« La Rasbaïa sème la pagaille » - Ville de Saint

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« La Rasbaïa sème la pagaille » - Ville de Saint
« La Rasbaïa sème la pagaille »
Concert spectaculaire en chansons destiné au jeune public à partir de 6 ans
Conception, textes et direction artistique :
Jean-Luc Priano
Création collective
Jean-Luc Priano : auteur-compositeur, chant, harmonium, épinette, guitare
Bérengère Altieri-Leca : textes, chant, danse et percussions
Gonzalo Campo : batterie, chant, antennores (instrument inventé)
Pascal Rousseau : tuba, harmonium, antennores (instrument inventé)
Musique : Jean-Luc Priano
Plasticienne-Scénographe : Karima Rekhamdji
Lumières : Paco Galan
Son : François-Xavier Guérin
Durée : 50’
Coproduction et soutiens : Association La R.A.Vi., Espace 1789 à St Ouen, Service Culturel de
Mitry-Mory, Espace 93 à Clichy-sous-Bois, Théâtre des Sources de Fontenay aux Roses, Maison du
Théâtre et de la Danse d’Epinay sur Seine, Compagnie du Porte-Voix, Ville de Bondy, ADAMI,
SPEDIDAM
Prochaines représentations
Théâtre des Sources - 8 av. Jeanne et Maurice Dolivet - Fontenay-aux-Roses (92)
Mardi 20 Mai à 10h00 et 14h30
Petit Théâtre de Lausanne – 12 place de la Cathédrale - Suisse
Samedi 14 Juin à 14h00 et 17h00
Dimanche 15 Juin à 14h00 et 17h00
Le Tremplin - 4 Esplanade de Russi - Beaumont (63)
Le dimanche 14 Décembre - 17h00
Salle René Cassin - 1 rue Jean Mermoz - Houilles (92)
Du 8 au 9 Janvier 2015 (ou du 2 au 4 octobre 2014)
Jeudi - 2 scolaires
Vendredi - 2 scolaires
Samedi - 1 familiale l’après-midi
Espace Maurice Béjart - 3 boulevard André Malraux - Verneuil-sur-Seine (78)
Domanche 1er Février 2015 - 16h30
Salle Jean Vilar - Rue Jean Baptiste Clément - Quartier de Mitry le Neuf - Mitry-Mory
(77)
Vendredi 6 Février 2015 - 2 scolaires
Dimanche 8 Février 2015 - 16h00
La Merise - Place des Merisiers - Trappes (78)
Jeudi 12 Février 2015 - 14h30
Vendredi 13 Février 2015 - 14h30 et 20h30
Le Palais des Congrès - Port Santa Lucia - St-Raphaël (83)
Mercredi 18 Février 2015 - 1 scolaire et 1TP
Jeudi 19 Février 2015 - 2 scolaires
Espace Charles Vanel - 22 boulevard du Mal Galliéni - Lagny-sur-Marne (77)
Samedi 21 Mars 2015 - 18h30
Espace Georges Simenon - Place Sadi Carnot - Rosny-sous-Bois (93)
Avril 2015 – option, 2 représentations
La Rasbaïa, est un groupe de musique créé en 2004, implanté à Bondy en Seine St Denis,
dont l’univers témoigne d’une recherche permanente d’un langage pluridisciplinaire alliant la
musique, la danse et les arts plastiques, autour de l’écriture de chansons. Les thèmes que le
groupe aborde, sont toujours liés à des questionnements sur l’humain, son évolution et son
cheminement à travers notre monde.
A partir de résidences dans des théâtres de région parisienne et du Cantal, 3 spectacles et 3
albums ont vu le jour: Tes yeux doux, Gare aux grands Singes, Appel d'airs. Lors de ces
résidences, différents projets de transmission intergénérationnels sont menés. L’approche
pluridisciplinaire du groupe mêlant la musique à la danse et parfois au cirque, permet de
décloisonner les genres et donne naissance à univers poétique et festif.
La Rasbaïa a effectué des tournées partout en France, allant de cabarets en centres
culturels, de scènes nationales en festivals. Les ateliers d’écriture de chansons en direction
des enfants et des adolescents l’ont souvent amenée à jouer pour des scolaires, devant faire
des choix dans le répertoire existant afin de répondre à ce type de public (durée, thème des
chansons). Afin d’être cohérent avec ce type de programmation, et aussi avec une grande
envie d’aller au devant de ce public de demain, Jean-Luc Priano, directeur artistique du
groupe, a senti la nécessité d’écrire des chansons et de créer un spectacle en direction des
enfants.
