Au fil du SDIS 28 n°7 - Service départemental d`incendie et de

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La pharmacie
à usage intérieur
Depuis le 5 janvier 2004, le SDIS possède une pharmacie à usage intérieur (PUI) intégrée au pôle SSSM.
Ce service, connu aujourd’hui par les sapeurs-pompiers, assure l’approvisionnement des médicaments
et du matériel médical.
Pourquoi une PUI chez les sapeurs-pompiers ?
La réponse est simple. Il s’agit de centraliser la
gestion des médicaments et du matériel qui relève
du monopole pharmaceutique et demande
obligatoirement l’intervention d’un pharmacien. En
effet, l’approvisionnement, le stockage, la distribution
sont soumis à des règles strictes et imposent la
présence d’un professionnel. Une gestion au
quotidien, un contrôle régulier sont les maîtres mots
pour garantir la sécurité et la qualité des produits
utilisés par les sapeurs-pompiers, notamment pour
l’oxygène. Si le pharmacien s’absente, la PUI est
automatiquement fermée.
Ses missions
La mission principale de la PUI consiste à gérer l’approvisionnement et la distribution des médicaments,
des dispositifs médicaux et du matériel médicosecouriste. C’est-à-dire tous les produits nécessaires
à l’activité des secouristes.
Mais ses missions ne s’arrêtent pas là. Le personnel
de la pharmacie assure, entre autres, la gestion du
consommable et des appareils de biométrie dans
les cinq cabinets médicaux du département. Il
participe également à l’élaboration des protocoles
d’hygiène des VSAV et à la formation des personnels
Fabien LAIGO,
Logisticien
Thomas BENOIT,
Préparateur en pharmacie
2
en collaboration avec les autres membres du service
de santé (SSSM). Enfin, il met en place et suit le circuit
d’élimination des déchets d’activités de soins à
risque infectieux(DASRI). La gestion des déchets est
très règlementée. Notre activité génère des DASRI et
c’est la PUI qui est responsable du stockage et de la
collecte avant destruction par une société agréée.
Son personnel
Basée à la direction à Chartres, la PUI est dirigée
par le pharmacien commandant Pascale Taureau,
pharmacien gérant, placé sous l’autorité hiérarchique
du médecin-chef. Elle gère la PUI et contrôle le
matériel et les consommables. Elle est également
entourée de trois collaborateurs :
> Thomas Benoit, préparateur en pharmacie
Il est chargé de la préparation des commandes
mais surtout de la maintenance et de la remise
en état des matériels (exemples : DSA, moniteur
multiparamétrique, aspirateur de mucosités…).
> Stéphane Gallois, logisticien
Il s’occupe tout particulièrement de la livraison des
commandes et de l’oxygène dans tous les centres
du département. Il collecte également, lors de ses
tournées, les déchets d’activités de soins à risque
infectieux.
Pascale TAUREAU,
Pharmacien commandant
Stéphane GALLOIS,
Logisticien
> Fabien Laigo, logisticien
Les navettes :
Il est chargé de préparer les commandes et de remplacer,
si besoin, Stéphane Gallois, afin de livrer tout le matériel
dans les centres. Il est également l’interlocuteur privilégié
dans le partenariat entre le conseil général et le SDIS 28
pour la gestion des DASRI.
les CSP sont livrés deux fois par semaine ;
les CS ainsi que les CI dotés d’un VSAV sont livrés une fois
par semaine ;
les CI sont livrés une fois toutes les quatre semaines
environ.
Cette équipe est complétée par cinq pharmaciens
volontaires, situés à Toury, Arrou, Chartres, Brezolles et
Illiers-Combray.
Le circuit des médicaments est très sécurisé. Ils sont obligatoirement placés dans des sacs médicaux plombés et sont
ensuite immédiatement stockés dans chaque VSAV et, au
sein d’un local dédié, dans les groupements.
