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10 '+ )/aXem`\i)'(' DEPOT : BRUXELLES X <;@KF Laissez-nous entreprendre! C’est le cri lancé par le banc patronal auquel est associée la Fédération Wallonne de l’Agriculture en qualité de membre de l’Agrofront. Comme tous les autres acteurs de la société, les chefs d’entreprise de notre pays sont confrontés aux conséquences de la crise économique. Dans ce contexte global, ils ne peuvent être injustement maltraités et accusés d’être la cause de tous les maux. PmXe ?Xp\q Anticipant la manifestation des syndicats d’employés prévue ce vendredi à Bruxelles, l’ensemble des organisations patronales du Nord et du Sud du pays s’est exprimé d’une seule voix ce lundi pour réhabiliter l’image des entreprises et du monde patronal en général, injustement attaqué dans le contexte économique difficile que nous traversons. Lors de la conférence de presse, le Président de la Fédération des Entreprises de Belgique, Thomas Leysen, a mis plusieurs propositions sur la table dans la perspective de la prochaine négociation interprofessionnelle qui doit avoir lieu fin 2010. Un agenda pour la compétitivité Pour les employeurs, l’aspect le plus important de la compétitivité consiste à réduire les coûts directs et indirects. Et Thomas Leysen d’ajouter que dans notre pays les coûts salariaux sont en moyenne 11% plus élevés que ceux des pays voisins (Pays-Bas, France et Allemagne). A cela vient s’ajouter du supplément important en matière de coût énergétique, ce qui alourdit d’autant le handicap de nos entreprises. C’est pourquoi le président de la FEB plaide pour l’établissement d’une feuille de route pour éliminer les handicaps du système.Toute augmentation directe ou indirecte des charges, toute forme de formalités administratives supplémentaires seront préjudiciables à la compétitivité des entreprises. Le banc patronal ne peut l’accepter et il avertit que le moindre pas dans ces directions vouera inévitablement la concertation interprofessionnelle à l’échec. De profondes réformes structurelles 1BHFTh Des réformes structurelles à moyen et long termes ayant pour but de préparer notre société à l’après crise sont indispensables. Au premier rang de celles-ci, il convient d’unifier les statuts Des réformes structurelles à moyen et long termes ayant pour but de préparer notre société à l’après crise sont indispensables. d’ouvriers et d’employés. Pour les employeurs, le droit de licenciement doit devenir identique pour tous les travailleurs du pays. Ceci implique une harmonisation en matière de délai de préavis, d’exonération fiscale sur les primes de licenciement et d’un régime de chômage avec une plus forte activation de remise à l’emploi. La conférence nationale sur les pensions doit aboutir au plus vite en tenant compte de l’augmentation de l’espérance de vie dans notre société et donc du vieillissement futur. Les employeurs demandent au Premier Ministre, en collaboration avec le Ministre des Pensions, de clô- turer rapidement la conférence nationale sur les pensions afin de pouvoir conclure à temps avec les partenaires sociaux un Pacte sur la fin de carrière et la pension. Enfin, l’innovation et le «verdissement» de l’économie sont au cœur des recommandations du banc patronal. Ce dernier est disposé à mettre tout son savoir-faire à disposition dans le cadre d’une concertation avec les pouvoirs publics afin d’accroître, notamment l’efficacité énergétique de la construction et de la production dans les années à venir. Des politiques nouvelles en matière d’innovation et de «verdissement» de l’économie doivent se refléter de façon visible dans les choix budgétaires. Siégeant sur le banc patronal au Conseil Economique et Social de la Région wallonne et de la Communauté française ainsi qu’au Conseil Central de l’Economie, la Fédération Wallonne de l’Agriculture exprime sa totale solidarité aux employeurs. Elle tient à rappeler que la concertation sociale est un élément-clé de la vie socio-économique de notre pays et qu’elle a fait preuve de toute son utilité, notamment lors d’une crise politique prolongée il y a peu. Cette concertation sociale ne peut pleinement s’envisager que dans un respect réciproque !!" des organisations représentatives des employeurs et des employés. Plus globalement, la responsabilité de la grave crise économique que nous traversons, ne peut être imputée de manière unilatérale à l’un ou l’autre des partenaires sociaux. Zwischen Eupen und Sankt Vith Informationen in deutscher Sprache auf den Seiten 20-21 8:KL8C@KyJ Situation des livraisons en laiterie – Décembre 2009 Selon les chiffres encore provisoires établis par la Région Wallonne (DGO 3) sur base des déclarations mensuelles de l’ensemble des acheteurs, voici l’évolution des livraisons pour décembre 2009. 8cX`e DXjli\ Ce mois de décembre renoue avec un tassement de la production. Les livraisons corrigées et cumulées sont de plus de 3 % en-dessous du quota théorique 2009/2010, et la production est redevenue inférieure à celle du même mois en 2008. Malgré, cependant, un taux moyen de matière grasse qui a encore augmenté (de 0,08 g/litre sur le mois précédent, mais de presque 3,5 g/litre depuis juillet) . Les livraisons du dernier quart de la campagne seront évidemment déterminantes, mais il est quasi certain qu’il n’y ait pas dépassement du quota, vu que janvier semble être fait «du même bois». Le prélèvement anticipé wallon, entré en vigueur depuis la Toussaint pour les livraisons d’octobre, demeure un frein pour certains, de même que la mesure flamande prise par les acheteurs. Mais il y a très probablement une autre raison qui peut expliquer cette tendance baissière : les prix toujours très «tièdes» et peut-être, qui sait, une prise de conscience plus nette que la régulation de l’offre commence par les producteurs eux-mêmes. Les livraisons corrigées de lait aux laiteries (correction matière grasse comprise sur base de la référence moyenne de 38,04 g/litre) pour décembre 2009, neuvième ® Pour augmenter l’immunité de votre bétail 99986396/0410 PLC jht NOUVEAU +50 mg/kg Se! Une équipe de nutritionnistes à votre service Pierre LALOUX 0475/65.94.63 Damien GREGOIRE 0473/52.33.96 Nicolas LEROY 0478/54.65.24 Mathieu DECOSTER 0498/97.97.60 Ets P. LALOUX s.a. - Zoning industrielle de Sclayn Anton 5300 ANDENNE - Tél. : 085/84.60.36 - Fax : 085/84.91.09 "LE BOVIBLOC I/SE REMPLACE LE BLOC DE SEL ORDINAIRE POUR UN PRIX QUASIMENT SIMILAIRE" ) )/aXem`\i)'(' Sources: chiffres provisoires sur base des déclarations mensuelles des acheteurs Suite à l’article de la semaine dernière intitulé « Epandage: petit rappel» nous apportons aujourd’hui un complément d’information. E`kiXnXc Si les conditions d’épandage le permettent, sur prairie, l’épandage d’engrais de ferme à action rapide (lisier, purin, fumier mou, fientes et fumier de volailles…) est autorisé à partir du 16 janvier pour autant que l’apport d’azote organique ne dépasse pas 80 kg par hectare durant la période comprise entre le 16 et le 31 janvier. Par contre, sur terre arable, l’épandage d’engrais de ferme à action rapide est interdit jusqu’au 15 février. Quelle que soit la culture fertilisée, l’épandage devra être réalisé moyennant le respect des conditions climatiques. L’étude de l’Observatoire des prix et des marges en voie de finalisation Le Ministre pour l’Entreprise et la Simplification a répondu récemment à la Chambre à une question de la députée fédérale Karin Lalieux. Celle-ci constate que la contribution de la grande distribution au Fonds de solidarité laitière a en fait été payé par le consommateur, et demande où en est l’étude de l’Observatoire des prix et des marges sur l’évaluation divergente des prix du lait à la production et à la distribution. M. Vincent Van Quickenborne, le Ministre concerné, le Fonds de solidarité a été créé au moment fort de la crise du lait. Il s’agissait d’un accord résultant d’une coopération entre les organisations des producteurs et du SPF Économie. Depuis le début des négociations, plusieurs conditions ont été imposées, à savoir les conditions de limitation de l’accord à une durée de six mois, laquelle a été respectée; cet accord ne pouvait déboucher sur une concertation de prix dans la distribution. […] La nourriture est un bien vital et donc crucial pour le consommateur, souligne M. Van Quickenborne. L’accord tempo- raire relatif à un supplément sur le prix du lait était nécessaire pour remédier à une situation de crise. «L’avenir du secteur doit à présent faire l’objet d’une approche structurelle. Il est grand temps, en Europe aussi, de trouver une solution structurelle pour la problématique du lait mais aussi d’autres aliments». Un instrument essentiel L’Observatoire des prix du SPF Économie est à cet égard un instrument essentiel qui fournit aux négociateurs des chiffres objectifs et scientifiques. Les premières analyses de l’Observatoire concernant les prix du lait, basées sur des chiffres propres et sur des informations complémentaires du secteur, n’ont pas révélé des irrégularités au niveau de la formation des prix dans les différentes étapes de la chaîne du lait. Compte tenu de la discussion persistante sur les marges de prix laitiers, M. Van Quickenborne a demandé encore plus de transparence et un affinement supplémentaire des analyses antérieures dans les mois qui viennent. Le travail est en cours. «L’Observatoire a déjà reçu des chiffres détaillés complémentaires de la part des entreprises du secteur de la distribution. Il finalise son étude qui devrait paraître d’ici quelques semaines». Agriculture et changements climatiques: influences diverses BOVIBLOC I/Se Le BOVIBLOC® I/SE est un bloc de sel enrichi en Iode et en Sélénium mois de la période 09/10, se chiffrent à quelques 274.292.707 kilos. On est à nouveau en-dessous des quantités théoriques maximales de 5,19 % , cette fois, pouvant être livrées pour ce mois dans la limite du quota annuel (moyenne des livraisons 06/07, 07/08 et 08/09, compte tenu des augmentations au 1er avril 2009 de 1 % du quota national et de 20.000 tonnes d’osmose temporaire). Cela représente également une sous-production de plus de 6,2 % par rapport à décembre 2008. Les résultats moyens mensuels en matière grasse et matière protéique sont respectivement de 43,54 et de 35,17 g/litre (ils étaient de 43,55 et 35,10 g/l en décembre 2008). En termes de livraisons réelles (261.713.575 kilos), on revient également en-dessous de celles de ce même mois de 2008 de 1,92 %, soit environ 5 millions de litres, situation déjà connue en septembre et octobre. Le cumul des livraisons corrigées aux trois quarts de la campagne (période avril-décembre) s’établit à 2.450.312.556 kilos, soit 3,2 % en-dessous des quantités théoriques maximales pouvant être livrées (mêmes références que ci-dessus), et à peine 0,3 % (un peu plus de 8 millions de litres seulement) au-dessus des livraisons cumulées à cette même date en 2008/2009. Les résultats moyens en matière grasse et matière protéique sont respectivement de 41,80 et de 34,44 g/litre pour ces 9 mois (ils étaient de 41,85 et 34,73 g/litre en 2008/2009). Enfin, les livraisons réelles cumulées (2.372.411.094 kilos) dépassent encore de 3,63 % celles de ces mêmes 9 mois en 08/09, soit 80 millions de litres en sus de 2008. Epandage de lisier, purin…: précisions Les théories les plus diverses, et souvent peu vérifiées, circulent à propos de l’influence éventuelle de l’agriculture sur le changement climatique. Tandis que le potentiel des prairies est plutôt mésestimé, l’abus d’intrants auquel procèdent certains pas émergents n’est quant à sa part fréquemment peu connu. Les prairies ont un vaste potentiel inexploité pour atténuer le changement climatique en absorbant et en stockant le CO2, selon un nouveau rapport de la FAO. Elle estime que les pâturages et les parcours (superficies couvertes de végétation naturelle ou peu artificialisées) représentent un puits de carbone qui, s’il est bien géré, pourrait être plus important que les forêts. Les pâturages stockent 30 % du carbone du sol dans le monde en plus de la quantité importante de carbone du sous-sol retenue par les arbres, les buissons, les arbustes et les graminées. Mais ils sont particulièrement sensibles à la dégradation des sols, note la FAO. Sensibilité à la dégradation des sols Quelque 70 % des pâturages souffriraient du surpâturage, de la salinisation, de l’acidification. La pression sur les terres s’accroît également pour satisfaire la demande en viande et produits laitiers, constate la FAO. Selon elle, des pratiques de gestion améliorées susceptibles de restaurer la matière organique des sols des prairies, de réduire l’érosion et de diminuer les pertes provenant des incendies et du surpâturage pourraient contribuer à séquestrer de grandes quantités de carbone – jusqu’à 1 milliard de tonnes par an. Mais cela nécessiterait un effort mondial vigoureux et coordonné ainsi que des financements appropriés, ajoute l’agence de l’ONU, qui recommande un objectif plus réalisable dans l’immédiat. Il s’agirait pour la FAO de faire en sorte que 5 à 10 % des terres de parcours soient gérés de manière à séquestrer le carbone d’ici à 2020. Cela permettrait de stocker 184 millions de tonnes de carbone par an, précise-t-elle. Agriculture chinoise surconsommatrice d’engrais «Peu de gens sont conscients que l’agriculture est le plus grand pollueur en Chine, ce qui devrait pourtant être un sujet d inquiétude majeur», selon Wen Tiejun, directeur de l’Ecole d’économie d’agricole et de développement rural de l’université chinoise Renmin. Une étude publiée notamment par cette université souligne que les engrais chimiques ont aidé la Chine, pays le plus peuplé du monde, à nourrir sa population malgré une superficie agricole limitée, mais que l’utilisation excessive de ces substances a nui à l’efficacité du secteur et provoqué une forte pollution. Les agriculteurs, surtout dans le nord du pays, déversent sur leurs cultures 40 % d’engrais de plus que nécessaire, selon ce travail de recherche. Ce qui se traduit, chaque année, par le déchargement dans l’eau de quelque 10 millions de tonnes de substances, au détriment des rivières et des lacs. La Chine assure 24 % de la production mondiale de céréales, mais elle est à l’origine d’environ 35 % de la consommation d’engrais. Sa production de céréales a augmenté plus de 8 fois depuis les années 60, tandis que sa consommation d’engrais augmentait environ 55 fois, selon l’étude. Celle-ci propose aux autorités de réduire les subventions aux fabricants d’engrais et de renforcer leur soutien aux agriculteurs qui utilisent les déchets animaux. CF:8C 8D@:8C<;<JI<KI8@KyJ ; < C 8 = N8 Le Brabant Wallon ouvre l’année 2010 des débats Ce mercredi 6 janvier, les sections FWA de la province du Brabant Wallon organisaient la première rencontre politique de l’année qui en comptera sans doute beaucoup d’autres. Avec son style franc et direct, le Président de la Section locale de Genappe Nivelles, Pierre Vromman, a accueilli les différentes personnalités politiques présentes en traçant les principaux axes du débat. C’est Isabelle Durant, vice-présidente du Parlement Européen, qui représentait la formation Ecolo. A ses côtés, Sabine Laruelle, Ministre Fédérale (MR) et Marc Tarabella, Député Européen (PS) et membre de la commission agricole du Parlement Européen. Invitée et excusée, Anne Delvaux (cdH) n’a malheureusement pu se faire remplacer. Dans l’assemblée, qui comptera également André Flahaux (PS) et Thérèse Snoy (Ecolo), une cinquantaine de per- sonnes attentives aux propos d’un plateau de qualité. Chacune des personnalités présentes a eu l’occasion de s’exprimer autour de trois thématiques. L’avenir du budget agricole, la régulation des marchés et les modalités d’octroi des aides directes. Sur le premier thème, et bien qu’il fasse l’objet de convoitise évidente, le maintien d’un budget agricole à son niveau actuel fait l’objet d’un consensus. Au-delà d’un clivage sur la ques- Hainaut tion qui est plus géographique que politique, les trois personnalités s’accordent pour considérer que le maintien est essentiel à notre agriculture et à la souveraineté alimentaire de l’Europe. Sabine Laruelle a notamment rappelé que la PAC ne coûtait que 2 euros par personne et par semaine, ce qui est tout à fait acceptable eu égard aux enjeux concernés. Sur le deuxième thème, les intervenants ont confirmé qu’à l’avenir les agriculteurs devraient être des acteurs de la régulation, sous une forme que le groupe d’experts haut niveau mis en place en novembre dernier devra définir. Au cours du débat sur ce point, la pertinence de maintenir ou non l’agriculture dans le cadre de négociations à l’Organisation Mondiale du Commerce a également été abordée. Pour sa part, Marc Tarabella a rappelé les initia- tives qu’il avait défendues en faveur d’une meilleure identification de l’origine des produits. Sur le troisième thème enfin, le débat reste très largement ouvert sur les modalités d’évolution d’un modèle historique vers un modèle lissé ou régionalisé en ce qui concerne l’octroi des aides directes. Isabelle Durant en particulier a très clairement exprimé que pour ce qui concerne Ecolo, il n’y a pas d’idée préconçue sur le sujet et que la prise de décision ferait appel à la concertation avec le secteur. Interrogé sur le nouveau Commissaire à l’Agriculture, le Roumain Dacian Ciolos, les trois orateurs ont exprimé un a priori positif vis-à-vis d’une personnalité qu’ils jugent compétente sur ses matières et ouverte d’esprit. Félicitation aux organisateurs pour la mise en place de ce débat. Fait pour vous par le service d’études 18/1 Gembloux: FWA-commission Production Animales Bruxelles: Conseil fédéral développement durableGT alimentation durable Rachamps: conférence actualités agricoles Namur: RTBF-chronique agricole radio 19/1 Bruxelles: Codiplan-Végaplan Liège: CESRW-commission Villes/logement/équipement/sécurité France-Laon: Nitrawal-projet Interreg Gembloux: Filières porcine et avicole-qualité des infrastructures et aides ISA Remouchamps: AREDB/DGA- journée lait Leuven: table ronde Boerenbond/Févia- viande bovine et durabilité Kain: conférence actualités agricoles Liège: CESRW- commission mobilité et aménagement du territoire Bruxelles: Conseil fédéral développement durablecolloque « biodiversité » 20/1 Gembloux: FWA- GT « royalties » réflexions semences fermières Jurbise: section régionale Mons- PAC-quotas Bruxelles: COPA -PAC Bruxelles: Comité économique et social européenséance plénière Jambes: Commission régionale des carrières- GT droit Bruxelles: FEVIA- code « bonnes pratiques commerciales » Jeudi 18 février A 12h30, Assemblée générale à la ferme du Rotteleur chez Pierre et Andrée Roisin à Thieusies. Dîner avec conférence-débat sur les orientations décisives de l’agriculture. Menu: apéritif et zakouski; terrine «maison» salade mesclun, confit d’oignons, toast brioché; longe de veau à la St-Feuillien, bouquetière de légumes, pommes dauphines; Paris-Brest; café. Le couvert tout compris 40 euros. Paiement au compte des Aînés du Hainaut 103-1149524-45. Contacts: Thérèse Vaucant 069/859.307, Thérèse Pécher 02/395.30.17 ou Andrée Roisin 065/728.394. Namur Jeudi 18 février A 14h, goûter aux tartes et jeux de cartes au centre de Zootechnie de Ciney. Jeudi 11 mars A 14h, goûter aux tartes et jeux de cartes au centre de Zootechnie de Ciney. Brabant Wallon Dimanche 14 mars 21/1 Leuven: Concertation Agrofront Bruxelles: COPA-Comité économique et social européen- plénière Gembloux: Centre de recherches/Réquasud- comité de gestion bases de données 22/1 Gembloux- Filière porcine wallonne-gestion Jambes: Cabinet Philippe Henry- clos d’équarrissage Namur: DGO3- comité de suivi PAC- bilan de santé Bruxelles: Afsca- comité consultatif Nivelles: CNE- rencontre FWA/CNE sur chaîne alimentaire Marloie: direction Nature et Forêts- Natura 2000cas pratiques Rochefort: Visites fermes Natura 2000 et MAE A 12h30, dîner annuel à la Commanderie de Vaillampont à Nivelles. Jean-Luc Fayt et son équipe proposent : apéritif et ses zakouski, filet de lingue farci au fenouil et poireaux, caille désossée farcie au riz de veau, Brie fondu sur salade aux pommes et aux noix, trilogie de desserts maison. Vin de circonstance choisi par les meilleurs œnologues du Roman Païs. Prix 45 euros par personne. Inscription auprès de Norbert Mullier. Tél 067/554.305 (entre 18 et 19h) ou auprès d’Etienne Plasman au 0474/544.336 (après 19h). Paiement par virement au compte Amicale des Aînés du Brabant wallon asbl, avenue du Monde 43/3 à 1400 Nivelles au 103-1149895-28. Clôture des inscriptions par preuve de paiement le 1er mars. s #!!"!#"" " #" (##"" ""#!#( s ""!")!! !! ! $" s " "!