ab447 [46 ko] - Fédération Bancaire Française
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• du 3 janvier 2001 La banque en ligne ne modifie pas la relation à l’agence et le passage des PME à l’euro est encore loin d’être réalisé Page 2 Rappel du calendrier de passage à l’euro Page 3 Nº 447 Accord européen sur la proposition de directive relative à la fiscalité de l’épargne Page 4 Fédération Bancair e Française Naissance de la Fédération Bancaire Française (FBF) Banques commerciales françaises (regroupées auparavant au sein de l’Association Française des Banques - AFB) et banques coopératives et mutualistes sont désormais réunies au sein d’un même organisme professionnel. Le président de la FBF est Jean Laurent, directeur général du Crédit Agricole. L’AFB garde ses compétences en matière sociale, notamment en ce qui concerne la convention collective. Billet RÉVEILLONS ! Changement d’année, de siècle et de millénaire. C'est l'époque des bonnes L es huit membres fondateurs, l’Association Française des Banques (AFB), BNP Paribas, la Caisse Nationale des Caisses d’Epargne et de Prévoyance, la Caisse Nationale de Crédit Agricole, la Chambre Syndicale des Banques Populaires, la Confédération Nationale du Crédit Mutuel, le Crédit Lyonnais et la Société Générale viennent d’approuver les statuts de la Fédération Bancaire Française et les ont déposés pour les formalités légales d’enregistrement*. Le Comité exécutif est composé de Bernard Maurel (AFB), Michel Pébereau (BNP Paribas), Charles Milhaud (Caisse Nationale des Caisses d’Epargne et de Prévoyance), Jean Laurent (Crédit Agricole), Philippe Dupont (Chambre Syndicale des Banques Populaires), Etienne Pflimlin (Confédération Nationale du Crédit Mutuel), Jean Peyrelevade (Crédit Lyonnais) et Daniel Bouton (Société Générale). A l’unanimité, Jean Laurent été désigné président, Michel Pébereau, premier viceprésident, Bernard Maurel, deuxième vice-président, Philippe Dupont, trésorier. Gilles Guitton a pour sa part été nommé directeur général. Il est également directeur général de l’AFB. La FBF sera opérationnelle à partir du 1er février 2001, date à laquelle l’AFB transférera à la FBF * Publication de la création de la FBF dans le J.O. du 30.12.00 l’ensemble de ses activités (à l’exception du domaine social) ainsi que la totalité du personnel concerné. L’AFB continuera d’exercer pour les banques commerciales et le groupe des Banques Populaires sa mission de syndicat patronal gestionnaire de la convention collective. La FBF recouvre 512 banques, dont 361 banques AFB, 52 caisses régionales de Crédit Agricole, 30 Banques Populaires, 24 établissements affiliés à la Confédération Nationale du Crédit Mutuel, 34 Caisses d’Épargne et 11 établissements affiliés à la Caisse Centrale de Crédit Coopératif. Ces banques comptent 25 500 guichets permanents en France, 500 000 salariés en France et dans le monde et 48 millions de clients en France. Elles totalisent 18 800 milliards de francs de total de bilan, 380 milliards de francs de produit net bancaire (PNB) et 110 milliards de francs de résultat brut d’exploitation (RBE). Les banques FBF collectent en France 4 820 milliards de francs de dépôts, 1 700 milliards de francs via leur filiales d’assurance vie, soit 45 % de l’ensemble des placements assurance vie, 3 028 milliards de francs par le biais de leurs sicav et FCP, soit 71 % du total des placements collectifs. Avec ces ressources, elles accordent 4 570 milliards de francs de crédits dont 2 385 milliards de francs aux entreprises, 1 800 milliards de francs aux seules PME-PMI et 1 600 milliards de francs à l’international ■ résolutions. Que faut-il souhaiter à la banque de demain ? Encore plus de satisfaction pour ses clients ! De nouvelles prestations de services financiers à créer ! Un terrain réglementaire plus stable et sans équivoque ! Bien sûr. Mais en ce lendemain de réveillons, l’essentiel pour 2001 restera de réveiller l’euro. ASSOCIATION FRANCAISE DES BANQUES Image des banques auprès des PME LA BANQUE EN LIGNE NE MODIFIE PAS LA RELATION À L’AGENCE ET LE PASSAGE DES PME À L’EURO EST ENCORE LOIN D’ÊTRE RÉALISÉ La cinquième vague de l’Observatoire de l’image des banques auprès des PME* réalisée