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Projet scénique Note d intention ou comment l’envie de créer vient à un danseur Photo : Gregory Batardon Les huit années passées au Ballet de l’Opéra de Lyon puis les trois au Grand Théâtre de Genève, m’ont permis de découvrir de multiples gestuelles. Mon travail avec les chorégraphes contemporains tels Mats Ek, Trisha Brown, Nacho Duato, Jiri Kylian, William Forsythe, Gilles Jobin, Mathilde Monnier et bien d’autres, m’a orienté vers un désir fort de vivre mes propres expériences au travers de mes chorégraphies. L’envie de créer m’est venue comme une nécessité de régurgiter toutes ces expériences et ce vécu pour comprendre ce qui me caractérise aujourd’hui et ce qui m’a construit. Que faire de tout cela? Qu’ai- je gardé de la danse classique, de la non danse, de la danse contemporaine? Une esthétique, un mouvement, une pensée. Ma recherche chorégraphique empreinte à ces multiples rencontres, vise à construire une « danse dansée » qui me permet d’utiliser toutes les richesses des différentes formes de danse que mon vécu m’a permis de découvrir. Ce retour au mouvement s’exprime dans la construction de mon travail ; la mémoire du corps permet l’écriture de ma danse dans l’improvisation. Mon travail chorégraphique s’oriente vers une danse pensée, écrite, vecteur d’émotions. Davy Brun Genese de la piece ou les sources d’inspiration de Davy Croquis des costumes de Cristoffa Brun Pour créer Christoffa, Davy Brun s’appuie sur sa rêverie autour du personnage de Christophe Colomb, tire les fils qu’offre une personnalité assez puissante et complexe ayant atteint le statut abstrait de mythe universel et qui nous échappe, comme tout un chacun, dès lors que nous cherchons à l’éprouver dans l’épaisseur de son vécu. De la figure totémique du découvreur à la thématique de la pièce Le chorégraphe du XXIe siècle est forcément sensible à la figure totémique du découvreur, de celui qui a élargi l’univers des possibles en s’accrochant à son utopie et qui trouva dans les questions et les perspectives nouvelles de son temps, la force de « tenir bon ». Comme l’homme d’aujourd’hui, celui de la « renaissance » devait affronter ces interrogations mêlées d’angoisse en même temps qu’il les suscitait par la mise en place des principes de la modernité, de ses premières applications scientifiques et par conséquence l’obligation de redéfinir sa place dans ce nouvel univers. Dans Christoffa, c’est cette dimension personnelle et humaine que la danse, par ses moyens propres, explorera à travers la mise en tension de la face connue, familière, et de la face qui nous échappe chez l’autre comme pour soi-même. L’altérité altère-t-elle le soi ou, par des mécanismes transitoires, développe-t-elle un mouvement fécond ? On croit se connaître et s’appuyer sur cette connaissance pour découvrir l’autre, jusqu’à ce qu’un hiatus, un événement ou un malentendu fasse dériver la trajectoire intangible d’une relation qui tout à coup bascule vers un territoire inconnu où cet autre, que l’on avait cru déchiffrer au cours d’un processus de colonisation réciproque des imaginaires, révèle sa part d’énigme. La figure de Colomb est mise au coeur du processus de création pour ses effets de résonance plutôt que de raisonnement. Bref, ce que nous sommes, ce que nous savons, ce que nous laissons paraître de soi, pour soi, sur les autres, pour les autres, de soi à soi...et le monde dans tout ça ? nouveau qui plus est ? Elle donne l’argument de tricoter (avec les pieds s’il vous plaît) ces axes qui fondent les enjeux de ce rituel étrange: se « trémousser le popotin » en cadence devant un parterre immobile et silencieux. Des chants du XVe siècle à l’élaboration de la pièce à l’origine le projet de la pièce est né avec la découverte d’oeuvres musicales du XVème siècle qui pourraient avoir été écrites par Cristobal Colon, musicien inconnu du XVe siècle... Cette « anecdote » éclaire de manière spectaculaire les rapports humains ou l’idée que l’on s’en fait. En découvrant chez l’autre un détail ignoré qui chamboule le réseau des représentations que nous en avions, apparaît la fissure par laquelle la personne se désolidarise du personnage. Le déroulement de la pièce suivra les paroles