Le circuit d’approvisionnement
Quelques chiffres-clés pour l’année 2009
Les unités opérationnelles du département transmettent
périodiquement leurs commandes et leurs besoins par fax
à la PUI (médicaments, oxygène, etc.). Ces demandes sont
ensuite contrôlées et validées par le pharmacien gérant
avant d’être traitées par le personnel. La commande prête,
le logisticien se charge de la remettre au centre concerné.
2 979
bons de livraisons émis à destination de l’ensemble
des unités opérationnelles du département
(commandes, oxygène, hygiène)
162
commandes émises auprès des fournisseurs
904
bouteilles d’oxygène de 1 m3 commandées au
fournisseur
217
bouteilles d’oxygène de 3 m3 commandées au
fournisseur
Budget de la PUI :
203 800 € en fonctionnement
60 000 € en investissement
Le véhicule logistique-santé circule tous les jours, il effectue
chaque année 52 000 kilomètres.
Vaccination contre la grippe A
À la suite du lancement de la campagne de vaccination de masse contre la grippe A, le pharmacien
commandant Pascale Taureau a été sollicité par l’inspecteur de la pharmacie (DRASS*), via le SDIS, afin de
renforcer l’équipe opérationnelle départementale. À
la demande de la préfecture, elle était chargée de
sécuriser la chaîne du médicament sur les six centres
de vaccination en Eure-et-Loir. Pendant plus de deux
mois, elle a dû réaliser des kits d’urgence scellés et
vérifier les bonnes règles de conservation des vaccins.
« Ce fut une expérience enrichissante tant sur le plan
humain que professionnel avec une implication forte
des personnes volontaires au sein des centres de vaccination et des personnels de la DDASS », souligne le pharmacien commandant Pascale Taureau.
Au-delà de cette implication, le service de santé a
également été mobilisé pour vacciner les personnes
volontaires au sein du SDIS (119 agents) et des services
de l’État (préfecture, sous-préfectures, police).
* DRASS : direction régionale des affaires sanitaires et sociales.
4
3
Les détecteurs de fumée normalisés
En France, les incendies domestiques ont entraîné
près de 500 décès en 2008. En Eure-et-Loir, depuis
2004, on compte 3 486 incendies domestiques. Ils
ont causé 5 décès et 266 blessés. Bien que 70 %
des incendies se déclarent le jour, on dénombre
70 % des décès lors des
incendies survenant la nuit.
En effet, le feu est souvent
largement développé avant
de surprendre les occupants
dormant dans leur habitation,
réduisant ainsi la possibilité
d’évacuer. C’est pourquoi,
il est indispensable d’installer
un détecteur de fumée dans
son logement.
Les prix varient selon les fabricants,
la durée de leur garantie et la
longévité de la pile. Le prix moyen
semble être de 10 à 30 euros.
> Où installer
mon détecteur de fumée ?
Le but étant de prévenir les
occupants pendant leur
sommeil, il est recommandé
d’installer
un
détecteur
de fumée à proximité des
chambres (couloir ou palier si
les chambres sont en étage).
Fixé au plafond, il ne doit pas
être installé dans un coin qui
ne serait pas forcément atteint
par les fumées. De même,
il ne faut pas l’installer dans
des locaux humides ou dans
lesquels il peut y avoir une
présence de vapeurs (salle
de bains, cuisine). En fonction
de la configuration de l’habitation
(plusieurs
niveaux,
grandes surfaces habitables…), il peut être nécessaire
de mettre en place plusieurs
détecteurs de fumée.
> La France en retard
> L’objectif du détecteur de
fumée
Le détecteur de fumée
détecte les fumées produites
par un début d’incendie et
alerte immédiatement par la diffusion d’un signal
sonore les résidents et ce, pendant la phase de
développement du foyer. Il suffit de quelques
minutes
pour
atteindre
l’embrasement
généralisé du local sinistré, d’où
l’importance d’être averti
au début de l’incendie
et, en tout état de cause,
avant d’être piégé.
