CONCERT Franz SCHUBERT Dimanche 25 mars 2007

Transcription

CONCERT Franz SCHUBERT Dimanche 25 mars 2007
CONCERT
Franz SCHUBERT
Eglise de Croissy
Chœur Ostinato de Croissy
Dir : Bernadette Beurthey
Jean-Christophe Roux
Jean-Noël Roux
Piano
Edison Carranza
Flûte
Dimanche 25 mars 2007
Association pour le
Développement de la
Musique à Croissy
PROGRAMME
FRANZ SCHUBERT (1797-1828)
Jean-Christophe Roux et Jean-Noël Roux, piano
Fantaisie en Fa mineur pour Piano à 4 Mains, Op.103, D940
Allegro molto moderato
Largo
Allegro vivace
Tempo I
Allegro molto moderato
Chœur Ostinato de Croissy
Jean-Christophe Roux, piano
Der Tanz, D826
An die Sonne, D439
Serenade, extrait de "Schwanengesang" (Le chant du cygne) – Soprano: Anne Noblet
Die launige Forelle, variations sur "La Truite", par Franz Schöggl
Jean-Christophe Roux, piano - Edison Carranza, flûte
La Belle Meunière, D795
*
*
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Chœur Ostinato de Croissy
Jean-Christophe Roux, piano
Hymne an den Unendlichen, D232, Chœur à 4 voix
Begräbnislied, D168, Chœur à 4 voix
Der Gondelfahrer, D809, Chœur pour voix d'hommes
Coronach, D836, Chœur pour voix de femmes – Soprano: Anne Noblet
Edison Carranza, flûte
Ave Maria, D52
Chœur Ostinato de Croissy
Jean-Christophe Roux, piano
Gott im Ungewitter, D985
LES ŒUVRES
Fantaisie en Fa mineur pour Piano à 4 Mains, Op.103 D940
Allegro molto moderato – Largo – Allegro vivace – Tempo I, Allegro molto moderato
Dans la première moitié du XIXème siècle, l'activité musicale de Vienne quitte les salles d'apparat
de l'aristocratie pour s'établir davantage au sein de la bourgeoisie. Ce repli dans la sphère privée
favorisa l'éclosion de petits ensembles de musiciens amateurs, amis et parents, certains d'une
qualité remarquable. Le piano occupe de ce fait une place essentielle, et la quantité de ses pièces
pour piano à 4 mains est très importante: "Schubert aimait à se mettre au piano avec un partenaire
et enchanta tous ses bons amis avec des œuvres à 4 mains" (Vetter).
Der Tanz, D826, pour chœur mixte à 4 voix
"La jeunesse parle et rêve tellement de danses, de galops, de banquets
Lorsqu'elle atteint ce but illusoire, alors on l'entend soupirer et se plaindre…
Elle a bientôt mal à la gorge, mal à la poitrine, tout le plaisir céleste a disparu
"que la santé me revienne seulement cette fois!" supplie au ciel son regard plein d'espoir…"
An die Sonne, D439, pour chœur mixte à 4 voix
Schubert a écrit cette pièce en juin 1816, sur un texte de J.P. Uz. Hormis les lieder, cette pièce est,
avec le "Chor der Engel", la première à utiliser des voix de soprano.
"O soleil, roi du monde, toi qui illumines notre vie sombre, dans ta majesté éclatante; Oh toi
merveille suprême d'une main qui a déployé les cieux et les a parsemés d'étoiles!
Aujourd'hui encore je vois ton éclat, aujourd'hui encore, avec sa couronne de fleurs, la nature
m'offre son visage riant.
La nuée d'oiseaux aux plumages multicolores ne chantera peut-être plus pour moi demain. Dans la
forêt et dans les prés, aujourd'hui encore je vois ton éclat, encore ton éclat.
Aujourd'hui encore je vois ton éclat, la nuée d'oiseaux aux plumages multicolores ne chantera
peut-être plus pour moi demain!
Je sens, je sens que je suis morte! ma vie s'étiole comme l'herbe, comme un feuillage desséché. Qui
sait si elle n'est pas imminente, l'heure où la parole du Très Haut retentira pour moi: redeviens
poussière!"