des chants de ces œuvres (soit 60 minutes environ) qui dicteront le format des tableaux : pas de deux pour les duos, solos pour les lamentos... il y aura ainsi sur scène jusqu’à 6 danseurs. Sous forme d’écriture-objet, ces textes s’incorporeront dans leur version espagnole à l’espace scénique même, vraisemblablement par projection d’extraits sur des voiles de soie. A l’instar des décors des pièces précédentes de Davy Brun, ils participeront à la tension dramatique de la pièce ; les danseurs danseront physiquement avec le texte tandis que le spectateur se verra remettre le « livret » complet des chants, avec leurs traductions, seulement à la fin du spectacle. Ce qui tient lieu de fil narratif prend donc corps par des moyens abstraits que redouble l’effet « VO ». Le public, laissé délibérément dans l’inconnu, participera de ce fait à la problématique de la pièce. Outre le fait que les spectateurs ne lisent pas le programme, ou distraitement pour se rassurer, le travail de mémoire et de questionnement requis par ce dispositif leur donnera une clé pour mieux com-prendre (prendre avec soi). On leur donne à voir quelque chose d’existant mais d’inconnu puis l’objet souvenir offre une seconde couche de vécu en tissant un lien entre la lecture a posteriori et le souvenir visuel : « Ah oui je vois ! Ce passage du texte correspond au moment où il y a eu un duo ». De Christoffa à l’affirmation d’une écriture chorégraphique singulière La pièce Christoffa permettra à Davy Brun de poursuivre une écriture chorégraphique qui se fonde sur l’expérience d’un danseur formé dans la « grande tradition » académique mais qui s’est confronté au plus large répertoire contemporain. Son intention est de proposer une danse « dansée » c’est-à-dire complice de la « belle danse » mais qui ne fait pas l’économie des questions que lui pose la « non-danse », gourmande des territoires ouverts par la danse-contact, voulant prendre conscience de son histoire en exhumant, au besoin, les usages de la contre-danse. Plus que de forger un style, il s’agit de ne rien rater qui pourrait enrichir la proposition, permettre que quelque chose de la ronde d’enfants habite un rituel martial, favoriser le littéral pour accéder au lyrique, déporter la portée, exténuer le souffle, traîner le corps d’un partenaire pour invoquer l’élan, s’abandonner sur l’épaule de l’autre dans la tension d’un combat pour faire sentir la sueur qui suinte du mythe. Davy Brun / Jean Luc Reynet à Contre Danse (2009) Parcours artistique de Davy Brun ou le cheminement d’un chorégraphe en devenir Danseur et jeune chorégraphe, Davy Brun a commencé sa formation au Conservatoire National de Région à Lyon puis à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris et avec son maître, Max Bozzoni. Photo : Gregory Batardon Les huit années passées au Ballet de l’Opéra de Lyon et les trois années au Grand Théâtre de Genève lui ont permis de découvrir de multiples gestuelles. Le travail avec les plus grands chorégraphes contemporains Mats Ek, Trisha Brown, William Forsythe, Maguy Marin, Philippe Decouflé, Mathilde Monnier, Jirí Kylián, Nacho Duato, l’a orienté vers un désir fort de vivre d’autres expériences en free-lance et l’a incité à créer ses propres chorégraphies : -- « Ando » - 2006 - Centre Chorégraphique de Valencia -- « Pointless Monkey » - 2007 - Conservatoire National Supérieur de Lyon -- « Nosotros » - 2008 - La Move Compagnie Zaragoza -- « à contre danse » - 2009 - Compagnie Davy Brun -- « Curse » - 2010 - Bouandedance Compagnie Portland Les collaborateurs de Davy Brun ou une équipe artistique au complet Bruno de Lavenère (conseiller en scénographie) Après une formation en architecture à Toulouse et à Montréal, il obtient en 2000 un diplôme de scénographie à l’ENSATT (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Spectacle). Pendant neuf ans, il a été assistant et collaborateur de Rudy Sabounghi sur une trentaine de scénographies d’opéra, de théâtre et de danse. Il crée ses propres scénographies et costumes. Il travaille ainsi avec les metteurs en scène Jerzy Klesyk, Jean Lacornerie, Richard Brunel, JeanLouis Grinda ou les chorégraphes Laurent Pichaud, Rémy Héritier, Isira Makuloluwe, Michel Kelemenis, Lucinda Childs, Eric