La chirurgie réfractive cornéenne progresse encore

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La chirurgie réfractive cornéenne progresse encore
Mars 2010
Cliniques Info
de la Vallée de l’Aube
Polyclinique Montier la Celle / Clinique du Pays de Seine / Clinique des Ursulines
POLYCLINIQUE MONTIER LA CELLE/CLINIQUE DU PAYS DE SEINE
Editorial
L
e groupe Vitalia a une
implantation
représentative dans
la Vallée de l’Aube et se devait
d’avoir pour sa communauté
médicale, sa lettre régionale.
Cette lettre va permettre à cette
communauté de faire connaitre
encore plus son dynamisme,
sa compétence qui font qu’il
existe dans les établissements
du Sud Champagne-Ardenne
une vraie offre de soins de haut
niveau que les patients ont
déjà plébiscitée.
Merci à tous les contributeurs
de ce premier numéro – il fallait
démarrer ! – en attendant avec
impatience les prochains
numéros qui nous
renseigneront sur la vie
quotidienne des établissements
et nous rapprocheront plus ou
moins vite d’une communauté
de partage tel que le souhaite
le groupe VITALIA.
Jacques Delfosse
Directeur Régional Est
La chirurgie réfractive
cornéenne progresse encore !
Dans le cas d’un œil sans défaut de vision, la cornée et le cristallin font
correspondre parfaitement la focalisation à la longueur de l’œil.
Dans les autres cas, les rayons lumineux ne se focalisent pas sur la rétine.
Pour corriger ces défauts visuels, la chirurgie réfractive au laser s’avère
toujours plus efficace.
A
ctuellement, les défauts de vision sont
classés en trois types. En cas de myopie tout d’abord, la personne est gênée
pour voir les objets lointains car son
œil est trop long et le point d’intersection des
rayons se trouve en avant de la rétine. L’hypermétropie constitue le cas contraire. L’hypermétrope
voit mal les objets proches car l’œil est trop court
et le point d’intersection des rayons se trouve en
arrière de la rétine. Certaines activités, telles que
la lecture, lui sont difficiles. Enfin, les yeux myopes
ou hypermétropes peuvent également être astigmates. Dans ce cas, la cornée n’est pas parfaitement sphérique mais se présente plutôt comme
un ballon de rugby. Les rayons lumineux, déviés
de façon non régulière, forment une ligne au lieu
d’un point. L’astigmate voit les objets déformés.
de cette station sont reconnus et validés par
la FDA (Food and Drug Administration) pour
les myopies jusqu’à -12 dioptries, pour les
hypermétropies jusqu’à +6 dioptries et pour les
astigmatismes de -6 à +6 dioptries.
Des solutions pour la chirurgie au laser Excimer
de la presbytie sont à l’étude.
La forme de l’œil prise en compte
Pour corriger ces défauts visuels, la chirurgie
réfractive s’est développée dans les années 70
pour voir apparaître, en 1987, la chirurgie réfractive
au laser. Au départ, le laser était utilisé uniquement
pour réaliser des PKR (Photo Kératotomie
Réfractive). Dans les années 1990, le LASIK
(LASer In-situ Kératomileusis) est devenu un
traitement de choix, évalué et reconnu dans le
monde entier. Grâce à cette chirurgie, ce sont
actuellement des millions de personnes qui
profitent de la vie sans contrainte de lunettes ou
de lentilles de contact.
Puis la station réfractive Wavelight Allegretto a
été conçue. Elle tient compte de la forme originelle
de l’œil humain et vise à améliorer ce que la
nature a créé. Le traitement par le laser Excimer
Allegretto Wavelight s’effectue en quelques
secondes durant lesquelles l’œil est parfaitement
suivi grâce à un «eye-tracker» qui identifie le
bord irien et compense tous les mouvements de
l’œil. Sécurité, fiabilité et prédictibilité des résultats
Le laser Excimer est un laser de photoablation qui va
réaliser un remodelage très fin de la cornée en ablatant quelques dizaines de microns à celle-ci.
CLINIQUE DU PAYS DE SEINE
Arthroplastie du genou :
une approche technologique
Le Docteur Yves Vanderschelden pratique au sein du Groupe Vitalia, à la Clinique du Pays de Seine à Romilly
sur Seine. Chirurgien orthopédiste, il nous explique son approche de la chirurgie prothétique du genou tournée
vers les nouvelles technologies.
