DOSSIER DE PRESSE
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DOSSIER DE PRESSE
DOSSIER DE PRESSE ÉMILIE PEROTTO welcome to richwood ARNAUD VASSEUX abeille, ancre, chameau, cœur, étoile ... artiste invité dans le cadre du Printemps de l’Art Contemporain expositions du 14 mai au 24 septembre 2015 Manifestations inscrites dans le Printemps de l’Art Contemporain - Destination Mars __________________________________ CONTACT PRESSE Jennifer Labord [email protected] 06 13 20 65 41 ©Emilie Perotto Sommaire LA CRÉATION AU CENTRE RICHEBOIS 3 ÉMILIE PEROTTO ET LES STAGIAIRES DU CENTRE RICHEBOIS 4 AUTRE RENDEZ-VOUS - ARNAUD VASSEUX - ABEILLE, ANCRE, CHAMEAU, CŒUR, ÉTOILE... 6 AGENDA 9 INFORMATIONS PRATIQUES 10 2 LA CRÉATION AU CENTRE RICHEBOIS Depuis 2009, le Centre médico-social de Réadaptation Professionnelle Richebois accueille chaque année, dans le cadre du dispositif Culture et Handicap, et en partenariat avec voyons voir, un artiste plasticien en résidence pendant sept à neuf mois. Durant cette période, l’artiste est invité à mener des ateliers avec les stagiaires en formation au Centre ainsi qu’à produire une œuvre singulière. Ce cycle d’atelier se conclut par une exposition des travaux réalisés par les stagiaires et la présentation d’une œuvre originale de l’artiste invité, produite et réalisée au cours de sa résidence. Depuis l’année 2014, le Centre Richebois et voyons voir prolonge cette action par une programmation d’expositions temporaires qui viennent rythmer le temps de formation des stagiaires. Mis en situation de médiateurs, les stagiaires commentent eux-même les visites après avoir reçu les explications des artistes et profité d’une rencontre dans leurs ateliers. Des sorties découvertes de l’art contemporain dans des lieux dédiés tels que le FRAC, la Friche Belle de Mai, Le Mac ou certaines galeries Marseillaises viennent compléter le dispositif de sensibilisation. 3 ÉMILIE PEROTTO - WELCOME TO RICHWOOD Du jeudi 14 mai au jeudi 24 septembre 2015 Inauguration le mardi 12 mai de 16h à 20h Cocktail musical avec David Hernandez et l’association L’art plus fort que le handicap. De l’automne 2014 au printemps 2015, chaque quinze jours, Émilie Perotto a travaillé une journée entière au Centre Richebois. Elle a mené des ateliers de sculpture participatifs, avec des résidents en situation de handicap, bénéficiaires d’un stage de réadaptation professionnelle. Sculpture collective Le Foyer , 2015 polystyrène, mortier, chaux, pigment, pierre, roue de vélo Ensemble de sculptures réalisé sous la conduite de l’artiste par Franck Adaissi, Franck Aiello, Maguette Aloi, Malek Chekfa, Frédéric Cruz-Gusi, Marie–Lucie Mamberti, Karine Maurel, José Robalo Semedo, Kader Sadelli. « D’octobre à avril, nous avons travaillé à constituer un foyer. Est-il le vestige d’un ancien feu ou au contraire en construction ? De quoi est-il composé ? L’essentiel a été pour nous de cerner l’espace du foyer par des formes figurant des pierres. À l’intérieur de ce territoire délimité, toutes les formes sont à interpréter, tous les récits sont à inventer. Cependant, le plus important à percevoir n’est pas ce que cette sculpture collective représente, mais comment elle s’est construite. Chaque fragment de polystyrène recouvert de mortier ou de chaux est passé de main en main pour être travaillé. Sans organisation préétablie, c’est avec évidence que chacun a trouvé sa place, a utilisé ses compétences, a appris des autres. Notre foyer célèbre concrètement notre temps partagé, ensemble. » Photographies prises lors des ateliers encadrés par Emilie Perotto au Centre Richebois d’octobre 2014 à mai 2015. 