du 10 octobre au 13 novembre 2000 par la SOFRES pour le compte de l’AFB confirme la pérennité de la confiance des entrepreneurs et leur satisfaction vis-à-vis de leur banque. Elle révèle que l’utilisation par les entrepreneurs des services bancaires en ligne de leur banque se développe, et que la satisfaction de ce segment de clientèle est relativement élevée. Elle souligne aussi que la grande majorité des entreprises n’envisagent pas leur passage à l’euro avant le second semestre 2001. L’utilisation des services bancaires en ligne se développe la fréquentation des agences par les entrepreneurs reste identique d’une enquête à l’autre. Selon la dernière enquête annuelle sur "l’image des banques auprès des PME", 57 % des entrepreneurs interrogés ont connecté leur système informatique à celui de leur banque et 15 % utilisent les services en ligne proposés par leur banque tous les jours ou presque, surtout pour consulter leur compte et aussi gérer leur trésorerie (cf. graphique ci-dessous). Les souscriptions de crédit en ligne sont pour l’heure pratiquement inexistantes. Un tiers des entrepreneurs se disent prêts à ouvrir un compte bancaire auprès d’une agence entièrement virtuelle, à condition que la rémunération soit plus attrayante, l’accessibilité, la diversité de l’offre de services et la notoriété étant considérées comme des facteurs moins déterminants. Globalement, les internautes bancaires, qui constituent 27 % des entrepreneurs interrogés, sont satisfaits à 65 % des services en ligne de leur banque. Les relations entre le responsable de l’entreprise et les chargés de clientèle de la banque restent soutenues puisqu’un quart des entrepreneurs interrogés ont un contact avec leur chargé d’affaires au moins une fois par semaine. Le rythme de changement de banque principale ne varie pas au cours des années : 5 % par an. La relation à l’agence ne se modifie pas Les nouveaux moyens de communication (internet, wap) n’ont pas encore modifié la fréquentation des agences par les entrepreneurs, même si un internaute sur deux déclare qu’il se rendra moins fréquemment dans son agence bancaire du fait des services bancaires en ligne. En effet, plus d’un tiers des répondants se rendent plusieurs fois par mois dans leur agence et déclarent avoir deux banques. Cette forte multibancarisation s’explique essentiellement par la volonté de faire jouer la concurrence (pour la moitié des entrepreneurs), et par un besoin de sécurité (un quart des entrepreneurs interrogés), notion qui apparaît pour la première fois cette année. 70 % des PME déclarent avoir souscrit un crédit d'investissement et 61 % un crédit de trésorerie, ces chiffres étant stables par rapport à la vague précédente. 60 % déclarent avoir une agence spécialisée "entreprises". La satisfaction reste toujours élevée... Les PME prennent du retard dans leur préparation à l’euro Sur l’ensemble des services, la satisfaction des entrepreneurs vis-à-vis de leur(s) banque(s) reste toujours très élevée. Plus de la moitié des entrepreneurs interrogés se dit très satisfait par la fiabilité de leur banque, et plus d’un tiers est très satisfait pour la rapidité d’exécution et la disponibilité des interlocuteurs. Au total, 83 % des entreprises recommanderaient leur banque à une autre entreprise. Cette proportion atteint 90 % s’agissant des entreprises de plus de 200 salariés. L’enquête SOFRES révèle que seulement 5,5 % des PME disent être déjà passées à l’euro (ouverture d’un compte en euros et tenue de la comptabilité en euros), et que plus de 70 % n’envisagent de passer à la monnaie unique qu’au cours du second semestre 2001. Au niveau sectoriel, c’est dans l’industrie que la proportion d’entreprises déjà passées à l’euro est la plus élevée, le secteur le plus en retard étant le BTP. En outre, le passage à l’euro est fortement corrélé avec la taille de l’entreprise : plus l’entreprise est grande, plus la probabilité pour elle d’être déjà passée à l’euro est élevée. Les PME ressentent un peu plus de difficulté dans l’accès au crédit par rapport à l’année dernière, sentiment sans doute lié à la hausse des taux d’intérêt sur la période. ... mais la multibancarisation demeure * L’enquête a été réalisée