Cliniques Info : Qu’apporte la chirurgie
assistée par ordinateur à la pose d’une
prothèse du genou ?
Cliniques Info : Ces perspectives de
développement technologique devraientelles apporter de nouveaux avantages ?
Cliniques Info : Et pour le patient, quels
sont les avantages de cette chirurgie plus
technologique ?
Docteur Yves Vanderschelden : La chirurgie
assistée par ordinateur permet de connaître de
façon exacte les angles et les espaces pendant
la réalisation d’une prothèse de genou et, par
conséquent, de mettre au point des méthodes
chirurgicales plus précises. Mais elle ouvre
surtout des perspectives. L’axe global du
membre, l’équilibre ligamentaire du genou et
l’appareil extenseur du genou peuvent être
intégrés dans la procédure de pose de la
prothèse, contrôlée et renseignée par un
ordinateur relié à deux caméras pour une vision
en 3 dimensions.
Dr Y.V. : Actuellement, des travaux sont en cours
pour que la procédure n’allonge pas la durée
opératoire. Je participe activement à l’élaboration
de ces nouveaux outils informatiques. Je ne
doute pas que ces moyens techniques
apportent une sécurité opératoire encore plus
importante, la possibilité de pratiquer une
chirurgie moins invasive et à terme, une évolution
des implants.
Dr Y.V. : Cette évolution de la chirurgie intègre
parfaitement les aspirations des patients. En
effet, le contrat thérapeutique comprend
désormais l’obligation de moyens et de résultats.
De même que le patient est renseigné sur le
traitement proposé et sur les complications
éventuelles, le chirurgien prend un engagement
sur l’efficience des techniques employées tandis
que l’anesthésiste garantit, notamment, la prise
en charge de la douleur.
CLINIQUE DU PAYS DE SEINE
Les pathologies du cristallin :
nous sommes tous concernés
Le cristallin est une lentille transparente biconvexe située derrière l’iris qui, par l’action des muscles ciliaires, sert
à la mise au point des images sur la rétine, pour une vision de loin et de près. Son vieillissement est inévitable et
se traduit fréquemment par la presbytie et/ou une cataracte.
L
a presbytie s’installe progressivement
à partir de 45 ans. Le cristallin perd
sa souplesse, son élasticité et sa
capacité à modifier sa courbure.
L’accommodation moins efficace et la vision
difficile d’objets rapprochés nécessitent alors le
port d’une correction optique pour la vision de
près.
La cataracte, qui évolue, elle aussi, avec le temps,
peut entraîner une baisse de vision de plus en
plus gênante. Face à l’absence de traitement
médical approprié, seul l’acte chirurgical
remplaçant le cristallin cataracté par un implant
intraoculaire permet la récupération de la vue. Ses
résultats sont excellents et les complications très
rares. Le chirurgien effectue une micro incision
de 2,2mm dans l’œil afin de retirer le cristallin
opacifié au moyen d’un appareil à ultrasons ou
par la projection d’un micro jet d’eau pulsée. Le
cristallin est alors remplacé par un implant
intra oculaire assurant les mêmes fonctions qu’un
cristallin sain. Après l’intervention, le patient
accompagné peut regagner son domicile car la
récupération visuelle est très rapide.
Implants monofocaux ou «premium»
L’implant est une lentille inusable dont le pouvoir
optique est calculé avant l’intervention par
échographie et qui reste définitivement dans
l’œil avec un résultat stable dans le temps.
Tous les implants actuels possèdent un filtre
ultra violet. Il en existe deux grandes familles : les
implants conventionnels monofocaux et les
implants «premium».
La cataracte opacifie
le Cristallin. Elle
entraîne une sensation
de brouillard
ou de voile devant les
yeux, une modification
des couleurs qui
deviennent plus
ternes, des halos
autour des lumières
ou des éblouissements au soleil.
Les implants monofocaux donnent d’excellents
résultats mais ne corrigent qu’un seul plan de la
vision, en général celle de loin. Le port de
lunettes correctrices est donc indispensable
pour la netteté de vision des autres plans, en
particulier la vision de près.
