Techniques de sondage

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Techniques de sondage
© RANDRIAMITANTSOA
TECHNIQUES
DE
SONDAGE
Prise de notes et résumé du cours de la 2ème année de Licence en Economie,
Faculté DEGS, Université d’Antananarivo, Madagascar.
Reproduction interdite.
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© RANDRIAMITANTSOA
PLAN RESUME DU COURS
A. LA TECHNIQUE
QUALITATIVE
I.
Observation
1) Observation participante
2) Observation non participante
3) Observation dissimulée
2) QCM/QCU
3) Question à échelle de Likert
4) Question fermée numérique
bipolaire
5) Question à ordre de préférence
6) Plan type d’un questionnaire
II.
C. LA RECHERCHE
QUALITATIVE
I.
Les différentes étapes d’une
enquête
1) Objectif général
2) Objectifs spécifiques
3) Instruments d’observation et outils
d’observation
4) Collecte d’information
5) Traitement et analyse des résultats
a) Univariée
b) Bivariée
Analyse de contenu (ou
recherche bibliographique ou
analyse documentaire)
1) Lister tous les ouvrages nécessaires
ou pertinents,
2) Différents niveaux de lecture
3) Synthèse
III.
1)
2)
3)
4)
a)
b)
Entretien
(=interview=enquête
qualitative)
Directif
Semi-directif
Non directif
Entretien de groupe
Réunion de groupe d’activité
Réunion de créativité
B. NOTIONS SUR LES
QUESTIONS
I.
Questions ouvertes
1) Numériques
2) Non numériques
3) Semi-ouvertes
II.
Questions fermées
1) Dichotomiques
2
II.
1)
a)
b)
c)
d)
e)
Problème d’échantillonnage
La méthode probabiliste
Aléatoire simple
Stratifié
Systématique
En grappe
A plusieurs degrés
2)
a)
b)
c)
d)
e)
f)
La méthode non probabiliste
Selon la convenance
Selon le jugement
En boule de neige
Volontaire
Par quota
Aérolaire
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A. LA TECHNIQUE QUALITATIVE
I.
Observation
Observer, c’est décrire de visu des faits. Comment procéder à des observations ?
1) Observation participante
On vit l’évènement, on est en contact direct avec la population statistique.
L’observateur est identifié par l’observé. Ex ; rapport de grève, la vie des prisonniers, TP
de Biologie.
2) Observation non participante
On observe de loin. L’observateur peut être identifié ou non par les observés.
L’identification peut modifier les informations et en altérer la véracité et le naturel.
3) Observation dissimulée
Espionnage, l’observateur n’est pas identifié par les observés.
II.
Analyse de contenu (ou recherche bibliographique ou analyse documentaire)
Il s’agit d’une analyse qualitative pour recueillir des informations. Cette technique
est basée sur la recherche de documents.
1) Lister tous les ouvrages nécessaires ou pertinents,
Quand on est en face d’un livre, la première chose à faire est de noter le titre, puis de
lire le résumé et enfin de voir la table des matières.
2) Différents niveaux de lecture
1ère lecture : une lecture diagonale de tous les ouvrages, prendre des notes pour les
idées principales.
2ème lecture : lecture en profondeur
3ème lecture : faire sortir les idées communes des ouvrages puis dégager les idées
spécifiques de chaque ouvrage
3) Synthèse
Après ces trois niveaux de lecture, on passe à la synthèse qui va fournir les
informations pertinentes.
III.
Entretien (=interview=enquête qualitative)
C’est une entrevue entre le questionneur qui recherche des informations et la source
d’information qui répond à ces questions. Le second n’a pas le droit de poser des
questions. Donc c’est un phénomène à sens unique. Le lieu doit être convenable (mettre la
personne à l’aise) sauf lorsqu’il s’agit d’un entretien juridique. Un entretien est
généralement basé sur des questions ouvertes, contrairement à l’enquête ou à l’enquête par
sondage. En général, il y a trois (3)1 types d’entretien :
1) Directif
On dirige le répondeur avec des questions qui vont converger vers l’information
unique recherchée. Exemple : chez le médecin pour déterminer la maladie.
1
L’entretien de groupe est considéré comme une exception, un nota bene.
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2) Semi-directif
On pose une question puis une autre si les réponses sont ou ne sont pas
satisfaisantes. Les questions sont alors plus descriptives et plus ouvertes. Exemple :
enquête judiciaire, émissions télévisées.
