SOMMAIRE - Formation Pro Cirque
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SOMMAIRE - Formation Pro Cirque
FORMATION CLOWN ET PERSONNAGES COMIQUES SOMMAIRE 1/ OBJECTIFS GENERAUX 2/ ETRE CLOWN 3/ TRAVAIL DU COMEDIEN 4/ ENSEIGNEMENT DU CLOWN 5/ LE RÔLE DU FORMATEUR 6/ PEDAGOGIE PERSONNELLE 7/ MISE EN GARDE 8/ LE FORMATEUR 1/ OBJECTIFS GENERAUX Les formations à l’« Art Clownesque » sont des espaces d’expériences dans lesquels la confiance doit permettre la prise de risques dans les démarches artistiques. Cette formation à l’« Art Clownesque » pour professionnels s’adresse à des artistes désirant approfondir et améliorer leur créativité ou leur technique. Les stages favorisent l’élaboration et la maturation d’un processus artistique ainsi que l’insertion professionnelle de futurs artistes. L’« Art Clownesque » peut ainsi s’envisager comme projet d’avenir. Le choix des futurs stagiaires est étudié au cas par cas par notre équipe pédagogique. Il faut avant tout : - un projet artistique détaillé en cours d »élaboration et un budget prévisionnel, - des bases techniques acquises, - des qualités artistiques et techniques avérées acquises, - un esprit « Clown ». 2 formules sont proposées : 1/ Stages de spécialisation : travail du jeu d’acteur pour « être » « son » « Clown » 2/ Stages de perfectionnement : écriture de l’acteur pour « être » « son » « Clown » Les « Stages de spécialisation » et les «Stages de perfectionnement » ont un objectif commun, « être » « son » « Clown » afin de devenir « spectaculaire » et de pouvoir s’exhiber au milieu de la piste du cirque, sur une scène de théâtre ou dans la rue en complicité directe avec ceux qui regardent. Les stages sont composés de temps de jeux collectifs ou solo, de temps de parole, d’échanges et de partages pour cibler ou recentrer les objectifs de chaque stagiaire. 2/ « ÊTRE CLOWN » : Le « Clown » est un art au même titre que la danse, la musique ou la peinture, son apprentissage et sa pratique sont exigeants, même si le personnage peut « naître » tout naturellement dès la première mise en jeu. Il y a autant de styles de « Clown » qu’il y a de clowns, chacun développant un humour qui lui est personnel ainsi que sa propre expression. C’est un personnage qui a sa place dans toutes les sphères du spectacle vivant. S’il y a une différence entre le « Clown » de cirque et le« Clown » de théâtre, c’est seulement dans sa façon d’occuper l’espace pour communiquer avec le public. Sur la piste, le dos du comédien est un instrument de jeu primordial pour exprimer ses sentiments et communiquer avec le public, alors que sur une scène frontale cette partie du corps peut avoir un rôle mineur. Le cirque est un espace de vie important pour la création d’un personnage de « Clown ». Dans ce lieu privilégié, il trouvera pour s’inspirer, deux sujets utiles à l’écriture et au jeu : faire face à l’ « Autorité » et surtout pouvoir « être » le contre-point des « Artistes ». Ici, ce que le spectateur vient admirer chez « l’Artiste », c’est avant tout, l’éblouissement des costumes, la frénésie des corps, la beauté de l’effort, le dépassement de soi, la prouesse au sens étymologique du mot, c’est à dire ce qui est réservé aux courageux, à l’être d’exception : le héros. C’est contre soi que l’ « Artiste » se bat, impossible de tricher sur la piste, il entre vraiment dans la cage au milieu des fauves, il offre au public, la victoire de l’homme sur lui-même et court vraiment le risque d’être mauvais lorsqu’il s’exhibe en « Clown ». Être « Clown » c’est accepter d’être cet anti-héros, de capituler, de laisser le pouvoir aux autres et de vivre pleinement ses imperfections. C’est chercher sincèrement à bien faire, tout en vacillant entre l’effort de se tenir debout et la tentation de se laisser tomber par terre. Il faut consentir à mettre en jeu ses émotions, ses fragilités et ne plus se cacher pour se libérer grâce au lâcher prise qui se passe en acceptant le « bide ». L’«Art Clownesque », est un état d’être plutôt que de faire. Oser être ce que l’on est. Tout se passe au présent, il n y a pas de passé ni de futur : c’est maintenant, urgemment, au centre de la piste en complicité directe avec ceux qui regardent. 