$" ") *" )/aXem`\i)'(' * ;@JKI@9LK@FE La Fedis a versé 27 millions d’euros au «Fonds de solidarité» laitier Le 12 janvier dernier, les différents partenaires de l’accord laitier signé pour six mois en juin dernier avec la grande distribution en présentaient les résultats à la presse dans les locaux du BIRB – maître d’œuvre de l’exécution financière- , à Bruxelles. L’accord s’est traduit par le versement de 27 millions d’euros, par la grande distribution, à un Fonds de solidarité laitière ainsi que par une augmentation moyenne de 1,8 cent/litre, soit plus de 8% du prix de base. Rappelons que, bien que en permanence et profondément engagée dans la négociation, la FWA n’a finalement pas signé cet accord, estimant à l’époque insuffisante la hausse à laquelle il aboutissait . Par ailleurs la grande distribution a répercuté sur le consommateur sa contribution de 14 cents par litre de lait vendu dans ses magasins. L’accord ayant atteint son terme, les prix y ont du reste été réduits du même montant, de même que le prix de base au producteur. I`Z_Xi[ :p[q`b En juin 2009, qu’après d’âpres discussions entre les organisations agricoles de l’Agrofront, la CBL et la Fedis, un préaccord était conclu concernant la contribution des entreprises de la grande distribution à un «Fonds de solidarité» en faveur des producteurs laitiers en proie à une crise sans précédent. Le texte prévoyait le versement par la grande distribution d’un montant de 0,14 euro par litre de lait vendu entre le 1er juin et le 30 novembre 2009. Le pré-accord s’est transformé en accord le 2 juillet 2009: les parties signataires étaient d’une part le Boerenbond, l’ABS et la CBL et d’autre part, la Fedis (qui regroupe les entreprises de grande distribution). Comme cela a été répété dans l’éditorial de notre Secrétaire Général, Yvan Hayez, la semaine passée, la FWA n’a pas signé cet accord – bien qu’elle ait été profondément impliquée dans les rudes pourparlers qui y ont donné lieu – en raison non de son principe, mais de son insuffisance. En effet, la contribution de 0,14 euro au niveau de la grande distribution devait se solder à l’échelle du producteur par une augmentation de prix départ ferme de 0,02 euro: un montant jugé insuffisant par la FWA , en raison principalement de la part imputable à la grande distribution dans la commercialisation des produits laitiers, tel que retenu dans le cadre des négociations. Rôle central du Birb C’est le Birb, le Bureau d’intervention et de Restitution pour la Belgique qui, en vertu d’un protocole signé avec la Fedis et la CBL (approuvé par le Gouvernement belge et les parties signataires le 10 juillet 2009) qui était chargé de l’exécution «financière» de l’accord. Concrètement le secteur de la distribution verserait les 14 cents/litre au Birb, lequel le transférait aux entreprises laitières en fonction des volumes mensuels livrés, lesquels reversaient à leur tour la part revenant au producteur (évaluée approximativement à 2 cents/litre, en réalité un peu moins). Le Birb s’est acquitté de sa tâche avec rigueur et maîtrise s’est légitimement félicité, le directeur général Bernard Hennuy, lors de la conférence de presse. La Fedis ayant au total payé quelque 27 073 millions d’euros au Birb pour le total des six mois, tandis qu’une distribution de 26 044 millions a déjà été effectuée aux industries laitières. Il reste donc un solde d’un peu plus d’un million d’euros. Les volumes concernés sont impressionnants: les producteurs laitiers ont fourni 1,4 milliard de litres. vendus par Fedis (seuls 13% de la production laitière sont vendus par Fedis comme lait blanc). Un accord historique Le président du BB, Piet Vanthemsche, a mis l’accent sur le caractère historique de l’accord du 2 juillet 2009. Un accord qui a permis à pas mal de producteurs de survivre et qui représente un montant plus important que les contributions d’autres niveaux de pouvoir, notamment européen. Présentant divers graphiques sur l’évolution de différents paramètres (notamment ceux de plusieurs éléments de coût de revient: énergie, aliments pour animaux, etc.), il conclut à une légère amélioration du revenu des producteurs laitiers à la fin 2009. Tout en soulignant que pour l’ensemble de l’année 2009 la situation a bien entendu été catastrophique avec un prix payé inférieur de 8,5 euros les 100 litres par rapport à 2008. Dans ses conclusions, P Vanthemsche insistait sur l’extrême variabilité des facteurs influant sur le revenu au producteur laitier à l’avenir. Après P Vanthemsche, le président d’ABS H Vandamme rappela les modalités du code de conduite interprofessionnel pour la formation d’accords entre fournisseurs de lait et acheteurs. Il s’agit d’un code signé par les présidents des organisations membres de l’Agrofront, dont René Ladouce pour la FWA, ainsi que par la CBL, en la personne de son administrateur-délégué Renaat Debergh. «La volatilité ne profite à personne» Précisément, Renaat Debergh livrait aussi ses considérations sur l’accord du 2 juillet ainsi que sur le marché laitier à l’occasion de la conférence de presse (lire dans l’encadré le rôle effectif de l’industrie). Quant à l’accord luimême, il fut incontestablement bienvenu, même s’il ne s’est traduit que par un supplément de prix de 1,8 cent en moyenne par mois concerné, ce qui correspond tout de même à une augmentation de plus de 8% du prix de base. Pour la période de 2007-2009, R Debergh constate que le prix moyen apparaît légèrement plus élevé que pour la période 2004-2006. En fait, la période 2007-2009 a La contribution de 0,14 euro au niveau de la grande distribution devait se solder à l’échelle du producteur par une augmentation de prix départ ferme de 0,02 euro: un montant jugé insuffisant par la FWA , en raison principalement de la part imputable à la grande distribution dans la commercialisation des produits laitiers, tel que retenu dans le cadre des négociations principalement été marquée par des situations extrêmes, ce qui sera sans doute moins fréquent à l’avenir, mais n’est toutefois pas à exclure. En général cependant, il faudra s’accommoder de fluctuations plus fortes que par le passé. En cause tout simplement que ces fluctuations sont plus grandes aussi sur le marché mondial et que l’UE dispose aujourd’hui de protections beaucoup moindre face aux mouvements du marché mondial. Ce dont personne ne peut se réjouir car des degrés élevés de variabilité et d’incertitude ne profitent plus à personne. M. Debergh se risque à prévoir un marché laitier relativement stable en 2010, aux alentours du niveau actuel. Les évolutions effectives dépendront du développement de la demande en Asie et en Europe, de l’évolution du cours du dollar US, ainsi que la tendance que suivra la production laitière elle-même en Europe et dans le monde. Fedis: pour un partenariat commerce-agriculture Dominique Michel, administrateur-délégué de la Fedis, s’est félicité des résultats de l’accord du 2 juillet tout en affirmant qu’il n’est pas «rééditable». Il admet que l’agriculture représente un secteur atypique dans le marché libre (production liée aux saisons, délais de conservation limités, qualité du produit de base élevée…). Il n’en estime pas moins qu’un partenariat original est à mettre au point pour tous les acteurs. Aux yeux de la distribution, le consommateur est au centre de toute démarche: il faut donc produire et si nécessaire s’adapter en fonction de la demande. En tenant compte qu’il importe de conserver une posi- tion concurrentielle par rapport à l’étranger que ce soit en termes de prix comme de qualité. Pour M. Michel, il est nécessaire pour les producteurs de rechercher des plus-values dans des produits de niches (kiwi,…) et d’être prêts à se diversifier et de se reconvertir en fonction de la demande… La Fedis s’est déjà quant à elle, dit-il, d’ores et déjà engagée dans la production des produits belges (puisque 90% de la viande bovine et porcine, ainsi que les œufs vendus par les chaînes sont belges par exemple). Il plaida pour une concertation entre toutes les parties de la chaîne, si possible en sous-groupes. Le rôle de l’industrie laitière L’industrie laitière n’est pas peu fière d’avoir réalisé très rapidement la mise en œuvre technique du versement du supplément de prix à plus de 10.000 fournisseurs laitiers. Concrètement, chaque mois (pendant six mois) les acheteurs de lait ont entrepris les actions suivantes: - la détermination de ceux qui, parmi les fournisseurs laitiers, ont dépassé leur quota (ils ne reçoivent pas de supplément de prix); - le versement du supplément de prix pour chaque litre de lait livré à tous les fournisseurs laitiers y ayant droit; - établissement du décompte et communication de celui-ci au Birb. La CBL a participé activement à la réunion mensuelle d’évaluation au Birb. N°1 CONTRE Les consommateurs ont une bonne image LES DIARRHEES de l’agriculture wallonne MODE D’EMPLOI: ALIMENTAIRES Les consommateurs ont glo- lent une image positive de perseau 3kg PECTILOR PARFOIS IMITÉ, JAMAIS ÉGALÉ ! AUTRES SPECIALITES VEAUX: • CALVICOL: Colostrum lyophilisé • DIGIVO 5000 E: Pour une digestion parfaite du lait maternel (20g /repas) Toujours à votre service Nicolas LEROY: 0478/54.65.24 Mathieu DECOSTER: 0498/97.97.60 Damien GREGOIRE: 0473/52.33.96 Pierre LALOUX: 0475/65.94.63 La référence en nutrition-santé bovine 085/84.60.36 + )/aXem`\i)'(' 99986397/0410 plc jht • 50g/litre eau • 2 litres/veau / 2x par jour balement une bonne image de l’agriculture wallonne mais ils se posent des questions sur ses méthodes de production, sa rentabilité et ses impacts en matière d’environnement et de santé, révèle une étude du CRIOC. Plus d’un consommateur sur deux associe les produits wallons aux mots qualité, goût, parfum, saveur et sécurité. Les 613 personnes interrogées par téléphone n’évoquent par contre pas le produit wallon en termes de caractère naturel, artisanal ou bon marché. L’étude montre que la proximité joue un rôle dans la perception du produit wallon. Celui-ci est en effet plus apprécié au sud du pays qu’au nord. Concernant les agriculteurs, le consommateur estime qu’ils véhicu- sonnes sociables, possédant un certain savoir-faire et qu’ils sont sensibles aux problématiques comme l’environnement. Si le consommateur a globalement une bonne image de l’agriculture wallonne, il s’interroge par contre sur ses méthodes de production, sa rentabilité et ses impacts en matière d’environnement et de santé. C’est ainsi qu’une majorité de consommateurs ne souhaite pas voir s’installer une implantation agricole à proximité de son domicile. Les critiques les plus souvent formulées par les consommateurs ont également trait au bien-être animal et à la qualité des produits. L’image des agriculteurs est elle mise à mal par leur souci de rentabilité, ce qui les conduit, estime le consommateur, Plus d’un consommateur sur deux associe les produits wallons aux mots qualité, goût, parfum, saveur et sécurité à augmenter leurs bénéfices et par voie de conséquence les prix de vente des produits alimentaires. (Belga) :F D D L E @ : 8K @ F E Un bilan positif pour Pleinchamp Envoyé chaque semaine au monde agricole, Pleinchamp tente d’aborder au mieux toutes les facettes de l’actualité des campagnes. Afin de mieux percevoir les attentes de ses lecteurs, Pleinchamp a lancé une enquête début octobre. Quinze mille membres de la FWA, sélectionnés de manière aléatoire, ont reçu un questionnaire. Constitué d’une quinzaine de questions, celuici portait sur la perception du journal, de son contenu et plus spécifiquement des articles relatifs à la réglementation des nitrates (PGDA) Il en ressort, de manière général, un avis positif. de mieux percevoir les attentes des lecteurs. Les questions posées portaient sur la perception qu’ils avaient du journal, de son Résultats Ils sont 283, soit 19 % de l’envoi total, a avoir pris le temps de répondre au questionnaire. Ce taux de réponse est plus que satisfaisant dans ce type d’enquête. Il en ressort de manière général, qu’ils sont satisfaits du travail fourni par les journalistes. Cinq étant la meilleure appréciation qu’ils pouvaient donner, au niveau du format, des illustrations, de la longueur des articles, de la mise en page, plus de 40% des sondés lui accorde une note de quatre Du point de vue des thèmes abordés dans le journal (le sont-ils suffisamment ?), la cotation varie entre trois et quatre. Quatre-vingtsept pour cent (87%) trouvent généralement l’information qu’ils recherchent dans le journal. Au niveau des articles PGDA, il ressort que 63% lisent habituellement ceux-ci. Ils sont 55% à désirer recevoir davantage d’information sur cette réglementation particulièrement sous forme d’information brute. Pour ce qui est de la possi- bilité d’une nouvelle rubrique et des améliorations qui pourraient être apportées à Pleinchamp, de nombreuses idées ont été émises. Chacune sera étudiée afin d’estimer sa faisabilité. L’équipe du journal Pleinchamp tient à remercier tous les participants. L’avis des sondés était nécessaire à la réalisation d’un journal qui vous convient. Retrouvez l’étude dans son intégralité sur www.fwa.be. (seulement pour les membres) L’Edito vient en tête des rubriques les plus lues dans Pleinchamp Pleinchamp, en collaboration avec Nitrawal, a voulu sonder son de son lectorat à travers un questionnaire à quinze cents membres de la FWA sélectionnés de manière aléatoire. Cette enquête, d’une quinzaine de questions, avait pour objectif contenu, et de manière plus spécifique sur les articles relatifs à la réglementation des nitrates (PGDA). Pour 84% des lecteurs, les informations contenues dans Pleinchamp sont utiles s4YPELOURD s2DTRACINES s3UCREBLANC(A s2DTFINANCIER s"DESNOUVELLESVARIÂTÂS # " $ )/aXem`\i)'(' , JL:I< Réforme sucre: aides à la diversification de 40% Dans la cadre de la restructuration du secteur sucrier imposée par l’Union européenne, deux types d’aide ont été mises en place pour accompagner les producteurs et les entreprises produisant du sucre. D’une part l’aide à la restructuration qui a déjà été payée et, d’autre part, une aide à la diversification. Pour cette aide, la Belgique a été dotée d’une enveloppe totale de 19,3 millions d’euros. Après répartition entre les deux régions, ce ne sont pas moins de 11 millions d’euros qui sont disponibles pour ces aides à la diversification en Région wallonne. Quels sont les bénéficiaires de ces aides, pour quels investissements et comment les obtenir? @jXY\cc\ AXldfkk\ Le règlement européen instaurant un régime temporaire de restructuration de l’industrie sucrière de la Communauté européenne prévoyait, outre des aides à la restructuration, des aides à la diversification. Pour ces aides, chaque Etat membre se voyait doter d’un budget, calculé sur base du quota de sucre libéré (19,3 millions d’euros pour la Belgique), et devait informer la Commission de la manière dont les mesures de diversification allaient être mises en œuvre. Seule contrainte: les mesures de diversification devaient correspondre à des mesures prévues dans le règlement sur le développement rural. Impossible donc de distribuer cette aide n’importe comment. En Région wallonne, deux types d’aides ont été prévues et notifiées à la Commission européenne: - des aides à la modernisation des exploitations agricoles (mesure 121) pour un budget total de 4 millions d’euros; - des aides en faveur de l’accroissement de la valeur ajoutée des produits agricoles (mesure 123) pour un budget de 7 millions d’euros. Une aide pour les producteurs Les aides à la diversification pour les agriculteurs se sont traduites par des aides à l’investissement dans l’arrêté ISA qui vont compléter l’aide ISA pour atteindre une aide équivalant à 40 % de l’investissement éligible. Les aides ne sont octroyées qu’aux agriculteurs qui avaient ou ont encore un quota de livraison betteraves ou chicorées et concernent des investissements différents selon que ce quota ait été réduit ou totalement abandonné. Ainsi, les exploitants agricoles dont le quota de livraison betteraves ou chicorées a été réduit pour la campagne 2008/2009 peuvent bénéficier d’une aide de 40 % pour des investissements en matériels spécifiques à la culture et à la récolte des betteraves sucrières et des chicorées. Les différents investissements éligibles sont repris dans une liste, validée par le Ministre, qui devrait prochainement être complétée par du plus petit matériel (bâches de type Toptex et équipements GPS, DGPS,...) pour permettre à un plus grand nombre d’agriculteurs de bénéficier de cette aide. Par contre, ceux dont le quota de livraison a été totalement abandonné pour la campagne 2008/2009 ne pourront bénéficier des 40 % d’aide que pour des investissements mobiliers et immobiliers pour le lancement d’une nouvelle production et/ou activité, c’est-à-dire, pour le lancement d’une production ou activité qui n’était pas développée sur l’exploitation avant l’abandon du quota. Quelles conditions respecter? Ces aides à la diversification sont accessibles aux exploitants agricoles ou associations d’exploitants agricoles ainsi qu’aux CUMA dont la majorité de membres a subi une réduction ou un abandon de quota de livraison pour la campagne 2008/2009. Cependant, pour être éligible, il est impératif de remplir la plupart des conditions d’éligibilité exigées par l’arrêté ISA. Parmi celles-ci, rappelons l’obligation d’avoir au moins 20 ans, de disposer de la qualification professionnelle suffisante ou encore l’obligation d’exercer son activité agricole à titre principal ou non principal depuis au moins 3 ans, c’est-à-dire retirer de son activité agricole, touristique,... un revenu au moins égal à 35 % du revenu annuel brut imposable et prester moins de 1.170 heures à l’extérieur de l’exploitation. Seules deux exigences ont été supprimées : l’obligation d’être aux normes en matière de stockage d’effluents d’élevage et, à la demande de la FWA et de la CBB, la condition de revenu de 40.000E/UT à ne pas dépasser avant investissement. La suppression de cette dernière condition permet ainsi à tous les planteurs ou ex-planteurs de pouvoir bénéficier de l’aide à la diversification. Par contre, l’obligation de tenue d’une comptabilité de gestion pour les exploitants agricoles pendant au moins 5 ans est maintenue. Ceux qui ont cessé de tenir une comptabilité devront donc faire leurs calculs pour s’assurer de l’intérêt de solliciter l’aide à la diversification, surtout pour des investissements peu conséquents. Concernant l’éligibilité d’une CUMA, rappelons que la majorité de ses membres, avec un minimum de 3, doivent être agriculteurs et que l’utilisation collective du matériel par au moins 3 agriculteurs doit être prouvée à tout moment. Outre les conditions d’éligibilité, les règles générales de procédure et les modalités d’octroi de l’aide sont identiques aux aides à l’investissement ISA. Nous nous permettons de vous en rappeler quelques unes: - le matériel de remplacement n’est pas éligible sauf si le matériel similaire le plus récent de l’exploitation agricole a plus de 10 ans ou plus de 7 ans dans le cas d’une CUMA; - aucune aide ne sera octroyée pour un investissement réalisé ou entamé avant la notification d’acceptation de l’aide; - le montant maximal de l’aide à la diversification est plafonné à 100.000E d’aide par demande; - le montant maximal éligible par investissement est de 350.000E si l’investissement est réalisé par un exploitant agricole et 525.000E lorsque c’est une CUMA qui investit. Comment demander ces aides? Les aides à la diversification peuvent atteindre 40 % sur certains investissements spécifiques. au 30 septembre 2010, a été récemment prolongé d’un an par la Commission européenne compte tenu du contexte économique actuel. Les formulaires de demande d’aide sont disponibles sur le portail wallon de l’agriculture http://agriculture.wallonie. be/ (formulaires S1 ou S2 et calcul de viabilité). Ces formulaires de demande, signés et datés, doivent être adressés, par courrier recommandé, au bureau de la direction extérieure de la DGARNE duquel vous dépendez et une version informatique doit être transmise par mail à l’administration. Les consultants ISA pourront vous aider à remplir vos demandes; ils maîtrisent les procédures et surtout les différentes conditions d’éligibilité. Cependant, vous ne bénéficierez ni de l’aide à la rédaction du dossier ni du bonus consultant; ces deux aides étant réservées aux plans d’investissements et aux plans de développement. Le service de gestion de la FWA, le CGTA, dispose d’une dizaine de consultants agréés compétents pour vérifier que vous remplissez les conditions et, le cas échéant, pour introduire vos demandes d’aide à des tarifs préférentiels pour les membres de la FWA. Une aide pour les agro-industries Comme pour les agriculteurs, des aides à la diversification ont également été mises en place pour les coopératives de transformation et de commercialisation ainsi que pour les autres entreprises du secteur de la commercialisation et de la transformation. Ces aides concernent les investissements mobiliers ou immobiliers répondant à un ou plusieurs objectifs: - d’économie d’énergie fossile, - de réduction des émissions de polluants, - de production d’énergie renouvelable en particulier par la valorisation de la biomasse issue des activités agricoles, sylvicoles et du secteur vert. Ces entreprises peuvent bénéficier, pour ces investissements, d’une aide de 40 % sur les in- vestissements éligibles dans les limites du budget de 3,5 millions d’euros. Rappelons que, pour qu’une société coopérative de transformation et de commercialisation soit éligible, la majorité de ses coopérateurs, avec un minimum de 3, doivent être des agriculteurs et que l’objet social de cette société doit se rattacher à l’agriculture, l’horticulture ou l’élevage et être destiné à favoriser l’amélioration et la rationalisation du traitement, de la transformation ou de la commercialisation des produits agricoles. Les autres conditions d’ISA doivent également être remplies. En parallèle, ces mêmes entreprises pourront bénéficier du soutien de la société B.E. Fin qui pourra prendre des participations dans le capital d’ entreprises du secteur agro-alimentaire ou participer à la constitution de nouvelles sociétés de ce secteur. Comme pour les producteurs, pour être éligibles, les investissements doivent être terminés et les factures introduites auprès de l’administration avant le 30 septembre 2011. Contrairement aux dossiers ISA et exceptionnellement pour ces aides spécifiques, les demandes d’aide à la diversification peuvent être introduites en dehors de tout plan d’investissements et ce, même si vous en avez un en cours. Chaque demande doit porter sur au moins 5.000E d’investissements. Les investissements peuvent donc être inférieurs à 5.000E mais il faudra que la demande d’aide contienne au moins pour 5.000E d’investissements pour qu’elle soit recevable. Il est également possible d’introduire une ou plusieurs demandes d’aides mais il est impératif de garder à l’esprit que, pour être éligibles, les investissements devront être terminés et les factures introduites auprès de l’administration avant le 30 septembre 2011. Ce délai, initialement fixé Liste des matériels spécifiques à la culture et à la récolte des betteraves sucrières et des chicorées éligibles aux aides à la diversification. A ce jour, les matériels 41 et 42 n’ont toujours pas été acceptés par le Ministre. - )/aXem`\i)'(' : L CK L I < J Maïs: recommandations de l’ISAW Afin de pouvoir fournir aux agriculteurs des recommandations en matière de choix variétal en maïs qui soient adaptées à chaque région, les services agricoles des provinces Wallonnes, associés pour la circonstance au sein de l’Isaw, mettent en place un réseau d’essais variétaux. Sur base des résultats obtenus, voici leurs recommandations pour les prochains semis. Les Provinces du Brabant Wallon, de Hainaut, de Liège, du Luxembourg et de Namur disposent de services agricoles soucieux d’informer de façon directe et précise leurs agriculteurs. A elles cinq, elles couvrent toutes les régions agricoles productrices de maïs en Wallonie (régions limoneuse et sablo-limoneuse, le Condroz, les régions herbagères, la Famenne, la région jurassique et l’Ardenne) qui représentent plus de 60 000 ha de maïs. Depuis 1985, dans le cadre de l’ISAW (Interprovinciale des Services Agricoles de Wallonie), les Provinces wallonnes collaborent étroitement dans la rédaction d’une brochure de recommandation de variétés adaptées à chaque région. Le réseau d’essais variétaux sur lequel s’appuie cette publication, a été renforcé par l’apport des données aimablement transmises par le CIPF. Il compte à présent plus de 8 000 parcelles réparties sur 24 sites d’expérimentation. Tous les essais de ce réseau sont réalisés en blocs aléatoires complets, en quatre ou cinq répétitions. Plus de 100 variétés ont été testées cette année. 