Compte-rendu du 6 décembre 2011

Compte-rendu – Réunion plénière – Mardi 6 décembre 2011
Réunion plénière du Conseil de Quartier Clichy-Trinité – Mardi 6 décembre 2011
Ecole élémentaire, 10 rue de Clichy, 19 h -21 h
Présents :
Collectif d'animation : Hassina Bekkis, Christiane David, Hervé Hoareau, Michael Teboul, MarieClotilde Thaury
Jacques Bravo, Maire du 9e arrondissement
Xavier Laugaudin, adjoint au maire, élu référent au Conseil de Quartier Clichy-Trinité
Pauline Véron, adjointe au maire, déléguée à l'urbanisme, à l'habitat, aux transports et aux
déplacements, conseillère de Paris
Public : 70 personnes environ
Ordre du jour :
- Informations et suivi des questions posées par les habitants et des activités et projets du
collectif d'animation.
- Thème principal : "Aménagement et mise en valeur du quartier" : projets d'aménagement
de la place d'Estienne d'Orves et de la rue du Cardinal Mercier.
- Points divers d'aménagement de voirie dans le quartier.
- Questions diverses.
Xavier Laugaudin, exprime sa satisfaction d'accueillir le Conseil de Quartier dans l'école du 10, rue de
Clichy, ouverte à la rentrée scolaire. Elle est installée dans l'Hôtel de Wendel, hôtel construit en 1864
pour la famille de Wendel. Les salons d'apparat sont classés et on été soigneusement rénovés. Ils
accueillent désormais des activités scolaires ou associatives.
Il rappelle l'ordre du jour et se réjouit de la concertation entre mairie et habitants qui a abouti par le
passé à améliorer la place de Budapest et la place de Clichy.
Il évoque le problème de sécurité sur la place Adolphe Max : dealers sur la place et dans le square, et
même dans les immeubles alentour. Une réunion a été organisée avec les élus, lui-même, M.
Frédéric Hervo, en charge de la sécurité, le nouveau commissaire du 9e, et les habitants. Elle aura lieu
le lundi 19 décembre à 19 h, à l'école de la rue de Bruxelles.
Post réunion : En raison des vacances scolaires et suivant la demande de plusieurs personnes, la
réunion est reportée à janvier.
Christiane David, collectif d'animation, présente la réflexion sur les outils de communication entre le
collectif et les habitants. Elle rappelle la demande exprimée à la réunion des conseils de quartier du
1er octobre 2011. Elle souligne la volonté de suivre les dossiers et d'en présenter les réponses
apportées. Des membres du collectif suivent les conseils d'arrondissement, les réunions du CICA et
du CSPDA. Les comptes-rendus seront diffusés, particulièrement pour ce qui concerne le quartier
Clichy-Trinité. Elle évoque la possibilité de faire une newsletter ou un site internet et insiste sur le fait
que l'outil doit répondre à la demande des habitants, et doit être souple pour évoluer au plus près
des besoins.
Michael Teboul, collectif d'animation, rappelle les actions mises en place depuis le début de l'année
2011 :
- marché des terroirs, place de Budapest en mars,
- balade imaginaire le 3 avril,
- réunions plénières sur le commerce (22 mars) et la sécurité (31 mai),
- fête d'été avec un vide-grenier (19 juin),
- circul'livres (le 1er vendredi de chaque mois),
- projet handicap (concert "autour d'une scène" le 19 novembre avec l'association Les papillons
blancs), projet de jumelage entre une classe et des enfants sourds.
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Compte-rendu – Réunion plénière – Mardi 6 décembre 2011
Jacques Bravo, maire du 9e arrondissement, évoque le spectacle de Noël offert aux enfants, qui se
déroule depuis quelques années à l'International Visual Théâtre, théâtre en langue des signes, qui
met en contact handicapés et valides.