3/ TRAVAIL DU COMEDIEN : Le « Clown » existe uniquement, grâce à la personnalité de l'acteur qui le représente et que l’on ne doit pas reconnaître derrière le masque du nez rouge. Interpréter ou écrire un tel jeu théâtral est extrêmement difficile, cela demande beaucoup de travail et des années de pratique. La création de « son » « Clown » émerge progressivement. C’est un personnage qui n’est pas en quête de succès ou de productivité, son but est de chercher le plaisir et surtout de jouer. Il pose ainsi des limites à l’acteur qui doit transformer ce qu’il ressent en langage poétique et donc travailler : la nécessité d’être présent, de se laisser « être », d' « être » là, au centre de la piste, dans l’urgence de faire rire le public avant qu'il ne s’ennuie, mais aussi de cultiver son sens de l’humour et de la dérision, son acceptation de soi et de l’autre, son potentiel de jeu, de communication et de création. Pour toucher l’état de grâce du « Clown », le « bide », il lui faudra développer un sens très aiguisé de l’écoute et surtout savoir dire « oui ». Oui à soi-même, oui aux partenaires, oui au public. Ainsi le comédien accepte ce qu’il est sans s’accrocher à la volonté de réussir et permet au « Clown » d’être vrai en piste, de faire rire le public qui peut se reconnaître en lui. 4/ ENSEIGNEMENT DU CLOWN Pour la création ou l’approfondissement de « son » « Clown », l’enseignement de l’ « Art Dramatique » permet de mesurer les difficultés, de mieux se connaître, de contredire ou confirmer, d’ouvrir des perspectives et des possibles, de développer l’imaginaire, de poser une méthode et un esprit. C’est un outil pour se poser des questions précises sur le personnage, l’histoire, les situations, la chronologie, les numéros, la scénarisation, l’espace scénique du théâtre, l’espace scénique du cirque, la théâtralité du cirque et du « Clown ». Ce développement de l’expression personnelle peut provoquer des doutes, des maladresses, des révélations inattendues, il implique donc pour le formateur de construire un cadre pédagogique rigoureux tout en restant bienveillant et rassurant. 5/ LE RÔLE DU FORMATEUR Le formateur qui enseigne l’«Art Clownesque », ne dirige pas l’acteur comme un metteur en scène, il lui fait confiance et le guide vers un processus qui lui permettra d’exprimer pleinement, selon ses limites, les multiples facettes de « son » « Clown » ainsi que l’authenticité de son jeu et du personnage. L’objectif est d’informer, de provoquer des interrogations, de donner des consignes, de cultiver un comportement de bienveillance, d’écoute et d’observation. Il faut pour cela aménager des temps de parole pour le comédien, durant la formation et si nécessaire en collectif ou en privé, afin que celuici développe une attitude de réflexion vis-à-vis du personnage et de sa création. Stimuler le jeu créatif de l’acteur pour « être » « Clown », nécessite de prendre le temps nécessaire d’assimiler chaque étape de la construction du personnage. Le formateur est garant de la sécurité psychique et physique du stagiaire sans aller au-delà de ses compétences liées à l’«Art Clownesque », il reste dans un cadre théâtral, respecte la confidentialité, régule le temps de travail de chacun et propose des règles de vie de groupe. 