10 mai, plus de 95 % des semis étaient terminés. Quelques pluies ont permis de maintenir une humidité du sol en surface. Les levées ont été quasiment parfaites. D’une manière générale, les conditions ont favorisé la qualité du désherbage et les adventices ont été très bien contrôlées. Plus de 90 % des parcelles ont été traitées en un passage en postémergence. Après plusieurs semaines de faible présence, les populations de pucerons métopolophium dirhodum ont subitement explosé à la mi-juin. Quelques parcelles ont été traitées. Des mois d’avril à août, les températures supérieures à la normale ont permis une croissance rapide de la culture. Les floraisons ont été observées avec en général une semaine d’avance. Le mois d’août ayant été assez sec a parfois posé des problèmes de remplissage d’épis dans les régions qui ont échappé aux quelques orages, particulièrement sur les sols sablonneux du Nord-Est du pays. Dans ces conditions climatiques, l’helminthosporium turcicum est restée très discrète, n’engendrant aucune influence significative sur Tab. 1: 5HFRPPDQGDWLRQVYDULpWDOHVHQVLODJHHQUpJLRQVOLPRQHXVHHW VDEOROLPRQHXVH 6HPLVWDUGLIV 6HPLVDYDQWOHPDL Amelior Amilac Aventura Es Charles (1) Es Paroli Logo LG 3220 Maibi cs Monroe Newmilk NK Perform PR 39 F58 Ronaldinio Sensation Torres Zidane ou en vue d'une recolte précoce Beethoven Delitop Dominator (1) à semer avant le 5 mai à 90.000 grains/ha L’année culturale 2009 Une partie importante des semis a pu être réalisée durant la dernière décade d’avril. Au le dessèchement des plantes. La kabatiellose n’a pas non plus rencontré les conditions favorables à son développement. Le charbon commun et la fusariose ne sont développés que de manière très limitée. Les récoltes ont débuté durant la dernière décade de septembre pour se terminer autour du 20 octobre. Malgré des hétérogénéités dans certaines parcelles, les rendements se sont avérés élevés dans de nombreuses régions avec une En région herbagère, les rendements varient de 15 à 20 tonnes de M.S. (18 en moyenne). En Ardenne, les rendements sont plus élevés que les années antérieures variant de 12 à 15 tonnes de matière sèche à des teneurs 24 à 28 % de MS selon les situations et qui ont été portées à Tab. 2: Recommandations variétales ensilage au sud du sillon Sambre et Meuse Région Condroz & Régions Ardenne jurassique Famenne herbagères (1) (2) Semis avant le 15 mai A: Situation peu Beethoven Dominator favorable (le maïs Dominator atteint difficilement Eduardo Dominator Aurelia 27 % de MS) Padrino Bravour Beethoven B: Situation plutôt Beethoven Agromax Monroe Es Enjoy favorable (le maïs LG 3220 Dominator Sensation Paddy atteint en moyenne Padrino LG 3220 Sumigo entre 27 et 30% de MS Sensation C: Situation très LG 3220 Asteri cs Aventura favorable (le maïs Beethoven Padrino Bravour atteint en moyenne LG 3220 Sensation MAS 18.C plus de 30% de MS) Padrino Taxxoa NK Magitop Taxxoa Semis après le 15 mai A: Situation Beethoven Dominator peu favorable Dominator B: Situation plutôt favorable C: Situation très favorable Eduardo Beethoven Dominator Dominator Eduardo Beethoven Dominator Dominator LG 3220 Padrino LG3220 Padrino Sensation PR39A98 Ronaldinio Sensation Aurelia Beethoven Aurelia Sensation Aurelia Sensation Bravour (1) terres bien exposées (2) manquant de données exploitables en 2009, nous reprenons les données de 2008 maturité suffisante. Dans certains cas (variétés précoces, attente de pulpes surpressées pour confectionner le silo), des teneurs en matière sèche (M.S.) trop élevées, atteignaient parfois 38 à 42 %. En régions sablo-limoneuse et limoneuse, les rendements se situent entre 18 et 20 tonnes de matière sèche. Au sud du Sillon Sambre et Meuse, les rendements varient de 14 à 16 tonnes en Condroz et de 13 à 16 tonnes de M.S. (14 en moyenne) en Famenne. 30 à 34 % quelques jours après les gelées de la mi-octobre. Les valeurs alimentaires des maïs fourrage 2009 sont supérieures à celles de 2008 pour les variétés très précoces à précoces. En variétés demi-précoces à tardives, la situation est pratiquement inverse, les valeurs VEM étant en général plus basses. En maïs grain, les rendements en région sablonneuse (11 T à 15 % d’humidité) sont comparables à ceux de 2008, excepté en Campine où ils sont inférieurs. En région limoneuse, des rendements souvent très élevés ont été obtenus. Les teneurs en humidité à la récolte se sont révélées assez basses, variant de 25 à 28 % en fin de saison en région sablonneuse et sablo-limoneuse. Ces faibles frais de séchage ont quelque peu compensé des prix trop faibles. Recommandations de l’ISAW pour les semis 2010 Pour l’élaboration de ces recommandations, seules sont retenues les variétés aux performances confirmées dans un nombre suffisant d’essais durant 2 ans au moins. Outre les critères classiques d’évaluation (vigueur au départ, tolérance aux pourritures des tiges, résistance brochure intitulée « guide variétal maïs 2010 ». Cette brochure, complémentaire au présent article, permet d’affiner les recommandations de variétés de maïs en fonction des conditions locales de culture (sol, climat, date de semis, techniques culturales, …). Elle peut être obtenue gratuitement auprès de chacun des centres d’expérimentation participant au réseau d’essais ISAW, sur simple demande : En Province du Brabant Wallon, au CPAR, rue Saint Nicolas, 17 à 1310 La Hulpe, tél. : 02/656.09.70 ; En Province de Hainaut, au CARAH, rue de l’Agriculture, 301 à 7800 Ath, tél. : 068/26.46.30 ; En Province de Liège, à Province de Liège – Agriculture, rue de Huy, 123 à 4300 Waremme, tél. : 019/69.66.86 ; Tab. 3: 5HFRPPDQGDWLRQVYDULpWDOHVPDwVJUDLQHQUpJLRQVOLPRQHXVHHW VDEOROLPRQHXVH 3URGXFWLRQGH JUDLQVKXPLGHV Amati Lafortuna Padrino Ronaldinio Sensation Sphinxx Torres Zidane 3URGXFWLRQGH 'RXEOHILQJUDLQ 'RXEOHILQJUDLQV JUDLQVVHFV KXPLGHHWHQVLODJH VHFVHWHQVLODJH Amball Amoroso Lafortuna Padrino Tiberio Amoroso Padrino Ronaldinio Sensation Torres Zidane aux verses et au charbon, précocité, rendement et valeur alimentaire), est également prise en compte la capacité des hybrides à reproduire d’année en année de bons résultats d’ensemble. L’analyse pluriannuelle commune des résultats du réseau d’essais ISAW complétés par les résultats des essais du CIPF donne lieu à la publication d’une Amoroso Padrino En Province de Luxembourg, au DER-SPIGVA, rue du Carmel, 1 à 6900 Marloie, tél. : 084/22.03.81 : En Province de Namur, à l’OPA de Ciney, domaine de St-Quentin à 5590 Ciney, tél. : 083/21.47.03. D’après O. Mahieu (CARAH Ath), L. Ruelle et A. Vilret (Province de Liège-Agriculture et CPL - VEGEMAR), G. Foucart et M. Mary (CIPF LLN) )/aXem`\i)'(' . ; @ M < I J @ = @ : 8K @ F E Accueil Champêtre en Wallonie: accueillir à la ferme avec professionnalisme! Pédagogie Nous vous proposons une rétrospective 2009 d’un large éventail des séances d’informations programmées pour les membres d’Accueil Champêtre en Wallonie Nombreux sont les sujets à aborder si l’on souhaite pratiquer l’accueil à la ferme avec sérieux et en tenant compte de toutes les règles et obligations spécifiques à chaque orientation de diversification choisie dans les fermes. C’est à cet effet que tout au long de l’année diverses rencontres ont permis aux membres d’ACW de s’informer sur un ensemble de thèmes…. Cela fait d’ailleurs plusieurs années que des réunions décentralisées sont organisées dans chaque province. C’est toujours un rendez-vous important pour les membres ACW. Chaque fois, le canevas est similaire avec une matinée d’information, suivie d’un repas du terroir, complétés l’après midi par des visites ayant trait à l’hébergement, la pédagogie et/ou les saveurs à la ferme. Elles sont l’occasion de multiples découvertes et échanges d’expériences. Thèmes abordés en 2009 - Economie d’énergie (échanges d’expérience) - Panneaux photovoltaïques par M. Walhin de l’association EF4 - Aides agricoles ISA par Mme Jaumotte du Service d’Etudes de la FWA ques par Mme ‘t Kint, service juridique de la FWA - Taxation des gîtes par Mme Le Borne, service fiscal de la FWA - Le tourisme d’affaire par Mme Verheye, Commissariat Général au Tourisme et Mme Poncelet, - Canevas et réalisation d’un projet pédagogique par les responsables des fermes pédagogiques - Attentes des enseignants du 1er degré du secondaire concernant les réalités des exploitations agricoles par M. Belayew, Professeur de géographie à la Haute Ecole de Vinci, assistant à la FUNDP, professeur en Architecture des paysages à la FUSAGX et M.Soutmans, professeur de Sciences Sociales et Humaines de la Haute Ecole Léonard de Vinci - Analyse du paysage par les responsables des fermes pédagogiques - Initiation au secourisme par Messieurs Bette et Banderbuggen, formateurs de Preventagri Saveurs - Exigences de l’Agence Fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire par M. Cavaliere, ACW - Importance d’appartenir à un réseau par M. Dumont, formateur par le jeu - Développement Durable Thèmes programmés pour 2010 2010 ne fait que commencer et déjà un nouveau programme de séances d’informations se met en place: - formations sites web par M. Genevois du Centre de Compétence du Tourisme à Marche-en-Famenne - séance d’info-formation sur l’importance d’un (bon) site web pour un propriétaire de diversification agricole. Cette formation aura lieu le mardi 23 février à Gembloux - demi-journée d’audit de si- - Opportunité de créer un groupement d’employeurs par M. Larsimont, juriste et M.Fallon, arboriculteur Gîtes et chambres d’hôtes Accueil à la ferme Pour la plupart des interventions, des documents sont à la disposition des membres sur simple demande au 081/627.458 ou par mail [email protected]. - Formation en néerlandais en collaboration avec l’IFAPME - Contrats de locations touristi- Fédération Touristique de la Province du Luxembourg belge - Hygiène et propreté par Mme Limbort, régente ménagère et propriétaire d’un hébergement de grande capacité - Marketing appliqué aux produits fermiers par M. Decker, professeur de marketing à l’ALPA (Centre de formation de l’institut Supérieur des Affaires Agricoles et Agro-alimentaires en Lorraine) tes web sous forme d’ateliers d’échanges. Deux lieux et deux dates sont prévus pour cette formation : le mardi 9 février à Mons et le jeudi 4 mars à Marche-enFamenne. - comment calculer le prix de revient de ses produits ? par M. Decker du Centre ALPA et par un comptable du Centre de Gestion et de Techniques Agricoles. Cette formation a pour but d’apprendre à calculer les différents coûts de production et ainsi pouvoir fixer un prix de vente compétitif mais rentable pour l’agriculteur. Rendez-vous le 10 février à Bellefontaine (Tintigny). Pour tout renseignement complémentaire sur les différentes formations programmées, n’hésitez à contacter l’équipe d’Accueil Champêtre en Wallonie au 081/627.458. Afin de bloquer vos agendas, voici d’ores et déjà les dates des 4 réunions décentralisées qui seront organisées cette année : - le 25 mars en province de Liège Sujet: Comment communiquer avec le grand public sur son exploitation et le métier d’agriculteur par M. Simonart de l’APAQ-W. - le 20 mai dans le Hainaut - le 23 septembre en province de Namur - le 14 octobre dans la province du Luxembourg Si vous souhaitez que différents thèmes ou questions particulières soient abordés lors de cette année, n’hésitez pas à nous le faire savoir, nous mettrons tout en œuvre pour vous satisfaire. LA FÉDÉRATION WALLONNE DE L’AGRICULTURE ASSEMBLEE ANNUELLE Le mercredi 17 mars 2010 dès 9h30 Vous invite à participer à son (*) A l’Espace Senghor des Facultés des Sciences Agronomiques de Gembloux 9h30: Accueil café 10h00: Accueil, par René Ladouce, Président de la FWA 10h10: Echange de questions-réponses avec la participation de: (*) En raison des festivités du 150ème anniversaire des Facultés de Gembloux, nous organisons notre congrès à une date plus tardive que de coutume. / )/aXem`\i)'(' Programme: - M. J-L.Demarty, Directeur de la DG Agriculture et Développement rural de la Commission européenne - Mme Sabine Laruelle, Ministre fédérale de l’Agriculture - M. Benoît Lutgen, Ministre régional de l’Agriculture - Mme Anne-Marie Tasiaux-Biatour, Présidente de l’UAW - M. Gary Vanvinckenroye, Président de la FJA - M. René Ladouce, Président de la FWA Cet échange sera illustré par un film réalisé par la FWA et Canal Zoom 11h45: Débat avec la salle, animé par Yves Somville, Directeur du Service d’Etudes de la FWA 12h30: Conclusions, par Yvan Hayez, Secrétaire Général de la FWA Au terme de la séance, une réception amicale sera organisée pour les participants dans le hall d’accueil de l’Espace Senghor I<ML<;<GI<JJ< Glané pour vous Le bottin se refuse en un clic Seuls 50.000 ménages belges ont fait la démarche de refuser la livraison annuelle de bottins. Logique: cette possibilité reste largement méconnue. Cette fonction nommée « op out » existe sur le site www. 1307.be. Il faut ensuite dénicher l’onglet « vous ne voulez plus recevoir l’annuaire ? » et remplir le formulaire ad hoc. Selon les estimations du député écolo Georges Gilkinet, il aura fallu 48 millions de litres d’eau et 20 millions de kWh en énergie pour fabriquer le papier nécessaire à la réalisation de ces près de 4 millions de bottins millésime 2009. Sans compter l’énergie nécessaire à leur impression et à leur distribution de porte-à-porte. On estime qu’un bottin sur deux déposés sur le pas de la porte ne sera jamais (extrait Vers l’Avenir) ouvert. Un biomatériau à la place du polystyrène Les pièces de polystyrène, utilisées constamment pour l’emballage de produits électroménagers, informatiques, ... sont en passe de connaître un substitut écologiquement plus neutre grâce à l’invention de chercheurs américains. Ils ont développé une matière à partir de déchets de l’agriculture – des féculents de maïs par exemple – qui éviterait d’utiliser des dérivés du pétrole dans la fabrication industrielle de ces polystyrènes. La matière ainsi produite aurait l’avantage d’être biodégradable, contrairement à celle utilisée maintenant, plus polluante, et permettrait de réduire notre dépendance vis-à-vis du pétrole. (Agriculture et nouvelles technologies) La Belgique est passée sous le seuil de 1 % des directives européennes non transposées « pour la première fois », s’est réjoui le secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, Olivier Chastel. Dès qu’une dernière directive sera transposée dans les entités fédérées, elle respectera également la norme de tolérance zéro pour les retards de transposition de plus de deux ans. Fréquemment condamnée par la Cour européenne de justice pour retards de transposition -76 procédures d’infraction sont en cours à Luxembourg-, la Belgique presse le pas pour se mettre en ordre, avant de prendre la présidence tournante de l’UE, en juin prochain. (LLB) Seara à Cargill devient le 3ème opérateur (2,2 millions de porcs) et représente 16 % de l’exportation de viande de porc du pays. La fusion JBS (n° 1 mondial du boeuf) avec Berlin conjuguée à la reprise de l’Americain Pilgrim’s Pride élève ce nouveau groupe au rang de n°1 mondial toutes viandes, en 5ème position pour la viande de porc dont 14 millions de porcs abattus aux Etats-Unis, désormais implanté sur tous les continents. (Porc magazine) Qu’il s’agisse de porcs, de volailles ou de boeufs, les concentrations industrielles s’accélèrent au Brésil. Après l’annonce récente de l’union Sadia-Perdigao pour constituer Brasil Foods (9,4 millions de porcs abattus), Marfrig Alimentos SA après avoir racheté De l’essence avec de vieilles voitures Le cacao dans le monde Concentrations à tout va au Brésil La Belgique respecte mieux les directives Réserve sur les biocarburants de deuxième génération D’après l’organisation internationale du chocolat, la production mondiale de fèves s’élève à environ 3 millions de tonnes par an. L’Afrique de l’Ouest concentre 71 % de la production mondiale de cacao. La Côte d’Ivoire: 43 %, le Ghana: 21 %, et le tiers restant est produit principalement par le Brésil et l’Indonésie. Le cacao est la troisième matière première la plus échangée dans le monde après le sucre et le café. (L’information agricole) Selon la revue Science, les biocarburants issus de sources lignocellulosiques (bois, feuilles, paille, etc.) provoqueront des émissions de carbone plus élevées que l’essence par unité énergétique, en moyenne sur la période 20002030. Dans un article publié le 22 octobre dernier, Jerry Melillo, du Laboratoire américain de biologie marine, explique que les terres nécessaires pour cultiver des arbres à croissance rapide et des feuillus déplaceront des cultures alimentaires et provoqueront une déforestation pour faire de la place à de nouvelles superficies agricoles, provoquant d’importantes émissions de gaz à effet de serre. L’auteur n’affirme toutefois pas que les biocarburants de deuxième génération n’ont pas leur rôle à jouer dans les combats contre le réchauffement climatique. « Nous devons analyser avec soin les conséquences à court et long terme », observe-t-il. (Campagnes et environnement.fr) Dans le cadre du Plan Marshall dont il bénéficie, Comet Traitements SA, installée à Châtelet, est en train de mettre au point un procédé industriel qui permet de transformer des résidus de broyage d’automobiles hors d’usage en ... carburant ! A l’origine de cette technique, Marcello Fieni, un Carolorégien d’origine italienne, qui a découvert comment convertir certains déchets plastiques en hydrocarbures. Deux ans de recherche ont permis aux partenaires, soutenus par le Centre de ressources technologiques en chimie basé à Seneffe, de mettre au point un procédé de dépolymérisation catalytique. Le carburant produit est semblable à l’essence ou au gasoil. Mais il ne sera pas pour autant destiné au transport. Il alimentera une centrale à cogénération pour produire électricité et chaleur. (Vers l’Avenir) SUMIGO: OH SUpFRFH SHUIRUPDQW !*(0..&/)6 1&2 -"% */2)*//* MOBY: OH SRO\YDOHQWKDXW SRO\YDOHQWKDXW UHQGHPHQW $,&5 $, 5 TAXXOA: OH WRSGHVDFDWpJRULH WRSGHVDFDWpJRULH !*(0..&/)6 1&2 -"% */!6+*2'&+72*0/)204 *3&.*//* SUBITO: OH Q GHVPDwV GHVPDwVSRLGV SRLGV ORXUGV !# 5 !$""#!#& !% & % "" )/aXem`\i)'(' 0 :F E JF D D 8K @ F E Politique européenne de qualité des produits agricoles Le séminaire annuel de Vegaplan et de Codiplan 2009 a une fois encore eu un écho considérable. 75 parties intéressées issues de l’industrie alimentaire, de la transformation, de l’agriculture, d’organismes de certification et des autorités ont participé à ce séminaire, qui, cette année, s’est déroulé durant le salon Agribex. Vous trouverez ci-après un résumé des différentes interventions de ce séminaire organisé en décembre. Les présentations complètes sont disponibles sur les sites www.vegaplan.be et www.codiplan.be. Alain De Bruyn, président de Codiplan, a introduit le thème et explicité brièvement les schémas de qualité existants en Belgique. A l’aide d’exemples, il a illustré les différentes méthodes qui existent à l’heure actuelle: Les schémas avec une qualité distinctive et un label de qualité, avec comme groupe-cible le consommateur, comme par exemple les indications géographiques, et les labels créés par la distribution; Les schémas sans label de qualité, utilisés au sein de la filière, qui garantissent plutôt une qualité de processus dans la chaîne alimentaire, comme par exemple le Standard GIQF; Les autres schémas ciblés sur l’exportation, comme par exemple le Belgian Controlled Veal. Gesa Wesseler, Policy Officer à la Commission européenne (DG Agri, département de la qualité des produits agricoles) a tâché de répondre aux questions «Qu’estce que la qualité?» et «Quelle est la qualité visée?» et a présenté les activités actuelles sur le plan européen. Elle a souligné le fait que les agriculteurs européens devaient respecter les exigences agricoles les plus strictes au monde. La qualité peut renforcer la compétitivité et la rentabilité du secteur agroalimentaire dans l’UE. Pour les agriculteurs, cela signifie qu’ils doivent répondre aux exigences de qualité attendues par le consommateur et être en mesure de pouvoir informer clairement le consommateur sur la qualité de leurs produits. Ce n’est que si les clients et les consommateurs disposent d’informations correctes, utiles et garanties que nous pouvons nous attendre à ce qu’ils payent le juste prix. La Commission européenne estime qu’il existe 380 schémas de certification privés et nationaux au sein de l’UE, et constate des lacunes en matière d’information, une certaine complexité et un manque de cohérence. Il est nécessaire de développer une politique européenne de qualité cohérente pour les produits agricoles et les denrées alimentaires. Dans les 560 contributions des 31 pays présentés dans le livre vert l’an passé, l’importance de la politique européenne de qualité est évidente. En outre, un fonctionnement amélioré des systèmes de qualité privés et nationaux est souhaitable. La Commission n’est pas partie prenante pour une législation visant à soutenir les réglementations de certification nationales et privées. La Commission reconnaît le statut privé de ces réglementations. Néanmoins, elle a l’intention de rédiger des directives de bonnes pratiques pour l’exécution des schémas de qualité des produits agricoles. Ces directives seront rédigées en concertation avec les parties intéressées et présentées au cours du deuxième semestre 2010. Ces directives conserveront une base volontaire, et devront être développées avec les parties concernées. Parmi les chapitres possibles, Gesa Wesseler évoque une base scientifique pour les conditions de certification et les allégations établies, la clarté des exigences du système et des allégations, l’indépendance de la certification et des contrôles, et, enfin, la distinction avec les dispositions légales. David Clarke, Chief Executive pour Assured Food Standards (AFS), a donné une présentation sur l’origine et le fonctionnement du schéma Red Tractor en GrandeBretagne. Les crises des années 90, et principalement la crise de l’ESB, furent à l’origine de la création de l’AFS. Avec le UK Food Safety Act de 1990, l’autocontrôle de la chaîne alimentaire est établi, en parallèle avec les contrôles des autorités. «Les acheteurs ont la responsabilité morale et légale de connaître les standards de leurs fournisseurs.» Selon la perspective du secteur agricole, cela offre l’opportunité de restaurer la confiance dans la production alimentaire et de sensibiliser le consommateur à des exi- gences élevées, respectées par la plupart des producteurs. Le danger réside en fait dans l’augmentation du nombre d’inspections pour les différents cahiers de charges de chaque acheteur. Le schéma Red Tractor est la propriété de la chaîne alimentaire, et est géré de manière indépendante. Il englobe les secteurs des bovins et des ovins, des porcs, de la volaille, des produits laitiers, des végétaux et des produits frais, et a atteint un taux de pénétration d’environ 80%. 