Descriptif du projet artistique
La Rasbaïa est une tribu qui répand et vit la pagaille, horde sonnante, chantante et
déferlante.
Dans la pagaille, des choses inhabituelles se rencontrent, s'amoncellent, s'empilent, trouvent
des concentrations, des températures nouvelles, et des contacts fertiles et prometteurs à qui
sait les observer, et profiter des pistes de création offertes.
La pagaille peut-être partout :
- dans l’univers : big bang, explosions, créations de planètes, comètes…
- dans la tête : confusion des sentiments, état amoureux, bégaiements…
- dans la maison : éparpillement d’objets éclectiques, à chacun sa pagaille…
- dans le monde : guerres, perturbations climatiques, pagaille monétaire, sur le net…
Mais de chaque désordre naît une nouvelle étape de création.
Objectif:
Faire ressentir au public, la possibilité du déclic, augmenter la vision du monde, créer du
temps, de l'espace, percevoir les chemins de traverse.
L'idée, c'est de proposer une boite à déclic (déclic créatif que l'on peut ressentir, ou saisir
lorsqu'on est en présence de pagaille, tas des choses inhabituelles, choses que l'on ne
comprends pas, événements surprenants....)
Dans ce concert spectaculaire sur la pagaille, dans tout ce qu’elle a de dévastateur, mais
également de drôle et de ludique, nous souhaitons donner un éclairage sur le monde, sur
nos façons de fonctionner ; interpeller les enfants sur ce qu’ils vivent, et sur les déclics
créatifs qui peuvent surgir même à l’intérieur d’un grand désordre.
Dossier pédagogique disponible sur demande
Contact: LA RASBAÏA- ASSOCIATION LA R.A.Vi
Adresse: 21 rue du Sergent Bobillot - 93140 Bondy
Contact diffusion: Christelle Dubuc/ Tel : 06 01 43 30 25/ Mail : [email protected]
N°SIRET: 450 803 101 00028 - Code APE : 9001 Z - Licence n°2-1066027
Choix artistiques:
1/ Mélange d'instruments anciens réappropriés mêlés aux techniques de son plus
récentes : La voix, les souffles, le jeu sur les instruments tels que la guitare électrique,
l’harmonium à soufflets, les antennores (instruments inventés par le compositeur à partir de
tiges filetées et de corps de guitares ou de bassines), le tuba, et l’épinette, réactualisés dans
une musique ne reniant aucune influence (de l’apport des musiques traditionnelles à
l’énergie du rock), l’utilisation d’objets pour les rythmiques plutôt que la batterie, donnent un
ton acoustique - rock - contemporain - artisanal à l’ensemble du spectacle.
2/ Textes :
Les textes des chansons ont été écrits à partir d’impressions, de réflexions, de paroles
d’enfants entre 7 et 10 ans, recueillis lors d’une résidence dans 2 classes de primaire,
CE2/CM1, initiée par la Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay sur Seine. Ils évoquent
leurs préoccupations sur leur environnement aussi bien familial que « hors les murs ». Le
choix de construction textuelle va de l’Oulipo au poème versifié, du slogan tribal à la
mélopée voyageuse.
Note du compositeur Jean-Luc Priano :
Nous avons créé une boite à déclic sémantique, musicale (boites à son, objets sonores
inventés) et visuelle : boites, valises, cartons que l’on ouvre et qui déversent à la fois objets
et lumières. Ces « accidents » sont générateurs de jeux musicaux et gestuels déclenchant la
pagaille, provocant l’inattendu. Le concert offre une part invasive et interactive avec le public
(jouer, lancer des objets, scories de notre pagaille) de manière à susciter l'inattendu, pour
des rendez-vous/ rencontres entre les interprètes.