4 Sculpture d’Émilie Perotto « Lucienne, Marc, Mathias, Marc, Lucienne », 2015 5 éléments en fonte d’aluminium À partir de ce travail commun, avec son expérience des ateliers et son lien avec les stagiaires l’artiste a mené sa recherche personnelle de création en construisant un dispositif d’assises pour inviter chacun à s’installer autour de ce foyer et bénéficier en plus d’un point de vue exceptionnel sur le paysage maritime environnant. Emilie Perotto, Le nœud, 2015, ©DR. Poursuivant son travail autour de la bûche de bois comme objet transitionnel, Émilie Perotto a choisi l’ancienne sculpture-siège qui représente une souche d’arbre épurée. Son désir était de la reproduire, en sélectionnant certains détails qui éloigneraient la sculpture finale de son référent végétal. Faisant écho à l’idée du foyer des stagiaires, l’artiste poursuit le lien avec Debout les morts, le roman de Fred Vargas [1995, 2000, éditions J’ai lu]. Pour cette création en extérieur, Émilie Perotto a porté son choix sur la technique de fonte en aluminium brut qui fait écho à la dalle de béton de la terrasse qui accueille le travail. Ainsi le cercle formé par les 5 souches similaires, mais uniques, vient entourer la sculpture collective des stagiaires et compléter leur création. L’ensemble devient la mise en forme d’un temps de vie et de travail en commun, elle appelle les visiteurs à faire de même. L’expérience artistique de l’œuvre devient une expérience spatiale et temporelle dans laquelle chacun peut prendre place. __________________________________ Née en 1980, Émilie Perotto vit et travaille à Lyon et Marseille. « Je préfère me présenter comme une artiste qui pratique la sculpture. C’est d’ailleurs plus juste par rapport à mon activité artistique des deux dernières années au cours desquelles j’ai travaillé avec des professionnels qui ont réalisé la majorité des formes que je désirais voir exister. Je « sculpte » rarement concrètement la matière aujourd’hui. Pour autant, je considère toujours pratiquer la sculpture car je pense des formes autonomes et non variables même si elles sont adaptables. C’est à dire que mes sculptures ne sont pas modifiables dans leur intégrité (je ne vais pas par exemple en couper un morceau). Mais, selon les occasions, je peux modifier leur protocole de monstration en changeant un socle, en ajoutant une lumière spécifique, en peignant une partie du sol, ou en posant une moquette, etc. Mon objet de travail est l’espace d’exposition pris dans sa globalité, plus que la matièremême. Mes sculptures interfèrent de plus en plus avec l’espace pour le souligner, et non le nier à leur profit. Elles ne sont plus là pour se faire « admirer » par le spectateur, mais pour révéler l’espace environnant et faire prendre conscience de celui-ci au visiteur ». (Extrait de l’entretien réalisé avec Caroline Engel entre avril et juin 2011 à l’occasion de discussions à Embrun et Marseille autour de la réalisation de L’esprit de contradiction (sculpture capucine) 1/2 et 2/2.) Expositions personnelles et récentes : - 2013, « Lent Dehors » au Château de Servières, Galerie des Ateliers municipaux de la Ville de Marseille. Cette année, Emilie Perotto est présente au sein de l’exposition collective « Il faut maintenant construire le monde » au FRAC Poitou - Charentes jusqu’au 13 juin 2015. En 2012, Émilie Perotto a été accueillie en résidence voyons voir au Château Grand Boise (Trets) 5 AUTRE RENDEZ-VOUS ARNAUD VASSEUX - ABEILLE, ANCRE, CHAMEAU, CŒUR, ÉTOILE... Exposition du jeudi 14 mai au jeudi 24 septembre 2015 Containers d’expositions - Richebois Vernissage le dimanche 17 mai 2015 de 11h à 17h Cette exposition s’inscrit dans la suite des recherches réalisées par Arnaud Vasseux lors de sa résidence dans la tuilerie Monier, dernière d’une industrie qui fut la plus importante de l’histoire de