80.000 agriculteurs sont aujourd’hui affiliés à ce schéma et la majorité des chaînes de distribution l’ont repris dans leurs conditions d’achat. Ce schéma repose sur la norme d’accréditation EN45011 et fonctionne avec un nombre limité d’organismes de certification (3 ou 4 par secteur), mais laisse le choix à l’agriculteur, afin de promouvoir la concurrence entre les différents organismes de certification. La fréquence de contrôle est annuelle ou tous les 18 mois pour les bovins, la production laitière et les ovins.Au total, 60.000 inspections sont réalisées chaque année. Le schéma Red Tractor a été validé par les autorités qui les inspectent tous les 12 à 18 mois. Chaque année, 2% des entreprises sont inspectées de manière aléatoire par les services des autorités. Le participant a l’avantage d’un nombre réduit de visites des autorités. Un autre avantage financier, tel que le système du bonus en Belgique par exemple, n’existe pas. Par contre, les agriculteurs ne doivent pas payer les inspections officielles. David Clarke a souligné le fait que la communication au consommateur revêtait une importance primordiale et jouait un rôle majeur dans la réussite du schéma Red Tractor. Le logo existe depuis 2000 et ne peut être utilisé que sous licence. La possibilité, pour le gestionnaire, de pouvoir exécuter des audits à l’égard de l’utilisation du logo Red Tractor dans l’industrie, la transformation et la distribution, est primordiale. Fin 2009, les produits Red Tractor représentaient une valeur commerciale de 11,116 milliards EUR par an. Les producteurs paient entre 110 et 550 EUR par an, dont 10% pour l’administration du schéma, tandis que les 90% restants sont prévus pour la certification. L’utilisation du logo coûte entre 65 et 1.340 EUR par an. Red Tractor ne se considère pas comme une marque exclusive ou supérieure. Au vu de la pénétra- tion du marché, on est en droit de se demander quel est le supplément si plus de 90% des producteurs participent au système. La crise ESB passée, et son énorme impact sur l’économie britannique, il est clair que la valeur ajoutée du schéma réside dans le fait que la confiance du consommateur est rétablie, que la part de marché est sécurisée et que de nouveaux marchés peuvent être atteints. Herman Diricks, Directeur Général de la politique de contrôle de l’AFSCA a présenté le système d’autocontrôle (SAC) belge. Il existe aujourd’hui des guides pour la plupart des activités, et 93% des opérateurs peuvent aujourd’hui compter sur un guide pour le SAC. Au sein de l’UE, il existe actuellement plus de 300 guides, dont environ 30 pour la production primaire. Souvent, ces guides ont une orientation spécifique. Outre la Belgique, seuls les Pays-Bas et la Slovénie ont opté pour un guide général de la production primaire. Pour motiver les opérateurs à opter pour la validation / certification, Herman Diricks évoque le bonus, la diminution des fréquences d’inspection par les autorités, la possibilité de l’utilisation d’un signe visuel et l’acceptation par les clients en remplacement de leur propre cahier de charges. Herman Diricks a annoncé que l’AFSCA allait profiter de la présidence belge de l’UE pour promouvoir l’approche belge de la sécurité alimentaire et phytosanitaire. Lors d’un symposium sur l’autocontrôle et son application dans les différents états membres, l’effet des SAC validés sera examiné de près. En outre, Herman Diricks a annoncé le développement d’un baromètre de la sécurité alimentaire. Herman Diricks a souligné l’importance de la complémentarité avec d’autres systèmes verticaux et horizontaux. Grâce à l’évolution vers une approche modulaire, les opérateurs pourront choisir les modules nécessaires à leur entreprise et éviter ainsi l’application de plusieurs guides. Table ronde Il y a ensuite eu une table ronde, dirigée par le journaliste du Boerenbond Jacques Van Outryve. Piet Vanthemsche souligne la création d’un système de base dans le cadre de Codiplan et de Vegaplan. Il plaide en faveur du fait que l’industrie et la transformation continuent sur les La Commission européenne estime qu’il existe 380 schémas de certification privés et nationaux au sein de l’UE, et constate des lacunes en matière d’information, une certaine complexité et un manque de cohérence. Il est nécessaire de développer une politique européenne de qualité cohérente pour les produits agricoles et les denrées alimentaires efforts accomplis. La société et les consommateurs imposent des exigences élevées aux producteurs, mais en même temps, ils ne veulent pas payer plus. Un regroupement sous une même coupole permettrait une gestion plus rentable de la qualité de la chaîne alimentaire. Il a encouragé la distribution à opter pour une base commune. La demande de différentiation de la distribution est bien évidemment légitime et compréhensible. Mais le secteur agricole devrait souhaiter une majoration des prix pour ces efforts supplémentaires. Joeri Deswarte, Conseiller en politique alimentaire à la Fedis, signale que les membres de la Fedis réfléchiront aux efforts accomplis dans les maillons, et principalement l’acceptation de l’autocontrôle. Il souligne que l’autocontrôle ne s’inscrit «que» dans un contexte belge, tandis que la distribution doit opérer dans un contexte international plus vaste. Pour les standards de qualité, il faudrait réfléchir à la manière dont l’aspect international peut être intégré. Jean-Pierre Detry, Directeur d’Aubel-Detry, a évoqué la pratique et la gestion de la qualité chez Aubel. L’abattoir et l’entreprise de transformation de viande Aubel-Detry suit actuellement 6 cahiers de charges différents, dont un légal et 5 spécifiques aux segments du marché à l’égard d’une différenciation des produits à base de porc. Pour 50% des exportations environ, aucun cahier de charges spécifique n’est demandé. Il souligne que la Belgique et la Grande-Bretagne ont été touchées par des crises, et furent, en partie à cause de cela, des précurseurs pour la création de systèmes de sécurité alimentaire. L’idée d’un label pour l’exportation permettant de démontrer qu’il s’agit d’un produit d’origine belge et que le produit est conforme à des conditions spécifiques pourrait être un avantage dans un contexte de compétition internationale. Que communiquer au consommateur, et comment? L’information du consommateur doit être correcte et pertinente, sans pour autant le surcharger d’aspects techniques. Chez Red Tractor, la communication se limite à la saveur des produits, via des recettes et le message-clé «ce produit avec ce logo est sûr et de grande qualité». Les informations techniques nécessaires sont mises à disposition sur demande. En fait, le consommateur ne peut en aucun cas être sous-estimé. Il doit pouvoir obtenir des informations correctes et détaillées via la distribution. Conclusions Antoon Wallays, président de Vegaplan et de Belgapom, souligne l’importance des efforts consentis par chaque maillon pour la distribution. La certification devrait être simple, ciblée, transparente et abordable. Dans le marché mondialisé actuel, et en particulier dans un pays classiquement exportateur comme la Belgique, il est primordial que les normes nationales soient également reconnues sur les marchés étrangers. De ce fait, les efforts de reconnaissance mutuelle, comme Vegaplan avec le Standard GIQF, sont cruciaux. L’alimentation et l’agriculture: un «secteur stratégique» pour l’Europe Telle est la devise de la présidence espagnole du Conseil agriculture. Elle entend axer ses travaux sur ce thème durant les six premiers mois de l’année. C’est ce que la Ministre espagnole a expliqué lors du premier Conseil Agricole de l’année le 18 janvier. La Ministre espagnole de l’Environnement, du Milieu rural et du Milieu marin, Elena Espinosa, est également en charge de l’agriculture. Selon elle, l’agriculture, de même que l’industrie agroalimentaire, permettent de fournir aux citoyens européens des aliments sains et de qualité, évitant ainsi un haut degré de dépendance alimentaire vis-à-vis de pays tiers, qui (' seraient loin de fournir les mêmes garanties. L’agriculture génère aussi de l’emploi, favorise la croissance économique, contribue à la préservation de l’environnement, à la conservation de la biodiversité et à la lutte contre le changement climatique. Pour toutes ces raisons, Mme Elena Espinosa entend défendre une Pac forte à l’avenir. )/aXem`\i)'(' Contrôle de la chaîne alimentaire Les travaux des Ministres se sont quant à eux spécialement focalisés sur une distribution plus équitable de la valeur ajoutée le long de la chaîne alimentaire, ainsi que sur l’importance d’offrir un juste rétribution à chaque maillon de la chaîne. Diverses positions se sont exprimées à cette occasion, comme le relève l’Agence Agra-Presse. Ainsi la position du Ministre français Le Maire est qu’il faut « faire évoluer » les règles communautaires de la concurrence pour promouvoir les interprofessions. Afin de « mieux rémunérer » les agriculteurs, le ministre français a également suggéré de « réfléchir au niveau européen » à la possibilité de contrats entre industriels et producteurs « sur plusieurs années ». Il a également « proposé à la Commission » la création d’un observatoire européen pour assurer la transparence des prix et des marges. Cette idée a été reprise par la présidence espagnole. Toutefois, l’Allemagne y est réticente, estimant qu’il est préférable d’analyser les prix et les tendances des marchés au niveau de chaque pays et non pas à l’échelle communautaire. De même, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, l’Estonie, la Bulgarie et la Finlande font la promotion d’outils non législatifs en vue de rétablir l’équilibre au sein de la chaîne alimentaire entre producteurs, industriels et distributeurs. Ce serait par exemple des codes de bonnes pratiques. Eventuellement, pour le Royaume-Uni, la Grèce, l’Espagne, la Pologne et le Portugal, un mécanisme d’arbitrage communautaire pourrait être créé. Plusieurs pays, comme Chypre, plaident toutefois pour de véritables normes contraignantes. Par ailleurs, quelques délégations, notamment la France, l’Italie et l’Autriche, voient dans l’instauration de systèmes d’étiquetage de l’origine, un bon moyen d’aider les producteurs à mieux se défendre. Mais de telles mentions, si elles sont développées au plan national et non communautaire, risquent d’être, à terme, un obstacle à la libre circulation des marchandises au sein du marché intérieur, ont mis en garde plusieurs autres délégations telles que la Pologne et l’Espagne, qui militent pour des mentions communautaires. Pour sa part, la Belgique a mis l’accent sur le développement des circuits courts de distribution et sur la nécessité d’instaurer des méthodes de certification à ce propos. ?FDD8><J Funérailles de Raymond Rabeux à Beauraing: l’éloge funèbre de Philippe Rondeux C’est le vendredi 22 janvier dernier qu’ont eu lieu, en l’église décanale de Beauraing, les obsèques de Raymond Rabeux. Ancien vice-Président de l’Alliance Agricole belge, Raymond Rabeux en a aussi longtemps présidé la section spécialisée «viande». Ci-après l’éloge funèbre poignant et plein de vérité, qu’a prononcé le Secrétaire du Bureau du Sud Namur de la FWA – et aussi longtemps compagnon de travail de Raymond – Philippe Rondeux. ADIEU RAYMOND «SI LA GRAINE DE BLE M E U RT, E L L E D O N N E BEAUCOUP DE FRUITS» Ce lundi 18 janvier, rien ne laissait présager que notre ami Raymond, encore très alerte jusqu’il y a peu, allait de la pointe des pieds, tirer sa révérence à l’âge de 79 ans. Une grande et belle page se tourne à la ferme de Wez. Si nos campagnes pouvaient parler, elle pourraient exprimer leur peine mais aussi nous rappeler tous les services rendus par Raymond à l’agriculture et à ses collègues agriculteurs. L’homme a connu une vie entièrement vouée à sa famille et à sa passion l’agriculture et à la défense de celle-ci. Déjà membre assidu de l’Alliance Agricole Belge, il fut un des fondateurs en novembre 1971 de la fédération de Beauraing. Il y assura le poste de président de 1974 à 1995. C’est avec un dynamisme effréné et un cœur grand comme ça que, pendant 21 ans, il représenta sa région partout où sa position l’imposait. Etant son secrétaire durant cette période, je peux témoigner de son dévouement et de son abnégation. Je sais le temps, l’énergie et les moyens tant moraux que financiers qu’il a dépensés pour défendre la classe agricole et cela sans en attendre un quelconque retour, bien au contraire. Pour cela, il fallait être soutenu et secondé par toute sa famille car les travaux de la ferme n’attendaient pas. Il fallait s’organiser. Bien qu’handicapée suite à un accident avec un bovin et puis malade, sa chère épouse Adrienne a toujours encouragé Raymond. Durement touché aussi par la perte d’un enfant, le couple semble avoir trouvé dans ces malheurs une énergie décuplée. Chez eux il n’y avait pas de rétroviseur, on allait de l’avant avec optimisme mais aussi avec discernement. Un exemple de vie et de mentalité pour tous mais surtout pour sa famille. En plus de ses responsabilités régionales, il accepta la vice présidence nationale de l’Alliance Agricole Belge et présida durant plusieurs années la section spécialisée dans le domaine de la viande. Il fut également actif dans d’autres secteurs. Il assura un mandat de juge du travail auprès du tribunal du travail de Dinant. Il présida le conseil d’administration de la Banque CERA de Beauraing. Il représenta également le secteur agricole dans le conseil d’administration de la mutualité chrétienne de Dinant. Jusqu’au bout de sa vie, Raymond est resté actif, toujours Hommage à André Beauvois Né à Warquignies, et décédé à Soignies ce mois de janvier à l’âge de 61 ans, André Beauvois fut ancien Inspecteur de la Fédération de Mons Soignies de l’Alliance Agricole Belge. Il a exercé durant quelque vingt années ses fonctions d’Inspecteur régional à l’AAB. Lors de ses obsèques, Louis Poulain, ancien président de ces sections lui a rendu hommage. Salut André, tu laisses aujourd’hui ta famille un peu orpheline car je sais, pour t’avoir souvent tenu compagnie au cours de ces derniers temps, que tu avais le souci constant du bonheur des tiens. Tu n’as pas eu beaucoup de chance dans la vie mais toujours, tu as affronté la difficulté avec courage et abnégation. S’il te fallait passer la nuit pour te ménager la tranquillité nécessaire pour remplir ta mission de secrétaire en notre fédération agricole de Mons-Soignies, tu le faisais sans attendre d’autres louanges de tes administrés. Je tiens en leur nom, à t’en remercier chaleureusement. Tu nous laisseras le souvenir d’un garçon affable et dévoué qui nous quitte aujourd’hui après une vie bien remplie pour assurer la défense combien compliquée en ces temps de crise, de nos exploitations. Par tes compétences et ta disponibilité, tu as résolu pas mal d’énigmes dans le traitement des Ey:IFCF>@< Monsieur Eugène CHOUKART Né à Waret-la-Chaussée le 25 novembre 1937 et y décédé le 18 janvier 2010. Monsieur Pierre DORMAL, époux de Renée PREVOST Né le 2 février 1929 à Rocourt et décédé le 19 janvier 2010 à Liège Rue Gustave Lemeer 5 à Villers-l’Evêque Monsieur Joseph GROTECLAES, veuf de Hubertine WALLRAFF Décédé à Raeren le 31 décembre 2009 à l’âge de 86 ans Marie Heim à Raeren Madame Francine LEYENS, épouse de René GROTECLAES Décédée à Walhorn le 13 janvier 2010 à l’âge de 35 ans Walhorn Monsieur Léon NAEDENOEN, veuf de Henriette VAESSEN Né à Hombourg le 7 octobre 1929 et décédé à Petit-Rechain le 18 janvier 2010 présent dans la ferme familiale gérée maintenant par son fils Philippe. Ardemment, il attendait d’ailleurs le retour du printemps pour reprendre les travaux des champs. Malheureusement, le sort en a voulu autrement. La destinée est cependant implacable: La dernière terre cultivée par Raymond à l’automne dernier, au «Sety», sur les coteaux de Wancennes est effectivement la 1ère terre cultivée par celui-ci 60 ans plus tôt. La boucle était bouclée. PROFICIAT RAYMOND: TU AS REUSSI TA VIE. «QUI QUE TU SOIS, MERCI DE NOUS L’AVOIR DONNE» Madame Andrée SIMON, veuve de Raoul MOLET Née à Goutroux le 21 janvier 1927 et décédée à Gilly le 22 janvier 2010 La défunte était la maman de Marc Molet, Secrétaire à Beaumont rue G Michiels 56 à 6500 BEAUMONT Monsieur Adolphe RIGO, veuf de Sylvie DUCHATEAU Né à Mons-Lez-Liège le 22 novembre 1923 et décédé à Huy le 22 janvier 2010 Rue Feron 1 à 4530 Warnant-Dreye Madame Marie LATOUR, veuve de Jules GUISEN Née à Hodeige le 7 décembre 1933 et décédée à Waremme le 21 janvier 2010 La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein Champ présentent leurs sincères condoléances aux familles Hommage à Pierre Dormal Pierre Dormal, qui fut durant de longues années président de la cantonale UPA de Fexhe-Hollogne, vient de s’éteindre à l’aube de ses 81 ans. Au nom de la FWA, et du monde agricole dossiers fiscaux les plus délicats. hesbignon, Henri Lhoest, président de la section locale, Tu en avais fait ta spécialité. Cette tâche, tu l’as également lui a rendu un dernier hommage remplie en nous accompagnant lors de ses obsèques qui se sont déroulées partout dans toutes nos actions à Villers-l’Evêque ce samedi 23 janvier. revendicatives où nos intérêts syndicaux exigeaient notre présence. Arrivé au terme de longs mois de souffrance, tu peux partir en paix André et nous te souhaitons le paradis que tu mérites dans ta nouvelle vie. Reçois ces quelques mots en hommage de la part de tous les membres de notre fédération reconnaissants. Il a bien entendu rappelé son engagement syndical, que ce soit au niveau de la cantonale dont il assura longtemps la présidence, de la province ou du comité directeur des UPA où il défendait cette agriculture hesbignonne qu’il aimait tant. Calme et doté qu’une grande capacité d’écoute, il parvenait toujours à remettre les débats à leur juste niveau. C’est également comme expert que Pierre Dormal a défendu bien des agriculteurs lors d’expropriation ou en cas de dégâts aux cultures. Ajoutons que la vie de Pierre Dormal n’a pas été bercée que par l’agriculture puisqu’il fut aussi bourgmestre de Villers-l’Evêque. )/aXem`\i)'(' (( =@ID<J Strube: l’innovation par tradition Bien qu’également actif en céréales, c’est surtout dans le monde betteravier que le semencier allemand Strube est réputé. Confiante dans l’avenir de la culture betteravière, cette entreprise familiale vient de racheter son partenaire Dieckmann et d’investir dans les technologies de pointe en vue de poursuivre la sélection et la production de variétés performantes répondant aux exigences d’aujourd’hui et de demain. 9\ieXi[ B\ijk\e Jusqu’en 2005, le nom de Strube n’était connu chez nous que de rares initiés. Les variétés de betteraves sucrières de ce sélectionneur allemand étaient alors commercialisées par le canal de la SES. Pour la campagne 2006, le rapprochement de SES et Vanderhave a cependant rebattu les cartes. Et la firme Pype, jusque là mandataire de Vanderhave, a alors eu l’opportunité de se sucrière. Conservant sa confiance dans l’avenir de cette production, Strube reprend alors l’ensemble des activités betteraves de son ancien partenaire. Une décision que ni Hermann-Georg Strube, ni sa fille Sina Isabel, représentant respectivement les quatrième et cinquième générations de Strube à la tête de cette entreprise familiale, ne semblent aujourd’hui regretter. Hermann-Georg Strube et sa fille Sina Isabel, 4ème et 5ème génération de Strube à la tête de l’entreprise familiale créée voici 130 ans tourner vers Strube. Ou plus exactement vers Strube-Dieckmann, un partenariat entre deux firmes totalement indépendantes qui, dans un souci d’efficacité, avaient décidé de regrouper leurs activités commerciales et de se répartir certaines tâches, comme la biotechnologie (chez Dieckmann) ou la production (chez Strube). En 2008 toutefois, Dieckmann manifeste son souhait de se retirer du secteur de la betterave Strube hier et aujourd’hui L’histoire de la société Strube débute en 1877, il y a donc plus de 130 ans. A la tête d’une importante exploitation agricole implantée à Schlanstedt, près de Magdeburg (Saxe-Anhalt), Friedrich Strube se lance dans la sélection de la betterave et du froment. Certaines de ses variétés, en froment notamment, connaissent rapidement un vif succès qui contribue à assurer le développement de l’affaire. En 1945, l’entreprise se voit «expropriée» de Schlanstedt alors située en RDA. Bien qu’ayant perdu une bonne partie de son matériel génétique, la société s’installe alors à Schöningen, quelques kilomètres plus à l’Ouest avant de racheter une ancienne sucrerie à Söllingen, toujours dans la même région. En 1992, 3 ans après la chute du Mur donc, l’occasion s’est présentée à la firme de racheter ses anciens bâtiments de Schlanstedt, distants d’une vingtaine de km de Söllingen. C’est ainsi qu’aujourd’hui l’essentiel des activités de Strube se trouve réparti entre ces deux sites: l’administration, la vente, mais aussi la production des semences de betteraves et une partie de la recherche et du développement sont implantés à Söllingen tandis que le site complètement rénové de Schlanstedt abrite notamment les activités biotechnologie qu’il a fallu considérablement développer à la reprise de Dieckmann ainsi que le traitement des semences de céréales. C’est aussi le siège de l’exploitation agricole familiale (la famille Strube exploite encore à ce jour une ferme de plus de 2000 ha) . La société Strube occupe environ 200 personnes en Allemagne auxquelles s’ajoute une centaine de collaborateurs répartis de par le monde. Actuellement, Strube commercialise plus de 120 variétés de betteraves sucrières dans 30 pays, en Europe, Asie et Amérique du sud. C’est dire combien Strube occupe une position importante dans ce créneau où, il est vrai, les acteurs sont de moins en moins nombreux. Si l’activité «betteraves» prédomine largement chez Strube, le semencier est néanmoins resté actif dans le secteur des céréales. Son portefeuille est riche d’une quinzaine de variétés commercialisées dans 16 pays. Pour les céréales, Strube fait partie de Saaten Union, un groupe qui associe 7 obtenteurs allemands aux spécialités complémentaires et qui occupe une position de leader sur le marché allemand des céréales. Une semence de qualité La semence est un des nombreux facteurs influençant le rendement en sucre blanc d’une parcelle de betteraves. Et qui dit semence, pense évidemment génétique. Il est vrai que le travail des sélectionneurs permet de présenter régulièrement de nouvelles variétés plus performantes que les précédentes en terme de potentiel rendement (on évoque un progrès annuel de 1,5 t/ha rien qu’avec la génétique) et présentant en outre des caractéristiques toujours plus pointues comme la résistance à divers parasites. Mais le potentiel génétique d’une variété donnée ne pourra pleinement s’exprimer que si la qualité de la semence est optimale. Or depuis la multiplication jusqu’à l’enrobage, bien des paramètres peuvent l’influencer. Tout semencier qui se respecte met évidemment tout en oeuvre pour livrer au planteur une semence d’excellente qualité et chacun y va de sa stratégie. Chez Strube, celle-ci s’appelle «3D». Si de nombreux facteurs influencent le rendement d’une culture, il en va de même au niveau de la multiplication des semences où les paramètres les plus divers vont agir non seulement sur la quantité de graines produites mais aussi sur leur qualité. S’y ajoute la floraison échelonnée de la betterave qui donne forcément des graines de divers niveaux de maturité à la récolte. C’est ainsi qu’outre leur taille, leur forme ou la résistance de l’opercule qui renferme le fruit, les graines récoltées se distinguent également par le degré Selon Strube, la technologie «3D» permet de garantir une levée et une croissance homogène des betteraves de maturation de l’embryon, sa taille, sa composition chimique et par la qualité du tissu nutritif. Si un calibrage classique permet de trier les graines sur leur forme, leur densité ou leur taille, il lui par contre impossible de les trier en fonction de la qualité de leur embryon. Et c’est ici qu’intervient la technologie 3D développée par Strube voici maintenant quelques années. Elle se base sur une microscanographie en 3 dimensions d’un échantillon de chaque lot. Les images issues de ces radiographies tridimensionnelles de l’intérieur des graines sont alors analysées par un logiciel qui va pouvoir mettre en évidence les différences qualitatives entre différents lots de matière première. Cette évaluation, qui se répète à plusieurs reprises au cours du processus de traitement des graines en usine, va permettre d’affiner le tri et d’homogénéiser les lots. Comme le disait non sans humour le responsable de la production à l’occasion d’une récente visite du site organisée dans le cadre d’une rencontre internationale, «ce que l’on produit le plus ici, ce sont des déchets». En effet, sur les quelque 3.000 t de semences de betteraves sucrières qui arrivent chaque automne à Söllingen en provenance de Provence ou du nord de l’Italie, 75% seront écartés pour ne conserver que le meilleur. Selon Strube, le tri rigoureux basé sur la technologie «3D», outre qu’il permet de garantir des taux de germination élevés, présente surtout l’avantage de livrer des lots avec des qualités d’embryon homogènes qui vont aboutir à une levée et une croissance elles aussi homogènes. Or, toujours selon Strube, des semences d’une variété donnée, à pouvoir germinatif identique, permettent d’obtenir un gain de rendement significatif du seul fait de l’homogénéité de la levée et de la croissance des betteraves. Un événement international La firme Strube a récemment tenu à présenter son concept global de sélection et de production à la filière sucre internationale. Représentants des planteurs, de l’industrie sucrière ou des institutions de recherche, 250 invités issus des 30 nations où la société commercialise ses semences des betteraves, ont ainsi rallié la région de Magdeburg. Il leur a été donné l’opportunité de découvrir cette entreprise plus que centenaire et pour autant résolument moderne, confirmant son slogan: «l’innovation par tradition». La Belgique était naturellement présente à ce rendez-vous international. La délégation emmenée par la firme Pype comptait aussi bien des représentants des planteurs que de l’industrie, sans oublier bien sûr la recherche. Biathlon, un nouveau venu en désherbage céréales Basé sur une sulfonylurée, le Biathlon que BASF propose dès ce printemps un anti-dicotylée agréé sur toutes les céréales pouvant être associé à la plupart des anti-graminées. 