La Section clinique - Psychanalyse en Aquitaine

Transcription

La Section clinique - Psychanalyse en Aquitaine
INSTITUT
DU CHAMP FREUDIEN
Sous les auspices du Département de psychanalyse - Université de Paris VIII
La Section
clinique
de Bordeaux
/2016
2015
Association
UFORCA
B ordeaux
Uforca pour l’Université Populaire Jacques-Lacan
Les demandes de renseignements concernant aussi bien
l’organisation pédagogique qu’administrative doivent être adressées à :
Section clinique de Bordeaux
15, place Charles Gruet - 33000 Bordeaux
Fax  05 56 51 16 25 / e.mail  [email protected]
Introduction,
N
par Jacques-Alain Miller
ulle part au monde il n'y a de diplôme
dde psychanalyste. Et non pas par hasard,
ou par inadvertance, mais pour des raisons qui
tiennent à l'essence de ce qu'est la psychanalyse.
On ne voit pas ce que serait l'épreuve de capacité qui déciderait du psychanalyste, alors que
l'exercice de la psychanalyse est d'ordre privé,
réservé à la confidence que fait le patient à un
analyste, du plus intime de sa cogitation.
Admettons que l'analyste y réponde par
une opération, qui est l'interprétation, et qui
porte sur ce que l'on appelle l'inconscient. Cette
opération ne pourrait-elle faire la matière de
l'épreuve ? - d'autant que l'interprétation n'est
pas l'apanage de la psychanalyse, que toute critique des textes, des documents, des inscriptions,
l'emploie aussi bien. Mais l'inconscient freudien
n'est constitué que dans la relation de parole
que j'ai dite, ne peut être homologué en dehors
d'elle, et l'interprétation psychanalytique n'est
pas probante en elle-même mais par les effets,
imprévisibles, qu'elle suscite chez celui qui la reçoit, et dans le cadre de cette relation même.
On n'en sort pas.
Il en résulte que c'est l'analysant qui, seul,
devrait être reçu pour attester la capacité de
l'analyste, si son témoignage n'était faussé par
l'effet de transfert, qui s'installe aisément d'emblée. Cela fait déjà voir que le seul témoignage
recevable, le seul à donner quelque assurance
concernant le travail qui s'est fait, serait celui
d'un analysant après transfert, mais qui voudrait encore servir la cause de la psychanalyse.
Ce que je désigne là comme le témoignage de
l'analysant est le nucleus de l'enseignement de la
psychanalyse, pour autant que celui-ci réponde
à la question de savoir ce qui peut se transmettre au public d'une expérience essentiellement
privée.
Ce témoignage, Jacques Lacan l'a établi,
sous le nom de la passe (1967) ; à cet enseignement, il a donné son idéal, le mathème* (1974).
De l'une à l'autre, il y a toute une gradation :
le témoignage de la passe, encore tout grevé de
la particularité du sujet, est confiné à un cercle
restreint, interne au groupe analytique ; l'enseiLa Section clinique gnement du mathème, qui doit être démonstrade Bordeaux tif, est pour tous - et c'est là que la psychanalyse
rencontre l'Université. L'expérience se poursuit
Enseignements 2015/2016 en France depuis quatorze ans ; elle s'est déjà
2 fait connaître en Belgique par le Champ freu-
dien ; elle prendra dès janvier prochain la forme
de la « Section clinique ».
Il me faut dire clairement ce que cet enseignement est, et ce qu'il n'est pas. Il est universitaire ; il est systématique et gradué ; il est
dispensé par des responsables qualifiés ; il est
sanctionné par des diplômes.
Il n'est pas habilitant quant à l'exercice de
la psychanalyse. L'impératif formulé par Freud
qu'un analyste soit analysé a été non seulement
confirmé par Lacan mais radicalisé par la thèse
selon laquelle une analyse n'a pas d'autre fin que
la production d'un analyste. La transgression de
cette éthique se paie cher - et, à tous les coups,
du côté de celui qui la commet.
Que ce soit à Paris, à Bruxelles ou à Barcelone, que ses modalités soient étatiques ou privées, il est d'orientation lacanienne. Ceux qui le
reçoivent sont définis comme des participants :
ce terme est préféré à celui d'étudiant pour
souligner le haut degré d'initiative qui leur est
donné - le travail à fournir ne leur sera pas extorqué : il dépend d'eux ; il sera guidé, et évalué.
