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Transcription

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DEPOT : BRUXELLES X
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Laissez-nous entreprendre!
C’est le cri lancé par le banc patronal auquel est
associée la Fédération Wallonne de l’Agriculture en
qualité de membre de l’Agrofront. Comme tous les
autres acteurs de la société, les chefs d’entreprise
de notre pays sont confrontés aux conséquences
de la crise économique. Dans ce contexte global, ils
ne peuvent être injustement maltraités et accusés
d’être la cause de tous les maux.
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Anticipant la manifestation des
syndicats d’employés prévue ce
vendredi à Bruxelles, l’ensemble
des organisations patronales
du Nord et du Sud du pays s’est
exprimé d’une seule voix ce lundi
pour réhabiliter l’image des entreprises et du monde patronal en
général, injustement attaqué dans
le contexte économique difficile
que nous traversons. Lors de la
conférence de presse, le Président
de la Fédération des Entreprises
de Belgique, Thomas Leysen, a mis
plusieurs propositions sur la table
dans la perspective de la prochaine
négociation interprofessionnelle
qui doit avoir lieu fin 2010.
Un agenda
pour la compétitivité
Pour les employeurs, l’aspect le
plus important de la compétitivité
consiste à réduire les coûts directs
et indirects. Et Thomas Leysen
d’ajouter que dans notre pays les
coûts salariaux sont en moyenne
11% plus élevés que ceux des
pays voisins (Pays-Bas, France et
Allemagne). A cela vient s’ajouter
du supplément important en
matière de coût énergétique, ce
qui alourdit d’autant le handicap
de nos entreprises.
C’est pourquoi le président de
la FEB plaide pour l’établissement
d’une feuille de route pour éliminer les handicaps du système.Toute
augmentation directe ou indirecte
des charges, toute forme de formalités administratives supplémentaires seront préjudiciables à
la compétitivité des entreprises. Le
banc patronal ne peut l’accepter
et il avertit que le moindre pas
dans ces directions vouera inévitablement la concertation interprofessionnelle à l’échec.
De profondes réformes
structurelles
1BHFTh
Des réformes structurelles à
moyen et long termes ayant pour
but de préparer notre société à
l’après crise sont indispensables.
Au premier rang de celles-ci,
il convient d’unifier les statuts
Des réformes structurelles à moyen et long termes ayant pour but de préparer notre société à l’après crise sont indispensables.
d’ouvriers et d’employés. Pour
les employeurs, le droit de licenciement doit devenir identique
pour tous les travailleurs du pays.
Ceci implique une harmonisation
en matière de délai de préavis,
d’exonération fiscale sur les primes
de licenciement et d’un régime de
chômage avec une plus forte activation de remise à l’emploi.
La conférence nationale sur
les pensions doit aboutir au
plus vite en tenant compte de
l’augmentation de l’espérance
de vie dans notre société et donc
du vieillissement futur. Les employeurs demandent au Premier
Ministre, en collaboration avec
le Ministre des Pensions, de clô-
turer rapidement la conférence
nationale sur les pensions afin de
pouvoir conclure à temps avec les
partenaires sociaux un Pacte sur la
fin de carrière et la pension.
Enfin, l’innovation et le
«verdissement» de l’économie
sont au cœur des recommandations du banc patronal. Ce dernier
est disposé à mettre tout son
savoir-faire à disposition dans le
cadre d’une concertation avec les
pouvoirs publics afin d’accroître,
notamment l’efficacité énergétique de la construction et de la
production dans les années à
venir. Des politiques nouvelles
en matière d’innovation et de
«verdissement» de l’économie
doivent se refléter de façon visible
dans les choix budgétaires.
Siégeant sur le banc patronal
au Conseil Economique et Social
de la Région wallonne et de la
Communauté française ainsi qu’au
Conseil Central de l’Economie,
la Fédération Wallonne de
l’Agriculture exprime sa totale
solidarité aux employeurs. Elle
tient à rappeler que la concertation sociale est un élément-clé de
la vie socio-économique de notre
pays et qu’elle a fait preuve de
toute son utilité, notamment lors
d’une crise politique prolongée il
y a peu. Cette concertation sociale
ne peut pleinement s’envisager
que dans un respect réciproque
!!"
des organisations représentatives
des employeurs et des employés.
Plus globalement, la responsabilité
de la grave crise économique que
nous traversons, ne peut être imputée de manière unilatérale à l’un
ou l’autre des partenaires sociaux.
Zwischen Eupen
und Sankt Vith
Informationen in deutscher Sprache
auf den Seiten 20-21
8:KL8C@KyJ
Situation des livraisons en laiterie –
Décembre 2009
Selon les chiffres encore provisoires établis
par la Région Wallonne (DGO 3) sur base des
déclarations mensuelles de l’ensemble des
acheteurs, voici l’évolution des livraisons pour
décembre 2009.
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Ce mois de décembre renoue
avec un tassement de la production. Les livraisons corrigées et
cumulées sont de plus de 3 %
en-dessous du quota théorique
2009/2010, et la production est
redevenue inférieure à celle du
même mois en 2008. Malgré,
cependant, un taux moyen de
matière grasse qui a encore augmenté (de 0,08 g/litre sur le mois
précédent, mais de presque 3,5
g/litre depuis juillet) .
Les livraisons du dernier quart
de la campagne seront évidemment déterminantes, mais il est
quasi certain qu’il n’y ait pas dépassement du quota, vu que janvier semble être fait «du même
bois». Le prélèvement anticipé
wallon, entré en vigueur depuis
la Toussaint pour les livraisons
d’octobre, demeure un frein pour
certains, de même que la mesure
flamande prise par les acheteurs.
Mais il y a très probablement
une autre raison qui peut expliquer cette tendance baissière :
les prix toujours très «tièdes» et
peut-être, qui sait, une prise de
conscience plus nette que la régulation de l’offre commence par les
producteurs eux-mêmes.
Les livraisons corrigées de lait
aux laiteries (correction matière
grasse comprise sur base de la référence moyenne de 38,04 g/litre)
pour décembre 2009, neuvième
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"LE BOVIBLOC I/SE REMPLACE LE BLOC DE SEL ORDINAIRE
POUR UN PRIX QUASIMENT SIMILAIRE"
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Sources: chiffres provisoires sur
base des déclarations mensuelles
des acheteurs
Suite à l’article de la semaine dernière intitulé
« Epandage: petit rappel» nous apportons
aujourd’hui un complément d’information.
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Si les conditions d’épandage le
permettent, sur prairie, l’épandage
d’engrais de ferme à action rapide
(lisier, purin, fumier mou, fientes et
fumier de volailles…) est autorisé
à partir du 16 janvier pour autant
que l’apport d’azote organique ne
dépasse pas 80 kg par hectare
durant la période comprise entre
le 16 et le 31 janvier.
Par contre, sur terre arable,
l’épandage d’engrais de ferme à
action rapide est interdit jusqu’au
15 février.
Quelle que soit la culture fertilisée, l’épandage devra être réalisé
moyennant le respect des conditions climatiques.
L’étude de l’Observatoire des prix
et des marges en voie de finalisation
Le Ministre pour l’Entreprise et la Simplification
a répondu récemment à la Chambre à une
question de la députée fédérale Karin Lalieux.
Celle-ci constate que la contribution de la grande
distribution au Fonds de solidarité laitière a en
fait été payé par le consommateur, et demande
où en est l’étude de l’Observatoire des prix et des
marges sur l’évaluation divergente des prix du lait
à la production et à la distribution.
M. Vincent Van Quickenborne,
le Ministre concerné, le Fonds de
solidarité a été créé au moment
fort de la crise du lait. Il s’agissait
d’un accord résultant d’une
coopération entre les organisations des producteurs et du SPF
Économie. Depuis le début des
négociations, plusieurs conditions ont été imposées, à savoir
les conditions de limitation de
l’accord à une durée de six mois,
laquelle a été respectée; cet accord ne pouvait déboucher sur
une concertation de prix dans la
distribution. […]
La nourriture est un bien vital et donc crucial pour le consommateur, souligne M. Van
Quickenborne. L’accord tempo-
raire relatif à un supplément sur
le prix du lait était nécessaire
pour remédier à une situation de
crise. «L’avenir du secteur doit à
présent faire l’objet d’une approche structurelle. Il est grand
temps, en Europe aussi, de trouver une solution structurelle pour
la problématique du lait mais
aussi d’autres aliments».
Un instrument essentiel
L’Observatoire des prix du SPF
Économie est à cet égard un instrument essentiel qui fournit aux
négociateurs des chiffres objectifs
et scientifiques.
Les premières analyses de
l’Observatoire concernant les prix
du lait, basées sur des chiffres
propres et sur des informations
complémentaires du secteur,
n’ont pas révélé des irrégularités
au niveau de la formation des prix
dans les différentes étapes de la
chaîne du lait.
Compte tenu de la discussion
persistante sur les marges de prix
laitiers, M. Van Quickenborne a
demandé encore plus de transparence et un affinement supplémentaire des analyses antérieures
dans les mois qui viennent. Le travail est en cours.
«L’Observatoire a déjà reçu
des chiffres détaillés complémentaires de la part des entreprises
du secteur de la distribution. Il finalise son étude qui devrait paraître d’ici quelques semaines».
Agriculture et changements climatiques:
influences diverses
BOVIBLOC I/Se
Le BOVIBLOC® I/SE est un bloc
de sel enrichi en Iode et en Sélénium
mois de la période 09/10, se chiffrent à quelques 274.292.707
kilos. On est à nouveau en-dessous des quantités théoriques
maximales de 5,19 % , cette fois,
pouvant être livrées pour ce mois
dans la limite du quota annuel
(moyenne des livraisons 06/07,
07/08 et 08/09, compte tenu des
augmentations au 1er avril 2009
de 1 % du quota national et de
20.000 tonnes d’osmose temporaire). Cela représente également
une sous-production de plus de
6,2 % par rapport à décembre
2008. Les résultats moyens mensuels en matière grasse et matière
protéique sont respectivement
de 43,54 et de 35,17 g/litre (ils
étaient de 43,55 et 35,10 g/l en
décembre 2008).
En termes de livraisons réelles
(261.713.575 kilos), on revient
également en-dessous de celles
de ce même mois de 2008 de
1,92 %, soit environ 5 millions
de litres, situation déjà connue en
septembre et octobre.
Le cumul des livraisons corrigées aux trois quarts de la campagne (période avril-décembre)
s’établit à 2.450.312.556 kilos,
soit 3,2 % en-dessous des quantités théoriques maximales pouvant
être livrées (mêmes références
que ci-dessus), et à peine 0,3 %
(un peu plus de 8 millions de litres
seulement) au-dessus des livraisons cumulées à cette même date
en 2008/2009. Les résultats moyens en matière grasse et matière
protéique sont respectivement
de 41,80 et de 34,44 g/litre pour
ces 9 mois (ils étaient de 41,85 et
34,73 g/litre en 2008/2009).
Enfin, les livraisons réelles cumulées (2.372.411.094 kilos) dépassent encore de 3,63 % celles
de ces mêmes 9 mois en 08/09,
soit 80 millions de litres en sus de
2008.
Epandage de lisier, purin…: précisions
Les théories les plus diverses, et souvent peu vérifiées,
circulent à propos de l’influence éventuelle de
l’agriculture sur le changement climatique. Tandis que
le potentiel des prairies est plutôt mésestimé, l’abus
d’intrants auquel procèdent certains pas émergents
n’est quant à sa part fréquemment peu connu.
Les prairies ont un vaste potentiel inexploité pour atténuer le
changement climatique en absorbant et en stockant le CO2, selon
un nouveau rapport de la FAO.
Elle estime que les pâturages et
les parcours (superficies couvertes
de végétation naturelle ou peu artificialisées) représentent un puits
de carbone qui, s’il est bien géré,
pourrait être plus important que
les forêts.
Les pâturages stockent 30 % du
carbone du sol dans le monde en
plus de la quantité importante de
carbone du sous-sol retenue par
les arbres, les buissons, les arbustes
et les graminées. Mais ils sont particulièrement sensibles à la dégradation des sols, note la FAO.
Sensibilité à la
dégradation des sols
Quelque 70 % des pâturages
souffriraient du surpâturage, de
la salinisation, de l’acidification.
La pression sur les terres s’accroît
également pour satisfaire la demande en viande et produits
laitiers, constate la FAO. Selon elle,
des pratiques de gestion améliorées
susceptibles de restaurer la matière
organique des sols des prairies, de
réduire l’érosion et de diminuer
les pertes provenant des incendies et du surpâturage pourraient
contribuer à séquestrer de grandes
quantités de carbone – jusqu’à 1
milliard de tonnes par an. Mais cela
nécessiterait un effort mondial vigoureux et coordonné ainsi que des
financements appropriés, ajoute
l’agence de l’ONU, qui recommande un objectif plus réalisable
dans l’immédiat. Il s’agirait pour la
FAO de faire en sorte que 5 à 10 %
des terres de parcours soient gérés
de manière à séquestrer le carbone
d’ici à 2020. Cela permettrait de
stocker 184 millions de tonnes de
carbone par an, précise-t-elle.
Agriculture chinoise surconsommatrice d’engrais
«Peu de gens sont conscients
que l’agriculture est le plus grand
pollueur en Chine, ce qui devrait
pourtant être un sujet d inquiétude
majeur», selon Wen Tiejun, directeur de l’Ecole d’économie
d’agricole et de développement rural de l’université chinoise Renmin.
Une étude publiée notamment
par cette université souligne que
les engrais chimiques ont aidé
la Chine, pays le plus peuplé du
monde, à nourrir sa population
malgré une superficie agricole
limitée, mais que l’utilisation
excessive de ces substances a
nui à l’efficacité du secteur et
provoqué une forte pollution.
Les agriculteurs, surtout dans le
nord du pays, déversent sur leurs
cultures 40 % d’engrais de plus
que nécessaire, selon ce travail de
recherche. Ce qui se traduit, chaque
année, par le déchargement dans
l’eau de quelque 10 millions de
tonnes de substances, au détriment des rivières et des lacs.
La Chine assure 24 % de la production mondiale de céréales, mais
elle est à l’origine d’environ 35 %
de la consommation d’engrais. Sa
production de céréales a augmenté plus de 8 fois depuis les années
60, tandis que sa consommation
d’engrais augmentait environ 55
fois, selon l’étude.
Celle-ci propose aux autorités
de réduire les subventions aux
fabricants d’engrais et de renforcer
leur soutien aux agriculteurs qui
utilisent les déchets animaux.
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8D@:8C<;<JI<KI8@KyJ
; < C 8 = N8
Le Brabant Wallon ouvre
l’année 2010 des débats
Ce mercredi 6 janvier, les sections FWA de la
province du Brabant Wallon organisaient la
première rencontre politique de l’année qui en
comptera sans doute beaucoup d’autres. Avec
son style franc et direct, le Président de la Section
locale de Genappe Nivelles, Pierre Vromman, a
accueilli les différentes personnalités politiques
présentes en traçant les principaux axes du débat.
C’est Isabelle Durant, vice-présidente du Parlement Européen,
qui représentait la formation
Ecolo. A ses côtés, Sabine Laruelle,
Ministre Fédérale (MR) et Marc
Tarabella, Député Européen (PS)
et membre de la commission
agricole du Parlement Européen.
Invitée et excusée, Anne Delvaux
(cdH) n’a malheureusement pu se
faire remplacer. Dans l’assemblée,
qui comptera également André
Flahaux (PS) et Thérèse Snoy
(Ecolo), une cinquantaine de per-
sonnes attentives aux propos d’un
plateau de qualité.
Chacune des personnalités
présentes a eu l’occasion de
s’exprimer autour de trois thématiques. L’avenir du budget agricole, la régulation des marchés
et les modalités d’octroi des aides
directes. Sur le premier thème, et
bien qu’il fasse l’objet de convoitise évidente, le maintien d’un
budget agricole à son niveau actuel fait l’objet d’un consensus.
Au-delà d’un clivage sur la ques-
Hainaut
tion qui est plus géographique que
politique, les trois personnalités
s’accordent pour considérer que
le maintien est essentiel à notre
agriculture et à la souveraineté
alimentaire de l’Europe. Sabine
Laruelle a notamment rappelé
que la PAC ne coûtait que 2 euros par personne et par semaine,
ce qui est tout à fait acceptable eu
égard aux enjeux concernés.
Sur le deuxième thème, les
intervenants ont confirmé qu’à
l’avenir les agriculteurs devraient
être des acteurs de la régulation,
sous une forme que le groupe
d’experts haut niveau mis en
place en novembre dernier devra
définir. Au cours du débat sur ce
point, la pertinence de maintenir
ou non l’agriculture dans le cadre
de négociations à l’Organisation
Mondiale du Commerce a également été abordée. Pour sa part,
Marc Tarabella a rappelé les initia-
tives qu’il avait défendues en faveur d’une meilleure identification
de l’origine des produits.
Sur le troisième thème enfin,
le débat reste très largement ouvert sur les modalités d’évolution
d’un modèle historique vers un
modèle lissé ou régionalisé en ce
qui concerne l’octroi des aides
directes. Isabelle Durant en particulier a très clairement exprimé
que pour ce qui concerne Ecolo,
il n’y a pas d’idée préconçue sur
le sujet et que la prise de décision
ferait appel à la concertation avec
le secteur.
Interrogé sur le nouveau
Commissaire à l’Agriculture, le
Roumain Dacian Ciolos, les trois
orateurs ont exprimé un a priori
positif vis-à-vis d’une personnalité
qu’ils jugent compétente sur ses
matières et ouverte d’esprit.
Félicitation aux organisateurs
pour la mise en place de ce débat.
Fait pour vous par le service d’études
18/1 Gembloux: FWA-commission Production Animales
Bruxelles: Conseil fédéral développement durableGT alimentation durable
Rachamps: conférence actualités agricoles
Namur: RTBF-chronique agricole radio
19/1 Bruxelles: Codiplan-Végaplan
Liège: CESRW-commission Villes/logement/équipement/sécurité
France-Laon: Nitrawal-projet Interreg
Gembloux: Filières porcine et avicole-qualité des
infrastructures et aides ISA
Remouchamps: AREDB/DGA- journée lait
Leuven: table ronde Boerenbond/Févia- viande bovine et durabilité
Kain: conférence actualités agricoles
Liège: CESRW- commission mobilité et aménagement du territoire
Bruxelles: Conseil fédéral développement durablecolloque « biodiversité »
20/1 Gembloux: FWA- GT « royalties » réflexions semences fermières
Jurbise: section régionale Mons- PAC-quotas
Bruxelles: COPA -PAC
Bruxelles: Comité économique et social européenséance plénière
Jambes: Commission régionale des carrières- GT
droit
Bruxelles: FEVIA- code « bonnes pratiques commerciales »
Jeudi 18 février
A 12h30, Assemblée générale à la ferme du Rotteleur chez Pierre
et Andrée Roisin à Thieusies. Dîner avec conférence-débat sur les
orientations décisives de l’agriculture. Menu: apéritif et zakouski; terrine «maison» salade mesclun, confit d’oignons, toast brioché; longe
de veau à la St-Feuillien, bouquetière de légumes, pommes dauphines; Paris-Brest; café. Le couvert tout compris 40 euros. Paiement au
compte des Aînés du Hainaut 103-1149524-45. Contacts: Thérèse
Vaucant 069/859.307, Thérèse Pécher 02/395.30.17 ou Andrée
Roisin 065/728.394.
Namur
Jeudi 18 février
A 14h, goûter aux tartes et jeux de cartes au centre de Zootechnie
de Ciney.
Jeudi 11 mars
A 14h, goûter aux tartes et jeux de cartes au centre de Zootechnie
de Ciney.
Brabant Wallon
Dimanche 14 mars
21/1 Leuven: Concertation Agrofront
Bruxelles: COPA-Comité économique et social européen- plénière
Gembloux: Centre de recherches/Réquasud- comité
de gestion bases de données
22/1 Gembloux- Filière porcine wallonne-gestion
Jambes: Cabinet Philippe Henry- clos
d’équarrissage
Namur: DGO3- comité de suivi PAC- bilan de santé
Bruxelles: Afsca- comité consultatif
Nivelles: CNE- rencontre FWA/CNE sur chaîne alimentaire
Marloie: direction Nature et Forêts- Natura 2000cas pratiques
Rochefort: Visites fermes Natura 2000 et MAE
A 12h30, dîner annuel à la Commanderie de Vaillampont à
Nivelles.
Jean-Luc Fayt et son équipe proposent : apéritif et ses zakouski, filet
de lingue farci au fenouil et poireaux, caille désossée farcie au riz de
veau, Brie fondu sur salade aux pommes et aux noix, trilogie de desserts maison.
Vin de circonstance choisi par les meilleurs œnologues du Roman
Païs.
Prix 45 euros par personne. Inscription auprès de Norbert Mullier.
Tél 067/554.305 (entre 18 et 19h) ou auprès d’Etienne Plasman au
0474/544.336 (après 19h). Paiement par virement au compte Amicale
des Aînés du Brabant wallon asbl, avenue du Monde 43/3 à 1400
Nivelles au 103-1149895-28. Clôture des inscriptions par preuve de
paiement le 1er mars.
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La Fedis a versé 27 millions d’euros au «Fonds de solidarité» laitier
Le 12 janvier dernier, les différents partenaires de
l’accord laitier signé pour six mois en juin dernier
avec la grande distribution en présentaient les
résultats à la presse dans les locaux du BIRB
– maître d’œuvre de l’exécution financière- , à
Bruxelles. L’accord s’est traduit par le versement
de 27 millions d’euros, par la grande distribution,
à un Fonds de solidarité laitière ainsi que par une
augmentation moyenne de 1,8 cent/litre, soit plus
de 8% du prix de base. Rappelons que, bien que
en permanence et profondément engagée dans la
négociation, la FWA n’a finalement pas signé cet
accord, estimant à l’époque insuffisante la hausse
à laquelle il aboutissait . Par ailleurs la grande
distribution a répercuté sur le consommateur sa
contribution de 14 cents par litre de lait vendu
dans ses magasins. L’accord ayant atteint son
terme, les prix y ont du reste été réduits du
même montant, de même que le prix de base au
producteur.
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En juin 2009, qu’après d’âpres
discussions entre les organisations
agricoles de l’Agrofront, la CBL et
la Fedis, un préaccord était conclu concernant la contribution des
entreprises de la grande distribution à un «Fonds de solidarité» en
faveur des producteurs laitiers en
proie à une crise sans précédent.
Le texte prévoyait le versement
par la grande distribution d’un
montant de 0,14 euro par litre de
lait vendu entre le 1er juin et le 30
novembre 2009. Le pré-accord
s’est transformé en accord le 2
juillet 2009: les parties signataires
étaient d’une part le Boerenbond,
l’ABS et la CBL et d’autre part, la
Fedis (qui regroupe les entreprises
de grande distribution).
Comme cela a été répété dans
l’éditorial de notre Secrétaire
Général, Yvan Hayez, la semaine
passée, la FWA n’a pas signé cet
accord – bien qu’elle ait été profondément impliquée dans les
rudes pourparlers qui y ont donné
lieu – en raison non de son principe, mais de son insuffisance. En
effet, la contribution de 0,14 euro
au niveau de la grande distribution devait se solder à l’échelle du
producteur par une augmentation
de prix départ ferme de 0,02 euro:
un montant jugé insuffisant par la
FWA , en raison principalement
de la part imputable à la grande
distribution dans la commercialisation des produits laitiers, tel que
retenu dans le cadre des négociations.
Rôle central du Birb
C’est le Birb, le Bureau
d’intervention et de Restitution
pour la Belgique qui, en vertu
d’un protocole signé avec la
Fedis et la CBL (approuvé par le
Gouvernement belge et les parties
signataires le 10 juillet 2009) qui
était chargé de l’exécution «financière» de l’accord. Concrètement
le secteur de la distribution
verserait les 14 cents/litre au
Birb, lequel le transférait aux entreprises laitières en fonction des
volumes mensuels livrés, lesquels
reversaient à leur tour la part revenant au producteur (évaluée approximativement à 2 cents/litre,
en réalité un peu moins).
Le Birb s’est acquitté de sa
tâche avec rigueur et maîtrise s’est
légitimement félicité, le directeur
général Bernard Hennuy, lors de
la conférence de presse. La Fedis
ayant au total payé quelque 27
073 millions d’euros au Birb pour
le total des six mois, tandis qu’une
distribution de 26 044 millions a
déjà été effectuée aux industries
laitières. Il reste donc un solde d’un
peu plus d’un million d’euros. Les
volumes concernés sont impressionnants: les producteurs laitiers
ont fourni 1,4 milliard de litres.
vendus par Fedis (seuls 13% de
la production laitière sont vendus
par Fedis comme lait blanc).
Un accord historique
Le président du BB, Piet
Vanthemsche, a mis l’accent sur
le caractère historique de l’accord
du 2 juillet 2009. Un accord qui a
permis à pas mal de producteurs
de survivre et qui représente un
montant plus important que les
contributions d’autres niveaux de
pouvoir, notamment européen.