9\ieXi[ B\ijk\e La famille des sulfonylurées compte depuis peu un nouveau représentant : le tritosulfuron. Développée par BASF, cette matière active se retrouve dans un nouveau produit commercial baptisé Biathlon, un anti-dicotylée pour céréales. Parmi les caractéristiques de ce nouveau produit mises en exergue par Basf, on retiendra notamment sa grande souplesse, qu’il s’agisse des cultures sur lesquelles il est autorisé (toutes les céréales à pailles, d’hiver et de printemps), du stade d’application (du début tallage jusqu’à la dernière feuille) ou encore des possibilités de mélanges. C’est ainsi qu’il peut sans problème être mélangé avec pratiquement tous les anti-graminées classiques (Atlantis, Attribut, Isoproturon, Lexus…), confirmation étant encore attendue pour l’Axial. Il peut également être appliqué en même temps que d’autres anti-dicots, mais aussi avec l’azote () liquide (en évitant évidemment les buses tri-filets, vu son action foliaire), les fongicides et les régulateurs ainsi que les huiles nécessaires pour certains anti-graminées (Actirob....) Stratégie gaillets Autre caractéristique intéressante du tritosulfuron : c’est la seule sulfonylurée agissant à la fois sur le gaillet et la véronique. Basf avoue cependant que dans certaines situations, son action sur gaillet peut se révéler insuffisante. C’est ainsi qu’en mélange avec un anti-graminée ne présentant aucune action gaillet (Attribut, isoproturon, Puma, Topik... ), son efficacité est suffisante contre des gaillets jusque 3 couronnes. En présence de gaillets plus développés, Basf recommande par contre d’ajouter 1/4 à 1/2 dose d’un antigaillet spécifique ou de prévoir une correction éventuelle spécifique contre le gaillet. )/aXem`\i)'(' Si à l’inverse, le Biathlon est appliqué en mélange avec un antigraminées présentant une action gaillet (Alister, Atlantis, Capri, Cossack, Hussar, Lexus, ...), il n’y a vraiment que dans les Polders ou sur gaillets fortement développés qu’il faudra alors envisager de renforcer l’effet anti-gaillet du mélange. C’est une sulfo ! Outre les caractéristiques évoquées plus haut, le tritosulfuron présente les caractéristiques communes aux matières actives de la famille des sulfonylurées à action foliaire. Le produit est absorbé par les parties aériennes vertes des adventices et le premier effet est le blocage de leur développement cellulaire et de leur croissance. Si selon Basf, l’arrêt de la croissance est rapide, comme toujours avec les sulfos, il faut toutefois attendre un certain temps avant que les premiers symptômes ne deviennent visibles, en particulier sur des adventices déjà plus développées. En conséquence, il est recommandé de privilégier les traitements précoces. D’autre part, comme toujours avec les sulfonylurées, il convient de porter une attention particu- Agréé pour toutes les céréales, le Biathlon est un anti-dicotylée agissant aussi bien sur le gaillet que les véroniques et pouvant être mélangé à la plupart des anti-graminées lière au rinçage du pulvérisateur (buses, rampes, tuyauterie, cuve) directement après l’application pour éviter de causer des dommages aux cultures sensibles traitées à la même époque. Fiche technique Le Biathlon se présente sous forme de granulés (WG) dosant 71,4% de tritosulfuron. Comme écrit plus haut, il est agréé en froment et orge d‘hiver et de printemps, épeautre, triticale, avoine et seigle et il agit sur les dicotylées (camomille, gaillet, lamier, mouron, véronique, ..). La dose d’utilisation est de 70g/ ha de produit commercial. En céréales d’hiver, la période d’application va du début tallage à la dernière feuille et en céréales de 3 feuilles à la dernière feuille. Il est vendu en emballage de 350 g (pour 5 ha). La recommandation de Basf est d’appliquer le Biathlon en sortie d’hiver (en favorisant les applications précoces) à raison de 70 g/ha, en mélange avec un antigraminée, éventuellement additionné d’huile si l’anti-graminée le requiert (ex : Atlantis + Actirob). Nouvel emballage Basf a profité du lancement du Biathlon pour présenter un nouvel emballage qui sera progressivement utiliser pour l’ensemble des produits. Portant le nom d’Ecopack, cet emballage se caractérise entre autre par son absence d’opercule, toujours délicat à ôter, son ouverture centrale supprimant l’effet « glou-glou » et facilitant la vidange totale et le rinçage et son poids inférieur diminuant d’autant le poids de déchets à traiter. N° 104 28 janvier 2010 Journal officiel de la Fédération des Jeunes Agriculteurs F é d é r a t i o n d e s J e u n e s A g r i c u l t e u r s - C h a u s s é e d e N a m u r, 4 7 - 5 0 3 0 G e m b l o u x T é l . 0 8 1 / 6 0 . 0 0 . 6 0 - F a x 0 8 1 / 6 0 . 0 5 . 2 7 - E - m a i l : f j a @ f w a . b e - S i t e : w w w. f j a . b e A la Une 2010 : Une année phare pour les jeunes agriculteurs Si 2009 restera tristement dans les mémoires comme une année désastreuse pour le secteur agricole, cette année 2010 sera une année charnière pour l’avenir de l’agriculture européenne. Application du bilan de santé, budget et orientation de la PAC post-2013, présidence belge de l’UE… les défis qui concernent directement les agriculteurs sont nombreux. La FJA se doit de rester attentive à ce que les intérêts des jeunes agriculteurs soient plus que jamais pris en considération. Mieux que ça, la FJA doit se montrer active et prendre part à l’ensemble des discussions. Notre fédération ne manquera de provoquer le débat et d’arrêter une position sur les attentes des jeunes agriculteurs par rapport à la Politique Agricole Commune avec en point d’orgue l’organisation d’un séminaire Ceja en septembre prochain. Si les jeunes agriculteurs, et la FJA en particulier, seront mis à l’honneur durant 2010, c’est essentiellement par les nombreux défis qui nous attendent que cette année va se révéler cruciale. En ce début d’année, et le nombre de réunions effectuées sur le sujet le prouve, c’est bien entendu le futur des aides directes qui est au centre des préoccupations. Ces aides du premier pilier de la PAC constituent la part majeure du revenu des agriculteurs. Que ce soit dans l’audition du (plus que probable) nouveau Commissaire européen en charge de l’agriculture que dans la déclaration de politique régionale, le monde politique a tendance à remettre en cause le calcul des aides sur base historique. Si la FJA peut considérer que dans certains cas, la répartition des DPU semble inéquitable, il faut cependant rester très prudent avant de tout remettre en question. Des notions fondamentales comme les investissements effectués, le nombre d’actifs, la durabilité de l’exploitation… doivent rentrer en ligne de compte avant d’entamer une quelconque réforme. Les jeunes agriculteurs sont en tout cas demandeur de plus de prévisibilité. On ne cesse de remettre en cause les règles du jeu. Il serait par exemple inacceptable qu’un jeune ayant repris une exploitation récemment se voit raboter d’une partie de ces aides directes (et donc de son revenu) alors qu’il a investi en fonction de cellesci. Il est essentiel qu’au début de sa carrière, l’agriculteur connaisse les moyens dont il va disposer et ce tout au long de sa vie professionnelle. Il est tout aussi essentiel que ces droits Grégory ETIENNE restent accessibles aux jeunes qui s’installent. Des dispositions devront en tout cas être prises dans ce sens. Le Ministre Lutgen devra prendre une décision sur la répartition des DPU avant le 1er août. Alors lissage?, régionalisation ?, statut-quo ?…il s’agit là d’une décision (exigée par le bilan de santé) bien difficile à prendre tant les inconnues pour l’après 2013 sont nombreuses. Cette PAC post-2013 est un enjeu fondamental. C’est pourquoi, la FJA va se pencher sur son sort. Notre assemblée annuelle, qui se tiendra le jeudi 4 mars à l’espace Senghor de Gembloux, aura pour thème « Qu’attendent les jeunes agriculteurs européens de la Politique Agricole Commune ? ». En préambule à une table ronde rassemblant des jeunes agriculteurs de différents horizons européens, nous entendrons un représentant de la DG-Agri qui, on ose l’espérer, nous dévoilera les tendances qui se dessinent dans les couloirs de la Commission. Le plus important sera de maintenir un budget agricole suffisant, avec un 1er pilier fort. Il sera tout aussi important de trouver des mécanismes de régulations des marchés des productions agricoles. Les agriculteurs ont besoin de stabilité et de prédictibilité. Nous n’aurons certainement pas toutes les réponses lors de cette assemblée mais, nous connaîtrons une partie des attentes de nos collègues jeunes agriculteurs européens. Dans le même esprit, la FJA aura l’honneur de recevoir l’ensemble de ses collègues européens lors d’un séminaire Ceja qui se déroulera du 18 au 21 septembre en marge du Conseil informel des ministres de l’agriculture qui se tiendra sous présidence belge. Il s’agit là d’un formidable défi et d’une réelle opportunité de faire entendre notre voix. Avant ce séminaire, il sera important pour nos membres de bien cerner les enjeux de la future PAC et surtout de définir une ligne de conduite que nous nous efforcerons à défendre auprès de nos responsables politiques. L’installation des jeunes dans un secteur agricole durable reste un objectif majeur. Notre devoir est donc de bien informer les jeunes agriculteurs sur ces enjeux mais surtout d’être à l’écoute de leurs revendications. Une série de réunion sera dès lors programmée dans les différentes provinces. Toujours en septembre, les jeunes seront également mis à l’honneur à l’occasion de la foire agricole de BatticeHerve. Je suis convaincu que nous pourrons compter sur nos membres liégeois pour donner une image dynamique de notre mouvement. Il convient de saisir chaque opportunité pour mettre en valeur nos actions. A coté de ces évènements exceptionnels, la FJA renforcera ses activités habituelles tout au long de l’année. Que ce soit en matière de formation et d’information, d’encadrement des stages, d’évènements de promotion comme les fermes en villes ou encore d’animation rurale au travers de ses sections, la FJA aura à cœur de répondre à l’attente de ses membres. Il est plus que jamais nécessaire pour les jeunes de se former correctement et de se tenir informer. Il est important que nos responsables des différentes sections organisent régulièrement des conférences et des cours. La formation est le premier pas vers la réussite. Nous espérons d’ailleurs renouveler l’expérience FoR-JA qui, lors de sa première promotion, a permis à 12 agriculteurs et agricultrices d’approcher les réalités agricoles sous d’autres angles. Leurs témoignages positifs nous encouragent dans ce sens (plus d’info sur www. fja.be). Vous le voyez, ce ne sont pas les projets qui manquent. Tant le bureau national que le bureau administratifs espèrent pouvoir compter sur vous pour les mener à bien. Comment se faire membre FJA? à mentionner en communication ton nom, prénom et adresse ainsi que le numéro de la section locale dans laquelle tu souhaites être membre. Pour cela tu peux t’aider du tableau ci-dessous. Cher(e) Ami(e), Pour devenir membre FJA pour la saison 2010, rien de plus facile. Il te suffit de verser la somme de 10 euros sur le compte 1043252972-27. Merci de veiller 1 HAINA UT 2 LIEG E 3 Tu recevras une carte de membre de la section locale que tu as choisie ainsi que le journal Plein Champ où tu pourras trouver de multiples d’informations sur notre mouvement. LUXE MBOURG 4 N AM UR 1 Ath 16 Aubel 28 Bastogne 33 Andenne 2 Ath-Flobecq 17 Blegny 29 Centre-Ardenne 34 Beauraing 3 Mons-Quiévrain 18 Condroz-Liégeois 30 Houffalize-Vielsalm 35 Ciney 4 Comines 19 Cornesse 31 Nord-Luxembourg 36 Dinant 6 Fleurus 20 Ardenne Liégeoise 32 Sud-Luxembourg 37 Florennes 7 Leuze 21 Hannut 45 Latere d'Ardenne 38 Fosses-la-Ville Gembloux 8 Merbes-Binche 22 Henri-Chapelle 39 10 Seneffe 23 Malmedy 40 Namur 11 Silly 24 Rechain-Herve 41 Philippeville 12 Soignies 25 Sprimont BRABA NT 42 Rochefort 13 Beaumont 26 Waremme 9 Nivelles 44 Eghezée 14 Tournai 1 43 WPJ 15 Tournai 2 46 TNG 5 CONGRES DE LA FJA Qu’attendent les jeunes agriculteurs européens de la future Politique Agricole Commune ? LE JEUDI 4 MARS 2010 À 19H30 Espace Senghor de Gembloux Formation Professionnelle Agricole Saison 2009-2010 La FJA – Gestion de Formation – ASBL organise, durant toute l’année et dans toute la Wallonie, des cours de spécialisation d’une trentaine d’heures. Informatique à la ferme, Insémination artificielle, Alimentation animale, Horticulture, Maladies du bétail, Production porcine, Comptabilité et gestion, Droit rural, Electricité, Maçonnerie, Menuiserie, Soudure, Fromagerie, Valorisation des Produits du Terroir, Mécanique agricole, Elevage BlancBleu-Belge, Pédagogie à la ferme, Variété et qualité des céréales, Elevage ovin, Elevage caprin, Aménagement des bâtiments agricoles et des abords de ferme Etc… Cette liste n’est qu’un aperçu des possibilités que la FJA peut vous proposer! Libre à vous d’élargir à de nouveaux thèmes. N’hésitez donc pas à nous contacter. Si vous désirez vous inscrire à un cours, merci de renvoyer le formulaire d’inscription ci-joint - soit par courrier à la Fédération des Jeunes Agriculteurs, Chaussée de Namur, 47 à 5030 Gembloux ; - soit par fax au 081/60 05 27 ; - soit contact par téléphone au 081/627.441 ; - soit par mail à [email protected] Nom : Prénom : Adresse Localité: Tél : Je désire m’inscrire au cours : C en Lieu du cours : '( 28 janvier 2010 Code Postal : Rétrospective 2009 ational de A «Agri- de ime partenaire pr se positionne com oi A at FJ lig La : ob s ier nv ge Ja drement des sta vilégié dans l’enca néficier des aides à la première bé res pour pouvoir A a encadré une nnée 2009, la FJ l’a r Su n. installatio giaires. soixantaine de sta eau module augure son nouv in A FJ La r ie nv Ja inistre de la en présence du M -JA R Fo n tio a lla. form que, Marc Tarabe Formation de l’épo Nonuelle de la FWAle:vivean ée bl em ss A r: el ie terp Févr hane Pierrard, in tre Président, Stép en au sujet d’AIDA ! Interpeltg ment le Ministre Lu ue les négociations qui ont isq pu ue nd te tions. lation en u à des améliora lie é nn do t on s ie suiv Mons, Liège (qui fêt e ses uit à n’ont pas cond ont s n o ti c a s ce le des e, el s Si l’ensemble e la politique européenn e politid t o et le m nd un reviremen lé les citoyens cteur agricole. el rp te in s ca en tout tés du se raves difficul que sur les g 10 ans), Bastogne, e annuelle de la FJ Mars: Assemblé le coût ? » t tenir culture : commen au N du nouveau Bure Mars: Election ckenroye remplace Stéphane nvin la FJA. Gar y Va notre mouvement. de te tê Pierrard à la Waterloo, Namur et Bruxelles ont accueil lis l’édition 2009 de « la ville s’éveille au chant nbramont, les ce au Li , le il -v rg u o b m xe nisées tout ège, Verviers, Luifestations et des actions ont été orusga Li s, lle e x notre révolte ru : B e r, des man Namu ières. La ca nt s… fro re s è ti no n o de fr à s chute des prix -del la Wallonie et au ujours plus de libéralisme et la ole européen de trales d’acéehaaut,x le s in co re at qu tend vers to odèle agric qui un m long de l’ann rticipé, le ole européenne Il s’agit vraiment de défendre ric ag ue iq lit officiellement pa po s e. pa ul a co y n’ dé contre la A en FJ i Même si la agricoles qu ey des productions ver le revenu des agriculteurs. pandage massif de lait à Cin er l’é e és ut pr do de n ut cu rto au su ns et ces actions fut sa point d’orgue de du coq ». Une fois en core, la FJA renouve lle ses actions charmes auprès des citoyens. Juin : Jean-Pierre Cham pa de la FWA pour une ret gne quitte le secrétariat général active. La FJA se devait raite bien méritée mais surtout de le travail accompli. Jea remercier Jean-Pierre pour tout n-P deux anciens de la JAP. ierre nous quitte, Yvan arrive : Nove m bre Ju bre : Le 1 8 verine les voit le novemY e r n aux, s jour. Séadmin e est re istrative de crétaire m congé placée du la FJA, Améli de maternriatént son e Labiou par se. Juin : Interreg et Léo l’agriculteur ! Lancement des douze affiches didactiques expliquant de manière ludique le métier d’agriculteur à destination des écoles primaires. Juillet Le climat de cr ise se faisait bien sentir à Libram ont. Cette année, la FJA Namur-Sud n’est en tout cas pas passée la foire avait un goût amer. L’action de inaperçue. r durs A savent se montre FJ es br em m s le i Août :S est nécessaire, ils surfaces quand c’ s e de an gr s le rs enve ur mettre en plac borer avec elles po la distribution de lla co i ss au nt ve sa par omotion. Comme des actions de pr lait » Fé s de e nd Ba lait « ur rejoinnous quitte po en ocl e h c a R : re et , ob le ct co O les bancs de l’é dre, à nouveau, tant que nous rejoins en ut. n ie st a b é na S e ai H br to de ur la province coordinateur po Décembre Agribex a été l’occasion d’expliquer, une fois de plus, l’agriculture aux élèves des écoles bruxelloises. des concours nos champions i ic vo : le na la finale Natio pour Namur etle en race Pie Noire. e ss o C t en ur mbourg et La finale nationa et pour le Luxen quand à lui remporte la nn A e p p ili Ph ei Hainaut, Jeantophe Hagelst Cathy pour les juges en race BBB. Chris d vi a D : re b o oct meilleur Septembre et Tout au long de l’année, la FJA est restée plus que jamais active dans la formation des jeunes agriculteurs (plus de 4000 heures de cours) avec comme nouveauté la formation pour le passage du permis tracteur La FJA Province de Liège Les voies possibles, le quotidien du gestionnaire, les aspects légaux, les investissements nécessaires, le revenu dégagé Le mardi 16 février 2010 à 20h «Au Boute-en-Train» à Mortroux Chemin de Trimbleu 3 Introduction par Cécile Collin, présidente provinciale FJA et tables d’hôtes à la ferme, les gites à la ferme ainsi que les services offerts par l’ASBL Accueil Champêtre. Ferme pédagogique par José Drouguet de Thimister-Clermont Témoignage du gérant de la ferme pédagogique de la Ferme de Strée. Salon de dégustation par Eliane Loly de Mortroux Témoignage sur son salon de dégustation « Au boute-en-train » et la fabrication de glaces. séance par Martine De Nijs d’Accueil Champêtre en Wallonie Les fermes pédagogiques, stages, anniversaires, campings à la ferme, restaurants Point de vente à la ferme par Martine De Nijs de Neuville-sous-Huy Son témoignage de productrice et gérante d’un point de vente à la Ferme de la Neuville : transformation de produits laitiers et vente de poulets fermiers et de produits d’autres producteurs. Gîte à la ferme Témoignage d’un propriétaire de gîte à la Ferme. Distributeurs de lait cru par Olivier Schifflers de la Fédération des Jeunes Agriculteurs Fil conducteur établi durant l’ensemble de la Témoignage sur la transformation du lait en cacao, beurre, maquée, yogourt, flan, pudding, riz au lait et son système de vente par distributeur à la Ferme de la Chapelle. Fabrication artisanale de produits laitiers en vente dans des distributeurs par Marianne Pichot de Limbourg Mesures d’aides par Martine DENIJS d’Accueil Champêtre en Wallonie Les aides et soutiens qui existent pour aider les agriculteurs à se diversifier : ISA, Accueil Champêtre en Wallonie [email protected] Tél. 081/60.00.60 Fédération des Jeunes Agriculteurs C h a u s s é e d e N a m u r, 4 7 5 0 3 0 G e m b l o u x Les élections 2009-2010 des Comités de Sections Locales Janvier 29 janvier FJA WPJ FJA Merbes-Binche FJA Andenne FJA Province de Luxembourg Février 5 février FJA Malmedy FJA Ciney FJA Silly 12 février FJA Province de Namur 19 février FJA Ath-Flobecq FJA Province de Liège FJA Province de Brabant 26 février FJA Comines Mars 5 mars FJA Province de Hainaut 12 mars FJA Nationale Le Livre “Permis G Connaître et conduire” Le Livre “Permis G Connaître et conduire” Est disponible à la FJA 20 euros pour les membres FJA ou FWA 25 euros pour les non-membres Pour l’obtenir: Faites un virement au compte: 104-0306012-24 en indiquant en communication: «Permis G» + votre numéro de membre (si membre) Pour tout renseignements supplémentaires: Composez le 081/627.441 '+ 28 janvier 2010 <LIFG@E@FEJ Renationalisation de la Pac: le spectre s’éloigne le