Les implants « premium » ont pour objectif de
diminuer la dépendance des patients aux verres
correcteurs. Ils permettent, dans la très grande
majorité des cas, une bonne vision à toute
distance sans verres correcteurs. Ne pouvant
néanmoins être proposés qu’aux patients ayant
des yeux parfaitement sains (en dehors de la
cataracte ou de la presbytie), ils nécessitent des
examens préopératoires.
L’intervention chirurgicale pour la pose d’un implant
intra-oculaire est de courte durée, 15 à 20 minutes, et
ne nécessite, le plus souvent, qu’une anesthésie locale.
POLYCLINIQUE MONTIER LA CELLE
L’arrivée du scanner pour un plateau
technique complet
Grâce à l’arrivée en décembre 2009 du scanner General Electric dernière génération, classe 3, le service de
radiologie de la Polyclinique Montier la Celle propose désormais aux médecins prescripteurs un plateau
technique complet ainsi qu’une orientation du patient vers l’examen le plus performant et le mieux adapté
à la pathologie présentée.
E
n effet, ce scanner vient compléter un
plateau technique déjà composé d’un
appareil I.R.M., qui fonctionne depuis
quatre ans, et d’un service de
radiologie attenant. Tout comme l’I.R.M., le
scanner a nécessité la création d’un G.I.E. entre
l’équipe médicale, composée de neuf
radiologues (sept temps plein, deux intervenants
extérieurs), et la Clinique du Groupe Vitalia.
Au bout de cinq semaines d’activité, l’équipe
médicale recevait déjà 150 patients par semaine
et observait une montée en charge progressive
des examens.
Une meilleure orientation du patient
Grâce à ce plateau technique aujourd’hui
complet, la Clinique propose des actes
d’imagerie mais également des actes de
radiologie interventionnelle, que ce soit en
radiologie ou au scanner (ponction, drainage,
biopsie). Elle permet de traiter à l’I.R.M. les
problèmes orthopédiques et les pathologies du
système nerveux central, tandis que tous les
problèmes digestifs et pulmonaires sont dirigés
vers le scanner. Enfin, ce plateau technique doit
favoriser le dialogue entre les radiologues et les
médecins prescripteurs afin d’orienter au mieux
les patients et d’éviter ainsi des examens inutiles,
inefficaces, dangereux et coûteux.
POLYCLINIQUE MONTIER LA CELLE
Le grand succès de l’arthroplastie de
hanche par voie de Hueter Mini invasive
L’arthroplastie de hanche par voie de Hueter est une technique ancienne importée par Jean et Robert Judet. Cette
technique en version mini invasive, suscite un intérêt particulier dans le monde entier. Le Docteur Pascal Moreau,
chirurgien orthopédiste à la Clinique Montier la Celle la pratique depuis 5 ans avec un recul de plus de 1000 patients.
pourtant la technique de l’arthroplastie de
hanche par voie de Hueter à 80 % de ses
patients. Le caractère mini invasif consiste, par
voie antérieure, à poser une prothèse totale par
une incision qui ne dépasse pas 10 cm, cela
sans sanctionner ni muscle, ni tendon.
La version mini-invasive de la technique de
l’arthroplastie par voie de Hueter consiste à poser une
prothèse totale par une incision qui ne dépasse pas
10 cm, cela sans sanctionner ni muscle, ni tendon.
S
i peu de chirurgiens l’utilisent
aujourd’hui, c’est qu’il s’agit d’une
technique opératoire exigeante sur le
plan technique. Cette intervention
demande une parfaite maîtrise de la chirurgie de
la hanche et une bonne connaissance des
prothèses de hanche. Le Dr Moreau propose
Le second frein au développement de cette
technique est d’ordre économique. Cette
intervention nécessite l’utilisation d’une table
orthopédique qui représente un investissement
de 70000 euros pour la clinique et ne peut se
concevoir que si l’activité chirurgicale est
importante. Cette technique a évidement
largement complété l’arsenal thérapeutique de
la Clinique et permet au Dr Moreau d’offrir à ses
patients le meilleur en matière d’évolution
technique.