pour l’AFB par la Sofres auprès de 1004 dirigeants de PME (de 10 à 499 salariés) du 10 octobre au 13 novembre 2000. Un entrepreneur a, en moyenne, recours à 3 banques, et 30 % des entrepreneurs interrogés LES SERVICES UTILISÉS SUR INTERNET (base : utilisateurs des services en ligne, soit 27 % des entrepreneurs interrogés) Question : Pour quels services utilisez-vous Internet ? (en %) 38 Consultation de comptes Gestion de votre trésorerie 19 Souscription d’un crédit de trésorerie Souscription d’un crédit d’équipement Autres services liés au secteur bancaire (bourse, paiement sécurisé, oppositions de chèques) 2 1 3 SOFRES - Corporate AFB - Image des banques auprès des PME/PMI (Décembre 2000) Actualité Bancaire nº 447 du 3 janvier 2001 ● page 2 La semaine d e b a n q u e RAPPEL DU CALENDRIER DE PASSAGE A L’EURO Le 31 décembre 2001, à minuit, les pièces et les billets en euros acquerront simultanément cours légal dans les douze pays de la zone euro. Pour la France, 7,6 milliards de pièces et 1,5 milliards de billets en euros sont à mettre en circulation. Cela nécessite une mobilisation de tous. L’année 2001 est donc une année charnière dans la préparation du passage à l’euro. E A partir d’avril 2001, début de la distribution des chéquiers en euros. Les banques commenceront à distribuer des chéquiers en monnaie européenne. Certaines banques basculeront en euros les comptes épargne et les comptes prêts. er E A partir 2001 du 1 juillet, les comptes courants des particuliers commenceront à basculer en euros, et ce jusqu’en octobre ; les renouvellements des chéquiers sont effectués en euros ; les particuliers pourront régler leurs achats en euros, avec leur nouveau chéquier en euros ou leur carte bancaire habituelle qui fonctionnera pour les paiements en francs ou en euros. Les fonctionnaires seront payés en euros. E Décembre : Les commerçants recevront des pièces et des billets en euros afin de pouvoir rendre la monnaie en euros dès le 1er janvier 2002. E Le 15 décembre, débute l’opération "Les premiers euros " : les banques proposent des sachets contenant 40 pièces en euros vendus 100 francs. Les Français peuvent acheter ces sachets de pièces en euros pour se familiariser avec la monnaie européenne, sans pouvoir les utiliser avant le 1er janvier 2002. E Le 31 décembre 2001, à minuit, introduction officielle des pièces et des billets en euros dans les 12 pays de la zone euro. E Le 1er janvier 2002, l’euro est là. Les nouvelles pièces et les nouveaux billets entrent en circulation. Pour faciliter le retrait des pièces et des billets en francs, les commerçants commencent à rendre la monnaie en euros. Les paiements en chèques, virements et cartes bancaires se font uniquement en euros. Les banques ne délivrent plus de francs à leurs guichets. La quasi-totalité des distributeurs automatiques de billets ne délivrent plus que des euros. Pendant sept semaines, les particuliers peuvent déposer leurs francs et retirer des euros dans toutes les agences. Dans leur propre banque, ce service est gratuit et sans limitation de montant. Lorsqu’ils se rendent dans d’autres banques que la leur, les particuliers peuvent aussi échanger gratuitement leurs espèces, à titre de dépannage, pour un montant limité. E Le dimanche 17 février, à minuit : fin des paiements fiduciaires en francs. C’est la fin du cours légal du franc. A partir de cette date, tous les achats des particuliers se font en euros : les paiements en pièces et billets en francs ne sont plus autorisés. E Jusqu’au 30 juin, les particuliers peuvent échanger gratuitement leurs pièces et billets en francs auprès de leur banque, par une opération de dépot en compte suivi d’une opération de retrait pour un montant arrondi, ou auprès de la Banque de France et du Trésor Public. E Après le 30 juin, ils pourront échanger gratuitement les pièces en francs durant trois ans (jusqu’au 17 février 2005) auprès de la Banque de France et du Trésor Public, et les billets en francs pendant 10 ans (jusqu’au 17 février 2012) auprès de la Banque de France. La France se dote d’une agence de la dette. du public et du Parlement. Un compte de commerce intitulé "gestion active de la dette de l’Etat" retracera le produit et