Oberdorff… Il conçoit régulièrement les scénographies de la Compagnie Chant de balles (Vincent de Lavenère). Les dernières créations sont No place like home pour le Ballet de Genève dans une chorégraphie d’Isira Makuloluwe, Lady in the dark avec les Opéras de Lyon et de Rennes (nominé pour les Molières 2009 dans la catégorie théâtre musical) et Le Tribun au théâtre de l’Athénée mis en scène de Jean Lacornerie. Il a créé les costumes de La Colonie pénitentiaire pour l’Opéra de Lyon dans une mise en scène de Richard Brunel. En octobre 2009, il signera la scénographie de Cendrillon chorégraphié par Michel Kelemenis à l’Opéra de Genève ainsi que Songs from before de Lucinda Childs pour le Ballet de Rhin à l’Opéra de Strasbourg puis au Théâtre de la Ville de Paris (octobre 2009 et avril 2010). Pour 2010, il prépare la scénographie de L’homme de la Mancha, mis en scène par Jean-Louis Grinda pour les Opéras de Toulouse et de Monte-Carlo (décembre 2010). Il signera aussi la scénographie des Vertiges de l’immobilité d’Eric Oberdorff pour le Ballet de Marseille à l’Opéra de Marseille (avril 2010). Philippe Combeau (costumes) Tout d’abord danseur, puis créateur de costumes, Philippe Combeau est depuis de nombreuses années totalement passionné par le monde de la danse. Il débute au Conservatoire de Limoges à 19 ans puis intègre le Centre National de Danse Contemporaine à Anqers. En 1990, il intègre la Cie Bagouet pour la création So schnell. De 1992 à 1995, il participe aux créations de Michel Kelemenis : Cités citées (1992), Clins de lune (1993), Mouvements (1994) et aux reprises de Répertorio et de Image (1995). Dès 1993, parallèlement à sa carrière de danseur, il crée les costumes pour Clins de lune et Image de Michel Kelemenis et travaille pour Andy de Groat. En 1996, il décide de faire une formation de styliste, modéliste, haute couture au centre Suzanne B. à Marseille et se consacre exclusivement à la création de costumes pour la danse, du dessin à la réalisation. Une étroite collaboration avec le CNSMD de Lyon lui permet de recréer les costumes de Who cares, Allegro Brillante, Apollon Musagète, Divertimento n° 15 de Georges Balanchine, Fandango d’Antony Tudor. Il travaille également pour Christopher Wheeldon, Robert North, Davy Brun, Waldemar Bartkowski, Olivia Grandville, Agnès Nolténius, Cyril Viallon, Olivier Chanut, Fréderic Cellé, Jean-Claude Galotta... Il est invité par de nombreuses compagnies : Opéra ballet de Nice pour Blanc pur, Ballet du Rhin (L’Ombre des jumeaux), l’Opéra Ballet de Hanoi (Roméo et Juliette), au Bolchoï de Minsk, au Belarus (Le songe d’une nuit d’été), l’Université Nationale Coréenne des Arts de Séoul, Ballet de Lorraine (Le sacre du printemps), Staatsoper de Vienne (Moka), et tout dernièrement Casse– Noisette, et TATTOO pour le Ballet national de Marseille. Magali Larché (création lumières) Magali Larché a un parcours atypique ; elle fait ses débuts en administratif de compagnie en 2000, à la suite d’une formation initiale en BTS Audiovisuel suivi d’un IUP. Elle se tourne, dès 2002, vers la régie technique. Tout d’abord sur « le tas » en régie lumière pour divers groupes de musique : Entre 2 Caisses, Evasion, Joyeux Urbain, Fred Radix ... En 2006, elle se perfectionne avec une formation de Régisseur à l’Institut Supérieur des Techniques du Spectacles (ISTS-Avignon), développant ainsi un nouveau savoir-faire, la régie plateau. Elle continue les tournées en s’orientant également vers le théâtre et la danse et travaille depuis sur le Festival In d’Avignon. Aujourd’hui elle fidélise ses collaborations régulières avec plusieurs compagnies de musique, de théâtre, et de danse en régie lumière et plateau et en réalise plusieurs créations (Vocal 26, CCN d’Orléans, Cie Théarte, Cie Ando…). Cécile Robin Prévalé Elle commence la danse au CNR de Paris puis intègre le CNSMD de Lyon dont elle sort diplômée en 1998. Cécile débute sa carrière au Ballet du Rhin. Elle danse très rapidement en tant que soliste et interprète “Juliette” dans Roméo et Juliette et “Blanche Rose” dans Le Prince des Pagodes, chorégraphies de Bertrand d’At, directeur du ballet ainsi que “Terspsichore” de Georges Balanchine. On la voit également dans des pièces de Michel Kélémenis, William