Le Dr Moreau utilise aussi la voie classique,
c’est-à-dire la voie postérieure. « Je choisis
selon des critères morphologiques, cliniques
et radiologiques» indique-t-il. Le résultat d’une
prothèse de hanche doit être excellent quelque
soit la voie choisie. Certains cas sont difficiles à
réaliser par voie antérieure et sont gérés par voie
classique.
Une rééducation rapide et sans faille
Pour le patient, les suites opératoires de la
technique par voie de Hueter sont étonnantes.
Même si l’hospitalisation ne dure que 4 jours,
voire moins, la récupération fonctionnelle est
rapide. En effet, 80% des patients sont capables
de marcher sans canne à leur sortie de clinique,
de monter et descendre les escaliers. Ils
conduisent leur voiture dans les 15 jours qui
suivent l’opération. Surtout, le bénéfice le plus
important pour le patient, en dehors du côté
spectaculaire de la rééducation, est l’absence de
risque de luxation après le premier mois. «C’est
réellement la seule technique opératoire qui
permette au patient d’oublier sa prothèse »
mentionne le Dr Moreau. « Les patients n’ont
aucune appréhension pour se baisser, enfiler
les chaussettes ou faire certaines activités
sportives» poursuit-il.
Nommé «centre de référence» par un laboratoire
International, le Dr Moreau constate l’engouement
de ses confrères français et étrangers pour cette
technique. Depuis cinq ans, il reçoit des
chirurgiens américains, canadiens, australiens,
sud-africains et européens et se déplace pour
opérer en France et à l’étranger.
CLINIQUE DES URSULINES
Le Centre Urgence Main : six ans déjà !
Après six ans de fonctionnement, quels sont les acquis du Centre Urgence Main de la Clinique des Ursulines
de Troyes ? Comment a-t-il évolué et quelles sont ses perspectives d’avenir ?
T
rois indicateurs évoquent bien
l’activité du Centre Urgence Main : le
12 000ème opéré vient d’y être pris en
charge, 2500 à 3000 interventions
sont assurées par an par les trois chirurgiens
spécialistes de la main, 500 interventions
d’urgence ont lieu chaque année.
De plus, la capacité d’accueil des urgences
s’est accrue, cela grâce au Docteur Darbelley,
spécialisée en arthroscopie du poignet, et au
Docteur Métairy, spécialisé en pathologie du
coude. Arrivées respectivement en 2006 et
2009, elles ont contribué à renforcer le rôle du
Centre dans la prise en charge des urgences.
Aujourd’hui, le Centre assure ainsi la prise en
charge des urgences-main pour plusieurs
centres hospitaliers locaux ou régionaux (Troyes,
Sens, Auxerre, etc.) et se trouve de plus en plus
sollicité par le SAMU.
déjà été publiés (fiches techniques, cas
cliniques,…) et des réunions thématiques dont
trois se sont déjà tenues à l’institut Asclépiade.
Toutes les urgences sont acceptées, dans la
limite des possibilités d’accueil ou des
disponibilités du plateau technique. Les
interventions d’urgence sont toujours facturées
au tarif de la CPAM.
En interne, l’arrivée d’une infirmière, en charge
de l’organisation des soins, a permis la mise en
place d’une unité de soins externes pour les cas
difficiles ou nécessitant une surveillance accrue.
Une consultation dédiée aux plaies chroniques
des membres (maux perforants, escarres, etc.)
devrait également être ouverte.
Vers un Centre Urgence Pied ?
A l’avenir, le Centre souhaite s’engager encore
plus auprès de ses correspondants, qu’ils
soient médecins généralistes, rhumatologues ou
kinésithérapeutes. Cette coopération pourra
s’articuler à travers des outils dont certains ont
Enfin à plus long terme, un Centre Urgence Pied
pourrait être créé afin de satisfaire la demande
de plus en plus pressante des praticiens et des
patients.
Le parcours du Docteur Laurence Darbelley
Le parcours du Docteur Delphine Métairy
Le Docteur Laurence Darbelley effectue son parcours en faculté de
médecine et en internat à Strasbourg puis choisit la ville de Nancy pour
effectuer son cursus chirurgical, dans l'optique d'intégrer le plus
rapidement possible le centre SOS main de Dommartin les Toul et de
suivre la formation de chirurgien de la main.
