La Ville morte - Angers Nantes Opéra
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La Ville morte - Angers Nantes Opéra
La Ville morte de Erich Wolfgang Korngold (1897-1957) Opéra en trois tableaux. Livret de Julius et Erich Wolfgang Korngold — alias Paul Schott —, librement adapté du drame Le Mirage que Georges Rodenbach transposa de son roman Bruges-la-Morte. Créé simultanément à l’Opéra de Cologne et au Stadttheater de Hambourg, le 4 décembre1920. Production de l’Opéra national de Lorraine, créée à Nancy le 9 mai 2010. [Opéra en allemand avec surtitres] REPRéSENTATIONS NANTES THÉÂTRE GRASLIN dimanche 8, mardi 10, vendredi 13, dimanche 15*, mardi 17 mars 2015 en semaine à 20h, le dimanche à 14h30 *Séance en audiodescription Ce spectacle sera diffusé sur France Musique samedi 25 avril à 19h, dans Samedi soir à l’opéra, présenté par Judith Chaine. Puis disponible à la réécoute pendant un mois sur francemusique.fr 66 n° saison 2014 | 2015 98.9 FM SAMEDI SOIR à L’OPéRA © Christian leiber/ONP Tous les samedis de 19h à 23h présenté par Judith Chaine Ce monde a besoin de musique francemusique.fr la distribution Direction musicale Mise en scène Décors Costumes Lumière Vidéo Maquillages et Coiffures Assistant à la mise en scène Paul Thomas Rösner Philipp Himmelmann Raimund Bauer Bettina Walter Gérard Cleven Martin Eidenberg Elise Kobisch-Miana Christian Carsten Juliette Gaudel Chefs de chant Hélène Peyrat et Frédéric Jouannais Régisseur Général Olivier Matthey Régisseur de scène Louise Brun Assistante aux costumes Marietta Frank Brigitta Juliette Lucienne Victorin et Gaston Fritz Comte Albert Figurants Daniel Kirch Helena Juntunen Allen Boxer Maria Riccarda Wesseling Elisa Cenni Albane Carrère Alexander Sprague John Chest Rémy Mathieu Jérôme Brethomé, Julien Cherray, Ghyslain Del Pino, Marine Frecer, Emerick Guezou, Katell Le Brenn, Fabio Longoni, Marion Malenfant, Delphine Manac’h, Patrice Massenet, Valentin Naulin, Seiline Vallée, Anne-Lise Valla Chœur d’Angers Nantes Opera Direction Xavier Ribes Maitrise de la Perverie Direction Gilles Gérard Orchestre National des Pays de la Loire Premier violon Constantin Serban Décor et costumes réalisés par les ateliers de l'Opéra National de Lorraine la ville morte 3 Les musiciens de l’Orchestre National des Pays de la Loire VIOLONS 1 VIOLONS 2 Constantin Serban Annie Battala Tanya Atanasova Vladimir Athanasovv Sophie Bollich Miwa Kamiya Thierry Ramez Pascale Vilette Caroline Ponthou Ekaterina Malachkova-Debiak HAUTBOIS Bernard Bonnet Jean-François Louis Sophie Delbende Daline Ispas Sébastien Christmann Jean Chocheril Paul Hieu Jean-Pierre Martin Marie-Pascale Veloppe Sylviane Pillot Gaelle Christmann CORS Pierre-Yves Bens Grégory Fourmeau David Macé Florian Reffay Fevai Julien Kunian Sylvain Lejosne Josiane Parisot Patricia Rocamora Belinda Peake VIOLONCELLES Ruxanda Rémi Vignet Mélanie Panel Julien Vern FLûTES TROMBONES Marc Merlin Marc Salmon Michel Zakrzewski TUBA Olivier Serban Ulysse Aragau Pénélope Foulquier-Pouré François Gosset Anne Roturier Anne Boussard CONTREBASSES Marie-Noelle Gleizes John Dahlstrand Eric Costa Alain Liman BASSONS Ignacio Echepare Antoine Blot Cécile Hardouin TROMPETTES Jean-Marie Cousinie Jean Ponthou Eric Mussotte Jacques Barbez (Trompette Basse) ALTOS Catherine CLARINETTES Jean-Daniel Bugaj Maguy Giraud Coralie Ordulu TIMBALES PERCUSSIONS Galmant Arnaud Oster Abel Billard Bruno Lemaitre Pascal Laborie Adrien Pineau Damien Grimault HARPEs Kikuchi Saori Aïda Aragones PIANO CELESTA ORGUE MANDOLINE la ville morte 4 Colette Musquer Frédéric Jouannais Mickael Durand David Conan Le Chœur d’Angers Nantes Opéra Direction Xavier Ribes Soprani Alti Isabelle Ardant Florence Dauriach Laurence Dury Anne-Cécile Laurent Hélène Lecourt Natacha Piletta Fabienne Rispal-Eumont Franck Estrade Sung Joo Han Vincent Karche Bo Sung Kim Pascal Marin Jean-Pierre Payrat Mikaël Weill Ténors Rhym-Aïda Amich Rosalind Elliman Nathalie Guillard Claire Penisson Yael Raanan Vandor Yaël Pachet Catherine Zimmer Barytons Nicolas Brisson Jean-Philippe Elleouet Agustin Perez Escalante Eric Vrain Basses Yann-Armel Quemener Jean-François Laroussarie Maitrise de La Perverie Direction Gilles Gérard Adelaïde Baleydier Maëlle Bourget Isaure Daufresne Servane Dudon Alice Dufresne De Virel Elise Le Clech Sixtine Legrand Hermine Loubert Baptiste Moulin Philippine Quentin Capucine Rabouille Auxane Richard Clémence Roussel Marius Thiault Emma Tranquet la ville morte 5 l’histoire La Ville morte de Erich Wolfgang Korngold Bruges, à la fin du XIXe siècle. Acte I Paul pleure la mort de sa jeune femme Marie. Tout dans la ville lui rappelle cette disparition. À l’intérieur de sa maison, il a transformé une pièce en « temple du souvenir ». Là sont rassemblés les objets qui ont appartenu à sa femme, dont un portrait et une tresse de cheveux qu’il conserve telle une relique. Paul confie à son ami Frank qu’il vient de rencontrer une femme dont la ressemblance avec Marie l’a profondément troublé. Marietta, une danseuse lilloise, chante et danse pour lui. Il se laisse séduire et compare son image avec le portrait de sa femme : c’est bien elle ! Après le départ de Marietta, pris de remords, il a une première vision : sa femme sort du portrait et l’invite à accepter l’appel de l’autre. Au même moment, il voit à sa place Marietta qui s’abandonne à la danse. Acte II Toujours dans sa vision, Paul se trouve devant la maison de Marietta. À force de chercher l’âme de sa femme défunte, il a fini par devenir l’esclave du corps d’une autre dont les vices à la fois l’attirent et le repoussent. Là il rencontre Brigitta, la servante qui l’a quitté après qu’il eut rompu le serment de fidélité à l’égard de sa femme, puis son ami Frank, désormais considéré comme un dangereux rival, car il aime lui aussi Marietta. Lorsqu’arrive enfin Marietta, avec une joyeuse troupe d’artistes qui s’apprêtent à jouer Robert le Diable, la rue se transforme en lieu de répétition. Au moment où Marietta commence à danser, toute la ville semble transpirer ce désir qui envahit Paul. Et, lorsqu’elle danse sur ce qui est censé être un cercueil, Paul y voit un sacrilège qui l’anéantit. Resté seul avec elle, Paul avoue à Marietta qu’il n’a aimé en elle que le souvenir de sa femme. Marietta voit alors en Marie une rivale qu’elle décide de combattre sur son propre terrain. la ville morte 6 l’histoire Acte III Depuis la fenêtre de la chambre de Marie, Paul et Marietta regardent passer la grande procession religieuse. Paul s’agenouille au passage de l’évêque, Marietta ironise sur la piété de Paul et tente de le séduire à nouveau, mais cette fois la raison l’emporte et il tente de la chasser de chez lui. C’est alors qu’elle se dirige vers le portrait de Marie, découvre la mèche de cheveux, s’en empare et commence une danse accompagnée d’un