Présentant divers graphiques
sur l’évolution de différents
paramètres (notamment ceux
de plusieurs éléments de coût de
revient: énergie, aliments pour animaux, etc.), il conclut à une légère
amélioration du revenu des producteurs laitiers à la fin 2009. Tout
en soulignant que pour l’ensemble
de l’année 2009 la situation a bien
entendu été catastrophique avec
un prix payé inférieur de 8,5 euros
les 100 litres par rapport à 2008.
Dans ses conclusions, P
Vanthemsche insistait sur l’extrême
variabilité des facteurs influant sur
le revenu au producteur laitier à
l’avenir.
Après P Vanthemsche, le président d’ABS H Vandamme rappela
les modalités du code de conduite
interprofessionnel pour la formation d’accords entre fournisseurs
de lait et acheteurs. Il s’agit d’un
code signé par les présidents
des organisations membres de
l’Agrofront, dont René Ladouce
pour la FWA, ainsi que par la CBL,
en la personne de son administrateur-délégué Renaat Debergh.
«La volatilité ne profite
à personne»
Précisément, Renaat Debergh
livrait aussi ses considérations
sur l’accord du 2 juillet ainsi que
sur le marché laitier à l’occasion
de la conférence de presse (lire
dans l’encadré le rôle effectif de
l’industrie). Quant à l’accord luimême, il fut incontestablement bienvenu, même s’il ne s’est traduit
que par un supplément de prix de
1,8 cent en moyenne par mois
concerné, ce qui correspond tout
de même à une augmentation de
plus de 8% du prix de base.
Pour la période de 2007-2009, R
Debergh constate que le prix moyen apparaît légèrement plus élevé
que pour la période 2004-2006.
En fait, la période 2007-2009 a
La contribution de 0,14 euro au niveau de la grande distribution devait se solder à l’échelle du producteur par une
augmentation de prix départ ferme de 0,02 euro: un montant jugé insuffisant par la FWA , en raison principalement
de la part imputable à la grande distribution dans la commercialisation des produits laitiers, tel que retenu dans le
cadre des négociations
principalement été marquée par
des situations extrêmes, ce qui
sera sans doute moins fréquent à
l’avenir, mais n’est toutefois pas à
exclure.
En général cependant, il faudra
s’accommoder de fluctuations plus
fortes que par le passé. En cause
tout simplement que ces fluctuations sont plus grandes aussi sur
le marché mondial et que l’UE dispose aujourd’hui de protections
beaucoup moindre face aux mouvements du marché mondial.
Ce dont personne ne peut se réjouir car des degrés élevés de variabilité et d’incertitude ne profitent
plus à personne.
M. Debergh se risque à prévoir
un marché laitier relativement
stable en 2010, aux alentours du
niveau actuel. Les évolutions effectives dépendront du développement de la demande en Asie et
en Europe, de l’évolution du cours
du dollar US, ainsi que la tendance
que suivra la production laitière
elle-même en Europe et dans le
monde.
Fedis: pour un partenariat commerce-agriculture
Dominique Michel, administrateur-délégué de la Fedis, s’est
félicité des résultats de l’accord
du 2 juillet tout en affirmant qu’il
n’est pas «rééditable». Il admet
que l’agriculture représente
un secteur atypique dans le
marché libre (production liée
aux saisons, délais de conservation limités, qualité du produit de
base élevée…). Il n’en estime pas
moins qu’un partenariat original
est à mettre au point pour tous
les acteurs.
Aux yeux de la distribution,
le consommateur est au centre de toute démarche: il faut
donc produire et si nécessaire
s’adapter en fonction de la demande. En tenant compte qu’il
importe de conserver une posi-
tion concurrentielle par rapport
à l’étranger que ce soit en termes
de prix comme de qualité. Pour
M. Michel, il est nécessaire pour
les producteurs de rechercher des
plus-values dans des produits de
niches (kiwi,…) et d’être prêts à
se diversifier et de se reconvertir
en fonction de la demande…
La Fedis s’est déjà quant à elle,
dit-il, d’ores et déjà engagée dans
la production des produits belges
(puisque 90% de la viande bovine et porcine, ainsi que les œufs
vendus par les chaînes sont belges par exemple). Il plaida pour
une concertation entre toutes les
parties de la chaîne, si possible en
sous-groupes.
Le rôle de l’industrie laitière
L’industrie laitière n’est pas peu
fière d’avoir réalisé très rapidement la mise en œuvre technique
du versement du supplément de
prix à plus de 10.000 fournisseurs
laitiers.
Concrètement, chaque mois
(pendant six mois) les acheteurs
de lait ont entrepris les actions
suivantes:
- la détermination de ceux qui,
parmi les fournisseurs laitiers, ont
dépassé leur quota (ils ne reçoivent pas de supplément de prix);
- le versement du supplément
de prix pour chaque litre de lait
livré à tous les fournisseurs laitiers
y ayant droit;
- établissement du décompte
et communication de celui-ci au
Birb.
La CBL a participé activement à
la réunion mensuelle d’évaluation
au Birb.
N°1
CONTRE
Les consommateurs ont une bonne image
LES DIARRHEES de l’agriculture wallonne
MODE D’EMPLOI: ALIMENTAIRES
Les consommateurs ont glo- lent une image positive de perseau 3kg
PECTILOR
PARFOIS IMITÉ, JAMAIS ÉGALÉ !
AUTRES SPECIALITES VEAUX:
• CALVICOL: Colostrum lyophilisé
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+
)/aXem`\i)'('
99986397/0410 plc jht
• 50g/litre eau
• 2 litres/veau / 2x par jour
balement une bonne image
de l’agriculture wallonne mais
ils se posent des questions sur
ses méthodes de production,
sa rentabilité et ses impacts en
matière d’environnement et
de santé, révèle une étude du
CRIOC. Plus d’un consommateur sur deux associe les produits
wallons aux mots qualité, goût,
parfum, saveur et sécurité. Les
613 personnes interrogées par
téléphone n’évoquent par contre
pas le produit wallon en termes
de caractère naturel, artisanal ou
bon marché. L’étude montre que
la proximité joue un rôle dans la
perception du produit wallon.
Celui-ci est en effet plus apprécié
au sud du pays qu’au nord. Concernant les agriculteurs, le consommateur estime qu’ils véhicu-
sonnes sociables, possédant un
certain savoir-faire et qu’ils sont
sensibles aux problématiques
comme l’environnement. Si le
consommateur a globalement
une bonne image de l’agriculture
wallonne, il s’interroge par contre
sur ses méthodes de production,
sa rentabilité et ses impacts en
matière d’environnement et de
santé. C’est ainsi qu’une majorité
de consommateurs ne souhaite
pas voir s’installer une implantation agricole à proximité de son
domicile. Les critiques les plus
souvent formulées par les consommateurs ont également trait
au bien-être animal et à la qualité
des produits. L’image des agriculteurs est elle mise à mal par
leur souci de rentabilité, ce qui les
conduit, estime le consommateur,
Plus d’un consommateur sur deux associe les produits wallons aux mots
qualité, goût, parfum, saveur et sécurité
à augmenter leurs bénéfices et
par voie de conséquence les prix
de vente des produits alimentaires.
(Belga)
:F D D L E @ : 8K @ F E
Un bilan positif pour Pleinchamp
Envoyé chaque semaine au monde agricole,
Pleinchamp tente d’aborder au mieux toutes
les facettes de l’actualité des campagnes. Afin
de mieux percevoir les attentes de ses lecteurs,
Pleinchamp a lancé une enquête début octobre.
Quinze mille membres de la FWA, sélectionnés
de manière aléatoire, ont reçu un questionnaire.
Constitué d’une quinzaine de questions, celuici portait sur la perception du journal, de son
contenu et plus spécifiquement des articles relatifs
à la réglementation des nitrates (PGDA) Il en
ressort, de manière général, un avis positif.
de mieux percevoir les attentes
des lecteurs. Les questions posées portaient sur la perception
qu’ils avaient du journal, de son
Résultats
Ils sont 283, soit 19 % de
l’envoi total, a avoir pris le temps
de répondre au questionnaire. Ce
taux de réponse est plus que satisfaisant dans ce type d’enquête.
Il en ressort de manière général,
qu’ils sont satisfaits du travail
fourni par les journalistes. Cinq
étant la meilleure appréciation
qu’ils pouvaient donner, au niveau
du format, des illustrations, de la
longueur des articles, de la mise
en page, plus de 40% des sondés
lui accorde une note de quatre Du
point de vue des thèmes abordés
dans le journal (le sont-ils suffisamment ?), la cotation varie
entre trois et quatre. Quatre-vingtsept pour cent (87%) trouvent
généralement l’information qu’ils
recherchent dans le journal.
Au niveau des articles PGDA,
il ressort que 63% lisent habituellement ceux-ci. Ils sont 55%
à désirer recevoir davantage
d’information sur cette réglementation particulièrement sous forme
d’information brute.
Pour ce qui est de la possi-
bilité d’une nouvelle rubrique et
des améliorations qui pourraient
être apportées à Pleinchamp,
de nombreuses idées ont été
émises. Chacune sera étudiée afin
d’estimer sa faisabilité.
L’équipe du journal Pleinchamp
tient à remercier tous les participants. L’avis des sondés était
nécessaire à la réalisation d’un
journal qui vous convient.
Retrouvez l’étude dans son intégralité sur www.fwa.be. (seulement pour les membres)
L’Edito vient en tête des rubriques les plus lues dans Pleinchamp
Pleinchamp, en collaboration
avec Nitrawal, a voulu sonder
son de son lectorat à travers un
questionnaire à quinze cents
membres de la FWA sélectionnés de manière aléatoire. Cette
enquête, d’une quinzaine de
questions, avait pour objectif
contenu, et de manière plus
spécifique sur les articles relatifs
à la réglementation des nitrates
(PGDA).
Pour 84% des lecteurs, les informations contenues dans Pleinchamp sont utiles
s4YPELOURD
s2DTRACINES
s3UCREBLANC(A
s2DTFINANCIER s"DESNOUVELLESVARIÂTÂS
#
"
$
)/aXem`\i)'('
,
JL:I<
Réforme sucre: aides à la diversification de 40%
Dans la cadre de la restructuration du secteur
sucrier imposée par l’Union européenne,
deux types d’aide ont été mises en place pour
accompagner les producteurs et les entreprises
produisant du sucre. D’une part l’aide à la
restructuration qui a déjà été payée et, d’autre
part, une aide à la diversification. Pour cette aide,
la Belgique a été dotée d’une enveloppe totale de
19,3 millions d’euros. Après répartition entre les
deux régions, ce ne sont pas moins de 11 millions
d’euros qui sont disponibles pour ces aides à
la diversification en Région wallonne. Quels
sont les bénéficiaires de ces aides, pour quels
investissements et comment les obtenir?
@jXY\cc\ AXldfkk\
Le règlement européen instaurant un régime temporaire
de restructuration de l’industrie
sucrière de la Communauté européenne prévoyait, outre des aides
à la restructuration, des aides à la
diversification. Pour ces aides, chaque Etat membre se voyait doter
d’un budget, calculé sur base du
quota de sucre libéré (19,3 millions d’euros pour la Belgique),
et devait informer la Commission
de la manière dont les mesures de
diversification allaient être mises
en œuvre. Seule contrainte: les
mesures de diversification devaient correspondre à des mesures
prévues dans le règlement sur le
développement rural. Impossible
donc de distribuer cette aide n’importe comment.
En Région wallonne, deux types
d’aides ont été prévues et notifiées
à la Commission européenne:
- des aides à la modernisation
des exploitations agricoles (mesure 121) pour un budget total de
4 millions d’euros;
- des aides en faveur de l’accroissement de la valeur ajoutée
des produits agricoles (mesure
123) pour un budget de 7 millions
d’euros.
Une aide pour
les producteurs
Les aides à la diversification
pour les agriculteurs se sont traduites par des aides à l’investissement dans l’arrêté ISA qui
vont compléter l’aide ISA pour atteindre une aide équivalant à 40
% de l’investissement éligible. Les
aides ne sont octroyées qu’aux
agriculteurs qui avaient ou ont encore un quota de livraison betteraves ou chicorées et concernent
des investissements différents selon que ce quota ait été réduit ou
totalement abandonné.
Ainsi, les exploitants agricoles
dont le quota de livraison betteraves ou chicorées a été réduit pour
la campagne 2008/2009 peuvent
bénéficier d’une aide de 40 %
pour des investissements en matériels spécifiques à la culture
et à la récolte des betteraves
sucrières et des chicorées. Les
différents investissements éligibles
sont repris dans une liste, validée
par le Ministre, qui devrait prochainement être complétée par
du plus petit matériel (bâches de
type Toptex et équipements GPS,
DGPS,...) pour permettre à un plus
grand nombre d’agriculteurs de
bénéficier de cette aide.
Par contre, ceux dont le quota
de livraison a été totalement
abandonné pour la campagne
2008/2009 ne pourront bénéficier des 40 % d’aide que pour
des investissements mobiliers et
immobiliers pour le lancement
d’une nouvelle production
et/ou activité, c’est-à-dire, pour
le lancement d’une production ou
activité qui n’était pas développée
sur l’exploitation avant l’abandon
du quota.
Quelles conditions
respecter?
Ces aides à la diversification
sont accessibles aux exploitants
agricoles ou associations d’exploitants agricoles ainsi qu’aux
CUMA dont la majorité de membres a subi une réduction ou un
abandon de quota de livraison
pour la campagne 2008/2009.
Cependant, pour être éligible, il est
impératif de remplir la plupart des
conditions d’éligibilité exigées par
l’arrêté ISA. Parmi celles-ci, rappelons l’obligation d’avoir au moins
20 ans, de disposer de la qualification professionnelle suffisante ou
encore l’obligation d’exercer son
activité agricole à titre principal
ou non principal depuis au moins
3 ans, c’est-à-dire retirer de son
activité agricole, touristique,... un
revenu au moins égal à 35 % du
revenu annuel brut imposable et
prester moins de 1.170 heures à
l’extérieur de l’exploitation.
Seules deux exigences ont été
supprimées : l’obligation d’être
aux normes en matière de stockage d’effluents d’élevage et, à
la demande de la FWA et de la
CBB, la condition de revenu de
40.000E/UT à ne pas dépasser
avant investissement. La suppression de cette dernière condition
permet ainsi à tous les planteurs
ou ex-planteurs de pouvoir bénéficier de l’aide à la diversification.
Par contre, l’obligation de tenue
d’une comptabilité de gestion
pour les exploitants agricoles
pendant au moins 5 ans est maintenue. Ceux qui ont cessé de tenir
une comptabilité devront donc
faire leurs calculs pour s’assurer
de l’intérêt de solliciter l’aide à la
diversification, surtout pour des
investissements peu conséquents.
Concernant l’éligibilité d’une
CUMA, rappelons que la majorité
de ses membres, avec un minimum de 3, doivent être agriculteurs et que l’utilisation collective
du matériel par au moins 3 agriculteurs doit être prouvée à tout
moment.
Outre les conditions d’éligibilité, les règles générales de procédure et les modalités d’octroi de
l’aide sont identiques aux aides
à l’investissement ISA. Nous nous
permettons de vous en rappeler
quelques unes:
- le matériel de remplacement
n’est pas éligible sauf si le matériel
similaire le plus récent de l’exploitation agricole a plus de 10 ans ou
plus de 7 ans dans le cas d’une
CUMA;
- aucune aide ne sera octroyée
pour un investissement réalisé ou
entamé avant la notification d’acceptation de l’aide;
- le montant maximal de l’aide
à la diversification est plafonné à
100.000E d’aide par demande;
- le montant maximal éligible par investissement est de
350.000E si l’investissement est
réalisé par un exploitant agricole
et 525.000E lorsque c’est une
CUMA qui investit.
Comment demander
ces aides?
Les aides à la diversification peuvent atteindre 40 % sur certains investissements spécifiques.
au 30 septembre 2010, a été récemment prolongé d’un an par la
Commission européenne compte
tenu du contexte économique
actuel.
Les formulaires de demande
d’aide sont disponibles sur le portail wallon de l’agriculture
http://agriculture.wallonie.
be/ (formulaires S1 ou S2 et calcul
de viabilité). Ces formulaires de
demande, signés et datés, doivent
être adressés, par courrier recommandé, au bureau de la direction
extérieure de la DGARNE duquel
vous dépendez et une version informatique doit être transmise par
mail à l’administration.
Les consultants ISA pourront
vous aider à remplir vos demandes; ils maîtrisent les procédures
et surtout les différentes conditions d’éligibilité. Cependant,
vous ne bénéficierez ni de l’aide
à la rédaction du dossier ni du
bonus consultant; ces deux aides
étant réservées aux plans d’investissements et aux plans de
développement. Le service de
gestion de la FWA, le CGTA, dispose d’une dizaine de consultants
agréés compétents pour vérifier
que vous remplissez les conditions
et, le cas échéant, pour introduire
vos demandes d’aide à des tarifs
préférentiels pour les membres de
la FWA.
Une aide pour
les agro-industries
Comme pour les agriculteurs,
des aides à la diversification ont
également été mises en place pour
les coopératives de transformation et de commercialisation ainsi
que pour les autres entreprises du
secteur de la commercialisation
et de la transformation. Ces aides
concernent les investissements
mobiliers ou immobiliers répondant à un ou plusieurs objectifs:
- d’économie d’énergie fossile,
- de réduction des émissions de
polluants,
- de production d’énergie renouvelable en particulier par la
valorisation de la biomasse issue
des activités agricoles, sylvicoles et
du secteur vert.
Ces entreprises peuvent bénéficier, pour ces investissements,
d’une aide de 40 % sur les in-
vestissements éligibles dans les
limites du budget de 3,5 millions
d’euros.
Rappelons que, pour qu’une
société coopérative de transformation et de commercialisation
soit éligible, la majorité de ses
coopérateurs, avec un minimum
de 3, doivent être des agriculteurs
et que l’objet social de cette société doit se rattacher à l’agriculture,
l’horticulture ou l’élevage et être
destiné à favoriser l’amélioration
et la rationalisation du traitement,
de la transformation ou de la commercialisation des produits agricoles. Les autres conditions d’ISA
doivent également être remplies.
En parallèle, ces mêmes entreprises pourront bénéficier du
soutien de la société B.E. Fin qui
pourra prendre des participations
dans le capital d’ entreprises du
secteur agro-alimentaire ou participer à la constitution de nouvelles
sociétés de ce secteur.
Comme pour les producteurs,
pour être éligibles, les investissements doivent être terminés et
les factures introduites auprès de
l’administration avant le 30 septembre 2011.
Contrairement aux dossiers ISA
et exceptionnellement pour ces
aides spécifiques, les demandes
d’aide à la diversification peuvent être introduites en dehors de
tout plan d’investissements et ce,
même si vous en avez un en cours.
Chaque demande doit porter sur
au moins 5.000E d’investissements. Les investissements peuvent donc être inférieurs à 5.000E
mais il faudra que la demande
d’aide contienne au moins pour
5.000E d’investissements pour
qu’elle soit recevable.
Il est également possible d’introduire une ou plusieurs demandes d’aides mais il est impératif
de garder à l’esprit que, pour être
éligibles, les investissements devront être terminés et les factures
introduites auprès de l’administration avant le 30 septembre
2011. Ce délai, initialement fixé
Liste des matériels spécifiques à la culture et à la récolte des betteraves sucrières et des chicorées éligibles aux
aides à la diversification. A ce jour, les matériels 41 et 42 n’ont toujours pas été acceptés par le Ministre.
-
)/aXem`\i)'('
: L CK L I < J
Maïs: recommandations de l’ISAW
Afin de pouvoir fournir aux agriculteurs des
recommandations en matière de choix variétal
en maïs qui soient adaptées à chaque région,
les services agricoles des provinces Wallonnes,
associés pour la circonstance au sein de l’Isaw,
mettent en place un réseau d’essais variétaux.
Sur base des résultats obtenus, voici leurs
recommandations pour les prochains semis.
Les Provinces du Brabant
Wallon, de Hainaut, de Liège, du
Luxembourg et de Namur disposent de services agricoles soucieux
d’informer de façon directe et précise leurs agriculteurs. A elles cinq,
elles couvrent toutes les régions
agricoles productrices de maïs en
Wallonie (régions limoneuse et
sablo-limoneuse, le Condroz, les
régions herbagères, la Famenne,
la région jurassique et l’Ardenne)
qui représentent plus de 60 000
ha de maïs.
Depuis 1985, dans le cadre
de l’ISAW (Interprovinciale des
Services Agricoles de Wallonie),
les Provinces wallonnes collaborent étroitement dans la rédaction d’une brochure de recommandation de variétés adaptées à
chaque région.
Le réseau d’essais variétaux sur
lequel s’appuie cette publication, a
été renforcé par l’apport des données aimablement transmises par
le CIPF. Il compte à présent plus de
8 000 parcelles réparties sur 24
sites d’expérimentation. Tous les
essais de ce réseau sont réalisés
en blocs aléatoires complets, en
quatre ou cinq répétitions. Plus de
100 variétés ont été testées cette
année.
10 mai, plus de 95 % des semis
étaient terminés. Quelques pluies
ont permis de maintenir une humidité du sol en surface. Les levées
ont été quasiment parfaites.
D’une manière générale, les
conditions ont favorisé la qualité
du désherbage et les adventices
ont été très bien contrôlées. Plus
de 90 % des parcelles ont été traitées en un passage en postémergence.
Après plusieurs semaines de
faible présence, les populations de
pucerons métopolophium dirhodum ont subitement explosé à la
mi-juin. Quelques parcelles ont
été traitées.
Des mois d’avril à août, les températures supérieures à la normale
ont permis une croissance rapide
de la culture. Les floraisons ont été
observées avec en général une
semaine d’avance. Le mois d’août
ayant été assez sec a parfois posé
des problèmes de remplissage
d’épis dans les régions qui ont
échappé aux quelques orages,
particulièrement sur les sols sablonneux du Nord-Est du pays.
Dans ces conditions climatiques,
l’helminthosporium turcicum est
restée très discrète, n’engendrant
aucune influence significative sur
Tab. 1: 5HFRPPDQGDWLRQVYDULpWDOHVHQVLODJHHQUpJLRQVOLPRQHXVHHW
VDEOROLPRQHXVH
6HPLVWDUGLIV
6HPLVDYDQWOHPDL
Amelior
Amilac
Aventura
Es Charles (1)
Es Paroli
Logo LG 3220
Maibi cs
Monroe
Newmilk
NK Perform
PR 39 F58
Ronaldinio
Sensation
Torres
Zidane
ou en vue d'une
recolte précoce
Beethoven
Delitop
Dominator
(1) à semer avant le 5 mai à 90.000 grains/ha
L’année culturale 2009
Une partie importante des
semis a pu être réalisée durant
la dernière décade d’avril. Au
le dessèchement des plantes. La
kabatiellose n’a pas non plus rencontré les conditions favorables à
son développement. Le charbon
commun et la fusariose ne sont
développés que de manière très
limitée.
Les récoltes ont débuté durant la
dernière décade de septembre pour
se terminer autour du 20 octobre.
Malgré des hétérogénéités
dans certaines parcelles, les rendements se sont avérés élevés dans
de nombreuses régions avec une
En région herbagère, les rendements varient de 15 à 20 tonnes
de M.S. (18 en moyenne).
En Ardenne, les rendements
sont plus élevés que les années
antérieures variant de 12 à 15
tonnes de matière sèche à des teneurs 24 à 28 % de MS selon les
situations et qui ont été portées à
Tab. 2: Recommandations variétales ensilage au sud du sillon Sambre et
Meuse
Région
Condroz & Régions
Ardenne
jurassique
Famenne herbagères
(1)
(2)
Semis avant le 15 mai
A: Situation peu
Beethoven Dominator
favorable (le maïs
Dominator
atteint difficilement
Eduardo
Dominator
Aurelia
27 % de MS)
Padrino
Bravour
Beethoven
B: Situation plutôt
Beethoven Agromax
Monroe
Es Enjoy
favorable (le maïs
LG 3220
Dominator Sensation Paddy
atteint en moyenne
Padrino
LG 3220
Sumigo
entre 27 et 30% de MS
Sensation
C: Situation très
LG 3220
Asteri cs
Aventura
favorable (le maïs
Beethoven Padrino
Bravour
atteint en moyenne
LG 3220
Sensation MAS 18.C
plus de 30% de MS) Padrino
Taxxoa
NK Magitop
Taxxoa
Semis après le 15 mai
A: Situation
Beethoven Dominator
peu favorable
Dominator
B: Situation
plutôt favorable
C: Situation
très favorable
Eduardo
Beethoven Dominator
Dominator
Eduardo
Beethoven Dominator
Dominator
LG 3220
Padrino
LG3220
Padrino
Sensation
PR39A98
Ronaldinio
Sensation
Aurelia
Beethoven
Aurelia
Sensation
Aurelia
Sensation
Bravour
(1) terres bien exposées
(2) manquant de données exploitables en 2009, nous reprenons les
données de 2008
maturité suffisante. Dans certains
cas (variétés précoces, attente
de pulpes surpressées pour confectionner le silo), des teneurs en
matière sèche (M.S.) trop élevées,
atteignaient parfois 38 à 42 %.
