CCF Document de référence 2002
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CCF Document de référence 2002
CCF CCF 103, avenue des Champs-Elysées 75419 Paris Cedex 08 France Téléphone : (33 1) 40 70 70 40 Facsimile : (33 1) 40 70 70 09 Web : www.ccf.com CCF Document de référence 2002 Votre banque, partout dans le monde Document de référence CCF Rapport et comptes annuels 2002 Sommaire 3 Rapport du Conseil d’Administration à l’Assemblée Générale 8 Comité de direction 11 Conseil d’Administration 14 Gouvernement d’entreprise – Composition et fonctionnement du Conseil d’Administration – Travaux du Conseil d’Administration – Comités – Rémunération du Conseil d’Administration et des dirigeants 19 Politique du CCF sur le développement durable 20 Les facteurs de risques et leur contrôle au sein du groupe CCF 27 Conformité et déontologie 30 L’exercice en bref 36 Comptes consolidés 39 Notes annexes aux comptes consolidés 80 Comptes sociaux 94 Résumé synthétique des activités des principales filiales 101 Politique d’investissement 104 Implantations du CCF 105 Faits exceptionnels et litiges 106 Autres documents légaux concernant l’Assemblée Générale 111 Assemblée Générale Mixte du 14 mai 2003 – Résolutions adoptées 113 Renseignements de caractère général concernant le CCF et son capital 120 Effectifs – Rémunération – Augmentation de capital réservée aux salariés et intéressement 129 Evolution récente et perspectives d’avenir 132 Responsables du document de référence et responsables du contrôle des comptes 134 Table de concordance 135 Implantations 1 CCF Le CCF a rejoint le Groupe HSBC en juillet 2000. HSBC Holdings plc, dont le siège social est situé à Londres, est l’un des plus importants groupes de services bancaires et financiers au monde. Son réseau international se compose de plus de 9 500 implantations réparties dans 80 pays, en Europe, en Asie-Pacifique, en Amérique du Nord et du Sud, au Moyen-Orient et en Afrique. Cotées sur les Bourses de Londres, Hong Kong, New York et Paris, les actions HSBC Holdings plc sont détenues par environ 190 000 actionnaires dans quelque 100 pays et territoires. En 2002, HSBC a réalisé un bénéfice net avant impôts de 9 650 millions USD et un bénéfice net part du Groupe de 6 239 millions USD. Le total du bilan est de 759 246 millions USD. Distribution des résultats par zone géographique : Exercice clos le 31 décembre 2002. En millions USD % Europe 4 160 39,5 Hong Kong 3 710 35,3 Reste de l’Asie-Pacifique 1 293 12,3 Amérique du Nord 1 384 13,2 Amérique du Sud Résultat avant impôts et amortissement du goodwill Amortissement du goodwill Résultat consolidé avant impôt 2 (34) 10 513 (863) 9 650 (0,3) 100,0 CCF Rapport du Conseil d’Administration à l’Assemblée Générale Une nouvelle fois, le CCF a réussi à améliorer ses résultats, en dépit de l’environnement très dégradé des marchés d’actions et des incertitudes de la conjoncture économique. leur taille ou dès lors qu’il n’en détenait pas le contrôle majoritaire. Il a ainsi cédé sa participation dans la Lombard Bank à Malte et 8 succursales spécialisées en banque privée en Italie. S’appuyant sur les ressources de l’un des principaux groupes financiers et sur la compétence de ses équipes, le CCF a poursuivi son projet d’être la banque française leader sur le marché de ses clients prioritaires. L’intégration du CCF au sein de HSBC développe tous ses effets dans les métiers de grande clientèle qui constituaient le premier enjeu. Grâce au CCF, HSBC a accédé aux premiers rangs des “league tables” européennes pour les émissions obligataires en euros, notamment pour les entreprises françaises et britanniques. Le CCF a également accru ses positions en matière de fusion-acquisition et sur le marché primaire actions. L’intégration commence aussi à porter ses fruits dans les autres métiers : gestion d’actifs, banque privée et banque de réseau. En revanche, il s’est renforcé dans le métier de banque privée avec l’acquisition de HSBC Bank France SA et le rachat des intérêts minoritaires à la Banque du Louvre. Parallèlement, le CCF a poursuivi l’aménagement de son organisation et la rationalisation de ses structures dans le sens d’une plus grande efficacité. L’évolution des structures Dans le domaine de la banque de réseau, après l’acquisition de la Banque Hervet, en 2001, le CCF a intégré, le 1er juillet 2002, les agences de la Banque Worms implantées dans onze grandes villes de province et vient d’acquérir, début 2003, deux importantes agences supplémentaires situées à Paris, complétant ainsi son réseau dans des zones à potentiel. Il a également absorbé ses deux sociétés de bourse en ligne, Webroker et Selectbourse, en vue d’élargir son service multicanal et de proposer à sa clientèle un accès direct aux marchés boursiers. Le CCF a mis fin à certains partenariats avec notamment la cession des 50 % détenus dans Lixxbail au Crédit Lyonnais et celle de CCF SEI au groupe SEI. Il a également procédé à la cession de participations dans de petites entités de gestion privée en raison de Dans le cadre de la rationalisation de son organisation avec HSBC, le CCF a procédé à une fusion avec sa filiale HSBC CCF Investment Bank (France) qui exerçait des activités de banque d’affaires à Paris et à Londres. Il a également opéré de nombreuses simplifications de ses structures en France mais aussi en Suisse et en Grande-Bretagne autour de “Charterhouse Management Services” afin de concentrer le nombre de ses filiales dans chacun de ses métiers et de dégager ainsi des économies de gestion. A Londres, il a notamment procédé à quelques ajustements de structures en cédant à HSBC Asset Management sa filiale HSIL spécialisée dans la gestion d’actifs et de fonds immobiliers comme de fonds de privatisation. Les résultats des activités gérées par le CCF en 2002 Le résultat net publié du CCF, dans son périmètre juridique, s’élève à 562 millions d’euros, en progression de 8,6 % sur 2001. Ce chiffre intègre toutefois les effets des nombreux changements de périmètre1, intervenus entre début 2001 et fin 2002, et les résultats d’activités gérées par d’autres entités du Groupe HSBC. Retraité pour corriger ces effets, ainsi que certains éléments exceptionnels2, le résultat net part du groupe des activités gérées par le CCF s’est élevé à 498 millions d’euros, en progression de 4,6 % sur 2001. Cette progression du résultat net est obtenue malgré le faible niveau du résultat des activités de portefeuille (27 millions d’euros), conséquence de l’évolution défavorable des marchés actions, alors que 2001 avait, au contraire, bénéficié d’un résultat particulièrement élevé dans ce domaine (110 millions d’euros). 1 Sauf exception, les chiffres mentionnés portent sur les résultats des activités dont le CCF a la responsabilité manageriale, ce qui conduit aux principaux changements suivants par rapport au périmètre juridique : – intégration des résultats des succursales HSBC dans l’Eurozone (Espagne, Italie, Belgique, Pays-Bas), gérées par le CCF depuis fin 2000, – exclusion des résultats des activités anglaises gérées directement par HSBC (notamment Framlington). Ils sont retraités : – d’une part, pour corriger l’impact des nombreux changements de périmètre de gestion intervenus en 2002 (acquisition des succursales de Worms, cessions de Lixxbail et de CCF SEI, rachat des minoritaires de la Banque du Louvre, acquisition de HSBC Bank France SA) et en 2001 (acquisition de la Banque Hervet et d’une participation dans HSBC Private Banking Holdings (Suisse) SA ; cession du Crédit International d’Egypte ; transfert à d’autres entités du Groupe HSBC de Banco CCF Brasil, de plusieurs filiales de Banque Privée, et de différentes activités au Royaume-Uni); – et, d’autre part, pour ajuster certains éléments exceptionnels (principalement les plus et moins-values de cession liées à ces transferts, les coûts de restructuration et les provisions passées sur les contrats de liquidité accordés aux salariés dans certaines filiales). 2 Principalement, les plus-values de cessions intra-groupe, les coûts de restructurations et les provisions passées sur les contrats de liquidité accordés aux salariés de certaines filiales. 3 CCF Rapport du Conseil d’Administration à l’Assemblée Générale (suite) Malgré l’impact de la baisse des marchés d’actions sur certaines recettes, le produit net bancaire (2 294 millions d’euros) progresse de 1,6 % à données comparables. Dans ce contexte, les coûts ont fait l’objet d’une surveillance renforcée, l’augmentation des frais généraux (1 594 millions d’euros) ayant été limitée à 1,5 % (après + 1,7 % en 2001), grâce à une grande sélectivité dans les dépenses : si les développements stratégiques des métiers, notamment en banque de réseau, ont été préservés, les dépenses administratives centrales ont été significativement réduites. Cette gestion rigoureuse des coûts a permis d’enregistrer une nouvelle progression de 1,6 %, du résultat brut d’exploitation à données comparables, à 700 millions d’euros. La surveillance des risques a encore été renforcée, avec une charge des risques clientèle courants1 très modérée (68 millions d’euros, soit 0,22 % des encours correspondants). Les fonds propres consolidés s’élèvent à 3,3 milliards d’euros, après prise en compte du bénéfice net porté en réserves. La solidité des fonds propres a permis à votre conseil de décider d’une réduction de capital sous la forme du rachat de ses propres actions à hauteur de 255 millions d’euros. Le ratio de solvabilité “Tier One” se maintient à un niveau élevé : 8,2 %. Le ROE, calculé sur la base de la moyenne des fonds propres après affectation, s’établit à 16,7 % en données comparables (contre 15,1 % en 2001) et à 14,5% en données retraitées (contre 13,9 % en 2001). L’évolution des activités Réseaux bancaires Parmi les activités principales du CCF, la banque de réseau obtient de brillants résultats, avec une croissance de 6,3 % de ses recettes et de 17,7 % de son résultat brut d’exploitation (à périmètre constant). Cette évolution apparaît aussi bien pour le réseau CCF (RBE : + 9,8 %) que pour les filiales bancaires régionales, qui enregistrent une nouvelle fois une vive croissance de leur RBE (+ 22,7 %). Le bon niveau des volumes (les encours moyens de crédits des réseaux progressent de 4,1 %, les encours moyens de dépôts à vue de 8,1 %, par rapport à 2001) et une légère amélioration des marges expliquent ces résultats. Ils traduisent le grand dynamisme des réseaux du CCF, qui acquièrent de nouveaux clients grâce au développement des forces commerciales, à la qualité de l’offre multicanal et aux nouveaux produits développés avec HSBC. Les réseaux ont également poursuivi activement la rationalisation des back-offices du CCF, la mutualisation des produits et la modernisation des outils de CRM (Customer relationship management), avec la mise en place d’un outil particulièrement performant, Vision Homogène. Grâce à son intégration dans le Groupe HSBC, le CCF est en mesure de proposer une offre unique en France au travers du Centre Bancaire International, unité chargée de gérer les contacts entre le réseau CCF et l’ensemble des implantations du Groupe HSBC dans le monde. Pour les particuliers, un service dédié aux clients multirésidents a été mis en place avec HSBC Premier, il permet d’offrir un accès privilégié aux agences du Groupe à travers le monde. En matière d’offre multicanal, une deuxième génération de services bancaires par téléphone a été déployée avec notamment l’accès à un service d’alerte d’informations boursières et bancaires via SMS. En 2002, a également été lancé Elysées Horizon, produit innovant qui allie les avantages fiscaux de l’assurance vie à un mode de gestion évolutive conditionné par la durée (1 à 30 ans) du projet du client (retraite, donation, constitution d’un capital). En application du Code monétaire et financier le CCF a nommé un médiateur aux compétences élargies, dans le souci de favoriser le règlement à l’amiable des différends avec ses clients particuliers. Pour les entreprises, dans le domaine du Cash Management domestique, Elys PC, poste de travail du trésorier d’entreprise, a obtenu un grand succès depuis son lancement, avec 7 000 clients en 18 mois. En matière de service de trésorerie, le CCF a procédé à l’ouverture de quatre centres de trésorerie régionaux à Paris, Lille, Nice et Lyon permettant d’offrir des produits de couverture de taux et change aux entreprises clientes du réseau CCF. Moins exposées aux marchés financiers, les filiales bancaires, soutenues par une animation commerciale dynamique, ont permis d’assurer pour 2002 une bonne progression de leurs résultats. L’activité Entreprises s’est caractérisée par une bonne évolution de la production des crédits d’équipements à moyen long terme, en croissance de 10,9 % pour l’ensemble des banques régionales. Les crédits aux particuliers, ont enregistré une progression favorable, notamment en matière de prêts immobiliers (+ 16,4 %). 1 A l’exclusion de la Société Marseillaise de Crédit et de la Banque Hervet. 4 La Banque Hervet, acquise en mars 2001, dégage un résultat après impôt de 51 millions d’euros représentant, dès la première année complète au sein du groupe CCF, un retour sur investissement de 10 %. La Société Marseillaise de Crédit poursuit son redressement avec une progression de 23,7 % de son RBE et un coefficient d’exploitation ramené à 66 %, contre 108 % en 1998, année de son entrée dans le Groupe. L’intégration de toutes les activités bancaires au sein du Groupe HSBC s’est précisée : l’ensemble des banques régionales ont désormais adopté la signature “Membre du Groupe HSBC”. Grande clientèle Le métier de grande clientèle, pris dans son ensemble, a réussi à maintenir ses recettes et à accroître son RBE (+ 2,0 % et + 6,9 % respectivement, à données comparables), malgré l’environnement très difficile sur les marchés d’actions. Le coefficient d’exploitation global de cette activité baisse de près de 2 points pour tomber à 58,5 %. Cette performance est le fruit combiné des synergies avec l’ensemble du Groupe HSBC et du dynamisme propre des équipes du CCF. Les activités bancaires de grande clientèle ont poursuivi leur développement (PNB en hausse de 13,2 % pour l’Agence des Grandes Entreprises, de 17,9 % pour le Département des Affaires Immobilières). L’évolution des besoins en gestion de trésorerie et de liquidité des entreprises a contribué au bon développement des métiers de Corporate Banking, notamment avec l’essor des produits de Cash Management. Les investissements réalisés depuis 2 ans en matière de transactions internationales commencent à porter leurs fruits en termes de mandats gagnés, pour des montages de préfinancement export par exemple. Le financement de projets à l’étranger a souffert, en revanche, du ralentissement de la conjoncture internationale. Les activités de marché de taux et de change affichent une légère baisse de leurs recettes (- 6,1 %) et de leur RBE (- 16,6 %). L’évolution 2002/2001 a été pénalisée par une provision sur un titre de dette venant à échéance en juin 2003 et qui pourra vraisemblablement être reprise à cette date. La montée en puissance du Groupe HSBC sur les marchés euros, dans laquelle le CCF joue un rôle déterminant, s’est poursuivie : le Groupe, passé du 22e au 6e rang, entre 1999 et 2001, dans la league table des Euros Corporate Bonds, est désormais au 4e rang. HSBC avec le CCF se classe également parmi les cinq premiers banquiers sur les produits Forex auprès de la clientèle des grandes entreprises françaises. Il a développé avec succès chez ses grands clients l’implantation de FXall, première plate-forme de e-commerce sur les produits de change. En matière de produits de taux, HSBC, avec l’appui du CCF, a désormais le statut de primary dealer pour six dettes souveraines. Enfin, au sein du Groupe HSBC, CCF est le “fournisseur exclusif ” de produits de taux structurés, toutes monnaies. En banque d’affaires – périmètre qui recouvre l’ensemble des métiers action-activités de conseil, d’intermédiation et de montages structurés – les recettes affichées sont en croissance de 8,6 %, avec un RBE en augmentation de 50,7 %. Ce très bon résultat vient de la forte progression des recettes de “fusions-acquisitions” (+ 31,3 %) et de montages structurés (+ 19,7 %), dans des marchés pourtant peu favorables. HSBC, avec le CCF, a notamment dirigé la plus grosse introduction en bourse de l’année en Europe (Autoroutes du Sud de la France). Dans cette opération, le CCF a été conseil du gouvernement, coordinateur global de l’introduction en bourse, chef de file, et seul teneur de livre du placement global. Le CCF a également été co-bookrunner d’une importante émission d’obligations convertibles de 570 millions d’euros pour le groupe Accor. Il a été conseil du management de Legrand pour son LBO et celui de PPR pour la vente d’activités de Guilbert. Ces performances ont plus que compensé les résultats en baisse de l’activité d’HSBC CCF Securities qui, du fait de la réduction des volumes de transaction, affiche un PNB en recul de 22 %. Par ailleurs, HSBC CCF Securities a été désigné comme le “fournisseur” en dérivés actions pour l’ensemble du Groupe. Les succursales de l’euro zone1 ont fortement accru leurs recettes d’activités bancaires, dans le cadre de la stratégie de développement paneuropéen d’HSBC. Leur RBE a légèrement baissé (- 6,9 %), du fait de coûts non récurrents en Espagne et de moindres performances en banque privée en Italie. 