rire ironique. Hors de lui, Paul l’étrangle avec la tresse. Paul se réveille, Marietta vient de sortir de chez lui, il ne la reverra plus. Reproduction avec l’aimable autorisation de l’Opéra National de Lorraine. la ville morte 7 Portraits d’artistes Thomas Rösner direction musicale Natif de Vienne, Thomas Rösner fait ses débuts de chef d’orchestre à l’âge de quatorze ans. Il se forme à la Haute École de Musique de Vienne et suit des masterclasses auprès de Myung Wung Chung, Ilya Musin et Hans Graf. © Carole Parodi Sur invitation de Fabio Luisi, Thomas Rösner reprend au pied levé la direction de l’Orchestre de la Suisse Romande lors d’une tournée en 1998, ce qui marqua le début de sa carrière internationale. Depuis, il a dirigé de nombreux orchestres tels que le Deutsches Sinfonieorchester de Berlin, les Wiener Symphoniker, les Bamberger Symphoniker, le Mozarteum Orchester de Salzbourg, le Houston Symphony Orchestra, le Calgary Philharmonic Orchestra, le Tokyo Symphony Orchestra, le Bergen Philharmonic Orchestra, l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, l’Orchestre Symphonique de Bâle, l’Orchestre de Chambre de Lausanne, la Philharmonia de Prague, l’Orchestre de la radio nationale polonaise et la Sinfonietta Israel. Thomas Rösner a été Chef associé à l’Orchestre national de Bordeaux aux côtés de Hans Graf de 2000 à 2004 et, de 2005 à 2011, Chef titulaire de l’Orchestre symphonique de Bienne. Au cours de sa carrière, Thomas Rösner a été invité à la Bayerische Staatsoper de Munich, à la Deutsche Oper de Berlin, au New National Theatre de Tokyo, au Welsh National Opera, au Théâtre du Châtelet, au Grand Théâtre de Genève, à l’Opéra national de Lyon, à l’Opéra de Marseille, au Teatro dell’Opera à Rome ainsi qu’aux Festivals de Bregenz, Glyndebourne et Edimbourg. Récemment, Thomas Rösner a fait ses débuts aux USA au Houston Grand Opera avec La Chauve-souris (Strauss) avant de diriger, à Zurich, Fidelio (Beethoven) et Così fan tutte (Mozart) et reprendre Così fan tutte au Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles dans la mise en scène de Michael Haneke. Citons encore La Chauve-souris (Strauss) à la Staatsoper de Stuttgart ainsi que des concerts avec le Scottish Chamber Orchestra, l’Orchestre Philharmonique de Marseille, le Beethoven Orchester de Bonn. Il s’est également produit au Tivoli Festival de Copenhague et au Festival Wagner de Genève. En 2014/15, Thomas Rösner est invité à diriger au Semperoper de Dresde. Il donne également des concerts avec les Violons du Roy à Montréal et Quebec, mais aussi avec le Wiener Concertverein à Moscou, la Toscanini Filarmonica de Parme et au Teatro Carlo Felice de Gênes. Parmi ses projets, Thomas Rösner retournera au Théâtre Royal de la Monnaie de Bruxelles, au Houston Grand Opera et au Semperoper de Dresde. Il participera également à un enregistrement CD avec l’Orchestre de la Radio nationale polonaise. La discographie de Thomas Rösner comprend notamment un DVD du Trouvère (Verdi) avec les Wiener Symphoniker, un CD avec les Bamberger Symphoniker comportant des œuvres de Paul Kletzki, la Messe glagolithique (Janácek) ainsi que plusieurs CD pour Gramola, Guildmusic et ATMA. Son CD Haydn-Arias & Overtures s’est vu décerné le Juno Award à Toronto en 2012. A Nantes et à Angers, Thomas Rösner a dirigé Les Noces de Figaro (Mozart) en 2006, Lucio Silla (Mozart) en 2010 et L’Elixir d’Amour (Donizetti) en 2011. la ville morte 8 mise en scène Philipp Himmelmann a tout d’abord fait des études de langues étrangères et de musicologie à l’université de Bonn. Il complète par la suite sa formation par la mise en scène à la Hochschule für Musik und Theater et le chant à Hambourg et à la Guildhall School of Music à Londres. Il fait ses débuts en 1989 au Théâtre de Lucerne dont il devient premier metteur en scène et membre de la direction entre 1992 et 1995. Philipp Himmelmann est par ailleurs invité à travailler dans de nombreux opéras tels que les opéras de Bonn, Mannheim, Breme, Hannovre, Graz, Valencia, Perm, l’Opéra national de Lyon, l’Opéra national de Lorraine, le Grand Théâtre de Genève, les opéras de Hambourg, Baden-Baden, Gothenburg et Zagreb, le Deutsche Oper de Berlin, le Semperoper de Dresde, le StaatsoperUnter den Linden de Berlin, le Deutsche Oper am Rhein à Dusseldorf et de nombreux festivals tels que le Festival Rossini à Wildbad, le Festival Haydn à Eisenstadt, le Festival Cantiere d’Arte à Montepulciano ou encore le Festival de Bregenz. Raimund Bauer décors Né en Bavière, Raimund Bauer est diplômé de l’Académie des Arts Appliqués de Vienne. Il débute sa carrière de décorateur au théâtre comme décorateur résident au Schauspiel de Cologne et au Staatstheater de Stuttgart. Au cours de sa carrière, Raimund Bauer a réalisé les décors pour des productions telles que La Clémence de Titus (Mozart), Deadman Walking (Heggie) et Le Consul (Menotti) à Vienne, Fidelio (Beethoven) et Les Stigmatisés (Schreker) au Festival de Salzbourg, Parsifal (Wagner) et Tosca (Puccini) à Baden Baden, Le Chevalier à la rose (Strauss) au Staatsoper de Berlin, Rigoletto (Verdi) au Semperoper de Dresde, Tosca (Puccini) et Tannahauser (Wagner) au Muziektheater d’Amsterdam, Moïse et Aaron (Schoenberg) au Bayerische Staatsoper de Munich, Fidelio (Beethoven) à l’Opéra national de Lyon et à Tel Aviv, Parsifal (Wagner) à l’English National Opera, Le Vaisseau fantôme (Wagner) au Lyric Chicago Opera, Parsifal et Le Vaisseau fantôme (Wagner) à San Francisco, Salomé (Strauss) à Genève ou encore Un Bal masqué (Verdi) et Tristan et Isolde (Wagner) à Zurich et I Due Foscari (Verdi) au Teatro San Carlo de Naples. En 2010, Raimund Bauer a réalisé les décors de La Ville Morte (Korngold) à l’Opéra national de Lorraine, Elektra (Strauss) au Festival de Salzbourg et au Teatro dell’Opera de Rome, Niobe (Steffani) à Londres. Citons également Le Roi Roger (Szymanovski) à Bregenz, Barcelone et Varsovie (production pour laquelle il s’est vu décerné le prix Opus Deutscher Bühnenpreis) puis en 2013, une nouvelle collaboration avec Philipp Himmelmann à l’Opéra national de Lorraine pour Le Nain (Zemlinski). Dernièrement, il a réalisé les décors de La Fanciulla del west (Puccini) à l’Opéra national de Paris, Guillaume Tell et Moïse en Egypte (Rossni) au Welsh national Opera de Cardiff. Ses projets comprennent Turandot (Puccini) au Teatro alla Scala de Milan en mai 2015. Raimund Bauer vit à Hambourg où il enseigne la scénographie à l’Academy of Fine Arts. la ville morte 9 portraits d’artistes Philipp Himmelmann portraits d’artistes Bettina Walter costumes Née à Ulm, Bettina Walter étudie les beaux-arts (sculpture) à la Freie Kunstschule Nürtingen dans le Baden-Württemberg, puis l’art du costume à la Hochschule der Künste à Berlin, où elle obtient son diplôme en 1992. Pendant sa dernière période d’études, elle