Serenade, pour soprano et chœur mixte à 4 voix
Cette sérénade est extraite du grand cycle "Schwanengesang" (le Chant du Cygne) de 14 lieder,
écrits sur des poèmes de différents auteurs, édités en recueil après la mort du compositeur.
"Doucement mes chants t'implorent dans la nuit. Descend dans le bois tranquille, ma bien-aimée,
viens vers moi.
Ce sont les frêles cimes des arbres qui chuchotent au clair de lune, tu n'a pas à craindre, ma douce
amie, qu'un traître malveillant nous épie. Ma charmante, ne crains pas. Entends-tu les rossignols
chanter? Ah, ils t'implorent. Par les douces plaintes de leurs notes ils t'implorent pour moi, ils
comprennent le désir ardent du cœur, ils connaissent le mal d'amour, ils connaissent le mal
d'amour et touchent, par leurs sons argentés, tout cœur sensible.
Laisse aussi s'émouvoir ton cœur, ma bien-aimée, écoute-moi! Je t'attends tout tremblant! Viens
faire mon bonheur!"
Die launige Forelle, variations sur "la Truite", par Franz Schöggl
Sur le thème bien connu de "La Truite", F. Schöggl s'est amusé à composer des variations "à la
manière de" différents compositeurs.
Après l'exposition du thème, voici successivement:
W.A. Mozart (Eine Kleine Nachforelle), L. van Beethoven (Zur Ehre der Forelle), C.M. von
Weber (Der Freifish), R. Wagner (Fischerchor), Wolga (Forelle), F. Liszt (Fischfan mit Lis(z)t).
" Dans un clair ruisseau, la truite capricieuse filait comme une flèche, rapide et joyeuse.
J'étais sur le rivage, regardant sans souci nager le poisson vif dans le ruisseau limpide.
Un pêcheur à la ligne était là sur le bord et voyait d'un œil froid le poisson frétiller
Tant que l'onde restera limpide, pensais-je, il n'attrapera pas la truite à son hameçon
Mais le fripon finit par trouver le temps long; perfide, il trouble l'eau,
Avant que je ne comprenne, la ligne frémit soudain, la truite s'agite au bout.
Tout en émoi, je vis la pauvrette trahie…
La Belle Meunière, D795 - Introduction et Variations pour piano et flûte
Au XIXème siècle, des arrangements et transcriptions pour formations de chambre permettaient de
diffuser plus facilement des œuvres pour grand effectif, ou de mettre en valeur la virtuosité des
instrumentistes. Cette transcription est celle du cycle de lieder "Die schöne Müllerin", le premier
composé par F. Schubert en 1823, sur des poèmes de W. Müller.
Hymne an den Unendlichen D232, pour chœur mixte à 4 voix , sur un texte de
F. von Schiller
" Entre ciel et terre, dans les abysses célestes, dans le berceau de l’orage
Me voici porté par un piton rocheux ;
Des nuages s’amoncellent en dessous de moi en tempête.
La foudre lézarde vertigineusement les cieux,
Et je te conçois, Eternel!
Prête ta splendeur terrifiante aux créatures mortelles, ô puissante nature !
Toi, fille immense de l’éternité, sois pour moi le miroir de Jéhovah !
Orgues impétueuses de l’orage, jouez puissamment, au ver de terre raisonnable,
Le Dieu qui est le sien
Ecoute ! Le grondement rocheux jouer comme des orgues
En hurlant l’ouragan prononce le nom de Sabaoth
écrit avec des craies fulgurantes ;
Créatures, me reconnaissez-vous ?
Garde-nous sains et saufs,
Seigneur, nous te reconnaissons "
Begräbnieslied D168, pour chœur mixte à 4 voix, sur un texte de F.G. Klopstock
"Ensevelissez le corps dans sa tombe, jusqu'à ce que la voix du Juge l'appelle. Nous le mettrons en
terre, un jour il fleurira, et s'élèvera transfiguré par Dieu.
Ensevelissez mes os putrescibles, ô vous qui êtes encore mortels, ils ne resteront pas dans la
tombe, car Jésus viendra pour rendre justice.
Ah, Dieu immolé! que ta mort nous réconforte dans cette dernière épreuve! Fais que notre âme soit
toute à Toi, et que joyeuse soit notre fin. "
Der Gondelfahrer, D809, chœur pour voix d'hommes, sur un texte de J.