1 Succursales du CCF en Belgique, d’HSBC Bank plc en France, Espagne, Italie, Belgique, Hollande. 5 CCF Rapport du Conseil d’Administration à l’Assemblée Générale (suite) Gestion d’actifs et Banque privée Ces deux métiers ont été les plus affectés par la baisse des marchés financiers. Dans ce contexte très défavorable, les activités de gestion d’actifs gérées par le CCF n’ont enregistré qu’une baisse limitée de leurs résultats (PNB : - 3,4 %, RBE : - 32,0 %) et ont réussi à accroître les fonds sous gestion (+ 12,6 % à 36,7 milliards d’euros, hors Framlington), la collecte nette (2,9 milliards d’euros) et les fonds confiés par le Groupe (2,7 milliards d’euros) faisant plus que compenser l’effet de marché négatif (- 4,4 %). HSBC Asset Management Europe enregistre également une progression des fonds gérés (+ 7,6 % à 26,5 milliards d’euros), auquel le développement réussi de l’activité en Italie contribue. Ses performances ont notamment été saluées par les “Lauriers d’or” sur 5 ans, dans la catégorie “banques à réseau”, décernés par la rédaction d’Investir. En 2003, il a également lancé une nouvelle gamme de fonds à horizon, Exaprime, destinée au réseau. Désormais “spécialiste de la gestion quantitative et des produits structurés et garantis” pour l’ensemble du Groupe HSBC, Sinopia a bénéficié des premiers transferts de fonds garantis en provenance de HSBC Londres, Jersey et Hong Kong à hauteur de 1,3 milliard d’euros et a accru ses actifs sous gestion de 40,4 % à 8,4 milliards d’euros. Il a procédé au lancement de nombreux produits et a reçu le 1er prix “Best Seller”, décerné par l’Agefi, pour son FCP Alternatis. Elysées Fonds, acteur reconnu dans le secteur de l’épargne salariale sur le marché français, a poursuivi l’enrichissement de sa gamme de produits, notamment avec un produit dédié aux PME et aux professions libérales s’inscrivant dans le cadre de la “loi Fabius”, Elyséo, qui a rencontré un grand succès. Ses équipes ont également finalisé l’étude d’un nouveau schéma d’organisation en conformité avec la réglementation du Conseil des Marchés Financiers (2002.03). La réorganisation des activités de banque privée, dont les résultats 2002 ont été pénalisés par l’évolution des marchés (actifs gérés : - 14,5 %, à 15,2 milliards d’euros, PNB : - 14,2 %, RBE : - 46,0 %), se poursuit. Après l’apport à HSBC Private Banking (Suisse) SA, en 2001, des filiales du CCF au Luxembourg, à Monaco et en Suisse, en contrepartie d’une participation de 13,4 % dans son capital, la réorganisation des 6 activités françaises a été entamée. Le projet en 2003 est de regrouper les quatre filiales de banque privée française – Eurofin, Banque du Louvre, CCF BPI et HSBC Bank France SA – en une seule, qui deviendrait la première banque privée en France, avec 12,5 milliards d’euros gérés. Par ailleurs, en Belgique, les activités de la Banque Dewaay, rachetée à 100 % en 2001, ont été recentrées sur le métier de banque privée. Activités de portefeuille Les activités de portefeuille et de private equity, qui avaient obtenu des résultats très élevés en 2001 (RBE : 143 millions d’euros, résultat net : 110 millions d’euros), ont enregistré une baisse significative en 2002, tout en gardant des résultats positifs (RBE : 90 millions d’euros, résultat net : 27 millions d’euros), du fait, d’une part, de moindres réalisations de plus-values sur le portefeuille private equity Charterhouse et, d’autre part, des dépréciations importantes constatées sur un petit nombre de lignes, notamment de titres d’une compagnie d’assurances. Hors ces activités de portefeuille, le RBE des activités gérées par le CCF progresse, à données comparables, de 11,6 %, à 609 millions d’euros, et le résultat net de 28,7 %, à 471 millions d’euros. Au vu de ces résultats, le Conseil d’Administration a proposé la mise en paiement d’un dividende de 7,25 euros par action, soit une progression de 29,5 % sur l’an passé. Le montant total du bénéfice net distribué est de 537 millions d’euros, à comparer à 422 millions d’euros distribués au titre de l’exercice 2001. Le détachement et le paiement du coupon est fixé au 15 mai 2003. Le Conseil rappelle enfin, que par la décision de l’Assemblée Générale du 8 avril 2002, la Société a mis ses statuts en conformité avec la loi n° 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques. A l’issue de cette assemblée générale, le Conseil d’Administration s’est réuni pour décider que la Direction Générale de la Société continuera d’être assumée, sous la responsabilité de Monsieur Charles de Croisset, pour une durée égale à ses fonctions de Président du Conseil d’Administration. Dans les résolutions proposées il vous est demandé notamment de renouveler le mandat de deux administrateurs et d’en nommer un nouveau. Résolutions Proposition de résolutions relevant de la compétence de la partie ordinaire de l’Assemblée Dans une première résolution, le Conseil propose à l’Assemblée d’approuver les comptes sociaux au 31 décembre 2002, après lecture du rapport du Conseil d’Administration et du rapport des Commissaires aux Comptes. La seconde résolution concerne l’affectation du résultat de l’exercice 2002 : le dividende versé aux actionnaires se monterait à 537 348 728,50 euros. Cette répartition laisserait à disposition des actionnaires un report à nouveau de 219 034 883,03 euros. Enfin, le dividende sera mis en paiement à compter du 15 mai 2003. Il vous est proposé dans une troisième résolution d’approuver les comptes consolidés au 31 décembre 2002 pour se conformer à l’article L. 225-100 du Code de commerce. Après avoir entendu la lecture du rapport des Commissaires aux Comptes sur les conventions prévues à l’article L. 225-38 du Code de commerce, il vous est proposé d’approuver, en quatrième résolution, la convention qui y est visée. Il vous est proposé, dans la cinquième résolution, de ratifier la nomination aux fonctions d’Administrateur de Monsieur Igor Landau, faite à titre provisoire par le Conseil d’Administration lors de sa réunion du 30 juillet 2002, en remplacement de Monsieur Bertrand Collomb, démissionnaire. Dans la sixième et septième résolution, il vous est proposé de renouveler, aux fonctions d’administrateurs pour une durée de quatre ans, Monsieur Stephen Green et Monsieur Jean-Claude Jolain. Il vous est proposé, dans la huitième résolution, de nommer, en qualité de nouvel administrateur pour une durée de quatre ans, Monsieur Jean-Claude Decaux. Proposition de résolution relevant de la compétence de la partie extraordinaire de l’Assemblée Il vous est proposé, dans une neuvième résolution, de modifier l’article 3 des statuts relatif à l’objet social, pour tenir compte de l’intégration, dans le Code monétaire et financier, des dispositions de la loi n° 96-597 du 2 juillet 1996. Pouvoirs (dixième résolution) Cette dernière résolution est destinée à donner tous pouvoirs, pour effectuer les formalités consécutives à l’Assemblée, au porteur d’un original, d’une copie ou d’un extrait du procès-verbal de l’Assemblée. Nous espérons que les résolutions qui vous sont soumises et sur lesquelles vous avez à vous prononcer recevront votre agrément. 7 CCF Comité de direction au 31 décembre 2002 Direction générale Charles de Croisset Président-Directeur Général, Executive Director de HSBC Holdings plc, Administrateur de HSBC Bank plc. 59 ans. Il a rejoint le CCF en 1980 après avoir occupé précédemment de hautes responsabilités dans l’Administration et les cabinets ministériels. Il est Président du CCF depuis 1993. Dominique Léger Administrateur, Directeur Général Délégué. 60 ans. Il rejoint le CCF en 1994. Maître des requêtes au Conseil d’Etat, il a occupé des responsabilités importantes dans des cabinets ministériels de 1973 à 1981. Il a été Secrétaire Général puis Directeur Général adjoint de Cégélec, Groupe Alcatel de 1984 à 1994. Samir Assaf Directeur Général adjoint, Marchés de taux et d’actions. 42 ans. Il a rejoint le CCF en 1994. Il exerce de nombreuses responsabilités aux marchés de taux et de change. De 1988 à 1994, il a occupé plusieurs postes à la direction financière du groupe Total. Christophe de Backer Directeur Général adjoint, Gestion d’actifs et Assurance. 40 ans. A rejoint CCF Securities en 1991, où il exerce plusieurs fonctions avant d’être nommé Président-Directeur Général en septembre 1998. Peter Boyles Directeur Général adjoint, Grands Clients Corporate et Institutionnels. 47 ans. Au CCF depuis 2000, il a rejoint le Groupe HSBC comme International Manager en 1975. Il a exercé des responsabilités dans les Emirats Arabes Unis, à Hong Kong et en Malaisie. Antoine Cahuzac Directeur à la Direction Générale, Direction des Grands Clients. 48 ans. Il a rejoint le CCF en 1985. Il a été responsable des services des swaps et options puis des services de la vente des produits de marché. Il a également dirigé la Société de Bourse et les marchés d’actions. Auparavant, il a travaillé à EDF et à la Société Générale d’Entreprise. Patrick Careil Président de la Banque Hervet, Coordination avec les Banques régionales. 55 ans. Après avoir exercé de hautes responsabilités dans l’Administration et les cabinets ministériels, il est nommé Président-Directeur Général de la Banque Hervet en 1989. Il a exercé, simultanément, les fonctions de Président de la Société Marseillaise de Crédit (SMC) de 1997 à 1998. 8 Gilles Denoyel Directeur Général adjoint, Finances. 48 ans. Il a rejoint le CCF en 1996 comme Directeur Financier, puis il exerce les responsabilités de Secrétaire Général en charge de la logistique et des opérations. Auparavant il a fait sa carrière au ministère des Finances. Henri des Déserts Directeur Général adjoint, Banque Privée. 54 ans. Il a rejoint le CCF en 1981. Il est Directeur de la Banque Privée depuis 1993 après avoir été Directeur du CCF Suisse de 1986 à 1993 et Directeur des Implantations à l’étranger de 1993 à 2000. Pierre Herbin Directeur Général adjoint, Réseau CCF. 56 ans. A rejoint le CCF en 1972. Il a exercé plusieurs fonctions dans le réseau avant de reprendre en 1992 la Direction du Crédit Commercial du Sud-Ouest. Il est responsable du Réseau CCF depuis 1999. Francis Picard Directeur Délégué à la Direction Générale, Affaires Immobilières. 64 ans. Il a rejoint le CCF en 1961. Il a été Directeur du Crédit de 1982 à 1991 et Directeur des Affaires Immobilières depuis 1991. Il est Administrateur de plusieurs filiales bancaires françaises. Michel Wohrer Directeur Général Adjoint, Organisation et Moyens. 49 ans. Il a rejoint le CCF en 1988. Il a exercé de 1988 à 2000 des fonctions de fusions-acquisitions, a dirigé la Société de Bourse puis a été Directeur des Marchés de Taux et de Change. Il a occupé précédemment des fonctions à la Direction du Trésor et au Cabinet du ministre des Finances. 9 CCF Comité de direction (suite) Membres du Comité de direction Gérard de Bartillat Président du Directoire de la banque Eurofin Jean Baudoin Directeur des Risques de Crédit et de Marché Jalil Berrada Directeur des Systèmes d’information Raymond Bert Président du Directoire de l’Union de Banques à Paris Loïc Bonnat Secrétaire Général de la Banque de Grande Clientèle Catherine Bussery Directeur de la Conformité Alain Cadiou Inspecteur Général Patrick Cazalaa Directeur Corporate Finance Johnny Crichton Directeur adjoint des Risques de Crédit et de Marché Didier Descamps Chief operating officer, Métiers de Marché et de Dette (à janvier 2003) Joëlle Durieux Directeur Général de Erisa Dominique Feutry Directeur des Opérations Bernard Francisoud Président du Directoire du Crédit Commercial du Sud Ouest Sylvie François Directeur des Ressources Humaines Monique Frugier Directeur du Contrôle de Gestion et de la Comptabilité Pierre Jolain Directeur de la Déontologie Gilberte Lombard Secrétaire du Conseil d’Administration, Directeur des Opérations Financières Olivier Méric Directeur Marketing du Réseau CCF Yves Meynial Directeur des Succursales euro zone François Morlat Secrétaire Général du Métier Réseaux bancaires Chantal Nedjib Directeur de la Communication Joseph Perez Président-Directeur Général de la Société Marseillaise de Crédit Tony Rhodes Directeur des Financements et Montages, Directeurs des Financements structurés HSBC Thierry Roland Responsable Trésorerie - Change Thibaud de Roux Responsable Obligataire et Dérivés Pierre Sorbets Directeur des Institutions financières Cécile Teytaud Directeur des Affaires juridiques et fiscales 10 CCF Composition du Conseil d’Administration du CCF à la date du 25 mars 2003 Charles de Croisset né en 1943 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Entré en 1980 au CCF. 1986 : Chargé de l’ensemble des activités bancaires du CCF, il est nommé Administrateur Directeur Général du CCF en 1987. Depuis 1993 : Président-Directeur Général. Principaux mandats hors du groupe : Administrateur, HSBC Holdings plc. Administrateur, HSBC Bank plc. Administrateur, HSBC Guyerzeller Bank AG. Membre du Conseil de Surveillance, SA des Galeries Lafayette. Membre du Conseil de Surveillance, Euler & Hermès. Représentant permanent de la société SRRE, Somarel. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1987. Année de renouvellement du mandat : 2001. Année d’échéance : 2004. Nomination, en avril 2002, comme administrateur de Somarel, en tant que représentant permanent de SRRE. Dominique Léger né en 1942 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Maître des requêtes au Conseil d’Etat. 1984-1994 : Secrétaire Général, puis Directeur Général adjoint Cégélec (Groupe Alcatel). Entré au CCF en 1994. 1995 : Nommé Directeur Général délégué du CCF. 2000 : Nommé Directeur Général du CCF. Principaux mandats hors du groupe : Administrateur, Burelle SA. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors du Groupe en 2002. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2002. Année d’échéance : 2006. Patricia Bizien-Legay née en 1954 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Salariée du CCF. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2000. Année d’échéance : 2004. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés en 2002. Martin Bouygues né en 1952 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président-Directeur Général Bouygues. Principaux mandats (Groupe Bouygues) : Administrateur, TF1. Président-Directeur Général, SCDM. Administrateur, Société de Distribution de l’Eau de la Côte d’Ivoire (Sodeci). Administrateur, Compagnie Ivoirienne d’Electricité. Administrateur, Actiby. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2002. Année d’échéance : 2006. Nomination au Conseil du CCF le 30 juillet 2002. Evelyn Cesari née en 1949 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Salariée du CCF. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2000. Année d’échéance : 2004. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés en 2002. Jean-Antoine Chabannes né en 1938 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président Groupe Société Suisse (France). Principaux mandats hors du Groupe Société Suisse : Président Erisa. Membre du bureau, Fédération Française des Sociétés d’Assurance. Membre du Comité directeur, assemblée plénière des assurances de personnes. Administrateur, Seita. Administrateur, Altadis. Administrateur, SCOR. Administrateur, Creserfi. Administrateur, chambre de commerce suisse en France. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1988. Année de renouvellement de mandat : 1998. Année d’échéance : 2004 (membre du Comité d’Audit de HSBC CCF). Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors de son groupe en 2002. 11 CCF Composition du Conseil d’Administration du CCF à la date du 25 mars 2003 (suite) William R. P. Dalton né en 1943 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Chief Executive Officer HSBC Bank plc. Executive Director HSBC Holdings plc. Principaux mandats hors du Groupe HSBC : Member of Governing Council, Centre for the Study of Financial Innovation.Vice-President, Chartered Institute of Bankers. Administrateur, MasterCard International Inc. Chairman, Young Enterprise Ltd. Administrateur, Crimestoppers Trust. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2000. Année de renouvellement : 2001. Année d’échéance : 2004. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors de son groupe en 2002. Paul Dubrule né en 1934 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Membre du Directoire Accor. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1999. Année de renouvellement : 2001. Année d’échéance : 2005 (membre du Comité de Sélection et des Rémunérations du CCF). Fin de mandat d’Administrateur de Publication du Nouvel Economiste le 31 mai 2002 et de Sogebail le 24 mai 2002. Charles-Henri Filippi né en 1952 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Entré au CCF en 1987. 1998 : Administrateur Directeur Général. 2001 : Group General Manager et Global Head of Corporate and Institutional Banking du Groupe HSBC. Principaux mandats hors du Groupe HSBC : Administrateur, HSBC Bank plc. Représentant du CCF, Seita. Administrateur et membre de la Commission exécutive, Altadis. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1998. Année de renouvellement : 2001. Année d’échéance : 2004. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors du groupe CCF en 2002. Yves Fontaine né en 1945 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Salarié du CCF. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1997. Année de renouvellement : 2000. Année d’échéance : 2004. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors du groupe CCF en 2002. Stephen Green né en 1948 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Chairman, HSBC Investment Bank Holding plc. Executive Director, HSBC Holdings plc. Principaux mandats hors du Groupe HSBC : Administrateur, Friend of the Archbishop of Canterbury’s Anglican Communion, Fund Inc. Administrateur, Poplar Housing and Regeneration Community Association Limited. Administrateur, St Paul’s Cathedral Foundation. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2000. Année de renouvellement : 2001. Année d’échéance : 2003 (membre du Comité d’Audit du CCF) (membre du Comité de Sélection et des Rémunérations du CCF). Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors de son groupe en 2002. Philippe Houzé né en 1947 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président-Directeur Général, Monoprix SA. Co-Président du Directoire, Galeries Lafayette. Principaux mandats hors du groupe Galeries Lafayette : Membre du Conseil de Surveillance, Casino Guichard Perrachon. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1999. Année de renouvellement de mandat : 2001. Année d’échéance : 2004 (membre du Comité de Sélection et des Rémunérations du CCF). Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors de son groupe en 2002. Jean-Claude Jolain né en 1943 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président-Directeur Général Sagi. Principaux mandats hors du groupe Sagi : Administrateur, Unibail. Administrateur, Perexia. Président, UESL. Président-Directeur Général, Ville Service Plus. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1987. Année de renouvellement de mandat : 2001. Année d’échéance : 2003 (président du Comité d’Audit du CCF). Fin de mandat d’Administrateur dans les sociétés suivantes : Semidep, Efidis, Semavip, Semaest et Sogaris. Egalement fin de mandat de représentant permanent de Sagi au Conseil de Paris Expo – Porte de Versailles. 12 Igor Landau né en 1944 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président du Directoire (depuis le 14 mai 2002) Aventis. Président du Conseil de Surveillance, Aventis Pharma AG. Administrateur, Rhône Poulenc Rorer Inc. Administrateur, Hoechst AG. Principaux mandats hors du groupe Aventis : Administrateur, Cedep. Administrateur, Essilor. Administrateur, IDI. Administrateur, Thomson. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2002. Année d’échéance : 2004. Nomination comme Président du Directoire d’Aventis le 14 mai 2002, comme Administrateur de Thomson le 17 septembre 2002 et du CCF le 30 juillet 2002. Fin de mandats d’administrateur au Conseil de Rhodia le 25 octobre 2002, de Rhône Poulenc Pharma le 26 juillet 2002, d’Aventis Agriculture le 28 juin 2002. Jean-Charles Naouri né en 1949 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président groupe Euris. Principaux mandats hors du groupe Euris : Président, Rallye. Président, Finatis. Administrateur, Continuation Investments NV. Membre du Conseil de Surveillance, Casino. Membre du Conseil de Surveillance, Groupe Marc de Lacharrière (SCA). Associé gérant, Rothschild et Compagnie Banque. Gérant, SCI Penthièvre. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1999. Année de renouvellement : 2001. Année d’échéance : 2005. Nomination comme gérant de SCI Penthièvre le 7 janvier 2003. Fin de mandat de Directeur Général de Euris et Finatis le 7 juin 2002, fin de mandat d’Administrateur de Fimalac le 31 mai 2002. Marcel Roulet né en 1933 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Principaux mandats : Président du Conseil de Surveillance, Gimar Finances SCA. Administrateur, Thales. Administrateur, Thomson. Administrateur, Eurazeo. Administrateur, France Telecom. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1996. Année de renouvellement de mandat : 2001. Année d’échéance : 2005. Fin de mandats d’administrateur de Pages Jaunes (ex-ODA) en avril 2002 et de ON-X en septembre 2002. Nomination comme Administrateur de France Telecom en février 2003. Gérard Turc né en 1962 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Salarié du CCF. Année de première nomination au Conseil du CCF : 2000. Année d’échéance : 2004. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés en 2002. Rémi Vermeiren né en 1940 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Né en 1940. Président KBC Bancassurance NV. Principaux mandats hors du groupe KBC : Président du Conseil d’Administration, Ceskosiovenska Obchodni Banka AS. Membre du Conseil d’Administration, San Paolo IMI. Membre du Conseil d’Administration, Euronext. Année de première nomination au Conseil du CCF : 1998. Année de renouvellement de mandat : 2001. Année d’échéance : 2005. Il n’y a pas eu de modification dans les mandats exercés hors de son groupe en 2002. Administrateur nommé à l’Assemblée Générale du 14 mai 2003 : Jean-Claude Decaux né en 1937 Nombre d’actions CCF détenues : 1. Président du Conseil et Directeur Général, J.C. Decaux Holding. Président du Conseil de Surveillance, J.C. Decaux SA. Monsieur Decaux a créé, en 1964, la société J.C. Decaux, spécialisée dans l’affichage grand format, le mobilier urbain et la publicité dans les transports. Il a favorisé l’expansion internationale de la société qui est désormais implantée dans 90 pays et 3 400 villes, et réalise 60 % de ses ventes à l’étranger. Principal mandat hors du groupe Decaux : Président du Conseil d’Administration S.O.P.A.C.T. 13 CCF Gouvernement d’entreprise Le CCF applique, depuis 1995, les règles de gouvernement d’entreprise telles que recommandées par les rapports Viénot I et II et le rapport Bouton. Son intégration au sein du Groupe HSBC n’a pas apporté de modification à l’application de ces règles, à l’exception toutefois du Comité de Sélection et des Rémunérations qui n’a plus à décider de l’attribution de plans d’options, car les options attribuées aux salariés du groupe CCF sont désormais des options HSBC. En matière de rémunération des mandataires sociaux leur montant est déterminé par le Conseil d’Administration du CCF après approbation du Comité des Rémunérations du Conseil de HSBC Holdings. Enfin, la composition du Conseil du CCF respecte les recommandations du rapport Bouton en matière d’administrateurs indépendants : 50 % des administrateurs ne sont pas liés par des relations privilégiées avec la Société. Toutefois, deux parmi eux exercent un mandat d’administrateur au CCF depuis plus de 12 ans. Composition et fonctionnement du Conseil d’Administration Au 31 décembre 2002, le Conseil d’Administration était composé de 18 administrateurs dont : – 2 mandataires sociaux responsables au sens de la loi bancaire, – 3 administrateurs liés à une entreprise détenant 99,9 % du capital et des droits de vote HSBC, – 9 administrateurs indépendants, – 4 administrateurs élus par les salariés en 2000 pour un mandat de 4 ans, en application de l’ordonnance du 21 octobre 1986. Trois administrateurs étaient étrangers. Pendant l’exercice 2002, diverses modifications sont intervenues dans la composition du Conseil : fin février 2002, Monsieur Manfred Zobl a démissionné de son mandat d’Administrateur du CCF. De même, Monsieur Bertrand Collomb a démissionné de son mandat d’Administrateur à compter du 30 juillet 2002. Pour les remplacer, sur proposition du Comité de Sélection et des Rémunérations, l’Assemblée Générale Mixte qui s’est tenue le 30 juillet 2002 a nommé Monsieur Martin Bouygues pour un mandat de 4 années à compter de cette date. Le Conseil d’Administration qui s’est tenu le même jour a coopté Monsieur Igor Landau, également sur proposition du Comité de Sélection et des Rémunérations. Le mandat 14 de Monsieur Landau viendra à échéance en 2004 (terme du mandat antérieurement exercé par Monsieur Collomb). Enfin, il faut rappeler que l’Assemblée Générale du 8 avril 2002 a décidé la nomination comme administrateur du CCF de Monsieur Dominique Léger, Directeur Général Délégué du CCF, mandataire social responsable au sens de la loi bancaire. En 2003, l’Assemblée Générale du 14 mai a décidé la nomination comme Administrateur de Monsieur Jean-Claude Decaux. Règlement intérieur du Conseil d’Administration Le Conseil d’Administration s’est doté d’un règlement intérieur en 1996 qui rappelle les principales missions qui lui sont confiées et précise les règles de fonctionnement des séances du Conseil. Le Conseil a décidé, dans sa séance du 5 décembre 2001, d’approuver un règlement intérieur mis à jour pour l’adapter aux règles du Groupe HSBC. Ce nouveau règlement précise, en particulier, les missions, pouvoirs et responsabilités du Comité d’Audit et du Comité de Sélection et des Rémunérations. Travaux du Conseil d’Administration en 2002 Le Conseil d’Administration a tenu six séances au cours de l’année 2002 : – le 26 février 2002 (taux de participation 71 %), – le 8 avril 2002 (taux de participation 61 %), – le 15 mai 2002 (taux de participation 72,2 %), – le 30 juillet 2002 (taux de participation 88,9 %), – le 5 septembre 2002 (taux de participation 56 %), – le 14 novembre 2002 (taux de participation 66,7 %). Le Conseil d’Administration a examiné les états financiers trimestriels, semestriels et annuels du Groupe. Il a été régulièrement informé de l’état d’avancement de l’intégration du CCF au sein du Groupe HSBC et a délibéré à cet effet sur un certain nombre de modifications du périmètre d’activités du Groupe. Le Conseil d’Administration a décidé de poursuivre la simplification des structures du CCF avec l’absorption de trois de ses filiales : HSBC CCF Investment Bank, spécialisée dans les activités de banque d’affaires ainsi que Webroker et Selectbourse, ses deux filiales de courtage en ligne. Il a décidé de rationaliser ses intérêts en Grande-Bretagne en cédant HSIL, spécialisée dans la gestion d’actifs immobiliers à HSBC Asset Management. Par ailleurs, le Conseil a été amené à délibérer sur quelques projets d’acquisition concernant notamment la reprise de 13 agences de la banque Worms à Paris et en province ainsi que le rachat de HSBC Banque France spécialiste du métier de banque privée. Il a également décidé la cession au Crédit Lyonnais du solde de sa participation dans Lixxbail. Il a été régulièrement informé de la mise en œuvre des différentes règles de procédure propres au Groupe HSBC, telles le GSM (Manuel des normes du Groupe HSBC) et les FIM (Manuels d’Instructions Fonctionnelles). De même, il a été tenu informé des mesures prises dans la lutte antiblanchiment notamment des nouveaux dispositifs adoptés en application des règlements CRBF publiés en avril 2002. Enfin, il a été informé de l’évolution des procédures et des moyens de contrôle mis en œuvre pour améliorer la connaissance des clients. Le Conseil enfin, dans sa séance du 30 juillet 2002, a décidé de procéder à une réduction de capital conformément à la résolution de l’Assemblée Générale Extraordinaire du même jour. L’opération a porté sur le rachat de 2 % du capital soit pour un montant global de 255 millions d’euros. Les 1 521 701 actions acquises ont été annulées. Comités du Conseil d’Administration Comité de Sélection et des Rémunérations Composition : Président : – Paul Dubrule (indépendant) Nomination 1999 et 2003 comme Président Membres : – Philippe Houzé (indépendant) Nomination 1999 – Stephen Green Nomination 2000 Ce Comité a pour mission de formuler des propositions au Conseil pour la nomination d’administrateurs et la succession des mandataires sociaux, la rémunération des mandataires sociaux, l’attribution de plans d’options de souscription ou d’achat d’actions. Il s’est réuni deux fois au cours de l’exercice 2002 et l’ensemble de ses membres a été présent à la première séance, deux sur trois ont été présents à la deuxième séance. Il a ainsi délibéré sur les points suivants : – des rapports permettant au Conseil d’autoriser le versement des rémunérations des mandataires sociaux, – des propositions sur la nomination par le Conseil de deux nouveaux administrateurs. Comité d’Audit Composition : Président : – Jean-Claude Jolain (indépendant) Nomination 1992 Membres : – Jean Antoine Chabannes (indépendant) Nomination 1992 – Stephen Green Nomination 2000 – Marcel Roulet (indépendant) Nomination 2003 Les principales missions de ce comité portent sur l’examen des documents financiers soumis au Conseil d’Administration dans le cadre de l’arrêté des comptes trimestriels, semestriels et annuels. Il porte aussi sur les principes et méthodes de contrôle interne et externe de la Société. A ce titre, le Comité formule un avis sur la nomination des Commissaires aux Comptes, leurs honoraires et tout autre point afférent à l’exercice de leurs fonctions, examine leur “management letter” et les réponses qui y sont apportées. Il procède à une revue générale du système d’audit interne. Il examine également les dispositifs de conformité et de lutte contre le blanchiment en application des directives des autorités de tutelle et de la réglementation auxquelles est assujetti le CCF. Il examine régulièrement les grands risques qui résultent des activités du CCF. Enfin, pour respecter les règles du Groupe HSBC, le Président du Comité d’Audit du CCF, après que le Comité se soit assuré de l’exactitude des procédures comptables pour l’arrêté des comptes, confirme ces différents points par lettre 15 CCF Gouvernement d’entreprise (suite) adressée au Président du Comité d’Audit d’HSBC Bank Plc, actionnaire direct du CCF. En 2002, le Comité d’Audit s’est réuni à quatre reprises, les 22 février, 14 mai, 26 juillet et 13 novembre 2002, avec la participation des Commissaires aux Comptes et des responsables du CCF en charge des sujets débattus. Les trois membres du Comité ont assisté à chaque séance, à l’exception de Monsieur Stephen Green absent à la séance du 14 mai 2002. Lors de chacune des séances, le Comité d’Audit a procédé à une revue des grands risques : risques de crédit, risques de marché, risques opérationnels et des principaux risques juridiques et litigieux. Il a examiné les rapports de l’Inspecteur Général sur les missions du contrôle interne et de la Direction de la conformité sur les dispositifs en place et sur la lutte antiblanchiment. Il a procédé à l’examen des comptes sociaux et consolidés avec la participation des Commissaires aux Comptes qui ont commenté à partir de leur “management letter”, les différentes options arrêtées par l’entreprise, en particulier lors des séances consacrées à l’arrêté des comptes semestriels et annuels. Ils ont évoqué également la procédure de certification comptable. La séance du Comité d’Audit du 14 mai 2002 a permis l’examen du rapport annuel sur le fonctionnement du dispositif de contrôle interne, conformément au règlement n° 97-02 du Comité de Réglementation Bancaire. Au cours de cette séance, a également été examiné le rapport annuel adressé au CMF sur l’organisation et le fonctionnement du dispositif de contrôle des services d’investissement assimilés ou connexes au titre de 2001. Par ailleurs, un rapport de conformité a été adressé au CMF sur le respect des procédures d’entrée en relations avec les clients. En matière de conformité, le certificat de conformité, établi sur une base trimestrielle, a été commenté régulièrement aux membres du Comité d’Audit. Par ailleurs, une analyse détaillée des nouveaux règlements bancaires en matière de lutte antiblanchiment a été menée. Le dispositif adopté par le groupe CCF pour se conformer à ces nouvelles règles a été examiné de manière approfondie lors des séances des 26 juillet et 14 novembre derniers. Enfin, le Comité a procédé à l’examen d’un rapport d’inspection de la Commission Bancaire et à la réponse apportée par le CCF. Le Président du Comité d’Audit a rendu compte au Conseil d’Administration des travaux du Comité d’Audit dans les séances du 26 février, 15 mai, 30 juillet et 14 novembre 2002. 