Marseille. Dans le Bassin de Séon, situé dans les quartiers nord de la ville, comprenant l’Estaque, St-Henri et St-André, étaient implantées plusieurs tuileries parmi les plus importantes : Guichard et Carvin, Roux Frères, Etienne Arnaud, Martin Frères, Saumati Frères, Régali, Pierre et Antoine Sacoman. L’exposition Abeille, ancre, chameau, cœur, étoile… rassemble des éléments liés à cette histoire paradoxalement méconnue des habitants de Marseille. Container 1 3 sérigraphies réalisées à partir d’images d’archives du musée d’Histoire de Marseille. (deux cartes postales sérigraphiées (présentant le recto et le verso), une sérigraphie de 140 x 103 cm encadrée, une sérigraphie (tuile écaille) contrecollée sur Dibond) Creux de Séon, 2014 sérigraphie, ocre rouge naturel sur polypropylène, 140 x 103 cm, 1/5 exemplaires (Image source : photographie anonyme, collection du centre de documentation du musée d’Histoire de Marseille). Œuvre réalisée avec le soutien des éditions INFRA et de l’ESBA-Nîmes. Cette sérigraphie reproduit une photographie d’archive issue du fonds documentaire du musée d’Histoire de Marseille; elle est imprimée à l’ocre rouge, un pigment minéral naturel très présent dans l’argile. Le choix de cette image d’archive permet de pointer cette part méconnue de l’histoire des quartiers nord, celle de ses tuileries et de sa culture ouvrière. Représenter le lieu d’extraction d’un matériau est aussi une façon de questionner sa propre pratique artistique. Avec quoi travaille t-on ? D’où cela vient-il ? Comment est-ce produit ? Quelle est l’histoire d’un matériau ? Quels sont les liens de ce matériau à l’histoire des sociétés humaines ? Arnaud Vasseux, Creux de Séon, sérigraphie, photographie de la sérigraphie et de la carte postale attenante, ©DR. Écaille, 2015 sérigraphie, 64 x 45cm, 1/15 exemplaires, auto édition (image source : photographie anonyme, collection du centre de documentation du musée d’Histoire de Marseille). Œuvre réalisée aux ateliers Tchikebe. Cette seconde sérigraphie a été réalisée en 2015 à partir du même fonds d’archives photographiques du musée d’Histoire de Marseille. Elle représente, en négatif, la fameuse tuile plate qui fût à l’origine du succès et du développement des tuileries du Bassin de Séon. Par sa forme autant que sa surface couvrante, elle était plus simple à fabriquer, à stocker et à transporter. Elle servait également de lest pour les bateaux qui repartaient à vide du port de Marseille. Arnaud Vasseux, Creux de Séon, sérigraphie, ©DR. 6 Container 2 A l’intérieur de deux vitrines fixées au parois du container, sont réunis un ensemble de fragments de tuiles et carreaux trouvés à l’Estaque en 2013 par les enfants d’une classe de CM2 de l’école Estaque gare. Les marques, 2015 2 vitrines de 300 x 27 x 13 (h) cm, terre cuite, Topan (base), contreplaqué et verre Collection de l’école de l’Estaque Gare et collection de l’artiste. Tous les tessons de tuiles présentés dans ces vitrines ont été collectés à même le sol dans différents lieux du Bassin de Séon. Deux collections sont mêlées afin de montrer les marques (ou les estampilles) que l’on retrouve fréquemment dans ce secteur aujourd’hui encore. Une de ses marques survit aujourd’hui sur les tuiles utilisées dans le sud de la France, c’est l’abeille, l’estampille de l’usine Guichard & Carvin qui était située au même endroit que l’actuelle usine Monier. Arnaud Vasseux, Les marques, ©DR. __________________________________ Né en 1969 à Lyon, Arnaud Vasseux vit à Marseille. Depuis plusieurs années, il utilise des matériaux empruntés au secteur du bâtiment ou de l’industrie avec une préférence pour les matériaux « à prise » comme le plâtre, la résine, la cire ou le verre. Il en considère leurs