Mon travail dans ce projet s’est centré sur la production des chansons (certaines écrites
également par Bérengère Altieri-Leca) et musiques, qui surgissent, s'entrelacent, s'empilent,
se crient, se chuchotent, et que nous utilisons comme matière première. D'où, des
propositions soit très directes (J'veux un kebab, PS3, Sauvé par le Gong, Il faut se taire,
Trop de stress…) soit poétiques (Big Bang, Viens jouer), soit les 2. Supports avec lesquels
nous nous amusons, et semons la pagaille. Nous jouons sur le changement d'apparence (de
taille, habits qui s'écroulent sur nous afin de nous transformer). Je voudrais que le public
sorte en ayant emmagasiné quelques déclics à retardement, en ayant ressenti que du
chaos, naissent les déclencheurs nécessaires à la création. La musique a été écrite dans le
cadre d’une résidence partagée entre plusieurs villes : Le studio La R.AVI à Bondy (93studio de résidence permanent), l’Espace 1789 à St Ouen (93), la Salle Jean Vilar à Mitry
Mory (77), l’Espace 93 à Clichy-sous-bois (93), le théâtre des Sources de Fontenay aux
roses (92). Une résidence en école dans le cadre des ateliers initiés par la MTD d’Epinaysur-Seine a permis d’explorer en amont de la création du répertoire, les richesses musicales
et les timbres des objets collectés et construits par les enfants avec la scénographe du
groupe.
A partir de jeux vocaux, rythmiques et mélodiques, mêlant oralité et manipulation d’objets
détournés, nous avons fait une expérience de la dynamique des sons, aussi bien avec les
mots qu’avec les objets et les instruments.
Forts de cette expérience, les compositions de musique et de prose laissent une belle place
à la polyphonie et aux poly-rythmes où les voix vont du souffle au beat-boxing, rebondissent,
se reconstruisent, émergent d’un silence, ou d’un tas de sons en vrac, pour retourner à un
chaos et reprendre une autre forme.
L’instrumentation entre univers classique (harmonium à soufflets, épinette, tuba, cloches
tubulaires) et musique actuelle (guitare électrique), agrémentée par des objets détournés et
des instruments inventés (antennores) est au service d’une musique influencée, aussi bien
par des musiques ethniques pour les structures rythmiques, que par le rock, allant du slam
cousu main à la comptine underground.
3/ La pagaille, objets scénographiques sources musicales : Grâce à une scénographie
sonore en perpétuelle évolution, nous mêlons musique et mouvement, jeux visuels et
sonores à des compositions musicales et textuelles élaborées. La recherche d’objets
sonores a été effectuée suite aux ateliers d’art plastique proposés pendant la résidence en
école primaire d’Epinay et une recherche approfondie pendant le temps de la création en lien
avec l’écriture musicale. Un va et vient permanent s’est effectuée entre l’apport d’objets
sonores et les nécessités liées à l’écriture.
Note de la scénographe : Karima Rekhamdji, plasticienne, peintre, décoratrice:
J’ai réalisé une scénographie où l’éclectisme, la diversité des matériaux collectés, des objets
que nous avons écoutés, les sons qu’ils produisent, seuls, en tas, en frottement, en
percussion, les laissés pour compte de notre consommation quotidienne, permettent de
créer un univers ; par touches, une poésie chromatique, une fantasmagorie proche des
surréalistes, une mise en scène onirique de tous nos débordements.
« Classer, compter, énumérer, inventorier, les hommes ont toujours voulu mettre de l’ordre dans le
chaos. Ils ont tenté d’organiser le monde, de lui donner un sens et une des premières choses qu’ils
ont faite est dresser une liste. C’est la liste poétique qui a retenu mon attention ici. Elle est une
tentative par l’esprit humain de se saisir d’une chose plus grande que lui-même. Elle est un moyen
pour dire l’indicible… L’énumération, la compilation, la classification ne s’achèvent jamais : elles
ouvrent vers l’infini. Une liste, c’est l’énumération de choses essentielles ou futiles, c’est
l’arrangement aléatoire ou structuré d‘éléments cohérents ou disparates, c’est un classement toujours
provisoire, c’est l’organisation incongrue ou harmonieuse d’objets réels, virtuels, imaginaires ou
symboliques. C’est l’entassement volontaire ou hasardeux d’ensembles homogènes, c’est
l’accumulation de définitions nécessaires ou chimériques, c’est l’aboutissement dialectique du
dialogue utopique entre le rêve et la raison. C’est le vertige qui nous prend devant l’agencement
impossible du monde ; un processus utilisé par les artistes. » Umberto Eco
Bérengère Altieri-Leca, chanteuse, chorégraphe, co-auteur de La Rasbaïa :
Le mouvement est le lien entre la musique et la scénographie, servant le processus de
déconstruction-reconstruction. La danse naît de l’utilisation des objets et suit organiquement
le chemin où les objets, de par leurs formes et leurs sons la conduisent. Chaque geste est
propulsé par la nécessité d’agir musicalement ou guidé par la dramaturgie. Le rapport entre
les corps et les instruments est exploré d’une manière plastique et visuelle, l’instrument
devient personnage, sculpture, ou prolongation du corps. L’engagement corporel des
musiciens permet de développer une dimension ludique et poétique de l’espace scénique.