calcul des aides, d’améliorer le soutien aux producteurs situés en zone herbagère » sans oublier « la création d’outils d’assurance pour gérer les aléas climatiques, sanitaires ainsi que les fluctuations du marché ». Le chef de l’Etat français a évoqué un franc succès sur le sujet des «dumpings », qu’ils soient monétaires, environnementaux ou sociaux, que l’Europe subit. « Je le dis calmement, a-t-il insisté, nous n’accepterons pas que l’Europe soit la variable d’ajustement de tous les dumpings ». « Il n’est pas acceptable que l’on s’impose des règles qui ne sont pas respectées dans la fabrication des produits d’importation », a-t-il déclaré. «C’est cela qui doit être la nouvelle préférence communautaire », a-t-il conclu. Bien que le spectre d’une renationalisation délibérée de la Pac paraisse s’éloigner après les auditions des futurs Commissaires européens – notamment celle de M. Dacian Ciolos, Commissaire désigné à l’agriculture – il n’est pas inutile de relever que le président français Sarkozy a récemment tenu à réaffirmer avec force son rejet de toute forme de renationalisation de la Pac. Le «Groupe à haut niveau» sur le lait à l’écoute de pays tiers Le « Groupe à haut niveau » mis en place en octobre 2009 au paroxysme de la crise laitière pour mettre sur pied un système de régulation du marché laitier en dehors du régime des quotas continue de se réunir régulièrement. Rappelons qu’il devrait en principe aboutir à un résultat pour le 30 juin de cette année. Le groupe d’experts de l’UE sur le lait a écouté mi-janvier les exposés de quatre pays non membres de l’UE, les Etats-Unis, la NouvelleZélande, l’Australie et la Suisse. Ces pays ont, tour à tour, évoqué les adaptations spécifiques apportées aux règles de concurrence dans le secteur laitier afin d’offrir certaines formes de soutien aux producteurs. Les experts européens ont pu constater que les mécanismes en place varient fortement d’un pays à l’autre. Les experts européens ont aussi consacré leur réunion au pouvoir de négociation, à la contractualisation et à la transparence. De nombreux Etats membres de l’UE ont fait part de leur intérêt pour promouvoir une certaine forme de contractualisation prenant en compte les traditions nationales et le rôle des coopératives. Alors que certains pays ont marqué leur préférence pour une action en demi-teinte limitée à de simples directives ou bonnes pratiques, d’autres ont souhaité une plus grande implication au niveau de la réglementation communautaire. De même, un large consensus existe pour que quelque chose soit réalisé en matière de pouvoirs de négociation entre les différents acteurs de la filière. Les experts chargés de la concurrence feront le point sur cette question lors de la réunion du groupe à haut niveau du 23 février. Sarkozy refuse la renationalisation de la PAC Le président français regrette en tout cas les décisions entre les conceptions agricoles des «27» qui sont apparues au grand jour en 2009. L’action en ordre dispersé des pays européens touchés par une crise agricole sans précédent porte en elle le risque de « renationalisation d’une partie de la Pac ». M. Sarkozy, qui souhaite que les pays de l’Europe coordonnent leurs efforts veut éviter « tout ce qui peut s’apparenter à cette renationalisation». Il a réaffirmé qu’il comptait engager en 2010 « de véritables né- gociations européennes en faveur de la régulation de l’agriculture ». Alors que le monde est tombé dans le « précipice » de la crise en raison de la dérégulation, il est impensable pour Sarkozy que la régulation ne soit pas « légitimée». Il a rappelé que la France a été un pays précurseur en la matière puisqu’elle a ouvert ce débat « dès 2008 » lors de la présidence française de l’Union européenne. Autre cheval de bataille du président, « la simplification de la mise en oeuvre de la Pac ». Il s’agit, a-t-il expliqué de «supprimer les références historiques permettant L’immense défi du développement rural Dans un contexte d’aprèsCopenhague, Nicolas Sarkozy a présenté le développement durable comme un « immense défi national ». L’enjeu est « la préservation de la planète ». Il a évoqué les énergies renouvelables. Pour lui, « il n’est plus possible de produire comme avant », a-t-il lancé à son auditoire à dominante agricole. S’adressant à la France rurale dans son ensemble, il a souligné qu’une de ses priorités pour 2010 sera de « soutenir une nouvelle politique de développement de la ruralité ». Agriculteurs grecs en colère Face à une dégradation générale de leurs prix (lait, fruits, céréales, maïs, huile d’olive…), les agriculteurs grecs dressent plusieurs barrages routiers. Ils vont même jusqu’à bloquer la frontière avec la Bulgarie, ce qui a conduit ce pays à porter plainte auprès de la Commission européenne. Les agriculteurs grecs ont durci le 20 janvier leur mouvement de protestation entamé le 17 janvier en augmentant les barrages routiers dans le centre et le nord du pays, où ils bloquent le principal poste frontière gréco-bulgare, pour obtenir un soutien financier à leurs productions. Le premier ministre bulgare, Boïko Borissov, a saisi le 19 janvier la Commission europée- nne, affirmant que les transporteurs bulgares avaient subi des pertes de 10 millions d’euros à la suite de tels barrages des frontières il y a un an. Les agriculteurs exigent une aide financière immédiate pour les produits dont les prix se sont effondrés (céréales, coton, maïs, huile d’olive, lait, fruits). Ils réclament également une diminution des prix des engrais, des produits pharmaceutiques et des semences, ainsi qu’une ristourne sur le prix de l’électricité et du pétrole, et le gel pour trois ans de leurs dettes auprès de la Banque Agricole. La ministre du développement agricole et de l’alimentation, Katerina Batzélis, a invité les syndicalistes agricoles à une table ronde pour discuter de l’ensemble des problèmes du secteur. Pour sa part, le secrétaire d’Etat aux finances, Philippos Sachinidis, a indiqué que le gouvernement socialiste, au pouvoir depuis octobre, avait déjà fourni en novembre et décembre une aide économique de 112 millions d’euros aux agriculteurs et qu’« il n’existe plus de marge pour d’autres primes»… (air connu…). Un nouveau logo biologique pour l’UE: en ligne! Début de la semaine, la direction générale de l’agriculture et du développement rural de la Commission européenne invite tous les Européens à voter sur le site web http://ec.europa.eu/agriculture/ organic/logo/index.htm pour la dernière étape du concours qui désignera le nouveau logo biologique européen. Les trois logos présélectionnés pourront être consultés sur le site jusqu’au 31 janvier. Le nouveau logo vise à renforcer la protection des consommateurs et à encourager l’agriculture biologique. Contrairement au logo actuel, il devra être obligatoirement apposé sur tous les produits biologiques préemballés qui proviennent des 27 États membres de l’UE et qui satisfont aux normes correspondantes. Logo universel «Par ce vote en ligne, la Commission entend garantir que le logo choisi plaise au plus grand nombre. Cette procédure de sélection ouverte répond en outre à un objectif plus ambitieux, celui de sensibiliser l’opinion à l’importance du secteur de l’agriculture biologique», a déclaré Mariann Fischer Boel, membre de la Commission chargé de l’agriculture et du développement rural. Le nouveau logo doit représenter l’UE tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de ses frontières. Il doit être facile à identifier et pouvoir évoquer l’UE et l’agriculture biologique sans contenir le moindre mot ni le moindre sigle. La Commission européenne a sollicité, pour cette tâche ardue, le talent d’étudiants en art et en design originaires des quatre coins de l’Europe, qui ont pu présenter leurs créations entre avril et juin 2009. Pas moins de 3422 designers en herbe ont soumis leurs propositions novatrices. Un jury de renommée internationale a ensuite sélectionné les trois logos qui participent à la phase finale du concours. )/aXem`\i)'(' (. yC<M8>< Concours-foire provincial de Libramont Nombreux participants, nombreux visiteurs et de la qualité : tous les ingrédients étaient réunis pour assurer la réussite de la 56ème édition du concours-foire provincial de Libramont. Cfe^$Gi Très belle réussite de ce rendezvous Blanc-bleu en terre luxembourgeoise pour lequel tous les ingrédients étaient réunis : 151 présences et de surcroît de qualité nécessitant à de nombreuses reprises l’intervention du juge arbitre, un très nombreux public venu non les mains libres et une météo favorable le matin mais verglacée pour le retour. Un concours-foire bien dans son rôle par la présence presque exclusive de taureaux, 133, contre seulement 18 femelles. Championnat des jeunes génisses à Philippe Collignon Trois bonnes séries où les jeunes de 9 à 13 mois emmenées par Mexicaine de Roupage étaient majoritaires et dignes d’être sur les traces de leurs aînées arborant un chevron provincial. En série, la championne Loterie de Roupage, à Collignon, un instant deuxième se voit déplacée à l’entrée du rappel face à Lunette de Tohogne à Gaillard. Au 2ème passage, nouvelle légère difficulté face à Limpide de Bomal forte de sa 4e prime de Bruxelles, à Perin G. et Houard O., qui prend sa revanche provinciale sur Lumineuse à Gaillard. Pour Philippe, il se retrouve en tête du hit parade du concoursfoire par son résultat d’ensemble mais surtout de ses 1er prix : 5 premiers + 3 deuxièmes + 2 troisièmes : 10 trios sur 16 présences. Championnat des génisses âgées à Guy Perin Une seule série organisée (avec trois participantes) et donc le titre d’office pour Haicha de l’Ecluse, en très belle évolution de finesse et de pureté depuis sa 7ème place de Bruxelles. Guy en ne présentant que des associations voit ses 8 présences réparties en 5 premiers + un deuxième + un troisième = 7 trios ; il est bien le numéro 1 des rassembleurs. Championnat des veaux mâles à Robert Marenne Avant le tour de chauffe, les regards et les stationnements des juges se positionnent vers les extérieurs, deux sujets très proches bien équilibrés et aux belles lignes de viande . L’aîné déjà mâle, Macouba de la Mandebras à Marenne, par 4 voix contre 2 ceinture le ruban. Jeunesse et finesse chez le dauphin, Messager de Roupage à Collignon. A souligner la double présence de l’élevage de la Grande Rose à Philippe Laloi qui de plus confectionne le couplé-gagnant d’une des trois séries de 9 mois. Quant à Jean-Luc Hubert, il était aussi de la partie. par 5 voix contre 1 le champion Luxueux de Tohogne qui extériorise le mieux les qualités requises en blanc-bleu : équilibre, rebondis, épaisseur et lignes de viande. En série, il avait dû recourir à l’arbitre face à Lauréat des Alleines à Collard D. et L. Quant au résultat d’ensemble de Guy, 4 premiers + 5 deuxièmes + 1 troisième = 10 trios pour 12 sujets, il rivalise en trios avec Philippe Collignon et le suit à une unité près en 1er prix. Quant à Libellé d’Izier, à MeischSchmitz, au certain look en pureté et coiffé d’une belle attache de queue, il essaya de taquiner le champion. Championnat des taureaux âgés à JeanMarc Perin Des 4 séries organisées, la seule des jeunes de 18 à 19 mois est formée d’un quintet remporté par Luron, à Guy Gaillard, le plus extrême viandeux du concours mais fort en difficulté sur la base arrière gauche. Les trois autres séries désignent d’office les couplés-gagnant remportés par Lub, à Nicks et Materne chez les 21 à 22 mois, Jonaz, à Michaël Gallet chez les 24 à 25 mois qui obtiendra 2 voix au rappel pour son bel ensemble viandeux et Journal du Donjon, à J-M Perin et G. Perin chez les 28 à 31 mois. Premier prix que ce der- nierl troquera assez facilement en champion faisant ainsi honneur à ses anciens premiers prix provinciaux mais aussi descendant d’un cran à ses deuxièmes prix nationaux . En série pour la énième fois il rencontrait Junior du Petit Juju, à Meisch-Schmitz, à l’année 2009 exceptionnelle (champion concours-foire, 2ème provincial et 5ème Libramont). Le résultat d’ensemble de JeanMarc se traduit en 2 premiers + 1 Taureaux de 8 mois Mandarin de la Grde Rose (Imploré) à Laloi Philippe, Vaux-sur-Sûre Mirador de Steinbach Idéal St.) à Hubert J-L., Limerlé Magistère de Belle Eau (Ratifié) à Lequeux Frédéric, Sibret Taureaux de 9 mois bis Motif de Steinbach (Fier F. L.) à Hubert J-L., Limerlé Marabout de Renuamont (Amer de M.) à Pierlot E. et P., Tillet Major de la Hasse (Eclair) à Lequeux J-P., Hamipré Taureaux de 9 mois ter, série du champion Macouba de la Mandebras (Hélicon) à Marenne Robert, Léglise Malin de Sberchamps (Bringelé) à Gallet Pol, Saint-Pierre Magicien de Roupage (Etna) à Collignon Ph., Ortho Taureaux de 10 mois, série du champion Magique de Belle Eau (Impair) à Lequeux Christophe, Vaux/Sûre Magistral de la Grd Rose (Illégal) à Laloi Ph., Vaux-sur-Sûre Malin de Renuamont (Grégoire) à Pierlot E. et P., Tillet Taureaux de 12 mois Mirador de Wicourt (Germinal) à Zabus L. et Loncin M., Noville Macadan de Tohogne (Gamin) à Gaillard Guy, Tohogne Ligament de Renuamont (Germinal) à Pierlot E. et P., Tillet Taureaux de 14 à 15 mois Latex du Petit Juju (Orphéon) à Burgraaff A. et Fallay P., Tellin Limpide de Belle Eau (Ratifié) à Lequeux Frédéric, Sibret Losange des Alleines (Nocturne) à Collard D. et L., Auby-sur-Semois Championnat des jeunes taureaux à Christophe Lequeux Pas moins de 7 lauréats de série formaient un rappel bien en viande dans de l’épaisseur et sous une taille mitigée de 1ère et 2ème catégorie. Loin de toute magie, ce jeune Magique de Belle Eau,à Christophe Lequeux, dans un look en finesse, en pureté et arrondis ceinture le ruban de champion par 4 voix contre 2. Ces voix méritoirement attribuées au puissant grand et épais Mirador de Wicourt, à Zabus et Loncin, faisant toujours honneur à son 1er prix provincial. A remarquer dans la série des 10 mois bis le couplé-gagnant de Collignon. Championnat des taureaux d’âge moyen à Guy Gaillard Le rappel à cinq se présente plus hétérogène d’où ressort (/ )/aXem`\i)'(' yC<M8>< deuxième + 1 troisième = 4 trios sur 9 présences. Et les autres éleveurs ? Entrent parmi les trios de tête en plus des champions évoqués plus haut, JeanLuc Hubert (5 sur 10), Emile Pierlot (5 sur 16), Frédéric Lequeux (5 sur 8), Philippe Laloi (4 sur 8) et Dany et Luc Collard (4 sur 14) sans oublier tous les autres à la moindre réussite mais combien indispensables à ce beau succès luxembourgeois. Taureaux de 15 mois Libellé d’Izier (Fétiche) à Meisch-Schmitz, Autelbas Légiste de Tohogne (Empire) à Gaillard Guy, Tohogne Lorgon D’Ozo (Harisson) à Rouxhet J-Fr., Izier Taureaux de 24 à 25 mois Jonaz (Jasmin) à Gallet Michael, Libramont-Chevigny Label de la Tournée (Défi Coue) à Jacoby, Nicolas, Seron à Beausaint Génisses de 17 18 mois Limpide de Bomal (Flash) à Perin G. et Houard O., Grandhan Lumineuse de Tohogne (Obus) à Gaillard Guy, Tohogne Loterie du Grand Courty (Occupant) à Otjacques G., Villance Taureaux de 15 à 16 mois, série du champion Luxueux de Tohogne (Harisson) à Gaillard Guy, Tohogne Lauréat des Alleines (Eternel) à Collard D. et L., Auby-sur-Semois Larron de Glaumont (Germinal) à Wenkin, Bertrix Taureaux de 28 à 31 mois, série du champion Journal du Donjon (Graphite) à Perin J-M. et Perin G., Grandhan Junior du Petit Juju (Fontainebleau) à Meisch –Schmitz, Autelbas Génisses de 22 à 30mois, série de la championne Haicha de l’Ecluse (Germinal) à Perin G. et Adams Ann, Grandhan Loulette de Steinbach (Judoka) à Hubert J-L., Limerlé Jacinthe de Tohogne (Germinal) à Gaillard Guy, Tohogne • CHAUSSÉE DE NAMUR, 47 B-5030 GEMBLOUX • TÉL. : 081/60.00.60 • FAX: 081/60.04.46 • E-MAIL: [email protected] Taureaux de 21 à 22 mois Lub de Remichampagne (Fringant) à Nicks et Materne, Hompré Lougarou du Grand Courty (Fiacre) à Otjacques G., Villance Génisses de 14 à 15 mois, série de la championne Loterie de Roupage (Sijka-Zoeloe) à Collignon Ph., Ortho Lunette de Tohogne (Harisson) à Gaillard Guy, Tohogne Loupe du Donjon (Dartagnan) à Perin J-M., Grangdhan Organe de presse hebdomadaire de la Fédération Wallonne de l’Agriculture Rédaction : Richard Cydzik, Esteban Jaime, B ernard Kersten, Abonnement : Martine Dewez Editeur responsable:Yvan Hayez, secrétaire général Tirage : 22.500 exemplaires distribués dans toutes les fermes deWallonie Imprimerie: Centre d’impression de Rhisnes Prépress: Passe-Partout !#!& *+ ,% ')&)$$ &$')%%+ ,% +* -%+* /#,*!* &,) -%!) !#!& !#*,!+*&,*)!),/')+**&!#*,)6!+ )!&###*!-&,*&)%+ (,%%6# ')*'+!-,%,!-!%!*%'#,* ##* &%%%+ )&!+ 5 ,% &$'+ 5 -, )+,!+ (,! ',+ $7$ )''&)+) #)%+ % !% %%6 -&,* )-1 %+* ') -!)$%+ 6#+)&%!(, +,6 % &,+) -&,* &+%1 ,%*6)!-%+*#!6*,/*)-!*+')&,!+* ,)6!+)!&#+-&,*6%6!!1)!*+&,)%* 1 ,% &,# ')+%!)* /'+!&% &,*)!-1 8* ,"&,) ,! ,/ ')+* *&!#* # %0 '* )!* #!6* 5 # *&,*)!'+!&% + # &+!*+!&% %%,## ¼ %*+ , (, ')+!##$%+#')$!8)%%6%&+$$%+5 ')+!),$&!*(,!*,!+#*&,*)!'+!&% " ! ! )%!*$6$++,))!!**$$),)&,')6!+)!&#&,)%*-&!)'#,*,*,"+*&%!+!&%*6$!**!&%+*)!*(,*'&**!#* #!6*5,%!%-*+!**$%+%')+**&!#*&%*,#+1#')&*'+,*6$!**!&%!*'&%!#%*#*%*,)6!+)!&#+*,)...)!+)!&# )/aXem`\i)'(' (0 ArsiaInfos Monatliche Ausgabe der Regionalen Vereinigung der Tiergesundheit und -Identifizierung N r. 7 1 - J a n u a r 2 0 1 0 Edito Jeder von Ihnen hat wahrscheinlich schon in seiner Tageszeitung gelesen, dass der Verwaltungsrat der ARSIA anlässlich seiner Sitzung im Dezember, beschlossen hat, dass die Gesamtheit der Aktivitäten auf den Hauptsitz in Ciney verlegt werden. D Interview von S. Lecomte Aktuelles in Sachen Gesundheit iese Entscheidung wurde nach sorgfältiger Studie aller Möglichkeiten getroffen. Die gewählte Lösung ist schließlich jene, die der ARSIA im Bereich Infrastruktur und Personal am effizientesten und kostengünstigsten erschien. Die Entscheidung war nicht einfach zu treffen, angesichts der möglichen Auswirkungen auf die Mitarbeiter unserer Vereinigung. Sie war jedoch notwendig, wenn wir der ARSIA den ihr gebührenden Platz in der Zukunft sichern möchten. Im Rahmen der neuen Gesundheitspolitik haben die Behörden uns mehr Aktivitäten in der Verwaltung und Begleitung anvertraut, auf Kosten der Analysen, die durchgeführt werden könnten. Erinnern wir daran, dass die offiziellen analytischen Aktivitäten +/- 60% des Arbeitsvolumens unserer Laboratorien ausmachen. Ähnlich verhält es sich bei den neuen offiziellen Texten bezüglich der Identifizierung, die uns zur Umstrukturierung unserer Dienstleistungen zwingen, um mehr Begleitaufgaben vor Ort durchzuführen. Und schließlich, weil das Verwaltungssystem zur Identifizierung der Tiere ( Sanitrace ), das zu Lasten der Viehhalter ist (deren Anzahl kontinuierlich sinkt), ohne eine Änderung, zu regelmäßigen Erhöhungen der Beiträge/Vergütungen führen wird. Dementsprechend wurde bereits das CERISE System entworfen, welches den Viehhaltern erlaubt, eine Reihe von Operationen selbst durchzuführen, die ihnen dann nicht mehr in Rechnung gestellt werden. Möchten wir unseren momentanen Stand in Sachen Verteidigung der Gesundheit und Identifizierung aufrecht erhalten und unsere Dienstleistungen diesen neuen Anforderungen anpassen, so müssen wir noch effektiver arbeiten. Dies geschieht natürlich durch eine Umstellung und Fusion der Abteilungen, die weniger Aktivitäten und/oder Personal aufweisen, durch eine Erweiterung der Abteilungen, die den neuen Anfragen Folge leisten müssen und durch eine Senkung der Kosten, die in Verbindung mit der Anzahl Zweigstellen steht. Flexibilität und Vielseitigkeit in der Arbeit sind unerlässlich, um unsere große Anpassungsfähigkeit an alle plötzlichen Zuströme an Arbeit aufrecht zu erhalten. Dies erfordert ein geografisches Zusammenrücken aller Dienste. Diese Umstrukturierung wird keine negativen Folgen für die Viehhalter haben, da be- reits zur Geburtsstunde der ARSIA, im Jahre 2003, alle Niederlassungen beibehalten wurden, dank einer Spezialisierung und der Einführung eines Systems zur Einsammlung der Proben in der ganzen Wallonie. Ich möchte ebenfalls daran erinnern, dass das System « Porto zahlt der Empfänger » bestehen bleibt und jedem Viehhalter die Möglichkeit gibt, seine Post an die Identifizierungsdienste zu senden. Das CERISE System ermöglicht jedem Rindviehhalter die Einregistrierung aller Ereignisse innerhalb seiner Herde, die Bestellung von Ohrmarken und sogar den Ausdruck seines Herdeninventars, und dies, ohne sich irgendwo hinbegeben zu müssen. Ich betone, dass wir uns noch am Anfang des Ablaufs befinden und dass der Verwaltungsrat die Direktion aufgefordert hat, einen Zeitplan für die Umsetzung dieser Umgruppierung zu erstellen. Abschließend möchte ich Ihnen versichern, dass diese Entscheidung die Effizienz unseres Handels für die Landwirte verstärken möchte und die Rentabilität des gesamten Tierproduktionssektors verbessern möchte, der ja von Jahr zu Jahr abnimmt. Auch wenn dieses Jahr mit dieser bedeutenden Änderung beginnt, so wünsche ich doch jedem ein gutes und erfolgreiches Jahr 2010. Jean Detiffe, Präsident der Arsia Grippe A H1N1 und Ansteckung der Schweine Im Jahr 2009 hat die Pandemie des menschlichen Grippe Virus A H1N1 die Behörden der Volksgesundheit zur Genüge beschäftigt. Die Behörden, deren Aufgabe die Tiergesundheit ist, richten Ihre Aufmerksamkeit noch stets auf die Infektionsherde, die weltweit in Schweineherden aufgetreten sind. In der Tat glauben einige, dass der Ursprung der Krankheit nicht nur durch die Anwesenheit von « Grippe » Personen in den Schweinebetrieben bedingt ist. Diese Feststellungen werfen einige Fragen auf: welche Art von Überwachung kann in den Schweineherden eingeführt werden? Welche Vorsorgemaßnahmen können getroffen werden, um eine Ansteckung mit dem Grippe Virus A H1N1 innerhalb der Betriebe zu vermeiden? Diese Fragen wurden im Rahmen einer Versammlung der Vereinigung der Epidemiologie und Tiergesundheit (AESA) im Dezember letzten Jahres erläutert. Herr Professor Etienne Thiry, Virologe der Universität Lüttich und Herr Dr. Frans Castryck, Tierarzt der DGZ, der sich auf Schweine spezialisiert hat, leiteten die Präsentationen. Hier für Sie die wesentlichen Inhalte Die Grippe Viren, eine kontinuierliche Entwicklung Der Professor E. Thiry gab erst einmal die nötigen Erklärungen. Die Verständlichkeit der Influenza Viren ist in der Tat schwierig... Ihre Vielfalt ist groß und beruht auf den zahlreichen Formen eines jeden Virus. Darüber hinaus handelt es sich um eine «dynamische» Bevölkerung, d.h. in ständiger Entwicklung, basierend auf dem vielfältigen Informationsaustausch der Viren. Genau diese Fähigkeit ermöglicht ihnen das Überleben. Hat sich das Grippe Virus an eine Tierart oder den Menschen angepasst, kann es die « Artenschranke » überschreiten ( z.B. Geflügel ) und eine völlig andere Tierart infizieren ( z. ArsiaInfos 1 B. ein Schwein ). Asiens Wasservögel stellen die grössten Reservoirs dar: « eine friedliche Ente, die sich in ihrem Teich entwickelt, stellt eine regelrechte « Fundgrube » an Grippe Viren dar... », erklärt E. Thiry. Vor allem Geflügel – insbesondere der Truthahn -, Schweine und der Mensch sind in Bezug auf die Krankheit gesehen, die