est engagée de façon permanente au Theater Basel sous la direction de M. Baumbauer. Créatrice indépendante depuis 1990, elle est invitée à concevoir les costumes pour de nombreuses maisons d’opéras et de théâtres européens, parmi lesquels Düsseldorf, Essen, le Residenztheater à Munich, le Deutsches Schauspielhaus à Hambourg, le Teatro de la Fenice à Venise, Covent Garden à Londres, l’Opéra de Cologne, le Glyndebourne Festival Opera, le Grand Théâtre de Genève, le Festival de Salzbourg, le Teatro alla Scala de Milan, le Semperoper de Dresde ou encore le Festival d’Aix-en-Provence. En France, elle a signé les costumes pour de nombreux spectacles notamment pour Lulu (Berg), Le Chevalier à la rose (Strauss), Peter Grimes (Britten) dans une mise en scène de Adolf Dresen, Le Château de Barbe-bleue (Bartók), mis en scène par Stéphane Braunschweig, et la création du Luthier de Venise (Dazzi) mis en scène par Giorgio Barberio Corsetti au Théâtre du Châtelet, Amphitryon (Kleist), mis en scène par Stéphane Braunschweig au Festival d’Avignon, La Rosa de Ariadna (Dazzi) au Festival Musica, Belshazzar (Haendel) mis en scène par Christof Nel au Festival d’Aix-en-Provence en coproduction avec la Staatsoper Unter den Linden à Berlin ainsi que Lucia di Lammermoor (Donizetti), Eugène Onéguine (Tchaïkovski) et Don Carlo (Verdi) à l’Opéra national du Rhin. Bettina Walter a également conçu les costumes de Fidelio (Beethoven) à la Deutsche Staatsoper de Berlin, Lady Macbeth de Mtsensk (Chostakovitch) à Genève, La Clémence de Titus (Mozart) au Festival de Salzbourg ou Palestrina (Pfizner) au Covent Garden de Londres. Elle a collaboré régulièrement avec Chistoph Loy depuis 1999 notamment sur Carmen (Bizet) à Cologne, Eugène Onéguine (Tchaïkovski) à Bruxelles, Iphigénie en Aulide (Gluck) au Festival de Glyndebourne, Faust (Gounod) à Francfort et Göteborg, Simon Boccanegra (Verdi) à Francfort et Armida (Haydn) au Festival de Salzbourg. Citons encore Macbeth (Verdi) au Semperoper de Dresde, Lohengrin (Wagner) et Salomé (Strauss) à Baden-Baden et au Teatro alla Scala de Milan, Rigoletto (Verdi) et Cardillac (Hindemith) à Dresde, Belshazzar (Haendel) à Berlin, Jenu° fa (Janácek) à Munich, La Ville morte (Korngold) à Francfort et à l’Opéra national de Lorraine, Elektra (Strauss) au Grand Théâtre de Genève et au Semperoper de Dresde, La Fiancée vendue (Smetana) au Staatsoper de Berlin, L’Italienne à Alger (Rossini) et Le Nain (Zemlinsky) à l’Opéra national de Lorraine, Le Vaisseau fantôme (Wagner) à Genève et plus récemment Tosca (Puccini) à Graz et Médée (Charpentier) à Bale. Bettina Walter a également participé à de nombreux projets de théâtre en Suisse et en Allemagne. Parmi ses projets, citons La Passagère (Weinberg) à Francfort. Bettina Walter est professeur de costume à l’Académie des Beaux-Arts en section scénographie et costumes á Stuttgart depuis 2010. la ville morte 10 lumière Gérard Cleven a fait des études d’électro-technique et de musique aux Pays-Bas. Il a travaillé par la suite de nombreuses années comme responsable lumière au Théâtre de Lucerne ; il a ainsi eu l’occasion d’y réaliser les éclairages de nombreuses productions. Dans le domaine de la musique, du théâtre et du ballet, il a travaillé comme éclairagiste avec des metteurs en scène tels que George Delnon, Philipp Himmelmann, Jean-Claude Auvray, Reinhild Hoffmann, Vera Nimerova, Johannes Schaaf, Barbara Frey, Tatjana Gürbaca, Richard Wherlock, Carolyn Carlson and Joachim Schlömer, Jürgen Kruse, WojtekKlemm, Sabine Boss, Michael Talke, Sebastian Nübling, Sebastian Baumgarten, Horleifur Arnarsson et Volker Hesse. Il a ainsi réalisé les lumières au Staatstheater de Stuttgart, au Theater St. Gallen, au Hamburgische Staatsoper, au Theater Basel, au Nederlandse Opera à Amsterdam, à l’Opéra national de Lorraine, à l’Opéra national du Rhin, aux Festival de Salzbourg et de Bregenz, au Théatre Municipal de Lausanne, au Wiener Jugendstiltheater, au Wiener Volksoper, au Festival de la Ruhrtriennale à Essen, au Théâtre du Luxembourg, au Grand Théâtre de Genève, au Kampnagel à Hambourg, à l’Opéra national de Zagreb, au Quadrennial Festival de Prague, au Théâtre national de Reykjavik, au Münchner Kammerspiele, au Semperoper de Dresde et au Staatstheater de Wiesbaden. Ses projets comprennent des productions au Deutsche Oper de Berlin, au Hamburgische Staatsoper, au Théâtre du Luxembourg, au Théâtre national d’Oslo et au Théâtre national de Reykjavik. Martin Eidenberg vidéo Martin Eidenberger est né en 1980 à Linz en Autriche. Il a tout d´abord étudié l´Ingénierie Civile et l´Architecture avant de se consacrer de 2002 à 2006 aux Arts Multimédias (spécialisation en Cinéma et Vidéo) à l´Université des Sciences Appliquées de Salzbourg. Dès 2008 il s´établit comme artiste indépendant et collabore à de nombreuses productions de théâtre et d’opéra tant en qualité de scénographe que de vidéaste. De sa fructueuse collaboration avec le metteur en scène Aureliusz Smigiel sont issues trois productions, The Waste Land (Eliot) au Théâtre Eigenreich à Berlin, Eine Odyssee (de Bont) à l´Université des Arts de Berlin et Krieger im Gelee (Lünstedt) au Kasematten Theater de Luxembourg. D´autre part, il a réalisé en tandem avec le scénographe Christof Hetzer de nombreuses vidéos pour des opéras tels que Le Turc en Italie (Rossini) au Nederlandse Opera à Amsterdam sous la direction de David Hermann, Gisela (Henze) à la Ruhrtriennale et Dionysos au Salzburger Festspiele sous la direction de Pierre Audi, Le Vaisseau fantôme (Wagner) au Festival de Bayreuth sous la direction de Jan-Philipp Gloger et La Flûte enchantée (Mozart) à l’Opéra national de Paris sous la direction de Robert Carsen. Elise Kobisch-Miana maquillages et coiffures Elise Kobisch-Miana se forme à l'Opéra National du Rhin avec Kuno Schlegelmilch. En 2007, elle débute sa carrière en tant que créatrice de maquillages, coiffures, effets spéciaux, et accessoires pour le théâtre, l'opéra et l'écran. Elle a notamment collaboré avec Marie La Rocca, Thibault Vancraenenbroeck, Sylvain Maurice, Rolando Villazon, Emmanuel Daumas, Stéphane Braunschweig, Guillaume Vincent, Clément Michel... la ville morte 11 portraits d’artistes Gérard Cleven portraits d’artistes Daniel Kirch ténor Paul © Hermann und Clärchen Baus De nationalité allemande, Daniel Kirch débute sa carrière avec des rôles tels que Lenski (Eugène Onéguine / Tchaïkovski), Belmonte (L’Enlèvement au sérail / Mozart), Fenton (Falstaff / Verdi), Truffaldino (L’Amour des trois oranges / Prokofiev), mais également Le Pilote (Le Vaisseau fantôme / Wagner), Ferrando (Così Fan Tutte / Mozart) et Tamino (La Flûte enchantée / Mozart). Il oriente par la suite son répertoire vers des rôles plus dramatiques, et chante ainsi Max (Der Frieschütz / Weber), Kaufmann (Jakob Lenz / Rihm), Florestan (Fidelio / Beethoven), Richard (Regina / Lortzing), Paul (La Ville morte / Korngold) et Marco Venero (Caterina Cornaro / Donizetti), rôle qu’il a chanté en concert sous la direction de Ulf Schirmer à Munich. Au cours des dernières années, Daniel Kirch a fait ses débuts dans les rôles de Stolzing (Les Maitres chanteurs / Wagner) à Leipzig, Claudio (Das Liebesverbot / Wagner) mais également dans les rôles-titres de Parsifal et Lohengrin (Wagner), et à l’automne 2014, dans Bacchus (Ariane à Naxos / Strauss) au cours d’une tournée avec l’Opéra de Leipzig à Pékin. Il se produit régulièrement en concert, notamment dans les Gurrelieder (Schœnberg) sous la direction de Shao-Chia Lü avec le National Symphony Orchestra à Taipeh, mais également sous la direction de Zubin Mehta à Tel Aviv en 2011, de Reinbert de Leeuw ou encore de Lothat Zagrosek. Citons également les Scènes de Faust (Schumann), Winterreise (Schubert), Lied von der Erde (Mahler), la Neuvième Symphonie (Beethoven), le Te Deum (Bruckner) ou encore les Requiem de Dvorak et Verdi. Daniel Kirch a ainsi eu l’occasion de travailler sous la direction de chefs tels que Claudio Abbado, Valery Gergiev, Michael Gielen, Arn Goerke, EliahuInbal, René Jacobs, Marek Janowski, Zubin Mehta, Kent Nagano, Ulf Schirmer, Markus Stenz et Christian Thielemann. Il s’est produit à la Staatsoper de Berlin, à l’Opernhaus de Zurich, à la Deutsche Oper de Berlin, à l’Opéra de Leipzig, à l’Opéra de Cologne, au Nederlands Reisopera, à la Deutsche Oper am Rhein de Düsseldorf, au Théâtre Royal de la Monnaie de Bruxelles, au New National Theatre de Tokyo, au Teatro del Liceu de Barcelone et au Bayerische Staatsoper de Munich. En janvier 2015, Daniel Kirch a chanté Erik (Le Vaisseau fantôme / Wagner) au New National Theatre de Tokyo, sous la direction de TaijiroIimori. Parmi ses projets, citons Parsifal (Wagner) ainsi que ses débuts dans Tannhäuser (Wagner) à Leipzig. la ville morte 12 soprano Marietta Helena Juntunen débute ses études de chant comme élève de Airi Tokola au Conservatoire de Oulu (Finlande). Sous la tutelle de Ania Välkki, elle obtient une Maitrise à la Sibelius Academy de Helsinki. Depuis 1999, elle est régulièrement invitée à se produire à l’Opéra national Finlandais. © Heikki Tuuli Helena Juntunen a par ailleurs interprété Marguerite (Faust / Gounod) au Festival de Savonlinna en 2002 puis au Connecticut Opera au cours de la saison 2003/2004, Madame Cortese (Le Voyage à Reims / Rossini) à Gênes, Zdenka (Arabella / Strauss) à Anvers, Pamina (La Flûte enchantée / Mozart) à Dresde, au Festival de Vienne, à l’Opéra national de Lorraine ainsi qu’à Bruxelles, Caen, Aix-en-Provence et Genève, Liu (Turandot / Puccini), Sophie (Le Chevalier à la rose / Strauss). Helena Juntunen s’est également produite au Carnegie Hall de New-York et à Tokyo. Parmi ses plus récents engagements, citons la Comtesse (Les Noces de Figaro / Mozart) et Donna Anna (Don Giovanni / Mozart) à l’Opéra national de Lyon, Tatiana (Eugène Onéguine / Tchaïkovski) à Wasa, Marie (Wozzeck / Berg) à Nice, Jenny Hill (Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny / Weill), Donna Clara (Le Nain / Zemlinsky) et Marietta (La Ville morte / Korngold) à l’Opéra national de Lorraine. Citons également Grete (Le Son lointain / Schreker) à l’Opéra national du Rhin et Nedda (Paillasse / Leoncavallo) à Helsinky et plus récemment Madame Butterfly (Puccini) au Savonlinna Opera Festival. En concert, Helena Juntunen s’est produite au Festival de Lucerne, à Stockholm ou encore à Londres, dans des ouvrages tels que La Missa Solemnis (Beethoven), Les Quatre derniers lieder (Strauss) ou encore Le Songe d’une nuit d’été (Mendelssohn). Elle a fait ses débuts avec l’Orchestre Philharmonique de Berlin dans Un Requiem allemand (Brahms) sous la direction de Donal Runnicles. Helena Juntunen a participé à de nombreux enregistrements, notamment dans des œuvres finlandaises telles que Auringon Talo et Alexis Kivi (Rautavaara). Allen Boxer baryton Frank De nationalité américaine, Allen Boxer a fait ses études au Curtis Institute of Music. Il a ainsi eu l’occasion de chanter Nick Shadow (The Rake’s progress / Stravinsky), Dulcamara (L’Elixir d’amour / Donizetti) et Le Garde-Chasse (La Petite renarde rusée / Janácek). Il intègre par la suite la troupe du Semperoper de Dresde où il se produit dans des rôles tels que Dandini (La Cenerentola / Rossini), Masetto (Don Giovanni / Mozart), Angelotti (Tosca / Puccini), Le Baron Douphol (Traviata / Verdi) et le Vicomte Cascada (La Veuve joyeuse / Lehar). Citons également Collatinus (Le Viol de Lucrèce / Britten) au Castleton Festival et à l’Aldeburgh’s Britten-Pears Program, Masetto (Don Giovanni / Mozart) à Opera North et Olin Blitch (Susannah / Floyd) avec le Chautauqua Voice Institute. Allen Boxer s’est également produit au Festival d’Aix-en-Provence dans le cadre de l’Académie Européenne de Musique. Parmi ses plus récents engagements, citons le rôle de Spencer Coyle (Owen Wingrave / Britten) à l’Opéra national de Lorraine. la ville morte 13 portraits d’artistes Helena Juntunen portraits d’artistes Maria Riccarda Wesseling mezzo- soprano Brigitta Depuis ses débuts remarqués à l´Opéra national de Paris dans le rôle-titre de Iphigénie en Tauride (Guck) en 2006, Maria Riccarda Wesseling s´est produite sur de nombreuses scènes européennes. Parmi les grands moments de sa carrière on peut citer le rôle-titre dans la première mondiale de Phaedra (Henze) à la Staatsoper de Berlin et au Théâtre Royal de la Monnaie de Bruxelles, le rôle-titre de Iphigénie en Tauride (Gluck) au Teatro Real de Madrid dans la mise en scène de Robert Carsen, Ottavia (Poppée et Néron / Monteverdi) au Teatro Real de Madrid dans la mise en scène de Krzysztof Warlikowski ou Orphée (Orphée et Eurydice / Gluck) dans la production de Pina Bausch à l´Opéra national de Paris. Cette dernière production a été retransmise en live sur Arte et a également été produite à Epidaure, au Lincoln Center de New York et au Teatro Real de Madrid, toujours avec Maria Riccarda Wesseling dans le rôle-titre. De Jacques Offenbach elle a chanté le rôle de Hedwig (Les Fées du Rhin) en version de concert sous la direction de Marc Minkowski, Giulietta (Les Contes d´Hoffmann) au Grand Théâtre de Genève dans la mise en scène de Olivier Py, Métella (La Vie parisienne) à l´Opéra national de Lyon dans la mise en scène de Laurent Pelly et le rôle-titre de La Belle Hélène à l’Opéra national de Bordeaux. Citons encore le rôle-titre de Carmen (Bizet) à Bilbao, Marguerite (La Damnation de Faust / Berlioz) au Staatstheater de Stuttgart, Orlofsky (La Chauve-Souris / Strauss) à Amsterdam, Hermione (Andromaque / Grétry) au Festival de Schwetzingen ou le rôle-titre dans Semiramis (Catel) au Festival de Radio-France Montpellier Languedoc-Roussilon. En s´investissant