refrain Alors commencèrent les horreurs. Le pou monta sur l’araignée, Sur l’araignée. Il ne pouvait plus se retirer Tant il éprouvait de bonheur, Si bien que la pauvre araignée Ecopa de la maternité. Refrain Le père de l’araignée en colère Lui dit : tu m’as déshonoré, Déshonoré. Tu t’es laissée enceinter. Tu es aussi putain que ta mère. L’araignée de désespoir, S’est foutue quatre coups de rasoir. Refrain Le pou, le désespoir dans l’âme, S’arrache des poignées de cheveux, Poignées de cheveux. Ah ! Dit il, il n’y a plus de Bon Dieu. Il monta sur Notre Dame Et c’est là qu’il s’est foutu Les cinq doigts et le pouce dans le cul. Refrain Refrain Alors, les poux du voisinage Se réunirent pour l’enterrer, Pour l’enterrer, Au cimetière de Levallois Perret, Tout comme un grand personnage Et c’était bien triste à voir, Tous ces poux en habit noir. Le pou, une franche canaille, Refrain LE TRENTE ET UN DU MOIS D’AOUT Le trente et un du mois d’août, (bis) Une frégate d’Angleterre Fendant la mer et les flots, C’était pour attaquer Bordeaux. Le maître donne un coup de sifflet (bis) En haut, larguez les perroquets. (bis) Larguez les ris et vent arrière, Laissez porter jusqu’à son bord, On verra qui sera le plus fort. Refrain Refrain Buvons un coup et tirons-en deux, c’est mieux ! A la santé des amoureux, A la santé du roi de France, Et merde pour le roi d’Angleterre Qui nous a déclaré la guerre. Vire lof pour lof au même instant, (bis) Nous l’attaquâmes sur son avant. (bis) A coups de hache d’abordage, De piques et de mousquetons, Nous le foutîmes à la raison. Nous vîmes venir, sous le vent, sur nous, (bis) Refrain Le capitaine, au même instant, (bis) Fit appeler son lieutenant (bis) Lieutenant, te sens-tu capable De les attaquer à leur bord, On verra qui sera le plus fort. Hors, que dira-t-on d’eux bientôt, (bis) En Angleterre et à Bordeaux, (bis) D’avoir laissé prendre sa frégate, Par un corsaire de six canons, Eux qui en avaient trente et si bons. Refrain Refrain Le lieutenant, fier et hardi, (bis) Lui répondit : capitaine oui. (bis) Faites monter tout l’équipage, Mousses, gabiers et matelots, Faites les tous monter en haut. Refrain LE TRENTE ET UN DU MOIS D’AOUT (VARIANTE) Le 31 du mois d'août, (bis) Nous aperçûmes, sous le vent à nous, (bis) Une capote d'Angleterre Qui s'en allait sur l'eau Comme un joli petit bateau. Le capitaine tout aussitôt, (bis) Fit mettre le cap sur Bornéo, (bis) Mais quand on débarqua dans l'île, Le marin n'avait plus de roustons Et les filles se suçaient le bouton. Refrain Refrain Buvons un coup, tirons en deux A la santé des amoureux, A la santé du roi de France, Et merde au roi d'Angleterre Qui nous a déclaré la guerre. En voyant débarquer les gars (bis) Les filles poussèrent des cris de joie (bis) Et réclamant tout l'équipage Chacune étendue sur le dos Se fit baiser par trois matelots. Le capitaine au même instant, (bis) Fit arrêter son bâtiment, (bis) Et la capote d'Angleterre Fut pêchée par les matelots Et remontée sur le bateau. Refrain Refrain Dans la capote il y avait un mot : (bis) Je suis au large de Bornéo, (bis) Naufragé sur une île déserte, Avec trente filles au cul trop chaud, Je n'ai plus que la peau et les os. Refrain Tout l'équipage pendant un mois (bis) Baisa soixante douze milles fois (bis) Et le navire revint en France, Avec une vérole mes agneaux Qui fut donnée à tout Bordeaux. LE TROUBADOUR Refrain C’est le c’est le troubaba, c’est le troubadour Qui chante la nuit et qui chante le jour. C’est le c’est le troubaba, c’est le troubadour Qui chante la nuit, le jour, toujours. C’est la reine d’Angleterre qui traversa la mer Pour voir si les Français baisaient mieux que les Anglais. Ah ! Saperlipopette. Ah ! Sacré non de non. C’est encore la levrette qui remporte le pompon. Refrain C’est la reine d’Espagne qui dit à son mari J’apprécie le champagne mais je préfère ton vit. Ce soir au clair de lune, mon petit Alfonso, Je te taillerai une plume pour mettre à ton chapeau. Refrain C’est la reine d’Autriche qui sur son canapé Se faisait peloter les miches par un petit Français. Mais au mois de septembre, oh ! Chose inattendue, Elle s’aperçut que son ventre était plus gros que son cul. Refrain C'est l'empereur de Chine qui n’est pas convaincu Qu'au bas de son échine se trouve le trou de son cul. C'est l'empereur du Siam qui n'ayant pas d'enfant Fit enculer sa femme par un éléphant blanc. Refrain C'est la reine de Hollande qui dit au prince consort Voilà six heures que tu bandes et il n'y a rien qui sort. C'est la reine d'Italie qui a le jet si puissant Qu'elle pisse à la volée par-dessus les Balkans. Refrain C'est l'empereur du Danemark qui dit à sa moitié, Depuis quelque temps je remarque que tu sens fort des pieds. C'est le roi du Portugal qui est allé au boxon Il a chopé la gale et une chiée de morpions. Refrain J’ai fait le tour du monde et partout j’ai baisé Des brunes et des blondes, le soir dans les fossés. J’ai sucé les grenouilles, enculé les crapauds Qui me suçaient les couilles le soir au bord de l’eau. Refrain LE VAISSEAU DE GUERRE Il était un vaisseau de guerre (bis) Venant de Ca Ca Ca Calédonie. (bis) On le vendit à l'arrivée (bis) Refrain Refrain Ohé ! Ohé ! Matelot. Matelot se branle sur les flots. Ohé ! Ohé ! Matelot. Matelot se tape un cachalot. Dans un couvent de jeunes filles, (bis) Comme on manquait de petites femmes (bis) Je ne sais pas pour quel usage (bis) Pour occu cu cuper les matelots. (bis) Mais au bout de neu neu neu neuf longs mois, (bis) Refrain Refrain On mis exprès pour leur usage (bis) Chacune d'elles devint mère, (bis) Une barrique que que percée d'un trou. (bis) Refrain Tout le temps de la traversée, (bis) Les marins vi vi visitèrent le tonneau. (bis) Refrain On pris sans doute pour de la graisse (bis) Ce qu'y mi mi mirent les matelots. (bis) Refrain Pour en con con confectionner des bougies. (bis) Ces bougies ser ser servirent aux sœurs. (bis) Refrain Devint mère d’ mère d’ mère d'un petit matelot. (bis) Refrain Depuis dans les couvents de filles, (bis) On met des ca ca capotes aux bougies. (bis) Refrain LE VIEUX CURE DE PARIS Je vais vous conter l'histoire D'un vieux curé de Paris D'un vieux cu oui oui D'un vieux cu la la D'un vieux curé de Paris Il aime sa cuisinière Pour ses festins de Gargantua Pour