6/ PEDAGOGIE PERSONNELLE Je ne désire pas créer le meilleur « Clown » mais proposer un accompagnement dans la diversité pour permettre à chacun de trouver sa voie. L’enseignement que je propose est le résultat de mes expériences éclairées par ma formation au CNAC (Centre National des Arts du Cirque), par ma vie d’artiste de cirque et de «variétés» en tant que clown, comique, cascadeur et par mes interventions en tant que formateur à l’«Art Clownesque ». Mon programme est le fruit d’une longue recherche enrichie et partagée par des professionnels de tous horizons qui allient le savoir-faire technique, artistique et pédagogique au «vécu» de la scène. J’aime transmettre ce patrimoine, être sans cesse en recherche pour accompagner au mieux les stagiaires dans leurs projets et mettre l’accent sur l’harmonie et l’efficacité de l’échange. Afin que chaque action soit élaborée spécifiquement, remise en question, réévaluée régulièrement, aux plans pédagogiques et artistiques, concernant la formation, la santé, la sécurité et l’accueil, je veille à me former de manière continue que ce soit pour l’«Art Clownesque », ou dans les disciplines connexes liées à l’expression artistique ou à l’accompagnement des personnes. Je favorise la formule stage afin d’encourager l’artiste à définir sa propre « commande » et ce qu’il vient chercher auprès de ma formation. Le choix ne se fera pas selon des critères de talent ni d’expérience mais plutôt sur des objectifs à atteindre et selon le rythme de chacun. Je conseille de ne pas faire en un seul bloc ces formations mais de les espacer. Ainsi l’artiste pourra entre deux stages assimiler le savoir et le savoir-faire, les appliquer à son projet, s’entraîner et le tester en public. Dans son ensemble, mon programme est complet et permet au stagiaire de diriger sa progression sans pour autant être obligé de le suivre entièrement afin de continuer à pratiquer pleinement sa profession artistique. Pédagogiquement, je m’adapte et guide les stagiaires dans leur choix car je sais que la durée d’une formation à l’ « Art Clownesque » pour un artiste professionnel est aléatoire, qu’elle demande un grand investissement personnel et un travail de longue haleine. Le temps pour y parvenir m’importe peu, je m’engage cependant à accompagner chaque stagiaire aussi longtemps que possible selon le rythme qui lui convient. En regard du niveau technique de l’artiste et de l’état d’avancement de son projet artistique, je définis avec ce dernier, à son entrée puis à périodicité régulière, les objectifs à atteindre pour sa création artistique. Je le conseille sur le volume et le programme de son entraînement personnel à la sortie de son stage. Je veille à développer autant que possible le travail en groupes de stagiaires, pour éviter la trop grande solitude que l’on constate parfois dans le monde du « Clown ». Ma formation a pour objet de développer et d'améliorer les compétences des artistes interprètes ainsi que leur facilité à s’intégrer dans une équipe artistique de cirque, théâtre, danse… ou de créer et gérer une activité artistique en solo, ou en en conduisant une troupe. 7/ MISE EN GARDE En début de stage, les souffrances liées à la construction du personnage de « Clown » chez certains participants, m’a questionné. Qu’est-ce qui les a fait souffrir ? Est-ce la difficulté de créer « son » « Clown » ? La peur de l’interpréter, d’être « soi », à nu devant les autres ? Le rire des autres à propos de leurs faiblesses ? Ou de ne pas faire rire ? Oui, dans la formation à l’ «Art Clownesque » ces épreuves existent mais elles peuvent être vécues dans la douceur, le plaisir, la joie et non dans la douleur et le tiraillement. Deux éléments bien distincts peuvent déclencher cette souffrance inutile : 1/ «Art Clownesque » et « thérapie » Pour certains stagiaires l’ «Art Clownesque » n’a pas spécialement un objectif professionnel, ils pratiquent « parce qu’ils veulent se faire du bien ». Pour eux, le « Clown » est une thérapie. Je ne suis pas un thérapeute. Les éducateurs spécialisés, les psychologues, les thérapeutes, avec qui je mets en place et dirige mes projets d’«Initiation aux Arts du Cirque » pour des personnes en situation de handicap physique et mental, me le confirment. La pratique du « Clown » peut être thérapeutique mais elle doit être mise en place par des spécialistes qui savent gérer dans le travail théâtral la psychologie des émotions, celle des autres ou les leurs. Mes formations à l’ «Art Clownesque » n’abordent que le « travail artistique » même si celui-ci aide la personne à mieux se connaître. Elles ont pour objectif d’accompagner le personnage du « Clown » vers sa vocation première, celle d’être « spectaculaire » et de s’exhiber au milieu de la piste du cirque, sur une scène de théâtre ou dans la rue. Interpréter « son » « Clown », ne sert ni à exprimer ses états d’âmes ni à toucher ses propres ombres et blessures pour les guérir ou les changer. On cherche à assumer et amplifier, parfois à l’extrême, ses névroses, ses faiblesses, ses dysfonctionnements, mais uniquement si le comédien peut obtenir la notion de plaisir en les jouant face au public. Le « Clown » est un acte de reconnaissance et d’amour envers soi-même. «Art Clownesque » ou « thérapie » ? Voici la question fondamentale que doivent se poser les acteurs qui participent à mes stages. C’est un positionnement qui permet de ne pas perdre l’objectif du programme : l’œuvre d’art. 2/ « L’Improvisation » Afin d’aborder correctement ce deuxième élément, il est nécessaire de le redéfinir : L'improvisation théâtrale consiste à créer une performance sur l’instant ou un spectacle sans répétitions de la part des comédiens, ce qui n'exclut pas des entraînements réguliers afin de préparer son corps et son esprit à ce style de jeu dramatique. Elle demande une grande maîtrise technique théorique mais aussi de l’inspiration, de la spontanéité et voir du hasard. « L’improvisation ne s’improvise pas. Elle est un résultat ». (Louis Jouvet) Dans l’improvisation théâtrale, tout est à créer. Les « improvisateurs » sont à la fois scénaristes, metteurs en scène et interprètes. L’improvisation théâtrale implique des règles, excepté l’ « improvisation libre » qui recherche au maximum à s'affranchir de toutes contraintes. Que ce soit avec ses partenaires de scène ou avec le public, la règle de base est de construire et communiquer ensemble, on ne met personne de côté car il ne faut pas être le seul à comprendre ce que l'on joue. Improviser demande d’aller vers l’autre, de s’exposer à son regard, d’assumer ses positions mais également de les remettre en question, de s’ouvrir à l’interactivité, d’écouter et d’utiliser le langage verbal comme le langage non verbal. « Sur scène, vis pour toi et pense pour les autres ». (Stanislavski) Un grand nombre de personnes qui se présentent à mes stages ont développé une grande peur de pratiquer le « Clown » du fait d’avoir été auparavant mal formé ou informé au sujet de l’improvisation théâtrale. Tout le monde, même les comédiens qui ont déjà une expérience du théâtre, n’est pas nécessairement prêt à aborder l’« Art de l’Improvisation », car il touche à l’identité de la personne et demande de se mettre « à nu » devant les autres. Grand nombre d’acteurs sont bouleversés par cette expérience, cet état d’être, celui du « Clown », qui impose d’oser et de s’impliquer personnellement. Afin d’éviter toute maladresse, insensibilité ou violence, vis-à-vis de l’acteur, le formateur doit absolument savoir où il va et comment il va y arriver. L’improvisation comme outil pédagogique exige une grande réflexion sur chaque individu qui pratique, une adaptation, des référentiels à propos de cet « Art », des exercices très cadrés voire rigoureux afin de développer la créativité et dépasser le connu. Face aux résultats, souvent très positifs qu’apportent l’improvisation, des angoisses apparaissent chez le comédien : comment retrouver ces états hors du stage ? Comment les entretenir ? Que faire des émotions qui se sont débloquées ? Puis-je les utiliser professionnellement tout de suite après le stage ? Est-ce-que c’était « mon » « Clown » ou moi ? Ces questionnements, m’ont fait adopter un suivi et une préparation à l’après-stage. En «Art Clownesque », il y a une énorme différence entre improviser et composer, même si l’improvisateur et le compositeur ont un même objectif : l’acte de création artistique. La composition autorise la retouche, ne nécessite pas une œuvre aboutie et n’a