Il n'y a pas de paradoxe à poser que les exigences
les plus strictes portent sur ceux qui s'essaient à
une fonction enseignante dans le Champ freudien sans précédent dans son genre : puisque le
savoir, s'il prend son autorité de sa cohérence,
ne trouve sa vérité que dans l'inconscient, c'està-dire d'un savoir où il n'y a personne pour dire
« je sais », ce qui se traduit par ceci, qu'on ne
dispense un enseignement qu'à condition de le
soutenir d'une élaboration inédite, si modeste
soit-elle.
Il commence par la partie clinique de cet
enseignement. La clinique n'est pas une science,
c'est-à-dire un savoir qui se démontre ; c'est un
savoir empirique, inséparable de l'histoire des
idées. En l'enseignant, nous ne faisons pas que
suppléer aux défaillances d'une psychiatrie à
qui le progrès de la chimie fait souvent négliger
son trésor classique ; nous y introduisons aussi
un élément de certitude (le mathème de l'hystérie).
Les présentations de malades viendront demain étoffer cet enseignement. Conformément
à ce qui fut jadis sous la direction de Lacan nous
procéderons pas à pas.
J.-A. M., 15 août 1988.
––––––
* Du grec mathema, ce qui s'apprend.
La Section clinique de Bordeaux
D
u Séminaire de Jacques Lacan (1953/80, en cours de publication), on peut dire qu’il a
aassuré à lui seul la formation permanente de plusieurs générations de psychanalystes.
Cet enseignement, qui restitua et renouvela le sens de l’œuvre de Freud, inspire de nombreux
groupes psychanalytiques. À l’origine de la création du Département de psychanalyse, il
continue d’orienter son travail. L’Institut du Champ freudien se consacre à son développement.
Le Département de psychanalyse existe depuis 1968. Rénové en 1974 par Jacques
Lacan, qui resta son directeur scientifique jusqu’à sa mort en septembre 1981, il fait aujourd’hui partie de l’Université de Paris viii.
L’Institut du Champ freudien s’inscrit dans le cadre associatif. Il a pris la suite, en 1987,
du Cercle de clinique psychanalytique (1976). En 1991, après Barcelone, Madrid, Bruxelles,
Rome, et pour la première fois en France hors Paris, la Section clinique de Bordeaux a été
créée. Depuis, 26 Sections, Antennes et Collèges cliniques ont vu le jour en France. Elle ne
se situe pas dans le cadre d’un groupe psychanalytique, même si ses enseignants sont d’orientation lacanienne. Elle a pour but d’assurer un enseignement fondamental de psychanalyse,
tant théorique que clinique, qui s’adresse aussi bien aux travailleurs de la « Santé mentale »,
psychiatres, médecins, psychologues, orthophonistes, etc., qu’aux psychanalystes eux-mêmes
et aux universitaires intéressés par ce savoir particulier.
Participer à la Section clinique n’habilite pas à l’exercice de la psychanalyse.
Une attestation d’études cliniques est délivrée aux participants.
L’association Uforca-Bordeaux pour la formation permanente assure la gestion de la
Section clinique de Bordeaux. Elle est rattachée au grand ensemble constitué par Uforca
pour l’Université Populaire Jacques-Lacan.
L
a Section clinique de Bordeaux propose, depuis sa création, deux sessions d’enseignement par an, l’une de novembre à mars, l’autre de mars à juin. Ces enseignements
ont lieu le vendredi matin.
Chaque session organise un Module, comprenant un séminaire théorique
hebdomadaire dont le thème est défini pour chaque session, un séminaire pratique où
les participants, encadrés par deux enseignants, présentent des cas de leur pratique, et une
présentation de malades qui a lieu une fois par mois dans un service hospitalier. Les
présentations sont laissées au choix des participants : présentation de psychiatrie adulte,
présentation de médecine, et présentation de psychiatrie infanto-juvénile.
En 2015-2016, le séminaire théorique de la première session aura pour thème
Lecture du Séminaire XVII de Lacan, L’Envers de la psychanalyse. Celui de la seconde
session portera sur Le corps et ses addictions.
La Section clinique
de Bordeaux
Enseignements 2015/2016
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L
e Cours du jeudi, prioritairement réservé à ceux qui abordent l’enseignement de Lacan,
étudiants en sciences humaines, en médecine, et dans les carrières de santé mentale,
se poursuivra cette année. Il portera sur le thème : Masculin-féminin dans la clinique.