les charges des opérations de gestion, à savoir : les contrats d’échange ("swaps") de taux, l’achat ou la vente d’options ou de contrats à terme sur les titres d’Etat. Un modèle de gestion active de la dette permettra, entre autres, de décider du recours à tel ou tel produit dérivé. Un rapport annuel portant sur ce compte et sur la gestion de la dette sera annexé au projet de loi de finances. La France s’est dotée d’une agence de la dette. Les professionnels du marché qui la composeront pourront utiliser des produits dérivés afin d’optimiser le coût du financement de l’Etat. L'agence gèrera directement l'ensemble des budgets liés à la gestion de la dette et de la trésorerie de l'Etat, et définira et mettra en oeuvre, sous la présidence du directeur du Trésor, la politique d'emprunt de l’Etat. Opérationnelle depuis la fin de l’année, cette agence vise à dynamiser la gestion de la dette, à accroître sa transparence à l’égard des marchés, Actualité Bancaire nº 447 du 3 janvier 2001 L'agence de la dette, à terme, devrait compter une trentaine de professionnels. ● page 3 ADIE : mise en place d’un fonds de prêts solidaires de deux millions d’euros À l'occasion de la Conférence sur les microentreprises et le micro-crédit, organisée par le Ministère de 1'Economie, des Finances et de l'Industrie, dans le cadre de la présidence française de l'Union Européenne, la Banque européenne d'investissement (BEI), le Fonds européen d'investissement (FEI), BNP Paribas, la Banque du développement des PME (BDPME), la Caisse des dépôts et consignations (CdC), France Active Garantie, l'Association pour le Droit à 1'Initiative Economique (ADIE) et le Crédit Coopératif ont signé, le 11 décembre 2000, un protocole d'accord pour la mise en place d'un fonds de prêts solidaires de deux millions d'euros. Aux termes de cet accord, le Crédit Coopératif apporte une ligne de crédit de deux millions d'euros et assure la mise en place et la gestion de prêts solidaires. L'ADIE, pour sa part, assure l'instruction et l'octroi des prêts ainsi que le suivi des entreprises financées. Un dispositif de garanties appuyé par l'ensemble des partenaires permet de couvrir le risque sur ces opérations. L'accord confirme le soutien actif des institutions financières françaises au crédit solidaire. En 2001, 1'ADIE, dont le réseau couvre à présent 19 régions et 73 départements, prévoit d’octroyer 3500 prêts dont 80 % seront financés par les banques. PRIX ANDESE DU FINANCIER Jean-François Théodore, lauréat 2000 du Prix ANDESE du Financier Le Prix ANDESE du Financier de l’année a pour objet de distinguer la personnalité ayant le plus contribué, au cours de l’année écoulée, au développement de l’activité financière en France. Jean-François Théodore, président directeur général d’Euronext, se voit attribuer cette année ce prix sur le vote de 2 500 membres de la communauté financière française. Le prix du financier de l’année a été créé en 1984 par le Groupe Finance de l’ANDESE, Association Nationale des Docteurs es-Sciences Economiques. Il est parrainé par le magazine "Investir" depuis 1990 et Sogip Banque depuis 1993. La semaine d e Accord européen sur la proposition de directive relative à la fiscalité de l’épargne Sous l’impulsion de la Présidence française de l’Union, les Etats membres sont parvenus à un accord sur le contenu essentiel d’une directive relative à la fiscalité de l’épargne. Un premier accord sur les grandes lignes du projet était intervenu entre les Quinze au Sommet européen de Feira (Portugal) en juin dernier. Le compromis du 27 novembre porte notamment sur les deux points clés suivants : • l’échange d’informations inter-étatique à des fins fiscales et portant sur les intérêts versés à des personnes physiques, domiciliées dans un Etat membre, par des agents payeurs établis dans un autre Etat membre, sera la règle ; • pendant une période transitoire (2003-2009), la Belgique, l’Autriche et le Luxembourg feront exception à cette règle et bénéficieront de la faculté de substituer une retenue à la source à l’échange d’informations. Le taux de cette retenue serait de 15 % pendant les trois premières années, puis de 20 % pendant les quatre années suivantes, avec reversement