16 Rémunération du Conseil d’Administration et des dirigeants Jetons de présence L’Assemblée Générale Mixte du 7 avril 1999 a fixé le montant annuel maximal des jetons de présence alloués aux administrateurs à 426 850 euros. Le Conseil d’Administration, dans sa séance du même jour, a décidé les règles de répartition suivantes : – chacun des membres du Conseil d’Administration se voit allouer de manière forfaitaire la somme annuelle de 18 294 euros, les règlements étant faits annuellement à l’issue de l’Assemblée Générale. – par ailleurs, chaque administrateur, président ou membre du Comité d’Audit ou du Comité de Sélection et des Rémunérations se voit allouer de manière forfaitaire la somme annuelle de 9 147 euros. Au sein du Groupe HSBC, il est de règle que les administrateurs représentant HSBC, s’ils exercent plusieurs mandats dans des sociétés du groupe, ne reçoivent des jetons de présence que d’une seule société du groupe. A la suite de la décision adoptée par le Conseil d’Administration du 20 février 2001, cette règle s’applique à quatre administrateurs du CCF : Monsieur de Croisset, Monsieur Filippi, Monsieur Green et Monsieur Dalton qui ne reçoivent pas de jetons de présence au titre de leur mandat au CCF, à compter de leur cooptation dans un conseil d’une société du Groupe HSBC. Le montant des jetons de présence effectivement versés en avril 2002 au titre de l’exercice 2001 s’est établi à 0,284 million d’euros, contre 0,335 million d’euros au titre de l’exercice précédent. Rémunération des dirigeants mandataires sociaux Les rémunérations des mandataires sociaux, dirigeants de l’entreprise, sont examinées chaque année par le Conseil d’Administration sur rapport du Comité de Sélection et des Rémunérations. Elles comportent une partie fixe et une partie variable. La partie variable est exprimée en parts et le nombre de parts est fixé chaque année par le Conseil après l’arrêté des comptes. La détermination du montant se fait en considération des performances obtenues au niveau du RBE, du bénéfice net consolidé par action et du rendement des fonds propres, compte tenu de la conjoncture et par comparaison avec le budget et les résultats des exercices précédents. Le montant de la rémunération totale versée à chaque mandataire social, y compris les avantages de toute nature au titre de l’exercice 2002, par le CCF et les sociétés qu’il contrôle, s’établit à : (en euros) Jetons de Rémunération présence 1 brute 2002 Mandataires sociaux dirigeants Charles de Croisset . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dominique Léger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 500 7 077 Autres mandataires sociaux Patricia Bizien-Legay . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Martin Bouygues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Evelyn Césari . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Jean-Antoine Chabannes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . William R. P. Dalton . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Paul Dubrule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charles Henri Filippi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Yves Fontaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Stephen K. Green . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Philippe Houzé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Jean-Claude Jolain . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Igor Landau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Jean-Charles Naouri . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Marcel Roulet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gérard Turc . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rémi Vermeiren . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 2942 9 147 18 294 27 441 – 27 441 – 18 294 – 27 441 27 441 9 147 18 294 18 294 18 294 18 294 Avantage en nature Total 786 194 624 126 18 551 15 209 808 245 646 412 – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – – 1 Il s’agit, pour les mandataires sociaux dirigeants, des jetons reçus au titre de leur mandat au CCF et dans les sociétés contrôlées. 2 Jetons reversés à une organisation syndicale. La rémunération brute globale des administrateurs qui représentent les salariés et ayant un contrat de travail avec la Société s’est élevée à 224 234,68 euros pour l’année 2002. Le montant global des rémunérations directes et indirectes perçues en 2002 par les membres du Comité de Direction Générale, dans sa composition au 31 décembre 2002 et y compris les mandataires sociaux, s’est élevé à 5 400 093 euros. 17 CCF Gouvernement d’entreprise (suite) Honoraires versés aux CAC au titre de l’année 2002 dans le groupe CCF (en milliers d’euros) Missions commissariat aux comptes et certification des comptes Missions accessoires Total % 2 426 63 185 82 170 504 3 430 878 – 63 – – 11 952 3 304 63 248 82 170 515 4 382 75,4 1,4 5,7 1,9 3,9 11,7 100,0 KPMG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cabinet Lainé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Deloitte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ernst & Young1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PricewaterhouseCooper . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres CAC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total net de TVA récupérable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 Ernst & Young a repris en 2002 le fonds de commerce de BFA-Arthur Andersen. Parmi les Audit Fees versés à KPMG, un montant de 122 000 euros net de TVA récupérable, soit 105 000 euros HT correspond à des prestations sur exercice antérieur. Les Non Audit Fees incluent pour des raisons réglementaires propres à HSBC les honoraires de révision des comptes au 30 juin (“interim review”) soit pour la part KPMG un montant de 404 000 euros net de TVA récupérable (ou environ 350 000 euros HT). In fine le montant HT des honoraires versés à KPMG par le groupe CCF pour la certification des comptes 2002 au sens de la réglementation française s’élève à : 2 110 000 euros + 350 000 euros – 105 000 euros = 2 355 000 euros. 18 CCF Développement durable La responsabilité est au cœur de notre métier Nous la vivions jusqu’ici profondément intégrée à notre conception du métier, à nos convictions et à nos pratiques. La Société, par la voix des pouvoirs publics, des organisations internationales mais aussi des organisations non gouvernementales ou associatives, demande à notre profession d’aller plus loin dans le sens de ses responsabilités. Comme notre maison mère HSBC, nous avons une conscience élevée de nos devoirs face aux déséquilibres contemporains. Nous attachons la plus grande importance à l’application des lois, aux principes de gouvernance, à la déontologie professionnelle, aux relations que nous entretenons avec nos partenaires, nos clients et nos salariés. Nous savons ainsi qu’il est devenu essentiel d’expliciter les principes qui nous guident. Au-delà de l’affirmation des valeurs chères au CCF, il s’agit pour nous d’ouvrir des chantiers de réflexion destinés à améliorer notre offre sociale interne, à mieux intégrer les enjeux environnementaux et mieux définir des partenariats à haute valeur sociétale. Au-delà, nous savons qu’il existe des formes de progrès liées à nos métiers qui constituent des avancées pour la société : ce sont les fonds d’investissement responsables. Le CCF, a contribué à leur lancement. Il s’agit également des modes de décision, en matière de crédit, qui intègrent désormais des critères d’utilité sociale et d’impact environnemental qui conditionnent le résultat sur le long terme. De façon générale, le développement durable apporte aux services financiers un incontestable progrès en ce qu’il permet de mieux appréhender la gestion des risques. En élargissant l’éventail des préoccupations et en y intégrant des critères sociétaux, nous travaillons ainsi à la pérennité de nos performances. En faisant siennes les évolutions en profondeur de la Société, en les écoutant et en les comprenant, en les traduisant dans sa pratique des affaires, dans ses relations avec ses clients et ses collaborateurs, le CCF souhaite faire partie des acteurs économiques qui contribuent à la constitution d’un développement durable. Elaboration d’un bilan RSE : entre information et action Le pilotage de la démarche a été mis en œuvre par un comité RSE (Responsabilité sociale de l’entreprise) constitué d’une équipe pluridisciplinaire (crédit, ressources humaines, gestion d’actifs, achats, immobilier, opérations financières, communication…) et ce, afin d’assurer une réflexion transversale ouverte sur l’ensemble du Groupe. Ce comité est présidé par le Directeur Général. Le travail de ce comité RSE a permis de mettre en lumière les enjeux auxquels le CCF est confronté, mais aussi d’identifier les actions prioritaires à engager. Le bilan RSE constitue la première étape de l’approche Développement Durable conduite par le CCF*. Il a été mené en premier lieu via une enquête réalisée auprès des 14 000 collaborateurs du groupe CCF. Cette collecte d’ information a fait émerger des perceptions et des suggestions innovantes qui ont nourri les travaux du comité sur la définition du tableau de bord et, de manière plus générale, sur les actions prioritaires à engager. Le CCF a d’autre part travaillé à l’élaboration d’indicateurs permettant de mesurer sa contribution à la protection de l’environnement. Une première étape a été franchie en 2002 avec l’évaluation des capacités de reporting de la banque au travers d’un audit mené par KPMG. L’étude fait ressortir une série d’indicateurs sur lesquels le CCF sera amené à informer ses publics en toute fiabilité et en toute transparence. * “Notre responsabilité sociale – Etat des lieux 2002” couvre les thèmes de l’investissement socialement responsable, du crédit éthique, de la conformité et de la déontologie, des ressources humaines, de la qualité et de l’engagement du CCF en faveur de la communauté. Cette brochure est disponible sur demande auprès de la direction de la communication du CCF. Charles de Croisset, Président 19 CCF Les facteurs de risques et leur contrôle au sein du groupe CCF Les risques de crédit des procédures administratives. Le risque de liquidité globale est suivi par l’analyse de chacun des engagements du groupe et le pilotage des ressources à long terme. Enfin, le suivi du risque de taux hors activités de marché est confié au service de Gestion Actif-Passif, qui est un centre de service sans position propre. La maîtrise des risques de crédit au sein du groupe CCF est organisée autour de la Direction des risques de crédit et de marché. Cette direction est totalement indépendante de toutes directions opérationnelles. Elle dispose en particulier d’un droit de veto sur les décisions de crédit. La Direction des risques de crédit doit connaître et se prononcer sur l’ensemble des risques de crédit du groupe proposés par les directions opérationnelles. A2. Organes de gestion, structure de contrôle, outils, etc. a La politique de risque de change global est la plus conservatrice possible. La limite de position de change hors activités de marché est effectivement fixée à zéro et l’ensemble des procédures opérationnelles est déterminé en conséquence. Le contrôle du risque de change global relève du contrôle comptable et du contrôle interne. Aucune exception n’est prévue (notion du groupe, risques de contrepartie liés aux opérations de marchés, risques interbancaires, risques pays, etc.). La Direction des risques de crédit exerce cette fonction : – Dans la prise de risques par : b – des pouvoirs qu’elle délègue aux directions opérationnelles, – la présentation des dossiers à un Comité des Crédits qui se réunit 3 fois par semaine et auquel participent la Direction Générale et les directeurs des principaux départements. – Dans l’identification et le suivi des concours compromis non contentieux. Au-delà de certaines limites (50 millions de dollars pour les nouvelles opérations et 100 millions de dollars pour les renouvellements) les dossiers acceptés pour le Comité des Crédits sont transmis à HSBC Holdings plc pour confirmation d’accord. Risque de liquidité Les services Trésorerie Groupe et Gestion ActifPassif, au sein de la Direction Financière, suivent la situation de liquidité du groupe et proposent, au Comité de bilan, les actions nécessaires. Divers scénarios de stress sont appliqués afin de s’assurer de la capacité du groupe CCF à résister à tout type de crise de liquidité, même les plus sévères. – des décisions prises dans ses compétences, – Dans la surveillance et le suivi des autorisations par un service au sein de sa direction, doté notamment de bases informatiques dédiées pour le suivi et le contrôle des autorisations accordées. Risque de change La solidité financière du groupe lui assure un accès aisé aux différents marchés dans de très bonnes conditions. c Risque de taux global La gestion actif-passif est un centre de services qui assure suivi et couverture du risque de taux global et du risque de liquidité du groupe. Elle s’appuie sur un dispositif de collecte d’informations pour mesurer de manière homogène la position structurelle de taux et de liquidité de chaque entité susceptible de porter un risque significatif. Elle effectue également une mesure consolidée conformément à la réglementation. Les risques de marché A. Gestion des risques globaux de taux d’intérêt, de change et de liquidité (hors activités de marché) A1. Politique générale L’objectif poursuivi dans chacun des domaines est l’élimination de tout risque non surveillé. Le risque de change global est éliminé par une politique générale de financement de chaque actif dans sa monnaie d’origine, appliquée à travers l’ensemble 20 La gestion actif-passif élabore régulièrement des scénarios d’évolution du bilan en fonction d’hypothèses sur la conjoncture. Pour chaque scénario, elle calcule des prévisions de PNB sur plusieurs exercices. Ces simulations servent de base au Comité de bilan pour adapter la politique de transformation du groupe. Cette politique prudente se décline en règles de gestion pour chaque poste du bilan, selon ses caractéristiques commerciales et financières. Les entités concernées mettent ensuite en place les opérations de couverture nécessaires pour rester en ligne avec les orientations définies par la maison mère. d Composition du Comité de Bilan Le Comité de Bilan se réunit une fois par mois. Il est présidé par un membre de la Direction Générale et regroupe la Direction Générale, les Directeurs des Métiers directement concernés, le Directeur des Etudes économiques, le Directeur des Marchés, Taux et Changes, le Directeur du Contrôle de Gestion et de la Comptabilité ainsi que la Direction financière qui en assure le secrétariat. B. La maîtrise des risques des activités de marché Conformément aux règles du Groupe HSBC, des limites globales par type de risque qui ont été mises en place font l’objet d’un contrôle et d’un reporting quotidien à Londres. Le Conseil d’Administration et le Comité d’Audit prennent connaissance, à chaque séance, de l’évolution de la politique de risques du groupe, de ses principales expositions ainsi que de toute information importante ayant trait aux risques de marché et à leur contrôle. La Direction des Risques de Marché et de Modèle traduit, en limites opérationnelles (montants nominaux, nombres de contrats, sensibilités, stop-loss), les autorisations du Comité des Risques de Marché, ses contrôleurs suivent les expositions quotidiennement et consolident les risques. B1. Organisation du contrôle des risques : La Direction des Risques de Marché et de Modèle effectue la gestion des risques de marché ou la délègue à certaines entités du Groupe lorsqu’elles sont dotées de moyens humains, techniques et de contrôle. Cette gestion s’effectue dans le cadre de limites accordées par un comité de Direction Générale, le “Comité des Risques de Marché” (CRM). Ces limites s’inscrivent elles-mêmes dans le “Global Mandate” du CCF, par lequel le Groupe HSBC définit les limites globales au sein desquelles doivent évoluer les risques de marché du CCF. Le Comité des Risques de Marché décide de la méthodologie de mesure et de la politique de risques de marché sur proposition de la Direction des Risques de Marché et de Modèle. Celle-ci instruit les demandes des entités opérationnelles. Le CRM analyse ces demandes et accorde les limites en fonction des risques pris, de la qualité de leur suivi, des perspectives de développement, de la rentabilité dégagée et du profit économique. L’accord conjoint du CRM et de la Direction des Risques de Marché du Groupe HSBC est nécessaire pour les évolutions de limite ou d’instrument les plus significatives. La Direction des Risques de Marché et de Modèle, rattachée à la Direction Générale, est également en charge de la consolidation des risques. Elle suit quotidiennement les plus grandes expositions du groupe. Elle s’appuie sur ses moyens propres ou sur des correspondants dans les entités opérationnelles pour contrôler le respect de la politique de risques du groupe, tout particulièrement des limites. Elle vérifie leurs procédures de calcul et de mise à disposition de ces informations avec l’appui de l’Inspection. B2. Méthodologie de mesures des risques Le modèle interne de mesure de risques de marché a été mis en place en 1998 pour les positions de taux (risque général) et de change. Il a été étendu aux risques sur marchés d’actions à partir de juillet 1999, en traitant à la fois les risques généraux et les risques spécifiques, chaque action étant considérée comme un facteur de risques. Ce modèle permet de calculer quotidiennement les Value at Risk des positions. Il a été validé par la Commission Bancaire pour les calculs réglementaires des exigences de fonds propres. Au 31 décembre 2002, il couvre un périmètre représentant 95 % de ces risques pour le Groupe. Une mesure en VaR des risques spécifiques de taux a été mise en place. Elle n’a pas fait l’objet à ce jour d’une demande de validation auprès de la Commission Bancaire. Les risques issus du périmètre non couvert par le modèle interne sont mesurés selon la méthode standard, formulée par la Banque des règlements internationaux. B3. Les outils utilisés : le modèle interne Profil Profil calcule, sur toutes les positions ou portefeuilles suivis, trois types de mesures de risques : – les sensibilités des positions aux principaux facteurs de risques, afin de contrôler que les expositions ne dépassent pas les limites opérationnelles fixées; – les Valeurs à Risques des entités (à tous niveaux : books, activités, Groupe); – les résultats consécutifs à des scénarios de stress. 