> Combien ça coûte ? Et lequel choisir ?
Des campagnes d’essais ont permis de démontrer
l’inefficacité d’un certain nombre d’appareils vendus sur le marché français. Il est donc
indispensable d’acheter des détecteurs de fumée
normalisés disposant du marquage complet CE et
EN 14604. L’inscription CE seule ne suffit pas.
> Ce que nous dit la loi
Après la première proposition
de loi en 2005, les députés et
sénateurs ont enfin adopté un
texte de loi, le 13 janvier 2010,
sur l’obligation d’équiper
les foyers de détecteurs de
fumée. En effet, la loi est
parue au Journal officiel le
10 mars dernier. Elle prévoit
l’installation obligatoire d’au
moins un détecteur de fumée
normalisé dans chaque logement à la charge de
l’occupant (propriétaire ou locataire) dans un délai
maximum de cinq ans à compter de la promulgation de la loi. Chaque occupant devra veiller à
l’entretien et au bon fonctionnement de l’appareil.
(Retrouvez de plus amples informations sur intranet).
Source : www.inpes.sante.fr
Plusieurs pays européens
présentent un taux d’équipement significatif contrairement à la France qui compte
à peine 1 % de logements
équipés
de
détecteurs
de fumée. Des résultats
importants sur le nombre de
décès ont été observés dans
ces pays. Au regard des
retours d’expérience de nos
voisins et de leurs taux d’équipement respectifs (Norvège
98 %, Angleterre 78 %,
Belgique 50 %), on estime
qu’avec 80 % des logements
équipés on diminue de moitié
le nombre de décès.
0086-CPD-517190
EN14604
> Les actions du SDIS
Depuis quelques années, le SDIS profite des évènements
et manifestations diverses pour alerter le grand public
sur les risques d’incendie. Pour cela, une maquette a
été conçue par la mission volontariat et l’atelier du
SDIS afin de le sensibiliser à l’utilisation du détecteur de
fumée. Ce support pédagogique simule un incendie à
l’intérieur d’une habitation. Il transmet ainsi des indications sur le principe et l’utilité du détecteur de fumée
dans une maison. Ces actions se poursuivront en 2010
dans les écoles, collèges et lycées.
4
AC T UALIT É
ACTUALITÉ
PRÉVENTION
Accident de la circulation sur la RN 12
2 poids-lourds et 7 véhicules légers
• Moyens engagés :
- Saint-Rémy-sur-Avre : ........ VSAV, VSR
- Dreux : .................................. 2 VSAV, FSR, VPC, VTP,
FPTMO, 2 SMUR et l’officier de permanence
- Chartres : ............................. VTP
- Saint-André-de-l’Eure : ...... 2 VSAV
• Bilan :
5 blessés légers et 3 blessés graves.
Collision de deux petits aéronefs en vol
• Moyens engagés :
- Maintenon : .......... VSAV, VSR, CCF
- Nogent-le-Roi : .... VSAV, VSR, CCF
- Gallardon : ........... VSAV
- Chartres : ............. CEPMA, GRIMP 28, VTP, VSAV,
équipe cynotechnique, l’officier de permanence
- Dreux : .................. VPC, 2 VSAV
- Hélico 28
• Bilan : 2 personnes décédées.
Homme partiellement enseveli dans
une cellule à grains
• Moyens engagés :
- Brou : ..........................
- Chartres : ...................
- Dreux : ........................
- Châteaudun : ............
+ SMUR Châteaudun
FPT, VSAV, VTU, REPLU
VGRIMP
2 VTU, GRIMP
Officier de permanence
• Bilan :
Victime dégagée par le GRIMP. 1 blessé léger.
Feu d’habitation
à Saint-Victor-de-Buthon
• Moyens engagés :
- Nogent-le-Rotrou : .................
et l’officier de permanence
- La Loupe : ................................
- Thiron-Gardais : ......................