3) Non directif
On pose une question et on laisse l’interlocuteur s’exprimer, même si c’est hors
sujet.
4) Entretien de groupe
Lorsque l’entretien est réalisé entre plusieurs interviewers et plusieurs interviewés
pour avoir un maximum d’informations et libérer les interlocuteurs, on dit qu’on fait une
réunion de groupe ou un entretien de groupe, ou un « brain storming ». Dans la pratique,
pour avoir un maximum d’informations, on augmente le nombre de chercheurs et de
questionnés. Dans ce cas, on a une réunion de groupe. Il existe deux types de brain
storming :
a) Réunion de groupe d’activité
Les membres du groupe sont des individus représentatifs (ou non) de la population.
En général, on procède à cette réunion pour tester les instruments d’observation
(questionnaire) ou avoir un aperçu d’idées et d’informations.
b) Réunion de créativité
Les membres du groupe sont choisis parce qu’ils sont des spécialistes ou des
professionnels dans le domaine d’étude.
Remarque générale2 : En général, on doit faire apparaître dans un groupe les
éléments suivants :
-
-
Le leader (le chef, celui qui dirige, celui qui motive…)
Le beau parleur (qui parle sans rien dire, il peut constituer une motivation ou un
divertissement pour alléger les fardeaux et la tension du groupe)
L’inhibé (il s’agit du timide qui a des idées mais qui ne les révèle pas, il suffit alors de
l’encourager à parler)
L’autorité (c’est la haute personnalité qui donne un air officiel à la réunion, il ne
connaît pas forcément le sujet de discussion, il peut s’agir d’un ministre, d’un
président, d’un directeur…)
Les gens ordinaires.
B. NOTIONS SUR LES QUESTIONS
I.
Questions ouvertes
La personne interrogée est libre d’apporter ses réponses, il y a donc libre expression.
1) Numériques
La question ouverte est numérique si la réponse est chiffrée.
Quel âge avais-tu au moment de rencontrer ta femme ?
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Valable pour les deux types de réunion.
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2) Non numériques
La question ouverte est non-numérique si la réponse n’est pas chiffrée.
Quels caractères admires-tu le plus chez ta femme ?
3) Semi-ouvertes
C’est une question fermée mais on ne montre pas la liste des réponses au questionné.
II.
Questions fermées
Lorsqu’on associe à la question une liste de réponses dans laquelle le répondeur aura
à choisir sa ou ses réponses. Pour pouvoir poser des questions fermées, il faut au prime
abord avoir fait une analyse de contenu. Ensuite, il faut avoir compilé les réponses
possibles en une série de réponses, sous forme d’intervalles ou d’échelle, ou de catégorie.
1) Dichotomiques
Deux possibilités de réponses : OUI et NON.
T’appelles-tu Jean ? Soit OUI, soit NON.
2) QCM/QCU
Dans une QCM, on a à choisir une ou plusieurs réponses. Dans une QCU, on est
face à une question à choix unique.
QCM : Quels sont les fruits que tu aimes ?
o Poire
• Corossol
• Pomme
•
Raisin
o Goyave
• Banane
• Papaye
o Pêche
QCU : Quel est ton fruit préféré ?
• Pomme
• Poire
• Corossol
• Goyave
• Banane
• Raisin
o
Papaye
• Pêche
3) Question à échelle de Likert
Il s’agit de QCU à réponses standard, notamment :
Tout à fait d’accord,
D’accord,
Tout à fait en désaccord
Ou encore :
Tout à fait insatisfait,
Un peu satisfait,
Satisfait,
Tout à fait satisfait
4) Question fermée numérique bipolaire
Il s’agit d’utiliser une échelle contenant deux pôles bien distincts. La réponse peut se
situer entre les deux pôles.
Veuillez noter de 1 à 10 votre satisfaction en ce qui concerne le cours.
5) Question à ordre de préférence
On demande à l’interviewé de classer ou d’ordonner les réponses proposées.
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Veuillez classer selon votre préférence les marques commerciales suivantes : NIKEPUMA-ADIDAS-REEBOOK-FILA.
Exemple de réponse : FILA-REEBOOK-NIKE-PUMA-ADIDAS.
6) Plan type d’un questionnaire
Un bon questionnaire dans les normes doit être rédigé de la manière suivante :
I-
En-tête de page
Date d’enquête, heure d’enquête, région d’enquête, code enquêteur, et
éventuellement le numéro du questionnaire. Tout ceci pour avoir un repère spatiotemporel afin de mieux apprécier (évaluer la pertinence) les réponses.