Mayrhofer
Une belle introduction de piano précède l'entrée du chœur, puis une suite d'oppositions et
d'échanges entre les parties vocales crée véritablement l'atmosphère liquide, le rythme des vagues,
et évoque le carillon du campanile de la basilique de San Marco.
" La lune et les étoiles dansent la danse des esprits fugitifs.
Qui peut rester troublé par les soucis terrestres?
Maintenant tu peux voguer, ma barque, dans les rayons de lune
Toutes barres enlevées, le sein de la mer te berce.
De la Tour St. Marc retentit la cloche de minuit
Tous sommeillent paisibles, et seul le batelier veille."
Coronach D836, chœur pour voix de femmes, d'après "The lady of the Lake"
de Walter Scott
Long chant funèbre sur la brièveté de l'existence, sans un signe d'espoir.
" Il est séparé de nous, de la montagne et de la forêt, et comme la source tarie nous plongeait dans
la détresse. La source coulera nourrie par la pluie, la joie ne brillera plus jamais sur nous, plus de
matin pour Duncan.
La main du faucheur prend les épis mûrs, notre chant funèbre plaint la jeunesse florissante. Le vent
de l'automne porte les feuilles jaunissantes qui se fanent. Notre fleur a fleuri, le mildiou l'a fanée.
Toi aux pas agiles, conseil dans la détresse, bras dans la lutte, comme profond est ton sommeil!
Comme la rosée sur la montagne, comme l'écume sur le ruisseau, comme la risée sur la vague, tu
es à jamais détaché de nous."
Ave Maria, D52, transcription pour Flûte
L'Ave Maria a été composé en 1825 pour voix et piano par Franz Schubert, qui vouait une grande
dévotion à la Vierge Marie.
Gott im Ungewitter, D985, pour chœur mixte à 4 voix, hymne solennel sur un
texte de J.P. Uz
" Dieu de terreur, qui donc saurait braver ton tonnerre?
Dieu de terreur, qui donc saurait te faire face? Qui? Qui?
Le Seigneur est grand, pourquoi l'affronter, un signe de sa main, et nous voilà morts.
Sa puissance s'étend à travers la nuit noire, les peuples en frémissent déjà.
De troublants esprits veillent sur son redoutable trône. Sa main rougeoyante précipite la foudre du
haut des ténèbres, et le tonnerre s'abat sur le pays en une mer de feu.
Même le sol le plus ferme, même ce qui vit dans les abîmes de cette terre ébranlée, tremble sous
l'assaut d'une telle colère..
Secouée, la nature reconnaît là le Seigneur, la force de ses bras, bien loin tout alentour, le ciel et la
terre s'embrasent.
Qui me protègera, moi mortel, poussière, si celui qui vit aux cieux et arrache des mondes entiers
comme une mauvaise herbe, ne m'épargne pas?
Nous avons un Dieu de miséricorde, même s'il semble de fureur. Il règne avec bienfaisance pour le
bonheur de l'humanité."
LE COMPOSITEUR
Né à Vienne le 31 janvier 1797, Franz Schubert y mourut le 19 novembre 1828. Fils d'un
instituteur de Lichtental, il manifesta des dons musicaux précoces et obtint en 1808 une bourse à la
Chapelle Impériale.
Très tôt la composition l'attira, et il progressa rapidement grâce aux conseils du Maître de Chapelle
J. von Spaun et de l'organiste de la Cour, W. Ruzicka. Il se perfectionna ensuite auprès d'A. Salieri.
Il enseigna d'abord pendant 3 ans dans l'école de son père, tout en composant ses premières
œuvres.
En 1818, il séjourna à Zselig en Hongrie, comme maître de musique de la famille du Comte
Esterhàzy.
Sa rencontre avec le baryton M. Vogl fut déterminante: il lui obtint une commande d'un opéra
pour la cour, et l'emmena à Steyr, ville qui fascina Schubert et l'inspira beaucoup (le quintette avec
piano "La Truite" fut écrit à cette époque).
A partir de 1824, il occupa la majeure partie de son temps à la composition de musique de
chambre. Pendant les dernières années de sa vie, il continua inlassablement à composer, surtout
des lieder, dont les deux grands cycles "Winterreise" et "Schwanengesang".