- Saint-Victor-de-Buthon : ........
VSAV, CCF, VARIV
FPT
CCR
FPT
• Bilan :
Extinction au moyen de 2 LDV 500.
5
ACTIVITÉ OPÉRATIONNELLE
Interventions en images
BRÈVES
B
R ÈV ES
VOLONTARIAT
Décret sur le volontariat
À la suite du décret du 13 octobre 2009,
le SDIS adapte ses procédures dans
la gestion des dossiers des sapeurspompiers volontaires et modifie ses
imprimés. En outre, il sera demandé pour
le dossier d’engagement un document attestant la
position du SPV au regard du code du service national.
Le texte prévoit également la vérification des inscriptions mentionnées au bulletin n° 2 du casier judiciaire.
En cas de non réception de ce bulletin lors de l’élaboration des rapports d’engagement au CCDSPV, il sera
mentionné sur ces derniers « sous réserve de réception
du bulletin n° 2 ».
Par ailleurs, le nouveau décret permet aux SPV
de prolonger leur activité au-delà de 60 ans et ce
jusqu’à 65 ans sous réserve d’aptitude médicale.
En conséquence, une nouvelle procédure pour les
demandes de maintien en activité va être mise en
place en veillant à protéger le sapeur-pompier. Autres
avancées, un arrêté a fixé un nouveau montant de
la vacation horaire de base pour tous les grades pour
une période de trois ans. De plus, l’heure de début de
la période d’application du taux majoré de nuit passe
de minuit à 23 heures à compter de la parution du
décret et à 22 heures à compter du 1er janvier 2011.
Enfin, les indemnisations liées aux actions de formation
vont évoluer sur les trois prochaines années de la
manière suivante :
Renfort en Vendée
Le mercredi 3 mars, 16 sapeurs-pompiers du
département sont partis prêter main forte aux
sinistrés de la tempête Xynthia. Accompagnée de
3 VTU et 1 VLTT, l’équipe a essentiellement réalisé
des opérations de pompage et d’assèchement
et porté assistance à la population dans le secteur
de la Faute-sur-Mer.
Épisode neigeux en Eure-et-Loir
Du 6 au 8 janvier, le département a connu de
fortes tombées de neige atteignant pas moins
de 60 centimètres dans le secteur de Brezolles.
Cette météo a provoqué de grandes difficultés
de circulation et entraîné de nombreuses interventions : accidents et chutes sur la voie publique,
opérations de reconnaissance (évacuation des
usagers de trains bloqués, …).
entre 60 % et 100 % à compter de la date de parution
du décret ;
entre 80 % et 100 % à compter du 1er janvier 2011 ;
à 100 % à compter du 1er janvier 2012.
SPORT
SPO
RT
Tempête dans l’Ouest de la France
Dans l’objectif de répondre à tous les appels dans
les meilleurs délais, le CTA/CODIS a été renforcé et
certains centres de secours ont été mobilisés pour
des gardes postées de quatre à huit personnes
pour une durée de deux jours au maximum.
Les centres concernés étaient les quatre CSP,
Anet, Châteauneuf-en-Thymerais, Nogent-le-Roi,
Brezolles, Bû, la Ferté-Vidame, Saint-Rémy-surAvre, Senonches, Beaumont-les-Autels, ThironGardais, Courville-sur-Eure et Illiers-Combray.
2009/2010 : une saison difficile
C’est sur les vallons du Perche que s’est ouverte la
saison de cross-country 2009/2010, le 18 octobre
à Authon-du-Perche.
Le centre opérationnel départemental en
préfecture a été activé jour et nuit pendant cette
période avec la participation de deux officiers
du SDIS.
Épreuve hivernale par excellence, le cross en
Eure-et-Loir a rarement connu de telles conditions
météorologiques. L’annulation du cross d’Anet
pour cause de neige n’a pas démotivé les coureurs
pour autant avec une moyenne de 450 sapeurspompiers classés par épreuve.
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