ses fes oui oui Pour ses fes la la Pour ses festins de Gargantua Chaque fois qu'il dit sa messe Son grand vicaire le suit Son grand vi oui oui Son grand vi la la Son grand vicaire le suit Il possède une rivière Au bord d'elle il se complaît Au bord d'elle oui oui Au bord d'elle la la Au bord d'elle il se complaît Chaque fois qu'il monte en chaire Tire un coupable d'enfer Tire un cou oui oui Tire un cou la la Tire un coupable d'enfer Il aime la botanique Il en cultive les fleurs Il en cul oui oui Il en cul la la Il en cultive les fleurs Il aime une jeune bergère Pour son troupeau de moutons Pour son trou oui oui Pour son trou la la Pour son troupeau de moutons Le héros de cette histoire Est Pinaud, curé de Paris Pinaud cu oui oui Pinaud cu la la Pinaud curé de Paris L’ENVIE DE BAISER Sur l’air des Champs Elysées de Joe Dassin Je me baladais sur l’avenue Braguette ouverte à l’inconnue J’avais envie de montrer mon vit A n’importe qui N’importe qui et ce fut toi Je t’ai brandi n’importe quoi Et quand tu as vu qu’elles étaient deux Tu as dit je les veux Refrain Oh cette envie de baiser (bis) En TP, en amphi En ballade ou dans un lit Ils ne risquent pas de s’ennuyer les faluchés Tu m’as dit j’ai rendez-vous Dans un sous-sol avec des fous Qui passent toutes les nuits à baiser Sans débander Alors je t’ai accompagné Et nous avons tellement baisé Qu’on ne s’est même pas servi du godemichet Refrain Il est cinq heures du matin Et toutes les filles ont mal aux seins D’avoir baisé toute la nuit Des carabins Alors étendues dans la cour Toutes les pucelles de jadis Rigolent d’offrir avec amour des chaudes pisses Refrain LES AVANTS DE BAYONNE Refrain Allez y, poussez, poussez, les avants de Bayonne Allez y, poussez, poussez, les avants bayonnais Bayonne, Bayonne, sur la Nive et sur l’Adour Bayonne, Bayonne, ville de mes amours Mademoiselle, faites vous belle Votre galant viendra ce soir S’il vous embrasse, faites lui grâce, S’il vous mord, criez bien fort Allez y, poussez, poussez, les avants de Bayonne Allez y, poussez, poussez, les avants bayonnais Allez goûter ce pays, boire l’Irulegui qui vous désarçonne Chanter toute la nuit, faire des âneries, des choses polissonnes. Et si cela l’impressionne, prendre la cocarde entre les cornes, Se faire un paquet d’amis, la vie est si bonne aux fêtes de Bayonne. Refrain LES BITES DANS LES CHAMPS Version originale Voici venu le temps Des rires et des champs Dans l’île aux enfants C’est tous les jours le printemps. C’est le pays joyeux Des enfants heureux Des monstres gentils Oui, c’est un paradis Première version modifiée Voici venu le temps Des bites dans les champs Des sucettes à glands Qui font monter le jus blanc. C’est le petit jus visqueux, Qui colle dans les cheveux Qui se coince dans les dents Et qui soulage la queue. Deuxième version modifiée Voici venu le temps Des pines et des glands Dans l’île aux enfants C’est la jouissance à plein temps C’est le pays joyeux Des glands et des noeuds Des monstres lubriques Mais oui, on a la trique LES CORSAIRES Après des lunes de guerres, de batailles et de tourments, (bis) Nous voilà nous les corsaires, ni pervers ni méchants Nous voilà nous les corsaires, en chantant et en buvant. Après de longues nuits entières, sans femme et sans contentement, (bis) On se fait des tonneaux de bière, par derrière et par devant. On se fait des tonneaux de bière, par devant, c'est plus marrant. La vigie a vu la terre, débarquons sans perdre de temps. (bis) Une fois loin de la mer, femmes et rhum sont tentants. Une fois loin de la mer, on dépense tout notre argent. L'homo niais de la galère, bon pépère bon enfant, (bis) Défendant par ses prières, les pauvres et les paysans Défendant par ses prières, la justice et le vraiment. Le second à sa manne hier, D'Huile Homer s'appelant (bis) Mais qu'a-t-il bien pu faire, qu'on le surnomme éléphant ? Mais qu'a-t-il bien pu faire, pour se retrouver à ce rang ? Pour voguer sur toutes les mers, le journal de bord aidant (bis) Le Joe Bart fait bien l'affaire, l'écriture c'est pas marrant. Le Joe Bart fait bien l'affaire, et parfois même en rampant. Et pour le butin de guerre, tous ces braves rapportant (bis) Gold Michel, je crois que c'est clair, ses écus comptant, Gold Michel, je crois que c'est clair, tout l'or est compensant. La Palliss'Hook c'est une affaire, l'équipage coordonnant (bis) Mais faut-il le laisser faire, son costume, son air galant ? Mais faut-il le laisser faire, le paillard saigner à blanc ? Le paillard nous mène sur les mers, Haddock en est le commandant (bis) Sur le pont, tous les corsaires, à bâbord il y a des navrants. Sur le pont tous les corsaires, à tribord il y a des harengs. Les marins ne manquent pas d'air, les sirènes les attirant. Loin de toutes les misères, au milieu de l'océan, Et toujours par vent contraire, se fiant au firmament, Et toujours par vent contraire, le corsaire reste fringuant. LES DEUX SOEURS Zoé, de votre soeur cadette, Que voulez-vous ? Entre deux draps Que sans chemise je me mette? Fi, ma soeur, vous n’y pensez pas. Mais à vos fins, vous voilà parvenue. Et vous baisez ma gorge nue. Vous me tiraillez. Vous me chatouillez, M’émoustillez. Refrain Mais au fond, ce n’est rien. Je me sens bien. Au fond ce n’est rien. Pour vous en prendre à notre sexe Avez-vous mis l’autre aux abois ? C’est peu que votre main me vexe, Vous usez pour vous de mes doigts. La tête aux pieds, la voilà qui se couche. Ciel où mettez-vous votre bouche ? Pour une sœur, Quelle noirceur, Quelle douceur. Refrain Rougirions-nous, je le demande ? Si nos amants pouvaient nous voir. Pourtant, il faut que je vous rende Le plaisir que je viens d’avoir. Je m’enhardis car, jamais que je sache, Je n’ai baisé d’homme à moustache. Ah ! Nous jouissons. Et des garçons Nous nous passons. Refrain LES FETES DE MAULEON Jusqu’au plus petit coin de Navarre, De la Soule et même de Labour, On parle de Mauléon Licharre Avec envie et beaucoup d’amour. Mauléon, de ses superbes fêtes Si vivantes et si pleines d’entrain, De ses allées de Soule coquettes De son beau folklore souletin. Refrain Farandole qui s’envole Fandango, feux de la Saint Jean. Jolies filles qui pétillent, Dans les bras de leurs chers galants. Cavalcade, sérénade, irrintzina cette chanson Nuit d’ivresse, d’allégresse, Tout