Chapitre 5.5 – Le spectre de l`hydrogène et le modèle de Bohr
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Chapitre 5.5 – Le spectre de l`hydrogène et le modèle de Bohr
Chapitre 5.5 – Le spectre de l’hydrogène et le modèle de Bohr Le modèle atomique de Thomson Le modèle de Thomson fut proposé en 1904 par le physicien anglais J.J. Thomson après la découverte de l’électron en 1897 (prix Nobel de physique de 1906) par ce même physicien. Dans ce modèle, l’atome est considéré comme étant une « densité de charge positive » parsemé de charges négatives (pudding aux raisins). Cette distribution permet d’expliquer la neutralité de l’atome (autant de charges positives que négatives) et la stabilité de celui-ci. o o o o o Atome neutre. Densité de charge positive à l’intérieur de l’atome. Les électrons de charge négative à l’intérieur de l’atome sont en mouvement sous la forme d’anneau. La masse volumique de l’atome est équitablement répartie dans l’atome. La stabilité de l’atome est possible grâce à la force électrique entre les charges positives et les charges négatives. J.J. Thomson (1856-1940) Modèle de Thomson Densité charge positive Le modèle atomique de Rutherford En 1909, le physicien de Nouvelle-Zélande Ernest Rutherford fut en mesure de reformuler le modèle atomique de Thomson. À l’aide d’un modèle théorique de diffusion fondé sur une collision élastique entre deux particules chargées repoussées par une force électrique et d’une expérience réalisée par Hans Geiger et Ernest Marsden (deux de ses étudiants), Rutherford démontra qu’un atome était constitué d’un petit noyau de charges positives entouré d’un nuage de charges négatives dont la masse de l’atome était essentiellement située dans le noyau. o o o o o Atome neutre. Charge positive concentrée au centre de l’atome dans le noyau. Les électrons de charges négatives à l’intérieur de l’atome sont en mouvement sur des orbites circulaires. La masse volumique de l’atome est pratiquement nulle partout sauf où le noyau est situé. Le noyau de l’atome est instable. Il faudra la découverte du neutron (hypothèse formulée par Rutherford en 1920) et la force nucléaire pour expliquer la stabilité du noyau atomique. Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Ernest Rutherford (1871-1937) Modèle de Rutherford Page 1 L’expérience de Geiger-Marsden L’expérience de Geiger-Marsden consistait à utiliser un faisceau de particules alpha (noyau d’hélium) à environ 1,9 × 10 7 m/s pour bombarder une mince feuille d’or de 6000Å1 d’épaisseur (quelques atomes d’épaisseurs). Puisque 99,99% des particules alpha traversaient la feuille sans être déviées et sans endommager la feuille, les deux modèles atomiques précédent semblaient être plausibles, car : Montage de l’expérience de Geiger-Marsden Modèle Thomson Modèle Rutherford Les particules alpha passent au travers des Les particules alpha passent loin des faibles densités de charges positives en noyaux subissant ainsi une faible déviation subissant une faible déviation. due à la petite force électrique. Cependant, 0,01% des particules alpha subissaient une diffusion avec des angles prononcés (0 à 180o). Cette diffusion ne peut pas être expliquée par une diffraction de l’onde-particule (hypothèse inexistant en 1909) sur les atomes d’or (taille : a ≈ 10 −10 m ), car : h 6,63 × 10 −34 a >>>> λ B = = = 5,22 × 10 −15 m − 27 7 mv 4 × 1,67 × 10 1,9 × 10 ( )( ) (Longueur d’onde de de Broglie, introduit en 1924) La diffraction des particules alpha sur les atomes d’or respecte la distribution ci-haut. (Diffraction : a >>>> λ) Ce scénario semblait être possible uniquement si l’atome était constitué essentiellement de vide dont la masse et la charge électrique positive était concentré dans un petit noyau. Une particule alpha pouvait alors se diriger à grande vitesse directement vers le noyau, ralentir et être diffusé en raison de la répulsion électrique des charges positives du noyau sur les charges positives de la particule alpha. Cette diffusion est la conséquence d’une interaction coulombienne (force électrique) ne pouvant être expliquée par le modèle de Thomson : Modèle de Rutherford Modèle de Thomson • 1 Diffusion à angle faible (θ ≈ 0 ) Diffusion légère des particules alpha, car la charge positive est diluée dans le volume de l’atome (faible force électrique). Diffusion à angle élevé (θ > 