21 CCF Les facteurs de risques et leur contrôle au sein du groupe CCF (suite) 18,3 millions d’euros – VaR maximale : 40,1 millions d’euros Evolution de la VaR Globale du CCF janvier 2002 - décembre 2002 (en millions d'euros) - 10 - 15 - 20 L’estimation des Valeurs à Risques est faite au moyen : - 25 – de la méthode historique pour tous les risques action en utilisant 3 ans d’historiques équipondérés; - 35 - 30 - 40 – Risque action : – 8 % de risque général de marché auxquels s’ajoutent des risques spécifiques de 4 % (titres liquides, positions diversifiées) à 8 %. 4 déc. 6 nov. 19 juin 17 juill. 22 mai 24 avril Variation du P&L pro forma global CCF 1 jour. VaR globale CCF 99 % 1 jour. 4 déc. 8 % de la plus grande des sommes des actifs ou des passifs en devises. 17 juill. – 19 juin – Risque de change : 22 mai décomposition en bandes et zones pour déterminer les risques de spread et de courbe. 24 avril – 9 7 5 3 1 -1 -3 -5 -7 -9 - 11 - 13 - 15 27 mars choc directionnel de 1 % de taux (maturité 1 an) à 0,6 % de taux (maturité 10 ans); Back testing pro forma janvier 2002-décembre 2002 (en millions d'euros) 27 févr. – Le graphique ci-dessous présente, sur la période allant du 1er janvier 2002 au 31 décembre 2002, nos résultats de contrôle a posteriori du modèle (back testing). 31 janv. – Risque de taux : b Back testing 2 janv. Les risques de marché des entités non encore intégrées à Profil sont mesurés avec la méthode standard (BRI) dont les principaux éléments sont : 22 mars VaR globale CCF 99 % 10 jours. 27 févr. – de la méthode paramétrique pour toutes les autres activités en estimant les matrices de variance, covariance sur un an et demi, avec équipondération. 31 janv. 2 janv. - 45 – de la méthode historique pour toutes les activités traitant des instruments optionnels de taux et change en utilisant 3 ans d’historiques équipondérés ; b Mesures standard 22 27,3 millions d’euros – VaR minimale : 6 nov. La Valeur à Risques calculée conformément à la réglementation est la perte maximale potentielle, au terme d’une durée de détention de 10 jours qui n’est dépassée qu’une fois sur cent (VaR 99 % 10 jours). – moyenne des VaR : 9 oct. a Valeur à risques Sur cette période, nous avons constaté : 11 sept. B4. Mesure des risques de marché avec profil et selon la méthode standard : Le graphique ci-dessous présente l’historique des VaR calculées sur le périmètre couvert, pour la période allant du 1er janvier 2002 au 31 décembre 2002. Les VaR présentées sont conformes aux critères énoncés précédemment (cf. § 4.a). 9 oct. – un outil de gestion des données historiques qui gère les données nécessaires à la mise en oeuvre des Valeurs à Risques utilisant des simulations. a Valeur à Risques (VaR) : 11 sept. – un moteur de calcul qui assure l’ensemble des calculs financiers; Les résultats du modèle interne sont présentés ci-dessous : 14 août – une base de données qui stocke/maintient/importe/exporte les données d’entrée (instrument, position, cotation de marché) ainsi que les résultats de calcul; B5. Les résultats du modèle : 14 août Fonctionnellement, le système possède trois composants principaux : de 300 bp et baisse des taux long terme de 100 bp : (72) millions d’euros. Nous avons relevé un dépassement de back testing sur les positions au 14 août en constatant les variations des données de marché du 14 au 16 août(le 15 août férié n’ayant pas donné lieu à relèvement de données de marché intermédiaires). Ce dépassement est lié aux très forts mouvements de remontée des taux d’intérêts en euros, USD et dans une moindre mesure GBP. Exposition aux mouvements des spreads swaps/ trésor : Scénarios de stress : Un contrôle permanent des pertes consécutives à des simulations de crise (scénarios de stress) est effectué dans Profil. De plus, un contrôle hebdomadaire est effectué dans l’ensemble du Groupe. USD : hausse des taux moyen terme de 100 bp : (11) millions d’euros. Trésor France : baisse des spreads contre swaps de 40 bp : (7) millions d’euros. Trésor Allemagne : hausse des spreads contre swaps de 40 bp : (25) millions d’euros. Les graphiques ci-dessous présentent l’évolution au cours de l’année des principales expositions sous scénarios de stress. Hausse des taux court terme de la courbe euro (en millions d'euros) 80 70 Enfin, des simulations particulières sont effectuées à la fréquence appropriée dans toutes les entités en situation de crise ou de tensions graves. 60 Les scénarios de stress sont déterminés par le CRM sur proposition d’un groupe de spécialistes, responsables de marché et contrôleurs. Trois types de scénarios sont retenus : 20 – Les scénarios temporaires sont liés à des événements monétaires, économiques ou politiques. Ils sont revus régulièrement en fonction de l’actualité. – Les scénarios locaux, liés à un marché ou à un type d’instrument, sont appliqués en cas de nécessité (crise ou taille d’une position). Le CRM fixe en outre des montants maximaux de pertes en situation de stress. 40 30 10 01 .0 2 02 .0 2 03 .0 2 04 .0 2 05 .0 2 06 .0 2 07 .0 2 08 .0 2 09 .0 2 10 .0 2 11 .0 2 12 .0 2 0 Hausse des taux court terme de la courbe sterling (en millions d'euros) 80 70 60 50 40 30 20 10 0 01 .0 2 02 .0 2 03 .0 2 04 .0 2 05 .0 2 06 .0 2 07 .0 2 08 .0 2 09 .0 2 10 .0 2 11 .0 2 12 .0 2 – Les scénarios permanents portent sur tous les grands facteurs de risques et correspondent à des chocs sur un jour dont la durée de retour est en moyenne de 50 ans. Ces scénarios portent soit sur un facteur de risques isolé, soit sur les mouvements conjoints de plusieurs facteurs de risques. 50 Hausse générale des taux de la courbe euro (en millions d'euros) 80 70 60 50 Au 31 décembre 2002, nos principales expositions sous scénario de stress étaient les suivantes : – Risques de taux : Sensibilité globale à la hausse des taux d’intérêt euro et dollar US, avec un risque portant principalement sur les taux court terme : 40 30 20 10 0 01 .0 2 02 .0 2 03 .0 2 04 .0 2 05 .0 2 06 .0 2 07 .0 2 08 .0 2 09 .0 2 10 .0 2 11 .0 2 12 .0 2 c Ce processus de contrôle est effectué sur la base de VaR 99 % 1 jour comparée à des résultats quotidiens “pro forma” déterminés à partir des variations des prix de marché à positions inchangées. Euro : hausse des taux court terme de 300 bp : (56) millions d’euros, hausse des taux court terme 23 CCF Les facteurs de risques et leur contrôle au sein du groupe CCF (suite) Hausse des taux court terme de la courbe dollar (en millions d'euros) 80 70 Les exigences de fonds propres au titre des risques de marché se décomposent de la façon suivante en millions d’euros : 31.12.2002 60 50 BRI 40 30 20 10 01 .0 2 02 .0 2 03 .0 2 04 .0 2 05 .0 2 06 .0 2 07 .0 2 08 .0 2 09 .0 2 10 .0 2 11 .0 2 12 .0 2 0 B6. Déclarations d’exigence de fonds propres : La Commission Bancaire a audité le modèle interne Profil et autorisé le groupe CCF à l’utiliser pour sa déclaration de fonds propres au titre des risques généraux de marché ainsi qu’au titre des risques spécifiques sur actions. A l’issue de son audit et de l’examen des résultats de back testing (test d’efficacité prédictive du modèle interne), elle recommande d’appliquer les coefficients multiplicateurs suivants : 3,5 au titre de la qualité du modèle pour les risques généraux; 4,5 au titre de la qualité du modèle pour les risques spécifiques; 0 au titre du back testing (cf. § 5 b). Rappelons que les coefficients multiplicatifs imposés par la réglementation sont au minium de 3 pour les risques généraux et de 4 pour les risques spécifiques (dans le cadre d’un modèle intermédiaire). Les VaR servant au calcul des exigences de fonds propres sont celles résultant de la moyenne constatée au cours des soixante derniers jours. En dehors du périmètre couvert par Profil, ce sont les méthodes standards CAD et BRI qui sont appliquées conformément à la réglementation. 24 CAD Modèle interne : . . 102,4 102,4 Risque de change . 3 3 Risque général de taux . . . . . . . . 86,6 86,6 Risque global action . . . . . . . . . 18,8 18,8 Effet de compensation risque global . . . (6) (6) Risques forfaitaires : Risque de change . . . . . . . . Risque général de taux . . . . . . . . Risque spécifique de taux . . . . . . . . Risque général action . . . . . . . . . Risque spécifique action . . . . . . . . . * 31.12.2001 BRI CAD 91,1 7,5 91,1 7,5 84,2 84,2 9,7 9,7 (10,3) (10,3) 30 29 56,7 54,7 0,01 0,01 0,1 0,1 1,2 0,6 3,6 2,0 27,5* 27,5* 50,8 50,8 0,6 0,6 1,4 1,4 0,7 0,3 0,8 0,4 132,4 131,4 147,8 145,8 Les besoins de fonds propres au titre des risques spécifiques de taux mesurés en VaR (cf. § 2) s’élèveraient à 15,5 millions d’euros. Organisation du contrôle interne L’organisation en réseau des métiers du groupe CCF, qui est le gage de son adaptabilité et de sa capacité à créer de la valeur, a pour corollaire un contrôle des risques centralisé et renforcé. Dans ce domaine, le Groupe s’est doté d’un dispositif de contrôle interne structuré et conforme aux exigences de la réglementation bancaire et notamment au règlement 97-02 du Comité de réglementation bancaire et financière. Ce dispositif est piloté par l’Inspection générale, désormais dénommée Group Eurozone Audit (GEA). Dans un souci d’efficacité, GEA a poursuivi sa réorganisation en 2002 en procédant à une unification et une rationalisation de la filière audit qui sera totalement effective en 2003. GEA applique les normes d’audit du groupe CCF et dispose des ressources suffisantes pour réaliser ses missions selon un cycle raisonnable, en s’attachant plus particulièrement aux activités les plus sensibles. Au cours des cent seize missions qu’elle a réalisées en 2002 dans toutes les entités du Groupe, elle s’est particulièrement attachée à promouvoir le respect des normes rigoureuses de contrôle interne du groupe CCF et a pu constater que ses recommandations étaient bien prises en compte par les responsables d’activités. De surcroît, l’ensemble des filiales du CCF ainsi que les métiers exercés directement au sein de la maison mère (réseau, grande clientèle, opérations…) disposent de moyens humains entièrement dédiés au contrôle interne et à la conformité. Sous la responsabilité du management des filiales ou des directions du CCF, ces équipes effectuent une surveillance constante sur la maîtrise des risques opérationnels et le respect des dispositions réglementaires. Une attention toute particulière est accordée à la vigilance antiblanchiment. Les travaux des contrôleurs internes sont régulièrement examinés par les comités d’audit mis en place dans les filiales. Le Comité d’Audit du Conseil d’Administration examine tous les trimestres le fonctionnement du dispositif de contrôle interne du Groupe, sur rapport de l’inspecteur général. De plus, conformément à la réglementation, GEA rend compte à ce comité d’audit du fonctionnement du dispositif, sur la base du rapport annuel qu’elle établit à cet effet. Ce rapport est également adressé au secrétariat de la Commission bancaire et aux Commissaires aux Comptes du groupe CCF. Couverture des risques et ratios réglementaires – limitation à 8 fois les fonds propres nets du total des risques dépassant unitairement 10 % des fonds propres nets. Pour le CCF, à la fin de l’exercice 2002, quatorze groupes dépassaient individuellement 10 % des fonds propres nets. B. Provisionnement des risques Les provisions relatives aux risques clientèle au 31 décembre 2002 couvrent à hauteur de 80,8 % l’ensemble des créances douteuses et contentieuses du groupe CCF. C. Ratio de liquidité Les ratios réglementaires du Groupe reflètent la bonne couverture du risque de liquidité. Le coefficient réglementaire de liquidité, qui mesure l’impasse potentielle de liquidité à un mois, s’est établi en moyenne en 2002 à 128 %. D. Ratio de solvabilité international (Cooke) Le ratio de solvabilité international (ratio Cooke) du groupe s’élève à 8,6 % au 31 décembre 2002 pour un minimum de 8 %. Pour les seuls fonds propres de première catégorie (noyau dur), le ratio du groupe s’élève à 8,2 % (pour une norme minimale de 4 %). Le total des fonds propres du groupe CCF selon la définition Cooke s’élève à 3,1 milliards d’euros au 31 décembre 2002, dont 3 milliards au titre du noyau dur. Les équivalents risques pondérés relatifs aux différentes catégories de risques sont de 36,2 milliards d’euros et se répartissent ainsi : A. Contrôle des grands risques (En milliards d’euros) Le groupe CCF respecte les règles imposées par la Commission bancaire : Risques de crédits hors portefeuille de négociation 33,3 – limitation à un montant égal à 25 % des fonds propres nets des risques hors portefeuille de négociation sur un groupe de clients considéré comme un seul et même bénéficiaire, Risques de crédit du portefeuille de négociation 1,5 Risques de marché 1,3 25 CCF Les facteurs de risques et leur contrôle au sein du groupe CCF (suite) Répartition des risques Assurance et couverture des risques % Le groupe CCF est intégré dans le programme mondial d’assurances souscrit par HSBC Holding plc. Exigence sur risques de marché du portefeuille de négociation 4 Ce programme comprenait notamment au 31 décembre 2002 les polices : Exigence sur risques spécifiques et risques de règlement/contrepartie du portefeuille de négociation 4 – globale de banque (détournement, fraude, dommages aux coffres et à leur contenu); Exigence sur risques hors portefeuille de négociation 92 – responsabilité civile professionnelle; – responsabilité civile des mandataires sociaux. % Actions 19 Change 3 Taux 78 % Trésorerie 14 Autres émetteurs 3 Règlement-livraison 3 Emetteurs éligibles 20 Dérivés 60 Le montant des garanties souscrites (plusieurs millions de GBP) et les franchises sont en relation avec la pertinence du bilan et les conditions du marché de l’assurance. Le CCF et ses filiales sont également assurés par un contrat Groupe garantissant les dommages aux biens (incendie, explosion, dégâts des eaux, attentats, catastrophes naturelles...) et pertes d’exploitation consécutives. Les immeubles sont garantis en valeur de reconstruction. Par ailleurs, le CCF et ses filiales respectent la réglementation concernant les assurances obligatoires relevant de leurs activités. Dans le cadre de la couverture des risques, le choix des partenaires est piloté par la maison mère qui applique une politique stricte de la surveillance de leur solvabilité. Le volume des primes versées par le groupe CCF représentait pour l’exercice 2002 un