cela, c’est les fêtes de Mauléon. Allez donc un peu voir le programme. Vous me direz s’il est vraiment beau. Vous y trouverez messieurs, mesdames L’éternelle course de chevaux, De splendides parties de pelote Et un choix de danseurs souletins. Fandango, danses du verre et gavottes Tout cela dans l’ambiance des bons copains. Refrain La nuit, c’est la cohue générale, Du vieux fort au fin fond du platchot. Il faut voir un peu comment se trimballent Nos Maritchus et nos Ramuntchos. Les fougueux bergers de nos montagnes Et la jeunesse des environs Ont, ce soir, déserté la campagne Pour goûter aux fêtes de Mauléon. Refrain LES FILLES DE CAMARET Les filles de Camaret se disent toutes vierges. (bis) Une simple supposition que tu serais ma tante (bis) Mais quand elles sont dans mon lit Elles préfèrent tenir mon vit Qu’un cierge. (ter) Je te ferais le présent De l’andouille qui me tend Au ventre. (ter) Fillette de Camaret, où est ton pucelage ? (bis) Si les filles de Camaret s’en vont à la prière (bis) Il s’en est allé sur l’eau Avec un beau matelot. Il nage. (ter) Ce n’est pas pour prier le Seigneur Mais pour branler le prieur Qui bande. (ter) Mon mari s’en est allé à la pêche en Espagne. (bis) Le curé de Camaret a des couilles qui pendent (bis) Il m’a laissé sans un sou Mais avec mon petit trou. J’en gagne. (ter) Et quand il s’assied dessus Elles lui rentrent dans le cul. Il bande. (ter) Les rideaux de notre lit sont faits de serge rouge (bis) La servante à monsieur le curé a le ventre qui gargouille. (bis) Mais quand nous sommes dedans La rage du cul nous prend. Tout bouge. (ter) C’est qu’elle en a trop mangé De l’andouille à monsieur le curé De l’andouille. (ter) Mon mari que fais-tu là ? Tu me perces la cuisse. (ter) Célina si tu m’aimais, tu me ferais des nouilles (bis) Faut-il donc que tu sois saoul Pour ne pas trouver le trou Qui pisse ? (ter) Et tandis que je les mangerais Ton petit doigt me chatouillerait Les couilles. (ter) Le maire de Camaret a acheté un âne, (bis) Un âne républicain Pour baiser toutes les putains De France. (ter) LES FILLES DE LA ROCHELLE Sont les filles de la Rochelle Ont armé un bâtiment. Elles ont la cuisse légère Et la fesse à l'avenant. Et sous la lune jolie, Etendues sans vêtements, Elles ont écarté les cuisses Toutes sur le gaillard d'avant. Refrain Refrain Ah ! La feuille s'envole, s'envole. Ah ! La feuille s'envole au vent. Ont baisé à perdre haleine Jusqu'au clair soleil levant Et c'était la capitaine Qui menait le mouvement. Sont parties aux Amériques, Un matin la voile au vent. Ont choisi pour capitaine Une fille de quinze ans. Refrain Nous n'avons pas besoin d'homme, Disaient-elles à tout venant Mais au bout de six semaines Elles avaient le cul brûlant. Refrain Un beau soir, une frégate Apparut sur l'océan, Pleine de jolis pirates, De beaux gars appétissants. Refrain Elles allèrent à l'abordage, A coups de sabre et à coups de dent. Elles y prirent l'avantage Et se ramenèrent des galants. Refrain Refrain Le lendemain, le beau navire Repartit vers le couchant Et les filles de la Rochelle, Le cul frais, allaient chantant. Refrain J'ai perdu mon pucelage, Au milieu de l'océan. Il est parti ventre arrière. Reviendra en louvoyant. Refrain LES LORIENTAISES Les Lorientaises sont comme des homards. Elles ont toutes des rubans rouge et noir. Les Bordelais aimeraient bien les voir, Pour se les enfiler sous la douche le soir. Devinez ce qui a deux ? (bis) Il y a deux beaujolais : l’ancien et le nouveau ... Zob Devinez ce qui a trois ? (bis) Il y a trois en Champagne. Il y a deux beaujolais : l’ancien et le nouveau ... Zob Devinez ce qui a quatre ? (bis) Il y a quatre rine de Russie. Il y a trois en Champagne. Il y a deux beaujolais : l’ancien et le nouveau ... Zob Sur le même système. Il y a cinq Pétersbourg. Il y a six tème métrique. Il y a sept épatant. Il y a huit res de Bretagne. Il y a neuf à la coque. Il y a dix symétrie. Il y a onze se fait chier. Il y a douze salopards. Il y a treize ennuyeux. LES MOEURS Mes chers amis, respectons la décence. Ce mot tout seul vaut presque une chanson. Sans équivoque et surtout sans licence Je vais parler de l'amant de Lison. Le drôle, un jour, d'un ton fait pour séduire, Lui débitait de lubriques horreurs. Ce qu'il disait, je pourrais vous le dire Mais je me tais par respect pour les mœurs. Sachez que Lise est une fille honnête Qui se choqua d'un pareil impromptu Mais au vaurien ne vint-il pas en tête De pénétrer le fond de sa vertu. Sein ferme et blanc ne saurait lui suffire. Déjà deux doigts sont en besogne ailleurs. Ce qu'ils y font je pourrais vous le dire Mais je me tais par respect pour les mœurs. Au bord du lit, sur le nez, il la pousse Et bravement l'attaque par le dos. Lise indignée, en sentant qu'il la trousse, Sans doute alors, se livrait aux sanglots. Dans ce coeur tendre, aussitôt ce satyre, Enfonce, enfonce un long sujet de pleurs. Ce que c'était, je pourrais vous le dire Mais je me tais par respect pour les mœurs. Longtemps encore, Lison dans sa posture, A tour de reins se débat vivement. On me dira que c'était par luxure C'est par vertu, moi j'en fais le serment. Or, pour six mois sa vertu sut réduire L'assaillant, même à pleurer ses erreurs. Ce qu'il gagna je pourrais vous le dire Mais je me tais par respect pour les mœurs. LES MOINES DE SAINT BERNARDIN Nous sommes les moines de Saint Bernardin (bis) Qui nous levons tard et nous couchons matin (bis) Si le prieur nous engueule, on chante des chansons Voilà que c’est bon et bon et bon Refrain Et voilà la vie, la vie, la vie, la vie chérie. Ah ! Ah ! (bis) Et voilà la vie que tous les moines font Pour notre dîner, de bons petits oiseaux (bis) Que l’on nomme cailles, bécasses ou perdreaux (bis) Et la fine andouillette ou la tranche de jambon Voilà que c’est bon et bon et bon Refrain Pour notre coucher, dans un lit aux draps blancs (bis) Avec un jeune homme de quinze à seize ans (bis) A la taille bien faite et aux nichons bien ronds Voilà que c’est bon et bon et bon Refrain La nuit tous ensemble, nous nous enculons (bis) Jusqu’au jour ensemble nous buvons, buvons (bis) Puis après, sous la table, nous roulons et dormons Voilà que c’est bon et bon et bon Refrain Si c’est cela la vie que tous les moines font (bis) Je me ferai moine avec