0 ) • • Diffusion à angle faible (θ ≈ 0 ) Diffusion légère si la particule alpha passe loin du noyau. Diffusion élevé si la particule alpha passe près du noyau. Un angström est une unité de longueur : 1 Å = 0,1 nm = 1 × 10-10 Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Page 2 La section efficace de la diffusion de Rutherford La grande réussite de Rutherford fut de proposer un modèle théorique pour établir la relation entre la distribution des particules alpha déviées « anormalement » et l’hypothèse du noyau atomique. Une équation de section efficace permis d’établir un lien entre la variation de particules captées dσ en fonction de la variation d’angle solide2 couvert dΩ à partir de l’équation du mouvement d’une particule de charge Z1e se déplaçant avec une énergie cinétique K déviée par une charge électrique ponctuelle Z2e (étant le noyau) sous l’effet de la force électrique : 2 Un angle solide Ω correspond à un élément de surface angulaire sans unité de m2. La relation est : Ω = A / r2 http://fr.wikipedia.org/wiki/Angle_solide 2 dσ Z 1 Z 2 e 1 1 = dΩ 4πε 0 4 K sin 4 (θ / 2 ) Preuve : Avant d’entamer le calcul de la section efficace, rappelons le résultat de la diffusion de Rutherford3 donnant une équation associée à l’angle de déviation d’une particule chargée en raison d’une interaction coulombienne sur une charge ponctuelle : Z Z e2 α tan = 1 2 2 8π ε 0 K 0b v qQ Fe = k 2 rˆ r v Fe = 0 v v pi = mv0 q = Z1e v Fe = 0 v pf v p α α b v vQ = 0 Q = Z 2e En construction … 2 3 Un petit angle solide dΩ correspond à une petite portion de surface situé sur une sphère. La diffusion de Rutherford a été présentée dans le chapitre NYB – Chapitre 2.3b. Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Page 3 Le moment cinétique Le moment cinétique L z d’une particule mesure la quantité de mouvement transportée par une particule pour effectuer une rotation autour de l’axe z. Cette quantité augmente si la particule augmente sa quantité de mouvement p, augmente si la trajectoire circulaire de rayon r augmente et augmente lorsque l’angle θ s’approche de 90o favorisant ainsi une trajectoire perpendiculaire à r de forme circulaire. y z z v p θ v v x point de référence r v Lz Moment cinétique L z d’une particule Moment cinétique L z d’un corps Lz = r p sin (θ ) Lz = m v r sin (θ ) Lz = I ω où Lz r p θ : Moment cinétique de la particule selon l’axe z ( kg ⋅ m 2 /s ) : Distance dans le plan xy entre le point de référence et la particule (m) : Module de la quantité de mouvement de la particule dans le plan xy ( kg ⋅ m/s ou Ns ) : Angle dans le plan xy entre r et p : Moment d’inertie du corps ( kg ⋅ m 2 ) ω : Vitesse angulaire du corps ( rad/s ) I N.B. Il est à noter que cette grandeur est conservée dans le temps lorsqu’il y a une force centrale qui agit sur une particule, car la force n’augmente pas la composante de quantité de mouvement p perpendiculaire à r puisqu’elle est justement parallèle à r. L’action de l’électromagnétisme en mécanique quantique En mécanique quantique, plusieurs problèmes furent résolus après l’introduction de la constante de Planck h. Les unités de cette constante correspondent à ce que l’on nomme en physique une « action ». Une action permet de modifier la configuration d’un système en comptabilisant les variations d’énergie sous un intervalle de temps. L’action correspond au produit d’une énergie avec un temps. Le principe de moindre action invite tout phénomène physique à se réaliser en minimisant l’action requis pour effectuer un changement : h = 6,63 × 10 −34 J ⋅ s • Puisque h est une constant très petite, les forces électromagnétiques permettent à un système d’effectuer de très petit changement à la fois. • Un changement macroscopique est un changement nécessitant un nombre macroscopique d’action h. • Un changement quantique au niveau des atomes peut requérir de toute petite action étant un multiple entier d’action h. Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Page 4 L’action du moment cinétique La constante de Planck h peut être réécrite sous une autre forme qui invite un nouveau concept à être interprété comme étant une action : le moment cinétique L z . [h] = J ⋅ s = (Nm ) ⋅ s = kg ⋅2 m m ⋅ s = kg ⋅ m 2 /s Preuve : s Il est important de préciser que [h] = kg ⋅ m 2 /s sous cette forme ne correspond pas à des unités de moment cinétique, car une notion de radian est incluse dans le moment cinétique en raison d’une périodicité après une rotation complète. La constante de Planck réduite h La constante de Planck h utilisé pour évaluer le quanta d’énergie d’un photon peut être réécrite sous la forme d’une constant de Planck réduite h (h barre) où un nouveau quanta peut être associé à l’action du moment cinétique : h= Preuve : h = 1,0546 × 10 −34 J ⋅ s 2π La notion de moment cinétique introduit un concept de périodicité dans un mouvement où un cycle correspond à 2π radians. Démontrons que l’unité du moment cinétique prend la forme de la constante de Planck réduite h : 1 tour [h] rad kg ⋅ m 2 s kg ⋅ m 2 [Lz ] = [Iω ] = kg ⋅ m = = = [h ] rad = s ⋅ rad = J ⋅ s ⋅ rad = [h ] ⋅ rad 2 2π rad 2π s s s s 2 La quantification du moment cinétique Puisque la constante de Planck réduite h correspond à l’action du moment cinétique L z , la mécanique quantique impose la quantification du moment cinétique. Ainsi, toute variation de moment cinétique d’une particule doit d’effectuer à « coup de h ». De plus, tous les modules du moment cinétique L z se doit d’être quantifier et être un multiple entier n de h : Lz ( classique ) ∈ ℜ 0 0 Lz (quantique ) ∈ nh , n ∈ N h 2h 3h ... nh Lz = n h où L z : Moment cinétique d’une particule ou d’un atome ( J ⋅ s ) n : Nombre entier de quanta de moment cinétique ( n ∈ N ) h : Constante de Planck réduite, h = 1,0546 × 10 −34 J ⋅ s Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Page 5 L’énergie de l’atome d’hydrogène classique En mécanique classique, l’atome d’hydrogène stable est considéré comme étant un noyau composé d’un proton de charge positive et d’un électron qui circule en équilibre sur une trajectoire circulaire autour du noyau. Dans ce modèle classique, tous les rayons d’orbite circulaire sont admissibles. L’énergie E de liaison (négative) du système composée de l’énergie potentielle électrique Ue du système protonélectron et de l’énergie cinétique K de l’électron dépend de la distance r entre l’électron et le proton : v v v Fe v aC r ke 2 E = K + Ue = − 2r où E : Énergie de l’atome d’hydrogène (J) r : Rayon de la trajectoire circulaire de l’électron autour du proton (m) e : Charge électrique élémentaire, e = 1,6 × 10 −19 C k : Constante de la loi de Coulomb, k = 9,00 × 10 9 N ⋅ m 2 /C 2 Preuve : Considérons un électron en mouvement sur une trajectoire circulaire autour d’un proton immobile. Évaluons par la 2ième loi de Newton et de l’accélération centripète aC la relation existant entre la force électrique Fe et le rayon de la trajectoire circulaire : v v (Force électrique radiale avec acc. centripète) ∑ F = ma ⇒ Fe = maC ⇒ ⇒ ⇒ v2 k 2 =m r r (e)(− e) v2 k = m r r2 q p q e- v= ke 2 mr (Remplacer Fe = k qQ r2 v2 , aC = ) r (Proton : q p = e , Électron : qe- = −e ) (Simplifier r, isoler v) Ayant une relation entre la vitesse et le rayon de la trajectoire circulaire, effectuons un bilan d’énergie considérant une énergie potentielle électrique U e et une énergie cinétique K : 1 1 qQ E = K +Ue ⇒ E = mv 2 + U e ( K = mv 2 , U e = k ) 2 2 r qp q 1 ⇒ E = mv 2 + k 2 e (Énergie potentielle électrique) 2 r 2 ⇒ ⇒ (e)(− e) 1 ke 2 E= m +k 2 mr r2 ke 2 E=− ■ 2r Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina (Remplacer v = ke 2 , q p = e , qe- = −e ) mr (Simplifier m, regrouper terme) Page 6 L’énergie de l’atome d’hydrogène de Bohr L’énergie de l’atome d’hydrogène de Bohr réutilise tous les principes du modèle classique (électron non-relativiste), mais impose une contrainte sur les moments cinétiques admissible L z pour l’électron en interaction avec le proton. Ainsi, la quantification du moment cinétique engendra une quantification des niveaux d’énergie E n de l’atome. Cette quantification limite alors l’ensemble des rayons des orbites circulaires admissibles : En = − où E1 n2 n=3 n=2 Lz n =1 rn = r1n 2 rn = r1 n 2 et ... E n : Énergie associée à l’atome d’hydrogène dans le niveau n (J) rn : Rayon de l’orbite de l’électron dans l’atome d’hydrogène dans le niveau n (m) n : Niveau d’énergie quantifié de l’atome d’hydrogène ( n ∈ N ) E1 : Énergie fondamentale de l’atome d’hydrogène, E1 = 2,18 × 10 −18 J = 13,6 eV r1 : Rayon de Bohr (rayon de l’orbite fondamentale), r1 = 5,29 −12 m Preuve : Supposons qu’un électron en interaction avec un proton se déplace sur une orbite circulaire de rayon