Le 9e arrondissement compte 60.000 habitants, 135.000 salariés et 500.000 personnes de passage,
montant à 900.000 en période de Noël. Il y a 1.000 naissances par an (700 il y a 10 ans) et 7 % de
nouveaux habitants chaque année, ce qui représente un renouvellement de la moitié de la
population tous les 7 ans. Les squares, sont petits et peu nombreux au regard du nombre d’enfants
qui les fréquentent.
Il se réjouit que les habitants participent activement à l'aménagement des quartiers et évoque le cas
de la place Turgot, réaménagée en concertation avec ses riverains.
Hervé Hoareau, collectif d'animation, rappelle la demande de suivi des dossiers. Il présente la "feuille
de suivi" élaborée par le collectif, sur laquelle sont reportées les questions posées en réunion ou sur
le mail du collectif, la personne en charge du sujet à la mairie, et les réponses apportées ou
références à des délibérations ou articles de presse (cf. en pièce jointe la feuille de suivi des
demandes et signalements avec les réponses apportées).
- Thème principal : "Aménagement et mise en valeur du quartier" : projets d'aménagement de la
place d'Estienne d'Orves et de la rue du Cardinal Mercier.
Pauline Véron, adjointe au maire, présente le cas de la place d'Estienne d'Orves.
Elle a été réorganisée à l'occasion des travaux du Mobilien 26. Le Mobilien vise à effectuer des
traversées de Paris en surface, avec des bus modernes, fréquents, circulant en site propre. Les
aménagements bénéficient aux autres lignes, 43 et 32. On gagne 10 mn de trajet entre la Gare du
Nord et la Gare Saint-Lazare. Il est financé par la Ville de Paris et la Région via le STIF. A cette
occasion, les sens de circulation ont été inversés dans les rues Mogador et Chaussée d'Antin, afin
d'éviter des croisements. La circulation des piétons a été sécurisée par l'élargissement des trottoirs
et des terre-pleins, l'installation de feux et de passages piétons raccourcissant les traversées. Les
arrêts de bus ont été regroupés sur les terre-pleins et supprimés du trottoir autour du square.
Les terre-pleins n'ont pas été terminés pour être aménagés en concertation avec les habitants. Il n'y
a pas de projet du côté de la mairie, il s'agit de le construire ensemble.
La place a été dessinée par Jean-Charles Alphand devant l'église de la Trinité, construite en 1867 par
Théodore Ballu. Un architecte des Bâtiments de France suit le dossier. Le futur aménagement devra
respecter le dessin historique de la place. On ne peut pas modifier l'ovale du square, ni la symétrie
des immeubles de part et d'autre de l'église, la perspective de la rue Chaussée d'Antin voulue par
Ballu doit être maintenue, donc pas de plantation d'arbres. Mais on peut envisager une
végétalisation basse, des jardinières, comme sur la nouvelle place de Clichy.
L'église a été construite très vite, avec une pierre de mauvaise qualité semble-t-il, qui a commencé à
s'effriter dès le départ. Les vibrations du métro ont du aggraver les choses. Des études poussées ont
été faites, d'autant plus que le même problème se pose avec l'église Notre-Dame de Lorette et la
synagogue de la rue de la Victoire. Des échafaudages ont été placés pour protéger des chutes de
pierre. La Ville de Paris est en charge de la rénovation, selon la loi de 1905. Il est évident que la place
ne retrouvera tout son cachet que lorsque l'église sera sécurisée et rénovée.
L'élargissement du trottoir impair du bas de la rue Blanche de 50 cm a été demandé pour sécuriser
l'accès à l'école. La paroisse a demandé la fermeture des grilles du porche pour éviter les squatters et
les dégradations. Une réunion est prévue demain, mercredi 7 décembre pour évoquer ce sujet.