total de 0,3 % du PNB. 26 CCF Conformité et déontologie La fonction conformité et déontologie, qui avait été redéfinie en septembre 2001 en vue de répondre aux normes du Groupe HSBC et aux contraintes imposées par l’évolution de la réglementation, a connu un renforcement significatif de ses moyens et de son dispositif de contrôle en 2002. Toutes les activités sensibles de la Banque de la Grande Clientèle ont notamment été dotées d’un responsable conformité. Cette évolution a permis d’améliorer significativement les procédures en vue de prévenir les conflits d’intérêt et le risque de délit ou de manquement d’initié. Outre l’effort qui a été réalisé de façon très prioritaire sur les moyens mis en œuvre en vue de prévenir le risque de blanchiment, les évolutions intervenues en 2002 et relatives à la déontologie et à la conformité concernent principalement : – La mise en place de procédures formalisées d’analyse des risques pris par les clients du groupe CCF sur les nouveaux produits. Un comité de validation des nouveaux produits a notamment été mis en place au niveau du Groupe. Afin de mettre en place ces nouvelles réglementations au sein du groupe CCF, le groupe s’est doté de l’organisation nécessaire tout au long de l’exercice 2002 ce qui s’est traduit par la rédaction de nouvelles procédures et la mise en place d’outils informatiques spécifiques (à la fois l’élaboration de bases de données connectées à nos fichiers clients et l’élaboration d’un outil de suivi des comptes méritant une surveillance spécifique sous l’angle de la lutte contre le blanchiment des capitaux). Par ailleurs, un nouveau projet d’outil de filtrage des flux a été initié en 2002. L’objectif est de mettre en place un outil filtrant les opérations par rapport à la liste de surveillance évoquée ci-dessus puis de mettre en “file d’attente” les flux suspects et enfin de les bloquer, si nécessaire, avant inscription sur les comptes de nos clients ou de nos confrères. Le progiciel a été choisi et l’outil doit être implanté en 2003. Rappel des évolutions réglementaires en 2002 Le règlement du Comité de la Réglementation Bancaire et Financière, CRBF 2002-01 – L’actualisation des formalités portant sur la délivrance ou le renouvellement et le retrait des cartes de démarcheur sur les opérations de banque et sur les valeurs mobilières. Il est rappelé que ce règlement impose aux banques des obligations de surveillance et de contrôle des chèques tant domestiques qu’internationaux, au débit comme au crédit selon deux axes : – Le renforcement de la procédure relative aux obligations de la banque en tant que distributeur d’OPCVM. 1. Un contrôle systématique des chèques remis par un établissement de crédit étranger qui devra avoir conclu au préalable une convention écrite de cash letter (les contrôles portant sur un pourcentage de chèques différent selon l’origine géographique de la banque correspondante). En outre, l’effort de formation concernant la réglementation des services d’investissement, connexes ou assimilés a été sensiblement accru, notamment à l’égard des collaborateurs exerçant des fonctions dans des activités considérées comme sensibles. 2. Un contrôle des chèques domestiques émis et remis sur les comptes de la clientèle selon des critères à déterminer par la banque. Lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme Les décrets français et européens Les réglementations française et européenne se sont sensiblement renforcées ces derniers mois; deux nouvelles dispositions ont ainsi vu le jour : le règlement CRBF 2002-01 d’avril 2002 (imposant aux banques des obligations de surveillance et de contrôle des chèques tant domestiques qu’internationaux) et la mise en application des décrets européens visant à la lutte contre le financement du terrorisme (qui imposent aux banques des vigilances particulières dont le blocage des flux à destination ou en provenance de ces personnes ou pays et la déclaration aux autorités compétentes). Un certain nombre de décrets sont régulièrement diffusés par les autorités européenne et française à l’encontre de pays ou depuis les attentats du 11 septembre 2001, à l’encontre de personnes physiques ou morales présumées liées au terrorisme. Ces décrets imposent des vigilances particulières dont le blocage des flux à destination ou en provenance de ces personnes ou pays et la déclaration aux autorités compétentes (la Direction du Trésor) des comptes éventuellement ouverts à ces personnes dans les livres de la banque. La Direction du Trésor avertit alors la banque des suites qu’il convient de donner à la relation commerciale. 27 CCF Conformité et déontologie (suite) A ce jour plusieurs textes ont été abrogés ou modifiés, 31 textes sont en vigueur, ce qui représente 1 504 noms de personnes “suspectées” liées au terrorisme. La mise en place de ces nouvelles réglementations au sein du groupe CCF Le groupe s’est doté de l’organisation nécessaire pour répondre aux exigences réglementaires tout au long de l’exercice 2002. Cela s’est traduit par la rédaction de nouvelles procédures et la mise en place d’outils informatiques spécifiques. Des procédures groupe Dès la date d’application du règlement CRBF 2002-01 trois circulaires ont été diffusées sur les nouvelles obligations de vigilance et les actions à entreprendre, les nouvelles dispositions concernant le traitement opérationnel des chèques domestiques et internationaux et les mesures spécifiques à mettre en œuvre pour l’application de ce règlement au sein des réseaux commerciaux. Concernant la lutte antiterroriste, la Direction de la Conformité et de la Déontologie s’est assurée que les différentes entités du groupe avaient revu la liste de leurs clients afin de s’assurer qu’aucun des noms figurant sur les listes des décrets n’ait fait l’objet d’une analyse spécifique. Des outils ad hoc L’outil mis à disposition pour respecter le règlement CRBF 2002-01 : Cet outil, qui crée un lien entre les équipes commerciales chargées de la relation avec le client et le service de Conformité, regroupe l’ensemble des comptes méritant un suivi particulier dans le cadre de la lutte antiblanchiment en mettant tout particulièrement l’accent sur le contrôle des chèques émis et remis. Les critères qui permettent de déterminer les comptes nécessitant une surveillance particulière sont définis en central par la Direction de la Conformité qui est responsable de l’administration de cette base de données. Il s’agit ainsi à titre d’exemple des clients ayant été bénéficiaires d’un rapatriement sans identité du donneur d’ordres ou des clients ressortissants de pays figurant sur la black list du Gafi ou encore des comptes ayant fait l’objet d’une réquisition judiciaire ou d’une déclaration à Tracfin et non encore clôturés, ou enfin, de comptes dont le fonctionnement présente des caractéristiques justifiant d’un suivi particulier (exemple remise d’espèces importante suivie de chèques au débit). 28 Cet outil est totalement opérationnel depuis novembre 2002. Les outils destinés au respect des décrets européens et français : Super et Embargo. Il est rappelé que ces décrets font obligation aux banques de détecter les comptes ouverts au nom de présumées “terroristes” et de bloquer les flux effectués avec ces personnes. Sur le premier point, le groupe s’est doté d’un outil qui répertorie tous les noms désignés par les textes réglementaires publiés par la Communauté européenne et/ou le gouvernement français. Cet outil analyse en permanence la base de clientèle du CCF et permet de détecter les entrées en relation avec des personnes physiques ou morales dont le nom correspond ou a des similitudes avec celui d’une personne désignée dans l’un des textes. Une alerte est adressée au guichet concerné lors de la détection ainsi qu’au service de la Conformité, seul habilité à administrer cet outil et à valider les entrées en relation ayant fait l’objet d’une détection. Cet outil, mis en place fin août 2002, a permis la détection de 6 noms qui ont fait l’objet des démarches et communications prévues par la réglementation auprès de la Direction du Trésor La base de données a été mise à la disposition de l’ensemble des entités du Groupe sur le site intranet de la Direction Groupe Conformité et Déontologie en janvier 2003, ce qui permet à tous les agents du groupe CCF : – de se renseigner instantanément sur les noms, mis à jour en permanence, des personnes faisant l’objet de sanctions et de gels des fonds détenu; – d’extraire sous forme de fichiers l’intégralité de la liste pour une exploitation locale; – de consulter en ligne tous les textes réglementaires correspondant aux sanctions et d’en faire une édition. Sur le deuxième point, la surveillance des flux reçus de l’étranger pouvant provenir de personnes faisant l’objet d’un gel des fonds et des opérations est assurée actuellement, a posteriori, par un autre outil Carl, créé par le CCF début 2000. En 2002 une détection d’un flux suspect a fait l’objet d’une déclaration à la Direction du Trésor qui nous a confirmé que le bénéficiaire n’était qu’un homonyme non concerné par les sanctions. Pour se conformer pleinement à la réglementation et répondre totalement aux exigences de la Commission, un nouveau projet de filtrage des flux a été initié en 2002. L’objectif est de mettre en place un outil filtrant les opérations par rapport à la liste de surveillance évoquée ci-dessus puis de mettre en “file d’attente” les flux suspects et enfin de les bloquer, si nécessaire, avant inscription sur les comptes de nos clients ou de nos confrères. Le progiciel a été choisi et le projet est dans une phase opérationnelle, l’objectif d’implémentation étant juin 2003. La formation des personnels Afin d’accompagner nos actions en matière de lutte antiblanchiment un important effort de formation à été réalisé au sein du groupe CCF; le KIT formation a été réactualisé en septembre 2002 et largement diffusé aux LCO (responsables locaux Conformité). Sur l’exercice 2002, plus de 3 550 personnes ont été formées (plus de 3 000 dans les réseaux, 1 600 au CCF, 1 200 dans les banques régionales et 150 dans les banques privées, plus de 200 dans les métiers de gestion d’actifs et 350 dans les métiers de grande clientèle). 29 CCF L’exercice en bref Présentation économique 6 ddddddddddddddddddddd 2002 2001 % variation 2002 2001 % variation 66,3 3,3 67,4 3,5 - 1,7 % - 6,9 % – – – – – – 24,9 24,5 + 1,7 % – – – 28,6 31,5 - 9,1 % – – – - 4,9 % 2 294,0 - 9,6 % 699,7 - 11,5 % 764,1 + 8,6 % 498,4 2 258,7 688,4 755,7 476,6 + 1,6 % + 1,6 % + 1,1 % + 4,6 % Le groupe CCF (en milliards d’euros) Total du bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Capitaux propres, part du Groupe 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Encours des opérations de dépôts de la clientèle 2 3 (y inclus créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Encours des opérations de crédits de la clientèle 2 (y inclus créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (en millions d’euros) Produit net bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat brut d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat courant avant impôt 5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat net (part du Groupe) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bénéfice net par action (part du Groupe) 4 . . . . . . . . . . . . . . . 2 336,8 2,456,0 749,4 828,9 769,7 869,3 561,6 517,0 7,50 6,89 2002 2001 % variation 54,2 0,4 2,6 53,8 0,4 2,6 + 0,8 % - 1,7 % - 0,4 % – – – – – – – – – 1 486,8 1 162,3 688,9 432,6 640,9 435,6 620,2 542,7 + 27,9 % + 59,2 % + 47,1 % + 14,3 % – – – – – – – – – – – – CCF SA (en milliards d’euros) Total du bilan . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Capital social 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Capitaux propres 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (en millions d’euros) Produit net bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat brut d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat courant avant impôt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat net . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2 3 4 5 6 Après répartition des résultats de l’exercice, hors FRBG. Au 31 décembre de chaque année. Hors certificats de dépôt, bons à moyen terme négociables et bons de caisse. Chiffres calculés en tenant compte du nombre d’actions moyen (déduction faite des actions détenues pour compte propre), soit 75 019 102 actions pour 2001 et 74 928 199 actions pour 2002. Avant minoritaires. Cf. notes 3 et 35 des résultats consolidés. Principaux changements de périmètre de consolidation par rapport à 2001 Principales entrées dans le périmètre de consolidation en 2002 – Intégration de 11 agences de la Banque Worms – Intégration de HSBC Bank France SA Principales sorties du périmètre de consolidation en 2002 – HSIL qui était intégré dans les comptes de Charterhouse UK (ECFH) – Lombard Bank – Lixxbail 30 Evolution des principaux postes du bilan consolidé résumé (après affectation des résultats) (en milliards d’euros) 2002 2001 Actif Opérations de trésorerie et interbancaires . . . . . . . . . Effets publics et valeurs assimilées . . . . . . Opérations avec la clientèle . . Comptes de régularisation, d’encaissement et divers . . . Portefeuille titres . . . . . . . . . . . Actifs immobilisés . . . . . . . . . 12,0 12,0 9,8 28,6 6,3 31,5 5,8 6,6 3,5 4,4 9,3 3,9 Total . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66,3 67,4 16,4 24,9 20,7 24,5 12,1 8,9 8,1 1,1 8,1 1,3 0,4 0,4 3,3 – 3,5 – 66,3 67,4 Passif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Opérations de trésorerie et interbancaires . . . . . . . . . Opérations avec la clientèle . . Comptes de régularisation, d’encaissement et divers . . . Dettes représentées par un titre . . . . . . . . . . . . . . Dettes subordonnées . . . . . . . Fonds pour risques bancaires généraux . . . . . . . Capitaux propres – groupe . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Hors groupe . . . . . . . . . . . . . Total . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bilan consolidé L’encours du “portefeuille titres” qui s’établit à 6,6 milliards d’euros à fin 2002, contre 9,3 milliards d’euros en 2001, baisse globalement de 29 %. Cette baisse traduit des évolutions contrastées entre : – les portefeuilles Obligations et autres titres à revenus fixes, qui enregistrent une diminution de 43 % pour ceux gérés par le DMTC. Cette baisse porte sur les obligations privées et s’explique notamment par le transfert en cours d’année de ces activités de trading à Londres, – les portefeuilles Actions, dont la progression est essentiellement due à l’accroissement des activités de Prêt-Emprunt de Titres de HSBC CCF Financial Product, les autres activités actions déclinant. Les opérations de “crédits à la clientèle” baissent de 2,9 milliards d’euros (28,6 milliards d’euros au 31 décembre 2002 contre 31,5 milliards d’euros en 2001) (cf. commentaires ci-après). Au passif, l’encours des “opérations de trésorerie et interbancaires” s’établit à 16,4 milliards d’euros au 31 décembre 2002, contre 20,7 milliards à fin 2001. Cette diminution des encours de 4,3 milliards est notamment liée à la contraction des activités d’emprunts auprès des institutions financières ainsi qu’à la diminution des besoins de refinancement sur la période, et ce en cohérence avec l’évolution des activités Grande Clientèle. (après affectation des résultats de l’exercice 2002) Cette baisse globale est également liée à la sortie de Loxxia du périmètre à hauteur de 1 milliard d’euros. Le total du bilan consolidé s’établit à 66,3 milliards d’euros à fin 2002, à comparer à 67,4 milliards d’euros au 31 décembre 2001, il diminue de 1,6 %, soit 1,1 milliard d’euros. Les “dépôts de la clientèle” s’établissent à 24,9 milliards d’euros comparativement à un encours de 24,5 milliards d’euros à fin 2001 (+ 1,7 %) (cf. commentaires ci-après). Cette baisse globale du total du bilan s’explique notamment par les effets périmètre suivants : L’encours des “dettes représentées par un titre” est stable à 8,1 milliards d’euros. – l’entrée d’HSBC Bank SA pour 0,6 milliard d’euros, Les “fonds propres, part du Groupe” après affectation des résultats de l’exercice 2002 atteignent 3,3 milliards d’euros, en diminution de - 6,9 % (cf. commentaires ci-après). – la sortie de Lixxbail pour 1,9 milliard d’euros. Ces mouvements affectent principalement à l’actif le poste clientèle et au passif le poste des opérations de trésorerie et interbancaires. A l’actif, le total des “opérations de trésorerie et interbancaires” est globalement stable à 12 milliards d’euros. Cette stabilité masque en réalité une progression des activités de trading du DMTC, compensée par une baisse des activités de prêts interbancaires. Les “Effets publics et valeurs assimilées” augmentent de 3,5 milliards d’euros à 9,8 milliards d’euros. Cette forte progression est principalement due à la croissance des activités de Trading du DMTC et en particulier, de l’extension de cette plate-forme de trading sur le marché allemand. Ventilation de l'encours bilan et hors bilan bancaire par grandes catégories de contreparties Au 31 décembre 2002 1 % Particuliers Professionnels 10,4 2,6 Autres actifs 11,3 Entreprises 42,1 Administrations centrales et banques centrales Interbancaires 1 7,6 26,0 Hors positions titres du portefeuille de négociation. 