LES ENSEIGNEMENTS 2015-2016
La Section clinique de Bordeaux
propose deux sessions d’enseignement par an.
Première session de novembre 2015 à février 2016.
Seconde session de mars à juin 2016.
MODULE
Le module de chaque session d’enseignement comprend :
un séminaire théorique
un séminaire pratique
et une présentation de malades
Ces enseignements ont lieu le vendredi matin de 9 h 15 à 12 h 15.
Voir bulletin d’inscription.
le cours du jeudi
De janvier à juin 2016.
Cours hebdomadaire, le jeudi de 19 h à 20 h.
Voir bulletin d’inscription.
Masculin-féminin dans la clinique
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Enseignements 2015/2016
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L’époque contemporaine témoigne de certains changements dans la frontière entre les
sexes : (in)égalité homme-femme, présence grandissante de la notion de genre, mariage
pour tous, féminisation du monde. Depuis sa naissance, la psychanalyse a rencontré
la question de la différence des sexes et a montré d’une manière subversive que sa
cause ne réside pas dans l’anatomie. Dès lors, elle se fonde sur une théorie du sujet,
du symptôme et de son traitement, qui prend en compte la distinction symbolique,
imaginaire et réelle du masculin et du féminin. Aujourd’hui, le dévoilement de la
question féminine comme l’a opéré la psychanalyse lacanienne oriente aussi sur les
impasses de la civilisation actuelle et sur le dit déclin du masculin, ou encore le voile
apposé sur le corps des femmes.
Le Cours du Jeudi soir abordera ainsi les nombreuses questions qui en découlent :
qu’est-ce qu’être un homme, une femme, du point de vue de la psychanalyse ? Le sujet
choisit-il son sexe ? La différence sexuelle est-elle un rôle, un genre, une éducation,
un réel ? Sur quoi repose la « sexuation », soit le fait de se déclarer de tel ou tel sexe ?
Quelle est la logique de la rencontre sexuelle et l’inconscient est-il sexué ? Y a-t-il des
symptômes ou des structures cliniques propres à chaque sexe ? Comment en tenir
compte dans le lien social et les institutions qui les accueillent ? À partir de l’œuvre de
Freud et de l’enseignement de Lacan, des psychanalystes apporteront des réponses,
expériences cliniques à l’appui.
Séminaire THéorique
session de novembre 2015 à février 2016
Lecture du Séminaire XVII,
L’Envers de la psychanalyse
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MODULE
Jacques-Alain Miller a fait valoir * que
dans ce séminaire Lacan s’adresse à la jeunesse, la jeunesse de 1968 à l’époque. On
peut parier que, par-delà les générations, ce
texte parle aujourd’hui très bien à la jeunesse du xxie siècle.
Qu’est-ce que le lien social, la parole,
quelle est la différence avec le discours ? Si en
68 on célébrait la « prise de parole », Lacan
fut un des premiers à en voir la limite. C’est
ce qui lui a fait dire qu’il préférait un « discours sans parole ». À partir de là il pouvait
interroger la fonction sociale du savoir, celle
de la vérité et celles des nouveaux maîtres. Il
pouvait aussi interroger les mythes freudiens
et le complexe d’Œdipe pour en poser l’audelà et sortir d’une perspective centrée sur le
père et le nom-du-père.
Le champ freudien ouvre à partir de cette
subversion sur le champ lacanien et une interrogation d’une donnée de plus en plus
sensible : la jouissance. De la chatouille à
l’addiction, le poids de la jouissance vient
interroger la société et la psychanalyse.
Dans la perspective freudienne, le père
mort représente la jouissance mais Lacan
nous montre qu’au fond cette opération
rate. La castration n’efface pas le retour de
la jouissance sous la forme du plus-de-jouir.
L’excès du plus-de-jouir, depuis la société de
consommation jusqu’aux différentes formes
d’exigences de reconnaissance sociale des
modes de jouir les plus singuliers, est au
cœur des interrogations contemporaines.
C’est dans un monde où la science substitue son discours à celui de la tradition qu’il
faut saisir la fin du xxe siècle. Aujourd’hui
la chose est accomplie et s’accompagne de
ce que Lacan avait prédit : le retour de la
religion sous sa face la plus obscure. Ce retour tente de faire pièce à la disparition de la
honte qui semble pourtant ne pas avoir effacé la culpabilité. Lacan pense que la psychanalyse est propre à susciter la honte chez les
psychanalystes mais il s’agit là d’une autre
honte, celle qui a à voir avec le signifiant
et l’honneur. Les psychanalystes doivent en
effet permettre que la vie à plusieurs soit
possible, à partir d’un impossible que seule
la psychanalyse peut montrer.