En régions sablo-limoneuse
et limoneuse, les rendements se
situent entre 18 et 20 tonnes de
matière sèche.
Au sud du Sillon Sambre et
Meuse, les rendements varient
de 14 à 16 tonnes en Condroz et
de 13 à 16 tonnes de M.S. (14 en
moyenne) en Famenne.
30 à 34 % quelques jours après
les gelées de la mi-octobre.
Les valeurs alimentaires des
maïs fourrage 2009 sont supérieures à celles de 2008 pour les
variétés très précoces à précoces.
En variétés demi-précoces à
tardives, la situation est pratiquement inverse, les valeurs VEM
étant en général plus basses.
En maïs grain, les rendements
en région sablonneuse (11 T à
15 % d’humidité) sont comparables à ceux de 2008, excepté
en Campine où ils sont inférieurs.
En région limoneuse, des rendements souvent très élevés ont été
obtenus.
Les teneurs en humidité à la récolte se sont révélées assez basses, variant de 25 à 28 % en fin de
saison en région sablonneuse et
sablo-limoneuse. Ces faibles frais
de séchage ont quelque peu compensé des prix trop faibles.
Recommandations de
l’ISAW pour les semis
2010
Pour l’élaboration de ces recommandations, seules sont
retenues les variétés aux performances confirmées dans
un nombre suffisant d’essais
durant 2 ans au moins. Outre
les critères classiques d’évaluation
(vigueur au départ, tolérance aux
pourritures des tiges, résistance
brochure intitulée « guide variétal maïs 2010 ». Cette brochure,
complémentaire au présent article, permet d’affiner les recommandations de variétés de maïs en
fonction des conditions locales de
culture (sol, climat, date de semis,
techniques culturales, …).
Elle peut être obtenue gratuitement auprès de chacun des
centres d’expérimentation participant au réseau d’essais ISAW, sur
simple demande :
En Province du Brabant
Wallon, au CPAR, rue Saint
Nicolas, 17 à 1310 La Hulpe, tél. :
02/656.09.70 ;
En Province de Hainaut, au
CARAH, rue de l’Agriculture, 301
à 7800 Ath, tél. : 068/26.46.30 ;
En Province de Liège, à Province
de Liège – Agriculture, rue de
Huy, 123 à 4300 Waremme, tél. :
019/69.66.86 ;
Tab. 3: 5HFRPPDQGDWLRQVYDULpWDOHVPDwVJUDLQHQUpJLRQVOLPRQHXVHHW
VDEOROLPRQHXVH
3URGXFWLRQGH
JUDLQVKXPLGHV
Amati
Lafortuna
Padrino
Ronaldinio
Sensation
Sphinxx
Torres
Zidane
3URGXFWLRQGH 'RXEOHILQJUDLQ 'RXEOHILQJUDLQV
JUDLQVVHFV
KXPLGHHWHQVLODJH VHFVHWHQVLODJH
Amball
Amoroso
Lafortuna
Padrino
Tiberio
Amoroso
Padrino
Ronaldinio
Sensation
Torres
Zidane
aux verses et au charbon, précocité, rendement et valeur alimentaire), est également prise en
compte la capacité des hybrides à
reproduire d’année en année de
bons résultats d’ensemble.
L’analyse pluriannuelle commune des résultats du réseau
d’essais ISAW complétés par
les résultats des essais du CIPF
donne lieu à la publication d’une
Amoroso
Padrino
En Province de Luxembourg,
au DER-SPIGVA, rue du
Carmel, 1 à 6900 Marloie, tél. :
084/22.03.81 :
En Province de Namur, à l’OPA
de Ciney, domaine de St-Quentin
à 5590 Ciney, tél. : 083/21.47.03.
D’après O. Mahieu (CARAH Ath), L. Ruelle
et A. Vilret (Province de Liège-Agriculture
et CPL - VEGEMAR), G. Foucart et M.
Mary (CIPF LLN)
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.
; @ M < I J @ = @ : 8K @ F E
Accueil Champêtre en Wallonie: accueillir à la ferme avec professionnalisme!
Pédagogie
Nous vous proposons une rétrospective 2009
d’un large éventail des séances d’informations
programmées pour les membres d’Accueil
Champêtre en Wallonie
Nombreux sont les sujets à
aborder si l’on souhaite pratiquer
l’accueil à la ferme avec sérieux et
en tenant compte de toutes les
règles et obligations spécifiques
à chaque orientation de diversification choisie dans les fermes.
C’est à cet effet que tout au long
de l’année diverses rencontres
ont permis aux membres d’ACW
de s’informer sur un ensemble de
thèmes….
Cela fait d’ailleurs plusieurs
années que des réunions décentralisées sont organisées dans
chaque province. C’est toujours
un rendez-vous important pour
les membres ACW. Chaque fois,
le canevas est similaire avec une
matinée d’information, suivie
d’un repas du terroir, complétés
l’après midi par des visites ayant
trait à l’hébergement, la pédagogie et/ou les saveurs à la ferme.
Elles sont l’occasion de multiples
découvertes et échanges d’expériences.
Thèmes abordés
en 2009
- Economie d’énergie (échanges d’expérience)
- Panneaux photovoltaïques par
M. Walhin de l’association EF4
- Aides agricoles ISA par Mme
Jaumotte du Service d’Etudes de
la FWA
ques par Mme ‘t Kint, service juridique de la FWA
- Taxation des gîtes par Mme Le
Borne, service fiscal de la FWA
- Le tourisme d’affaire par Mme
Verheye, Commissariat Général
au Tourisme et Mme Poncelet,
- Canevas et réalisation d’un
projet pédagogique par les responsables des fermes pédagogiques
- Attentes des enseignants
du 1er degré du secondaire
concernant les réalités des exploitations agricoles par M.
Belayew, Professeur de géographie à la Haute Ecole de
Vinci, assistant à la FUNDP,
professeur en Architecture
des paysages à la FUSAGX et
M.Soutmans, professeur de
Sciences Sociales et Humaines de
la Haute Ecole Léonard de Vinci
- Analyse du paysage par les
responsables des fermes pédagogiques
- Initiation au secourisme par Messieurs Bette et
Banderbuggen, formateurs de
Preventagri
Saveurs
- Exigences de l’Agence Fédérale
pour la sécurité de la chaîne alimentaire par M. Cavaliere, ACW
- Importance d’appartenir à un
réseau par M. Dumont, formateur
par le jeu
- Développement Durable
Thèmes programmés
pour 2010
2010 ne fait que commencer et
déjà un nouveau programme de
séances d’informations se met en
place:
- formations sites web par
M. Genevois du Centre de
Compétence du Tourisme à
Marche-en-Famenne
- séance d’info-formation sur
l’importance d’un (bon) site web
pour un propriétaire de diversification agricole. Cette formation
aura lieu le mardi 23 février à
Gembloux
- demi-journée d’audit de si-
- Opportunité de créer un
groupement d’employeurs par
M. Larsimont, juriste et M.Fallon,
arboriculteur
Gîtes et chambres
d’hôtes
Accueil à la ferme
Pour la plupart des interventions, des documents sont à la disposition des membres sur simple
demande au 081/627.458 ou par
mail [email protected].
- Formation en néerlandais en
collaboration avec l’IFAPME
- Contrats de locations touristi-
Fédération Touristique de la
Province du Luxembourg belge
- Hygiène et propreté par Mme
Limbort, régente ménagère et
propriétaire d’un hébergement
de grande capacité
- Marketing appliqué aux
produits fermiers par M. Decker,
professeur de marketing à l’ALPA
(Centre de formation de l’institut
Supérieur des Affaires Agricoles et
Agro-alimentaires en Lorraine)
tes web sous forme d’ateliers
d’échanges. Deux lieux et deux
dates sont prévus pour cette formation : le mardi 9 février à Mons
et le jeudi 4 mars à Marche-enFamenne.
- comment calculer le prix de
revient de ses produits ? par M.
Decker du Centre ALPA et par un
comptable du Centre de Gestion
et de Techniques Agricoles.
Cette formation a pour but
d’apprendre à calculer les différents coûts de production et ainsi
pouvoir fixer un prix de vente compétitif mais rentable pour l’agriculteur. Rendez-vous le 10 février à
Bellefontaine (Tintigny).
Pour tout renseignement
complémentaire sur les différentes formations programmées, n’hésitez à contacter
l’équipe d’Accueil Champêtre
en Wallonie au 081/627.458.
Afin de bloquer vos agendas, voici d’ores et déjà les dates des 4
réunions décentralisées qui seront organisées cette année :
- le 25 mars en province de Liège
Sujet: Comment communiquer avec le grand public sur son exploitation et le métier d’agriculteur par M. Simonart de l’APAQ-W.
- le 20 mai dans le Hainaut
- le 23 septembre en province de Namur
- le 14 octobre dans la province du Luxembourg
Si vous souhaitez que différents thèmes ou questions
particulières soient abordés lors de cette année, n’hésitez
pas à nous le faire savoir, nous mettrons tout en œuvre
pour vous satisfaire.
LA FÉDÉRATION WALLONNE DE L’AGRICULTURE
ASSEMBLEE ANNUELLE
Le mercredi 17 mars 2010 dès 9h30
Vous invite à participer à son
(*)
A l’Espace Senghor des Facultés des Sciences Agronomiques de Gembloux
9h30: Accueil café
10h00: Accueil, par René Ladouce, Président de la FWA
10h10: Echange de questions-réponses avec la participation de:
(*) En raison des festivités du 150ème anniversaire des
Facultés de Gembloux, nous organisons notre congrès
à une date plus tardive que de coutume.
/
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Programme:
- M. J-L.Demarty, Directeur de la DG Agriculture et Développement rural de la Commission européenne
- Mme Sabine Laruelle, Ministre fédérale de l’Agriculture
- M. Benoît Lutgen, Ministre régional de l’Agriculture
- Mme Anne-Marie Tasiaux-Biatour, Présidente de l’UAW
- M. Gary Vanvinckenroye, Président de la FJA
- M. René Ladouce, Président de la FWA
Cet échange sera illustré par un film réalisé par la FWA et Canal Zoom
11h45: Débat avec la salle, animé par Yves Somville, Directeur du Service d’Etudes de la FWA
12h30: Conclusions, par Yvan Hayez, Secrétaire Général de la FWA
Au terme de la séance, une réception amicale sera organisée pour les participants dans le hall d’accueil de l’Espace Senghor
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Glané pour vous
Le bottin se refuse
en un clic
Seuls 50.000 ménages belges
ont fait la démarche de refuser
la livraison annuelle de bottins.
Logique: cette possibilité reste
largement méconnue. Cette fonction nommée « op out » existe sur
le site www. 1307.be. Il faut ensuite dénicher l’onglet « vous ne
voulez plus recevoir l’annuaire ?
» et remplir le formulaire ad hoc.
Selon les estimations du député
écolo Georges Gilkinet, il aura fallu 48 millions de litres d’eau et 20
millions de kWh en énergie pour
fabriquer le papier nécessaire à la
réalisation de ces près de 4 millions de bottins millésime 2009.
Sans compter l’énergie nécessaire
à leur impression et à leur distribution de porte-à-porte. On estime
qu’un bottin sur deux déposés sur
le pas de la porte ne sera jamais
(extrait Vers l’Avenir)
ouvert.
Un biomatériau à la
place du polystyrène
Les pièces de polystyrène,
utilisées constamment pour
l’emballage de produits électroménagers, informatiques, ... sont
en passe de connaître un substitut écologiquement plus neutre
grâce à l’invention de chercheurs
américains. Ils ont développé une
matière à partir de déchets de
l’agriculture – des féculents de
maïs par exemple – qui éviterait
d’utiliser des dérivés du pétrole
dans la fabrication industrielle de
ces polystyrènes. La matière ainsi
produite aurait l’avantage d’être
biodégradable, contrairement à
celle utilisée maintenant, plus polluante, et permettrait de réduire
notre dépendance vis-à-vis du
pétrole. (Agriculture et nouvelles
technologies)
La Belgique est passée sous le
seuil de 1 % des directives européennes non transposées « pour
la première fois », s’est réjoui le
secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, Olivier Chastel. Dès
qu’une dernière directive sera
transposée dans les entités fédérées, elle respectera également
la norme de tolérance zéro pour les
retards de transposition de plus de
deux ans. Fréquemment condamnée par la Cour européenne de
justice pour retards de transposition -76 procédures d’infraction
sont en cours à Luxembourg-, la
Belgique presse le pas pour se
mettre en ordre, avant de prendre
la présidence tournante de l’UE,
en juin prochain.
(LLB)
Seara à Cargill devient le 3ème
opérateur (2,2 millions de porcs) et
représente 16 % de l’exportation
de viande de porc du pays. La fusion JBS (n° 1 mondial du boeuf)
avec Berlin conjuguée à la reprise
de l’Americain Pilgrim’s Pride
élève ce nouveau groupe au rang
de n°1 mondial toutes viandes,
en 5ème position pour la viande
de porc dont 14 millions de porcs
abattus aux Etats-Unis, désormais
implanté sur tous les continents.
(Porc magazine)
Qu’il s’agisse de porcs, de
volailles ou de boeufs, les concentrations industrielles s’accélèrent
au Brésil. Après l’annonce récente
de l’union Sadia-Perdigao pour
constituer Brasil Foods (9,4 millions de porcs abattus), Marfrig
Alimentos SA après avoir racheté
De l’essence avec
de vieilles voitures
Le cacao dans le monde
Concentrations
à tout va au Brésil
La Belgique respecte
mieux les directives
Réserve sur les
biocarburants de deuxième génération
D’après l’organisation internationale du chocolat, la production mondiale de fèves s’élève à
environ 3 millions de tonnes par
an. L’Afrique de l’Ouest concentre
71 % de la production mondiale
de cacao. La Côte d’Ivoire: 43 %,
le Ghana: 21 %, et le tiers restant
est produit principalement par le
Brésil et l’Indonésie. Le cacao est
la troisième matière première la
plus échangée dans le monde
après le sucre et le café.
(L’information agricole)
Selon la revue Science, les biocarburants issus de sources lignocellulosiques (bois, feuilles, paille,
etc.) provoqueront des émissions
de carbone plus élevées que
l’essence par unité énergétique,
en moyenne sur la période 20002030. Dans un article publié le 22
octobre dernier, Jerry Melillo, du
Laboratoire américain de biologie
marine, explique que les terres
nécessaires pour cultiver des arbres à croissance rapide et des
feuillus déplaceront des cultures
alimentaires et provoqueront une
déforestation pour faire de la place
à de nouvelles superficies agricoles, provoquant d’importantes
émissions de gaz à effet de serre.
L’auteur n’affirme toutefois pas
que les biocarburants de deuxième génération n’ont pas leur
rôle à jouer dans les combats contre le réchauffement climatique. «
Nous devons analyser avec soin
les conséquences à court et long
terme », observe-t-il. (Campagnes
et environnement.fr)
Dans le cadre du Plan
Marshall dont il bénéficie, Comet
Traitements SA, installée à
Châtelet, est en train de mettre
au point un procédé industriel
qui permet de transformer des
résidus de broyage d’automobiles
hors d’usage en ... carburant !
A l’origine de cette technique,
Marcello Fieni, un Carolorégien
d’origine italienne, qui a découvert comment convertir certains
déchets plastiques en hydrocarbures. Deux ans de recherche ont
permis aux partenaires, soutenus par le Centre de ressources
technologiques en chimie basé
à Seneffe, de mettre au point un
procédé de dépolymérisation catalytique. Le carburant produit est
semblable à l’essence ou au gasoil. Mais il ne sera pas pour autant
destiné au transport. Il alimentera
une centrale à cogénération pour
produire électricité et chaleur.
(Vers l’Avenir)
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Politique européenne de qualité des produits agricoles
Le séminaire annuel de Vegaplan et de Codiplan
2009 a une fois encore eu un écho considérable.
75 parties intéressées issues de l’industrie
alimentaire, de la transformation, de l’agriculture,
d’organismes de certification et des autorités ont
participé à ce séminaire, qui, cette année, s’est
déroulé durant le salon Agribex.
Vous trouverez ci-après un
résumé des différentes interventions de ce séminaire organisé
en décembre. Les présentations
complètes sont disponibles sur
les sites www.vegaplan.be et
www.codiplan.be.
Alain De Bruyn, président de
Codiplan, a introduit le thème et
explicité brièvement les schémas
de qualité existants en Belgique.
A l’aide d’exemples, il a illustré les
différentes méthodes qui existent
à l’heure actuelle:
Les schémas avec une qualité
distinctive et un label de qualité,
avec comme groupe-cible le consommateur, comme par exemple
les indications géographiques, et
les labels créés par la distribution;
Les schémas sans label de qualité, utilisés au sein de la filière, qui
garantissent plutôt une qualité
de processus dans la chaîne alimentaire, comme par exemple le
Standard GIQF;
Les autres schémas ciblés sur
l’exportation, comme par exemple
le Belgian Controlled Veal.
Gesa Wesseler, Policy Officer
à la Commission européenne (DG
Agri, département de la qualité
des produits agricoles) a tâché de
répondre aux questions «Qu’estce que la qualité?» et «Quelle est
la qualité visée?» et a présenté les
activités actuelles sur le plan européen. Elle a souligné le fait que les
agriculteurs européens devaient
respecter les exigences agricoles
les plus strictes au monde. La
qualité peut renforcer la compétitivité et la rentabilité du secteur
agroalimentaire dans l’UE. Pour
les agriculteurs, cela signifie qu’ils
doivent répondre aux exigences
de qualité attendues par le consommateur et être en mesure de
pouvoir informer clairement le
consommateur sur la qualité de
leurs produits. Ce n’est que si les
clients et les consommateurs disposent d’informations correctes,
utiles et garanties que nous pouvons nous attendre à ce qu’ils payent le juste prix.
La Commission européenne estime qu’il existe 380 schémas de
certification privés et nationaux au
sein de l’UE, et constate des lacunes en matière d’information, une
certaine complexité et un manque
de cohérence. Il est nécessaire de
développer une politique européenne de qualité cohérente pour
les produits agricoles et les denrées alimentaires. Dans les 560
contributions des 31 pays présentés dans le livre vert l’an passé,
l’importance de la politique européenne de qualité est évidente. En
outre, un fonctionnement amélioré des systèmes de qualité privés
et nationaux est souhaitable.
La Commission n’est pas partie prenante pour une législation
visant à soutenir les réglementations de certification nationales et
privées. La Commission reconnaît
le statut privé de ces réglementations. Néanmoins, elle a l’intention
de rédiger des directives de
bonnes pratiques pour l’exécution
des schémas de qualité des produits agricoles. Ces directives seront
rédigées en concertation avec les
parties intéressées et présentées
au cours du deuxième semestre
2010.
Ces directives conserveront
une base volontaire, et devront
être développées avec les parties
concernées. Parmi les chapitres
possibles, Gesa Wesseler évoque
une base scientifique pour les
conditions de certification et les
allégations établies, la clarté des
exigences du système et des allégations, l’indépendance de la
certification et des contrôles, et,
enfin, la distinction avec les dispositions légales.
David Clarke, Chief Executive
pour Assured Food Standards
(AFS), a donné une présentation
sur l’origine et le fonctionnement
du schéma Red Tractor en GrandeBretagne. Les crises des années
90, et principalement la crise
de l’ESB, furent à l’origine de la
création de l’AFS. Avec le UK Food
Safety Act de 1990, l’autocontrôle
de la chaîne alimentaire est établi,
en parallèle avec les contrôles des
autorités. «Les acheteurs ont la
responsabilité morale et légale de
connaître les standards de leurs
fournisseurs.»
Selon la perspective du secteur
agricole, cela offre l’opportunité
de restaurer la confiance dans la
production alimentaire et de sensibiliser le consommateur à des exi-
gences élevées, respectées par la
plupart des producteurs. Le danger
réside en fait dans l’augmentation
du nombre d’inspections pour les
différents cahiers de charges de
chaque acheteur.
Le schéma Red Tractor est la
propriété de la chaîne alimentaire,
et est géré de manière indépendante. Il englobe les secteurs des
bovins et des ovins, des porcs, de
la volaille, des produits laitiers, des
végétaux et des produits frais, et
a atteint un taux de pénétration
d’environ 80%. 80.000 agriculteurs sont aujourd’hui affiliés à ce
schéma et la majorité des chaînes
de distribution l’ont repris dans
leurs conditions d’achat.
Ce schéma repose sur la norme
d’accréditation EN45011 et fonctionne avec un nombre limité
d’organismes de certification (3 ou
4 par secteur), mais laisse le choix
à l’agriculteur, afin de promouvoir
la concurrence entre les différents
organismes de certification. La
fréquence de contrôle est annuelle ou tous les 18 mois pour les
bovins, la production laitière et les
ovins.Au total, 60.000 inspections
sont réalisées chaque année.
Le schéma Red Tractor a été
validé par les autorités qui les
inspectent tous les 12 à 18 mois.
Chaque année, 2% des entreprises sont inspectées de manière
aléatoire par les services des autorités. Le participant a l’avantage
d’un nombre réduit de visites
des autorités. Un autre avantage
financier, tel que le système du
bonus en Belgique par exemple,
n’existe pas. Par contre, les agriculteurs ne doivent pas payer les
inspections officielles.
David Clarke a souligné le fait
que la communication au consommateur revêtait une importance primordiale et jouait un
rôle majeur dans la réussite du
schéma Red Tractor. Le logo existe
depuis 2000 et ne peut être utilisé
que sous licence. La possibilité,
pour le gestionnaire, de pouvoir
exécuter des audits à l’égard de
l’utilisation du logo Red Tractor
dans l’industrie, la transformation
et la distribution, est primordiale.
Fin 2009, les produits Red Tractor
représentaient une valeur commerciale de 11,116 milliards EUR
par an.
Les producteurs paient entre
110 et 550 EUR par an, dont 10%
pour l’administration du schéma,
tandis que les 90% restants
sont prévus pour la certification.
L’utilisation du logo coûte entre
65 et 1.340 EUR par an.
Red Tractor ne se considère pas
comme une marque exclusive ou
supérieure. Au vu de la pénétra-
tion du marché, on est en droit
de se demander quel est le supplément si plus de 90% des producteurs participent au système.
La crise ESB passée, et son énorme
impact sur l’économie britannique,
il est clair que la valeur ajoutée du
schéma réside dans le fait que la
confiance du consommateur est
rétablie, que la part de marché
est sécurisée et que de nouveaux
marchés peuvent être atteints.
Herman Diricks, Directeur
Général de la politique de contrôle
de l’AFSCA a présenté le système
d’autocontrôle (SAC) belge. Il existe aujourd’hui des guides pour la
plupart des activités, et 93% des
opérateurs peuvent aujourd’hui
compter sur un guide pour le SAC.
Au sein de l’UE, il existe actuellement plus de 300 guides, dont
environ 30 pour la production
primaire. Souvent, ces guides ont
une orientation spécifique. Outre
la Belgique, seuls les Pays-Bas et
la Slovénie ont opté pour un guide
général de la production primaire.
Pour motiver les opérateurs à
opter pour la validation / certification, Herman Diricks évoque le bonus, la diminution des fréquences
d’inspection par les autorités, la
possibilité de l’utilisation d’un
signe visuel et l’acceptation par
les clients en remplacement de
leur propre cahier de charges.
Herman Diricks a annoncé
que l’AFSCA allait profiter de la
présidence belge de l’UE pour
promouvoir l’approche belge de
la sécurité alimentaire et phytosanitaire. Lors d’un symposium sur
l’autocontrôle et son application
dans les différents états membres,
l’effet des SAC validés sera examiné de près. En outre, Herman
Diricks a annoncé le développement d’un baromètre de la sécurité alimentaire.
Herman Diricks a souligné
l’importance de la complémentarité avec d’autres systèmes
verticaux et horizontaux. Grâce
à l’évolution vers une approche
modulaire, les opérateurs pourront choisir les modules nécessaires à leur entreprise et éviter
ainsi l’application de plusieurs
guides.
Table ronde
Il y a ensuite eu une table
ronde, dirigée par le journaliste du
Boerenbond Jacques Van Outryve.
Piet Vanthemsche souligne la
création d’un système de base
dans le cadre de Codiplan et de
Vegaplan. Il plaide en faveur du
fait que l’industrie et la transformation continuent sur les
La Commission européenne estime qu’il existe 380 schémas de certification privés et nationaux au sein de l’UE, et constate des lacunes en matière
d’information, une certaine complexité et un manque de cohérence. Il est
nécessaire de développer une politique européenne de qualité cohérente
pour les produits agricoles et les denrées alimentaires
efforts accomplis. La société et
les consommateurs imposent
des exigences élevées aux producteurs, mais en même temps,
ils ne veulent pas payer plus. Un
regroupement sous une même
coupole permettrait une gestion
plus rentable de la qualité de la
chaîne alimentaire. Il a encouragé
la distribution à opter pour une
base commune. La demande de
différentiation de la distribution
est bien évidemment légitime et
compréhensible. Mais le secteur
agricole devrait souhaiter une majoration des prix pour ces efforts
supplémentaires.