L’école de Dommartin, où l’apprentissage s’effectue par
compagnonnage, est considérée comme l’une des meilleures de
France. Après avoir obtenu la médaille d’or, elle devient Chef de
Clinique. En novembre 2006, elle rejoint le Docteur Pasquier à Troyes.
«Pour y pratiquer la chirurgie de la main comme celle que l’on m’a
enseignée à Dommartin» témoigne le Docteur Darbelley.
A l’issue de ses années de faculté de médecine à Montpellier, le
Docteur Delphine Métairy s’intéresse à la chirurgie de la main lors de
son internat de chirurgie en orthopédie qu’elle effectue à Rouen.
Elle se perfectionne alors dans ce domaine en intégrant l’équipe
nantaise de chirurgie de la main des Docteurs Chaise et Bellemere. Par
la suite, elle exerce comme Attachée auprès du Professeur Oberlin, à
l’unité de chirurgie du membre supérieur et de la main à l’Hôpital Bichat.
Après avoir occupé le poste de Chef de Clinique à Reims, elle rejoint,
en mai 2009, l’équipe des Docteurs Pasquier et Darbelley. « Issus
d’écoles différentes, le dialogue n’est que plus enrichissant et les
solutions à apporter à nos patients ne sont que plus vastes» affirme
le Docteur Métairy.
Les chiffres 2009 des cliniques de la Vallée de l’Aube
Bienvenue !
Les Cliniques de la Vallée de l’Aube et le Groupe Vitalia souhaitent la
bienvenue :
au Docteur Benoît Serck, anesthésiste, arrivé en septembre 2009 ;
au Docteur Hassan Zoughaiby, orthopédiste, arrivé en septembre 2009,
au Docteur Enrico Ambrosini, gynécologue, arrivé en septembre 2009,
au Docteur Yves Vanderschelden, orthopédiste, arrivé en octobre 2009,
au Docteur Vincent Tassestti, chirurgien viscéral,
qui remplace le Docteur David Quinaux depuis février 2010 ;
au Docteur Alain Ioualalen, urologue, arrivée prévue en février 2010 ;
au Docteur Jean François Djamba, anesthésiste arrivé le 1er mars 2010
et au Docteur Eric Prevot, ophtalmologue, arrivée prévue en mars 2010.
Calendrier
A prévoir dans votre calendrier au printemps prochain : l’inauguration
du scanner de Montier la Celle, ouvert en décembre 2009.
Clinique du Pays de Seine
83 avenue Jean Jaurès
10100 Romilly-sur-Seine
Tél : 03 25 39 55 03
Fax : 03 25 39 55 56
www.vitalia-pays-de-seine.com
La Clinique des Ursulines à Troyes a compté 2800 séjours en
hospitalisation complète et 6500 en ambulatoire.
La Clinique Montier la Celle à Saint André les Vergers a dénombré
5300 séjours en hospitalisation complète et 2400 en ambulatoire.
La Clinique du Pays de Seine à Romilly sur Seine a accueilli 4600
patients dont 2820 en secteur ambulatoire.
Création de l’association humanitaire «Dès demain»
«Dès demain», association à vocation humanitaire, a pour but d’améliorer
les conditions de vie et de santé des populations défavorisées.
Créée sous l’impulsion des membres du service de chirurgie de la main
de la Clinique des Ursulines à Troyes, son action porte sur l’éducation
scolaire et sanitaire des populations, les soins médicaux et chirurgicaux,
le soutien aux dispensaires de brousse et aux centres hospitaliers de
référence. La première mission, composée d’une collecte de fonds et de
matériel et d’un bilan sanitaire en faveur de la région de Bobo-Dioulasso
au Burkina Faso, est prévue dès l’été 2010.
q Contact : [email protected]
Polyclinique Montier la Celle
17 rue Baltet
10120 St André les Vergers
Tél : 03 25 75 94 66
Fax : 03 25 79 60 39
www.vitalia-montier-la-celle.com
Clinique des Ursulines
17 rue Raymond Poincaré
10000 Troyes
Tél : 03 25 43 73 56
Fax : 03 25 43 45 15
www.vitalia-ursulines.com
Ce numéro de Cliniques info a été imprimé à 1 500 exemplaires.
2010020282
Brèves