Les rues de Cheverus et Morlot ne sont plus aux normes de sécurité pompiers. Les pompiers ont
besoin de largeur pour installer les empattements latéraux pour la grande échelle. Il faut y supprimer
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une file de stationnement. Dans la rue de la Trinité, qui relie les écoles de la rue de Clichy et de la rue
Blanche, la vitesse est limitée à 30 km/h. Tous ces espaces doivent entrer dans la réflexion.
Jacques Bravo propose d'expérimenter la fermeture des grilles du porche. Le carrefour avec la rue de
la chaussée d’Antin reste dangereux. Des voitures roulent très vite dans la rue de Châteaudun.
Questions et remarques du public. Réponses de Pauline Véron
- Il faudrait un feu à priorité piéton au coin de la Chaussée d'Antin.
Effectivement, nous allons y réfléchir.
- Il y a déjà beaucoup de grilles et d'espaces fermés autour de l'église.
- On pourrait mettre les baraques de chantier sous le porche !
Le déplacement de l’emprise de voirie située à côté de l’Eglise, dans un autre endroit du 9ème est à
l’étude.
L'élargissement prévu rue Blanche est de 50 cm d'un côté, ne peut-on envisager 25 cm de chaque
côté ?
A priori il est plus important que la sécurité soit renforcée du côté de l'école.
- Les pelouses du square sont dans un état lamentable. Ne peut-on mettre une herbe qui
tienne ?
Le 9e est l'arrondissement qui a le moins d'espaces verts, l'équivalent d'une feuille A4 par habitant !
C'est un peu la contrepartie de vivre au cœur de Paris comme dans un village. Toutefois, nous
réfléchissons, avec les services compétents, à la manière de faire évoluer les squares du 9è afin qu’ils
soient mieux adaptés à un usage intensif par les enfants. Les pelouses connaissent aussi une usure
rapide à Anvers et à Montholon.
- On ne peut pas attendre que l'église soit rénovée pour travailler sur le square.
Il n’y a pas de date de fixée pour la rénovation de l’Eglise compte tenu du coût et des études encore
nécessaires… avançons sur le reste en attendant.
- On pourrait démolir l'église et aménager un grand parc !
- Les dessins d'enfants sur les échafaudages sont hideux. Ne peut-on mettre autre chose de
plus beau ?
La réalisation des dessins était une action du Conseil de quartier, c'est au Conseil de quartier de
décider si on fait autre chose. On peut envisager de travailler sur les échafaudages.
- Les arrêts de bus sont partagés entre les deux terre-pleins centraux. A cause des voitures on
a du mal à aller de l'un à l'autre. Il faudrait les mettre tous sur le même terre-plein.
Il arrive souvent que les bus soient à la queue leu leu et s'arrêtent le long des deux terre-pleins. Mais
c'est la RATP qui fixe les arrêts.
- Comment la RATP fixe-t-elle les arrêts de bus ? Ils se baladent autour de la place. Les abris
avec bancs ont été supprimés.
La RATP a prévu de fixer les arrêts avant Noël.
- Le square n'a qu'un accès sur la place, ce qui accroit le sentiment d'enfermement. Ne peut
on envisager des issues en partie haute ?
Il existe des escaliers qui ont été condamnés. Priorité doit être donnée à la sécurité. Mais on peut
chercher à ouvrir d'autres accès.
- La fermeture du porche gênerait la circulation des vélos qui passent sous le porche pour être
en sécurité.
La vitesse est limitée à 30 km/h dans la rue de la Trinité, il faut vérifier si les vélos ne peuvent pas
rouler à contre-sens.
- Le haut du square est sale, les parties en contrebas servent de dépôt pour la voirie et de
poubelle.
Le projet d'aménagement vise à requalifier ces espaces.
- Des places de stationnement seront supprimées dans les rues Cheverus et Morlot. C'est un
problème pour les résidents.
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On crée des places partout où on peut, si les accès pompiers sont assurés, ce qui est compliqué vu
l'étroitesse des rues. Il y a eu plusieurs incendies mortels dans l'arrondissement. La sécurité prime
avant tout et donc la mise aux normes pompiers.