propriétés physiques, leurs possibilités et limites techniques pour créer et faire advenir des formes qui combinent fragilité, stabilité et résistance. Il questionne la nature même de ces matériaux, leur matière changeante, d’un état à l’autre, du liquide au solide. C’est par l’expérimentation que naissent projets et sculptures. La réalisation n’est jamais l’exécution appliquée d’un projet, c’est le lieu même où se transforme l’intention. Dans le temps de l’expérience, que ce soit à l’atelier, dans le lieu d’exposition ou en dehors, Arnaud Vasseux tient compte de ce qui arrive par une observation minutieuse et intuitive. Surprises et accidents sont accueillis et enregistrés. Son travail met en jeu des notions d’espace, de temps et de lieu par la pratique de la sculpture et particulièrement par l’exploration des possibilités issues des techniques du moulage et de l’empreinte. Expositions personnelles et récentes : En 2013, « Continuum, murmure » au Domaine de Kerguéhennec, « Phases de transition » à la Chaufferie (Strasbourg), « Nuage » au musée Réattu (Arles), « Caché derrière les apparences » à la Galerie du 5ème - une exposition coordonnée par le FRAC PACA et le CIRVA (Marseille). Cette année, Arnaud Vasseux présente « Physique des surfaces » une exposition personnelle à la galerie White Project (Paris) jusqu’au 30 mai 2015. En 2010 et 2011, dans le cadre du programme des ateliers participatifs et de productions du Centre Richebois, Arnaud Vasseux a mené un atelier avec un groupe de stagiaires. 7 L’association voyons voir | art contemporain et territoire Depuis 2007, voyons voir | art contemporain et territoire, accompagne des pratiques artistiques actuelles dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur par le développement de résidences d’artistes, la production d’œuvres et des actions de médiation en milieu rural ainsi que dans les espaces géographiques et sociaux non dédiés à l’art contemporain. L’association propose de nouvelles approches des sites, des paysages et des situations. La présence d’artistes sur place offre une véritable opportunité de sensibiliser de nouveaux publics à la création contemporaine et d’interagir avec le lieu. voyons voir | art contemporain et territoire est membre des réseaux d’Arts en résidence et Marseille Expos. Le Centre de réadaptation professionnelle Richebois Le centre de réadaptation professionnelle Richebois a pour vocation l’inclusion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap. L’accompagnement médico-social y est adossé à un parcours de formation déterminé par la MDPH à partir des aptitudes tant physiques que cognitives du travailleur handicapé et surtout de son projet de vie. Le séjour dans l’établissement succède souvent à de longues périodes de désinsertion (maladie, inaptitude…) et a pour objet d’accompagner la personne dans toutes les dimensions de sa reconstruction. Dans cet esprit, le Centre Richebois favorise l’expression artistique de ses usagers. Il accueille ainsi depuis 2009 chaque année un artiste pour une résidence de sept à neuf mois et l’invite à mener des ateliers avec les stagiaires en formation du Centre ainsi qu’à produire une œuvre singulière. Le Printemps de l’art contemporain Organisé par le réseau Marseille expos, Le Printemps de l’Art Contemporain présente pendant un mois une grande diversité d’expositions et d’événements dans toute la ville de Marseille dans les grandes institutions culturelles, les espaces expérimentaux et les galeries commerciales de Marseille expos. Durant les 4 jours d’ouverture, les propositions artistiques contemporaines, les invitations internationales, les atouts patrimoniaux et les trésors cachés invitent à découvrir la ville autrement. Plus largement, le Printemps de l’Art Contemporain affirme la création contemporaine comme vecteur de rayonnement, d’innovation et de dynamisme dans une ville en mutation. A l’occasion des éditions 2014 et 2015 Marseille expos innove en associant Caroline Hancock, commissaire d’exposition indépendante, pour imaginer la programmation autour d’un fil conducteur : La carte postale Lancement du 14 au 17 mai • 4 jours de parcours artistiques à Marseille, vernissages & nocturnes. 