pour les œuvres des compositeurs vivants, Maria Riccarda Wesseling a chanté le rôle du Pèlerin (L´Amour de loin / Saariaho) à l’Opéra national de Helsinki dans la mise en scène de Peter Sellars, Malaspina (Luci mie traditrici / Sciarrino) à l´Opéra national de Lyon, Irma (Le Balcon / Eötvös) à Bordeaux, Wobist Du Licht (Vivier) à la Ruhrtriennale ou la Reine (Schneewittchen / Holliger) dans la mise en scène de Achim Freyer. Son grand amour pour la musique du début du vingtième siècle s´est manifesté dans son disque Wien 1900 avec des compositions de Mahler, Berg, Schönberg et Zemlinsky. De cette même époque, elle a chanté le rôle de Marie (Wozzeck / Berg) et Bianca (Une Tragédie florentine / Zemlinsky). Maria Riccarda Wesseling va prochainement enregistrer des Lieder de Paul Juon. En concert elle se produit régulièrement dans des œuvres de Gustav Mahler. Parmi ses projets citons Fricka (L’Or du Rhin / Wagner) à la Ruhrtriennale dans la mise en scène de Johan Simons et sous la direction de Théodor Currentzis. la ville morte 14 soprano Juliette Née en Italie, Elisa Cenni, après avoir obtenu un diplôme en graphisme, poursuit ses études de musique au Conservatoire Rinaldo Franci de Sienne. Elle obtient ensuite le diplôme de perfectionnement de l'Université du Mozarteum de Salzbourg dans la classe d'Edda Moser. Parallèlement, elle étudie à l'Accademia Chigiana de Sienne où elle collabore avec Renato Bruson, à la Scuola di Musca de Fiesole avec Claudio Desderi, et à Paris ou elle participe aux masterclasses de Rachel Yakar et Natalie Dessay. Lauréate de plusieurs concours internationaux, elle intègre en 2006 l'Atelier Lyrique de l'Opéra national de Paris, ce que lui permet d’interpréter Tebaldo (Don Carlo / Verdi) sous la direction de Carlo Rizzi, Juliette (La Ville morte / Korngold) sous la direction de Pinchas Steinberg, Laura (Luisa Miller / Verdi) sous la direction de Daniel Oren, le rôle-titre de L'Enfant et les sortileges (Ravel) ou encore Carolina (Le Mariage secret / Cimarosa). Elle chante également Morgana (Alcina / Haendel) à Aix-en-Provence avec l'Ensemble Matheus sous la direction de Jean-Christophe Spinosi. A l'Opéra de Berne en 2011, Elisa Cenni chante Ninette (L'Amour des trois oranges / Prokofiev), puis elle se produit en Italie dans des rôles belcantistes tels que Norina (Don Pasquale / Donizetti), Gilda (Rigoletto / Verdi) à Turin et Florence. Souvent engagée dans le répertoire rossinien elle fait ses débuts comme Sofia (Il signor Bruschino), Rosine (Le Barbier de Séville), Giulia (L’Echelle de soie) et Berenice (L'Occasione fa il ladro) sous la direction de Fabio Maestri. Parmi ses plus récents engagements, citons Amour (Orphée et Eurydice / Gluck) à l'Opéra national de Bordeaux, La Première Dryade (Rusalka / Dvorak) au Grand Théâtre de Genève, Barberine (Les Noces de Figaro / Mozart) ou encore, en 2014, Clorinda (La Cenerentola / Rossini) à l’Opéra de Toulon. En Italie cette saison, Elisa Cenni a fait ses débuts au Teatro Comunale de Piacenza, au Teatro Reggio de Turin et à Modène dans le rôle d'Olympia (Les Contes d'Hoffmann / Offenbach) sous la direction de Christopher Franklin et dans une mise en scène de Nicola Berloffa. la ville morte 15 portraits d’artistes Elisa Cenni portraits d’artistes Albane Carrère mezzo-soprano Lucienne La mezzo-soprano française Albane Carrère est née à Vienne en Autriche. Après avoir obtenu une maîtrise en sociologie à l'Université Libre de Bruxelles, elle entre au Conservatoire Royal de Musique et au Koninklijk Conservatorium où elle termine ses études diplômée avec grande distinction. Elle se perfectionne, entre autres, au European Opera Center, à l'Académie de Musique du Festival d'Aix-en-Provence et dans les masterclasses de Teresa Berganza et Ann Murray. Depuis 2005, elle est plusieurs fois invitée en Belgique en tant que jeune espoir du chant lyrique au Festival Solistes au Domaine notamment aux côtés de Barbara Hendricks et José Van Dam, au Festival de Stavelot / Festival de Wallonie et aux Bozar à Bruxelles. Elle fait ses débuts à l'opéra dans le rôle de Mallika (Lakmé / Delibes) à Gand et interprète Maria (La Mélodie du Bonheur / Rodgers et Hammerstein) au Palais des Beaux-Arts et au Forum de Liège. Récemment, elle se distingue à l'Opéra Royal de Wallonie dans le rôle-titre de Thérèse (Massenet) et au Théâtre Royal de la Monnaie de Bruxelles dans Adine (La Dispute / Mernier) en création mondiale. En France, Albane Carrère se produit à l'Opéra de Rouen dans les rôles de Karolka (Jen°ufa / Janácek), Mrs Grose (Le Tour d’écrou / Britten). Elle chante également Flora (Traviata / Verdi) à l'Opéra de Versailles, la Seconde Dame (La Flûte enchantée / Mozart) à l’Opéra de Toulon, Zerline (Don Giovanni / Mozart) et Mercedes (Carmen / Bizet) à Tours et Reims. Elle se produit également en soliste dans plusieurs concerts et récitals, notamment à la Cité de la Musique avec Opera Fuoco, à Saint-Pétersbourg, à Tallinn et en Suède avec l’ensemble Contraste, à l’Opéra de Toulon et, la saison dernière, au Théâtre Antique des Chorégies d'Orange avec l'Orchestre Lyrique d'Avignon. Albane Carrère est plusieurs fois invitée au Festival Martha Argerich de Lugano, où elle interprète le rôle de Samantha (La Fugue / Weissenberg) accompagnée, entre autres, par Martha Argerich (enregistrement live EMI/Virgin Classics). Elle s’est également produite dans un concert dédié à la comédie musicale américaine. Dernièrement, Albane Carrère a chanté Zerline (Don Giovanni / Mozart) pour Opéra en Plein Air dans la mise en scène de Patrick Poivre d’Arvor. Elle se produit également dans l’émission Musiques en Fête depuis le Théâtre Antique des Chorégies d’Orange pour célébrer la fête de la Musique. Ses projets comprennent L’Enfant et les Sortilèges (Ravel) à l’Opéra national de Montpellier, Mercedes (Carmen / Bizet) en Avignon et un concert Mahler à Clermont Ferrand. Albane Carrère est finaliste de l'audition annuelle du Centre Français de Promotion Lyrique (2011) et a reçu la bourse Richard Wagner du cercle Richard Wagner Rive Droite pour le festival de Bayreuth (2014). la ville morte 16 ténor portraits d’artistes Alexander Sprague Victorin et Gaston De nationalité britannique, Alexander Sprague a fait ses études au National Opera Studio et à la Royal Academy of Music à Londres. Il remporte le Prix Michael Oliver du Concours de chant Haendel à Londres. Au cours de sa carrière, Alexander Sprague a eu l’occasion d’interpréter Ywain (Gawain / Birtwistle) au Festival de Salzbourg, un Berger (Orfeo / Monteverdi) à l’Opéra national de Lorraine, le rôle-titre de Albert Herring (Britten) à Opera North, le Novice (Billy Budd / Britten) à Goteborg, Ferrando (Così Fan Tutte / Mozart) et Le Capitaine Mac Heath (The Beggar’s Opera / Britten) à European Opera Centre, Pliable et Superstition (The