ma Jeanneton (bis) Le soir, dans ma chambrette, je lui chatouillerai le bouton Voilà que c’est bon et bon et bon Refrain LES OISEAUX En français Les oiseaux gazouillent dans les prés (ter) Gazouillent dans les prés. C’est bien connu. En espagnol, une fois En tchèque Quand j’érecte, j’éjecte du sperme sec. En polonais La capote, faut pas qu’elle Cracovie. Gonzales, dans son slip, il bande à l’aise (ter) Bande à l’aise. C’est bien connu En russe Ivanov suce la bite au sous-off. Sur le même principe En japonais C’est Hiro qui m’a au cul mis ça En espagnol, deux fois J’ai le sida, tu peux y aller franco. En italien, une fois C’est Lola qui est ravie au lit. En italien, deux fois C’est Florence qui est baisée Assise En belge, une fois C’est Thérèse qui rit quand on la baise. En belge, deux fois Monte en Anvers pour que mon Ostende. En anglais Do you know you masturb my bite ? En écossais Quitte ton kilt que je t’écosse les petits pois. En grec Les femmes en Grèce parce que les Saloniques. En allemand Baisse ta gaine, Grechta, que je tâte ta croupe. En suisse Tu te Bernes, t’auras pas mon trou de Bâle. En chinois C’est Mao qui chie du haut du mat. En américain, une fois Walt Disney m’a mis sa Pinocchio. En américain, deux fois La Missouri quand le Minessota. En cubain Tu me Castro les couilles quand tu as le Cuba. En juif Par derrière, c’est 500 balles moins cher. En égyptien Rien Nasser de s’obstruer le canal. En malgache Bande très fort quant Tananarive. En alsacien, une fois Pas de mystère, on est tous Soïwatter En alsacien, deux fois A Colmar, ils ont tous le Braquemard. En français Les oiseaux gazouillent dans les prés. LES PORTES DU PENIS ENTIER Les portes du pénis entier Bientôt vont éjaculer Et je ne pourrais pas essuyer Mon fut tout dégueulasse. Pour moi, ma mère a sacrifié Sa robe de mariée Peux-tu jamais me pardonner Pour tant de machines à laver ? Le soleil n’est pas fait pour les taches C’est la nuit qu’on peut se branler. Toi qui ce soir a tout lâché Demain, tu pourras recommencer. O mères, écoutez-moi Ne laissez jamais vos garçons Seuls la nuit, utiliser leurs doigts Ils iront droit à la perdition. Toi la fille qui m’as aimé Je t’ai trop fait pleurer. Les larmes de foutre que j’ai versées, Il faut les avaler. Les portes du pénis entier Bientôt vont éjaculer Et je ne pourrais pas essuyer Mon fut tout dégueulasse. LES PREMISSES D’AMOUR Sur l’air de Milord, d’Edith Piaf. Allez venez messieurs Nous allons vous chanter Les gestes merveilleux Qui nous font toutes crier. Il ne suffit pas de bander Il ne suffit pas de planter, Il faut pouvoir nous amener Là où on veut aller. Pour nous déshabiller, Il ne faut pas tout arracher, Il ne faut pas se précipiter, Il faut beaucoup de doigté. Attend pour le coït. Il faut d’abord que tu m’excites Avant de viser le vagin, Arrête toi sur les seins. Une fois déshabillée, Il ne faut pas tout de suite charger, Il faut encore s’appliquer. Il faut tout explorer, Tout doucement lécher, Lubriquement mordiller, Vicieusement caresser, Intimement frotter. Après, tu peux y aller. Tous les prémisses passés, Je suis complètement mouillée. Dépêche toi de t’enfoncer Oh ! Oui, je sens que cela vient. Encore un coup de reins, Ca y est, je suis arrivée Là où je voulais aller. LES SAINTS ET LES ANGES Les saints et les anges Et le petit Jésus, Quand ça les démange, Se grattent le trou du cul, Avé, avé, avé le petit doigt. (bis) Et on entend dans les champs S’enculer les éléphants Et on entend dans les prés Se masturber les chimpanzés Et on entend dans les plumards Battre le foutre à coups de braquemards Et l’on entend sous les ormeaux Battre la merde à coups de marteau. Ohé ! Ohé ! Mais non, mais non, Saint Eloi ou X n’est pas mort, Car il bande encore. (bis) LES STANCES A SOPHIE Refrain Sophie, toi que j’aimais tant, Je t’emmerde, je t’emmerde. Sophie, toi que j’aimais tant, Je t’emmerde à présent. Tu me demandes tes lettres, ta photographie, Ton éponge à cul, ton bidet de métal. Je m’en fous pas mal, ingrate Sophie, Et je te renvoie le tout par colis postal. Refrain Tu veux faire la peau, un métier de grenouille Et me remplacer par d’autres amants. Mais, vois tu, je m’en fous comme de la peau de mes couilles Car tu pues de la gueule et t’as le con trop grand. Refrain Quand je tai rencontrée un soir dans la rue Où tu dégueulais tripes et boyaux, Ah ! Si j’avais su que tu fusses une grue, Je t’aurais balancée par le trou des goguenots. Refrain Mais je t’ai recueillie, Dieu que j’étais bête. Car le lendemain, je me suis aperçu Que avais des morpions des pieds à la tête, Des poils du nombril jusqu’au trou du cul. Refrain Puis le lendemain, tu avais tes affaires. Le sang inondait la chambre à coucher Et j’ai consenti, pour te satisfaire, A te sucer le con pour mieux le sécher. Refrain J’ai même aspiré tes pertes blanches. Mais quand j’ai voulu tirer un bon coup, Tu ne gigotais pas plus qu’une planche, Et je m’esquintais sans rien faire du tout. Refrain Et puis, tu avais des passions honteuses. J’en rougis encore, rien que d’y penser Et pour apaiser ta chair luxurieuse, A tout tes caprices, il m’a fallu céder. Refrain N’as tu pas voulu que ma langue se perde, Dans les plis profonds du trou de ton cul ? Je l’ai retiré toute pleine de merde. J’en ai dégueulé, tu n’en as rien su. Refrain Adieu pour toujours, vas, tu me dégouttes. De toi je me fous, je sais me branler. Je ferais gicler mon sperme, goutte à goutte Plutôt que de revenir te caramboler. Refrain Oui, c’est bien fini, je te le dis sans glose. N’ayant plus de putain, je ne serai plus cocu. Et si par hasard, je te remets quelque chose, Ce ne sera jamais que mon pied dans le cul. Refrain LES TRENTE BRIGANDS Sur l’air de la Complainte de Mandrin Ils étaient vingt ou trente Brigands dans une bande. Chacun sous le préau, Voulait me toucher, vous m'entendez ? Chacun sous le préau Voulait me toucher un mot. Le vent soulevait ma robe Quand l'un d'eux d'un air noble, S'approcha mine de rien Et caressa, vous m'entendez ? S'approcha mine de rien Et caressa mon chien. Un beau jour sur la lande, L'un d'eux se fit très tendre Et d'un petit air guilleret Vint me trousser, vous m'entendez ? Et d'un petit air guilleret Vint me trousser un couplet. Comme je filais la laine, Un autre avec sans-gêne, Sans quitter