Forsythe, Claude Brumachon Muraille, Hans Van Manen, Jacopo Godani, Jo Stomgren, Philippe Trehet, Glen Tetley, Ivan Favier, Roberto Zanella… En 2000, elle danse le duo Bakti 3 de Maurice Béjart. En 2001, il la choisit pour interpréter “l’Elue” dans le Sacre du Printemps, au Palais des Congrès de Paris. Elle rejoint ensuite les Ballets de Monte-Carlo et danse dans des pièces de Jean-Christophe Maillot, Jiri Kylian et William Forsythe. En 2003, elle est engagée au Ballet du Grand Théâtre de Genève, en tant que soliste, elle interprète “Juliette” dans le Roméo et Juliette de Joëlle Bouvier, “Coppélia” dans le Coppélia de Cisco Aznar, “La Fée” dans le Casse Noisette de Benjamin Millepied, “La Mère” dans Lolita de Davide Bombana, ainsi que le duo de Blackbird de Jiri Kylian. Elle danse aussi des pièces de Jérôme Robbins, Dominique Bagouet, Michel Kélémenis, Carolyn Carlson, Lucinda Child. Elle participe à de nombreuses créations dans des chorégraphies de Malou Airaudo, Sidi Larbi Cherkaoui, Saburo Teshigawara, Douglas Becker, Gilles Jobin, Ken Ossola, Francesca Lattuada, Andonis Foniadakis... Parallèlement, elle travaille en freelance avec le réalisateur français Damien Odoul sur un projet cinéma-danse, et le chorégraphe Éric Oberdorff sur son projet danse-théâtre “Corps Étranger”. Elle collabore également avec la compagnie danse-théâtre « So close » à Genève. Freelance depuis juillet 2009, elle crée avec Eric Oberdorff pour la Cie Humaine à l’automne de la même année la performance Breathing dans une installation de la plasticienne Aurélie Mathigot au Flux Laboratory à Genève. Elle travaille aussi avec Kader Belarbi et interprète ses chorégraphies Salle des pas perdus et Room. Cécile est également l’assistante d’Eric Oberdorff pour ses collaborations et créations avec le Ballett Hagen (Allemagne), le Ballet du Grand Théâtre de Genève (Suisse) et le Ballet national de Marseille. Francesca Ziviani Elle commence à étudier la danse en 2002 à Rome avec Mauro Astolfi, chorégraphe de la compagnie SPELLBAUNDANSE. Elle part en France en 2003 pour suivre la Formation contemporaine jazz au Epsedanse avec Anne Marie Porras à Montpellier et poursuit en 2004 ses études au Conservatoire National Supérieur Musique et Danse de Lyon jusqu’en juin 2008. En 2008, elle a été interprète pour les chorégraphes Frédéric Lescure (création Ogives) et Emilio Calcagno (projet Pic), a créé un solo-duo en collaboration avec le pianiste Stefan Cassar et dansé pour le Festival Berlioz En 2009 elle a travaillé avec « Les Gens d’Uterpan » de Annie Vigier/Franck Apertet, avec la compagnie de Frédéric Cellé, la Cie « Etant Donné » et pour le projet « Nouvelle Vague » d’Emilio Calcagno. En 2010 elle travaille avec Olivier Dubois pour la performance Revolution et participe aux créations de la Cie CFB 451 de François et Christian Ben Aim, de la compagnie KassenK d’Osman Khelili, et au projet de la Cie Ando de Davy Brun. Elle rejoindra le centre chorégraphique de Jean Claude Gallotta en 2011 pour la recréation de Daphnis. Cristina Galofré Vargas Née à Barcelone, Cristina Gallofré Vargas étudie la danse classique et contemporaine à l’Institut del Teatre de Barcelona, Espagne et poursuit sa formation au Koninklijk Conservatorium de La Haye, Hollande. En 1997 elle intègre IT Dansa Jove Companyia, puis, en 1999 le Nederlands Dans Theater (Jiri Kylian). Cette époque marque son entrée dans le monde de l’assistance chorégraphique par une collaboration avec Gustavo Ramirez Sansano. En 2002, Cristina rejoint le ballet de l’Opéra de Lyon où elle travaille de nouveau avec Jiri Kylian, mais également avec Matz Ek, Maguy Marin, Nacho Duato, Angelin Prejlocaj entre autres. Depuis 2007, Cristina est assistante de chorégraphie pour les pièces de Jiri Kylian au sein de compagnies dans le monde entier. Tristan Robillard Né le 6 juin 1988, il commence par la danse classique vers l’âge de 11 ans chez Lucia Petrova. Plus tard, il a découvert la danse contemporaine et est entré au Conservatoire National de Région de Lyon en 2005 puis l’année suivante, il intégre le Conservatoire National Supérieur de Lyon. Au sein de ce dernier, il a effectué 4 années de formation dont un an de Jeune Ballet qui lui ont permis de travailler