Malgré le succès triomphal obtenu lors d'un concert donné à Vienne le 26 mars 1828, les derniers
mois de sa vie furent marqués par la maladie. La fièvre typhoïde l'emporta, et il fut inhumé dans le
cimetière de Währing, près de la tombe de L. van Beethoven.
Extrêmement bohême, F. Schubert vivait dans une perpétuelle improvisation, incapable de
s'astreindre à la moindre ponctualité. Son inspiration musicale était régie principalement par le
sentiment poétique, et il vivait essentiellement de l'émotion du moment présent.
LES INTERPRETES
Jean-Christophe Roux
Jean-Christophe Roux naît le 26 février 1955 dans une famille de musiciens et très vite commence
l’apprentissage du piano. A 15 ans il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il
obtient à 20 ans un 1er prix de piano dans la classe d’Aldo Ciccolini et l’année suivante, un 1er prix de
musique de chambre dans la classe de Pierre Pasquier. Il s’intéresse à l’enseignement et très vite
enseigne dans différents conservatoires d’arrondissement. Il poursuit depuis lors une double carrière de
pianiste et de professeur. Il enregistre à Radio France lors d’une émission sur Robert Schumann. Depuis
quelques années il s’intéresse au mariage des arts, et crée avec le comédien Olivier Roy le spectacle
« Extase », duo Liszt-Victor Hugo, qu’ils présentent lors du festival d’Avignon en 2003, puis à Paris, en
Allemagne et en Ile de France. Il s’intéresse également à l’Eurythmie, « art du mouvement », et donne
de nombreux spectacles, notamment au Gotheanum en Suisse.
Jean-Noël Roux
Jean-Noël Roux naît le 24 juillet 1959. Il obtient une première Médaille et un Prix d'Honneur de Piano
au Conservatoire Supérieur de Versailles, puis suit les cours de l'Ecole Normale Supérieure et du
Conservatoire Supérieur de Paris où il est, comme son frère Jean Christophe, élève d'Aldo Ciccolini.
Poursuivant une carrière de concertiste, il se produit en France et dans le monde entier, puis participe à
la création du Trio Gerschwin avec lequel chaque année il donne de nombreux concerts aux Etats-Unis.
Passionné de musique française, il travaille, dès 2003, à la transcription pour quintette avec piano de
grandes œuvres symphoniques françaises, dont il réécrit toutes les partitions pour piano, flûte,
clarinette, violon et violoncelle. Il crée alors le "Quintette Symphonique", projet unique dont l'objectif
est d'apporter une dimension supplémentaire dans le monde de la musique classique, et de permettre
d'offrir à un public plus nombreux des œuvres réservées aux grands orchestres et aux grandes salles. Ce
Quintette est le seul ensemble de musique de chambre au monde à présenter ces pages de musique
française en formation réduite, tout en en restituant la grandeur et la puissance.
Edison Carranza
Edison Carranza naît à Cartagena (Colombie) en 1955. Il intègre l'Orchestre National Symphonique de
Colombie dont il devient le flûtiste solo. A Paris depuis 1980, il obtient de nombreux prix des
Conservatoires de la Ville de Paris (1er Prix, Diplôme Européen, lauréat de la Fondation Cziffra, 1er Prix
du Concours International de Musique UFAM). Il fait partie de l'Orchestre Symphonique d'Europe, et a
fondé le Trio de Flûtes "Orphée", ainsi que l'ensemble "Bacata" (musique traditionnelle colombienne).
Bernadette Beurthey, chef de chœur
Née dans une famille où la musique a toujours été une seconde nature, mère pianiste, oncle directeur de
la maîtrise de la cathédrale de Bourges, elle a toujours évolué dans un monde musical. Très tôt, elle
apprend le piano et fait partie de divers chœurs au cours de ses études scolaires et universitaires.
C’est en 1979 qu’elle prend, avec enthousiasme, la direction du chœur du Vieux Croissy (rebaptisé
Ostinato), fondé sur l’initiative de Philippe Rollin son premier président. Elle se perfectionne alors au
cours de nombreux stages auprès d’excellents pédagogues : Philippe Caillard (direction de chœur), Jean
Sourisse, Roland Lemêtre (formation musicale et vocale), Marcel Perez (grégorien), Laurence Equilbey
(musique contemporaine), Michel Laplénie (musique baroque).