r. Puisque la force électrique est une force radiale, il y a conservation du moment cinétique L z . À partir de l’énergie classique de l’atome d’hydrogène, établissons une équation limitant les énergies E admissible en raison de la quantification du moment cinétique L z = nh : L z = mvr sin (θ ) ⇒ L z = mvr sin(90°) (Trajectoire circulaire, θ = 90° ) ⇒ ke 2 r L z = m mr (Remplacer v = ⇒ L z = mke 2 r (Simplifier m et r) ⇒ L z = mke 2 r 2 ke 2 , preuve précédente) mr (Mettre au carré) Appliquons la quantification du moment cinétique L z = n h afin d’évaluer le rayon de Bohr : 2 L z = mke 2 r ⇒ (nh )2 = mke 2 r (Quantification : L z = n h ) 2 ⇒ ⇒ r= h n2 2 mke r = r1 n 2 (Isoler r) ■ (1) Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina h2 (Remplacer r1 = ) mke 2 Page 7 À partir de l’énergie classique de l’atome d’hydrogène, introduisons la quantification des rayons des orbites (issus de la quantification du moment cinétique L z = n h ) afin de quantifier les niveaux d’énergies : E=− ke 2 2r ke 2 ⇒ E=− ⇒ E=− mk 2 e 4 1 2h 2 n 2 (Regrouper constante) ⇒ E=− E1 n2 (Remplacer E1 = h2 2 2 n 2 mke ■ (2) (Quantification : r = h2 n2 ) 2 mke mk 2 e 4 ) 2h 2 La longueur d’onde de de Broglie et la quantification du moment cinétique L’hypothèse de la longueur d’onde de de Broglie peut être également utilisé pour justifier le concept de quantification du moment cinétique d’un électron en interaction avec un proton comme dans le cas d’un atome d’hydrogène. 2π r ≠ Nλ L : Superposition de l’onde ne se refermant pas sur elle-même « autodétruit » l’onde stationnaire ce qui interdit l’orbite. 2π r = Nλ : Superposition de l’onde se refermant sur elle-même « renforce » l’onde stationnaire ce qui autorise l’orbite. On peut interpréter l’électron comme étant une onde stationnaire vibrant sur une orbite autour du noyau. Les orbites admissibles sont celles où il y a résonance. Preuve : Démontrons que l’hypothèse de la longueur d’onde de de Broglie appliqué à l’atome d’hydrogène est équivalent à l’hypothèse de la quantification du moment cinétique proposé par Bohr : 2π r = nλ ⇒ ⇒ ⇒ ⇒ h p h pr = n 2π h mv r = n 2π 2π r = n L z = nh (Longueur d’onde : λ = h ) p (Réécriture) (Quantité de mouvement : p = mv ) ■ Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina ( Lz = mv r et h = h ) 2π Page 8 Le modèle atomique de l’atome de Rutherford-Bohr La notion du changement d’état énergétique apporté par Albert Einstein pour expliquer l’effet photoélectrique fut très importante dans l’élaboration du modèle de l’atome de Rutherford-Bohr. Dans ce modèle, les électrons sont liés au noyau dans différents niveaux d’énergies quantifiés avec une énergie totale (cinétique et potentielle électrique) négative. Un photon est absorbé par l’atome d’hydrogène lorsque l’électron augmente de niveau d’énergie (nombre quantique n augmente). Un photon est émit de l’atome d’hydrogène lorsque l’électron diminue de niveau d’énergie (nombre quantique n diminue). Dans l’atome d’hydrogène, l’énergie de liaison du niveau fondamental est E1 = -13,6 eV. L’électron sera ionisé (éjecté de l’atome) s’il acquière une énergie totale supérieure à zéro. Dans l’atome d’hydrogène, un photon d’énergie supérieure à 13,6 eV (ultraviolet) ionisera automatiquement l’électron de l’atome car E n + 13,6 eV > 0 . Puisque les niveaux d’énergie sont quantifiés, la transition entre deux niveaux d’énergie s’effectue par l’entremise d’un photon ayant l’énergie exacte à la différence d’énergie entre les deux niveaux en jeu : Émission ( E i > E f ) Absorption ( E f > E i ) Eγ = hf = ∆E i → f = E i − E f Eγ = hf = ∆E i → f = E f − Ei Exemple : (l’énergie du photon en fonction de sa fréquence est Eγ = hf ) L’atome se désexcite passant du Un photon apporte une énergie L’atome absorbe l’énergie ce qui permet à un électron niveau n = 3 au niveau n = 2 . Un au système exactement égale à du niveau d’énergie n = 1 photon est alors émit à une énergie Eγ = E 3 − E1 . Eγ = E 3 − E 2 de passer au niveau n = 3 n=3 n=3 n=3 n=2 n=2 n=2 n = 1 q = −e n =1 n =1 Q = + Ze Q = + Ze Q = + Ze Eγ = ∆E1→3 Eγ = ∆E3→2 q = −e q = −e Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Page 9 Le spectre de l’hydrogène et les transitions électroniques de l’atome de Bohr En construction … Référence : Marc Séguin, Physique XXI Volume C Note de cours rédigée par : Simon Vézina Page 10