son chapeau, Vint me peloter, vous m'entendez? Sans quitter son chapeau, Vint me peloter mon écheveau. Comme j'étais dans ma chambre, Un matin de septembre, Un autre vint tout à coup Pour me sauter, vous m'entendez ? Un autre vint tout à coup Pour me sauter au cou. Comme j'étais à coudre, Ils rappliquèrent en foule Et voulaient, les fripons, Tous m'enfiler, vous m'entendez ? Et voulaient, les fripons, M'enfiler mon coton. Un soir dans une fête, Un autre perdit la tête. Et jusqu'au lendemain, Voulut me baiser, vous m'entendez ? Et jusqu'au lendemain, Voulut me baiser les mains. Celui qui sût me prendre, C'est un garçon des Flandres. Un soir entre deux draps Ce qu'il me fit, vous m'entendez Un soir entre deux draps Je ne vous le dirai pas. LES TROIS ORFEVRES Aristide Bruant avait mis cette chanson à son répertoire mais dans une version arrangée par Francis Salabert et que les enfants, eux-mêmes, pouvaient chanter. La version estudiantine est beaucoup plus osée. Trois orfèvres à la Saint Eloi, S’en allèrent dîner chez un autre orfèvre. Trois orfèvres à la Saint Eloi, S’en allèrent dîner chez un bon bourgeois. Ils ont baisé la famille entière, La mère au nichon, Le père au cul, la fille au con . Par les petits mitrons se firent enculer. Puis voyant leur pines pleines de merde, Ils ont bouffé cela, En guise d’éclairs au chocolat. Refrain Les orfèvres, chez le père Balzar, Relevez la belle, votre blanc jupon, Se sont foutus des demis, à travers la gueule, Qu’on vous voie le cul, qu’on vous voie les fesses. Relevez la belle, votre blanc jupon, Qu’on vous voie le cul, qu’on vous voie le con. La servante qui avait tout vu Leur dit : foutez-moi votre pine aux fesses. La servante qui avait tout vu Leur dit : foutez-moi votre pine dans le cul. Ils l’ont baisée, tous trois, sur une chaise. La chaise a cassé. Ils sont tombés sans débander. Refrain Les orfèvres, non contents de cela, Montèrent sur le toit pour baiser minette. Les orfèvres, non contents de cela, Montèrent sur le toit pour baiser le chat. Chat, petit chat, chat, tu m’égratignes. Petit polisson, Tu m’égratignes les roustons. Refrain Couplet gastronomique Les orfèvres, chez le pâtissier, Entrèrent pour manger quelques friandises. Les orfèvres, chez le pâtissier, Refrain Couplet biturique Les orfèvres, chez le père Balzar, Pour mieux pisser, retirèrent leurs falzars. Le père Balzar, voyant leur bites immondes, S’écria : je vais En faire une salade de cervelas. Refrain Les orfèvres, pour voir des rastas, S’en furent au Vachette, café des petites vaches, Les orfèvres, pour voir des rastas, S’en furent au Vachette, café de ces gens là, Très excités par un Bulgare, Pour voir son anus, Ils ont mis cet enculé à nu. Refrain Couplet patriotique Les orfèvres, au son du canon, Se retrouveront tous à la frontière. Les orfèvres, au son du canon, En guise de boulets, lanceront des étrons. En bandant, tous comme des carmes, A grand coups de vits, Repousseront les ennemis. Refrain LES TUYAUX Refrain Mais où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux ? Mais où est passée la grande échelle ? Mais où sont passés les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux ? A tout prix, il nous les faut. Pam, pam, pa la, pam pam. En pleine nuit, une sirène Appelle au feu les pompiers Et tout Rio qui se réveille Voit brûler l’usine à café. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Il n’y a plus de temps à perdre Sinon tout le quartier va brûler Oui mais voilà, pendant ce temps là, A la caserne, on entend les pompiers crier. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Ohé ! Ohé ! Ohé ! Quand tout à coup, dans le jour blême On vit accourir un pompier qui s’écria : Je viens de la part du capitaine Pour dire de ne pas vous affoler. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Refrain On a retrouvé les tuyaux, les tuyaux, les tuyaux On a retrouvé la grande échelle, Mais on est en panne d’auto, panne d’auto, panne d’auto. On a perdu la manivelle. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Refrain Un autre couplet peut être proposé à cette chanson Refrain Alors que l’incendie fait rage, Que le ciel est noir de fumée, Tout le monde, dans les étages S’écrie : mais que font les pompiers ? Ohé ! Ohé ! Ohé ! Il n’y a plus de temps à perdre Sinon l’immeuble va brûler. Oui mais voilà, pendant ce temps là A la caserne, on entend les pompiers crier. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Pendant ce temps là, la Bernadette Doucement me fait un pompier. Je lui éjacule dans la tête. Elle a les dents toutes collées. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Comme il m’en reste dans les roupettes, Je lui dis de recommencer. Oui mais voila, la Bernadette c’est pas tout cela Il va falloir continuer. Ohé ! Ohé ! Ohé ! Sur l’air du refrain Refrain Elle m’a pompé le tuyau, le tuyau, le tuyau. Le lendemain, on le devine. Tout le quartier avait brûlé. Il ne reste plus que des ruines, Sur des centaines de mètres carrés. Elle m’a pompé les roupettes, les roupettes, les roupettes. Elle m’a pompé le tuyau, le tuyau, le tuyau Et j’ai gueulé comme un taureau. Pam, pam, pa la, pam pam. LEVE LA JAMBE Une fois, deux fois, …, six fois Cette fois je la sens bien, tu me l’a mise. Ce n’est plus ton petit doigt qui me chatouille. Je sens, à travers ta chemise, La douce chaleur de tes grosses couilles. Ton doigt n’étais pas si mouillé. Il allait et venait sans cadence. Maintenant, c’est bien plus régulier. Ah ! Non de dieu. Ah ! Non de Dieu, quelle jouissance. Lève la jambe, voilà que ça rentre. Lève la cuisse, la cuisse, la cuisse. Voilà que ça glisse. Oh ! Hisse. (bis) One time, two time, three time, four time, five time, six time, Seven time. You put it. I feel it. Ein, zwei. This is not your finger qui me chatouille, I feel your nombril against mine And the calor of your coucouille. Your finger was not si mouillé Ein, zwei. It was going and coming back in cadence, But now, it is more regular, Fuck off of Zeus. Fuck off of Zeus. What jouissance. Up the leg, ‘s going to penetrate Up the cuisse, the cuisse, the cuisse. ‘s going to glisse. Ho ! Hisse. (bis) MADELEINE Elle naquit un beau matin, D'un archonte et d'une putain, Madeleine. Dès huit ans, on l'enculait Car la pédérastie régnait A Athènes. Platon, plus