pas de limite de temps. L’improvisation doit produire un acte en temps réel et demande à l’acteur de dévoiler sa dimension de « l’être sur scène ». Même si il est un improvisateur né, la grande difficulté pour le « Clown » professionnel, sera de répéter à chaque spectacle le même numéro, la même entrée, les mêmes gags tout en restant, dans la durée, vrai et frais. Pour le stagiaire, cette partition, adaptée à son expression personnelle, dont il est l’auteur et qu’il interprétera à chaque représentation, exige au préalable un travail précis d’ « écriture ». Il est donc important, durant les stages, de mettre en garde l’acteur qui vient de découvrir de nouvelles facettes de son personnage grâce à l’improvisation. Les risques artistiques du « Clown » sont réels, il ne faut pas se lancer avec un vrai public sans avoir écrit et préparé mentalement sa prestation. Vis-à-vis de l’ «Art Clownesque » le spectateur est exigeant, intransigeant, dur, sa réaction peut être violente et causer de réelles souffrances si l’artiste n’a pas appris à prendre du recul face à sa prestation et aux réactions du public. 8/ LE FORMATEUR M LIADOUZE Emmanuel Pseudonyme : « MIMICLOWN » PROFESSION : Artiste de cirque et de «variétés» en tant que clown, comique et cascadeur. Formateur pour professionnels en spécialité clown, acrobatie au sol et cascades. Metteur en scène pour des solos ou des compagnies. Initiateur aux Arts du Cirque (amateurs et personnes en difficultés). Porteur du projet de création d’un centre pour la formation des Arts du Cirque dans la ville « LES FOUGERETS (56200) ». DIPLÔMES : - BAFA (Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur) : 1984 - CNAC (Centre National des Arts du Cirque) : spécialité clown, acrobatie, trapèze Washington : 1992 - BIAC (Brevet d’Initiation aux Arts du Cirque) : 2008 - BPJEPS (Brevet Professionnel de la Jeunesse, de l’Education Populaire et du Sport : spécialisation Arts du Cirque) : 2014 EXPERIENCES PROFESSIONNELLES : Travaille depuis plus de 20 ans dans différents spectacles en tournées internationales et françaises au sein de cirques, de cabarets, de théâtres ainsi que dans différents galas en France. Cirque : * « TOURNEE CIRQUES NATIONAUX : VIETNAM, LAOS, CAMBODGE : 1993 » * « JOSEPH BOUGLIONE : 1994 » * « FREDDY KNIE (Suisse) : 1996 » * « CIRQUE D’HIVER BOUGLIONE (Paris) : 1997 » * « BIG APPLE CIRCUS (USA) : 1998 » * « CIRQUE D’HIVER BOUGLIONE (Paris) : 1999 » * « KRONE (Allemagne) : 2000 » * « FLIC-FLAC (Allemagne) : 2001 à 2003 » * « ARLETTE GRUSS (France) : 2003 à 2004 » * « CIRQUE D’HIVER BOUGLIONE (Paris) : 2005 » * « CIRCUS SURREAL Angleterre) : 2007 » * « ALEXANDRE BOUGLIONE (Belgique) : 2008 » * « FLIC-FLAC (Allemagne) : 2012 » * « EUROPAPARK CIRCUS (Allemagne) : 2013 » * « CIRKUS DANNEBROG : (Danemark) : 2014 » Cabarets/Théâtres : * « FESTIVAL DE JAZZ (Montréal/Canada) : 1995 » * « FESTIVAL JUSTE POUR RIRE (Montréal/Canada) : 1999 » * « CABARET TIGER PALAST (Allemagne) : 2000 » * « BOME-NOUN (France) : 2006 » * « TELE-REALITE-SHOW-SURREAL (Angleterre) : 2006 » * « FESTIVAL DE UTRECHT (Hollande) : 2006 » * « FESTIVAL DE HEILBRONN (Allemagne) : 2007 » * « FESTIVAL D’ANSAN (Corée du sud) : 2007 » * « FESTIVAL D’HEIDHOVEN CASCADE (Hollande) : 2008 » * « CABARET CHRYSTAL (Dubaï) : 2008 » * « WOW SHOW LOVE HOTEL GARDEN ROYAL (Israël) : 2009 à 2011 » Formation/mise en scène : Donne de nombreux stages de clown depuis 2000 en tant que formateur pour professionnels, initiateur aux Arts du Cirque et metteur en scène pour des : * écoles de cirque * pôles cirque * compagnies * centres spécialisés pour personnes en difficultés (ESAT, IME…) * structures privées. Enseigne principalement, depuis 2006, au sein du Centre des Arts du Cirque, situé dans la ville de « LES FOUGERETS (56200) », dont il est le co-fondateur et le responsable pédagogique. Me et M LIADOUZE 3 ZA Le Chénot 56200 Les Fougerêts Tel : 02 99 91 49 90 Port : 06 82 61 89 66 Email : [email protected] Site : www.formationprocirque.fr