empfindlichsten Arten. Wie entwickelt sich ein Influenza Virus? Entweder durch genetische Ableitungen infolge von Mutationen des Genoms ( oder « Gesamtheit des genetischen Materials eines Individuums oder einer Gattung » ), oder durch eine Ergänzung an Genen, die nur dann möglich ist, wenn zwei Viren sich begegnen und eine tiefgreifende Veränderung des Virus hervorgerufen wird. Im Laufe des letzten Jahrhunderts mussten die Menschen mehrfach die Folgen solcher Mutationen erdulden. Im Jahre 1918: das Virus der gefürchteten spanischen Grippe ist ein Typ H1N1 und geht aus der Anpassung eines Vogelvirus an die menschliche Population hervor. Im Jahr 1957: die asiatische Grippe breitet sich dank des Virus H3N2 aus. Im Jahr 1977 erscheint die russische Grippe und mit ihr das Virus H1N1. Momentan, im Jahr 2009, sind 3 Grippetypen weit verbreitet: die pandemische Grippe mit dem Virus A H1N1, die saisonale Grippe mit dem Virus H1N1 ( verschieden vom Pandemie-Virus ) und H3N2 und die Vogelgrippe mit dem Virus H5N1, letztere ist lediglich auf die asiatischen Länder begrenzt. Die Schweinegrippe wird durch das Schweinevirus Influenza A verursacht ( siehe unten )... Es gibt zwei große Untertypen des Virus : H1N1 ( aviäre Herkunft in Europa ) und H3N2 ( menschliche Herkunft ), Züchten, herstellen, verarbeiten...die Arsia begleitet Sie ! Die Schweinegrippe Nach einer kurzen Erläuterung der Schweinegrippe stellte Herr Dr. Frans Castryck die Vorsorge- und Kontrollmaßnahmen vor, die in den Schweinebetrieben angewandt werden und/oder anwendbar wären, um die Risiken, die in Verbindung mit der Anwesenheit des Grippevirus A H1N1 stehen, vorherzusehen oder, gegebenenfalls, zu beherrschen. Die Schweinegrippe übeträgt sich durch direkten Kontakt, über die Luft und seltener, durch indirekten Kontakt ( Material, Kleidung,... ). In einem seuchenfreien Schweinebetrieb kann die Schweinegrippe zu einer Epidemie werden. Ein infiziertes Schwein ist geschwächt, hustet, niest, frißt nicht mehr und hat Fieber... Die Schwere der Erkrankung hängt von der Virulänz ab, d.h. von der Schädlichkeit des Virus. Bei dieser Krankheit verläuft alles Empfehlungen an die Schweinezüchter Kommen wir zu dem zurück, was die Epidemiologen in der Tiergesundheit beschäftigt ( wie bereits oben erwähnt ), und zwar der Übertragung des A H1N1 Virus vom Menschen auf das Schwein, eine mögliche Übertragung, da sie beinahe überall auf der Welt festgestellt wurde. Beachten wir jedoch, dass in Belgien noch kein Fall aufgetreten ist und es keinen Grund zur Panik gibt... Unter all den Ratschlägen zur Verringerung der Übertragung, erinnert Herr F. Castryck erst an die Anwendung der allgemeinen hygienischen Vorsorgemaßnahmen gegen Krankheiten, kurz Biosicherheit genannt. Die Wasservögel stellen die größten Reservoirs für Grippeviren dar. werden. Aktuell geschieht dies jedoch nicht. Wir können und müssen jedoch auch bei der Übertragung unter Schweinen eingreifen und bei der Verbreitung des Virus. Bei der Einführung eines Tieres in eine Herde sollte jeder Viehhalter die sanitäre Situation des Herkunftsbetriebes kennen. Eine anschließende Quarantäne ist unumgänglich. Laut Spezialist soll diese 6 Wochen andauern, um nützlich zu sein! In der Regel achtet der Landwirt darauf, dass die Hygiene in seinem Betrieb respektiert wird: begrenzter Zugang für Außenstehende, systematische Reinigung und Desinfizierung, angepasste Lüftung und Raumtemperatur, usw. Die Impfung gegen die Schweinegrippe wird nicht routinemäßig durchgeführt. Dieser Impfstoff scheint nicht sehr wirksam gegen die Übertragung des Virus zu sein. Die Benutzung des Impfstoffs A H1N1 beim Schwein wäre nur dann gerechtfertigt, wenn es einen spezifischen Impfstoff gäbe, der die Übertragung des Virus verringern könnte. A H1N1 in den Schweineherden überwachen ? Auch wenn offiziell nichts in unseren Betrieben festgestellt wurde, so bleiben dennoch viele Fragen offen... Sollte die Einführung und Zirkulation dieses Virus in der Schweinepopulation überwacht werden ? Könnten die Schweine bei der Verbreitung einbezogen werden ? Wie könnte ein Überwa- Tabelle 1: Prävalenz der Schweineviren in den Betrieben (%) Laut Kristien Kristien Van Reeth et alii Blackwell Publishing, Influenza and Other Respiratory Viruses, 2, 99-105 (2008) H1N1 80.8% H3N2 43.2% H1N2 40.1% Dann zieht er die Impfungen des Menschen in Erwägung, gegen die saisonale Grippe, um das Risiko einer Gen-Ergänzung zu verringern; gegen die A H1N1 Grippe, um den Menschen zu schützen und somit auch die Schweine, indem die Zirkulation des Virus verringert wird und die Risiken der Ergänzungen der Gene begrenzt Éditeur responsable : M. Jean Detiffe, Président de l’Arsia chungsplan eingeführt werden ? Der Nachweis der Antigene ist in jedem Fall notwendig, angesicht der vorhandenen Bedrohung einer erhöhten Virulenz beim Menschen oder beim Schwein ... Eine « passive » Überwachung der Anzeichen der Krankheit ist sicherlich wichtig, auch wenn diese oft ArsiaInfos 2 eher unauffällig sind. Eine « aktive » Überwachung mit Blutuntersuchungen zum Nachweis der Antikörper (die aufgrund der Anwesenheit des Virus gebildet werden), kann die Schweinegrippe nicht von der A H1N1 Grippe unterscheiden. Weitere Tests, die den Virus selbst nachweisen, ermöglichen eine frühzeitige Erkennung und einen gezielten Verfolg, unter Berücksichtigung der möglichen Gen-Ergänzungen. Dies ist notwendig, da die Schweinegrippeviren plötzlich über ein Pandemie-Potential verfügen könnten, das dann eine völlig andere Bedrohung darstellen könnte. Daher interessiert sich die wissenschaftliche Forschung für die Beantwortung all dieser Fragen und leitet die ersten Überwachungsmaßnahmen beim belgischen Schweinebestand ein. Aktuelles in Sachen Gesundheit Das A H1N1 Virus ist ein menschliches Virus Entgegen dem Schweinevirus, hat das Virus A H1N1 seinen « Ausstieg » geschafft und ist nunmehr ein menschliches Virus, dies nur zur Klarstellung... Seine Gene stammen von 4 verschiedenen Virus-Stämmen: 2 Schweinestämme, ein Vogelstamm und ein menschlicher Stamm. Und nun stellt sich seit einigen Monaten heraus, dass dieses Virus andere Arten anstecken kann, bis jetzt hauptsächlich das Schwein. Bestätigte Fälle von Schweinegrippe aufgrund des Virus A H1N1, und somit vom Menschen auf das Schwein übertragen, wurden in Europa ( Großbritannien, Finnland, Irland, Island, Italien ), Amerika ( Argentinien, Kanada, USA ), Asien ( China, Hong Kong, Indonesien, Japan, Taiwan ) und in Australien festgestellt ( Quellen : ProMed 05/01/2010 ). Zudem hat die Liste sich seit November auf andere Tierarten erweitert : nacheinander bestätigte Fälle bei Katzen in den Vereinigten Staaten und Frankreich, ein Frettchen, ein Hund, ein Gepard, ein Truthahn,... Und beim Rind ? Bis jetzt wurde noch kein Fall festgestellt; das Risiko ist gering, aber präsent. schnell: kurze Inkubationszeit - 1 bis 3 Tage -, rasche Ausbreitung... und schnelle Genesung, zum Glück. Frans Castryck war der Erste, der den Stamm H1N1, aviärer Herkunft, als Verantwortlichen « anzeigte », im Jahr 1979. Die beiden anderen beteiligten Stämme, H3N2 und H1N2, wurden später entdeckt. In 2002-2003 hat eine Studie die jeweiligen Prävalenzen der drei Stämme aufgedeckt – anders gesagt die Anwesenheit – in den europäischen Betrieben ( siehe Tabelle 1 ). Wie bereits oben erwähnt, ist die Ansteckung des Menschen durch ein Schwein außergewöhnlich. F. Castryck besteht vielmehr auf einer anderen Rolle des Tieres, und zwar als regelrechter « Schmelztiegel ». Die Zellen des Schweins enthalten Rezeptoren für die aviären und menschlichen Stämme des Virus, wodurch eine gleichzeitige Infektion von mehreren Stämmen möglich wird. Solche Mehrfach-Infektionen scheinen der Grund für neue genetische Kombinationen von Viren durch deren Ergänzung zu sein. Aber dies ist nicht nur bei den Schweinen der Fall! Der Mensch, Geflügel, Katzen, Frettchen... können ebenfalls diese Rolle übernehmen S. Lecomte der zweite Typ ist nicht so virulent wie der erste. Ein dritter Untertyp, H1N2, ist kürzlich in Europa aufgetreten. Die offizielle Liste der Fälle von menschlicher Infektionen mit dem Schweinegrippevirus A, die seit 1958 aktualisiert wird, weist nur 37 Fälle auf, immer isoliert. Sie ist jedoch nie ausgetreten, d.h. sie hat sich nicht explosionsartig aufgrund eines einzelnen Falls verbreitet. Die Virus-Übertragung vom Schwein zum Menschen und anderen Arten gilt somit als selten. Fassen wir zusammen Das Auftreten neuer Influenza-A-Viren hat es immer gegeben, Situationen, in denen der Übergang von einer Art zu einer anderen mithilfe der Ergänzungen der Gene einfach ist. Beim Menschen treten Infektionen mit dem Schweinegrippevirus A immer isoliert auf. Manchmal können sie so erfolgreich sein, dass es zu einem regelrechten Notfall kommt. Auch umgekehrte Ansteckungen, vom Menschen auf eine andere Tierart, wie das Schwein, finden statt und werden momentan beobachtet. Die Situation in Belgien ist stabil und bei weitem nicht alarmierend, sowohl beim Menschen als auch beim Tier, Vorsicht bleibt dennoch geboten. Die Spezialisten sorgen sich nicht so sehr um die Krankheit an sich, sondern eher um das Risiko des Auftretens von viel schädlicheren Viren, was durch den Übergang von einer Art auf die andere durchaus passieren könnte. Eine angemessene Überwachung beginnt mit der Absicht, eine genaue Diagnose zu erhalten ( Inanspruchnahme des Labors ). Dies geschieht auch über die Züchter ! Öffnen Sie die Augen... und zögern Sie niemals, Ihren Tierarzt zu rufen, auch beim geringsten verdächtigen Anzeichen der Krankheit in Ihrem Betrieb. Tél : 083 / 23 05 15 - mail : [email protected] - Web : www.arsia.be Sorry der Fehlerteufel hat sich eingeschlichen. Im Artikel Norbert Kays im Portrait (Ausgabe 3 vom 21. 01.2010) wurde vom Lokalpräsidenten berichtet. Richtig hätte es Regionalpräsident heißen müssen. Wir bitten unsere Leser um Entschuldigung. Die Redaktion D8I:?yJ La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique, entre parenthèses, les cotations du marché précédent. A défaut d’indication contraire, les prix s’entendent hors TVA. ;< 9FM@ J 98KK@:< (2,60-3,10) (2,40-2,70) (1,50-2,00) (1,40-1,60) (1,25-1,45) (750-900) (550-700) (225-375) (125-225) (2,50-3,00) (2,30-2,60) (700-850) (325-525) (1250-1850) (1250-1600) (750-850) (250-450) (475-775) (325-425) (150-225) (80-135) (70-110) (0-75) :@E<P 22/01/2010 Nombre d’animaux exposés: 3.509. Bétail maigre et de boucherie: 3.367, 116 veaux et 26 chevaux. Prix du bétail bovin hors T.V.A. et frais de marché inclus. a) Bétail maigre: euro/pièce: I. Veaux: PN: 0-120 (0-120) PR: 25-130 (25-130) BBB ordinaire: 125-375 (125-375) C.d.p. mâle: 550-790 (550-775) C.d.p. femelle: 500-675 (500-675) II. Génisses: 180-250kg: PN/PR: 225-325 (225-325) BBB culard: 565-765 (565-765) 250-400kg: PN/PR: 375-475 (375-475) BBB culard: 875-1125 (875-1125) 400-500kg: PN/PR: 415-615 (415-615) BBB culard: 1115-1400 (1115-1400) pleines: 1225-1825 (1225-1825) III. Vaches: Moyennes, PN/PR: 350-750 (350-750) E<L=:?8K<8L 16/12/2009 Nombre: 228 Prix à la pièce Vaches ordinaires: 250-600 Vaches p.n. et p.r.: 100-500 Vaches bonne conform: 350-750 Vaches cdp: 1000-1100 Vaches cdp âgées: 750-1000 Vaches de qualité moyenne: 600-850 Vaches bonne qualité: 750-900 Génisses 10-18 mois: 400-500 Génisses cdp: 700-1000 Taureaux 6-10 mois: 400-500 Taureaux cdp: 800-1050 Têteurs cdp: 700-950 Veaux rouges: 50-150 Veaux noirs-blancs: 25-100 Veaux blancs-bleus: 150-300 Veaux culs de poulain: 400-600 (250-600) (100-500) (350-750) (1000-1100) (750-1000) (600-850) (750-900) (400-500) (700-1000) (400-500) (800-1050) (700-950) (50-150) (25-100) (150-300) (400-600) Prix au kg Taureaux 5 à 10 ans: 1,75-2,10 (1,75-2,10) Commerce stationnaire. Veaux: baisse dans les veaux noirs et rouges. Prochain marché le 06/01/09. Marché fermé les 23 et 30/12/09. 98JKF>E< 20/01/2010 Nombre: 261 Taureaux ordinaires: Taureaux cdp âgés: Vaches ordinaires: Vaches bonne confor: Vaches cdp: Vaches cdp âgées: Génisses ordinaires: Génisses cdp: Prix au kg: 1,00-1,50 1,70-2,10 Prix pièce 250-450 475-650 1050-1500 700-850 300-500 600-750 (1,00-1,50) (1,70-2,10) (250-450) (475-650) (1050-1500) (700-850) (300-500) (600-750) '+)*%"&0+0'&,&$"&'"$ Taureaux cdp : 800-1050 Taureaux 6 à 10 mois: 275-475 Jeune veaux: 50-300 Calme. Prochain marché le 27/01/10. (800-1050) (275-475) (50-300) JK$KIFE; 21/01/2010 Bovins: 130; veaux: 31. Euro/kg: Génisses 56%: 1,20-1,41 (1,20-1,41) 58-60%: 1,46-2,11 (1,46-2,11) 63-65%: 2,14-2,59 (2,14-2,59) cdp 70%: 2,96 (2,96) Taureaux 55%: 0,98-1,23 (0,98-1,23) 60%: 1,23-1,58 (1,23-1,58) 62%: 1,77-2,03 (1,77-2,03) assim. : 2,23-2,43 (2,23-2,43) cdp 67%: 2,33-2,83 (2,33-2,83) cdp extra hors marché : 3,00 (3,00) Vaches: 50% 0,81-0,96 (0,81-0,96) 55% 1,31-1,41 (1,31-1,41) 60%: 1,61-1,86 (1,61-1,86) Bonne conformation: 2,08-2,68 (2,08-2,68) fabrication: 0,45-0,60 (0,45-0,60) Euro/pièce: Veaux cdp extra: 710-760 (710-760) Veaux cdp 2e cat.: 610-660 (610-660) BB extra: 335-385 (335-385) BBB 2e cat.: 210-310 (210-310) Rouges extra: 135-140 (135-140) rouges 2e cat.: 90-100 (90-100) noirs extra: 110-120 (110-120) noir 2e cat.: 60-90 (60-90) BB génisses: 110-310 (110-310) veaux génisses: 35-60 (35-60) Bovins: marché normal. Veaux: marché normal. Prochain marché: 28/01/2010. (467,59) (432,27) (408,16) (383,41) (334,61) (310,70) (287,88) (263,35) (247,83) (231,39) (264,62) (254,55) (222,64) (219,46) (214,49) (168,08) (175,40) (353,50) (333,00) (281,00) (269,50) GIF;L@KJ C8@K@<IJ Cotations de la Confédération Belge de l’Industrie Laitière 20/01/2010 Prix euro/kg Beurre 3,04 Poudre de lait écrémé 2,10 Poudre l. écrémé alim anim 2,02 Poudre de lait entier 2,52 Cheddar 2,91 (3,11) (2,10) (2,05) (2,55) (2,92) GFI:J Sem. du 11 au 17 janvier 10 (Entre parenthèses, les cotations de la semaine précédente) Porcelets 23kg + supp 37,50 (37,00) Porcs carcasses 100kg 121,00 (120,60) $% #%! $% #%! $% ! ! ! ! #%! #%! $% $% LI < #%! !! " ! ;<@EQ<$MFC8@CC<J #%! $% #%! $% 20/01/2010 • Poules à bouillir: extra lourdes (+ 3,5 kg): 0,40-0,42 brunes (1,8 à 2,0 kg): 0,19-0,21 blanches (1,6 à 1,8 kg): 0,15-0,17 • Poulets à rôtir (1,8 kg): 0,87-0,89 • Lapins: 2,15 BIL@J?FLK<D$F<L=J )) )/aXem`\i)'(' Oeufs de poules élevées en batterie Prix producteurs Cat.0: 77,50 g Cat. 1: 72,50 g Cat. 2: 67,50 g Cat. 3: 62,50 g Cat. 4: 57,50 g blancs 7,72 (7,64) 6,48 (6,40) 6,00 (5,90) 5,54 (5,42) 5,09 (4,97) 8,32 (8,30) 6,63 (6,59) 5,73 (5,64) 4,67 (4,57) Oeufs de poules élevées au sol Prix producteurs Cat. 0: +77,50 g Cat. 1: 72,50 g Cat. 2: 67,50 g Cat. 3: 62,50 g Cat. 4: 57,50 g Cat.5: 52,50 g Cat. 6: 47,50 g Cat. 7: 42,50 g XL + 73 g L + 63-73 g M + 53-63 g S - 53 g blancs 12,97 (12,58) 11,73 (11,34) 11,13 (10,82) 10,46 (10,23) 9,46 (9,28) 5,08 (4,99) 4,49 (4,45) 3,99 (3,95) Prix négoce 13,47 (13,08) 11,63 (11,32) 9,96 (9,78) 4,79 (4,75) bruns 13,18 (12,93) 11,94 (11,69) 11,32 (11,09) 10,63 (10,43) 9,59 (9,42) 5,18 (5,14) 4,52 (4,42) 4,25 (3,94) 13,68 (13,43) 11,82 (11,59) 10,09 (9,92) 4,82 (4,72) M<><K 9ILO<CC<J Sem. du 14 au 20 janvier 2010 (Prix livr. usine E/tonne ) Blé panifiable 128,00 Blé fourrager 126,00 Escourgeon fourr 109,00 (132,00) (130,00) (110,00) 26/01/10 (Prix culture en E/tonne ) Prix des céréales payés aux producteurs, communiqués par l’association des négociants en céréales. Prix purement indicatifs susceptibles d’importantes variations régionales. Ces prix sont adaptés plusieurs fois par semaine. Blé fourrager 98,50 (101,00) Blé meunier (1) 100,50 (103,00) Escourgeon fourr 83,00 (84,00) Maïs indigène 113,50 (115,00) Maïs humide 69,00 (70,00) (+/-E/T/30% humidité) 3,00 (3,00) (1) proteïnes: 12 - Zeleny: 35 - Hagberg: 220 D8K@<I<JGI<D@<I<J 8C@D<EK8K@FE9<K8@C 20/01/10 Prix par 1000kg en vrac hors TVA, départ négoce Pulpes sèches bett. 8mm Fr 120 Luzerne 18% pellets 6mm Fr 147 Tourteau Tournesol 28% Arg 172 Tourteau colza 34% Belg 215 ourteau soja 43% Arg 328 Tourteau soja 44% Holl 318 Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés 387 Tourteau soja 49% Belg 338 Tourteau lin 40% Belg 328 Glutenfeed maïs 22% EU 160 Manioc Thaïlande 146 Mélasse cannes 178 (120) (148) (170) (215) (321) (311) (381) (330) (330) (154) (146) (178) :?@:8>F 19/01/2010 1ère col.: en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau = 27,2 kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907 kg pour le tourteau de soja; 2ème col.: prix de la semaine précédente en euros. Froment 500,50 128,63 (135,79) Maïs 36950 101,88 (106,80) Tourteau Soja 290,90 224,61 (224,92) 24/01/2010 Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les marchés mondiaux, en $/tonne. Soja Graines U.S. Cif. Rotterdam: 422 (439) Graines Arg. Cif. Rotterdam: 402 (421) Pellets 44,46% Arg. Cif. Rotterd.: 398 (409) Pellets 48% Brésil Cif.Rotterdam: 403 (414) Colza Graines Europe “00” Cif. Hamb: 399 (408) Tourteaux 34% Fob Hambourg: 240 (246) Lin Graines Canada Cif. Europe: 650 (650) Tourteaux 36% Allemagne: 442 (442) GFDD<J;<K<II< (0,40-0,42) (0,19-0,21) (0,15-0,17) (0,87-0,89) (2,15) 26/01/2010 Prix euro/100 pces ',)'+&")*()0-"*"'&*($,*0+"$$0*+,$"*0*+(+0*/-'+))0 "'&'%('*.$ XL + 73 g L + 63-73 g M + 53-63 g S - 53 g 4,83 (4,79) 4,37 (4,27) 4,10 (3,79) @EK<IE8K@FE8C$FCy8>@E<LO M@8E;<GFI:@E< 8M @ :LCK ! 4,73 (4,64) 4,34 (4,30) 3,84 (3,80) Prix négoce 8,22 (8,14) 6,50 (6,40) 5,59 (5,47) 4,64 (4,60) JPE8>I8 :8I:8JJ<J;<>IFJ9FM@EJ Sem. du 11 au 17 janvier 10 (Entre parenthèses, les cotations de la semaine précédente) Taureaux de moins de deux ans A - S2 467,97 A - S3 432,28 A - E2 410,89 A - E3 384,01 A - U2 336,00 A - U3 312,67 A - R2 288,92 A - R3 263,55 A - O2 248,12 A - O3 234,74 Vaches D - R2 269,15 D - R3 255,84 D - O2 230,81 D - O3 223,51 D - O4 216,53 D - P2 188,42 D - P3 178,21 Génisses E - U2 356,00 E - U3 335,50 E - R2 283,50 E - R3 272,50 Cat. 5: 52,50 g Cat. 6: 47,50 g Cat. 7: 42,50 g 8LO 23/01/2010 Nombre de bovidés: 495 CATEGORIE BOUCHERIE: • euro/kg : Taureaux: C.d.p.: 2,60-3,10 assimilés: 2,40-2,70 bonne conformation 1,50-2,00 60%: 1,40-1,60 poids lourds: 1,25-1,45 • euro/tête: Vaches: Bonne conformation 750-900 1ère catégorie 45%: 550-700 2ème catégorie 40%: 225-375 de fabrication: 125-225 Génisses (euro/kg): c.d.p.: 2,50-3,00 Assimilées.: 2,30-2,60 Bonne conformation: 700-850 Ordinaires: 325-525 Plus calme. CATEGORIE COMMERCE: • euro/Tête: Vaches c.d.p. -5 ans: 1250-1850 Vaches c.d.p. +5 ans: 1250-1600 Bonnes vaches ordin aires: 750-850 Vaches ordinaires: 250-450 Veaux cdp: 475-775 Veaux blancs bleus: 325-425 Veaux Bleus Holstein: 150-225 Veaux rouges: 80-135 Veaux noirs bonne qualité: 75-110 Veaux noirs moyenne qual.: 0-75 Calme. Stationnaire sauf cdp. mixtes cat.II: 800-950 (800-950) mixtes cat. I: 950-1100 (950-1100) C.d.p. 2 à 4 ans: 1000-2075 (1000-2075) âgées: 900-2000 (900-2000) IV. Taureaux: Ordin.: 180-250kg: 275-530 (275-530) 250-320kg: 505-600 (505-600) 320-370kg: 540-660 (540-660) 370kg et +: 625-765 (625-765) Assimil.: 180-250kg: 700-850 (700-850) 250-320kg: 825-975 (825-975) 320-370kg: 1025-1125 (1025-1125) 370kg et +: 1075-1275 (1075-1275) C.d.p.: 180-250kg: 900-1050 (900-1050) 250-320kg: 1050-1200 (1050-1200) 320-370kg: 1200-1300 (1200-1300) 370kg et +: 1325-1450 (1325-1450) b) Bétail de boucherie (prix/kg) I. Vaches: Fabrication: 0,95-1,15 (0,95-1,15) 50%: 1,20-1,40 (1,20-1,40) 55%: 1,40-1,60 (1,40-1,60) assimilés: 2,15-2,40 (2,15-2,40) cdp 2,60-2,80 (2,60-2,80) II. Taureaux: 55%: 1,65-1,85 (1,65-1,85) 60%: 1,90-2,10 (1,90-2,10) assimilés 2,60-2,80 (2,60-2,80) C.d.p. 2,80-3,25 (2,80-3,25) On sent l’offre plus abondante, plus calme taureaux cdp et vieilles vaches. Stationnaire pour autres catégories. Prochain marché: vendredi 29/01/10. bruns 7,82 (7,80) 6,58 (6,56) 6,13 (6,09) 5,63 (5,58) 5,23 (5,14) 26/01/2010 Bintjes: Le marché est calme ; et les prix se maintiennent difficilement. L'offre est en hausse. Certains acheteurs industriels temporisent. L'export vers les pays de l'Est se poursuit, mais à plus faible allure. L'industrie belge tourne à plein régime, utilisant cette semaine surtout des variétés autres que Bintje. Les prix observés varient entre 6,50 et 7,00 E/100 kg (tout venant, vrac, fritable, départ, hors TVA). Plant de Bintje: plant hollandais en légère hausse, sous l'effet combiné semble-t-il d'une réduction de l'offre de la part des producteurs de plants et d'un meilleur intérêt pour Bintje des producteurs de consommation qui comparent avec les prix des variétés sous monopole. Bintje, classe A, rendu mars 2010, par 5 tonnes, en sacs, hTVA: - calibre 28-35 mm: entre 47,00 et 49,00 E/100 kg; - calibre 35-45 mm: entre 32,00 et 34,00 E/100 kg. 8><E;8 MARDI 16 FEVRIER SR VERVIERS: en collaboration avec le Contrat Rivière Vesdres: «Mise aux normes des citernes à mazout» et «Actualités agricoles» par Isabelle Jaumotte, conseillère au service d’études de la FWA. A 20h salle Charlemagne à Henri-Chapelle. SAMEDI 20 FEVRIER SL NIVELLES GENAPPE: à 19h30 à la salle communale de Ophain, grand souper de l’Agriculture organisé par la FWA et l’UAW. Participation aux frais: 45 euros; inscriptions avant le 16/2 chez O. Cap (0477/908.218), E. Pussemier (067/21.27.19 - fax 067/220.667) ou Tégias (067/21.61.01 - fax 067/220.963) MARDI 2 FEVRIER SL SOIGNIES-LENS ENGHIEN-LE ROEULX: à 20h, au Cercle St-Martin , Grand Place à Horrues. Soirée d’information et de débat au sujet de la Politique Agricole Commune et de son avenir avec Marc Tarabella, député européen et Yves Somville directeur du service d’études de la Fédération Wallonne de l’Agriculture. FEDERATION DES JEUNES AGRICULTEURS (FJA) MERCREDI 3 FEVRIER SR PHILIPPEVILLE: à 20h précises à la Brasserie des Fagnes, route de Nismes à Mariembourg, rencontre-débat sur «la crise laitière: bilan 2009, perspectives 2010, et après 2015???» avec la participation des ministres fédéraux et régionaux de l’agriculture, des directeurs des laiteries coopératives wallonne et des représentants des diverses organisations agricoles VENDREDI 29 JANVIER FJA WPJ: Election du Comité de la Section Locale à 20h. A la salle Jacquet, rue Vinaudrée 6 à 1370 Jodoigne-Souveraine. FJA MERBES-BINCHE: Election du Comité de la Section Locale à 20h. FJA PROVINCIALE DU LUXEMBOURG: Election du Comité de la Section Provinciale à 20h. A la salle de Boeur, à côté de l’Eglise de Boeur à 6662 Tavigny. (ATTENTION AU CHANGEMENT). FJA ANDENNE: Election du Comité de la Section Locale à 20h. A la salle de l’Ecole Communale, rue Chéfaid 13 à 4500 Solières. JEUDI 4 FÉVRIER SR VERVIERS: de 9 h30 à 15 h30 au Charlemagne, à Henri-Chapelle, «La PAC et de la régulation du marché laitier après quotas» par Monsieur Renard, membre du groupe des experts européens de haut niveau + «Le financement du comité et le pouvoir des agriculteurs».par Messieurs Piraux et Marchal, directeur et président du comité du lait, Le terme «qualité» sera reformulé et dépoussiéré. Une collation étant prévue à midi, une réservation est demandée jusqu’au 1 février inclus, chez JP Renglet au 087/678792 SL HOUFFALIZE BASTOGNE FAUVILLERS: «Les aides à l’investissement et à l’installation» par Isabelle Jaumotte, conseillère au service d’Etudes de la FWA, et «les mesures agri-environnementales». A 20h à la salle de Rachamps. SAMEDI 30 JANVIER FJA CINEY: Soirée Jup’ dès 21h30, au Grand Manil de Saint-Germain. Ambiance assurée par la sono DAX. VENDREDI 5 FEVRIER FJA MALMEDY: Election du Comité de la Section Locale à 20h à Café Scotch-Inn, Place Albert 1°, 11 à 4960 Malmédy. FJA CINEY: Election du Comité de la Section Locale à 20h. FJA SILLY: Election du Comité de la Section Locale à 20h. A la Taverne du Vieux Moulin, Chaussée de Ghislenghien 44à 7830 SILLY LUNDI 8 FEVRIER SR CHARLEROI: Agriculture et environnement, le point sur les différentes réglementations par Isabelle Jaumotte et Séverine Van Waeyenberge. A 20h à la salle de Mont-à-Goût à Gouy. SL GEDINNE: Réunion sur la PAC lissage, perspectives par René Vansnick. A 20h à la salle de la Tannerie, rue A. Marchal à 5575 Gedinne. SAMEDI 6 FEVRIER FJA BLEGNY: Souper dès 19h30 «Au bienvenue» à Cerexhe. 