Le Chœur Ostinato de Croissy
Ostinato ? de l’italien : obstiné. Ce terme apparaît vers 1700 et désigne ce qui, une fois commencé, se
poursuit continuellement sans être abandonné. Mais, sur le plan musical, le procédé remonte au
XIIIème siècle. L’ « Ostinato » diffère de la simple répétition par le fait qu’il se déroule en même temps
que changent d’autres éléments musicaux (par exemple, évolution d’une mélodie sur une basse
rythmique continue « basso ostinato »). Ce style de variation reste en vogue jusqu’au milieu du
XVIIIème siècle. Il crée au XIXème siècle une certaine atmosphère de tristesse (F.Schubert) ou de
tranquillité (berceuse de F. Chopin).
La musique du XXème siècle se rappelle même les origines chamaniques de l’Ostinato visant par la
répétition dans la musique rituelle à un effet d’envoûtement (I. Stravinski « Le Sacre du Printemps », O.
Messiaen « 3 Petites Liturgies de la Présence Divine).
Sous la direction de Bernadette Beurthey, le Chœur Ostinato de Croissy a fêté ses 25 ans en novembre
2003 ; il réunit près de 60 choristes. Son répertoire est varié, aussi bien sacré que profane, et embrasse
toutes les époques et tous les styles. Le Chœur a participé au Festival Romantique à Croissy-sur-Seine
en octobre 2001 en interprétant Gallia de Gounod.
En février 2003, en collaboration avec le Chœur Euphonia de Rueil-Malmaison, il a chanté le
Deutsches Requiem de J. Brahms (version de Londres) pour solistes, chœur et 2 pianos, avec la
collaboration de Claire Leroy, soprano, Jean-Loup Pagesy, Baryton, Arlinda Majollari et JeanChristophe Roux, pianos.
Le Chœur a été invité à Landshut, près de Munich, en mars 2003 pour chanter en concert avec un chœur
masculin allemand.
En 2004, le Chœur Ostinato, avec le Chœur de Cernay-la-Ville, l’Orchestre Leopolis de Lviv
(Ukraine), et les solistes Carole Chabry, Isabelle Sabrié et Jean-Louis Jardon sous la direction de JeanPierre Loré, a interprété Un Chant pour la Planète, d’Antonio Santana, en présence du compositeur.
En juin 2004, il a chanté, avec le Chœur Français d’Oratorio, La Vierge de J. Massenet (concerts et
enregistrement), en l'église de la Trinité à Paris. En juin 2005, toujours au sein du Chœur Français
d’Oratorio, et en l’Eglise de la Trinité, il a participé à la représentation et à l’enregistrement de
l’oratorio Jeanne au Bûcher , d’Arthur Honneger sur un texte de Paul Claudel. En mars 2006, il a
participé, avec le Chœur Euphonia de Rueil, à un concert présentant des œuvres sacrées de F.
Mendelssohn. En novembre 2006, au sein du Chœur Français d’Oratorio, il a participé à l’exécution de
Rebecca de César Franck et des Saintes Maries de la Mer, légende provençale d’ Emile Paladilhe,
compositeur français de la fin du XIXème siècle.
En novembre 2007, toujours au sein du Chœur Français d'Oratorio, il participera à l'exécution des
"Stabat Mater" de F.J. Haydn et d'Emile Palhadille.
Prochain Concert ADMC
Samedi 5 mai 2007 à 20h45 - Chapelle St Léonard - "La suite des Suites"
Après son très beau concert de mai dernier, Bertrand MALMASSON nous propose un nouveau récital de
violoncelle avec d'autres suites de Bach (N° 2 et N° 5) et de Britten (N°2), ainsi que la suite N°4 de Nicolas Bacri.
Prix des places : 15 €, 10€ (étudiants et adhérents ADMC), 5€ (moins de 12 ans)
Réservations (places numérotées), dans le mois qui précède le concert, chez Catena, bld Hostachy à Croissy, ou
par téléphone au 01 39 76 45 51. Les places sont également en vente à l'entrée des concerts.
Merci à …
la Ville de CROISSY-SUR-SEINE,
CATENA, 38 Bd Hostachy à CROISSY
PHOX Studio Yves, 36, avenue du général Sarrail à CHATOU