Extraits video en ligne :
http://youtu.be/5mblYytwE_w
Titres du concert disponibles en mp3 :
Sur le site du groupe www.larasbaia.com en rubrique ECOUTER
Instruments utilisés pendant le concert
Harmonium à soufflet: Instrument à vent, à anches libres, à clavier et à soufflerie, inventé
par Alexandre- François Debain en 1842.
Batterie: instrument de percussion constitué de plusieurs tambours et de cymbales.
Cajon: instrument de percussion constitué d'une caisse munie d'un timbre (corde fixée à la
planche de frappe, qui vibre et rentre en résonance quand le percussionniste joue)
Guitare électrique: instrument à cordes pincées, relié à un amplificateur.
Tuba: instrument à vent de la famille des cuivres.
Antennores: Instrument de percussion tempéré (accordé) inspiré des structures Baschet,
constitué de tiges filetées de différents diamètres vissées dans un manche en bois, le tout
fixé à la caisse de résonance d'une guitare classique à laquelle on a ôté les cordes et le
chevalet (là où se fixent les cordes).
Antennore Libellule
Antennore Coccinelle
Antennore Scarabée
Antennore Phasme
Epinette: Instrument à clavier, à cordes pincées, de la même famille que le clavecin et le
virginal. Vient d'Italie.
CV des artistes
Jean-Luc
PRIANO,
Compositeur,
auteur,
pianiste,
guitariste,
banjoiste,
harmoniumiste, chanteur
Formé à la musique classique (piano, guitare, harmonie, écriture), après un passage par le
jazz et les musiques du monde (CD "Cruz del sur" / Night & Day 1996), il écrit des musiques
pour le théâtre pour le metteur en Scène Benoit Lavigne ("Roméo et Juliette" de
Shakespeare/2005, "Beaucoup de bruit pour rien" de Shakespeare/2002, "la Jalousie du
barbouillé" de Molière/ 2000, "Le Concile d’amour"/1996 d’Oscar Panizza), pour le metteur
en scène Rafael Bianciotto ("grandeur et misère du 3ème Reich"/2007, “Candide” de
Voltaire/2010-11), pour le metteur en scène Dimitri Dubreucq ("Le Premier" d'Israël
Horovitz/2012), pour la danse avec Marion Bae et Bérengère Altieri-leca ("Au pied de la
lettre"/2001, "Ottone"/1999) et Claudia Gradinger ("bêtes de scène-Cow girl-Cocus
Magnifiques-Es Menchelt"/2002-2004) et compose la bande originale pour le court métrage
"La Joueuse" de Zohar Michel (Cannes junior 2003). Puis, mêlant écriture de textes et de
musiques, il réalise des albums de chanson française actuelle (Céline Caussimon : "Le
moral déménage" - Chant du monde – Harmonia mundi 2007, Michel Jeanneret : "Famille,
genres et espèces" - Mosaïc music 2008), et crée son groupe de chanson française La
Rasbaïa (CD "Tes yeux doux"/2004, "Gare aux grands singes"/2008 - Mosaïc Music/
Indiz.com, "Appel d'airs"/2011 - Indiz.com).
Bérengère Altieri-Leca, auteur-compositeur, chanteuse, danseuse
Elle s’est formée à la danse auprès d’Odile Duboc, de Viviane Serry, de Mark Tompkins,
Thierry Bae et Dominique Mercy et Hans Zulig (Ecole d’Essen).
Elle se forme au chant auprès d’Hélène Delavault, Laurence Saltiel, Christiane Legrand,
Gilles Petit, Elysabeth Demangeon, et Laurent Mercou au studio des variétés.
Elle s’initie au théâtre à l’Atelier de Blanche Salant, avec Tapa Sudana (comédien P. Brook,
formateur à la Footsbarn cie), et au clown avec Pierre Byland.
Elle a dansé avec plusieurs compagnies de danse contemporaine : Odile Duboc, Andy
Degroat, Didier Théron, V.O Traits de Ciel dirigée par Thierry et Marion Bae. Elle a
également fait partie de la Cie Philippe Genty et de la Cie Les Piétons, théâtre vocal et
gestuel, dirigée par Jean-Marie Maddedu. Elle crée ses propres spectacles avec
l’association La R.A.Vi et chorégraphie pour les Zic Zazou.
Elle fait partie de la Cie du Porte voix, théâtre musical pour l’enfance.