II-
Objet de l’enquête et remerciements pour avoir accepté d’être questionné.
III-
Questions filtres
Ce sont des questions qui n’ont pas de lien direct avec l’enquête. En général, les
questions sont orientées vers l’identité anonyme du sujet (âge, sexe, …) et de son CSP
(Catégorie SocioProfessionnelle. Lorsque l’enquête est commerciale3, les questions filtres
sont placées en fin de questionnaire.
IV-
Informations principales ou chapitres ou parties du questionnaire
C’est le corps du questionnaire, chaque partie sera suivie automatiquement des
questions qui lui sont associées. Le nombre de chapitres doit être au moins égal au nombre
d’objectifs spécifiques de l’enquête.
V-
Remerciements pour avoir collaboré.
NB 1 : Dans le traitement des réponses fermées, la technique de tri à plat consiste à
compter, à faire un dénombrement statistique. Il s’agit donc de calculer la moyenne, la
variance d’une variable, etc.
NB 2 : Pour analyser les réponses à une question ouverte, on procède suivant trois étapes :
Etape 1 : Trier les idées principales,
Etape 2 : Regrouper pour faire ressortir les modalités,
Etape 3 : Tri à plat des, ou de la, variable(s).
NB 3 : Classement selon l’ordre de facilité d’analyse des réponses (ordre décroissant) :
Ouvertes < Semi-ouvertes < Fermées
NB 4 : Les résultats bruts des caractères quantitatifs discrets se répètent la plupart du
temps, de façon non négligeable. Donc le même caractère peut être discret dans une
population et continue dans une autre.
3
Dans le cas des EDM en Marketing.
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C. LA RECHERCHE QUANTITATIVE
On distingue trois grandes techniques quantitatives de collecte de données :
-
L’observation ou le recensement : observer un ensemble et noter tout ce qui est
dénombrable.
-
L’enquête, le sondage ou l’enquête par sondage : c’est la technique la plus fréquente.
C’est une technique qui consiste dans le domaine social d’abord puis économique et
commercial. La différenciation entre enquête et sondage, est subtile. L’enquête
consiste à interroger toute la population, on obtient alors beaucoup d’informations. Le
sondage consiste à utiliser un échantillon, et l’information est peu nombreuse. A noter
qu’un référendum est une enquête, mais les statistiques qui précèdent ce référendum
est un sondage.
-
L’expérimentation : le résultat est obtenu à partir de l’expérience. A chaque
expérimentation est associée une variable aléatoire.
NB : L’estimation est différente de la prévision. L’estimation est faite sur un fait
dans le présent, alors que la prévision est faite sur un fait dans le futur. J’estime que tu
peux suivre correctement les cours à l’ENSEA, car tu es déjà en train d’étudier à
l’ENSEA. Par contre, je prévois que je pourrai suivre correctement les cours à l’ENSEA
car je n’y serai que prochainement.
I.
Les différentes étapes d’une enquête
1) Objectif général
Définir l’objectif de l’enquête.
Quel est le problème qui a amené l’interrogation ?
La pauvreté à Madagascar.
2) Objectifs spécifiques
Définir les détails de l’objectif général. Ces détails doivent être vérifiables par les
statistiques ou par d’autres documents pertinents. Les objectifs spécifiques doivent être
plusieurs, et l’idéal est d’en avoir trois ou quatre dans un devoir à l’examen. A noter que
les réponses aux objectifs spécifiques doivent converger pour répondre à l’objectif
général.
Origines de la pauvreté.
Conséquences de la pauvreté
Anticipations sur le futur.
3) Instruments d’observation et outils d’observation
Etablir les instruments d’observation, il s’agit du plan d’observation ET de l’outils
d’observation.
a)
-
Plan d’observation :
Quoi ? Connaître la variable qu’on doit observer.
Qui ? Connaître la population.
Combien ? Connaître la taille de l’échantillon.
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-
Comment ? Connaître la méthode de choix de l’échantillonnage idéal, connaître le
mode d’administration du questionnaire c'est-à-dire comment va-t-on faire parvenir le
questionnaire à l’échantillon, dans le genre déposer les questionnaires à l’entrée d’un
supermarché, ou attendre les enquêtés à la sortie de l’université…
b) Outil d’observation
Il s’agit de la technique d’observation, c'est-à-dire du questionnaire.