- Beaucoup de personnes travaillent ou circulent dans le quartier. Il manque une sanisette.
Il y avait un projet d’implantation rue Saint-Lazare à l’angle de la place qui n’a pu aboutir pour des
problèmes de raccordement eau et électricité. On cherche un emplacement adéquat.
- Il faudrait des bancs sur la place pour les promeneurs.
Les bancs détériorés dans le square seront remplacés. Les bancs occasionnent une fréquentation
bruyante la nuit.
- On peut quand même planter des arbres s'ils ne sont pas dans la perspective ?
On peut aussi travailler sur la lumière, ajouter un lampadaire. Le Collectif d'animation pourrait
élaborer un questionnaire envoyé aux habitants qui pourront ainsi faire des propositions.
Xavier Laugaudin propose qu'un groupe de travail d'une dizaine de personnes y travaille et fasse des
propositions au printemps.
Il présente Marie-Anne Lebrec qui va présenter le projet d'aménagement de la rue Cardinal Mercier
élaboré par des habitants de la rue.
Une très vive discussion s'instaure avec les autres habitants de la rue, qui s'étonnent en outre de ne
pas avoir été consultés:
- Avant de parler d'aménagement, il y a un problème de sécurité. Des lycéens très bruyants se
regroupent au fond de la rue et parfois, il y a des dealers. Les projecteurs de la fontaine ont été
cassés. Il y a du bruit nuit et jour. Une vieille dame a même été menacée.
- Il y a des règlements de compte violents. Il n'est pas sûr que rendre la rue piétonne arrange la
situation. Les policiers ne viennent pas.
- Il y a beaucoup de bruit à cause du café le Béguin et de l'hôtel, des camions dans la nuit. La rue se
dégrade.
- Le Béguin ferme tard, il est en infraction avec le règlement de la copropriété, pas aux normes.
- Le problème du bruit est présent partout dans Paris, c'est le propre de la ville.
Xavier Laugaudin : nous ferons une remontée au commissariat. La Ville de Paris n'a pas de
compétence de police. En tant que capitale, c'est la seule ville de France à ne pas avoir de
compétence en matière de police. N'hésitez pas à envoyer des témoignages à la Mairie du 9e. C'est
un moyen de faire pression sur la police.
Pauline Véron remercie les habitants qui ont préparé ce projet. C'est une autre façon de construire
un projet d'aménagement puisqu’il vient d’habitants et non de la mairie.
Collectif Cardinal Mercier : il s'agit de reprendre cet espace pour l'ensemble des habitants du
quartier, pas seulement ceux de la rue. La rue a beaucoup d'atouts : de beaux immeubles, la fontaine
au fond, il est dommage que l'espace soit réservé aux voitures alors que le quartier manque
d'espaces verts. Elle pourrait être un espace de calme au milieu d'artères très passantes et bruyantes
(rue de Clichy et rue Blanche). C'est une impasse qui sert au stationnement résidentiel mais aussi à
celui des spectateurs des théâtres alentours. Il y a souvent des bagarres et des altercations liées au
stationnement. Il y a actuellement 25 places de stationnement sur les 2 côtés de la rue. Les pompiers
ont demandé la suppression d'une file de stationnement pour avoir la largeur nécessaire. Une
douzaine de places vont donc être obligatoirement supprimées. Nous sommes allés voir ce qui s'était
fait ailleurs, rue sainte Cécile dans le 9e et rue du trésor dans le 4e, où des tronçons ont été rendus
aux piétons. Pourquoi ne pas redonner cet espace aux gens du quartier ?
On pourrait y envisager des manifestations faisant vivre le quartier. Il y a une brocante dans l'année,
un projet de projections de films. Ce serait un atout pour les commerces existants et une incitation à
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Compte-rendu – Réunion plénière – Mardi 6 décembre 2011
l'installation de nouveaux. La suppression des véhicules entraînerait celle des nuisances. Ce serait
une mise en valeur de la rue.