8 AGENDA LES RENDEZ-VOUS DU PRINTEMPS DE L’ART CONTEMPORAIN > MARDI 12 MAI 2015 De 16H à 20H Ouverture de l’exposition Welcome to Richwood d’Émilie Perotto, en présence de l’artiste. Cocktail musical d’inauguration avec David Hernandez et l’association L’art plus fort que l’handicap > DIMANCHE 17 MAI 2015 De 11H à 14h30 Inauguration de l’exposition Abeille, ancre, chameau, cœur, étoile... une proposition d’Arnaud Vasseux pour le Printemps de l’Art Contemporain 2015. Brunch en présence des artistes. Ouverture exceptionnelle des expositions de 11H à 17H Du 14 au 16 mai 2015, les expositions sont ouvertes en continu de 11h à 19h. VENIR EN NAVETTES Pendant ces rendez-vous, Marseille expos avec le soutien de la fondation LOGIREM, met à disposition du public des navettes (dans la limite des places disponibles). Pour les horaires et les arrêts précis, veuillez consulter le site : pac.marseilleexpos.com ACTIONS DE MÉDIATION Pour chacune des expositions, voyons voir développe des actions de sensibilisation et de médiation. Elles sont conçues en collaboration avec les acteurs territoriaux ou culturels des territoires investis et ont pour but de créer un dialogue de proximité par une sensibilisation à l’art contemporain. Pour les expositions d’Emilie Perotto et d’Arnaud Vasseux le travail de médiation se fera avec la complicité des stagiaires du Centre Richebois. > Visites guidées : Du 18 mai au 24 septembre 2015, du lundi au jeudi, uniquement sur rendez-vous. Veuillez nous contacter sur : [email protected] ; 04 43 38 73 46 > Fermeture du Centre Richebois du 1er août au 1er septembre 2015. 9 INFORMATIONS PRATIQUES Centre Richebois 80, impasse Richebois 13016 Marseille 04 91 09 48 00 - www.centre-richebois.com Expositions ouvertes du lundi au jeudi - du 18 mai au 24 septembre 2015 Visites uniquement sur rendez-vous, veuillez nous contacter sur : [email protected] ; 04 43 38 73 46 > Fermeture du Centre Richebois du 1er août au 1er septembre 2015. Accès En voiture Depuis Marseille : A55 sortie 6 « Saint-Henri », dir. Verduron Depuis Aix-en-Provence : A7, sortie 32 « Saint-Antoine », dir. Verduron, suivre le Bld Henri Barnier En transport en commun Depuis Marseille : Départ Bougainville, Bus 25, dir. « Saint Antoine », arrêt Roussin Barnier, rejoindre Impasse Richebois. Contacts Médiation et visites guidées sur rendez-vous : 04 42 38 73 46 / [email protected] Presse : Jennifer Labord / 06 13 20 65 41 / [email protected] + D’INFOS : www.voyonsvoir.org / 04 42 38 73 46 / [email protected] voyons voir | art contemporain et territoire est membre des réseaux d’Arts en résidence et Marseille Expos. voyons voir | art contemporain et territoire est soutenue par : Le Conseil Régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, Le Conseil Départemental des Bouches-du-Rhône, la DRAC PACA, la Communauté du Pays d’Aix (CPA) et la Ville d’Aix-en-Provence. Partenariats privés : L’entreprise Bâtimétal, Le Jardin des 5 Sens et des Formes Premières, les tuileries Monier, le Centre de Réadaptation Professionnelle de Richebois, le Domaine de Saint-Ser. Partenariats culturels : Atelier Ni, Domaine départemental du Château d’Avignon, L’Ecole Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence. Partenaires médias et presse : Paris Art 10