malin, se fit branler, Etendu sur un canapé, Par Madeleine. Xenophon tira six coups, Attrapa douze chancres mous, A Athènes. A seize ans, sans plus de façons, Elle faisait la retape sur le Parthénon, Madeleine. Elle exhibait deux blancs nichons. Cela faisait bander les vieux cochons D'Athènes. Devant Hippocrate, médecin des bites, On lui fit passer la visite, Non sans peine. Il lui dit : tu as la syphilis, Des chancres mous et la chaude pisse. Pauvre Madeleine. Un jour, Socrate très emmerdé, Xanthippe venant de le plaquer, Lui dit : je t'emmène. Huit jours après, on ne le voyait plus Que bouffant des boites de copahu, A Athènes. Dès lors, ses beaux jours furent passés. Elle creva de faim sur le Pirée. A ceux qui ignoraient sa vérole, Elle suçait le dard pour une obole, Madeleine. A ses disciples, il la repassa, Madeleine. Aristipe qui ne fut pas sérieux Eût une orchite, le malheureux, A Athènes. Enfin, lasse d'errer par les rues, Elle avala de la cigüe, Madeleine ! Socrate profita de l'occasion Pour flétrir la prostitution D'Athènes. MADEMOISELLE Mademoiselle Fallait-il que je vous visse Pour que vous me séduisassiez, Qu'à vos genoux, je me misse pour que vous me repoussassiez ? Fallait-il que je vous aimasse Pour que vous me dédaignassiez, Et que pour vous, je m'enflamasse Pour que vous m'assassinassiez ? Mademoiselle Quand on vous fit, On fit la beauté même. Quand on vous fit, On fit tout ce que j'aime. Souffrez que je vous fasse Ce que l'on fit Quand on vous fit. MALBROUGH S’EN VA T’EN GUERRE Malbrough s’en va t’en guerre Mironton mironton mirontaine Malbrough s’en va t en guerre Ne sait quand baisera Sa femme qui reste là Avec son pauvre chat Je te baiserai à Pâques Mironton mironton mirontaine Je te baiserai à Pâques Ou à la Trinité Dit-il d’un air navré Avant de la quitter Puis il partit combattre Mironton mironton mirontaine Puis il partit combattre Laissant dans son château La belle toute en sanglots D’avoir le cul si chaud Comme elle était fidèle Mironton mironton mirontaine Comme elle était fidèle Elle repoussa du pied Valets et officiers Qui voulaient la baiser Pendant dix-huit semaines Mironton mironton mirontaine Pendant dix-huit semaines Madame Malbrough la sotte Se caressa la motte Avec une carotte Mais un jour un beau page Mironton mironton mirontaine Mais un jour un beau page Arriva de l’armée Afin de l’informer D’une triste vérité Pris par les infidèles Mironton mironton mirontaine Pris par les infidèles Malbrough venait d’être châtré Lors sa femme atterrée Se mit à sangloter Qu’a-t-on fait de la chose Mironton mironton mirontaine Qu’a-t-on fait de la chose Qui servait à baiser Et qu’on vient de lui couper Le page dit: écoutez Je l’ai vue porter en terre Mironton mironton mirontaine Je l’ai vue porter en terre Par quatre officiers Qui l’avaient déposée Dans un grand drap doré A ces mots la châtelaine Mironton mironton mirontaine A ces mots la châtelaine Se mit à jubiler : et vive la liberté Plus de raison de me gêner Puis elle appela l’armée Et par trente officiers Quarante deux canonniers Cent trente cinq chevaliers Deux cents trente cuirassiers Trois cents six grenadiers Six cents vingt non gradés Elle se fit enfiler MARGOT Un jour à la barrière. Margot, Margot Tortillait son derrière. Si beau, si beau. Doucement, je m'approche. Et puis, et puis, Les deux mains dans les poches. Je lui dis, je lui dis : Oh ! Ma beauté divine. Veux-tu ? Veux-tu Que je te foute ma pine Dans le cul, dans le cul ? Monsieur, me répondit elle. Je ne peux pas. Je ne peux pas. Je suis encore pucelle. Hélas, hélas. Puisqu'il faut que je commence. Eh ! Bien. Eh ! Bien. A toi la préférence. Pour rien, pour rien. Je la crus sur parole. Jésus, Jésus. Elle avait la vérole. Je l'eus, je l'eus. Et ma pine encore vierge Coula, coula. Ni plus ni moins qu'un cierge. Voilà, voilà. Depuis cette aventure. D'amour, d'amour. Je me lave au mercure. La nuit, le jour. Depuis ce jour néfaste. Mon Dieu. Mon Dieu. Je me suis fait pédéraste. Ça vaut bien mieux. MARIE MADELEINE Chanson sous titrée la Trémonzeise. Madeleine a des pieds de cochon, (reprise en choeur) Des pieds de cochon (reprise en choeur) Refrain Des pieds de cochon, Marie Madeleine Des pieds de cochon, Marie Madelon. Madeleine a des mollets ronds, (reprise en choeur) Des mollets ronds (reprise en choeur) et des pieds de cochon. Refrain Madeleine a des genoux cagneux, (reprise en choeur) Des genoux cagneux (reprise en choeur), des mollets ronds (reprise en choeur) Et des pieds de cochon. Sur le même principe Madeleine a des cuisses graisseuses, Madeleine a un cul terreux, Madeleine a un vagin rougeâtre, Madeleine a un ventre rond, Madeleine a des seins qui pendouillent, Madeleine a un menton crochu, Madeleine a la goutte au nez, Madeleine a un oeil de verre, Madeleine a de faux cheveux, Mais Madeleine, c’est celle que j’aime, MEDECINE C’EST FINI Nous n’irons plus jamais jouer avec les scalpels. Nous n’irons plus jamais disséquer les mammies. Nous n’irons plus jamais les couper en rondelles, Transformer leurs bourrelets en tranches de salami. Refrain Médecine c’est fini, Et dire que j’ai lamentablement raté le concours. Médecine c’est fini, Je ne pourrai jamais euthanasier un jour. Nous n’irons plus jamais jouer avec les spéculums. Nous n’irons plus jamais voir les cols dilatés. Nous n’irons plus jamais inspecter les rectums, Et leur mettre les deux doigts là où ça leur fait de l’effet. Refrain Nous n’irons plus jamais jouer avec les seringues jetables. Nous n’irons plus jamais injecter le penthotal. Nous n’irons plus jamais faire des dessous de table, Pour payer la Rolex et les vacances au Sénégal. MON TROU DU CUL Quand je bande, Je me demande Où ma bite Va s’arrêter. De ma verge Jaillit le sperme, Comme l’eau Jaillit du rocher. Dédé ou X, l’as tu vu ? Quoi ? Le trou de mon cul. Il est ovale, Mon trou de balle. Il n’est ni carré, Ni tout rond, Ni pointu, Mon trou du cul. NEUF MOIS 1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 5 mois, 6 mois, 7 mois, 8 mois, 9 mois, Il est né le divin enfant, Jouez hautbois, résonnez musettes, Il est né le divin enfant, Chantons tous son avènement. 