––––––
* Dans la présentation qu’il en a faite à Bordeaux au
moment de la sortie du texte en librairie (publié dans
les Cahiers de la Clinique analytique n°3, été 1999).
Le Séminaire théorique
a lieu le vendredi de 9 h 15 à 10 h 45.
Séminaire THéorique
session de mars à juin 2016
Le corps et ses addictions
Pourquoi, dans notre époque, la dimension addictive est-elle si présente ? Quel rôle peut jouer la psychanalyse, celle de Lacan, face à ce
phénomène ?
Un semestre de cours tentera de répondre à ces questions.
Le tout dernier enseignement de Lacan nous apporte des éléments
précieux pour saisir ce qu’est l’addiction et son rapport au corps.
Lacan écrit, par exemple en 1979, dans son texte « Joyce le Symptôme »* : l’homme « parle avec son corps », une parole qui ne s’adresse
à aucun Autre et qui détermine une réitération de jouissance solitaire
et addictive.
Parler avec son corps est un des modes de la parole, le plus primordial, avant même qu’une élucubration de savoir branche le sujet
sur son rapport à l’inconscient qui fait entrer en jeu la dimension de
l’Autre, du désir et de l’idéal.
Parler avec son corps implique la jouissance addictive, solitaire, sa
dépendance et son exclusivité.
Quelle position peut prendre la psychanalyse à l’égard des addictions ?
Ne serait-elle pas, comme Jacques-Alain Miller l’avait dit, le 3
avril 1997, dans son cours « l’Autre qui n’existe pas et ses comités
d’éthique » : Comment introduire le sujet addict ou toxicomane au
jouir par la parole ?
Il y a un écart décisif entre « parler avec son corps » et « jouir par la
parole », la parole en tant qu’elle porte une jouissance (parlêtre). Car
en tant que toxicomane, le sujet est dans la solitude avec son partenaire plus-de-jouir, l’objet de l’addiction pour lui. Comment le faire
passer de cette « jouissance autistique » dans laquelle il est enfermé à
une jouissance qui habite une parole dans son adresse à l’Autre ?
––––––
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Enseignements 2015/2016
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MODULE
* In Les Autres Écrits, p. 566.
Le Séminaire théorique
a lieu le vendredi de 9 h 15 à 10 h 45.
Séminaire pratique
MODULE
Le Séminaire pratique est assuré par
le Dr Jean-Pierre Deffieux
le Dr Carole Dewambrechies-La Sagna
& le Dr Marie-France Prémon.
Des participants présenteront un cas de leur pratique,
encadrés par les enseignants.
Il a lieu le vendredi, de 11 h à 12 h 15.
présentations de malades
Unité de psychiatrie I
Hôpital Robert Picqué – Villenave d’Ornon
Dr Jean-Pierre Klotz & Dr Philippe La Sagna
Unité de médecine
Centre de réadaptation de la Tour de Gassies – Bruges
Dr Carole Dewambrechies-La Sagna
& Mme Catherine Lacaze-Paule
Unité de psychiatrie infanto-juvénile
Clinique d’Ornon – Villenave d’Ornon
MODULE
Dr Philippe Lacadée & Dr Daniel Roy
Les participants auront à choisir
un des 3 lieux de présentation proposés par session,
dans la mesure des places disponibles.
Elles ont lieu dans un service hospitalier,
4 fois par session, le vendredi de 9 h 30 à 11 h.
Le cours du jeudi
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de Bordeaux
Enseignements 2015/2016
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L’organisation du Cours du jeudi est assurée par
M. Rodolphe Adam & Mme Catherine Lacaze-Paule.
Il a lieu de 19 h à 20 h, de janvier à juin 2016.