Joeri Deswarte, Conseiller en
politique alimentaire à la Fedis,
signale que les membres de la
Fedis réfléchiront aux efforts accomplis dans les maillons, et
principalement l’acceptation de
l’autocontrôle.
Il souligne que l’autocontrôle
ne s’inscrit «que» dans un contexte belge, tandis que la distribution doit opérer dans un contexte
international plus vaste. Pour les
standards de qualité, il faudrait
réfléchir à la manière dont l’aspect
international peut être intégré.
Jean-Pierre Detry, Directeur
d’Aubel-Detry, a évoqué la
pratique et la gestion de la
qualité chez Aubel. L’abattoir et
l’entreprise de transformation de
viande Aubel-Detry suit actuellement 6 cahiers de charges différents, dont un légal et 5 spécifiques aux segments du marché à
l’égard d’une différenciation des
produits à base de porc. Pour 50%
des exportations environ, aucun
cahier de charges spécifique n’est
demandé.
Il souligne que la Belgique et
la Grande-Bretagne ont été touchées par des crises, et furent, en
partie à cause de cela, des précurseurs pour la création de systèmes
de sécurité alimentaire.
L’idée d’un label pour
l’exportation permettant de démontrer qu’il s’agit d’un produit
d’origine belge et que le produit
est conforme à des conditions
spécifiques pourrait être un avantage dans un contexte de compétition internationale.
Que communiquer au consommateur, et comment?
L’information du consommateur
doit être correcte et pertinente,
sans pour autant le surcharger
d’aspects techniques. Chez Red
Tractor, la communication se
limite à la saveur des produits, via
des recettes et le message-clé «ce
produit avec ce logo est sûr et de
grande qualité». Les informations
techniques nécessaires sont mises
à disposition sur demande.
En fait, le consommateur ne
peut en aucun cas être sous-estimé. Il doit pouvoir obtenir des informations correctes et détaillées
via la distribution.
Conclusions
Antoon Wallays, président
de Vegaplan et de Belgapom,
souligne l’importance des efforts
consentis par chaque maillon
pour la distribution. La certification devrait être simple, ciblée,
transparente et abordable.
Dans le marché mondialisé
actuel, et en particulier dans un
pays classiquement exportateur
comme la Belgique, il est primordial que les normes nationales
soient également reconnues sur
les marchés étrangers. De ce fait,
les efforts de reconnaissance mutuelle, comme Vegaplan avec le
Standard GIQF, sont cruciaux.
L’alimentation et l’agriculture: un «secteur stratégique» pour l’Europe
Telle est la devise de la présidence espagnole du
Conseil agriculture. Elle entend axer ses travaux
sur ce thème durant les six premiers mois de
l’année. C’est ce que la Ministre espagnole a
expliqué lors du premier Conseil Agricole de
l’année le 18 janvier.
La Ministre espagnole de
l’Environnement, du Milieu rural
et du Milieu marin, Elena Espinosa,
est également en charge de
l’agriculture. Selon elle, l’agriculture,
de même que l’industrie agroalimentaire, permettent de fournir aux
citoyens européens des aliments
sains et de qualité, évitant ainsi
un haut degré de dépendance alimentaire vis-à-vis de pays tiers, qui
('
seraient loin de fournir les mêmes
garanties. L’agriculture génère
aussi de l’emploi, favorise la croissance économique, contribue à la
préservation de l’environnement,
à la conservation de la biodiversité
et à la lutte contre le changement
climatique.
Pour toutes ces raisons, Mme
Elena Espinosa entend défendre
une Pac forte à l’avenir.
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Contrôle de la chaîne
alimentaire
Les travaux des Ministres se sont
quant à eux spécialement focalisés
sur une distribution plus équitable
de la valeur ajoutée le long de la
chaîne alimentaire, ainsi que sur
l’importance d’offrir un juste rétribution à chaque maillon de la
chaîne. Diverses positions se sont
exprimées à cette occasion, comme le relève l’Agence Agra-Presse.
Ainsi la position du Ministre
français Le Maire est qu’il faut «
faire évoluer » les règles communautaires de la concurrence pour
promouvoir les interprofessions.
Afin de « mieux rémunérer » les
agriculteurs, le ministre français a
également suggéré de « réfléchir
au niveau européen » à la possibilité de contrats entre industriels
et producteurs « sur plusieurs années ». Il a également « proposé à
la Commission » la création d’un
observatoire européen pour assurer la transparence des prix et
des marges. Cette idée a été reprise par la présidence espagnole.
Toutefois, l’Allemagne y est réticente, estimant qu’il est préférable
d’analyser les prix et les tendances
des marchés au niveau de chaque
pays et non pas à l’échelle communautaire.
De même, les Pays-Bas, le
Royaume-Uni, l’Estonie, la
Bulgarie et la Finlande font la
promotion d’outils non législatifs en vue de rétablir l’équilibre
au sein de la chaîne alimentaire
entre producteurs, industriels et
distributeurs. Ce serait par exemple des codes de bonnes pratiques. Eventuellement, pour le
Royaume-Uni, la Grèce, l’Espagne,
la Pologne et le Portugal, un mécanisme d’arbitrage communautaire pourrait être créé. Plusieurs
pays, comme Chypre, plaident
toutefois pour de véritables
normes contraignantes.
Par ailleurs, quelques délégations, notamment la France,
l’Italie et l’Autriche, voient dans
l’instauration de systèmes
d’étiquetage de l’origine, un bon
moyen d’aider les producteurs à
mieux se défendre. Mais de telles
mentions, si elles sont développées au plan national et non
communautaire, risquent d’être,
à terme, un obstacle à la libre circulation des marchandises au sein
du marché intérieur, ont mis en
garde plusieurs autres délégations
telles que la Pologne et l’Espagne,
qui militent pour des mentions
communautaires.
Pour sa part, la Belgique a mis
l’accent sur le développement
des circuits courts de distribution
et sur la nécessité d’instaurer des
méthodes de certification à ce
propos.
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Funérailles de Raymond Rabeux à Beauraing:
l’éloge funèbre de Philippe Rondeux
C’est le vendredi 22 janvier dernier qu’ont eu lieu,
en l’église décanale de Beauraing, les obsèques
de Raymond Rabeux. Ancien vice-Président de
l’Alliance Agricole belge, Raymond Rabeux en
a aussi longtemps présidé la section spécialisée
«viande». Ci-après l’éloge funèbre poignant
et plein de vérité, qu’a prononcé le Secrétaire
du Bureau du Sud Namur de la FWA – et aussi
longtemps compagnon de travail de Raymond
– Philippe Rondeux.
ADIEU RAYMOND
«SI LA GRAINE DE BLE
M E U RT, E L L E D O N N E
BEAUCOUP DE FRUITS»
Ce lundi 18 janvier, rien ne
laissait présager que notre ami
Raymond, encore très alerte
jusqu’il y a peu, allait de la pointe
des pieds, tirer sa révérence à l’âge
de 79 ans.
Une grande et belle page se
tourne à la ferme de Wez.
Si nos campagnes pouvaient
parler, elle pourraient exprimer
leur peine mais aussi nous rappeler tous les services rendus par
Raymond à l’agriculture et à ses
collègues agriculteurs.
L’homme a connu une vie entièrement vouée à sa famille et
à sa passion l’agriculture et à la
défense de celle-ci.
Déjà membre assidu de
l’Alliance Agricole Belge, il fut un
des fondateurs en novembre 1971
de la fédération de Beauraing. Il y
assura le poste de président de
1974 à 1995.
C’est avec un dynamisme effréné et un cœur grand comme ça
que, pendant 21 ans, il représenta
sa région partout où sa position
l’imposait. Etant son secrétaire
durant cette période, je peux
témoigner de son dévouement
et de son abnégation. Je sais le
temps, l’énergie et les moyens
tant moraux que financiers qu’il a
dépensés pour défendre la classe
agricole et cela sans en attendre
un quelconque retour, bien au
contraire.
Pour cela, il fallait être
soutenu et secondé par toute
sa famille car les travaux de la
ferme n’attendaient pas. Il fallait
s’organiser.
Bien qu’handicapée suite à un
accident avec un bovin et puis
malade, sa chère épouse Adrienne
a toujours encouragé Raymond.
Durement touché aussi par la
perte d’un enfant, le couple semble avoir trouvé dans ces malheurs
une énergie décuplée. Chez eux il
n’y avait pas de rétroviseur, on
allait de l’avant avec optimisme
mais aussi avec discernement.
Un exemple de vie et de mentalité pour tous mais surtout pour
sa famille.
En plus de ses responsabilités
régionales, il accepta la vice présidence nationale de l’Alliance
Agricole Belge et présida durant
plusieurs années la section spécialisée dans le domaine de la
viande.
Il fut également actif dans
d’autres secteurs.
Il assura un mandat de juge du
travail auprès du tribunal du travail de Dinant.
Il présida le conseil
d’administration de la Banque
CERA de Beauraing.
Il représenta également le
secteur agricole dans le conseil
d’administration de la mutualité
chrétienne de Dinant.
Jusqu’au bout de sa vie,
Raymond est resté actif, toujours
Hommage à André Beauvois
Né à Warquignies, et décédé à Soignies ce mois
de janvier à l’âge de 61 ans, André Beauvois
fut ancien Inspecteur de la Fédération de Mons
Soignies de l’Alliance Agricole Belge. Il a exercé
durant quelque vingt années ses fonctions
d’Inspecteur régional à l’AAB. Lors de ses
obsèques, Louis Poulain, ancien président de ces
sections lui a rendu hommage.
Salut André, tu laisses
aujourd’hui ta famille un peu orpheline car je sais, pour t’avoir
souvent tenu compagnie au cours
de ces derniers temps, que tu avais
le souci constant du bonheur des
tiens.
Tu n’as pas eu beaucoup de
chance dans la vie mais toujours,
tu as affronté la difficulté avec
courage et abnégation.
S’il te fallait passer la nuit pour
te ménager la tranquillité nécessaire pour remplir ta mission de
secrétaire en notre fédération
agricole de Mons-Soignies, tu
le faisais sans attendre d’autres
louanges de tes administrés.
Je tiens en leur nom, à t’en remercier chaleureusement.
Tu nous laisseras le souvenir
d’un garçon affable et dévoué qui
nous quitte aujourd’hui après une
vie bien remplie pour assurer la
défense combien compliquée en
ces temps de crise, de nos exploitations. Par tes compétences et ta
disponibilité, tu as résolu pas mal
d’énigmes dans le traitement des
Ey:IFCF>@<
Monsieur Eugène CHOUKART
Né à Waret-la-Chaussée le 25 novembre 1937 et y décédé le 18
janvier 2010.
Monsieur Pierre DORMAL, époux de Renée PREVOST
Né le 2 février 1929 à Rocourt et décédé le 19 janvier 2010 à Liège
Rue Gustave Lemeer 5 à Villers-l’Evêque
Monsieur Joseph GROTECLAES, veuf de Hubertine WALLRAFF
Décédé à Raeren le 31 décembre 2009 à l’âge de 86 ans
Marie Heim à Raeren
Madame Francine LEYENS, épouse de René GROTECLAES
Décédée à Walhorn le 13 janvier 2010 à l’âge de 35 ans
Walhorn
Monsieur Léon NAEDENOEN, veuf de Henriette VAESSEN
Né à Hombourg le 7 octobre 1929 et décédé à Petit-Rechain le 18
janvier 2010
présent dans la ferme familiale
gérée maintenant par son fils
Philippe.
Ardemment, il attendait
d’ailleurs le retour du printemps
pour reprendre les travaux des
champs.
Malheureusement, le sort en a
voulu autrement.
La destinée est cependant implacable: La dernière terre cultivée
par Raymond à l’automne dernier,
au «Sety», sur les coteaux de
Wancennes est effectivement la
1ère terre cultivée par celui-ci 60
ans plus tôt.
La boucle était bouclée.
PROFICIAT RAYMOND: TU
AS REUSSI TA VIE.
«QUI QUE TU SOIS, MERCI
DE NOUS L’AVOIR DONNE»
Madame Andrée SIMON, veuve de Raoul MOLET
Née à Goutroux le 21 janvier 1927 et décédée à Gilly le 22 janvier
2010
La défunte était la maman de Marc Molet, Secrétaire à Beaumont
rue G Michiels 56 à 6500 BEAUMONT
Monsieur Adolphe RIGO, veuf de Sylvie DUCHATEAU
Né à Mons-Lez-Liège le 22 novembre 1923 et décédé à Huy le 22
janvier 2010
Rue Feron 1 à 4530 Warnant-Dreye
Madame Marie LATOUR, veuve de Jules GUISEN
Née à Hodeige le 7 décembre 1933 et décédée à Waremme le 21
janvier 2010
La Fédération Wallonne de l’Agriculture ainsi que Plein Champ
présentent leurs sincères condoléances aux familles
Hommage à Pierre Dormal
Pierre Dormal, qui fut durant de longues années
président de la cantonale UPA de Fexhe-Hollogne,
vient de s’éteindre à l’aube de ses 81 ans.
Au nom de la FWA, et du monde agricole
dossiers fiscaux les plus délicats. hesbignon, Henri Lhoest,
président de la section locale,
Tu en avais fait ta spécialité.
Cette tâche, tu l’as également lui a rendu un dernier hommage
remplie en nous accompagnant lors de ses obsèques qui se sont déroulées
partout dans toutes nos actions à Villers-l’Evêque ce samedi 23 janvier.
revendicatives où nos intérêts syndicaux exigeaient notre présence.
Arrivé au terme de longs mois
de souffrance, tu peux partir en
paix André et nous te souhaitons
le paradis que tu mérites dans ta
nouvelle vie.
Reçois ces quelques mots en
hommage de la part de tous les
membres de notre fédération reconnaissants.
Il a bien entendu rappelé son
engagement syndical, que ce soit
au niveau de la cantonale dont il
assura longtemps la présidence,
de la province ou du comité directeur des UPA où il défendait
cette agriculture hesbignonne
qu’il aimait tant. Calme et doté
qu’une grande capacité d’écoute,
il parvenait toujours à remettre les
débats à leur juste niveau.
C’est également comme expert que Pierre Dormal a défendu bien des agriculteurs lors
d’expropriation ou en cas de dégâts aux cultures.
Ajoutons que la vie de Pierre
Dormal n’a pas été bercée que
par l’agriculture puisqu’il fut aussi
bourgmestre de Villers-l’Evêque.
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((
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Strube: l’innovation par tradition
Bien qu’également actif en céréales, c’est surtout
dans le monde betteravier que le semencier
allemand Strube est réputé. Confiante dans
l’avenir de la culture betteravière, cette entreprise
familiale vient de racheter son partenaire
Dieckmann et d’investir dans les technologies
de pointe en vue de poursuivre la sélection et la
production de variétés performantes répondant
aux exigences d’aujourd’hui et de demain.
9\ieXi[ B\ijk\e
Jusqu’en 2005, le nom de
Strube n’était connu chez nous
que de rares initiés. Les variétés
de betteraves sucrières de ce
sélectionneur allemand étaient
alors commercialisées par le canal de la SES. Pour la campagne
2006, le rapprochement de SES et
Vanderhave a cependant rebattu
les cartes. Et la firme Pype, jusque
là mandataire de Vanderhave,
a alors eu l’opportunité de se
sucrière. Conservant sa confiance
dans l’avenir de cette production,
Strube reprend alors l’ensemble
des activités betteraves de son
ancien partenaire. Une décision
que ni Hermann-Georg Strube, ni
sa fille Sina Isabel, représentant
respectivement les quatrième et
cinquième générations de Strube
à la tête de cette entreprise familiale, ne semblent aujourd’hui
regretter.
Hermann-Georg Strube et sa fille Sina Isabel, 4ème et 5ème génération de
Strube à la tête de l’entreprise familiale créée voici 130 ans
tourner vers Strube. Ou plus exactement vers Strube-Dieckmann,
un partenariat entre deux firmes
totalement indépendantes qui,
dans un souci d’efficacité, avaient
décidé de regrouper leurs activités
commerciales et de se répartir certaines tâches, comme la biotechnologie (chez Dieckmann) ou la
production (chez Strube).
En 2008 toutefois, Dieckmann
manifeste son souhait de se retirer du secteur de la betterave
Strube hier et
aujourd’hui
L’histoire de la société Strube
débute en 1877, il y a donc plus
de 130 ans. A la tête d’une importante exploitation agricole
implantée à Schlanstedt, près
de Magdeburg (Saxe-Anhalt),
Friedrich Strube se lance dans la
sélection de la betterave et du
froment. Certaines de ses variétés,
en froment notamment, connaissent rapidement un vif succès qui
contribue à assurer le développement de l’affaire.
En 1945, l’entreprise se voit
«expropriée» de Schlanstedt alors
située en RDA. Bien qu’ayant perdu une bonne partie de son matériel génétique, la société s’installe
alors à Schöningen, quelques
kilomètres plus à l’Ouest avant de
racheter une ancienne sucrerie à
Söllingen, toujours dans la même
région.
En 1992, 3 ans après la chute
du Mur donc, l’occasion s’est
présentée à la firme de racheter ses anciens bâtiments de
Schlanstedt, distants d’une vingtaine de km de Söllingen. C’est
ainsi qu’aujourd’hui l’essentiel
des activités de Strube se trouve
réparti entre ces deux sites:
l’administration, la vente, mais
aussi la production des semences
de betteraves et une partie de la
recherche et du développement
sont implantés à Söllingen tandis
que le site complètement rénové
de Schlanstedt abrite notamment
les activités biotechnologie qu’il
a fallu considérablement développer à la reprise de Dieckmann
ainsi que le traitement des semences de céréales. C’est aussi
le siège de l’exploitation agricole
familiale (la famille Strube exploite
encore à ce jour une ferme de plus
de 2000 ha) .
La société Strube occupe environ 200 personnes en Allemagne
auxquelles s’ajoute une centaine
de collaborateurs répartis de par
le monde.
Actuellement, Strube commercialise plus de 120 variétés
de betteraves sucrières dans 30
pays, en Europe, Asie et Amérique
du sud. C’est dire combien Strube
occupe une position importante
dans ce créneau où, il est vrai, les
acteurs sont de moins en moins
nombreux.
Si l’activité «betteraves» prédomine largement chez Strube,
le semencier est néanmoins resté
actif dans le secteur des céréales.
Son portefeuille est riche d’une
quinzaine de variétés commercialisées dans 16 pays. Pour les céréales, Strube fait partie de Saaten
Union, un groupe qui associe 7
obtenteurs allemands aux spécialités complémentaires et qui occupe une position de leader sur le
marché allemand des céréales.
Une semence de qualité
La semence est un des nombreux facteurs influençant le
rendement en sucre blanc d’une
parcelle de betteraves. Et qui dit
semence, pense évidemment génétique. Il est vrai que le travail des
sélectionneurs permet de présenter régulièrement de nouvelles
variétés plus performantes que les
précédentes en terme de potentiel
rendement (on évoque un progrès
annuel de 1,5 t/ha rien qu’avec la
génétique) et présentant en outre
des caractéristiques toujours plus
pointues comme la résistance à
divers parasites.
Mais le potentiel génétique
d’une variété donnée ne pourra
pleinement s’exprimer que si la
qualité de la semence est optimale.
Or depuis la multiplication jusqu’à
l’enrobage, bien des paramètres
peuvent l’influencer.
Tout semencier qui se respecte
met évidemment tout en oeuvre pour livrer au planteur une
semence d’excellente qualité et
chacun y va de sa stratégie. Chez
Strube, celle-ci s’appelle «3D».
Si de nombreux facteurs influencent le rendement d’une culture,
il en va de même au niveau de la
multiplication des semences où
les paramètres les plus divers vont
agir non seulement sur la quantité
de graines produites mais aussi
sur leur qualité. S’y ajoute la floraison échelonnée de la betterave
qui donne forcément des graines
de divers niveaux de maturité à la
récolte. C’est ainsi qu’outre leur
taille, leur forme ou la résistance
de l’opercule qui renferme le
fruit, les graines récoltées se distinguent également par le degré
Selon Strube, la technologie «3D» permet de garantir une levée et une
croissance homogène des betteraves
de maturation de l’embryon, sa
taille, sa composition chimique et
par la qualité du tissu nutritif.
Si un calibrage classique permet
de trier les graines sur leur forme,
leur densité ou leur taille, il lui par
contre impossible de les trier en
fonction de la qualité de leur embryon. Et c’est ici qu’intervient la
technologie 3D développée par
Strube voici maintenant quelques
années. Elle se base sur une microscanographie en 3 dimensions
d’un échantillon de chaque lot.
Les images issues de ces radiographies tridimensionnelles de
l’intérieur des graines sont alors
analysées par un logiciel qui va
pouvoir mettre en évidence les
différences qualitatives entre différents lots de matière première.
Cette évaluation, qui se répète à
plusieurs reprises au cours du processus de traitement des graines
en usine, va permettre d’affiner le
tri et d’homogénéiser les lots.
Comme le disait non sans humour le responsable de la production à l’occasion d’une récente visite du site organisée dans le cadre
d’une rencontre internationale,
«ce que l’on produit le plus ici, ce
sont des déchets». En effet, sur les
quelque 3.000 t de semences de
betteraves sucrières qui arrivent
chaque automne à Söllingen en
provenance de Provence ou du
nord de l’Italie, 75% seront écartés pour ne conserver que le meilleur.
Selon Strube, le tri rigoureux
basé sur la technologie «3D»,
outre qu’il permet de garantir
des taux de germination élevés,
présente surtout l’avantage de
livrer des lots avec des qualités
d’embryon homogènes qui vont
aboutir à une levée et une croissance elles aussi homogènes.
Or, toujours selon Strube, des
semences d’une variété donnée,
à pouvoir germinatif identique,
permettent d’obtenir un gain de
rendement significatif du seul fait
de l’homogénéité de la levée et de
la croissance des betteraves.
Un événement
international
La firme Strube a récemment
tenu à présenter son concept
global de sélection et de production à la filière sucre internationale. Représentants des planteurs,
de l’industrie sucrière ou des institutions de recherche, 250 invités
issus des 30 nations où la société
commercialise ses semences des
betteraves, ont ainsi rallié la région de Magdeburg. Il leur a été
donné l’opportunité de découvrir
cette entreprise plus que centenaire et pour autant résolument
moderne, confirmant son slogan:
«l’innovation par tradition».
La Belgique était naturellement présente à ce rendez-vous
international. La délégation emmenée par la firme Pype comptait
aussi bien des représentants des
planteurs que de l’industrie, sans
oublier bien sûr la recherche.
Biathlon, un nouveau venu en désherbage céréales
Basé sur une sulfonylurée, le Biathlon que BASF
propose dès ce printemps un anti-dicotylée agréé
sur toutes les céréales pouvant être associé à la
plupart des anti-graminées.
9\ieXi[ B\ijk\e
La famille des sulfonylurées
compte depuis peu un nouveau
représentant : le tritosulfuron.
Développée par BASF, cette
matière active se retrouve dans
un nouveau produit commercial
baptisé Biathlon, un anti-dicotylée
pour céréales.
Parmi les caractéristiques de ce
nouveau produit mises en exergue
par Basf, on retiendra notamment
sa grande souplesse, qu’il s’agisse
des cultures sur lesquelles il est
autorisé (toutes les céréales à
pailles, d’hiver et de printemps),
du stade d’application (du début
tallage jusqu’à la dernière feuille)
ou encore des possibilités de
mélanges. C’est ainsi qu’il peut
sans problème être mélangé avec
pratiquement tous les anti-graminées classiques (Atlantis, Attribut,
Isoproturon, Lexus…), confirmation étant encore attendue pour
l’Axial.
Il peut également être appliqué en même temps que d’autres
anti-dicots, mais aussi avec l’azote
()
liquide (en évitant évidemment
les buses tri-filets, vu son action
foliaire), les fongicides et les régulateurs ainsi que les huiles nécessaires pour certains anti-graminées (Actirob....)
Stratégie gaillets
Autre caractéristique intéressante du tritosulfuron : c’est la
seule sulfonylurée agissant à la
fois sur le gaillet et la véronique.
Basf avoue cependant que dans
certaines situations, son action sur
gaillet peut se révéler insuffisante.
C’est ainsi qu’en mélange avec
un anti-graminée ne présentant
aucune action gaillet (Attribut,
isoproturon, Puma, Topik... ), son
efficacité est suffisante contre des
gaillets jusque 3 couronnes. En
présence de gaillets plus développés, Basf recommande par contre
d’ajouter 1/4 à 1/2 dose d’un antigaillet spécifique ou de prévoir
une correction éventuelle spécifique contre le gaillet.