1 mois, 2 mois, 3 mois, 4 mois, 5 mois, 6 mois, 7 mois, Il est né prématurément. Jouez hautbois, résonnez musettes, Il est né prématurément. Chantons tous cet événement. Sur le même principe Il est né d’un avortement. Il est né d’un bon lavement. Il bande rapidement. Il éjacule précocement. NOUS SOMMES FALUCHARDS Refrain Solo: je suis Faluchard Choeur: nous sommes Faluchards Solo: et je reviens de Marseille Choeur: et nous revenons de Marseille Solo: e je sais jouer Choeur: et nous savons jouer Solo: de la grosse bite Choeur: de la grosse bite Tous: bite, bite, bite. Refrain Solo: de la grosse miche Choeur: de la grosse miche Tous: miche, miche, miche. Bite, bite, bite. Refrain Sur le même principe De la grosse gnouf Du 69 Du pipeau baveur De la grosse fesse Du petit clito OH ! MON CLITO Oh ! Mon clito. Oh ! Oh ! Oh ! Tu es le plus beau des clitos. Quand je te lèche de bas en haut. Oh ! Oh ! Cela te fait grimper aux rideaux. Tu es le plus beau des clitos Quand je te grimpe sur le dos. Oh ! Oh ! Avec ce que j’ai de plus gros. Tu es le plus beau des clitos, Des cli, des tos, des clicli, des totos. PERNOD Sur l’air de Zorro Un apéro Qui surgit du fond de la nuit Qui court Vers la biture au galop Son nom Il le signe à la table du bistrot D’un P Qui veut dire Pernod Pernod. Pernod. L’apéro qui se boit Sec et sans eau. Pernoood. Pernoood. Pernoood. PRENDRE UN ENFANT Prendre un enfant par le fion Et l’enfoncer bien profond. On lui éclate bien fort la rondelle Il en voit trente six chandelles. Il s’appelait petit Rémi Et on lui avait tout mis, Les mains attachées dans le dos En position de sodo. RAMASSE TES COUILLES Ra, ra, ramasse tes couilles dans ton caleçon. Ramasse ta bite qui traîne. Prends ta quéquette à deux mains, mon lapin, Et fait face aux putains, tin tin. SAINT PIERRE CANAILLE Sur l’air de Paris Canaille, de Léo Ferré Saint Pierre Canaille Dans les bouteilles Du sacré vin Il y a le malin Et sous les voûtes Du Sacré Coeur On y va foutre Quel grand bonheur Eteins le cierge La Sainte Vierge Ne peut pas voir Les partouzards Ni les fantasmes De ces orgasmes Qui font vautrer Tout le clergé Que de bêtises Dans les églises Elle ferme les yeux La mère de Dieu A Saint Sulpice Plonge dans le vice Zizi et bajoues De l'enfant Jésus Saint Pierre canaille Sors ton andouille Elle ne fera pas mal Au cardinal Puis prends l'abbesse Du côté fesses Fais la jouir Et crever de plaisir SCIENTIFIQUES AU TOP NIVEAU Carabins, tenez vous bien Epiciers, allez pisser Nous voilà les scientifiques C'est nous qui avons la trique (bis) Vous les Mines, quelle vermine Les écoles, on en rigole Car en sciences on s'en balance Fac de Sciences c'est l'excellence (bis) Ah ! Dentaire quelle galère Ça vous mène droit au cimetière Mais en Sciences même en violet On ne boit pas du petit lait (bis) En Psycho on forme des veaux Et en Droit rien que des putois En Eco des vermisseaux Et en Sciences on est les rois (bis) SI TU VOULAIS CHATOUILLER MON LEZARD En français Si tu voulais chatouiller mon lézard Je te ferais mimi, je te ferais minette Si tu voulais chatouiller mon lézard Je te ferais minette ce soir ! En anglais If you wanted to gili my Aligator I should you do mimi, I should you do minette If you wanted to gili my aligator I should you do minette ce soir En allemand Wenn du möchtest mein lezard giliren Ich mache dich mimi, ich mache dich minette Wenn du möchtest mein giliren Ich mache dich minette diese nacht SUR LA ROUTE DE LOUVIERS Sur la route de Louviers Il y avait un cantonnier Et qui baisait (ter) comme un voyou Au lieu de casser les cailloux Une belle dame vint à passer Dans un beau carrosse doré Elle y baisait (ter) comme un voyou A en faire craquer les roues Elle aperçut le cantonnier Dans le fond d'un grand fossé Et qui baisait (ter) comme un voyou Une fillette aux cheveux roux Elle lui dit : brave cantonnier Avec moi veux-tu monter Pour me baiser (ter) comme un voyou Le préfet est mon époux A ces mots le cantonnier Laisse la rousse dans le fossé Et va baiser (ter) comme un voyou La belle dame pleine de bijoux Le lendemain par arrêté Fut nommé chef cantonnier Parce qu'il baisait (ter) comme un voyou Au lieu de casser les cailloux Voici la moralité : Dans la vie pour arriver Il faut baiser (ter) comme des voyous Les belles dames qui ont des sous THE WILD ROVER I've been a wild rover for many a year And I spent all my money on whiskey and beer, And now I'm returning with gold in great store And I never will play the wild rover no more Refrain And it's no, nay, never, No nay never no more, Will I play the wild rover No never no more I went to an ale-house I used to frequent And I told the landlady my money was spent. I asked her for credit, she answered me "nay Such a custom as yours I could have any day" Refrain I took from my pocket ten sovereigns bright And the landlady's eyes opened wide with delight. She said "I have whiskey and wines of the best And the words that I spoke sure were only in jest" Refrain I'll go home to my parents, confess what I've done And I'll ask them to pardon their prodigal son. And if they caress (forgive) me as ofttimes before Sure I never will play the wild rover no more Refrain TIENS, VOILA MON ZOB En revenant de Paris jusqu'à Nantes, Oh ! La la. Oh ! La la, la la, la la, la la, En revenant de Paris jusqu'à Nantes, Tiens, voilà mon zob, zob, zob, Tiens, voilà mon zob, zobi. J'ai rencontré trois jeunes filles charmantes, Oh ! La la. Oh ! La la, la la, la la, la la, J'ai rencontré trois jeunes filles charmantes, Tiens, voilà mon zob, zob, zob, Tiens, voilà mon zob, zobi. Sur le même principe J'ai pas choisi, mais j'ai pris la plus belle. Je lui ai dit de monter dans ma chambre. Je lui ai foutu cinq à six coups dans le ventre. Quand j'eus fini, elle me dit: recommence. Il n’y a pas moyen, il n’y a plus d'huile dans la lampe. Si c'est comme cela, tu reviendras dimanche. Et s'il en reste, ce sera pour la servante. TOC TOC TOC Toc toc toc - Qui est là ? - C’est Jean Pierre Papin. - Jean-Pierre Papin ? Quel drôle de nom. Pourquoi pas libellule ou papillon ? - Non, non, non, non, non, Jean-Pierre Papin. Jean Pierre Papin, roi des forêts, Que j’aime ta verdure. Toc toc toc - Qui est là ? - C’est Jean Tigana. - Jean Tigana ? Quel drôle de nom. Pourquoi pas libellule ou papillon ? - Non, non, non, non, non, Jean Tigana. Jean Tigana, le renard et la belette, Jean Tigana et le renard chanter. Sur le même