Progress Pilgrim / Vaughan Williams) à l’English National Opera, Lyngstrand (The Lady from the Sea / Armstrong) au Scottish Opera et au Festival d’Edimbourg, Agenore (Le Roi Pasteur / Mozart), Eurimedes (Orpheus / Telemann) au Classical Opera Company et le Chœur masculin (Le Viol de Lucrèce / Britten) au British Youth Opera. Alexander Sprague s’est également produit en concert et en récital, notamment dans Léonard (The Yeoman of the guard / Sullivan) avec le Philharmonia Orchestra sous la direction de John Wilson, La Résurrection (Haendel) avec le London Haendel Players au Wigmore Hall, Le Messie (Haendel) avec le London Festival Orchestra au Royal Festival Hall, La Passion selon Saint Jean (Bach) ou encore le Requiem (Mozart). Il a ainsi eu l’occasion de travailler sous la direction de chefs tels que Sir Colin Davis, Sir John Eliot Gardiner, Sir Charles Mackerras, Ingo Metzmacher, Martyn Brabbins, Laurence Cummings, Christophe Rousset et avec des metteurs en scène tels que Claude Guth, Richard Jones, John Copley et Alvis Hermanis. la ville morte 17 portraits d’artistes John Chest baryton Fritz De nationalité américaine, John Chest est diplômé du Chicago College of Performing Arts où il a étudié avec David Holloway. Il est par ailleurs lauréat du Concours International Stella Maris 2010 et du Prix Arleen Auger au Concours International Hertogenbosch 2012. Il s’est perfectionné à l’Opéra de Santa Fe, à l’Opéra de Chicago et à l’Opera Studio du Bayerische Staatsoper. Il a également participé au Merola Opera Program. Au cours de sa carrière, John Chest a eu l’occasion de chanter Eddie (Greek / Turnage) au Landestheater de Salzbourg, Ned Keene (Peter Grimes / Britten) en Norvège, Le Comte Almaviva (Les Noces de Figaro / Mozart) au Nationale Reisopera, Nardo (La Finta Giardiniera / Mozart) au Festival d’Aix-en-Provence et Masetto (Don Giovanni / Mozart) à Bari. Citons également Papageno (La Flûte enchantée / Mozart), Le Comte Almaviva (Les Noces de Figaro / Mozart), Albert (Werther / Massenet), le rôle-titre de Billy Budd (Britten) dans une mise en scène de David Alden ainsi que Ford (Falstaff / Verdi) au Deutsche Oper de Berlin et plus récemment Marcello (La Bohème / Puccini) à Washington. Parmi ses projets citons Demetrius (Le Songe d’une nuit d’été / Britten) au Festival d’Aix-en-Provence. Il fera également ses débuts au Théâtre des Champs-Elysées et au Théâtre du Capitole de Toulouse. la ville morte 18 ténor Comte Albert Né à Nice en 1989, Rémy Mathieu entre à l'âge de 7 ans dans la maîtrise des Petits chanteurs de Monaco et y restera dix ans. A l'âge de 18 ans il est admis au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon dans la classe de Françoise Pollet, puis intègre pour son Master la classe du ténor Francesco Araiza dans le cadre d'un échange Erasmus à Stuttgart. Il fait ses premiers pas à l'opéra en 2012 dans le rôle d’Eduardo (La Cambiale di Matrimonio / Rossini) à l'Opéra de Versailles. Membre du Studio de l'Opéra national de Lyon de 2012 à 2014, il se produit dans Moustique (La Petite Renarde rusée / Janacek) et Monostatos (La Flûte enchantée / Mozart). Encore étudiant, Olivier Py l’engage sur la production de Claude (Escaich - Badinter) en création mondiale à l’Opéra national de Lyon où il est remarqué par la presse et les professionnels. Par la suite, toujours à l'Opéra national de Lyon, il incarne Le Premier Commissaire (Dialogues des Carmélites / Poulenc) mis en scène par Christophe Honoré sous la baguette de Kasushi Ono et Martin (The Tender Land / Copland). En 2013, Rémy Mathieu a reçu le prix ADAMI Révélation jeune artiste lyrique. Parmi ses plus récents engagements, citons Laerte (Hamlet / Thomas) mis en scène par Olivier Py, au Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles sous la direction de Marc Minkowski, des concerts dans le cadre d’une résidence Mozart au Festival d’Aix-en-Provence, Auphide (Moïse et Pharaon / Rossini) à l’Opéra de Marseille sous la baguette de Paolo Arrivabeni, la partie de ténor solo (La Petite Messe solennelle / Rossini) à Paris, Oebale (Apollon et Hyacinthe / Mozart) et la partie de ténor solo dans Le Messie (réorchestration de Mozart) à Lyon. Ses projets comprennent Laerte (Hamlet / Thomas) et Piquillo (La Périchole / Offenbach) à l’Opéra de Marseille, Roland (Les Chevaliers de la table ronde / Hervé) en tournée en France ainsi que Giuseppe (La Traviata / Verdi) et le Messager (Aïda / Verdi) aux Chorégies d’Orange. la ville morte 19 portraits d’artistes Rémy Mathieu portraits d’artistes La Maîtrise de la Perverie (Nantes) — École de chœurs La Maîtrise de la Perverie accompagne les enfants et jeunes dans une pratique musicale et vocale au sein de leur cursus scolaire. Lieu de formation, de transmission, lieu de pratique et d’expression artistique par la voix, lieu de découverte des répertoires, la Maîtrise propose un cursus pédagogique musical basé sur la pratique du chant choral et de l’art vocal. Ce projet apporte à ces enfants et jeunes l’occasion de découvrir la musique comme une expérience collective à partager. L’établissement scolaire « La Perverie, école, collège, lycée » intègre ce projet artistique dans son projet d’établissement. Gilles Gérard, chef de chœur, directeur musical de la Maîtrise de la Perverie, est entouré d’une équipe de trois chefs de chœur/professeurs et d’une pianiste, dans une structure musicale qui propose chaque année des projets artistique et culturels aux thématiques variées : Les concerts publics, festivals, saisons culturelles, pour mettre en valeur la richesse et l’éclectisme du répertoire choral. Ecrire la voix, résidences d’artistes compositeurs, pour renouveler le répertoire pour chœurs d’enfants par la création contemporaine ; Patrick Burgan, Thierry Machuel, Richard Quesnel, Manuel Coley, à venir : Daniel Kessner. Musiques en scène, spectacles musicaux, opéras pour enfants ou avec chœur d’enfants, pour élargir l’expérience musicale par une introduction des arts de la scène ; L’Enfant et la nuit (Franck Villard-ANO/2011), la Bohème (Puccini-Angers Nantes Opéra/2012), la Flûte Enchantée (Mozart-Angers Nantes Opéra/printemps 2014) ; Les années Saint-Germain (autoproduction). Jumelages, échanges culturels, pour rencontrer d’autres structures chorales et maîtrisienne. La Maîtrise de la Perverie et Angers Nantes Opéra. A l’occasion de la participation de la Maîtrise de la Perverie à la création française du conte lyrique L’enfant et la nuit (Villard) puis de nouveau dans La Bohème (Puccini) au cours de la saison 2011-2012, dans La Flûte enchantée (Mozart) en 2014, et après s’être investie dans le cadre du programme d’action culturelle d’Angers Nantes Opéra autour de Benjamin Britten en 2010-2011, un partenariat a été signé entre Angers Nantes Opéra et la Maîtrise de la Perverie de Nantes permettant d’engager