)/aXem`\i)'('
Si à l’inverse, le Biathlon est appliqué en mélange avec un antigraminées présentant une action
gaillet (Alister, Atlantis, Capri,
Cossack, Hussar, Lexus, ...), il n’y
a vraiment que dans les Polders
ou sur gaillets fortement développés qu’il faudra alors envisager
de renforcer l’effet anti-gaillet du
mélange.
C’est une sulfo !
Outre les caractéristiques évoquées plus haut, le tritosulfuron
présente les caractéristiques communes aux matières actives de la
famille des sulfonylurées à action
foliaire. Le produit est absorbé par
les parties aériennes vertes des
adventices et le premier effet est
le blocage de leur développement
cellulaire et de leur croissance. Si
selon Basf, l’arrêt de la croissance
est rapide, comme toujours avec
les sulfos, il faut toutefois attendre
un certain temps avant que les
premiers symptômes ne deviennent visibles, en particulier sur des
adventices déjà plus développées.
En conséquence, il est recommandé de privilégier les traitements
précoces.
D’autre part, comme toujours
avec les sulfonylurées, il convient
de porter une attention particu-
Agréé pour toutes les céréales, le Biathlon est un anti-dicotylée agissant aussi bien sur le gaillet que les véroniques
et pouvant être mélangé à la plupart des anti-graminées
lière au rinçage du pulvérisateur
(buses, rampes, tuyauterie, cuve)
directement après l’application
pour éviter de causer des dommages aux cultures sensibles traitées à la même époque.
Fiche technique
Le Biathlon se présente sous
forme de granulés (WG) dosant
71,4% de tritosulfuron.
Comme écrit plus haut, il est
agréé en froment et orge d‘hiver
et de printemps, épeautre,
triticale, avoine et seigle et il
agit sur les dicotylées (camomille,
gaillet, lamier, mouron, véronique,
..).
La dose d’utilisation est de 70g/
ha de produit commercial.
En céréales d’hiver, la période
d’application va du début tallage
à la dernière feuille et en céréales
de 3 feuilles à la dernière feuille.
Il est vendu en emballage de
350 g (pour 5 ha).
La recommandation de Basf est
d’appliquer le Biathlon en sortie
d’hiver (en favorisant les applications précoces) à raison de 70
g/ha, en mélange avec un antigraminée, éventuellement additionné d’huile si l’anti-graminée le
requiert (ex : Atlantis + Actirob).
Nouvel emballage
Basf a profité du lancement du
Biathlon pour présenter un nouvel emballage qui sera progressivement utiliser pour l’ensemble
des produits. Portant le nom
d’Ecopack, cet emballage se caractérise entre autre par son absence
d’opercule, toujours délicat à ôter,
son ouverture centrale supprimant
l’effet « glou-glou » et facilitant la
vidange totale et le rinçage et son
poids inférieur diminuant d’autant
le poids de déchets à traiter.
N° 104
28 janvier
2010
Journal officiel de la Fédération des Jeunes Agriculteurs
F é d é r a t i o n d e s J e u n e s A g r i c u l t e u r s - C h a u s s é e d e N a m u r, 4 7 - 5 0 3 0 G e m b l o u x
T é l . 0 8 1 / 6 0 . 0 0 . 6 0 - F a x 0 8 1 / 6 0 . 0 5 . 2 7 - E - m a i l : f j a @ f w a . b e - S i t e : w w w. f j a . b e
A la Une
2010 : Une année phare pour
les jeunes agriculteurs
Si 2009 restera tristement dans les mémoires comme
une année désastreuse pour le secteur agricole, cette
année 2010 sera une année charnière pour l’avenir
de l’agriculture européenne. Application du bilan de
santé, budget et orientation de la PAC post-2013,
présidence belge de l’UE… les défis qui concernent
directement les agriculteurs sont nombreux. La FJA se
doit de rester attentive à ce que les intérêts des jeunes
agriculteurs soient plus que jamais pris en considération. Mieux que ça, la FJA doit se montrer active et
prendre part à l’ensemble des discussions. Notre fédération ne manquera de provoquer le débat et d’arrêter une position sur les attentes des jeunes agriculteurs
par rapport à la Politique Agricole Commune avec en
point d’orgue l’organisation d’un séminaire Ceja en
septembre prochain.
Si les jeunes agriculteurs, et la
FJA en particulier, seront mis à
l’honneur durant 2010, c’est
essentiellement par les nombreux défis qui nous attendent
que cette année va se révéler
cruciale.
En ce début d’année, et le
nombre de réunions effectuées
sur le sujet le prouve, c’est
bien entendu le futur des aides
directes qui est au centre des
préoccupations. Ces aides du
premier pilier de la PAC constituent la part majeure du revenu
des agriculteurs. Que ce soit
dans l’audition du (plus que
probable) nouveau Commissaire européen en charge de
l’agriculture que dans la déclaration de politique régionale,
le monde politique a tendance
à remettre en cause le calcul
des aides sur base historique.
Si la FJA peut considérer que
dans certains cas, la répartition des DPU semble inéquitable, il faut cependant rester très
prudent avant de tout remettre
en question. Des notions fondamentales comme les investissements effectués, le nombre
d’actifs, la durabilité de l’exploitation… doivent rentrer en
ligne de compte avant d’entamer une quelconque réforme.
Les jeunes agriculteurs sont en
tout cas demandeur de plus de
prévisibilité. On ne cesse de
remettre en cause les règles du
jeu. Il serait par exemple inacceptable qu’un jeune ayant
repris une exploitation récemment se voit raboter d’une
partie de ces aides directes (et
donc de son revenu) alors qu’il
a investi en fonction de cellesci. Il est essentiel qu’au début
de sa carrière, l’agriculteur
connaisse les moyens dont il va
disposer et ce tout au long de
sa vie professionnelle. Il est tout
aussi essentiel que ces droits
Grégory ETIENNE
restent accessibles aux jeunes
qui s’installent. Des dispositions devront en tout cas être
prises dans ce sens. Le Ministre Lutgen devra prendre une
décision sur la répartition des
DPU avant le 1er août. Alors
lissage?, régionalisation ?, statut-quo ?…il s’agit là d’une décision (exigée par le bilan de
santé) bien difficile à prendre
tant les inconnues pour l’après
2013 sont nombreuses.
Cette PAC post-2013 est un
enjeu fondamental. C’est pourquoi, la FJA va se pencher sur
son sort. Notre assemblée annuelle, qui se tiendra le jeudi
4 mars à l’espace Senghor de
Gembloux, aura pour thème «
Qu’attendent les jeunes agriculteurs européens de la Politique Agricole Commune ? ». En
préambule à une table ronde
rassemblant des jeunes agriculteurs de différents horizons
européens, nous entendrons
un représentant de la DG-Agri
qui, on ose l’espérer, nous dévoilera les tendances qui se
dessinent dans les couloirs de
la Commission. Le plus important sera de maintenir un budget agricole suffisant, avec un
1er pilier fort. Il sera tout aussi
important de trouver des mécanismes de régulations des marchés des productions agricoles. Les agriculteurs ont besoin
de stabilité et de prédictibilité.
Nous n’aurons certainement
pas toutes les réponses lors
de cette assemblée mais, nous
connaîtrons une partie des attentes de nos collègues jeunes
agriculteurs européens.
Dans le même esprit, la FJA
aura l’honneur de recevoir
l’ensemble de ses collègues
européens lors d’un séminaire
Ceja qui se déroulera du 18
au 21 septembre en marge du
Conseil informel des ministres
de l’agriculture qui se tiendra
sous présidence belge. Il s’agit
là d’un formidable défi et d’une
réelle opportunité de faire entendre notre voix. Avant ce séminaire, il sera important pour
nos membres de bien cerner
les enjeux de la future PAC et
surtout de définir une ligne de
conduite que nous nous efforcerons à défendre auprès de
nos responsables politiques.
L’installation des jeunes dans
un secteur agricole durable
reste un objectif majeur. Notre
devoir est donc de bien informer les jeunes agriculteurs sur
ces enjeux mais surtout d’être
à l’écoute de leurs revendications. Une série de réunion sera
dès lors programmée dans les
différentes provinces.
Toujours en septembre, les
jeunes seront également mis
à l’honneur à l’occasion de
la foire agricole de BatticeHerve. Je suis convaincu que
nous pourrons compter sur nos
membres liégeois pour donner
une image dynamique de notre mouvement. Il convient de
saisir chaque opportunité pour
mettre en valeur nos actions.
A coté de ces évènements exceptionnels, la FJA renforcera
ses activités habituelles tout
au long de l’année. Que ce
soit en matière de formation et
d’information, d’encadrement
des stages, d’évènements de
promotion comme les fermes
en villes ou encore d’animation rurale au travers de ses
sections, la FJA aura à cœur
de répondre à l’attente de ses
membres. Il est plus que jamais
nécessaire pour les jeunes de
se former correctement et de
se tenir informer. Il est important que nos responsables des
différentes sections organisent
régulièrement des conférences
et des cours. La formation est
le premier pas vers la réussite.
Nous espérons d’ailleurs renouveler l’expérience FoR-JA
qui, lors de sa première promotion, a permis à 12 agriculteurs
et agricultrices d’approcher les
réalités agricoles sous d’autres
angles. Leurs témoignages positifs nous encouragent dans
ce sens (plus d’info sur www.
fja.be).
Vous le voyez, ce ne sont pas
les projets qui manquent. Tant
le bureau national que le bureau administratifs espèrent
pouvoir compter sur vous pour
les mener à bien.
Comment se faire membre FJA?
à mentionner en communication ton nom, prénom et
adresse ainsi que le numéro de la section locale
dans laquelle tu souhaites être
membre. Pour cela tu peux
t’aider du tableau ci-dessous.
Cher(e) Ami(e),
Pour devenir membre FJA pour
la saison 2010, rien de plus
facile.
Il te suffit de verser la somme
de 10 euros sur le compte 1043252972-27. Merci de veiller
1
HAINA UT
2
LIEG E
3
Tu recevras une carte de membre de la section locale que tu
as choisie ainsi que le journal
Plein Champ où tu pourras
trouver de multiples d’informations sur notre mouvement.
LUXE MBOURG
4
N AM UR
1
Ath
16
Aubel
28
Bastogne
33
Andenne
2
Ath-Flobecq
17
Blegny
29
Centre-Ardenne
34
Beauraing
3
Mons-Quiévrain
18
Condroz-Liégeois
30
Houffalize-Vielsalm
35
Ciney
4
Comines
19
Cornesse
31
Nord-Luxembourg
36
Dinant
6
Fleurus
20
Ardenne
Liégeoise
32
Sud-Luxembourg
37
Florennes
7
Leuze
21
Hannut
45
Latere d'Ardenne
38
Fosses-la-Ville
Gembloux
8
Merbes-Binche
22
Henri-Chapelle
39
10
Seneffe
23
Malmedy
40
Namur
11
Silly
24
Rechain-Herve
41
Philippeville
12
Soignies
25
Sprimont
BRABA NT
42
Rochefort
13
Beaumont
26
Waremme
9
Nivelles
44
Eghezée
14
Tournai 1
43
WPJ
15
Tournai 2
46
TNG
5
CONGRES DE LA FJA
Qu’attendent les jeunes agriculteurs européens de la future
Politique Agricole Commune ?
LE JEUDI 4 MARS 2010 À 19H30
Espace Senghor de Gembloux
Formation Professionnelle Agricole
Saison 2009-2010
La FJA – Gestion de Formation – ASBL organise, durant toute l’année et dans toute la Wallonie, des
cours de spécialisation d’une trentaine d’heures.
Informatique à la ferme, Insémination artificielle, Alimentation animale, Horticulture, Maladies du
bétail, Production porcine, Comptabilité et gestion, Droit rural, Electricité, Maçonnerie, Menuiserie,
Soudure, Fromagerie, Valorisation des Produits du Terroir, Mécanique agricole, Elevage BlancBleu-Belge, Pédagogie à la ferme, Variété et qualité des céréales, Elevage ovin, Elevage caprin,
Aménagement des bâtiments agricoles et des abords de ferme Etc…
Cette liste n’est qu’un aperçu des possibilités que la FJA peut vous proposer! Libre à vous d’élargir à
de nouveaux thèmes. N’hésitez donc pas à nous contacter.
Si vous désirez vous inscrire à un cours, merci de renvoyer le formulaire d’inscription ci-joint
- soit par courrier à la Fédération des Jeunes Agriculteurs, Chaussée de Namur, 47 à 5030 Gembloux ;
- soit par fax au 081/60 05 27 ;
- soit contact par téléphone au 081/627.441 ;
- soit par mail à [email protected]
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28 janvier 2010
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métier d’agriculteur à destination des écoles
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la FJA Namur-Sud n’est
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Tout au long de l’année, la FJA
est restée plus que jamais active dans la formation des jeunes agriculteurs (plus de 4000
heures de cours) avec comme
nouveauté la formation pour le
passage du permis tracteur
La FJA Province de Liège
Les voies possibles, le quotidien du
gestionnaire, les aspects légaux, les
investissements nécessaires, le revenu
dégagé
Le mardi 16 février 2010
à 20h «Au Boute-en-Train»
à Mortroux
Chemin de Trimbleu 3
Introduction par Cécile Collin, présidente provinciale FJA
et tables d’hôtes à la ferme, les gites à la ferme
ainsi que les services offerts par l’ASBL Accueil
Champêtre.
Ferme pédagogique par José Drouguet de
Thimister-Clermont
Témoignage du gérant de la ferme pédagogique de
la Ferme de Strée.
Salon de dégustation par Eliane Loly de
Mortroux
Témoignage sur son salon de dégustation « Au
boute-en-train » et la fabrication de glaces.
séance par Martine De Nijs d’Accueil Champêtre
en Wallonie Les fermes pédagogiques, stages,
anniversaires, campings à la ferme, restaurants
Point de vente à la ferme par Martine De
Nijs de Neuville-sous-Huy
Son témoignage de productrice et gérante d’un
point de vente à la Ferme de la Neuville : transformation de produits laitiers et vente de poulets
fermiers et de produits d’autres producteurs.
Gîte à la ferme
Témoignage d’un propriétaire de gîte à la Ferme.
Distributeurs de lait cru par Olivier
Schifflers de la Fédération des Jeunes Agriculteurs
Fil conducteur établi durant l’ensemble de la
Témoignage sur la transformation du lait en cacao,
beurre, maquée, yogourt, flan, pudding, riz au lait
et son système de vente par distributeur à la Ferme
de la Chapelle.
Fabrication artisanale de produits
laitiers en vente dans des distributeurs par Marianne Pichot de Limbourg
Mesures d’aides par Martine DENIJS
d’Accueil Champêtre en Wallonie
Les aides et soutiens qui existent pour aider les
agriculteurs à se diversifier : ISA, Accueil Champêtre
en Wallonie
[email protected]
Tél. 081/60.00.60
Fédération des Jeunes Agriculteurs
C h a u s s é e d e N a m u r, 4 7 5 0 3 0 G e m b l o u x
Les élections 2009-2010 des
Comités de Sections Locales
Janvier
29 janvier
FJA WPJ
FJA Merbes-Binche
FJA Andenne
FJA Province de
Luxembourg
Février
5 février
FJA Malmedy
FJA Ciney
FJA Silly
12 février
FJA Province de
Namur
19 février
FJA Ath-Flobecq
FJA Province de
Liège
FJA Province de
Brabant
26 février
FJA Comines
Mars
5 mars
FJA Province
de Hainaut
12 mars
FJA Nationale
Le Livre
“Permis G Connaître
et conduire”
Le Livre “Permis G Connaître et conduire”
Est disponible à la FJA
20 euros pour les membres FJA ou FWA
25 euros pour les non-membres
Pour l’obtenir:
Faites un virement au compte:
104-0306012-24
en indiquant en communication:
«Permis G» + votre numéro de membre
(si membre)
Pour tout renseignements
supplémentaires:
Composez le 081/627.441
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28 janvier 2010
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Renationalisation de la Pac:
le spectre s’éloigne
le calcul des aides, d’améliorer le
soutien aux producteurs situés en
zone herbagère » sans oublier « la
création d’outils d’assurance pour
gérer les aléas climatiques, sanitaires ainsi que les fluctuations du
marché ».
Le chef de l’Etat français a évoqué un franc succès sur le sujet
des «dumpings », qu’ils soient
monétaires, environnementaux ou
sociaux, que l’Europe subit. « Je le
dis calmement, a-t-il insisté, nous
n’accepterons pas que l’Europe
soit la variable d’ajustement de
tous les dumpings ». « Il n’est pas
acceptable que l’on s’impose des
règles qui ne sont pas respectées
dans la fabrication des produits
d’importation », a-t-il déclaré.
«C’est cela qui doit être la nouvelle
préférence communautaire », a-t-il
conclu.
Bien que le spectre d’une renationalisation délibérée
de la Pac paraisse s’éloigner après les auditions
des futurs Commissaires européens – notamment
celle de M. Dacian Ciolos, Commissaire désigné à
l’agriculture – il n’est pas inutile de relever que le
président français Sarkozy a récemment tenu à
réaffirmer avec force son rejet de toute forme de
renationalisation de la Pac.
Le «Groupe à haut niveau» sur le lait
à l’écoute de pays tiers
Le « Groupe à haut niveau » mis en place en
octobre 2009 au paroxysme de la crise laitière
pour mettre sur pied un système de régulation
du marché laitier en dehors du régime des quotas
continue de se réunir régulièrement. Rappelons
qu’il devrait en principe aboutir à un résultat pour
le 30 juin de cette année.
Le groupe d’experts de l’UE sur
le lait a écouté mi-janvier les exposés de quatre pays non membres
de l’UE, les Etats-Unis, la NouvelleZélande, l’Australie et la Suisse.
Ces pays ont, tour à tour, évoqué les adaptations spécifiques
apportées aux règles de concurrence dans le secteur laitier afin
d’offrir certaines formes de soutien
aux producteurs. Les experts européens ont pu constater que
les mécanismes en place varient
fortement d’un pays à l’autre. Les
experts européens ont aussi consacré leur réunion au pouvoir de
négociation, à la contractualisation
et à la transparence. De nombreux
Etats membres de l’UE ont fait part
de leur intérêt pour promouvoir
une certaine forme de contractualisation prenant en compte les traditions nationales et le rôle des coopératives. Alors que certains pays
ont marqué leur préférence pour
une action en demi-teinte limitée
à de simples directives ou bonnes
pratiques, d’autres ont souhaité
une plus grande implication au
niveau de la réglementation communautaire. De même, un large
consensus existe pour que quelque
chose soit réalisé en matière de
pouvoirs de négociation entre les
différents acteurs de la filière. Les
experts chargés de la concurrence
feront le point sur cette question
lors de la réunion du groupe à haut
niveau du 23 février.
Sarkozy refuse la renationalisation de la PAC
Le président français regrette
en tout cas les décisions entre les
conceptions agricoles des «27»
qui sont apparues au grand jour
en 2009.
L’action en ordre dispersé des
pays européens touchés par une
crise agricole sans précédent porte
en elle le risque de « renationalisation d’une partie de la Pac ». M.
Sarkozy, qui souhaite que les pays
de l’Europe coordonnent leurs efforts veut éviter « tout ce qui peut
s’apparenter à cette renationalisation».
Il a réaffirmé qu’il comptait engager en 2010 « de véritables né-
gociations européennes en faveur
de la régulation de l’agriculture ».
Alors que le monde est tombé dans
le « précipice » de la crise en raison
de la dérégulation, il est impensable pour Sarkozy que la régulation
ne soit pas « légitimée». Il a rappelé
que la France a été un pays précurseur en la matière puisqu’elle a ouvert ce débat « dès 2008 » lors de
la présidence française de l’Union
européenne.
Autre cheval de bataille du
président, « la simplification de la
mise en oeuvre de la Pac ». Il s’agit,
a-t-il expliqué de «supprimer les
références historiques permettant
L’immense défi
du développement rural
Dans un contexte d’aprèsCopenhague, Nicolas Sarkozy a
présenté le développement durable comme un « immense défi
national ». L’enjeu est « la préservation de la planète ». Il a évoqué
les énergies renouvelables. Pour lui,
« il n’est plus possible de produire
comme avant », a-t-il lancé à son
auditoire à dominante agricole.
S’adressant à la France rurale dans
son ensemble, il a souligné qu’une
de ses priorités pour 2010 sera de
« soutenir une nouvelle politique
de développement de la ruralité ».
Agriculteurs grecs en colère
Face à une dégradation générale de leurs prix (lait,
fruits, céréales, maïs, huile d’olive…), les agriculteurs
grecs dressent plusieurs barrages routiers. Ils vont
même jusqu’à bloquer la frontière avec la Bulgarie,
ce qui a conduit ce pays à porter plainte auprès de
la Commission européenne.
Les agriculteurs grecs ont durci
le 20 janvier leur mouvement de
protestation entamé le 17 janvier en augmentant les barrages
routiers dans le centre et le nord
du pays, où ils bloquent le principal
poste frontière gréco-bulgare, pour
obtenir un soutien financier à leurs
productions. Le premier ministre
bulgare, Boïko Borissov, a saisi le
19 janvier la Commission europée-
nne, affirmant que les transporteurs
bulgares avaient subi des pertes de
10 millions d’euros à la suite de tels
barrages des frontières il y a un an.
Les agriculteurs exigent une
aide financière immédiate pour
les produits dont les prix se sont
effondrés (céréales, coton, maïs,
huile d’olive, lait, fruits). Ils réclament également une diminution
des prix des engrais, des produits
pharmaceutiques et des semences,
ainsi qu’une ristourne sur le prix
de l’électricité et du pétrole, et le
gel pour trois ans de leurs dettes
auprès de la Banque Agricole. La
ministre du développement agricole et de l’alimentation, Katerina
Batzélis, a invité les syndicalistes
agricoles à une table ronde pour
discuter de l’ensemble des problèmes du secteur. Pour sa part,
le secrétaire d’Etat aux finances,
Philippos Sachinidis, a indiqué que
le gouvernement socialiste, au
pouvoir depuis octobre, avait déjà
fourni en novembre et décembre
une aide économique de 112 millions d’euros aux agriculteurs et
qu’« il n’existe plus de marge pour
d’autres primes»… (air connu…).
Un nouveau logo biologique pour l’UE:
en ligne!
Début de la semaine, la direction générale de
l’agriculture et du développement rural de la
Commission européenne invite tous les Européens à
voter sur le site web http://ec.europa.eu/agriculture/
organic/logo/index.htm pour la dernière étape du
concours qui désignera le nouveau logo biologique
européen.
Les trois logos présélectionnés
pourront être consultés sur le site
jusqu’au 31 janvier. Le nouveau
logo vise à renforcer la protection des consommateurs et à encourager l’agriculture biologique.
Contrairement au logo actuel, il
devra être obligatoirement apposé
sur tous les produits biologiques
préemballés qui proviennent des 27
États membres de l’UE et qui satisfont aux normes correspondantes.
Logo universel
«Par ce vote en ligne, la
Commission entend garantir que
le logo choisi plaise au plus grand
nombre. Cette procédure de sélection ouverte répond en outre à un
objectif plus ambitieux, celui de sensibiliser l’opinion à l’importance du
secteur de l’agriculture biologique»,
a déclaré Mariann Fischer Boel,
membre de la Commission chargé
de l’agriculture et du développement rural.
Le nouveau logo doit représenter
l’UE tant à l’intérieur qu’à l’extérieur
de ses frontières. Il doit être facile
à identifier et pouvoir évoquer
l’UE et l’agriculture biologique
sans contenir le moindre mot ni
le moindre sigle. La Commission
européenne a sollicité, pour cette
tâche ardue, le talent d’étudiants
en art et en design originaires des
quatre coins de l’Europe, qui ont pu
présenter leurs créations entre avril
et juin 2009. Pas moins de 3422
designers en herbe ont soumis
leurs propositions novatrices. Un
jury de renommée internationale a
ensuite sélectionné les trois logos
qui participent à la phase finale du
concours.
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Concours-foire provincial de Libramont
Nombreux participants, nombreux visiteurs et
de la qualité : tous les ingrédients étaient réunis
pour assurer la réussite de la 56ème édition du
concours-foire provincial de Libramont.
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Très belle réussite de ce rendezvous Blanc-bleu en terre luxembourgeoise pour lequel tous les
ingrédients étaient réunis : 151
présences et de surcroît de qualité
nécessitant à de nombreuses reprises l’intervention du juge arbitre, un très nombreux public venu
non les mains libres et une météo
favorable le matin mais verglacée
pour le retour. Un concours-foire
bien dans son rôle par la présence
presque exclusive de taureaux,
133, contre seulement 18 femelles.
Championnat des jeunes
génisses à Philippe
Collignon
Trois bonnes séries où les jeunes de 9 à 13 mois emmenées par
Mexicaine de Roupage étaient
majoritaires et dignes d’être sur
les traces de leurs aînées arborant
un chevron provincial.