système - Alen Boksic Boksic dans les prés, fleurissent, fleurissent, Boksic dans les prés, c’est la fin de l’été. - Didier Deschamps Didier Deschamps de la montagne à cheval. Ohé ! (bis) Didier Deschamps de la montagne (bis) Didier Deschamps de la montagne à cheval. Ohé ! - Alain Giresse : Giresse de Pampelune jusqu’à Bayonne, J’irai de Dax jusqu’à Mont de Marsan, Je ferai le plus grand pèlerinage Basque espagnol de tous les temps. - Eric Cantona : Cantona que l’amour A offrir en partage … - Michel Chevalet : Chevalet de la table ronde, Goûtons voir si le vin est bon … - Jean Marais Jean Marais, oui, oui, oui. Jean Marais, non, non, non. Jean Marais jusqu’à mon plaisir … - Sheila et Roger Moore Sheila Moore C’est l’amour, mour, mour. - IAM et Marie Ange Nardi I’m a Nardi girl In a Nardi world, Like a plastic, It’s fantastic. - Patricia Kass et Marc Lavoix Kass et Lavoix, Casser la voix … TOUS LES POCHTRONS Sur l’air de Tous les garçons et les filles de Françoise Hardy Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux Se retrouvent souvent le jeudi Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux Savent que très dure sera la nuit Les coudes sur le comptoir La soif dans le gosier Ils se mettent tous à boire Et se mettent tous à chanter Un cul sec, deux cul sec, trois cul sec avalés Pas une goutte d'alcool ne sera épargnée Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux Une fois toutes les bouteilles vidées Tous les pochtrons et pochtronnes de Bordeaux S'en vont faire la fête à une soirée Ne pensant qu'à tirer Les yeux exorbités Cherchent un cul à bourrer Ou des couilles à vider Un petit cul, un gros cul, un beau cul, pas de quartier Une petite pine, une grosse pine, une belle pine adjugée TRAINE TES COUILLES Re, re, regarde donc Crénom de nom La petite dame au second Qui est à son balcon Qui a les yeux fixés comme un canon Sur le deuxième bouton De mon pantaki, de mon pantaka De mon pantako, de mon pantalon. Refrain Traîne tes couilles par terre Prends ta pine à deux mains, mon cousin Nous partons en guerre A la chasse aux putains Ce n'est pas par le cul Que se font les cocus Mais c'est bien par le con Que les cocus se font. Re, re, re, regarde donc Crénom de nom Les beaux nichons Crénom de Dieu Les jolis yeux ! Crénom d'un chien Et toi, et moi, cela ferait du bien Refrain Elle est pucelle (bis) Non, non, non, ce n'est pas vrai Y a-t-il des cocus parmi nous? Lesquels sont ce ? (bis) Y a t il des cocus parmi nous? Tous, tous, tous. Refrain TU NOUS DELAISSES X, tu nous délaisses, Cela fait longtemps qu’on ne les a pas vues. Allez X montre nous tes fesses, Allez X montre nous ton cul. Et même si elles ne sont pas belles, Et même si elles sont poilues, Allez X montre nous tes fesses, Allez X montre nous ton cul. UN JOUR Sur l’air de A la claire fontaine Un jour dans un hôtel, Je pris envie de baiser. Je vis une fille si belle, Que je voulus me la payer. Refrain Il y a longtemps Que je bande Jamais je n’ai déchargé. Je vis une fille si belle, Que je voulus me la payer. Elle dit : je suis pucelle Et tiens à le rester. Refrain Sur le même système Mais t’en fais pas dit-elle, T’as qu’à me sodomiser. Refrain Elle avait la vérole, Elle me l’a refilée. Refrain Elle avait la vérole, Elle me l’a refilée. Refrain Depuis, je n’ai plus de roubignolles, On a dû me les couper. Refrain Et mon pauvre Popaul, Ne peut plus décharger. Refrain UN MOT DE PLUS Ivre de débauche et plein d'ardeur De Lise un soir j'assiège la pudeur Sans froncer votre nez pointu Daignez lui dis-je entendre un impromptu On fait l'amour de cent manières Mais chantons les moins ordurières Oh dis Lison vous devez ressentir Un mot de plus monsieur je vais sortir Un mot de plus c'est qu'entre nous Puisqu'on est, on doit suivre ses goûts Que j'ai massé de nos catins L'heureux adresse et les tours libertins Qu'il faut que la dame soit nue Que sa main partout s'insinue Oh dis Lison peut-on plus mal agir Un mot de plus monsieur je vais rougir Un mot de plus c'est qu'entre nous Tout est plaisir dessus comme dessous Qu'à l'aide du pibot mouvant Je vas je viens et derrière et devant Qu'il faut que servante ou princesse Lutte de force et de souplesse Oh dis Lison vous me faites souffrir Un mot de plus monsieur je vais mourir Un mot de plus c'est qu'entre nous Plus nous limons plus le jeu nous est doux Qu'à ce jeu là j'obtiens le prix Mais que tricher ne convient qu'au mari Qu'il faut pour de faire qu'une âme Qu'ensemble on parte et se pâme Oh dis Lison quel feu vient me trahir Un mot de plus monsieur je vais jouir VIVE LES ETUDIANTS Vive les étudiants, ma mère Vive les étudiants Ils ont des femmes et pas d’enfants Vive les étudiants Vive les Sorbonnards, Ils ont des couilles en peau de lézard Vive les coloniaux, Ils ont des couilles en peau de chameau Refrain Et l’on s’en fout d’attraper la vérole Et l’on s’en fout pourvu qu’on tire un coup, Avec, avec une femme sur les roses. Vive les étudiantes, ma mère Vive les étudiantes Elles aiment avoir la pine au ventre Vive les étudiantes Refrain Vive les Carabins Ils ont des femmes qui baisent bien ou Ils ont chacun trente six putains Vive les Carabines, Elles adorent sucer les pines Vive les artilleurs, Ils tirent un coup tous les quarts d’heure Vive les Pharmaciens, Ils ont le permanganate pour rien Sur le même principe Vive les médecins, Ils voient des femmes à poil pour rien Vive les vétérinaires Ils marchent toujours la queue en l’air Vive les beaux corsaires, Et s’ils ne baisent ce n’est qu’à terre Vive les cavaliers, Ils montent les femmes sans étrier Vive les ingénieurs, Ils font l’amour à toute vapeur Vive les juristes, Ils ne sont pas unicouillistes Vive les scientifiques, Ils n’utilisent que du plastique Vive les avocats, Ils ont des couilles en chocolat Vive les Pharmaciennes, Elles sont toutes putains ou bien lesbiennes Vive les aviateurs, Ils lèvent la queue tous les quarts d’heure ou Ils ont des couilles à la hauteur Vive les aviatrices, Elles ont le manche entre les cuisses Vive les Art Déco, Ils ont les couilles prés du pinceau Vive le Quartier Latin, Toutes les filles y sont putains Vive les Enisards, Ils ont toujours de gros dards Vive les Colmariens, Ce sont les rois pour le coup de rein Et que crèvent les Charlottes, Ce ne sont que des salopes