un travail approfondi avec les enfants maîtrisiens. Cette saison, en plus de sa prestation dans la production, la Maîtrise s’est également investie dans le programme d’action culturelle conçu par Angers Nantes Opéra pour sensibiliser les collégiens à la musique de Korgnold. La Maîtrise de la Perverie reçoit le soutien de de l’établissement scolaire de la Perverie, du Conseil Général de Loire-Atlantique, de l’Education Nationale. www.maitrisedelaperverie.fr la ville morte 20 Retour sur l’action culturelle autour de La Ville morte Des collégiens à l’opéra Puisant dans la richesse de cette œuvre et de celle dont elle est issue, le roman Bruges-la-morte de Georges Rodenbach qui inspira tant d’artistes, musiciens et cinéastes, Angers Nantes Opéra et ses partenaires ont invité les collégiens à revisiter le fantastique, ce genre littéraire source inépuisable en tout temps. La ville aussi, décor vivant et lieu de vie, ainsi que la musique de Korngold constituent le parcours culturel proposé le jour de la représentation. 6 classes de collèges de Loire-Atlantique ont été retenues pour bénéficier d’un parcours d’éducation artistique et culturelle en partenariat avec le conseil général de Loire-Atlantique, le rectorat de l’académie de Nantes et la DRAC Pays de la Loire et découvrir La Ville morte de Erich Wolfgang Korngold. Ce projet a été mené en partenariat avec la Ville de Nantes - Direction du Patrimoine et de l’Archéologie, la maitrise de la Perverie, le Château des Ducs de Bretagne - Musée d’histoire de Nantes et des artistes invités. Angers Nantes Opéra participe à la Formation des enseignants selon le Plan académique de formation des enseignants. Proposé par le Rectorat de l’académie de Nantes chaque année, le Plan académique de formation des enseignants se déroule, cette saison, autour de La Ville Morte à Nantes en mars 2015. Les enseignants-stagiaires peuvent assister à une représentation de La Ville morte et bénéficier de deux journées de rencontres, dont une avec le chef d’orchestre, Thomas Rösner. La thématique des ces journées est axée plus particulièrement sur les métamorphoses d’une œuvre : du roman, à l’opéra, ou au cinéma. Ce stage est proposé de façon transversale aux disciplines : théâtre, musique, littérature. la ville morte 21 Un atelier artistique avec des élèves du collège de Montoir-de-Bretagne autour de trois opéras de la saison, dont La Ville morte. Pour la deuxième année, Angers Nantes Opéra et le collège René-Guy Cadou de Montoir-de-Bretagne portent un atelier artistique soutenu par la DRAC et le Rectorat de l’académie de Nantes. Autour de trois opéras (Elena, Barbe-Bleue et La Ville morte), sont organisés un atelier de pratique vocale menée par une chanteuse professionnelle, ainsi que des rencontres artistiques… Accueil des spectateurs aveugles et malvoyants Séance en audiodescription réalisée par Accès Culture avec le soutien du Club Graslin Opéra Dimanche 15 mars 2015 à 14h30. Les Rendez-vous qui ont été proposés au public : Une Conférence La Ville morte – histoire d'une résurrection, par Alain Perroux Avant d’être un compositeur adulé à Hollywood, Erich Wolfgang Korngold était un compositeur d’opéras débordant de lyrisme. Des opéras aux orchestrations chatoyantes, aux mélodies entêtantes et, dans le cas de La Ville morte, à la thématique proprement fascinante. En explorant ce sujet puisé dans un fameux roman symboliste et en s'aventurant dans cette partition, la conférence a montré combien le récent regain de popularité de cet ouvrage est justifié. Conférence organisée par le Club Graslin Opéra. retour sur l’action culturelle autour de la ville morte Une soirée ciné-opéra Avant la répétition FantastiqueS, spectacle d’intervention insolite et illusoire. Par Maud Albertier et Matthieu Malet. Spectacle d’intervention présenté dans les collèges sur une proposition d'Angers Nantes Opéra. Réalisation de l’association Eda. Suivie de L’Aurore film américain réalisé par Friedrich Wilhelm Murnau, sorti en 1927. Soirée organisée en partenariat avec le Katorza cinéma d’art et d’essai. NANTES Katorza mardi 24 février 2015 à 19h suivie d’un instant de répétition de La Ville morte, opéra de Erich Wolfgang Korngold au Théâtre Graslin. Une Dispute philosophique En partenariat avec Philosophia Le passé empêche-t-il de vivre ? Le délicieux poison de la mémoire Le souvenir de sa femme disparue dans lequel se réfugie Paul, le personnage principal de La Ville morte, semble vouloir interrompre le fil du temps. Le culte morbide et fétichiste qu’il célèbre à la pénombre d’une crypte improvisée au cœur d’une Bruges qu’il a choisie pour mausolée à la hauteur de sa douleur, n’a rien d’un deuil nécessaire. Il est délectation morose, délicieux poison de la mémoire aux effets hallucinogènes, empêchement à vivre le présent autrement qu’en une imparfaite redite du passé. Nos histoires sont souvent infectées de deuils, rancunes, remords, haines héréditaires. Nos sociétés elles-mêmes, entre commémorations et réconciliations, préservation du patrimoine et modernisation, doivent sans cesse panser et penser leurs blessures. Au point d’être parfois contraintes, à la fin de chaque guerre, au terme de chaque conflit, de compenser leur devoir de mémoire par une obligation d’oubli. Quelle part raisonnable laisser au passé pour ne pas déraciner l’histoire sans prendre le risque d’étouffer le présent ou d’oblitérer l’avenir ? C’est le dilemme auxquels individus et sociétés tentent d’échapper. Et c’est la délicate question à laquelle s'est intéressée cette dispute philosophique. Soirée organisée en partenariat avec Philosophia. Avec - Olivier Wieviorka, professeur d’histoire contemporaine à l'école normale supérieure de Cachan et membre sénior de l’institut universitaire de France. A été rédacteur en chef de la revue Vingtième siècle, est membre du comité de rédaction de la revue L'Histoire et collaborateur régulier du cahier Livres de Libération, il est spécialiste de la seconde guerre mondiale, notamment de la résistance. Olivier Wieviorka a notamment publié au Seuil Une certaine idée de la Résistance (1995, réédition 2010) et La Mémoire désunie (2010). - Angelo Giavatto, lauréat de la Fondation Alexander von Humboldt, maître de conférences en philosophie ancienne à l’Université de Nantes, spécialiste internationalement reconnu du stoïcisme ; auteur, notamment, d’Interlocutore di se stesso. La dialettica di Marco Aurelio (HildesheimZürich-New York, Olms, 2008). Il s'est intéressé à la question de la mémoire dans la constitution du soi dans le contexte de ses recherches sur le stoïcisme et sur la philosophie du langage de l'Antiquité (cf. par exemple « A Mind on Solid Ground. Perception and Ethics in the Meditations », in M. van Ackeren, D. Boschung et J. Opsomer (dir.), Selbstbetrachtungen und Selbstdarstellungen. Der Philosoph