En série, la championne Loterie
de Roupage, à Collignon, un instant deuxième se voit déplacée à
l’entrée du rappel face à Lunette
de Tohogne à Gaillard. Au 2ème
passage, nouvelle légère difficulté
face à Limpide de Bomal forte de
sa 4e prime de Bruxelles, à Perin
G. et Houard O., qui prend sa revanche provinciale sur Lumineuse
à Gaillard.
Pour Philippe, il se retrouve en
tête du hit parade du concoursfoire par son résultat d’ensemble
mais surtout de ses 1er prix : 5
premiers + 3 deuxièmes + 2 troisièmes : 10 trios sur 16 présences.
Championnat des génisses âgées à Guy Perin
Une seule série organisée (avec
trois participantes) et donc le titre
d’office pour Haicha de l’Ecluse,
en très belle évolution de finesse
et de pureté depuis sa 7ème place
de Bruxelles. Guy en ne présentant
que des associations voit ses 8
présences réparties en 5 premiers
+ un deuxième + un troisième =
7 trios ; il est bien le numéro 1 des
rassembleurs.
Championnat des veaux
mâles à Robert Marenne
Avant le tour de chauffe, les
regards et les stationnements
des juges se positionnent vers les
extérieurs, deux sujets très proches bien équilibrés et aux belles
lignes de viande . L’aîné déjà mâle,
Macouba de la Mandebras à
Marenne, par 4 voix contre 2 ceinture le ruban. Jeunesse et finesse
chez le dauphin, Messager de
Roupage à Collignon. A souligner
la double présence de l’élevage de
la Grande Rose à Philippe Laloi qui
de plus confectionne le couplé-gagnant d’une des trois séries de 9
mois. Quant à Jean-Luc Hubert, il
était aussi de la partie.
par 5 voix contre 1 le champion
Luxueux de Tohogne qui extériorise le mieux les qualités requises
en blanc-bleu : équilibre, rebondis,
épaisseur et lignes de viande. En
série, il avait dû recourir à l’arbitre face à Lauréat des Alleines à
Collard D. et L. Quant au résultat
d’ensemble de Guy, 4 premiers +
5 deuxièmes + 1 troisième = 10
trios pour 12 sujets, il rivalise en
trios avec Philippe Collignon et le
suit à une unité près en 1er prix.
Quant à Libellé d’Izier, à MeischSchmitz, au certain look en pureté
et coiffé d’une belle attache de
queue, il essaya de taquiner le
champion.
Championnat des
taureaux âgés à JeanMarc Perin
Des 4 séries organisées, la seule
des jeunes de 18 à 19 mois est
formée d’un quintet remporté par
Luron, à Guy Gaillard, le plus extrême viandeux du concours mais
fort en difficulté sur la base arrière
gauche. Les trois autres séries
désignent d’office les couplés-gagnant remportés par Lub, à Nicks
et Materne chez les 21 à 22 mois,
Jonaz, à Michaël Gallet chez les
24 à 25 mois qui obtiendra 2 voix
au rappel pour son bel ensemble
viandeux et Journal du Donjon, à
J-M Perin et G. Perin chez les 28 à
31 mois. Premier prix que ce der-
nierl troquera assez facilement en
champion faisant ainsi honneur
à ses anciens premiers prix provinciaux mais aussi descendant
d’un cran à ses deuxièmes prix nationaux . En série pour la énième
fois il rencontrait Junior du Petit
Juju, à Meisch-Schmitz, à l’année
2009 exceptionnelle (champion
concours-foire, 2ème provincial et
5ème Libramont).
Le résultat d’ensemble de JeanMarc se traduit en 2 premiers + 1
Taureaux de 8 mois
Mandarin de la Grde Rose (Imploré) à Laloi Philippe, Vaux-sur-Sûre
Mirador de Steinbach Idéal St.) à Hubert J-L., Limerlé
Magistère de Belle Eau (Ratifié) à Lequeux Frédéric, Sibret
Taureaux de 9 mois bis
Motif de Steinbach (Fier F. L.) à Hubert J-L., Limerlé
Marabout de Renuamont (Amer de M.) à Pierlot E. et P., Tillet
Major de la Hasse (Eclair) à Lequeux J-P., Hamipré
Taureaux de 9 mois ter, série du champion
Macouba de la Mandebras (Hélicon) à Marenne Robert, Léglise
Malin de Sberchamps (Bringelé) à Gallet Pol, Saint-Pierre
Magicien de Roupage (Etna) à Collignon Ph., Ortho
Taureaux de 10 mois, série du champion
Magique de Belle Eau (Impair) à Lequeux Christophe, Vaux/Sûre
Magistral de la Grd Rose (Illégal) à Laloi Ph., Vaux-sur-Sûre
Malin de Renuamont (Grégoire) à Pierlot E. et P., Tillet
Taureaux de 12 mois
Mirador de Wicourt (Germinal) à Zabus L. et Loncin M., Noville
Macadan de Tohogne (Gamin) à Gaillard Guy, Tohogne
Ligament de Renuamont (Germinal) à Pierlot E. et P., Tillet
Taureaux de 14 à 15 mois
Latex du Petit Juju (Orphéon) à Burgraaff A. et Fallay P., Tellin
Limpide de Belle Eau (Ratifié) à Lequeux Frédéric, Sibret
Losange des Alleines (Nocturne) à Collard D. et L., Auby-sur-Semois
Championnat des jeunes
taureaux à Christophe
Lequeux
Pas moins de 7 lauréats de série formaient un rappel bien en
viande dans de l’épaisseur et sous
une taille mitigée de 1ère et 2ème
catégorie. Loin de toute magie,
ce jeune Magique de Belle Eau,à
Christophe Lequeux, dans un look
en finesse, en pureté et arrondis
ceinture le ruban de champion par
4 voix contre 2. Ces voix méritoirement attribuées au puissant grand
et épais Mirador de Wicourt, à
Zabus et Loncin, faisant toujours
honneur à son 1er prix provincial.
A remarquer dans la série des
10 mois bis le couplé-gagnant de
Collignon.
Championnat des
taureaux d’âge moyen à
Guy Gaillard
Le rappel à cinq se présente
plus hétérogène d’où ressort
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deuxième + 1 troisième = 4
trios sur 9 présences.
Et les autres
éleveurs ?
Entrent parmi les trios de
tête en plus des champions
évoqués plus haut, JeanLuc Hubert (5 sur 10), Emile
Pierlot (5 sur 16), Frédéric
Lequeux (5 sur 8), Philippe
Laloi (4 sur 8) et Dany et Luc
Collard (4 sur 14) sans oublier
tous les autres à la moindre
réussite mais combien indispensables à ce beau succès
luxembourgeois.
Taureaux de 15 mois
Libellé d’Izier (Fétiche) à Meisch-Schmitz, Autelbas
Légiste de Tohogne (Empire) à Gaillard Guy, Tohogne
Lorgon D’Ozo (Harisson) à Rouxhet J-Fr., Izier
Taureaux de 24 à 25 mois
Jonaz (Jasmin) à Gallet Michael, Libramont-Chevigny
Label de la Tournée (Défi Coue) à Jacoby, Nicolas, Seron à Beausaint
Génisses de 17 18 mois
Limpide de Bomal (Flash) à Perin G. et Houard O., Grandhan
Lumineuse de Tohogne (Obus) à Gaillard Guy, Tohogne
Loterie du Grand Courty (Occupant) à Otjacques G., Villance
Taureaux de 15 à 16 mois, série du champion
Luxueux de Tohogne (Harisson) à Gaillard Guy, Tohogne
Lauréat des Alleines (Eternel) à Collard D. et L., Auby-sur-Semois
Larron de Glaumont (Germinal) à Wenkin, Bertrix
Taureaux de 28 à 31 mois, série du champion
Journal du Donjon (Graphite) à Perin J-M. et Perin G., Grandhan
Junior du Petit Juju (Fontainebleau) à Meisch –Schmitz, Autelbas
Génisses de 22 à 30mois, série de la championne
Haicha de l’Ecluse (Germinal) à Perin G. et Adams Ann, Grandhan
Loulette de Steinbach (Judoka) à Hubert J-L., Limerlé
Jacinthe de Tohogne (Germinal) à Gaillard Guy, Tohogne
• CHAUSSÉE DE NAMUR, 47 B-5030 GEMBLOUX
• TÉL. : 081/60.00.60 • FAX: 081/60.04.46
• E-MAIL: [email protected]
Taureaux de 21 à 22 mois
Lub de Remichampagne (Fringant) à Nicks et Materne, Hompré
Lougarou du Grand Courty (Fiacre) à Otjacques G., Villance
Génisses de 14 à 15 mois, série de la championne
Loterie de Roupage (Sijka-Zoeloe) à Collignon Ph., Ortho
Lunette de Tohogne (Harisson) à Gaillard Guy, Tohogne
Loupe du Donjon (Dartagnan) à Perin J-M., Grangdhan
Organe de presse
hebdomadaire
de la Fédération
Wallonne
de l’Agriculture
Rédaction : Richard Cydzik, Esteban Jaime, B
ernard Kersten,
Abonnement : Martine Dewez
Editeur responsable:Yvan Hayez,
secrétaire général
Tirage : 22.500 exemplaires distribués dans
toutes les fermes deWallonie
Imprimerie: Centre d’impression de Rhisnes
Prépress: Passe-Partout
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(0
ArsiaInfos
Monatliche Ausgabe der Regionalen Vereinigung der Tiergesundheit und -Identifizierung
N r. 7 1 - J a n u a r 2 0 1 0
Edito
Jeder von Ihnen hat wahrscheinlich schon in seiner Tageszeitung gelesen, dass der Verwaltungsrat der ARSIA anlässlich seiner
Sitzung im Dezember, beschlossen hat, dass die Gesamtheit der Aktivitäten auf den Hauptsitz in Ciney verlegt werden.
D
Interview von S. Lecomte
Aktuelles in Sachen Gesundheit
iese Entscheidung wurde nach sorgfältiger Studie aller Möglichkeiten
getroffen. Die gewählte Lösung ist
schließlich jene, die der ARSIA im Bereich
Infrastruktur und Personal am effizientesten und kostengünstigsten erschien.
Die Entscheidung war nicht einfach zu
treffen, angesichts der möglichen Auswirkungen auf die Mitarbeiter unserer Vereinigung. Sie war jedoch notwendig, wenn
wir der ARSIA den ihr gebührenden Platz
in der Zukunft sichern möchten.
Im Rahmen der neuen Gesundheitspolitik haben die Behörden uns mehr Aktivitäten in der Verwaltung und Begleitung
anvertraut, auf Kosten der Analysen, die
durchgeführt werden könnten. Erinnern
wir daran, dass die offiziellen analytischen
Aktivitäten +/- 60% des Arbeitsvolumens
unserer Laboratorien ausmachen.
Ähnlich verhält es sich bei den neuen
offiziellen Texten bezüglich der Identifizierung, die uns zur Umstrukturierung unserer Dienstleistungen zwingen, um mehr
Begleitaufgaben vor Ort durchzuführen.
Und schließlich, weil das Verwaltungssystem
zur Identifizierung der Tiere ( Sanitrace ), das
zu Lasten der Viehhalter ist (deren Anzahl
kontinuierlich sinkt), ohne eine Änderung, zu
regelmäßigen Erhöhungen der Beiträge/Vergütungen führen wird. Dementsprechend wurde
bereits das CERISE System entworfen, welches
den Viehhaltern erlaubt, eine Reihe von Operationen selbst durchzuführen, die ihnen dann
nicht mehr in Rechnung gestellt werden.
Möchten wir unseren momentanen Stand in
Sachen Verteidigung der Gesundheit und Identifizierung aufrecht erhalten und unsere Dienstleistungen diesen neuen Anforderungen anpassen, so müssen wir noch effektiver arbeiten.
Dies geschieht natürlich durch eine Umstellung und Fusion der Abteilungen, die weniger
Aktivitäten und/oder Personal aufweisen,
durch eine Erweiterung der Abteilungen, die
den neuen Anfragen Folge leisten müssen
und durch eine Senkung der Kosten, die in
Verbindung mit der Anzahl Zweigstellen steht.
Flexibilität und Vielseitigkeit in der Arbeit sind
unerlässlich, um unsere große Anpassungsfähigkeit an alle plötzlichen Zuströme an Arbeit aufrecht zu erhalten. Dies erfordert ein
geografisches Zusammenrücken aller Dienste.
Diese Umstrukturierung wird keine negativen Folgen für die Viehhalter haben, da be-
reits zur Geburtsstunde der ARSIA, im Jahre
2003, alle Niederlassungen beibehalten wurden, dank einer Spezialisierung und der Einführung eines Systems zur Einsammlung der
Proben in der ganzen Wallonie. Ich möchte
ebenfalls daran erinnern, dass das System
« Porto zahlt der Empfänger » bestehen
bleibt und jedem Viehhalter die Möglichkeit
gibt, seine Post an die Identifizierungsdienste zu senden. Das CERISE System ermöglicht
jedem Rindviehhalter die Einregistrierung
aller Ereignisse innerhalb seiner Herde, die
Bestellung von Ohrmarken und sogar den
Ausdruck seines Herdeninventars, und dies,
ohne sich irgendwo hinbegeben zu müssen.
Ich betone, dass wir uns noch am Anfang
des Ablaufs befinden und dass der Verwaltungsrat die Direktion aufgefordert hat,
einen Zeitplan für die Umsetzung dieser
Umgruppierung zu erstellen.
Abschließend möchte ich Ihnen versichern,
dass diese Entscheidung die Effizienz unseres Handels für die Landwirte verstärken
möchte und die Rentabilität des gesamten
Tierproduktionssektors verbessern möchte,
der ja von Jahr zu Jahr abnimmt.
Auch wenn dieses Jahr mit dieser bedeutenden Änderung beginnt, so wünsche ich doch
jedem ein gutes und erfolgreiches Jahr 2010.
Jean Detiffe,
Präsident der Arsia
Grippe A H1N1 und Ansteckung der Schweine
Im Jahr 2009 hat die Pandemie des menschlichen Grippe Virus A H1N1 die Behörden der Volksgesundheit zur Genüge beschäftigt.
Die Behörden, deren Aufgabe die
Tiergesundheit ist, richten Ihre Aufmerksamkeit noch stets auf die Infektionsherde, die weltweit in Schweineherden aufgetreten sind. In der Tat
glauben einige, dass der Ursprung der
Krankheit nicht nur durch die Anwesenheit von « Grippe » Personen in
den Schweinebetrieben bedingt ist.
Diese Feststellungen werfen einige
Fragen auf: welche Art von Überwachung kann in den Schweineherden
eingeführt werden? Welche Vorsorgemaßnahmen können getroffen
werden, um eine Ansteckung mit
dem Grippe Virus A H1N1 innerhalb
der Betriebe zu vermeiden?
Diese Fragen wurden im Rahmen
einer Versammlung der Vereinigung
der Epidemiologie und Tiergesundheit
(AESA) im Dezember letzten Jahres
erläutert. Herr Professor Etienne Thiry,
Virologe der Universität Lüttich und
Herr Dr. Frans Castryck, Tierarzt der
DGZ, der sich auf Schweine spezialisiert hat, leiteten die Präsentationen.
Hier für Sie die wesentlichen Inhalte
Die Grippe Viren,
eine kontinuierliche
Entwicklung
Der Professor E. Thiry gab erst einmal
die nötigen Erklärungen. Die Verständlichkeit der Influenza Viren ist
in der Tat schwierig... Ihre Vielfalt ist
groß und beruht auf den zahlreichen
Formen eines jeden Virus.
Darüber hinaus handelt
es sich um eine «dynamische» Bevölkerung, d.h. in ständiger Entwicklung,
basierend auf dem
vielfältigen Informationsaustausch
der Viren. Genau
diese Fähigkeit ermöglicht ihnen das
Überleben.
Hat sich das Grippe Virus an eine Tierart oder den Menschen
angepasst, kann es die « Artenschranke » überschreiten ( z.B. Geflügel ) und
eine völlig andere Tierart infizieren ( z.
ArsiaInfos 1
B. ein Schwein ).
Asiens Wasservögel stellen die grössten
Reservoirs dar: « eine friedliche Ente, die
sich in ihrem Teich entwickelt, stellt eine
regelrechte « Fundgrube » an Grippe
Viren dar... », erklärt E. Thiry.
Vor allem Geflügel – insbesondere
der Truthahn -, Schweine und der
Mensch sind in Bezug auf die Krankheit gesehen, die empfindlichsten Arten.
Wie entwickelt sich
ein Influenza Virus?
Entweder durch genetische Ableitungen
infolge von Mutationen des Genoms
( oder « Gesamtheit
des
genetischen
Materials eines Individuums oder einer
Gattung » ), oder
durch eine Ergänzung
an Genen, die nur dann möglich ist,
wenn zwei Viren sich begegnen und eine
tiefgreifende Veränderung des Virus hervorgerufen wird.
Im Laufe des letzten Jahrhunderts
mussten die Menschen mehrfach die
Folgen solcher Mutationen erdulden.
Im Jahre 1918: das Virus der gefürchteten spanischen Grippe ist ein Typ
H1N1 und geht aus der Anpassung
eines Vogelvirus an die menschliche
Population hervor. Im Jahr 1957: die
asiatische Grippe breitet sich dank
des Virus H3N2 aus. Im Jahr 1977 erscheint die russische Grippe und mit ihr
das Virus H1N1.
Momentan, im Jahr 2009, sind 3 Grippetypen weit verbreitet: die pandemische Grippe mit dem Virus A H1N1, die
saisonale Grippe mit dem Virus H1N1
( verschieden vom Pandemie-Virus )
und H3N2 und die Vogelgrippe mit
dem Virus H5N1, letztere ist lediglich
auf die asiatischen Länder begrenzt.
Die Schweinegrippe wird durch das
Schweinevirus Influenza A verursacht ( siehe unten )...
Es gibt zwei große Untertypen des Virus : H1N1 ( aviäre Herkunft in Europa )
und H3N2 ( menschliche Herkunft ),
Züchten, herstellen, verarbeiten...die Arsia begleitet Sie !
Die Schweinegrippe
Nach einer kurzen Erläuterung der
Schweinegrippe stellte Herr Dr.
Frans Castryck die Vorsorge- und
Kontrollmaßnahmen vor, die in den
Schweinebetrieben angewandt werden und/oder anwendbar wären, um
die Risiken, die in Verbindung mit
der Anwesenheit des Grippevirus A
H1N1 stehen, vorherzusehen oder,
gegebenenfalls, zu beherrschen.
Die Schweinegrippe übeträgt sich
durch direkten Kontakt, über die Luft
und seltener, durch indirekten Kontakt ( Material, Kleidung,... ). In einem seuchenfreien Schweinebetrieb
kann die Schweinegrippe zu einer
Epidemie werden.
Ein infiziertes Schwein ist geschwächt,
hustet, niest, frißt nicht mehr und hat
Fieber... Die Schwere der Erkrankung
hängt von der Virulänz ab, d.h. von
der Schädlichkeit des Virus.
Bei dieser Krankheit verläuft alles
Empfehlungen an die
Schweinezüchter
Kommen wir zu dem zurück, was die
Epidemiologen in der Tiergesundheit beschäftigt ( wie bereits oben
erwähnt ), und zwar der Übertragung des A H1N1 Virus vom Menschen auf das Schwein, eine mögliche
Übertragung, da sie beinahe überall auf der Welt festgestellt wurde.
Beachten wir jedoch, dass in Belgien
noch kein Fall aufgetreten ist und es
keinen Grund zur Panik gibt...
Unter all den Ratschlägen zur Verringerung der Übertragung, erinnert Herr
F. Castryck erst an die Anwendung
der allgemeinen hygienischen Vorsorgemaßnahmen gegen Krankheiten,
kurz Biosicherheit genannt.
Die Wasservögel stellen die größten
Reservoirs für Grippeviren dar.
werden. Aktuell geschieht dies jedoch nicht.
Wir können und müssen jedoch
auch bei der Übertragung unter
Schweinen eingreifen und bei der
Verbreitung des Virus.
Bei der Einführung eines Tieres in
eine Herde sollte jeder Viehhalter die
sanitäre Situation des Herkunftsbetriebes kennen. Eine anschließende
Quarantäne ist unumgänglich. Laut
Spezialist soll diese 6 Wochen andauern, um nützlich zu sein!
In der Regel achtet der Landwirt
darauf, dass die Hygiene in seinem
Betrieb respektiert wird: begrenzter
Zugang für Außenstehende, systematische Reinigung und Desinfizierung, angepasste Lüftung und Raumtemperatur, usw.
Die Impfung gegen die Schweinegrippe wird nicht routinemäßig durchgeführt. Dieser Impfstoff scheint
nicht sehr wirksam gegen die Übertragung des Virus zu sein.
Die Benutzung des Impfstoffs A
H1N1 beim Schwein wäre nur dann
gerechtfertigt, wenn es einen spezifischen Impfstoff gäbe, der die Übertragung des Virus verringern könnte.
A H1N1 in den
Schweineherden überwachen ?
Auch wenn offiziell nichts in unseren
Betrieben festgestellt wurde, so bleiben dennoch viele Fragen offen...
Sollte die Einführung und Zirkulation
dieses Virus in der Schweinepopulation überwacht werden ? Könnten die
Schweine bei der Verbreitung einbezogen werden ? Wie könnte ein Überwa-
Tabelle 1: Prävalenz der Schweineviren in den Betrieben (%)
Laut Kristien Kristien Van Reeth et alii
Blackwell Publishing, Influenza and Other Respiratory Viruses, 2, 99-105 (2008)
H1N1
80.8%
H3N2
43.2%
H1N2
40.1%
Dann zieht er die Impfungen des
Menschen in Erwägung, gegen die
saisonale Grippe, um das Risiko einer
Gen-Ergänzung zu verringern; gegen
die A H1N1 Grippe, um den Menschen zu schützen und somit auch die
Schweine, indem die Zirkulation des
Virus verringert wird und die Risiken
der Ergänzungen der Gene begrenzt
Éditeur responsable : M. Jean Detiffe, Président de l’Arsia
chungsplan eingeführt werden ?
Der Nachweis der Antigene ist in
jedem Fall notwendig, angesicht
der vorhandenen Bedrohung einer
erhöhten Virulenz beim Menschen
oder beim Schwein ...
Eine « passive » Überwachung der
Anzeichen der Krankheit ist sicherlich wichtig, auch wenn diese oft
ArsiaInfos 2
eher unauffällig sind.
Eine « aktive » Überwachung mit
Blutuntersuchungen zum Nachweis
der Antikörper (die aufgrund der
Anwesenheit des Virus gebildet werden), kann die Schweinegrippe nicht
von der A H1N1 Grippe unterscheiden. Weitere Tests, die den Virus
selbst nachweisen, ermöglichen eine
frühzeitige Erkennung und einen
gezielten Verfolg, unter Berücksichtigung der möglichen Gen-Ergänzungen. Dies ist notwendig, da die
Schweinegrippeviren plötzlich über
ein Pandemie-Potential verfügen
könnten, das dann eine völlig andere
Bedrohung darstellen könnte.
Daher interessiert sich die wissenschaftliche Forschung für die Beantwortung all dieser Fragen und leitet
die ersten Überwachungsmaßnahmen beim belgischen Schweinebestand ein.
Aktuelles in Sachen Gesundheit
Das A H1N1 Virus ist ein
menschliches Virus
Entgegen dem Schweinevirus, hat
das Virus A H1N1 seinen « Ausstieg » geschafft und ist nunmehr
ein menschliches Virus, dies nur zur
Klarstellung... Seine Gene stammen
von 4 verschiedenen Virus-Stämmen:
2 Schweinestämme, ein Vogelstamm
und ein menschlicher Stamm.
Und nun stellt sich seit einigen Monaten heraus, dass dieses Virus andere Arten anstecken kann, bis jetzt
hauptsächlich das Schwein.
Bestätigte Fälle von Schweinegrippe
aufgrund des Virus A H1N1, und somit vom Menschen auf das Schwein
übertragen, wurden in Europa ( Großbritannien, Finnland, Irland, Island,
Italien ), Amerika ( Argentinien, Kanada, USA ), Asien ( China, Hong Kong,
Indonesien, Japan, Taiwan ) und in
Australien festgestellt ( Quellen : ProMed 05/01/2010 ). Zudem hat die
Liste sich seit November auf andere
Tierarten erweitert : nacheinander
bestätigte Fälle bei Katzen in den Vereinigten Staaten und Frankreich, ein
Frettchen, ein Hund, ein Gepard, ein
Truthahn,... Und beim Rind ? Bis jetzt
wurde noch kein Fall festgestellt; das
Risiko ist gering, aber präsent.
schnell: kurze Inkubationszeit - 1 bis
3 Tage -, rasche Ausbreitung... und
schnelle Genesung, zum Glück.
Frans Castryck war der Erste, der den
Stamm H1N1, aviärer Herkunft, als
Verantwortlichen « anzeigte », im
Jahr 1979. Die beiden anderen beteiligten Stämme, H3N2 und H1N2,
wurden später entdeckt.