4) Collecte d’information
Dans cette étape, on envoie les enquêteurs sur terrain pour collecter les informations,
les réponses aux questions.
5) Traitement et analyse des résultats
L’analyse des résultats peut avoir deux catégories : l’analyse univariée et l’analyse
bivariée.
a) Univariée
Cette analyse utilise uniquement une seule variable. Analyse de toutes les réponses à
une seule question.
b) Bivariée
C’est ici qu’on applique le tri croisé (par exemple sous Excel ou Sphynx) pour
connaître la relation de dépendance et permettre de faire des prévisions afin que la
connaissance de la première variable puisse nous donner automatiquement la
connaissance de la seconde variable.
6) Rapport final
II.
Problème d’échantillonnage
L’échantillonnage comporte deux problèmes. Le premier problème est celui que
nous avons étudié en Stat-Maths 3 ( Χ1 ≠ Χ 2 ) et le second problème consiste à savoir
comment choisir les éléments de l’échantillon afin que ce dernier soit représentatif de la
population.
1) La méthode probabiliste
Cette méthode est basée sur le fait que chaque individu de la population a une
chance de figurer dans l’échantillon.
a) Aléatoire simple
Numéroter les individus de la population à partir de la base de sondage4. Ensuite,
choisir au hasard les individus de l’échantillon. On peut utiliser pour cela la fonction
« random » de la machine à calculer, ou encore une table des nombres aléatoires. Dans ces
deux cas, les individus de la population sont considérés comme des boules numérotées et
indiscernables au toucher.
4
La base de sondage peut être la liste des élèves ITSB de l’ENSEA, ou encore la liste des résidents à
Madagascar, ou encore la liste des habitants de la mairie du 2ème arrondissement d’Antananarivo.
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b) Stratifié
On partitionne la population en couches ou strates en fonction des caractères
pertinents de la population ou de l’étude. Dans chaque strate, on prélève des échantillons
aléatoires simples, et l’ensemble constitue l’échantillon final.
c) Systématique
On choisit au hasard le premier élément. Ensuite, on définit le taux de sondage ou
pas de la translation. En général, on prend le rapport k=N/n. enfin, on en déduit les autres
individus de l’échantillon5 à partir de son précédent avec 1 pas = k.
d) En grappe
On partitionne la population en grappes (agglomérations, semblables aux grappes de
raisins). Les individus d’une grappe vérifient la même propriété ou la même
caractéristique. On choisit de façon aléatoire simple des grappes de la population strates et
grappes peuvent être combinées.
Exemple de grappe : église, école, tranches d’âge, CSP…
e) A plusieurs degrés
On définit la population puis on filtre les individus à partir des caractères ou
propriétés pertinents de l’étude jusqu’à obtenir un nombre suffisant d’individus-ressources
(qui détiennent des informations concernant d’autres individus, exemple le maire, le
médecin, la police).
Exemple : enquête auprès des entreprises franches de Madagascar.
Filtre 1 : les 22 régions de Madagascar
Filtre 2 : Les secteurs d’activité
Filtre 3 : les présidents des groupements.
2) La méthode non probabiliste
Cette méthode est basée sur le jugement du chercheur.
a) Selon la convenance
On choisit l’individu car il est plus facile à contacter ou à convaincre de participer à
l’enquête.
b) Selon le jugement
L’individu est choisi car il est source pertinente d’information.
c) En boule de neige
Utilisée lorsqu’il est difficile d’identifier et de contacter les individus. On identifie
les individus ressources qui se chargeront de contacter les autres individus. Par exemple,
enquête sur les prostituées, l’individu ressource est le maquereau ou la maquerelle (le chef
de groupe, celui qui négocie avec les clients pour trouver la bonne prostituée pouvant
satisfaire les goûts singuliers du client), ou encore les médecins du SIDA, ou les assistants
sociaux, ou les prêtres chez lesquels les prostituées se confessent après avoir travaillé.
5
On peut le comparer à une suite arithmétique de raison k.