und Kaiser Marc Aurel im interdisziplinären Licht, Wiesbaden, 2012, p. 133-146 et « La grammaire du soi. Approches stoïciennes et linguistiques de la réflexivité », in D. Doucet et I. Koch (dir.), Autos, idipsum. Aspects de l’identité d’Homère à Augustin, Aix-en-Provence, Presses Universitaires de Provence, 2014, p. 73-83). - Sylvain Bourmeau, journaliste, ancien directeur adjoint des Inrockuptibles, co-fondateur de Mediapart, ancien directeur adjoint de la rédaction et éditorialiste de Libération, producteur à France Culture de l’émission « La suite dans les idées » était le modérateur de ce débat. Théâtre Graslin Jeudi 26 février 2015 à 20h la ville morte 22 Angers Nantes Opéra est un syndicat mixte Président Vice-président Directeur général David Martineau Alain Fouquet Jean-Paul Davois Angers Nantes Opéra est financé par Les villes de Nantes et d’Angers, L’Etat – Préfet de la région des Pays de la Loire - Direction régionale des affaires culturelles, Le conseil régional des Pays de la Loire, Le conseil général de Loire-Atlantique et reçoit l’aide du conseil général de Maine-et-Loire Les partenaires d’Angers Nantes Opéra pour l’action culturelle autour de La Ville morte L’Etat – Préfet de la région des Pays de la Loire - Direction Régionale des Affaires Culturelles, le rectorat de l’académie de Nantes le conseil général de Loire-Atlantique, Direction du Patrimoine et de l’Archéologie de la ville de Nantes la Maitrise de la Perverie, le Château des Ducs de Bretagne Musée d’Histoire de Nantes le Cinéma d’art et d’essai Le Katorza à Nantes Philosophia et les artistes invités Angers Nantes Opéra a reçu le soutien de Le Club Graslin Opéra les médias partenaires Réalisation programme : France Musique Ce spectacle sera diffusé sur France Musique le samedi 25 avril à 19h dans "Samedi soir à l'opéra", présenté par Judith Chaine. Puis, disponible à la réécoute pendant un mois sur francemusique.fr Ouest France Fip la ville morte 23 Les prochains rendez-vous d’Angers Nantes Opéra Au Théâtre Graslin de Nantes… L’Heure musicale Franz Schubert (1797 - 1828). Octuor pour cordes et vents en fa majeur, D. 803 par le Quatuor Liger Jeudi 12 mars 2015 à 18h30 Concerts proposés par le conservatoire de Nantes et l’Université Permanente, portés par la ville de Nantes et l’université de Nantes. Plein tarif 9,50 € Tarif réduit 6,50 € Vente des billets une heure avant le concert. Renseignements www.conservatoire.nantes.fr Dans le cadre du FESTIVAL DU CINEMA ESPAGNOL, le Théâtre Graslin de Nantes accueille la Soirée du Court-métrage - Compétition Rencontre de croqueurs Rencontre entre Olivier Martin et Guillaume Carreau, dessinateurs SEGRÉ - Médiathèque, rue Charles de Gaulle. Samedi 21 mars 2015 à 11h Entrée libre sur réservation à la Médiathèque Concert d'intervention et cinéma L’Orchestre jazz de conservatoires des Pays de la Loire suivi de Whiplash, un film de Damien Chazelle - Soirée réalisée grâce à Premiers Plans SEGRÉ, Cinéma Le Maingué, Place du Port. Jeudi 26 mars 2015 à 20h Tarif événement 5€ - Billetterie au Maingué à partir du 11 mars 2015 Lundi 23 mars 2015 à 20h Plus d’informations sur : www.cinespagnol-nantes.com En prologue à La Tectonique des nuages Opéra jazz - Création scénique [commande d’Etat] D’après la pièce de José Rivera Cloud Tectonics traduite par Isabelle Famchon (Editions Théâtrales). Musique Laurent Cugny ; Livret et mise en scène François Rancillac NANTES - Théâtre Graslin, mardi 7, mercredi 8, jeudi 9, vendredi 10 avril 2015 à 20h ANGERS - Grand Theatre, mardi 28, mercredi 29 avril 2015 à 20h. Ailleurs… à Segré… Opéra Jazz en Anjou Avec le soutien du Conseil général de Maine-et-Loire et de la Direction régionale des affaires culturelles des Pays de la Loire. En partenariat avec le rectorat de l'académie de Nantes. En collaboration avec le Pays Anjou Bleu. Et en complicité avec les conservatoires de la région Pays de la Loire, cycles spécialisés jazz, Le BiblioPôle, Jazz au Pays, La Boîte qui fait Beuh, la ville de Segré, le cinéma Le Maingué. OPÉRA JAZZ EN ANJOU fait partie de La Belle Saison avec l'enfance et la jeunesse du ministère de la culture et de la communication. La création d'un opéra-jazz en Pays de la Loire offre l’opportunité de découvertes et d'expériences inédites pour lesquelles Angers Nantes Opéra et nombre de partenaires ont imaginé des parcours ancrés dans la musique de Laurent Cugny et l'univers poétique de José Rivera dont la pièce Cloud Tectonics inspira le livret. Après des rendez-vous dans les classes et en Anjou Bleu, trois temps forts sont proposés à Segré fin mars 2015. Concert dessiné Los Angeles, la nuit, vue de Segré avec Laurent Cugny, piano / Olivier Martin, planches et crayons. Avant la création de La Tectonique des nuages, Angers Nantes Opéra et la ville de Segré en présentent des extraits dans une version intimiste au piano… et aux crayons. SEGRÉ - Le Cargo, Place du Port Vendredi 20 mars 2015 à 20h30 Entrée libre sur réservation au Cargo à Nantes… Rencontre du Club Graslin Opéra avec Laurent Cugny autour de La Tectonique des nuages Muséum d’histoire naturelle Auditorium 12, rue Voltaire, 44000 Nantes. Lundi 23 mars 2015 à 20h Plein tarif 6 € - Tarif réduit 4 € Gratuité pour les adhérents du Club Graslin Opéra. Master Class Publique Laurent Cugny avec les musiciens de l’Orchestre jazz de conservatoires des Pays de la Loire Réalisé en partenariat avec Trempolino Trempolino La Place, 6 boulevard Léon Bureau 44200 Nantes. Mardi 24 mars 2015 à 19h entrée libre Carte Blanche à Laurent Cugny Concert d’intervention. L’Orchestre jazz de conservatoires des Pays de la Loire. Suivi de Autour de minuit ['Round Midnight], film de Bertrand Tavernier (sous réserve) Cinéma Katorza 3, rue Corneille 44000 Nantes Vendredi 3 avril 2015 à 18h30 Tarif spécial 6,40 €. Réservations au Katorza à partir du lundi 30 mars 2015 et par Internet sur www.katorza.fr à Angers… L’orchestre Jazz de Conservatoires Les premiers pas de jeunes musiciens des cycles spécialisés jazz en Pays de la Loire Profitant de la création de La Tectonique des nuages et avec la complicité bienveillante de Laurent Cugny, Angers Nantes Opéra permet au naissant Orchestre jazz de conservatoires des Pays de la Loire de faire ses premiers pas. Travail sur la partition de l’opéra-jazz, Master Classes avec Laurent Cugny, concerts d’intervention… les jeunes musiciens pourront ainsi mieux découvrir le métier qu’ils se sont choisi. Première sortie publique de l’orchestre En première partie de Airelle Besson / Nelson Veras Un concert SPEDIDAM (Fortissimo) produit par Jazz men ANGERS salle Claude Chabrol Mercredi 25 mars 2015 à 20h30. 15€, 12€ et 8€ [email protected] Renseignements/Billetterie Nantes Théâtre Graslin : le mardi de 14h à 18h et du mercredi au samedi de 12h à 18h – tél 02 40 69 77 18 www.angers-nantes-opera.com