In 2002-2003 hat eine Studie die
jeweiligen Prävalenzen der drei
Stämme aufgedeckt – anders gesagt
die Anwesenheit – in den europäischen Betrieben ( siehe Tabelle 1 ).
Wie bereits oben erwähnt, ist die
Ansteckung des Menschen durch ein
Schwein außergewöhnlich.
F. Castryck besteht vielmehr auf einer anderen Rolle des Tieres, und
zwar als regelrechter « Schmelztiegel ». Die Zellen des Schweins
enthalten Rezeptoren für die aviären
und menschlichen Stämme des Virus,
wodurch eine gleichzeitige Infektion
von mehreren Stämmen möglich
wird. Solche Mehrfach-Infektionen
scheinen der Grund für neue genetische Kombinationen von Viren durch
deren Ergänzung zu sein. Aber dies
ist nicht nur bei den Schweinen der
Fall! Der Mensch, Geflügel, Katzen,
Frettchen... können ebenfalls diese
Rolle übernehmen
S. Lecomte
der zweite Typ ist nicht so virulent wie
der erste. Ein dritter Untertyp, H1N2,
ist kürzlich in Europa aufgetreten.
Die offizielle Liste der Fälle von menschlicher Infektionen mit dem Schweinegrippevirus A, die seit 1958 aktualisiert wird, weist nur 37 Fälle auf, immer
isoliert. Sie ist jedoch nie ausgetreten,
d.h. sie hat sich nicht explosionsartig
aufgrund eines einzelnen Falls verbreitet. Die Virus-Übertragung vom
Schwein zum Menschen und anderen
Arten gilt somit als selten.
Fassen wir zusammen
Das Auftreten neuer Influenza-A-Viren hat es immer gegeben, Situationen, in denen der Übergang von einer Art zu einer anderen mithilfe der
Ergänzungen der Gene einfach ist.
Beim Menschen treten Infektionen
mit dem Schweinegrippevirus A immer isoliert auf. Manchmal können
sie so erfolgreich sein, dass es zu einem regelrechten Notfall kommt.
Auch umgekehrte Ansteckungen,
vom Menschen auf eine andere Tierart, wie das Schwein, finden statt
und werden momentan beobachtet.
Die Situation in Belgien ist stabil und
bei weitem nicht alarmierend, sowohl
beim Menschen als auch beim Tier,
Vorsicht bleibt dennoch geboten. Die
Spezialisten sorgen sich nicht so sehr
um die Krankheit an sich, sondern
eher um das Risiko des Auftretens von
viel schädlicheren Viren, was durch
den Übergang von einer Art auf die
andere durchaus passieren könnte.
Eine angemessene Überwachung
beginnt mit der Absicht, eine genaue
Diagnose zu erhalten ( Inanspruchnahme des Labors ). Dies geschieht
auch über die Züchter ! Öffnen Sie
die Augen... und zögern Sie niemals,
Ihren Tierarzt zu rufen, auch beim
geringsten verdächtigen Anzeichen
der Krankheit in Ihrem Betrieb.
Tél : 083 / 23 05 15 - mail : [email protected] - Web : www.arsia.be
Sorry der Fehlerteufel hat sich eingeschlichen.
Im Artikel Norbert Kays im Portrait (Ausgabe 3 vom 21. 01.2010) wurde vom Lokalpräsidenten berichtet. Richtig hätte es Regionalpräsident
heißen müssen. Wir bitten unsere Leser um Entschuldigung.
Die Redaktion
D8I:?yJ
La colonne de gauche reprend les dernières cotations disponibles à la clôture du journal. La colonne de droite indique, entre
parenthèses, les cotations du marché précédent. A défaut
d’indication contraire, les prix s’entendent hors TVA.
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9FM@
J
98KK@:<
(2,60-3,10)
(2,40-2,70)
(1,50-2,00)
(1,40-1,60)
(1,25-1,45)
(750-900)
(550-700)
(225-375)
(125-225)
(2,50-3,00)
(2,30-2,60)
(700-850)
(325-525)
(1250-1850)
(1250-1600)
(750-850)
(250-450)
(475-775)
(325-425)
(150-225)
(80-135)
(70-110)
(0-75)
:@E<P
22/01/2010
Nombre d’animaux exposés: 3.509. Bétail maigre et de boucherie: 3.367, 116 veaux et 26 chevaux. Prix du bétail bovin hors
T.V.A. et frais de marché inclus.
a) Bétail maigre: euro/pièce:
I. Veaux:
PN:
0-120
(0-120)
PR:
25-130
(25-130)
BBB ordinaire:
125-375
(125-375)
C.d.p. mâle:
550-790
(550-775)
C.d.p. femelle:
500-675
(500-675)
II. Génisses:
180-250kg: PN/PR:
225-325
(225-325)
BBB culard:
565-765
(565-765)
250-400kg: PN/PR:
375-475
(375-475)
BBB culard:
875-1125
(875-1125)
400-500kg: PN/PR:
415-615
(415-615)
BBB culard:
1115-1400
(1115-1400)
pleines:
1225-1825
(1225-1825)
III. Vaches:
Moyennes, PN/PR:
350-750
(350-750)
E<L=:?8K<8L
16/12/2009
Nombre: 228
Prix à la pièce
Vaches ordinaires:
250-600
Vaches p.n. et p.r.:
100-500
Vaches bonne conform:
350-750
Vaches cdp:
1000-1100
Vaches cdp âgées:
750-1000
Vaches de qualité moyenne:
600-850
Vaches bonne qualité:
750-900
Génisses 10-18 mois:
400-500
Génisses cdp:
700-1000
Taureaux 6-10 mois:
400-500
Taureaux cdp:
800-1050
Têteurs cdp:
700-950
Veaux rouges:
50-150
Veaux noirs-blancs:
25-100
Veaux blancs-bleus:
150-300
Veaux culs de poulain:
400-600
(250-600)
(100-500)
(350-750)
(1000-1100)
(750-1000)
(600-850)
(750-900)
(400-500)
(700-1000)
(400-500)
(800-1050)
(700-950)
(50-150)
(25-100)
(150-300)
(400-600)
Prix au kg
Taureaux 5 à 10 ans:
1,75-2,10
(1,75-2,10)
Commerce stationnaire. Veaux: baisse dans les veaux noirs et
rouges. Prochain marché le 06/01/09. Marché fermé les 23 et
30/12/09.
98JKF>E<
20/01/2010
Nombre: 261
Taureaux ordinaires:
Taureaux cdp âgés:
Vaches ordinaires:
Vaches bonne confor:
Vaches cdp:
Vaches cdp âgées:
Génisses ordinaires:
Génisses cdp:
Prix au kg:
1,00-1,50
1,70-2,10
Prix pièce
250-450
475-650
1050-1500
700-850
300-500
600-750
(1,00-1,50)
(1,70-2,10)
(250-450)
(475-650)
(1050-1500)
(700-850)
(300-500)
(600-750)
'+)*%"&0+0'&,&$"&'"$
Taureaux cdp :
800-1050
Taureaux 6 à 10 mois:
275-475
Jeune veaux:
50-300
Calme. Prochain marché le 27/01/10.
(800-1050)
(275-475)
(50-300)
JK$KIFE;
21/01/2010
Bovins: 130; veaux: 31.
Euro/kg:
Génisses 56%:
1,20-1,41
(1,20-1,41)
58-60%:
1,46-2,11
(1,46-2,11)
63-65%:
2,14-2,59
(2,14-2,59)
cdp 70%:
2,96
(2,96)
Taureaux 55%:
0,98-1,23
(0,98-1,23)
60%:
1,23-1,58
(1,23-1,58)
62%:
1,77-2,03
(1,77-2,03)
assim. :
2,23-2,43
(2,23-2,43)
cdp 67%:
2,33-2,83
(2,33-2,83)
cdp extra hors marché :
3,00
(3,00)
Vaches: 50%
0,81-0,96
(0,81-0,96)
55%
1,31-1,41
(1,31-1,41)
60%:
1,61-1,86
(1,61-1,86)
Bonne conformation:
2,08-2,68
(2,08-2,68)
fabrication:
0,45-0,60
(0,45-0,60)
Euro/pièce:
Veaux cdp extra:
710-760
(710-760)
Veaux cdp 2e cat.:
610-660
(610-660)
BB extra:
335-385
(335-385)
BBB 2e cat.:
210-310
(210-310)
Rouges extra:
135-140
(135-140)
rouges 2e cat.:
90-100
(90-100)
noirs extra:
110-120
(110-120)
noir 2e cat.:
60-90
(60-90)
BB génisses:
110-310
(110-310)
veaux génisses:
35-60
(35-60)
Bovins: marché normal. Veaux: marché normal. Prochain marché: 28/01/2010.
(467,59)
(432,27)
(408,16)
(383,41)
(334,61)
(310,70)
(287,88)
(263,35)
(247,83)
(231,39)
(264,62)
(254,55)
(222,64)
(219,46)
(214,49)
(168,08)
(175,40)
(353,50)
(333,00)
(281,00)
(269,50)
GIF;L@KJ C8@K@<IJ
Cotations de la Confédération Belge
de l’Industrie Laitière
20/01/2010
Prix euro/kg
Beurre
3,04
Poudre de lait écrémé
2,10
Poudre l. écrémé alim anim
2,02
Poudre de lait entier
2,52
Cheddar
2,91
(3,11)
(2,10)
(2,05)
(2,55)
(2,92)
GFI:J
Sem. du 11 au 17 janvier 10
(Entre parenthèses,
les cotations de la semaine précédente)
Porcelets 23kg + supp
37,50
(37,00)
Porcs carcasses 100kg
121,00
(120,60)
$%
#%!
$%
#%!
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20/01/2010
• Poules à bouillir:
extra lourdes (+ 3,5 kg):
0,40-0,42
brunes (1,8 à 2,0 kg):
0,19-0,21
blanches (1,6 à 1,8 kg):
0,15-0,17
• Poulets à rôtir (1,8 kg):
0,87-0,89
• Lapins:
2,15
BIL@J?FLK<D$F<L=J
))
)/aXem`\i)'('
Oeufs de poules élevées en batterie
Prix producteurs
Cat.0: 77,50 g
Cat. 1: 72,50 g
Cat. 2: 67,50 g
Cat. 3: 62,50 g
Cat. 4: 57,50 g
blancs
7,72 (7,64)
6,48 (6,40)
6,00 (5,90)
5,54 (5,42)
5,09 (4,97)
8,32 (8,30)
6,63 (6,59)
5,73 (5,64)
4,67 (4,57)
Oeufs de poules élevées au sol
Prix producteurs
Cat. 0: +77,50 g
Cat. 1: 72,50 g
Cat. 2: 67,50 g
Cat. 3: 62,50 g
Cat. 4: 57,50 g
Cat.5: 52,50 g
Cat. 6: 47,50 g
Cat. 7: 42,50 g
XL + 73 g
L + 63-73 g
M + 53-63 g
S - 53 g
blancs
12,97 (12,58)
11,73 (11,34)
11,13 (10,82)
10,46 (10,23)
9,46 (9,28)
5,08 (4,99)
4,49 (4,45)
3,99 (3,95)
Prix négoce
13,47 (13,08)
11,63 (11,32)
9,96 (9,78)
4,79 (4,75)
bruns
13,18 (12,93)
11,94 (11,69)
11,32 (11,09)
10,63 (10,43)
9,59 (9,42)
5,18 (5,14)
4,52 (4,42)
4,25 (3,94)
13,68 (13,43)
11,82 (11,59)
10,09 (9,92)
4,82 (4,72)
M<><K
9ILO<CC<J
Sem. du 14 au 20 janvier 2010
(Prix livr. usine E/tonne )
Blé panifiable
128,00
Blé fourrager
126,00
Escourgeon fourr
109,00
(132,00)
(130,00)
(110,00)
26/01/10
(Prix culture en E/tonne )
Prix des céréales payés aux producteurs, communiqués par l’association des négociants en céréales. Prix purement indicatifs
susceptibles d’importantes variations régionales.
Ces prix sont adaptés plusieurs fois par semaine.
Blé fourrager
98,50
(101,00)
Blé meunier (1)
100,50
(103,00)
Escourgeon fourr
83,00
(84,00)
Maïs indigène
113,50
(115,00)
Maïs humide
69,00
(70,00)
(+/-E/T/30% humidité)
3,00
(3,00)
(1) proteïnes: 12 - Zeleny: 35 - Hagberg: 220
D8K@<I<JGI<D@<I<J
8C@D<EK8K@FE9<K8@C
20/01/10
Prix par 1000kg en vrac hors TVA, départ négoce
Pulpes sèches bett. 8mm Fr
120
Luzerne 18% pellets 6mm Fr
147
Tourteau Tournesol 28% Arg
172
Tourteau colza 34% Belg
215
ourteau soja 43% Arg
328
Tourteau soja 44% Holl
318
Tourteau soja 48% OGM contrôlé Brés 387
Tourteau soja 49% Belg
338
Tourteau lin 40% Belg
328
Glutenfeed maïs 22% EU
160
Manioc Thaïlande
146
Mélasse cannes
178
(120)
(148)
(170)
(215)
(321)
(311)
(381)
(330)
(330)
(154)
(146)
(178)
:?@:8>F
19/01/2010
1ère col.: en cents/boisseau pour les céréales (1 boisseau = 27,2
kg en froment; 25,4 kg en maïs) et en $/907 kg pour le tourteau
de soja; 2ème col.: prix de la semaine précédente en euros.
Froment
500,50
128,63
(135,79)
Maïs
36950
101,88
(106,80)
Tourteau Soja
290,90
224,61
(224,92)
24/01/2010
Cours des graines oléagineuses et tourteaux sur les marchés
mondiaux, en $/tonne.
Soja
Graines U.S. Cif. Rotterdam:
422
(439)
Graines Arg. Cif. Rotterdam:
402
(421)
Pellets 44,46% Arg. Cif. Rotterd.:
398
(409)
Pellets 48% Brésil Cif.Rotterdam:
403
(414)
Colza
Graines Europe “00” Cif. Hamb:
399
(408)
Tourteaux 34% Fob Hambourg:
240
(246)
Lin
Graines Canada Cif. Europe:
650
(650)
Tourteaux 36% Allemagne:
442
(442)
GFDD<J;<K<II<
(0,40-0,42)
(0,19-0,21)
(0,15-0,17)
(0,87-0,89)
(2,15)
26/01/2010
Prix euro/100 pces
',)'+&")*()0-"*"'&*($,*0+"$$0*+,$"*0*+(+0*/-'+))0 "'&'%('*.$
XL + 73 g
L + 63-73 g
M + 53-63 g
S - 53 g
4,83 (4,79)
4,37 (4,27)
4,10 (3,79)
@EK<IE8K@FE8C$FCy8>@E<LO
M@8E;<GFI:@E<
8M @ :LCK
!
4,73 (4,64)
4,34 (4,30)
3,84 (3,80)
Prix négoce
8,22 (8,14)
6,50 (6,40)
5,59 (5,47)
4,64 (4,60)
JPE8>I8
:8I:8JJ<J;<>IFJ9FM@EJ
Sem. du 11 au 17 janvier 10
(Entre parenthèses,
les cotations de la semaine précédente)
Taureaux de moins de deux ans
A - S2
467,97
A - S3
432,28
A - E2
410,89
A - E3
384,01
A - U2
336,00
A - U3
312,67
A - R2
288,92
A - R3
263,55
A - O2
248,12
A - O3
234,74
Vaches
D - R2
269,15
D - R3
255,84
D - O2
230,81
D - O3
223,51
D - O4
216,53
D - P2
188,42
D - P3
178,21
Génisses
E - U2
356,00
E - U3
335,50
E - R2
283,50
E - R3
272,50
Cat. 5: 52,50 g
Cat. 6: 47,50 g
Cat. 7: 42,50 g
8LO
23/01/2010
Nombre de bovidés: 495
CATEGORIE BOUCHERIE:
• euro/kg :
Taureaux:
C.d.p.:
2,60-3,10
assimilés:
2,40-2,70
bonne conformation
1,50-2,00
60%:
1,40-1,60
poids lourds:
1,25-1,45
• euro/tête:
Vaches:
Bonne conformation
750-900
1ère catégorie 45%:
550-700
2ème catégorie 40%:
225-375
de fabrication:
125-225
Génisses (euro/kg):
c.d.p.:
2,50-3,00
Assimilées.:
2,30-2,60
Bonne conformation:
700-850
Ordinaires:
325-525
Plus calme.
CATEGORIE COMMERCE:
• euro/Tête:
Vaches c.d.p. -5 ans:
1250-1850
Vaches c.d.p. +5 ans:
1250-1600
Bonnes vaches ordin aires:
750-850
Vaches ordinaires:
250-450
Veaux cdp:
475-775
Veaux blancs bleus:
325-425
Veaux Bleus Holstein:
150-225
Veaux rouges:
80-135
Veaux noirs bonne qualité:
75-110
Veaux noirs moyenne qual.:
0-75
Calme. Stationnaire sauf cdp.
mixtes cat.II:
800-950
(800-950)
mixtes cat. I:
950-1100
(950-1100)
C.d.p. 2 à 4 ans:
1000-2075
(1000-2075)
âgées:
900-2000
(900-2000)
IV. Taureaux:
Ordin.: 180-250kg:
275-530
(275-530)
250-320kg:
505-600
(505-600)
320-370kg:
540-660
(540-660)
370kg et +:
625-765
(625-765)
Assimil.: 180-250kg:
700-850
(700-850)
250-320kg:
825-975
(825-975)
320-370kg:
1025-1125
(1025-1125)
370kg et +:
1075-1275
(1075-1275)
C.d.p.: 180-250kg:
900-1050
(900-1050)
250-320kg:
1050-1200
(1050-1200)
320-370kg:
1200-1300
(1200-1300)
370kg et +:
1325-1450
(1325-1450)
b) Bétail de boucherie (prix/kg)
I. Vaches:
Fabrication:
0,95-1,15
(0,95-1,15)
50%:
1,20-1,40
(1,20-1,40)
55%:
1,40-1,60
(1,40-1,60)
assimilés:
2,15-2,40
(2,15-2,40)
cdp
2,60-2,80
(2,60-2,80)
II. Taureaux:
55%:
1,65-1,85
(1,65-1,85)
60%:
1,90-2,10
(1,90-2,10)
assimilés
2,60-2,80
(2,60-2,80)
C.d.p.
2,80-3,25
(2,80-3,25)
On sent l’offre plus abondante, plus calme taureaux cdp et
vieilles vaches. Stationnaire pour autres catégories. Prochain
marché: vendredi 29/01/10.
bruns
7,82 (7,80)
6,58 (6,56)
6,13 (6,09)
5,63 (5,58)
5,23 (5,14)
26/01/2010
Bintjes: Le marché est calme ; et les prix se maintiennent difficilement. L'offre est en hausse. Certains acheteurs industriels
temporisent. L'export vers les pays de l'Est se poursuit, mais à
plus faible allure. L'industrie belge tourne à plein régime, utilisant cette semaine surtout des variétés autres que Bintje.
Les prix observés varient entre 6,50 et 7,00 E/100 kg (tout venant, vrac, fritable, départ, hors TVA).
Plant de Bintje: plant hollandais en légère hausse, sous l'effet
combiné semble-t-il d'une réduction de l'offre de la part des
producteurs de plants et d'un meilleur intérêt pour Bintje des
producteurs de consommation qui comparent avec les prix des
variétés sous monopole. Bintje, classe A, rendu mars 2010, par
5 tonnes, en sacs, hTVA:
- calibre 28-35 mm: entre 47,00 et 49,00 E/100 kg;
- calibre 35-45 mm: entre 32,00 et 34,00 E/100 kg.
8><E;8
MARDI 16 FEVRIER
SR VERVIERS: en collaboration avec le Contrat Rivière Vesdres: «Mise
aux normes des citernes à mazout» et «Actualités agricoles» par Isabelle
Jaumotte, conseillère au service d’études de la FWA. A 20h salle Charlemagne
à Henri-Chapelle.
SAMEDI 20 FEVRIER
SL NIVELLES GENAPPE: à 19h30 à la salle communale de Ophain,
grand souper de l’Agriculture organisé par la FWA et l’UAW. Participation
aux frais: 45 euros; inscriptions avant le 16/2 chez O. Cap (0477/908.218), E.
Pussemier (067/21.27.19 - fax 067/220.667) ou Tégias (067/21.61.01 - fax
067/220.963)
MARDI 2 FEVRIER
SL SOIGNIES-LENS ENGHIEN-LE ROEULX: à 20h, au Cercle St-Martin
, Grand Place à Horrues. Soirée d’information et de débat au sujet de la
Politique Agricole Commune et de son avenir avec Marc Tarabella, député
européen et Yves Somville directeur du service d’études de la Fédération
Wallonne de l’Agriculture.
FEDERATION DES JEUNES
AGRICULTEURS (FJA)
MERCREDI 3 FEVRIER
SR PHILIPPEVILLE: à 20h précises à la Brasserie des Fagnes, route de
Nismes à Mariembourg, rencontre-débat sur «la crise laitière: bilan 2009,
perspectives 2010, et après 2015???» avec la participation des ministres fédéraux et régionaux de l’agriculture, des directeurs des laiteries coopératives
wallonne et des représentants des diverses organisations agricoles
VENDREDI 29 JANVIER
FJA WPJ: Election du Comité de la Section Locale à 20h. A la salle Jacquet,
rue Vinaudrée 6 à 1370 Jodoigne-Souveraine.
FJA MERBES-BINCHE: Election du Comité de la Section Locale à 20h.
FJA PROVINCIALE DU LUXEMBOURG: Election du Comité de la
Section Provinciale à 20h. A la salle de Boeur, à côté de l’Eglise de Boeur à
6662 Tavigny. (ATTENTION AU CHANGEMENT).
FJA ANDENNE: Election du Comité de la Section Locale à 20h. A la salle
de l’Ecole Communale, rue Chéfaid 13 à 4500 Solières.
JEUDI 4 FÉVRIER
SR VERVIERS: de 9 h30 à 15 h30 au Charlemagne, à Henri-Chapelle, «La
PAC et de la régulation du marché laitier après quotas» par Monsieur Renard,
membre du groupe des experts européens de haut niveau + «Le financement
du comité et le pouvoir des agriculteurs».par Messieurs Piraux et Marchal,
directeur et président du comité du lait, Le terme «qualité» sera reformulé et
dépoussiéré. Une collation étant prévue à midi, une réservation est demandée jusqu’au 1 février inclus, chez JP Renglet au 087/678792
SL HOUFFALIZE BASTOGNE FAUVILLERS: «Les aides à l’investissement et à l’installation» par Isabelle Jaumotte, conseillère au service d’Etudes de la FWA, et «les mesures agri-environnementales». A 20h à la salle de
Rachamps.
SAMEDI 30 JANVIER
FJA CINEY: Soirée Jup’ dès 21h30, au Grand Manil de Saint-Germain.
Ambiance assurée par la sono DAX.
VENDREDI 5 FEVRIER
FJA MALMEDY: Election du Comité de la Section Locale à 20h à Café
Scotch-Inn, Place Albert 1°, 11 à 4960 Malmédy.
FJA CINEY: Election du Comité de la Section Locale à 20h.
FJA SILLY: Election du Comité de la Section Locale à 20h. A la Taverne du
Vieux Moulin, Chaussée de Ghislenghien 44à 7830 SILLY
LUNDI 8 FEVRIER
SR CHARLEROI: Agriculture et environnement, le point sur les différentes
réglementations par Isabelle Jaumotte et Séverine Van Waeyenberge. A 20h
à la salle de Mont-à-Goût à Gouy.
SL GEDINNE: Réunion sur la PAC lissage, perspectives par René Vansnick.
A 20h à la salle de la Tannerie, rue A. Marchal à 5575 Gedinne.
SAMEDI 6 FEVRIER
FJA BLEGNY: Souper dès 19h30 «Au bienvenue» à Cerexhe. 18euros
pour les adultes et 10euros pour les enfants de moins de 12ans. Réservations
chez François Snoeck au 0498/24.58.71.
FJA WPJ: soirée pompier en la ferme du Grand Manil à Saint-Germain.
FJA ATH FLOBECQ: Souper annuel à l’école Communale de Mainvault.
16eur adultes, 10eur enfants de 6 à 12ans, gratuits pour moins de 6ans.
Réservations avant le 1er février auprès de C. Oupet 0472/20.71.76,
M-C Dobbelaere 0474/25.91.12, J. Dubois 0478/45.65.25, H. Morelle
0474/71.21.31, A.Vandenpoorte 0495/54.50.87 après 19h.
FJA SOIGNIES: Car pour le Mac Queen à Hasselt 15euros.
0498/31.60.34
MERCREDI 10 FEVRIER
SR HAINAUT: Réunion sur l’avenir de la PAC «Lissage et régionalisation»
par Yves Somville. A 19h30 au Café St Léger à 7070 Gottignies.
JEUDI 11 FEVRIER
SR NAMUR: Réunion sur les aides à l’investissement dans le secteur agricole par Isabelle Jaumotte. A 20h à la maison de l’agriculture et de la ruralité,
chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux.