avec des chorégraphes tels que Michel Kéléménis, Kader Belarbi, Julien Monty, Yan Raballand... A l’issu de ces 4 années au CNSMD de Lyon, il a obtenu son Diplôme National Supérieur de Professionnel Danseur ainsi que ces unités de valeur en anatomie, musique et histoire de la danse. Actuellement, il est danseur free-lance, et a participé à la création d’Henriette et Matisse de M. Kéléménis programmée à la biennale de la danse de Lyon 2010. Jaime Roque De La Cruz Né à La Havane, il commence sa formation de danse à l’école National du Ballet de La HavaneCuba. En 1993, il rejoint le Ballet National de Cuba, sous la direction d’Alicia Alonso (1995 soliste et 1997 soliste principal). En 1998, il rejoint le Ballet Victor Ullate Madrid-Espagne. Entre 1999 et 2001, il intègre le Staats Theater Wiesbaden-Allemagne, sous la direction de Ben Van Cauwembergh. Fin 2001, il retourne chez Victor Ullate. De 2004 à 2010, il est au Ballet de l’Opéra National de Lyon, sous la direction de Yourgos Loukos. Giuseppe Bucci Né en Italie en 1978, Giuseppe Bucci est né à Foggia en Italie, il a développé sa formation de danseur à l’Ecole de danse du Teatro alla Scala de Milan . A l’âge de 15 ans il entre à l’Ecole Rudra Béjart et peu après il est engagé au sein du Béjart Ballet Lausanne . Deux ans plus tard, il est engagé à l’Aalto Ballet Theater de Essen ou il a travaillé avec plusieurs chorégraphes ( J.C.Maillot, R.Wherlock , J.L.Spniks..) et où il crée son premier travail chorégraphique ( Split Ego ). En 2000 il est engagé au Grand Théatre de Genève où il a dansé les chorégraphies de S. L. Cherkaoui, S. Teshigawara , W. Forsythe , J. Kylian , G. Jobin et autres. Il a élaboré en mème temps la creation de nouvelles pièce chorégraphiques dont « You’ve dialled the wrong number «, « Monolove «, « So close «, « Le syndrome de l’hippocampe «. Depuis 2010 il est artiste free-lance , partecipe à l’assistance à la mise en scène de pièces de theatre ( « Merlin et la terre devastée «, « Berengère «, « Love Letters « ) dirige la mise en scène de defilées de mode et il est professeur invité à Cedar Lake Contemporary Ballet de New York . Lesouconditions d un pre achat comment soutenir la création de Projet scénique Christoffa La production de Christoffa est d’ores et déjà en marche puisque Guy Darmet, directeur de la Maison de la Danse à Lyon, Jean Paul Bouvet, directeur du Toboggan, plateau conventionné danse à Décines et Michel Keleminis, directeur de « KLAP », Maison pour la Danse à Marseille apportent tous les trois leurs soutiens financiers et logistique à la pièce. A votre tour, soutenez la création de Christoffa par le biais d’un pré-achat d’un montant fixé à 5 500€ hors taxe. Et suivez l’avancée de la démarche de création en retenant dès à présent les prochains rendezvous que vous propose Davy Brun notifiés ci-dessous. Le calendrier de production de Christoffa Phase de pré-achat de décembre 2010 à avril 2011 Phase de présentation d’un extrait de la pièce - Fin octobre 2011, présentation à Question de Danse à Marseille - Le 16 décembre 2011, présentation aux professionnels au CDC I Le Pacifique à Grenoble. - Le 17 février 2012, avant-première au « KLAP », Maison pour la Danse à Marseille Résidences - Octobre 2011, début des répétitions au « KLAP », Maison pour la Danse à Marseille, nouvelle scène danse dirigée par Michel Kelemenis (ouverture prévue en sept/oct 2011). Cette première phase de répétition sera suivie d’une résidence scénique en février 2012. - Décembre 2011, résidence au CDC Le Pacifique à Grenoble. - Janvier 2012, résidence à l’Opéra théâtre de St étienne - Février 2012, résidence au « KLAP » à la Maison pour la Danse à Marseille Phase de fin de création en résidence Du 20 au 28 février 2012 au Toboggan à Décines. Représentations en 2012 29 février, 1 et 2 mars 2012 (Première mondiale) Le Toboggan à Décines Contacts er 7, 8 & 9 mars 2012 Opéra théâtre de St étienne 29 mars 2012 Théâtre municipal de Roanne 25 octobre 2012 La Rampe à échirolles - COMPAGNIE ANDO Davy Brun 21 rue Ravat 69002 Lyon - ADMINISTRATION [email protected] 06 83 30 02 21 - CHORégraphe [email protected] 06 29 73 04 22 Le projet est soutenu par la DRAC Rhône-Alpes, la région Rhône-Alpes et la ville de Lyon.