31 CCF L’exercice en bref (suite) Crédits consolidés Le total des opérations avec la clientèle, compte tenu des opérations de pension, atteint 28,6 milliards d’euros, en baisse de 9,1 % (31,5 milliards d’euros à fin 2001). Après retraitement de l’effet périmètre de Lixxbail (1,9 milliard d’euros à fin 2001) la baisse est limitée à 3,5 %. Ceux-ci progressent en effet de 5,2 % à 6,5 milliards d’euros. Les crédits accordés aux entreprises augmentent quant à eux de 1,4 % à 9,8 milliards d’euros. Evolution des crédits des réseaux (encours moyens) (en millions d'euros) 20 000 15 000 Crédits à la clientèle 1998 - 2002 (encours de fin de période) (en milliards d'euros) 17 147 16 467 + 4,1 % 856 636 + 34,6 % 6 460 6 140 + 5,2 % 10 000 9 831 9 691 31.12.2002 31.12.2001 60 + 1,4 % 5 000 50 28,6 40 31,5 27,5 0 25,5 30 21,9 Particuliers Entreprises 20 21,3 10 22,2 18,6 17,7 2000 1999 Institutions 14,3 0 2002 CCF social 2001 1998 groupe CCF Ventilation des crédits à la clientèle 2002 par secteur % Commerce et industrie 47 Personnes physiques 24 Institutions financières Autres Secteur publique Activités immobilières 6 10 Dépôts de la clientèle Les dépôts de la clientèle (y inclus les opérations de pension) atteignent 24,9 milliards d’euros, contre 24,5 milliards d’euros à fin 2001. Hors opérations de pension, ceux-ci s’établissent à 23,7 milliards d’euros en augmentation de 5,9 % (contre 22,4 milliards d’euros à fin 2001). Dépôts de la clientèle 1998 - 2002 (hors certificats de dépôt, BMTN et bons de caisse) (encours de fin de période) (en milliards d'euros) 1 40 12 35 24,9 24,5 24,9 30 23,4 20,2 25 Sur la base de capitaux moyens, les crédits distribués par les réseaux du CCF en France augmentent de 4,1 % grâce à une bonne tenue du marché des particuliers. 20 15 10 14,8 14,6 14,0 13,5 2000 1999 5 11,8 0 2002 CCF social 32 2001 groupe CCF 1998 Sur la base des capitaux moyens, les dépôts à vue recueillis en France par les réseaux augmentent globalement de 8,1 %, dont + 8,7 % pour les dépôts entreprises et 7,4 % pour les dépôts particuliers. Evolution des dépôts à vue des réseaux (encours moyens) (en millions d'euros) 10 000 7 461 + 8,1 % 3 391 + 7,4 % 4 426 4 070 + 8,7 % 31.12.2002 31.12.2001 8 067 8 000 3 641 6 000 4 000 2 000 0 Entreprises Particuliers Capitaux propres du groupe (après affectation des résultats) La part du groupe dans les capitaux propres après affectation des résultats de l’exercice 2002 s’établit à 3,3 milliards d’euros au 31 décembre 2002 (contre 3,5 milliards d’euros au 31 décembre 2001), en diminution de 0,2 milliard d’euros. La variation en baisse des capitaux propres du groupe par rapport à 2001 résulte principalement de la réduction de capital (255 millions d’euros) réalisée en septembre 2002 (cf. note 23) et l’impact de la distribution quasi intégrale des résultats de l’exercice. Fonds propres du groupe CCF (part du groupe) (après affectation des résultats de l'exercice) (en milliards d'euros) 3,5 3,0 3,3 3,5 3,3 2,5 3,1 2,9 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 2002 2001 2000 1999 1998 33 CCF L’exercice en bref (suite) Comptes de résultats consolidés Les chiffres repris en présentation économique sont, comme en présentation comptable, reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-04 applicable au 1er janvier 2001). Parallèlement, afin de rendre les comparaisons avec l’année précédente significatives, ces chiffres font l’objet de retraitements spécifiques permettant de neutraliser, tant sur 2001 que sur 2002, les impacts liés aux changements de périmètre et à certaines charges ou produits exceptionnels générés par le rapprochement avec HSBC (cf. notes 3 et 35 des résultats consolidés). Présentation économique 2002 2001 % variations (en millions d’euros) Produit net bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charges générales d’exploitation et dotations aux amortissements . . . . Résultat brut d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Coût du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Quote-part du résultat des sociétés mises en équivalence . . . . . . . . . . Gains ou pertes sur actifs immobilisés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat courant avant impôt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats exceptionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impôt sur les bénéfices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations aux amortissements des écarts d’acquisition . . . . . . . . . . . . Variations du FRBG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Intérêts des minoritaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat net part du groupe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34 2 294,0 (1 594,3) 699,7 27,8 727,5 53,5 (16,9) 764,1 1,4 (208,6) (35,1) (18,1) (5,3) ddddddd 498,4 ffffffff 2 258,7 (1 570,3) 688,4 3,4 691,8 61,3 2,6 755,7 (42,3) (145,5) (38,4) (46,1) (6,8) ddddddd 476,6 ffffffff + 1,6 % + 1,5 % + 1,6 % – + 5,2 % – – + 1,1 % – – – – – ddddddd + 4,6 % ffffffff Comptes de résultats consolidés (suite) Présentation comptable 2002 2001 % variations (en millions d’euros) Produit net bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charges générales d’exploitation et dotations aux amortissements . . . . Résultat brut d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Coût du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Quote-part du résultat des sociétés mises en équivalence . . . . . . . . . . Gains ou pertes sur actifs immobilisés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat courant avant impôt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats exceptionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impôt sur les bénéfices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations aux amortissements des écarts d’acquisition . . . . . . . . . . . . Variations du FRBG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Intérêts des minoritaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat net part du groupe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 336,8 (1 587,4) 749,4 33,8 783,1 16,3 (29,7) 769,7 67,7 (212,9) (40,2) (18,1) (4,5) ddddddd 561,6 ffffffff 2 456,0 - 4,9 % (1 627,1) - 2,4 % 828,9 - 9,6 % 0,8 – 829,7 - 5,6 % 41,6 – (1,9) – 869,4 - 11,5 % 114,5 – (233,8) – (38,0) – (175,0) – (20,1) – ddddddd ddddddd 517,0 + 8,6 % ffffffff ffffffff 35 CCF Comptes consolidés Bilan consolidé 2002 - 2001 - 2000 ACTIF (en milliers d’euros) Caisse, banques centrales, CCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Effets publics et valeurs assimilées . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances sur les établissements de crédit . . . . . . . . . . . . . Créances sur la clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et autres titres à revenu fixe . . . . . . . . . . . . . . Actions, autres titres à revenu variable et titres de l’activité de portefeuille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Participations, parts dans les entreprises liées non consolidées et autres titres détenus à long terme . . . Participations et parts dans les entreprises liées mises en équivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilisations incorporelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilisations corporelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres actifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes de régularisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ecarts d’acquisition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DE L’ACTIF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HORS BILAN Engagements de financement donnés . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements de garantie donnés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements sur titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . — Instruments financiers à terme de taux et autres . . . . . Notes 2002 2001 2000 1 ddddddd ddddddd ddddddd 6 4 5 6 1 757 541 9 847 801 10 197 390 28 607 297 3 631 489 1 226 946 6 296 101 10 809 256 31 458 402 6 602 719 1 431 121 5 954 673 13 809 202 27 527 826 11 646 135 6 3 001 979 2 686 550 3 045 481 7 2 090 202 1 836 986 1 121 661 8 9 11 12 13 98 850 101 488 634 178 4 145 531 1 589 783 581 643 533 227 96 806 829 890 2 533 438 1 843 439 649 154 514 502 93 971 837 249 4 079 098 1 793 919 277 424 dddddddd dddddddd 66 285 172 67 402 914 dddddddd 72 132 262 ffffffff ffffffff ffffffff 7 822 691 6 640 090 2 600 681 657 353 382 6 187 544 7 658 386 1 284 787 748 300 280 5 527 402 8 292 582 3 093 543 580 307 963 Les numéros de notes renvoient à l’annexe publiée ci-après. 1 Les chiffres de l’année 2000 ont été reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-04 applicable au 1er janvier 2001). 36 Bilan consolidé 2002 - 2001 - 2000 (suite) PASSIF 2002 (en milliers d’euros) Notes Dettes envers les établissements de crédit . . Comptes créditeurs de la clientèle . . . . . . Dettes représentées par un titre . . . . . . . . Autres passifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes de régularisation . . . . . . . . . . . . Ecarts d’acquisition . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions pour risques et charges . . . . . . Fonds pour risques bancaires généraux . . . Dettes subordonnées . . . . . . . . . . . . . . . . . Capital souscrit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Primes d’émission . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Réserves consolidées, écarts de réévaluation, écart de conversion . . . . . Dont part du Groupe . . . . . . . . . . . . . Dont part des intérêts minoritaires . . . Résultat de l’exercice . . . . . . . . . . . . . . . . Dont part du Groupe . . . . . . . . . . . . . Dont intérêts minoritaires . . . . . . . . . . TOTAL DU PASSIF . . . . . . . . . . . . . . . . HORS BILAN Engagements de financement reçus . . . . . Engagements de garantie reçus . . . . . . . . . Engagements sur titres . . . . . . . . . . . . . . . 2001 2000 1 ddddddddddddddddd dddddddd dddddddd Avant affectation Après affectation 2 Après affectation Après affectation dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 14 15 16 18 19 13 17 21 20 22 23 16 352 439 24 929 105 8 096 595 8 782 071 2 128 366 1 365 706 967 378 620 1 101 766 370 585 1 050 800 16 352 439 24 929 105 8 096 595 9 319 420 2 128 366 1 365 706 967 378 620 1 101 766 370 585 1 050 800 20 664 232 24 514 250 8 125 455 6 338 562 1 838 990 1 627 775 066 360 361 1 255 320 377 048 1 144 332 24 762 212 24 892 471 9 045 554 5 981 833 1 978 518 1 766 926 326 184 067 970 166 374 445 1 128 390 23 1 820 302 1 812 216 8 086 566 191 561 648 4 543 1 849 144 1 836 515 12 629 – – – 2 007 671 1 979 744 27 927 – – – 1 886 514 1 831 973 54 541 – – – dddddddd dddddddd dddddddd 66 285 172 66 285 172 67 402 914 dddddddd 72 132 262 ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff 105 107 1 774 459 2 255 191 105 107 1 774 459 2 255 191 424 342 2 657 491 1 739 555 120 786 2 309 064 2 374 278 Les numéros de notes renvoient à l’annexe publiée ci-après. 1 Les chiffres de l’année 2000 ont été reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-04 applicable au 1er janvier 2001). 2 Proposition d’affectation des résultats. 37 CCF Comptes consolidés (suite) Compte de résultat consolidé 2002 - 2001 - 2000 (suite) Charges (en milliers d’euros) Intérêts et produits assimilés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Intérêts et charges assimilées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Revenus des titres à revenu variable . . . . . . . . . . . . . . Commissions (produits) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Commissions (charges) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gains ou pertes sur opérations de placement et assimilés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres produits d’exploitation bancaire . . . . . . . . . . . Autres charges d’exploitation bancaire . . . . . . . . . . . . Notes 28 28 29 30 30 215 269 32 65 087 166 608 (69 617) 174 390 204 957 (95 005) 69 537 117 357 (66 561) RESULTAT NET, PART DU GROUPE . . . . . . . . . . . . ddddddd ddddddd 2 336 769 2 455 981 dddddddd 33 34 (1 483 567) (103 829) 10 ddddddd 828 865 33 776 ddddddd 783 149 16 258 (29 692) dddddddd 786 ddddddd 829 651 dddddddd 41 594 (1 905) ddddddd ddddddd 769 715 869 340 dddddddd 37 38 34 (1 523 558) (103 558) 749 373 dddddddd 36 dddddddd ddddddd dddddddd RESULTAT COURANT AVANT IMPOT . . . . . . . . . . . Résultats exceptionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impôt sur les bénéfices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations aux amortissements des écarts d’acquisition Excédent des reprises sur FRBG . . . . . . . . . . . . . . . . Intérêts des minoritaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 313 361 (4 458 100) 59 386 1 361 796 (133 176) 208 166 RESULTAT D’EXPLOITATION . . . . . . . . . . . . . . . . . Quote-part dans le résultat d’entreprises mises en équivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gains et pertes sur actifs immobilisés . . . . . . . . . . . . . 4 579 446 (3 715 509) 78 493 1 217 845 (196 802) 2000 1 ddddddd 146 526 RESULTAT BRUT D’EXPLOITATION . . . . . . . . . . . Coût du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 808 427 (1 833 253) 119 091 1 072 782 (138 882) 2001 ddddddd 31 PRODUIT NET BANCAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charges générales d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations aux amortissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 ddddddd 67 650 (212 936) (40 150) (18 088) (4 543) dddddddd 114 508 (233 805) (37 953) (174 951) (20 102) ddddddd ddddddd 561 648 517 037 dddddddd dddddddd ddddddd 2 478 869 dddddddd (1 574 877) (100 218) ddddddd 803 774 dddddddd (26 570) ddddddd 777 204 dddddddd 40 426 123 621 ddddddd 941 251 dddddddd (144 185) (264 333) (26 602) (54 847) 26 271 ddddddd 477 555 dddddddd 1 Les chiffres de l’année 2000 ont été reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-04 applicable au 1er janvier 2001). 38 CCF Notes annexes aux comptes consolidés Principes de consolidation et principes comptables du groupe 1 Principes de consolidation Les comptes consolidés du groupe CCF SA dont la société mère est un établissement de crédit sont établis conformément aux règlements du Comité de la réglementation comptable (CRC), aux avis du Conseil national de la comptabilité et aux instructions de la Commission bancaire en vigueur. Le groupe CCF a fait application au 1er janvier 2001 du règlement CRC n° 00-04 relatif à la présentation des états financiers des banques, et au 1er janvier 2002 du règlement CRC n° 2000-06 sur les passifs. Le changement de méthode n’a pas eu d’incidence sur les états financiers du groupe. Les états financiers sociaux des filiales étrangères consolidées, établis selon les règles comptables en vigueur dans leur pays d’activité, sont retraités, pour des raisons d’homogénéité, avant d’être intégrés dans les comptes du groupe. 