SR LIBRAMONT CHEVIGNY: Conférence «les conditions impératives
pour obtenir un revenu décent» par Bernard Maréchal du CGTA. A l’institut
St-Joseph de Libramont (rue de Bonance 11) à 19h30.
SR CHARLEROI: La position de la FWA dans l’actualité et la crise agricole
par Yvan Hayez, et Bilan de santé et PAC (lissage, régionalisation, position
de l’Europe et de la FWA) après 2013 par Alain Masure. A 20h, à la salle
Communale de Thirimont, Place de Thirimont 3.
SL HANNUT: à 20h, conférence en la salle du Bowling de Hannut, rue de
Huy 1. «Modifications et mises aux normes concernant les cuves à mazout,
les pistolets, les aires de remplissage et les différentes législations selon les
quantités» par M. Wouez de Nitrawal
VENDREDI 12 FEVRIER
FJA PROVINCIALE DE NAMUR: Election du Comité de la Section
Provinciale à 20h.A la maison de l’agriculture et de la ruralité, chaussée de
Namur 47 à 5030 Gembloux.
VENDREDI 19 FEVRIER
FJA ATH: Soirée Open Bar chez Dejonckeere-Peeters, rue du Bois de Ville
2 à 7950 Vaudignies.
La FJAVous
deinviteSENEFFE
à sa
La FJA de CINEY
soirée du Nouveau Comité
le samedi 30 janvier
SOIRÉE JUP’
A le plaisir de vous inviter à sa
le 30 janvier 2010 dès 21h30
Au grand manil de Saint-Germain
Ambiance assurée par Sono Dax
Rue du Progrès 2 à 1400 Nivelles
Possibilité de se faire membre
www.soireefja.be
Le comité décline toutes responsabilités
en cas de vols, pertes ou accidents.
ème Carrefour
15
Les frais de participation s’élèvent à 60eur/personne
(inscription, brochure et café).
Toutefois, pour les agriculteurs s’inscrivant via la FWA,
l’inscription est gratuite.
Pour bénéficier de ces conditions,
retournez le présent bulletin d’inscription à la FWA,
par courrier (chaussée de Namur 47 à 5030 Gembloux), fax (081/600.446)
ou e-mail ([email protected]), pour le 3 février au plus tard.
des Productions Animales
«La Science dans l’élevage du futur:
entre avancées scientifiques et enjeux humains»
Mardi 9 février 2010 - Laxou (Nancy - Lorraine)
Journée transfrontalière d’échange
en agritourisme et produits de la ferme
Journée d’échanges sur la diversification (témoignages d’agriculteurs, interventions
d’experts et débats), organisée de 9h30 à 17h30 à la Chambre d’Agriculture de
Meurthe-et-Moselle, dans le cadre du partenariat Lorraine, Wallonie et Grand Duché
du Luxembourg sur la valorisation des structures agricoles transfrontalières.
99986392/0410 plc jht
VENDREDI 28 JANVIER
SR LIBRAMONT CHEVIGNY: Conférence sur «l’agriculture wallonne en
péril», par Benoît Lutgen, Ministre régional de l’agriculture. A 19h30, à l’Institut Saint-Joseph, rue de Bonance 11 à Libramont.
Programme de la journée
De 10h00 à 12h00 : Participation à 2 ateliers au choix
Atelier 1 : Développement de circuits touristiques et partenariats pour proposer des offres packagées à des groupes (Présentation de l’expérience wallonne d’Agritour ; attentes de la clientèle)
Atelier 2 : Hébergements à thème, les plus développés par les agriculteurs
(qualification de l’offre et témoignages d’agriculteurs en illustration)
Atelier 3 : Produits de la ferme : développement des circuits courts (témoignage d’un agriculteur en AMAP ; magasin de vente à la ferme ; Restauration collective)
Atelier 4 : Utilisation des outils de promotion Internet (Intervention du chef
de projet multimédia Bienvenue à la Ferme ; témoignages d’agriculteurs lorrains
et wallons)
De 12h00 à 14h00 : Buffet fermier transfrontalier de Saveurs Paysannes
14h00 à 15h30 : Débat : Comment adapter son offre face aux nouvelles attentes
de la clientèle ?
15h30 : Synthèse des échanges et orientations régionales 2010
16h00 : Témoignage des actions agritouristiques transfrontalières menées dans le
cadre de la Grande Région entre le Nord-Pas-de-Calais, la Wallonie et la Flandre «
Accueil à la Ferme Transfrontalier »
16h30 : Lancement du concours transfrontalier de l’innovation en agritourisme et
produits du terroir : IDEA (Innovation Diversification Europe Agritourisme)
Inscriptions avant le 29 janvier 2010: Accueil Champêtre en Wallonie,
081/627.458 ou [email protected]. Coût : 10,00` pour les frais de repas.
Car au départ d’Arlon ou co-voiturage en fonction du nombre de participants.
;DGB6I>DC
« Calculer son prix de revient »
Il n’est pas toujours facile de calculer le prix de revient d’un produit,
somme des charges liées à l’achat, la production et à la distribution
de ce produit.
Dans le cadre d’un projet d’échange transfrontalier Interreg IV A
Wallonie-Lorraine-Luxembourg « Valorisation des structures agricoles en région transfrontalière », nous vous proposons une formation
d’une journée pour tenter d’y voir plus clair.
Mercredi 10 février de 9h à 17h
L’Etable de la Fontaine – 262 avenue de la Rosière, 6730
Bellefontaine www.etabledelafontaine.be
La formation sera dispensée par M Olivier Decker du Centre
ALPA de Lorraine ainsi que par un comptable du Centre de
Gestion et de Techniques agricoles. N’hésitez pas à vous munir d’une calculatrice et de vos chiffres si vous le souhaitez !
La participation aux frais est de 7,5 ` par personne à payer
sur place.
L’inscription préalable auprès d’ACW ou de la FJA est obligatoire, par mail ([email protected] ou olivier.schiffl[email protected]), fax (081/627.450 ou 081/600.527), téléphone
(081/600.060) ou courrier (chaussée de Namur 47 à 5030
Gembloux).
99986390/0410 PLC JHT
FEDERATION WALLONNE
DE L’AGRICULTURE (FWA)
Nom et prénom :............................................................................................
Adresse complète :........................................................................................
vendredi 29 janvier
n° de producteur :..........................................................................................
à 13h45 à l’Ecole
Technique Provinciale
d’Agriculture de Ciney
O Je participe au 15ème carrefour des Productions Animales.
O Je réserve un repas. Je m’acquitterai sur place d’un montant
supplémentaire de 25E
Signature
99986378/0410 PLC JHT
(Restaurant du Domaine de St-Quentin à 5590 CINEY).
99986376/0310 PLC JHT
..........................................................................................................
Gembloux Agro-Bio Tech
et Centre wallon de Recherches agronomiques
« Europe et Agriculture font-elles encore bon ménage ?»
GEMBLOUX (Espace Senghor)
Mercredi 10 février 2010
par José RENARD, Inspecteur général au Département des Politiques
Européennes et des Accords Internationaux de la DGARNE
et Yves SOMVILLE, Directeur du Service d’étude de la FWA.
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)*
8><E;8
UAW MONT ST GUIBERT WAVRE PERWEZ: 13H30 MONT ST GUIBERT
– Maison des loisirs. ‘La maladie d’Alzheimer’ par Sabine Henry, présidente
européenne et le Dr. Jacques Maquils
UNION DES AGRICULTRICES
WALLONNES (UAW)
MARDI 02 FEVRIER
UAW PROVINCE DE NAMUR: 13H30 CINEY bâtiments de l’AWE, 4, rue
des Champs Elysées. Goûter de l’an avec une après midi contée ‘Les Contes
variés et légers’ par la Maison des Contes de Namur. PAF 5 euros pour le goûter. Inscriptions chez M.Lambillon 081/627 493 – 0497/57 71 32.
UAW LA ROCHE: 20H00 LA ROCHE à la salle de la Piscine. ‘L’Ostéopathie’
par Benoît Gérard.
MERCREDI 03 FEVRIER
UAW EGHEZEE: 19H30 LEUZE à l’Esderel. ‘Bricolage: garnissage d’un
héron’ PAF 15 euros. Places limitées! Inscriptions chez B. Van Vynckt 081/51
12 74.
JEUDI 04 FEVRIER
UAW SOIGNIES: 11H00 HENNUYERES – Eglise Ste Gertrude.
Traditionnelle fête de Ste Brigitte, suivie d‘un déjeuner dans la salle du cercle
en face de l‘église. (Apéro-sandwichs-tartes-café à volonté). PAF 10 euros
membres – 13 euros non-membres.
SAMEDI 06 FEVRIER
UAW PERUWELZ LEUZE ANTOING: Souper aux fromages 20H00
PIPAIX 11, Place à la salle ‘Les Glycines’. Apéritif – buffet fromages – jambon
à l’Os – desserts maison. PAF 16 euros adultes – 6 euros enfantsde – de 12
ans. Réservez chez C. Platteuw 069/66 34 56 – R. Platteuw 069/66 27 27 – R.
Cossement 069/7741 81 – M. Stubbe 069/67 10 28 – F. Bontemp 069/77
22 43 – V. Deconinck 069/77 16 80 – E. Walschap 069/77 19 49 – C. Maes
069/44 23 57.
LUNDI 08 FEVRIER
UAW DALHEM FEXHE: 20H00 DALHEM à la salle paroissiale. ‘Comment
bien manger pour bien vieillir’ par Mme Schynts-Nihant, diététicienne.
UAW DISON LIMBOURG: 13H30 DOLHAIN au Café ‘Le lierre’ place
Léon d’Andrimont. ‘Agricultrice et citoyenneté’ par Brigitte Huet.
MARDI 09 FEVRIER
UAW PHILIPPEVILLE WALCOURT COUVIN FLORENNES: 13H30 endroit à déterminer. ‘La lutte IBR’ par Jean-Yves Houtain de l’ARSIA.
UAW REGIONALE DE TOURNAI PERUWELZ DOTTIGNIES: 19H30
DOTTIGNIES à la Ferme des Jeunes. ‘Aménagement des cours de fermes’.
JEUDI 11 FEVRIER
UAW TOURNAI: 13H30 BLANDAIN au Club de l’Amitié. Atelier chocolat
avec ‘La Fée Cabosse’ sur le thème de la St Valentin. PAF 14 euros (intervention de la caisse). !!Places limitées!!! Inscription chez Mireille Desbruyères
069/35 29 70
UAW BOUSSU DOUR: 19H30 THULIN – salle Roi Baudouin. ‘Technique
du pochoir sur toile et collage de serviette’ par Mme Betina Manfroid de
Angre.
UAW FERRIERES LOUVEIGNE: 13H30 SPRIMONT au Café du Parc
– rue du centre. ‘Gérer notre environnement en évitant le gaspillage dans
nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands-mères’ par Myriam
Lambillon.
JEUDI 18 FEVRIER
UAW PLOEGSTEERT COMINES WARNETON: 13H30 PLOEGSTEERT à
la salle paroissiale. Comment préserver notre environnement dans nos maisons grâce aux trucs et astuces de nos grands mères’ par Myriam lambillon.
Suivi du goûter de Nouvel An.
MARDI 23 FEVRIER
UAW BRABANT: Journée Provinciale du Brabant 9H30 à THOREMBAIS
LES BEGUINES, Ferme du Mont – 1B, rue Mayeur. ‘Aider à la transmission
d’une exploitation...une réflexion approfondie s’impose!’ Interlocuteurs:
Anne-Sophie Janssens, conseillère juridique à la FWA - Christine Le Borne,
conseillère fiscale à la FWA – Maître Etienne Beguin, Notaire – Michel
Hoyaos, Chargé des relations agricoles au CA et intervention du ministre
André Antoine, vice-président et Ministre régionale du budget, des finances,
de l’emploi et de la formation (sous réserve). Repas 4 services pour 25 euros
(boissons comprises).. Renseignements et réservations auprès de Brigitte
Huet 081/60 00 60 avant le 15 février.
UAW ATH FRASNES: 13H00 OSTICHES – salle du Blanc Moulin. ‘Les cycles; clés pour un nouveau temps’ par Martine Henkart.
JEUDI 25 FEVRIER
UAW REGIONALE DE TOURNAI PERUWELZ DOTTIGNIES
MOUSCRON: 13H30 BLANDAIN au Club de l’Amitié. ‘Opération par coelioscopie’ par le Dr regis Degola (chirurgie digestive et générale).
UAW MALMEDY: 13H30 FAYMONVILLE, 1 rue Géréon. ‘Préserver son environnement en évitant le gaspillage dans nos maisons grâce aux trucs et
astuces de nos grands-mères’ par Myriam Lambillon.
DIVERS
VENDREDI 29 JANVIER
CINEY: à 13h45 au restaurant de l’école technique provinciale d’agriculture, domaine de St Quentin, réunion d’information de la Chambre d’agriculture de la province de Namur: «Europe et agriculture font-elles encore bon
ménage» (avenir de la PAC, DPU, lisage....) par José Renard (DGARNE) et
Yves Somville (FWA)
SAINT LEGER: à 19h30, salle le Cadichon, réunion annuelle de l’Alliance
betteravière de Dottignies et environs. Les comptes betteraves par André
Coudyzer (Comité de coordination du Hainaut) et Exigences pour l’agréation
d’un produit phyto par Christian Walravens
SAMEDI 30 JANVIER
BAILEUX: à 10h, traditionnel concours BBB , buvette et BBQ. Rens secrétariat 060/219.803 ou 0499/364.038
SAMEDI 30 ET DIMANCHE 31 JANVIER
RESSAIX: salle le Starter, avenue Larock, 2, exposition d’animaux de
basse-cour (lapins, volaille, pigeons...) organisée par l’AWEABC. Infos:
064/331.273
LUNDI 1 FEVRIER
GEMBLOUX: à 14h à l’Espace Senghor, réunion d’hiver organisée par la
Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB
CINEY: à 19h à l’AWE, champs Elysées, 4, réunion d’hiver organisée par la
Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB
MARDI 2 FÉVRIER
WAREMME: à 14h à l’IPES, chaussée de Huy, réunion d’hiver organisée
par la Raffinerie Tirlemontoise en collaboration avec l’IRBAB
Assenois (Vaux-sur-Sûre): à 20h à la salle du village «Le Tram», assemblée générale du comice de Bastogne-Sibret-Fauvillers. Infos : 061/266188
–0498/737367.
CCalendrier de collecte des plastiques et bidons agricoles de février-mars 2010
Plastiques agricoles
et déchets infectieux/toxiques
)+
Arlon
Attert
Aubange
2 et 3 février
23 et 24 février
4 et 5 février
Bastogne
Bertogne
Burg-Reuland
Bütgenbach
Chiny
Daverdisse
Durbuy
du 15 au 19 mars
23 et 24 mars
9 et 10 février
11 et 12 février
2 et 3 mars
11 et 12 mars
4 et 5 mars
Erezée
Etalle
Fauvillers
Florenville
Gouvy
Habay
Herbeumont
Hotton
Houffalize
La Roche-en-Ardenne
La Roche-en-Ardenne
La Roche-en-Ardenne
Léglise
Libramont
Malmedy
Manhay
Marche
Meix-devant-Virton
23 et 24 février
25 et 26 février
16 et 17 février
9 et 10 mars
23 et 24 mars
11 et 12 mars
9 et 10 mars
18 et 19 février
2 et 3 mars
23 et 24 février
23 février
24 février
9 et 10 février
18 et 19 mars
25 et 26 mars
9 et 10 mars
25 et 26 mars
11 et 12 février
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Service Travaux,
rue des Cristaux, 26A à Aubange
Parc à conteneurs de Noville
Parc à conteneurs (Barrière Hinck)
Parc à conteneurs à Oudler
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs à Haut-Fays
Quai communal
(en face du parc à conteneurs)
Parc à conteneurs
Atelier communal - zoning du Magenot
Parc à conteneurs de Warnach
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs (Courtil-Halconreux)
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs à St-Médard
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Bérismenil (terrain de football)
Ronchamps (Parking Larden)
Parc à conteneurs à Wittimont
Parc à conteneurs de Presseux
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs à Vaux-Chavanne
Parc à conteneurs de Waha
rue de Launoy, 36 à Meix-dt-Virton
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Messancy
Musson
Nassogne
Paliseul
Rendeux
Rouvroy
Sainte-Ode
Saint-Hubert
Saint-Léger
Stavelot
Stoumont
Tenneville
Tintigny
Trois-Ponts
Vaux-sur-Sûre
Vielsalm
Vielsalm
Virton
Waimes
Waimes
Wellin
18 et 19 février
16 et 17 février
16 et 17 mars
23 et 24 mars
3 et 4 mars
4 et 5 mars
9 et 10 mars
4 et 5 mars
2 et 3 mars
23 et 24 mars
16 et 17 février
16 et 17 mars
9 et 10 février
25 et 26 février
25 et 26 mars
11 mars
12 mars
16 et 17 mars
3 février
4 février
23 et 24 février
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs à Dampicourt
Parc à conteneurs (Barrière Hinck)
Parc à conteneurs à Arville
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Ancienne gare de la Gleize
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs à Ville-du-Bois
Salle RJVH à Herbonval
Parc à conteneurs de Dampicourt
Parc à conteneurs de Waimes
Parc à conteneurs de Sourbrodt
Parc à conteneurs
MERCREDI 3 FEVRIER
GEMBLOUX: à partir de 8h30 à l’Espace Senghor: «(R)évolution dans les
assiettes», journée consacrée à l’alimentation visant à rétablir le lien entre
agriculteurs et consommateurs. Renseignements; FSAGx, 081/62.23.65 ou
70, www.fsagx.ac.be/eg/
THIEUSIES: à 13h30 à la Ferme du Rotteleur, rue de la Procession, 49,
réunion d’hiver organisée par la Raffinerie Tirlemontoise en collaboration
avec l’IRBAB
VALENDER: um 13 Uhr Studienring Ökotrend: Betriebsbesichtigung bei
Müller Jürgen. Es ergehen persönliche Einladungen
BOIS-DE-LESSINES: à 19h30, en la salle* du Club Animation, Place
communale à Bois-de-Lessines, assemblée Générale. «Quel regard porter sur
la conjoncture économique en production laitière belge, au cours de cette
année 2010?» par Filip JAMART d’Agro Consulting & Services. Organisée par
le Comice de Lessines
JEUDI 4 FÉVRIER
GAURAIN-RAMECROIX: à 14h, à l’Auberge «Le Candel» rue Gros
Fidèle, 21: Produits phyto, quels changements pour l’agriculture ? En votant
le «Paquet pesticides» le Parlement européen donnera un nouveau visage à
l’agriculture de demain, mais à quel prix ?
CHIEVRES: à 14h à la salle communale, place de Chièvres, 2, réunion
organisée par Nitrawal sur les cuves à mazout (aménagements à réaliser,
échéances...).
VENDREDI 5 FEVRIER
SOIGNIES: à 19h, au «Moulin d’Emile», chaussée d’Enghien
235, assemblée générale (suivie d’un souper) du comice de Soignies.
«Stockage des hydrocarbures» par M. Khalidi (Nitrawal), «Fertilsation
et variétés en maïs» par M. Oost (CIPF). Inscriptions: M. Gauthier
(067/561.403 - 0475/878.540) ou J. Clompen (067/332.838)
MARDI 9 FEVRIER
ANTOING: à 20h au Foyer socioculturel et sportif d’Antoing rue du
Burg,23, réunion organisé par le Parc naturel des Plaines de l’Escaut: «Que
mangent les vaches ? De l’herbe!». Accès gratuit. infos: 069/77.98.70
TIRLEMONT: visite des installations de l’IRBAB organisée par le comice
du Roeulx. Réservations : Philippe Bottemanne 067/443.194 ou 0497/107.8
84
MERCREDI 10 FEVRIER
GEMBLOUX: à 9h à l’espace Senghor, 15ème Carrefour des Productions
Animales organisé par Gembloux Agro-Bio Tech et le CRA-W. Thème: «La
science dans l’élevage du futur: entre avancées scientifiques et enjeux humains». Pour les agriculteurs: inscriptions gratuite via la FWA
GOTTIGNIES: à 19h30 au café Le Saint-Léger, assemblée générale annuelle du comice du Roeulx. «La PAC après 2013 - Le lissage des droits» par
Yves Somville
MARDI 16 FEVRIER
ANTOING: à 20h au Foyer socioculturel et sportif d’Antoing rue du
Burg,23, réunion organisé par le Parc naturel des Plaines de l’Escaut:
«Economies d’énergie à la ferme et production d’énergie verte»par Michael
Cotton (asbl Objectif 2050). Accès gratuit. infos: 069/77.98.70
1. Pour la collecte des plastiques agricoles (bâches, films et sacs),
les consignes à respecter sont :
• brosser et plier les plastiques agricoles en paquets, non ficelés,
de 20 Kg maximum avant de les déposer dans le conteneur réservé à cet effet;
• dans la mesure du possible, séparer les bâches des films plastiques;
• ne pas mélanger les plastiques agricoles avec d’autres matières telles que terre,
déchets de fourrage, bidons en plastique, bottes de ficelle, ...;
• ne pas passer les plastiques dans une presse à balles;
• remettre le formulaire au préposé «parc à conteneurs» ou «communal» chargé
de la collecte avant la prise en charge des plastiques agricoles.
Un petit conseil pratique
Pour un stockage propre et facile des plastiques agricoles à la ferme, il est conseillé aux exploitants
agricoles de les entreposer dans des big-bags (suivant les consignes reprises ci-dessus) en attendant
la collecte.
Attention: L’accès au conteneur entreposé à cet effet sur les parcs à conteneurs ou à un autre
endroit choisi par la commune, ne sera autorisé que de 9h30’ à 12h00’ et de 13h00’ à 16h00’.
2.
•
•
•
Pour la collecte des ficelles en plastique, les consignes à respecter sont :
conditionner les ficelles en botte ou en sac avant de les déposer au parc à conteneurs;
ne pas mélanger les ficelles avec les plastiques agricoles (bâches et films) ;
ne pas mélanger les ficelles avec d’autres déchets tels que gants de fouille, ...
3. Pour la collecte des bidons agricoles en plastique non dangereux et non toxiques
(volume maximum : 30 L), les consignes à respecter sont :
• seuls les bidons n’ayant jamais contenu de produits dangereux et/ou toxiques et/ou corrosifs sont
acceptés (exemples de bidons non acceptés : les bidons « huiles », bidons ayant contenu des produits
inflammables, explosifs à risques biologiques ou ayant contenu des médicaments,…). Ceux-ci sont
généralement représentés par les pictogrammes suivants :
Déchets infectieux/toxiques uniquement
Amel
Bertrix
Bouillon
Bullange
Libin
Lierneux
Martelange
Neufchâteau
Saint-Vith
Tellin
9 et 10 février
18 et 19 mars
18 et 19 mars
9 et 10 février
23 et 24 février
9 et 10 mars
16 et 17 février
18 et 19 mars
9 et 10 février
23 et 24 février
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
Parc à conteneurs
• les bidons en plastique doivent être vides, rincés et munis d’un bouchon.
Attention: Les bidons non conformes ne seront pas acceptés sur les parcs à conteneurs.
4.
•
•
•
Pour la collecte des déchets infectieux, les consignes à respecter sont :
compléter et transmettre le bordereau mentionnant l’échange des conteneurs à Idelux ;
veiller à ce que les couvercles des récipients remplis soit intégralement fermés;
conditionner impérativement l’ensemble des déchets infectieux dans les récipients
prévus à cet effet;
• remettre le récipient au parc à conteneurs (préposé) même dans le cas ou la commune
organise la collecte des plastiques agricoles à un autre endroit.
• Notre contact est Monsieur Arnaud LEIJDECKERS (tél. : 063/42 00 43)
99986398/0410 PLC JHT
AIVE
FRASNES-LEZ-ANVAING: à 19h30 à la salle en face du hall sportif, rue
de la Fauvette, réunion organisée par Nitrawal sur les cuves à mazout (aménagements à réaliser, échéances...).
GERPINNES: à 20 h, en la Salle des Fêtes, Place des Combattants. «Guide
sectoriel de l’autocontôle pour la production primaire animale. Ces deux guides gérés par respectivement CODIDPLAN et VEGAPLAN constituent un outil
pour le respect intégral de la chaîne alimentaire dans des domaines visés
par la conditionnalité des aides. En quoi consiste ce guide sectoriel animal?»
par Alain De Bruyn, Président, CODIPLAN. Informations : Grégoire de Munck
071/599.090. Organisé par la DGA de Thuin et les Comices de Thuin
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14 et 16T; charrues 4 et 5 socs; vibroculteur 5m hyd; semoir betterave Nodet 12R repliable, maïs 4R et
6R téléscopic; faneuse Kuhn 7,5m 6
toupies et 5m; faucheuse Pottinger
170; MB Fahr 5 secoueurs. Jadoul B
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