de 75 % des recettes de la retenue à l’Etat de résidence de l’épargnant. Mais, une épée de Damoclès pèse sur l’application de cette directive : son entrée en vigueur reste en effet subordonnée au succès des négociations qui doivent être engagées avec les pays tiers (hors Union européenne) - notamment les Etats-Unis, la Suisse, le Liechtenstein, Monaco, Andorre, Saint-Marin, et aussi certains territoires dépendants ou associés des Etats membres - afin d’amener chacun de ces pays à adopter des mesures équivalentes. L’évaluation des résultats de ces négociations menées par la Commission de Bruxelles sera présentée fin 2002. Il faut souligner, à cet égard, que la volonté européenne de promouvoir l’échange d’informations entre Etats coïncide avec l’orientation du Comité des Affaires Fiscales de l’OCDE qui poursuit le même objectif en préconisant la fin du secret bancaire à des fins fiscales. Techniquement, la directive fait une large part aux préoccupations exprimées par la Fédération Bancaire de l’Union Européenne et par l’AFB : • les obligations des intermédiaires financiers sont exclusivement liées à leur qualité "d’agents payeurs" : ils déclarent les intérêts payés en tant que tels et n’ont pas à calculer les intérêts courus, portés par les détenteurs successifs de titres avant le détachement des coupons ou attachés à des bons à coupon zéro. S’agissant de ces intérêts, l’échange d’information ne porte que sur le montant de la cession ou du remboursement des titres ; b a n q u e LECTURE TEXTES USUELS DE LA PROFESSION BANCAIRE “RECUEIL VERT AFB” Nouvelle édition refondue Ce recueil rassemble, par grands thèmes, l’ensemble des textes actuellement en vigueur dans la profession (lois, décrets et arrêtés, règlements du CRBF, du CMF et de la COB, instructions de la Commission bancaire, textes divers émanant de la Banque de France…). Illustré de tableaux statistiques, analytiques et de schémas pédagogiques comparatifs (loi bancaire / loi MAF, organisation des marchés de capitaux…), le Recueil Vert se compose de trois volumes homogènes et indépendants. Volume 1 • Organisation générale de la profession • Conditions d’exercice de l’activité bancaire et financière • Dispositions comptables • Dispositions prudentielles et normes de gestion Volume 2 • Réception de fonds du public • Opérations de crédit • Opérations connexes et autres opérations • Organisation et suivi des opérations réalisées avec la clientèle Volume 3 • Réglementation des produits : les instruments financiers et les produits d’épargne financière • Réglementation des marchés : les marchés de capitaux • les organismes de placement collectif (OPC) entrent dans le champ d’application de la directive, mais leur situation spécifique est largement prise en considération. L’ouvrage propose deux outils de recherche : les tables détaillées par ordre de pagination et les tables chronologiques par type de textes. Agenda Prix (abonnement annuel aux mises à jour inclus) : 4 000 F TTC, soit 609,80 euros (TVA 5,5 %) Frais de port inclus. Cet ouvrage est disponible à : Conférence de l’IDEF L’IDEF organise, le mardi 30 janvier 2001 à 17 h 30 à l’AFB, une conférence donnée par Charles Dallara, directeur général de l’Institut de Finance Internationale à Washington, sur le thème : «Mouvements internationaux de capitaux et pays émergents pour une croissance saine et durable » Renseignements/inscriptions : Anna Samocka, 01 48 00 50 05 AFB diffusion 34, rue Taitbout - 75009 Paris Tél. : 01 48 00 51 37 / Fax : 01 47 70 31 67 Retrouvez les 4 derniers numéros d’Actualité Bancaire sur le site Internet de l’AFB ________ http://www.afb.fr Actualité Bancaire présente à ses lecteurs ses meilleurs voeux pour 2001 ACTUALITE BANCAIRE Publication hebdomadaire de l’Association Française des Banques - Direction de la Communication 18, rue La Fayette - 75440 Paris Cédex 09 - Tél. : 01 48 00 50 16 - Télécopie : 01 48 00 50 10 - Internet : www.afb.fr Membre de l’UJJEF - Dépôt légal :3ème trimestre 2000 - ISSN 0224-9375 Directeur de la Publication : Gilles GUITTON - Rédaction : Maki SANGARE, Claire CASTAGNOU-MYARA - Maquette et secrétariat de rédaction : Michelyne DIDIN Actualité Bancaire nº 447 du 3 janvier 2001 ● page 4