Elle organise des événements improvisés rassemblant des danseurs, des musiciens, des
comédiens, des peintres : les Improvisoires.
Elle chante dans le groupe La Rasbaïa créé par le compositeur Jean-Luc Priano.
Elle enseigne depuis de nombreuses années dans différents centres culturels,
conservatoires, et donne des stages et des masterclasses en province et à l’étranger. Elle
enseigne les arts de la scène aux classes CHAM du conservatoire de Bondy pour lesquelles
elle crée plusieurs mises en scène.
Gonzalo Campo, percussionniste, batteur, chanteur-comédien
Né au Chili en 1974, Gonzalo apprend la guitare puis se forme à l’électroacoustique pendant
un an. Il aborde ensuite le saxophone alto et la batterie à l'âge de 15 ans. En 1996, il obtient
le Premier Prix de batterie de l’Ecole Nationale de Musique d’Argenteuil avec Gérard
Siracusa. Il apprend les percussions afro-cubaines (congas, bongos, timbales, campana,
palitos, tambours Bata) et d’Afrique de l’Ouest (Djembé et Dounoubas) avec Christian
Nicolas, et en 2005, il obtient le Premier Prix de Percussions Traditionnelles de l’Ecole
Nationale de Musique d’Argenteuil.
Gonzalo crée en 1999 avec Michel Taïeb la Compagnie “Le Son du Bruit”, et obtient avec
son spectacle “Le son des choses” le Premier Prix National du “Projet Initiative Ville”.
Dans ce spectacle, les objets domestiques sont détournés à des fins musicales. Il enseigne
la percussion et la batterie en milieu scolaire (Gennevilliers, Saint Mandé, Argenteuil,
Bondy), en écoles de Musiques (Beauchamp, Argenteuil, Magnanville), et également à
l’IUFM de Cergy.
Il est aussi interprète Franco-espagnol pour l’ISADAC (Institut d’Art Dramatique) de Rabat
(Maroc).
Entre 1996 et 2010, il multiplie les spectacles et les concerts avec ses différents groupes. Il
joue et enregistre la batterie et les percussions avec les “Martine City Queen”, le “Bal des
Martine”, “La Rasbaïa”, le “Nomade Quintet”, “AlisonYoung”, Hugh Coltman, Claude
Barthelemy, Teddy Lasry, Talila, “Tomuya” avec “Bernard Lavilliers”, “Lio”,
“Pierpoljak”,Liane Foly” et “Wasis Diop”.
Il se produit dans nombreux festival en France, Autriche, Allemagne, Syrie, Jordanie,
Belgique, Maroc, Venezuela, Brésil, Suisse ou Singapour.
Musicien, compositeur et pédagogue, il travaille depuis 1998 avec d’importantes compagnies
de théâtre de rue françaises comme “Oposito”, “Les Piétons”, “Décor sonore”, et
“Déviation”. A la fois compositeur, répétiteur, comédien, et interprète, il s’épanouit et
s’enrichit de la diversité des formes artistiques présentées par ces compagnies.
Pascal Rousseau, Tubiste
Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, mention très bien avec
félicitation en Improvisation, professeur Alain Savouret, et Bien avec Félicitation pour la
prestation artistique en Tuba, professeur Gérard Buquet.
Invité à se produire en soliste, tant en classique qu’en musique improvisée, il anime en plus
des masterclasses spécifiquement dédiées à la musique improvisée.
Il se mêle à des jazz-men (Nicolas Folmer, François Théberge, Jean-louis Pommier,
François Merville) et joue régulièrement, de la petite formation (Animus Anima quintet en
Belgique) au Bigband (à suivre…XTET Bruno Régnier). Il rejoint même de grands
musiciens improvisateurs russes dans le ZooJazz Project (Sergey Letov, Ivan Sokolevski).
Il pratique le théâtre instrumental (off-Avignon, Volcan du Havre avec François Chattot) et le
théâtre de rue (d’Aurillac à Bangkok). De plus, il se lance dans l’écriture et la réalisation de
courts métrages expérimentaux. Il joue dans le dernier spectacle de la Cie Oposito, avec le
groupe La Rasbaïa et la Cie Zéfiro théâtre. Il crée le duo TUBADANSE, avec Bérengère
Altieri-Leca.