Il n'est pas question d'interdire la circulation des habitants qui ont un garage au fond de la rue, ni
celle des véhicules indispensables aux commerces. Selon le Code la route, dans une zone piétonne, il
y a accès et circulation automobile paisible ; la zone de rencontre permet la cohabitation de tous les
usagers de l'espace public : la priorité est donnée aux piétons, la vitesse est limitée à 20 km/h.
L'espace central serait dégagé pour permettre la circulation. Il n'est pas prévu de plantation d'arbres,
mais des aménagements mobiles et réversibles.
Xavier Laugaudin précise qu'il ne s'agit pas d'un projet de la mairie. Une simple analyse technique de
faisabilité a été effectuée.
Une habitante est heureusement surprise de voir naître de nouveaux projets. Qu'est-ce qui empêche
de faire le test ?
Le directeur de l'hôtel "Le Cardinal" et sa collaboratrice confirment qu'il nécessite la circulation de
nombreux véhicules (7 à 10 camions par jour pour les livraisons, le linge, les travaux de rénovation)
et de deux places de livraison en permanence. La clientèle se plaint souvent des nuisances dans la
rue. Ils se disent d'accord pour un test de suppression de stationnement et une gestion des jeunes en
douceur pendant la journée.
Un habitant dit que les nuisances sonores sont dues au fait que c'est une impasse qui favorise les
attroupements. La piétonnisation aggravera les choses. La suppression des places de stationnement
obligera à aller dans les parkings privés payants ce qui occasionnera une discrimination par l'argent.
Un autre habitant confirme que les nuisances nocturnes sont liées au stationnement. Il donne
l'exemple de la rue de Douai, où le stationnement est règlementé sur un côté, mais la nuit les gens se
garent des deux côtés.
Un autre dit que le Béguin ouvre plus tard que l'heure légale. Les habitants du 9e sont des "victimes
consentantes" mais il est plus important de dormir que d'avoir des espaces verts. La rue de Clichy est
une mauvaise rue commerçante, il y a beaucoup de changements de commerces qui ne tiennent pas.
Une habitante félicite le groupe de penser autrement. Elle organise la brocante et est ravie que ça
fonctionne. Pourquoi ne pas essayer ?
Un habitant constate qu'en une soirée une vingtaine de places de stationnement ont été
virtuellement supprimées (rues Morlot, Cheverus et Cardinal Mercier) dans une zone résidentielle où
il y a déjà des Vélib, Autolib, du stationnement 2 roues. Où les gens vont-ils mettre leur voiture ?
Pauline Véron ne tire pas de conclusion sur le projet, le débat commence. Elle se réjouit de l'intérêt
montré par les habitants pour tenter d'améliorer les choses. Il n'est pas évident de trouver un projet
qui concilie tout le monde. L'expérience montre que l'amélioration de l'espace urbain change l'usage
qui en est fait. De toute façon, une voie de stationnement doit être supprimée pour les pompiers. Il
s'agit là de sauver des vies en cas d'incendie. Pour l’autre file de stationnement, si elle devait être
supprimée du fait de l’aboutissement du projet, il y a le choix entre élargir le trottoir (coût 250.000
€) ou installer des bacs et jardinières, beaucoup moins chers. La circulation sera de toute façon
maintenue pour les riverains. Il y a des contraintes techniques et financières. Elle propose d'orienter
la réflexion vers un aménagement temporaire et réversible. Le changement peut améliorer la
situation. Il n'est pas question de faire les choses les uns contre les autres, il faut trouver un
compromis.
Xavier Laugaudin propose d'associer plus largement les habitants de la rue et de constituer un
groupe de travail.
Une représentante de l'UNICEF présente rapidement l'association et fait un appel au bénévolat.