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d) Volontaire
Les individus de l’échantillon s’auto-sélectionnent. Par exemple enquête sur la
qualité de service dans un établissement bancaire, on met les questionnaires sur le guichet
et chaque client est libre de le remplir ou pas, ensuite ceux qui ont rempli le questionnaire
le mettent dans une urne spéciale faite pour cela.
e) Par quota
Les propriétés fondamentales de la population doivent être reflétées dans
l’échantillon.
f) Aérolaire
On choisit les individus par zone géographique, on peut combiner les différentes
techniques d’échantillonnage probabiliste et non probabiliste. La définition de la
technique d’échantillonnage dépend surtout de l’objectif de l’étude, des contraintes liées à
cette étude.
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ANNEXE : EXEMPLE DE QUESTIONNAIRE
(MINI-PROJET ACCOMPLI EN 2ème ANNEE)
Date…………………….
Heure …………..............
Lieu …………………….
Enquêteur……..………...
Objet : Sondage d’opinion sur la gestion des dépenses et des bourses d’études
des étudiants en 1ére année à la faculté DEGS de l’Université d’Ankatso.
À l’occasion d’un mini-projet proposé par l’administration, nous, étudiants en 2è
année de la filière économie de la Fac-DEGS, vous invitons à répondre aux questions sous
mentionnées. Votre participation est vivement souhaitée et merci d’avance de bien vouloir
collaborer avec nous.
Questions filtres
1. Sexe de l’individu :
Féminin (1)
Masculin (2)
2. Quel âge avez-vous ?
15 à 18 ans (1)
18 à 21 ans (2)
21 à 24 ans (3)
Plus de 24 ans (4)
3. Quelle est votre filière ?
Droit (1)
Économie (2)
Gestion (3)
Sociologie (4)
4. Veuillez mentionner votre adresse, que vous habitiez avec vos parents, ou non:
………………………………………………
I-
Les différentes sources de revenus des étudiants
1. Avez-vous des subventions autres que la bourse d’étude ?
Oui (1)
Non (2)
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2. Si oui, quel en est le montant ?
Inférieur à Ar 30000 (1)
Entre Ar 30000 et Ar 50000 (2)
Entre Ar 50000 et Ar 100000 (3)
Supérieur à Ar 100000 (4)
3. À combien, en Ariary, s’élève la participation de vos parents dans votre revenu
mensuel ?
…………………………………………………..
4. Vos parents vous influencent-ils dans la gestion de votre bourse ?
Jamais (1)
Quelquefois (3)
Rarement (2)
À chaque fois (4)
II-
La répartition des dépenses fréquentes des étudiants
1. À quelles fins utilisez-vous vos bourses ?
Alimentation (1)
Documentation (2)
Transports (3)
Habillement (4)
Divertissements (5)
Épargne (6)
Autres (7)
2. En vous référant aux montants ci-dessous, combien en Ariary, seraient vos dépenses
mensuelles en alimentation et en transport ?
Alimentation
4000 (1)
[4000-12000[ (2)
[12000-28000[ (3)
[28000-40000[ (4)
Plus de 40000[ (5)
Transports
0 (6)
[0-14400[ (7)
[14400-28800[ (8)
Plus de 28800 (9)
3. Jusqu’à quel montant estimez-vous dépenser, pendant une année, en documentation ?
……………………………………………………………………………….
4. Combien de temps mettez-vous à dépenser la totalité de votre bourse ?
Entre 1 et 2 jours (1)
Entre 2 jours et 1 semaine (2)
Entre 1 et 2 semaines (3)
Entre 2 semaines et un mois (4)
Entre 1 et 2 mois (5)
Plus de 2 mois (6)
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III-
Opinions des étudiants sur les bourses d’études
1. Veuillez marquer sur l’échelle en bas votre satisfaction au regard du montant de la
bourse d’études.
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
2. Êtes-vous satisfait du calendrier de bourse ? Mesurez votre satisfaction de 0 à 10.
0
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
3. Que pensez-vous du système de virement bancaire ?
Tout à fait inutile (1)
Inutile (2)
Utile (3)
Tout à fait utile (4)
4. Veuillez numéroter, selon votre préférence le mode de paiement de bourses et votre
satisfaction correspondante.
Modes de
paiement
Satisfactions
Retrait au CCP
Retrait
individuel
auprès de
l’administration
Retrait à la
banque
Retrait auprès de
la caisse de
distribution à la
Faculté
Satisfait
(1)
(2)
Un peu satisfait
(5)
(6)
Non satisfait
(9)
(10)
(3)
(7)
(11)
(4)
(8)
(12)
À la fin de ce sondage, nous tenons encore à vous remercier pour votre chaleureuse
collaboration.
FIN
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