Crédit photos: Karima Rekhamdji – Hervé Boutet – Jean-Luc Priano
La Rasbaïa- Revue de presse écrite et radios:
« Les textes sont d’une poésie pertinente et riche qui tranche avec l’égocentrisme et le
nombrilisme symptomatiques de l’époque. Les musiques n’ignorent rien, de la rythmique la
plus animale aux mélodies les plus intimes. Le talent de La Rasbaïa est dans la vie qui
parcourt dans toute sa diversité chacun de ses morceaux... » Chorus Michel Trihoreau
« Côté musique, nous ne sommes pas déçus non plus car si l’on s’attend au départ à quelque
chose de festif, on se rend vite compte de la richesse du groupe, capable de belles balades ou
de montées très rock.
Gare aux grands singes, clin d’œil au Gare au gorille de Brassens d’un groupe qui ouvre
les yeux sur le monde et qui, comme le grand Georges, nous montre que les primates sont
les homos sapiens d’aujourd’hui. » Francofans magazine, Stéphanie Berrebi
« Les six musiciens-chanteurs ont littéralement déposé un voile d’intelligence sur le Jardin des
Carmes…Leur musique joyeuse mais acérée, porte un regard critique sur notre monde
déboussolé… Le groupe La Rasbaïa est reparti sous les vivas. » La Montagne
« Bien loin des rimes toutes faites, la Rasbaïa a un talent précieux pour dire les choses tant
au niveau des textes qu’au niveau des musiques…si l’écoute de l’album fait un certain effet,
les chansons prennent encore plus d’envergure sur scène. Les musiciens laissent parler le
comédien qui sommeille en eux et offrent un jeu de scène époustouflant. »La voix du Cantal
« Six musiciens assez loufoques dans un répertoire qui mêle chansons, rock et jazz . A voir ».
Figaroscope - Annie Grandjanin
« Sur la Scène nationale d’Evreux-Louviers, La Rasbaïa propose un répertoire de chansons
engagées et humoristiques dans un spectacle tonique et entraînant où la bonne humeur est
garantie…véritable métissage culturel, du côté des textes on se délecte de propos comiques et
déjantés parfois un brin enfantins…des rimes, des jeux de mots, des images, l’orchestre excelle
dans le décalage. » La Dépèche d’Evreux
Ces deux auteurs-compositeurs communiquent au reste de la troupe leur enthousiasme et
leur dynamisme. Si par bonheur vous croisez La Rasbaïa sur votre route ne manquez pas
ce spectacle drôle et intelligent». J.J.Sacquet, Paris-Montmartre
« La Rasbaïa : Six chanteurs-musiciens qui, en solo comme en collectif, vous refont le monde
en le teintant (c’est plus joli) de moult couleurs musicales. La prestation est aussi bonne
que l’est leur disque… » Michel Kemper, Le Progrès.
« …ils ont emmené le public dans leur univers bigarré. La pêche y était, l’humour et la
conviction aussi et cette fois encore un regard acéré sur le monde.» Le progrès du HautDoub.
Radios :
France :
France Inter, «Sous les étoiles exactement» Serge Levaillant, Fip, Fréquence Paris Plurielle
Jacques Roussel, « Allègrement vôtre en chanson plurielle», Radio Libertaire (Bernard Carré),
IDFM, Enghien, radio Traits d’Union (Lyon), radio Plurielle (Saint-Priest), SolFM (SaintOullins), radio Hélène FM (Rochefort), radio Dio, Saint-Etienne, radio France Bleue Besançon,
radio France bleue Tarn,Tropique FM…
http://www.francodiff.org/fr/2-les-media-en-parlent/5-les-commentaires-des-radios/4177-larasbaia/?s_alpha=L&page=2
International :
Azul FM Montevideo, Uruguay : rythme très sympas !/
ERT 3 - Emission Omorfh Polh Thessalonique Macédoine-Centrale, Grèce : le mélange du
romantisme avec le son contemporain est attirant/
Francophonie Express Montréal, Québec : Un groupe qui mène bien son petit chemin.../
Love FM Fukuoka, Japon : Un titre en duo qui est vraiment très sympa. C'est frais et ça redonne
plein d'énergie !/
Radio Gladys Palmera Barcelone, Espagne : Fresh sound /
Radio Internationale d'Athènes, Attique, Grèce : J'adore! Les paroles sont intelligentes et le
rythme super! /
Radio Nacional d'Andorra Andorre la Vieille: buen tema /
Radio Paris La Paz La Paz, Bolivie : Una experiencia musical agradable al oído... los oyentes
dirán si tiene futuro. /
WSLR 96.5 LPFM Sarasota, Floride, Etats-Unis : quirky and pretty chanson style.