I n s t i t u t
d u
C h a m p
f r e u d i e n
Sections,
Antennes
et Collèges cliniques
La Section
clinique
de Bordeaux
Secrétariat
15, place Charles Gruet
33000 Bordeaux
Coordination
Carole Dewambrechies-La Sagna
& Jean-Pierre Deffieux
Direction
Jacques-Alain Miller
Enseignements
Rodolphe Adam
Jean-Pierre Deffieux
Carole Dewambrechies-La Sagna
Jean-Pierre Klotz
Philippe Lacadée
Catherine Lacaze-Paule
Philippe La Sagna
Marie-France Prémon
Daniel Roy
La Section clinique
de Bordeaux
Enseignements 2015/2016
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Section clinique d'Aix-Marseille
Antenne clinique d’Amiens-Reims
Antenne clinique d'Angers
Section clinique d’Athènes
Programme psychanalytique d’Avignon
Section clinique de Barcelone
Programme psychanalytique de Bastia
Section clinique de Bordeaux
Antenne clinique de Brest-Quimper
Section clinique de Bruxelles
Section clinique de Buenos Aires
Section clinique de Clermont-Ferrand
Antenne clinique de Dijon
Antenne clinique de Gap
Antenne clinique de Genève
Antenne clinique de Grenoble
Antenne clinique de Liège
Collège clinique de Lille
Section clinique de Lyon
Section clinique de Milan
Antenne clinique de Mons
Collège clinique de Montpellier
Programme psychanalytique de Montréal
(en formation)
Antenne clinique de Namur
Section clinique de Nantes
Section clinique de Nice
Section clinique de Paris Saint-Denis
Section clinique de Paris Ile-de-France
Section clinique de Rennes
Section clinique de Rome
Antenne clinique de Rouen
Section clinique de Strasbourg
Section clinique de Tel Aviv
Collège clinique de Toulouse
Antenne clinique de Valence
Bulletin d’Inscription
aux ENSEIGNEMENTS
de la
Section
clinique de
Bordeaux
A nnée 2015/2016
Mme M. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (entourer la mention utile)
Prénom Adresse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Code Postal Tél. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ville Fax . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e- mail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonctions Diplômes
Études
Lieux
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (obligatoire) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . de . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
de travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Conditions
générales d’admission et d’inscription à la
Section
clinique de
Bordeaux
Pour être admis comme étudiant de la Section clinique, il n’est exigé aucune condition d’âge ou de nationalité.
Il est, par contre, recommandé d’être au moins du niveau de la deuxième année d’études supérieures après
la fin des études secondaires. Des demandes de dérogation peuvent cependant être faites auprès de la
Commission d’organisation.
Les admissions ne sont prononcées qu’après au moins un entretien du candidat avec un enseignant.
Le nombre des places étant limité, les inscriptions se feront dans l’ordre d’arrivée des demandes.
La Section clinique
de Bordeaux
Enseignements 2015/2016
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Bulletin à retourner
avant le 25 octobre 2015 pour l’inscription à la première session
à : Section clinique de Bordeaux
15, place Charles Gruet - 33000 Bordeaux
Fax 05 56 51 16 25 e.mail [email protected]
Je demande
à participer aux enseignements de la Section clinique de Bordeaux.
Veuillez cocher les cases correspondant aux enseignements
que vous voulez suivre pendant l’année 2015/2016.
Module du vendredi matin
❏ 1ère session (novembre 2015 à février 2016)
Lecture du Séminaire XVII, L’Envers de la psychanalyse
❏ 2ème session (mars à juin 2016)
Le corps et ses addictions
Cours du jeudi
❏
de 19 h à 20 h (janvier à juin 2016)
Masculin-féminin dans la clinique
inscriptions
❏ J’ai déjà été inscrit(e) à la Section clinique de Bordeaux
❏ Je n’ai jamais été inscrit(e) à la Section clinique de Bordeaux
module du vendredi matin (par session)
❏ 290 €
❏ 145 €
❏ 290 €
Inscription à titre personnel
Inscription tarif « étudiant » pour les moins de 26 ans
(joindre une copie de la carte d’étudiant)
Inscription au titre de la formation médicale continue (FMC)
(concerne les médecins libéraux)
❏ 650 €
Inscription au titre de la formation permanente (FP)
Nom de l’Institution
Adresse
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Code postal
Tél.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ville
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. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fax
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Nom du responsable de la FP
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . cours du jeudi
❏ 100 € Inscription à titre personnel
La Section clinique
de Bordeaux
Enseignements 2015/2016
10
❏ 200 € Inscription F P
❏ 60 € Inscription tarif « étudiant »
❏ pour les moins de 26 ans
(joindre une copie de la carte d’étudiant)
Le règlement n’est pas à adresser avec ce courrier. Il vous sera demandé ultérieurement.
Les demandeurs d’emploi peuvent, sur justificatif,
bénéficier d’une réduction de 50 % sur toutes les inscriptions.