L'Unicef (Fonds des Nations Unies pour l'Enfance) travaille à aider les enfants dans les domaines de la
santé et de l'éducation. Comité à Paris : 7, rue Saint-Lazare, 75009. 01 48 74 74 60,
[email protected].
La séance est levée à 21h30.
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Toutes les remarques, suggestions et questions concernant les sujets évoqués lors de la réunion ainsi
que les candidatures pour participer aux groupes de travail concernant les projets d’aménagement ou
les différentes activités du Conseil de Quartier doivent être adressées par mail à
souleymane.koneparis.fr et/ou [email protected] .
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Feuille de suivi des questions en suspens - Conseil de Quartier Clichy - Trinité
Date
Sujets
L’élu en charge du
sujet
Dernières évolutions et éléments de réponse
23 novembre 2011
Diminution du nombre des places de stationnement
résidentiel (rues d’Athènes, rue de Liège)
Pauline Véron
Le nombre des places de stationnement résidentiels n’a pas
baissé dans le secteur. Même s’il y a eu, globalement une
diminution du nombre de places dans le quartier. Les
suppressions et requalifications ont concernés essentiellement
les autres types d'aires de stationnement (places de livraison
etc.)
1 octobre 2011
Les mesures pour luter contre bruit nocturnes dans
certains endroits du quartier; la propreté et l’entretien
des plantations boulevard de Clichy.
Fréderic Hervo,
Laurent Chabas et
Pauline Véron
Voir le CR de la réunion publique du 31 mai 2011. Thème : « Les
nuisances de la vie
Les mesures prises contre l’envahissement des
trottoirs par certaines terrasses de café
Fréderic Hervo
Un nouveau règlement des terrasses et étalages à Paris a été
voté au Conseil de Paris de juillet 2011.
1 octobre 2011
nocturne dans le quartier ». En présence de M. Le commissaire
de police du 9e.
Outre le commissariat, deux services de la ville ont le
pouvoir de contrôler et verbaliser les terrasses et étalages
excessifs :
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Compte-rendu – Réunion plénière – Mardi 6 décembre 2011
-
la Direction de la prévention et de la protection
la direction de l’urbanisme (les inspecteurs qui
instruisent également les demandes d’autorisation et
consultent mairie d’arrondissement et Préfecture de
Police)
Les PV peuvent aller d’une simple amende de 35 euros à
une fermeture administrative, en fonction de la gravité et de
la répétition des infractions.
Avant la fermeture administrative, il existe des amendes
plus fortes pouvant aller jusqu’à 1500 euros (par exemple).
Les infractions peuvent être une occupation de l’espace
public sans autorisation, un dépassement des limites
autorisées, ou un problème d’esthétique.
Les signalements sont systématiquement remontés par la
mairie d’arrondissement aux services de la DU.
1 octobre 2011
La situation de l’antenne relais au niveau de l’école
de Bruxelles (évolution du dossier)
Les négociations vont bientôt reprendre entre la Ville de
Paris et les opérateurs de téléphonie mobile concernant
l’élaboration d’une nouvelle charte encadrant l'installation
des antennes-relais sur les toits. Cela, suite à la rupture de
l’ancienne charte qui datait de 2003.
S’agissant de l’antenne relais installée rue de Bruxelles, la
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Compte-rendu – Réunion plénière – Mardi 6 décembre 2011
Mairie du 9e a demandé à l’operateur concerné de trouver un
site alternatif pour déplacer cette antenne. L’opérateur n’a
pas encore fait le nécessaire malgré les relances des services
de la Mairie.
31 mai 2011
Problème de propreté (urine, déchets, bouteilles)
avec la façade de la crèche (43, Victor Massé)
située en face de chez Moune
Xavier Laugaudin
et Laurent Chabas
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Le problème a été signalé au service de propreté de la Ville.
Ce lieu fait actuellement l’objet des opérations de sur
nettoyage.