18euros pour les adultes et 10euros pour les enfants de moins de 12ans. Réservations chez François Snoeck au 0498/24.58.71. FJA WPJ: soirée pompier en la ferme du Grand Manil à Saint-Germain. FJA ATH FLOBECQ: Souper annuel à l’école Communale de Mainvault. 16eur adultes, 10eur enfants de 6 à 12ans, gratuits pour moins de 6ans. Réservations avant le 1er février auprès de C. Oupet 0472/20.71.76, M-C Dobbelaere 0474/25.91.12, J. Dubois 0478/45.65.25, H. Morelle 0474/71.21.31, A.Vandenpoorte 0495/54.50.87 après 19h. FJA SOIGNIES: Car pour le Mac Queen à Hasselt 15euros. 0498/31.60.34 MERCREDI 10 FEVRIER SR HAINAUT: Réunion sur l’avenir de la PAC «Lissage et régionalisation» par Yves Somville. A 19h30 au Café St Léger à 7070 Gottignies. JEUDI 11 FEVRIER SR NAMUR: Réunion sur les aides à l’investissement dans le secteur agricole par Isabelle Jaumotte. A 20h à la maison de l’agriculture et de la ruralité, chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux. SR LIBRAMONT CHEVIGNY: Conférence «les conditions impératives pour obtenir un revenu décent» par Bernard Maréchal du CGTA. A l’institut St-Joseph de Libramont (rue de Bonance 11) à 19h30. SR CHARLEROI: La position de la FWA dans l’actualité et la crise agricole par Yvan Hayez, et Bilan de santé et PAC (lissage, régionalisation, position de l’Europe et de la FWA) après 2013 par Alain Masure. A 20h, à la salle Communale de Thirimont, Place de Thirimont 3. SL HANNUT: à 20h, conférence en la salle du Bowling de Hannut, rue de Huy 1. «Modifications et mises aux normes concernant les cuves à mazout, les pistolets, les aires de remplissage et les différentes législations selon les quantités» par M. Wouez de Nitrawal VENDREDI 12 FEVRIER FJA PROVINCIALE DE NAMUR: Election du Comité de la Section Provinciale à 20h.A la maison de l’agriculture et de la ruralité, chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux. VENDREDI 19 FEVRIER FJA ATH: Soirée Open Bar chez Dejonckeere-Peeters, rue du Bois de Ville 2 à 7950 Vaudignies. La FJAVous deinviteSENEFFE à sa La FJA de CINEY soirée du Nouveau Comité le samedi 30 janvier SOIRÉE JUP’ A le plaisir de vous inviter à sa le 30 janvier 2010 dès 21h30 Au grand manil de Saint-Germain Ambiance assurée par Sono Dax Rue du Progrès 2 à 1400 Nivelles Possibilité de se faire membre www.soireefja.be Le comité décline toutes responsabilités en cas de vols, pertes ou accidents. ème Carrefour 15 Les frais de participation s’élèvent à 60eur/personne (inscription, brochure et café). Toutefois, pour les agriculteurs s’inscrivant via la FWA, l’inscription est gratuite. Pour bénéficier de ces conditions, retournez le présent bulletin d’inscription à la FWA, par courrier (chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux), fax (081/600.446) ou e-mail ([email protected]), pour le 3 février au plus tard. des Productions Animales «La Science dans l’élevage du futur: entre avancées scientifiques et enjeux humains» Mardi 9 février 2010 - Laxou (Nancy - Lorraine) Journée transfrontalière d’échange en agritourisme et produits de la ferme Journée d’échanges sur la diversification (témoignages d’agriculteurs, interventions d’experts et débats), organisée de 9h30 à 17h30 à la Chambre d’Agriculture de Meurthe-et-Moselle, dans le cadre du partenariat Lorraine, Wallonie et Grand Duché du Luxembourg sur la valorisation des structures agricoles transfrontalières. 99986392/0410 plc jht VENDREDI 28 JANVIER SR LIBRAMONT CHEVIGNY: Conférence sur «l’agriculture wallonne en péril», par Benoît Lutgen, Ministre régional de l’agriculture. A 19h30, à l’Institut Saint-Joseph, rue de Bonance 11 à Libramont. Programme de la journée De 10h00 à 12h00 : Participation à 2 ateliers au choix Atelier 1 : Développement de circuits touristiques et partenariats pour proposer des offres packagées à des groupes (Présentation de l’expérience wallonne d’Agritour ; attentes de la clientèle) Atelier 2 : Hébergements à thème, les plus développés par les agriculteurs (qualification de l’offre et témoignages d’agriculteurs en illustration) Atelier 3 : Produits de la ferme : développement des circuits courts (témoignage d’un agriculteur en AMAP ; magasin de vente à la ferme ; Restauration collective) Atelier 4 : Utilisation des outils de promotion Internet (Intervention du chef de projet multimédia Bienvenue à la Ferme ; témoignages d’agriculteurs lorrains et wallons) De 12h00 à 14h00 : Buffet fermier transfrontalier de Saveurs Paysannes 14h00 à 15h30 : Débat : Comment adapter son offre face aux nouvelles attentes de la clientèle ? 15h30 : Synthèse des échanges et orientations régionales 2010 16h00 : Témoignage des actions agritouristiques transfrontalières menées dans le cadre de la Grande Région entre le Nord-Pas-de-Calais, la Wallonie et la Flandre « Accueil à la Ferme Transfrontalier » 16h30 : Lancement du concours transfrontalier de l’innovation en agritourisme et produits du terroir : IDEA (Innovation Diversification Europe Agritourisme) Inscriptions avant le 29 janvier 2010: Accueil Champêtre en Wallonie, 081/627.458 ou [email protected]. Coût : 10,00` pour les frais de repas. Car au départ d’Arlon ou co-voiturage en fonction du nombre de participants. ;DGB6I>DC « Calculer son prix de revient » Il n’est pas toujours facile de calculer le prix de revient d’un produit, somme des charges liées à l’achat, la production et à la distribution de ce produit. Dans le cadre d’un projet d’échange transfrontalier Interreg IV A Wallonie-Lorraine-Luxembourg « Valorisation des structures agricoles en région transfrontalière », nous vous proposons une formation d’une journée pour tenter d’y voir plus clair. Mercredi 10 février de 9h à 17h L’Etable de la Fontaine – 262 avenue de la Rosière, 6730 Bellefontaine www.etabledelafontaine.be La formation sera dispensée par M Olivier Decker du Centre ALPA de Lorraine ainsi que par un comptable du Centre de Gestion et de Techniques agricoles. N’hésitez pas à vous munir d’une calculatrice et de vos chiffres si vous le souhaitez ! La participation aux frais est de 7,5 ` par personne à payer sur place. L’inscription préalable auprès d’ACW ou de la FJA est obligatoire, par mail ([email protected] ou olivier.schiffl[email protected]), fax (081/627.450 ou 081/600.527), téléphone (081/600.060) ou courrier (chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux). 99986390/0410 PLC JHT FEDERATION WALLONNE DE L’AGRICULTURE (FWA) Nom et prénom :............................................................................................ Adresse complète :........................................................................................ vendredi 29 janvier n° de producteur :.......................................................................................... à 13h45 à l’Ecole Technique Provinciale d’Agriculture de Ciney O Je participe au 15ème carrefour des Productions Animales. O Je réserve un repas. Je m’acquitterai sur place d’un montant supplémentaire de 25E Signature 99986378/0410 PLC JHT (Restaurant du Domaine de St-Quentin à 5590 CINEY). 99986376/0310 PLC JHT .......................................................................................................... Gembloux Agro-Bio Tech et Centre wallon de Recherches agronomiques « Europe et Agriculture font-elles encore bon ménage ?» GEMBLOUX (Espace Senghor) Mercredi 10 février 2010 par José RENARD, Inspecteur général au Département des Politiques Européennes et des Accords Internationaux de la DGARNE et Yves SOMVILLE, Directeur du Service d’étude de la FWA. )/aXem`\i)'(' )* 8><E;8 UAW MONT ST GUIBERT WAVRE PERWEZ: 13H30 MONT ST GUIBERT – Maison des loisirs. ‘La maladie d’Alzheimer’ par Sabine Henry, présidente européenne et le Dr. Jacques Maquils UNION DES AGRICULTRICES WALLONNES (UAW) MARDI 02 FEVRIER UAW PROVINCE DE NAMUR: 13H30 CINEY bâtiments de l’AWE, 4, rue des Champs Elysées. Goûter de l’an avec une après midi contée ‘Les Contes variés et légers’ par la Maison des Contes de Namur. PAF 5 euros pour le goûter. Inscriptions chez M.Lambillon 081/627 493 – 0497/57 71 32. UAW LA ROCHE: 20H00 LA ROCHE à la salle de la Piscine. ‘L’Ostéopathie’ par Benoît Gérard. MERCREDI 03 FEVRIER UAW EGHEZEE: 19H30 LEUZE à l’Esderel. ‘Bricolage: garnissage d’un héron’ PAF 15 euros. Places limitées! Inscriptions chez B. Van Vynckt 081/51 12 74. JEUDI 04 FEVRIER UAW SOIGNIES: 11H00 HENNUYERES – Eglise Ste Gertrude. Traditionnelle fête de Ste Brigitte, suivie d‘un déjeuner dans la salle du cercle en face de l‘église. (Apéro-sandwichs-tartes-café à volonté). PAF 10 euros membres – 13 euros non-membres. SAMEDI 06 FEVRIER UAW PERUWELZ LEUZE ANTOING: Souper aux fromages 20H00 PIPAIX 11, Place à la salle ‘Les Glycines’. Apéritif – buffet fromages – jambon à l’Os – desserts maison. PAF 16 euros adultes – 6 euros enfantsde – de 12 ans. Réservez chez C. Platteuw 069/66 34 56 – R. Platteuw 069/66 27 27 – R. Cossement 069/7741 81 – M. Stubbe 069/67 10 28 – F. Bontemp 069/77 22 43 – V. Deconinck 069/77 16 80 – E. Walschap 069/77 19 49 – C. Maes 069/44 23 57. LUNDI 08 FEVRIER UAW DALHEM FEXHE: 20H00 DALHEM à la salle paroissiale. ‘Comment bien manger pour bien vieillir’ par Mme Schynts-Nihant, diététicienne. UAW DISON LIMBOURG: 13H30 DOLHAIN au Café ‘Le lierre’ place Léon d’Andrimont. ‘Agricultrice et citoyenneté’ par Brigitte Huet. MARDI 09 FEVRIER UAW PHILIPPEVILLE WALCOURT COUVIN FLORENNES: 13H30 endroit à déterminer. ‘La lutte IBR’ par Jean-Yves Houtain de l’ARSIA. UAW REGIONALE DE TOURNAI PERUWELZ DOTTIGNIES: 19H30 DOTTIGNIES à la Ferme des Jeunes. ‘Aménagement des cours de fermes’. JEUDI 11 FEVRIER UAW TOURNAI: 13H30 BLANDAIN au Club de l’Amitié. Atelier chocolat avec ‘La Fée Cabosse’ sur le thème de la St Valentin. PAF 14 euros (intervention de la caisse). !!Places limitées!!! Inscription chez Mireille Desbruyères 069/35 29 70 UAW BOUSSU DOUR: 19H30 THULIN – salle Roi Baudouin. ‘Technique du pochoir sur toile et collage de serviette’ par Mme Betina Manfroid de Angre. UAW FERRIERES LOUVEIGNE: 13H30 SPRIMONT au Café du Parc – rue du centre. ‘Gérer notre environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands-mères’ par Myriam Lambillon. JEUDI 18 FEVRIER UAW PLOEGSTEERT COMINES WARNETON: 13H30 PLOEGSTEERT à la salle paroissiale. Comment préserver notre environnement dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands mères’ par Myriam lambillon. Suivi du goûter de Nouvel An. MARDI 23 FEVRIER UAW BRABANT: Journée Provinciale du Brabant 9H30 à THOREMBAIS LES BEGUINES, Ferme du Mont – 1B, rue Mayeur. ‘Aider à la transmission d’une exploitation...une réflexion approfondie s’impose!’ Interlocuteurs: Anne-Sophie Janssens, conseillère juridique à la FWA - Christine Le Borne, conseillère fiscale à la FWA – Maître Etienne Beguin, Notaire – Michel Hoyaos, Chargé des relations agricoles au CA et intervention du ministre André Antoine, vice-président et Ministre régionale du budget, des finances, de l’emploi et de la formation (sous réserve). Repas 4 services pour 25 euros (boissons comprises).. Renseignements et réservations auprès de Brigitte Huet 081/60 00 60 avant le 15 février. UAW ATH FRASNES: 13H00 OSTICHES – salle du Blanc Moulin. ‘Les cycles; clés pour un nouveau temps’ par Martine Henkart. JEUDI 25 FEVRIER UAW REGIONALE DE TOURNAI PERUWELZ DOTTIGNIES MOUSCRON: 13H30 BLANDAIN au Club de l’Amitié. ‘Opération par coelioscopie’ par le Dr regis Degola (chirurgie digestive et générale). UAW MALMEDY: 13H30 FAYMONVILLE, 1 rue Géréon. ‘Préserver son environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands-mères’ par Myriam Lambillon. DIVERS VENDREDI 29 JANVIER CINEY: à 13h45 au restaurant de l’école technique provinciale d’agriculture, domaine de St Quentin, réunion d’information de la Chambre d’agriculture de la province de Namur: «Europe et agriculture font-elles encore bon ménage» (avenir de la PAC, DPU, lisage....) par José Renard (DGARNE) et Yves Somville (FWA) SAINT LEGER: à 19h30, salle le Cadichon, réunion annuelle de l’Alliance betteravière de Dottignies et environs. Les comptes betteraves par André Coudyzer (Comité de coordination du Hainaut) et Exigences pour l’agréation d’un produit phyto par Christian Walravens SAMEDI 30 JANVIER BAILEUX: à 10h, traditionnel concours BBB , buvette et BBQ. Rens secrétariat 060/219.803 ou 0499/364.038 SAMEDI 30 ET DIMANCHE 31 JANVIER RESSAIX: salle le Starter, avenue Larock, 2, exposition d’animaux de basse-cour (lapins, volaille, pigeons...) organisée par l’AWEABC. Infos: 064/331.273 LUNDI 1 FEVRIER GEMBLOUX: à 14h à l’Espace Senghor, réunion d’hiver organisée par la Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB CINEY: à 19h à l’AWE, champs Elysées, 4, réunion d’hiver organisée par la Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB MARDI 2 FÉVRIER WAREMME: à 14h à l’IPES, chaussée de Huy, réunion d’hiver organisée par la Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB Assenois (Vaux-sur-Sûre): à 20h à la salle du village «Le Tram», assemblée générale du comice de Bastogne-Sibret-Fauvillers. Infos : 061/266188 –0498/737367. CCalendrier de collecte des plastiques et bidons agricoles de février-mars 2010 Plastiques agricoles et déchets infectieux/toxiques )+ Arlon Attert Aubange 2 et 3 février 23 et 24 février 4 et 5 février Bastogne Bertogne Burg-Reuland Bütgenbach Chiny Daverdisse Durbuy du 15 au 19 mars 23 et 24 mars 9 et 10 février 11 et 12 février 2 et 3 mars 11 et 12 mars 4 et 5 mars Erezée Etalle Fauvillers Florenville Gouvy Habay Herbeumont Hotton Houffalize La Roche-en-Ardenne La Roche-en-Ardenne La Roche-en-Ardenne Léglise Libramont Malmedy Manhay Marche Meix-devant-Virton 23 et 24 février 25 et 26 février 16 et 17 février 9 et 10 mars 23 et 24 mars 11 et 12 mars 9 et 10 mars 18 et 19 février 2 et 3 mars 23 et 24 février 23 février 24 février 9 et 10 février 18 et 19 mars 25 et 26 mars 9 et 10 mars 25 et 26 mars 11 et 12 février Parc à conteneurs Parc à conteneurs Service Travaux, rue des Cristaux, 26A à Aubange Parc à conteneurs de Noville Parc à conteneurs (Barrière Hinck) Parc à conteneurs à Oudler Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs à Haut-Fays Quai communal (en face du parc à conteneurs) Parc à conteneurs Atelier communal - zoning du Magenot Parc à conteneurs de Warnach Parc à conteneurs Parc à conteneurs (Courtil-Halconreux) Parc à conteneurs Parc à conteneurs à St-Médard Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Bérismenil (terrain de football) Ronchamps (Parking Larden) Parc à conteneurs à Wittimont Parc à conteneurs de Presseux Parc à conteneurs Parc à conteneurs à Vaux-Chavanne Parc à conteneurs de Waha rue de Launoy, 36 à Meix-dt-Virton )/aXem`\i)'(' Messancy Musson Nassogne Paliseul Rendeux Rouvroy Sainte-Ode Saint-Hubert Saint-Léger Stavelot Stoumont Tenneville Tintigny Trois-Ponts Vaux-sur-Sûre Vielsalm Vielsalm Virton Waimes Waimes Wellin 18 et 19 février 16 et 17 février 16 et 17 mars 23 et 24 mars 3 et 4 mars 4 et 5 mars 9 et 10 mars 4 et 5 mars 2 et 3 mars 23 et 24 mars 16 et 17 février 16 et 17 mars 9 et 10 février 25 et 26 février 25 et 26 mars 11 mars 12 mars 16 et 17 mars 3 février 4 février 23 et 24 février Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs à Dampicourt Parc à conteneurs (Barrière Hinck) Parc à conteneurs à Arville Parc à conteneurs Parc à conteneurs Ancienne gare de la Gleize Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs à Ville-du-Bois Salle RJVH à Herbonval Parc à conteneurs de Dampicourt Parc à conteneurs de Waimes Parc à conteneurs de Sourbrodt Parc à conteneurs MERCREDI 3 FEVRIER GEMBLOUX: à partir de 8h30 à l’Espace Senghor: «(R)évolution dans les assiettes», journée consacrée à l’alimentation visant à rétablir le lien entre agriculteurs et consommateurs. Renseignements; FSAGx, 081/62.23.65 ou 70, www.fsagx.ac.be/eg/ THIEUSIES: à 13h30 à la Ferme du Rotteleur, rue de la Procession, 49, réunion d’hiver organisée par la Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB VALENDER: um 13 Uhr Studienring Ökotrend: Betriebsbesichtigung bei Müller Jürgen. Es ergehen persönliche Einladungen BOIS-DE-LESSINES: à 19h30, en la salle* du Club Animation, Place communale à Bois-de-Lessines, assemblée Générale. «Quel regard porter sur la conjoncture économique en production laitière belge, au cours de cette année 2010?» par Filip JAMART d’Agro Consulting & Services. Organisée par le Comice de Lessines JEUDI 4 FÉVRIER GAURAIN-RAMECROIX: à 14h, à l’Auberge «Le Candel» rue Gros Fidèle, 21: Produits phyto, quels changements pour l’agriculture ? En votant le «Paquet pesticides» le Parlement européen donnera un nouveau visage à l’agriculture de demain, mais à quel prix ? CHIEVRES: à 14h à la salle communale, place de Chièvres, 2, réunion organisée par Nitrawal sur les cuves à mazout (aménagements à réaliser, échéances...). VENDREDI 5 FEVRIER SOIGNIES: à 19h, au «Moulin d’Emile», chaussée d’Enghien 235, assemblée générale (suivie d’un souper) du comice de Soignies. «Stockage des hydrocarbures» par M. Khalidi (Nitrawal), «Fertilsation et variétés en maïs» par M. Oost (CIPF). Inscriptions: M. Gauthier (067/561.403 - 0475/878.540) ou J. Clompen (067/332.838) MARDI 9 FEVRIER ANTOING: à 20h au Foyer socioculturel et sportif d’Antoing rue du Burg,23, réunion organisé par le Parc naturel des Plaines de l’Escaut: «Que mangent les vaches ? De l’herbe!». Accès gratuit. infos: 069/77.98.70 TIRLEMONT: visite des installations de l’IRBAB organisée par le comice du Roeulx. Réservations : Philippe Bottemanne 067/443.194 ou 0497/107.8 84 MERCREDI 10 FEVRIER GEMBLOUX: à 9h à l’espace Senghor, 15ème Carrefour des Productions Animales organisé par Gembloux Agro-Bio Tech et le CRA-W. Thème: «La science dans l’élevage du futur: entre avancées scientifiques et enjeux humains». Pour les agriculteurs: inscriptions gratuite via la FWA GOTTIGNIES: à 19h30 au café Le Saint-Léger, assemblée générale annuelle du comice du Roeulx. «La PAC après 2013 - Le lissage des droits» par Yves Somville MARDI 16 FEVRIER ANTOING: à 20h au Foyer socioculturel et sportif d’Antoing rue du Burg,23, réunion organisé par le Parc naturel des Plaines de l’Escaut: «Economies d’énergie à la ferme et production d’énergie verte»par Michael Cotton (asbl Objectif 2050). Accès gratuit. infos: 069/77.98.70 1. Pour la collecte des plastiques agricoles (bâches, films et sacs), les consignes à respecter sont : • brosser et plier les plastiques agricoles en paquets, non ficelés, de 20 Kg maximum avant de les déposer dans le conteneur réservé à cet effet; • dans la mesure du possible, séparer les bâches des films plastiques; • ne pas mélanger les plastiques agricoles avec d’autres matières telles que terre, déchets de fourrage, bidons en plastique, bottes de ficelle, ...; • ne pas passer les plastiques dans une presse à balles; • remettre le formulaire au préposé «parc à conteneurs» ou «communal» chargé de la collecte avant la prise en charge des plastiques agricoles. Un petit conseil pratique Pour un stockage propre et facile des plastiques agricoles à la ferme, il est conseillé aux exploitants agricoles de les entreposer dans des big-bags (suivant les consignes reprises ci-dessus) en attendant la collecte. Attention: L’accès au conteneur entreposé à cet effet sur les parcs à conteneurs ou à un autre endroit choisi par la commune, ne sera autorisé que de 9h30’ à 12h00’ et de 13h00’ à 16h00’. 2. • • • Pour la collecte des ficelles en plastique, les consignes à respecter sont : conditionner les ficelles en botte ou en sac avant de les déposer au parc à conteneurs; ne pas mélanger les ficelles avec les plastiques agricoles (bâches et films) ; ne pas mélanger les ficelles avec d’autres déchets tels que gants de fouille, ... 3. Pour la collecte des bidons agricoles en plastique non dangereux et non toxiques (volume maximum : 30 L), les consignes à respecter sont : • seuls les bidons n’ayant jamais contenu de produits dangereux et/ou toxiques et/ou corrosifs sont acceptés (exemples de bidons non acceptés : les bidons « huiles », bidons ayant contenu des produits inflammables, explosifs à risques biologiques ou ayant contenu des médicaments,…). Ceux-ci sont généralement représentés par les pictogrammes suivants : Déchets infectieux/toxiques uniquement Amel Bertrix Bouillon Bullange Libin Lierneux Martelange Neufchâteau Saint-Vith Tellin 9 et 10 février 18 et 19 mars 18 et 19 mars 9 et 10 février 23 et 24 février 9 et 10 mars 16 et 17 février 18 et 19 mars 9 et 10 février 23 et 24 février Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs Parc à conteneurs • les bidons en plastique doivent être vides, rincés et munis d’un bouchon. Attention: Les bidons non conformes ne seront pas acceptés sur les parcs à conteneurs. 4. • • • Pour la collecte des déchets infectieux, les consignes à respecter sont : compléter et transmettre le bordereau mentionnant l’échange des conteneurs à Idelux ; veiller à ce que les couvercles des récipients remplis soit intégralement fermés; conditionner impérativement l’ensemble des déchets infectieux dans les récipients prévus à cet effet; • remettre le récipient au parc à conteneurs (préposé) même dans le cas ou la commune organise la collecte des plastiques agricoles à un autre endroit. • Notre contact est Monsieur Arnaud LEIJDECKERS (tél. : 063/42 00 43) 99986398/0410 PLC JHT AIVE FRASNES-LEZ-ANVAING: à 19h30 à la salle en face du hall sportif, rue de la Fauvette, réunion organisée par Nitrawal sur les cuves à mazout (aménagements à réaliser, échéances...). GERPINNES: à 20 h, en la Salle des Fêtes, Place des Combattants. «Guide sectoriel de l’autocontôle pour la production primaire animale. Ces deux guides gérés par respectivement CODIDPLAN et VEGAPLAN constituent un outil pour le respect intégral de la chaîne alimentaire dans des domaines visés par la conditionnalité des aides. En quoi consiste ce guide sectoriel animal?» par Alain De Bruyn, Président, CODIPLAN. Informations : Grégoire de Munck 071/599.090. Organisé par la DGA de Thuin et les Comices de Thuin +$'$ % "*( !)0,)- !"(0)12./(' !#$)#- #%# #)! $ #% $%% !# + ! %$ '"!$) '"!$) '"!$) '(+'$( ""*( '!(- .!' *%$) '!( "%*"'! %%. %%. 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