1.1 Périmètre de consolidation (se reporter à la note n° 40) Conformément au règlement n° 99-07 du CRC relatif à la consolidation des comptes des banques et des établissements financiers français, les comptes consolidés du CCF SA regroupent les comptes de la banque et de ses principales filiales bancaires et non bancaires dont le total du bilan est supérieur à 15 millions d’euros. a Sociétés consolidées par intégration globale Les sociétés bancaires et financières dans lesquelles le CCF SA détient directement ou indirectement un pourcentage de contrôle supérieur à 50 % sont consolidées par la méthode de l’intégration globale, qui consiste à substituer à la valeur au bilan des titres de participation tous les éléments d’actif et de passif des sociétés consolidées, après élimination des comptes réciproques et des profits intragroupe et à déterminer les droits des actionnaires minoritaires dans les résultats et dans la situation nette. b Sociétés consolidées par mise en équivalence Les sociétés dans lesquelles le CCF SA exerce une influence notable sont consolidées par mise en équivalence. Cette influence notable est présumée lorsque le CCF SA détient, directement ou indirectement, un pourcentage de contrôle compris entre 20 % et 50 %. La mise en équivalence conduit à substituer à la valeur d’inventaire des titres en portefeuille et au dividende reçu de la Société, la quote-part revenant au groupe dans la situation nette et les résultats de l’exercice de la société consolidée selon cette méthode. c Sociétés intégrées proportionnellement Les sociétés contrôlées de manière conjointe par le CCF SA sont consolidées par la méthode de l’intégration proportionnelle. Cette méthode consiste à intégrer dans les comptes du groupe les actifs, passifs et résultats de la filiale au prorata du pourcentage de détention de la société mère dans le capital de celle-ci. d Sociétés non consolidées Bien qu’entrant dans les critères définis précédemment, certaines sociétés peuvent ne pas être consolidées du fait que leur détention ne présente pas de caractère durable. C’est le cas notamment des participations détenues en vue de cessions ultérieures dans le cadre de montages financiers. Sont exclus du périmètre de consolidation les groupements d’intérêt économiques et les autres structures juridiques créées spécifiquement pour gérer des opérations pour le compte d’une entreprise par mise à disposition d’actifs ou fournitures de biens, services ou capitaux, dès lors que le financement qui leur est consenti figure à l’actif du groupe et traduit mieux la réalité des risques encourus et l’activité financière du groupe. En ce qui concerne la société financière Finov, compte tenu du caractère spécifique de cette structure, il a été décidé d’adopter les dispositions transitoires prévues à l’article 51 et, en conséquence, de ne pas inclure Finov dans le périmètre de consolidation. (cf. note 25). 1.2 Date de clôture La date du 31 décembre a été retenue par toutes les sociétés du groupe. Pour celles qui n’arrêtent pas leurs comptes sociaux à cette date, il est fait usage de situations intermédiaires arrêtées au 31 décembre. 39 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 1 Principes de consolidation (suite) 1.3 Différence de première consolidation La différence existant lors de l’entrée dans le groupe d’une filiale entre le coût d’acquisition des titres de cette filiale et la quote-part des capitaux propres correspondante est affectée, après analyse, en correction des éléments du bilan de la société concernée. Conformément à l’avis du Conseil national de la comptabilité n° 97 B, les valeurs des actifs et des passifs de filiales récemment acquises sont susceptibles d’être revues, après analyse approfondie dans un délai allant jusqu’à la fin du premier exercice qui suit l’entrée dans le périmètre de consolidation. Une modification de ces valeurs conduirait à une nouvelle estimation de l’écart d’acquisition précédemment calculé. Le solde non affecté, constitue l’écart d’acquisition, positif ou négatif ; il figure au bilan consolidé sous la rubrique écarts d’acquisition. Les écarts d’acquisition positifs sont amortis sur un maximum de 20 ans, les écarts négatifs sur un maximum de 10 ans. Ces plans d’amortissement peuvent être modifiés, si une dégradation de la situation économique de la société concernée justifie une dépréciation accélérée. 1.4 Conversion des comptes des filiales étrangères Les actifs et passifs des bilans des filiales étrangères exprimés en devises sont convertis en euros au cours de change en vigueur à la date de la situation intermédiaire. Le résultat de ces mêmes entités est converti au cours moyen de la période (défini comme la moyenne arithmétique des cours de fin de mois). Les comptes de capitaux propres sont maintenus au cours historique. Les différences de conversion ainsi dégagées sont affectées aux réserves. 1.5 Traitement des plus-values de cessions internes Les plus ou moins-values sur actif résultant de transactions effectuées entre sociétés entrant dans le périmètre de consolidation sont normalement éliminées. Toutefois, en ce qui concerne les actifs immobiliers, réévalués de fait lors d’opérations de fusion entre ces mêmes sociétés, il a été fait application des instructions de la Commission bancaire en vigueur à l’époque de ces opérations, conduisant au maintien du bien à sa valeur réévaluée et à la création d’un écart de réévaluation. 1.6 Retraitement et reclassement des provisions pour risques bancaires Les provisions forfaitaires constituées localement en raison d’impératifs fiscaux ou réglementaires propres aux pays concernés sont rapportées au compte de résultats consolidés dans la mesure où elles ne sont pas destinées à la couverture d’un risque spécifique. La prise en considération des impératifs de la législation locale peut conduire le groupe à doter des provisions dans les comptes consolidés pour couvrir des risques supportés par les filiales étrangères lorsque celles-ci se trouvent dans l’impossibilité de le faire dans leurs comptes sociaux publiés dans leur pays d’implantation. 1.7 Imposition différée Les impositions différées résultant du décalage temporaire entre la valeur comptable d’un actif ou d’un passif et la valeur fiscale provenant d’un retraitement de consolidation sont enregistrées au bilan et au compte de résultats consolidés. Les déficits fiscaux sont activés lorsqu’il existe une forte probabilité d’une future utilisation. Le calcul des impositions différées est effectué sur 100 % de la réserve latente du crédit-bail. L’ensemble des impositions différées antérieures à l’exercice est corrigé lorsqu’un nouveau taux d’imposition entre légalement en vigueur. 40 2 Principes comptables et analytiques du groupe 2.1 Principes comptables du groupe Les principes adoptés sont ceux définis par les règlements du Comité de la réglementation bancaire, ceux du Comité de la réglementation comptable, les avis du Conseil national de la comptabilité et les instructions de la Commission bancaire. Les opérations sur lesquelles ces différentes instances ne se sont pas prononcées sont comptabilisées suivant les principes généralement admis en France. 2.1.1 Immobilisations Les immobilisations figurent normalement au bilan pour leur valeur historique, diminuée des amortissements cumulés. Toutefois, cette valeur peut être affectée par des opérations de réévaluation légale ou s’agissant des actifs immobiliers par des opérations de fusion. a Amortissements et dépréciations Les terrains ne sont pas amortis. Les frais engagés lors de l’acquisition des immeubles sont pris en charge dans l’année. Il en est de même des frais d’établissement. Les amortissements et les dépréciations des autres immobilisations sont calculés pour leur plus grande part selon le mode linéaire ; certains des matériels sont amortis suivant le mode dégressif. Les durées retenues pour calculer les amortissements et les dépréciations sont les suivantes : – – – – – b Constructions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aménagements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mobiliers et matériels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonds de commerce acquis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Logiciels acquis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25 à 75 ans 10 ans 5 à 10 ans 5 à 10 ans 3 à 5 ans Immeubles acquis lors de la réalisation de garanties de concours compromis Les immeubles, dont le CCF acquiert la propriété à la suite de défaillances de débiteurs, sont traités au plan comptable suivant l’intention de l’établissement quant à la poursuite de leur détention. – Les immeubles que la banque souhaite revendre rapidement sont considérés comme des stocks. En conséquence, ils ne sont pas amortis, mais dépréciés le cas échéant par voie de provision. Ils sont enregistrés au poste “Autres Actifs”, la provision correspondante figurant dans les provisions diverses. – Les immeubles destinés à être conservés durablement et dont la banque a organisé la location constituent des immobilisations hors exploitation, amorties selon les mêmes durées que les immeubles d’exploitation de caractéristiques similaires. Conformément aux instructions des autorités de tutelle, des provisions ont été constituées lorsque les valeurs de marché des immobilisations hors exploitation étaient inférieures à leur valeur nette comptable. 2.1.2 Portefeuille titres Selon les dispositions du CRC n° 00-02, les titres sont classés dans les catégories suivantes : – – – – – – les titres de transaction, les titres de placement, les titres d’investissement, les titres de l’activité du portefeuille, les autres titres détenus à long terme, les titres de participation et parts dans les entreprises liées non consolidées. 41 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) Les modes de comptabilisation de ces quatre segments de portefeuille sont différents : – Titres de transaction : Les titres de transaction sont des titres négociables sur un marché à caractère liquide et qui sont acquis ou vendus dès l’origine avec l’intention de les revendre ou de les racheter à brève échéance. Les titres correspondants ne peuvent être détenus pendant plus de six mois, sauf dans le cadre d’une activité de mainteneur de marché. Les titres de transaction sont enregistrés à leur prix de revient (coupon couru inclus s’il s’agit de titres à revenu fixe). A la date de clôture, ces titres sont évalués au prix du marché, les variations de valeur sont portées dans le compte de résultat. – Titres de placement : Les titres acquis dans une optique de rendement mais en principe destinés à la revente à plus ou moins brève échéance sont inscrits sous la rubrique “Titres de placement”. A la date d’acquisition, ils sont enregistrés au bilan à leur prix de revient (hors coupon couru à l’achat pour les titres à revenu fixe). A la clôture de la période, les titres de placement sont évalués individuellement au plus bas du prix de revient ou du prix de marché. Le prix de marché des titres à revenu variable est représenté par le cours du 31 décembre pour les titres cotés et par la valeur probable de négociation pour les titres non cotés. Le prix de marché des titres à revenu fixe est le cours du dernier jour ouvré de la période. Les résultats réalisés ou latents sur instruments de couverture sont pris en compte par ligne de titres pour le calcul d’éventuelles provisions. – Titres d’investissement : Sont considérés comme des titres d’investissement les titres à revenu fixe qui ont été acquis avec l’intention de les détenir de façon durable, en principe jusqu’à l’échéance. Les titres d’investissement sont maintenus à leur coût historique, avec amortissement de l’écart de taux initial (premium ou discount) sur la durée de vie résiduelle. Ils peuvent toutefois faire l’objet de dépréciation par voie de provision en cas de risque de contrepartie. Les titres acquis dans une optique de rendement ou détenus pour des raisons réglementaires dans certaines filiales ou succursales à l’étranger sont classés en titres d’investissement. – Titres de l’activité de portefeuille : Cette rubrique regroupe les investissements réalisés de façon régulière avec pour seul objectif d’en retirer le gain en capital à moyen terme sans intention d’investir durablement dans le développement du fonds de commerce de l’entreprise émettrice. C’est notamment le cas des titres détenus dans le cadre d’une activité de capital risque. Les titres de l’activité de portefeuille sont comptabilisés individuellement au plus bas de leur coût historique ou de leur valeur d’usage, déterminée en tenant compte des perspectives générales d’évolution de l’émetteur et de l’horizon de détention. Les modalités d’évaluation de la valeur d’usage sont précisées ci-après. – Autres titres détenus à long terme : Les “autres titres détenus à long terme” sont des actions et valeurs assimilées que le groupe entend détenir durablement pour en retirer à plus ou moins longue échéance une rentabilité satisfaisante, sans pour autant intervenir dans la gestion des entreprises dont les titres sont détenus, mais avec l’intention de favoriser le développement de relations professionnelles durables en créant un lien privilégié avec l’entreprise émettrice. 42 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) Ces titres sont comptabilisés individuellement au plus bas de leur valeur d’acquisition ou de leur valeur d’usage. – Titres de participation et parts dans les entreprises liées : La rubrique “titres de participation et parts dans les entreprises liées” regroupe les titres détenus de façon durable (titres de participation) et les titres de filiales (parts dans les entreprises liées) non consolidées. Les titres de participation sont évalués individuellement au plus bas de leur prix de revient ou de leur valeur d’usage déterminée ci-après. L’appréciation de la valeur d’usage des titres de l’activité de portefeuille, des autres titres détenus à long terme et des titres de participation est effectuée selon une approche globale reposant sur la combinaison de différents critères : – l’appréciation économique et financière de la société fondée essentiellement sur la valeur de son actif net réévalué, – l’appréciation du marché fondée sur des études d’analystes financiers, – l’évolution des cours de bourse pour les sociétés cotées et, pour les titres de participation, en prenant en considération les relations spécifiques pouvant exister entre le CCF et chacune des sociétés concernées. Enregistrement des résultats : Les plus ou moins-values de cession et les mouvements de provisions sont enregistrés dans la rubrique “Gains nets sur actifs immobilisés” du compte de résultat, à l’exception des plus-values réalisées dans le cadre d’opérations de restructuration comptabilisées en résultat exceptionnel, ainsi que des plusvalues de cessions de participation mises en équivalence maintenues en PNB. Présentation du portefeuille dans les états publiables : La directive européenne 86/635, visant à normaliser la présentation des états financiers des établissements de crédit dans la CEE n’a pas retenu la notion d’intention comme critère de classement de portefeuille. Cette segmentation est reportée en annexe (note 6). Au bilan, le portefeuille est ventilé suivant les catégories juridiques de support : – effets publics et valeurs assimilées : titres négociables émis par les Etats quelle que soit leur nature (bons du trésor, obligations...), – obligations et autres titres à revenu fixe : titres émis par le secteur privé ou par des organismes publics, dès lors qu’ils ne sont pas admis au refinancement de la banque centrale du pays d’émission, – actions et autres titres à revenu variable y compris les titres de l’activité de portefeuille, – participations et autres titres détenus à long terme, – parts dans des entreprises liées, – participations mises en équivalence. Titres vendus ou achetés à réméré : Dans les comptes de chaque société, les opérations de réméré se traduisent par la sortie (en cas de vente) ou l’entrée (en cas d’achat) des titres en portefeuille et l’inscription de l’engagement résultant du contrat en hors-bilan. Toutefois, dans la mesure où la faculté de rachat est pratiquement toujours exercée : – les plus ou moins-values de cession sont éliminées, sauf s’il s’agit de titres de transaction, – les provisions éventuelles sont déterminées comme si l’opération de réméré n’avait pas eu lieu, 43 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) – les indemnités de réméré sont enregistrées prorata temporis de même que les coupons courus. Un traitement similaire est appliqué aux opérations de “Buy and sell back”. Opérations de pension livrée : Les opérations de cession ou d’acquisition temporaires de titres qui s’inscrivent juridiquement dans le cadre de la loi n° 93-1444 du 31 décembre 1993, dites de pension livrée sur titres sont sans incidence sur la composition et la valorisation du portefeuille titres. Au plan comptable, conformément à l’article 5 du règlement 89-07, elles sont traitées comme des opérations de financement, la contrepartie des mouvements de trésorerie étant, suivant le sens de l’opération, une créance ou une dette. Les produits et charges perçus ou supportés par le cessionnaire ou le cédant sont comptabilisés en intérêts. Valeurs reçues ou données en pension : Les opérations de pension qui ne sont pas effectuées dans le cadre de la loi n° 93-1444 sont classées sous cette rubrique dans le bilan. Leur traitement comptable est identique à celui décrit ci-dessus pour les pensions livrées. Prêts emprunts de titres contre collatéral espèces : Les prêts emprunts de titres contre collatéral espèces sont assimilés, au plan comptable, à des pensions. 2.1.3 Provisions pour concours compromis Les provisions pour créances douteuses et contentieuses, prises en charge pour la détermination du résultat de l’activité bancaire, sont déterminées chaque année en fonction des risques de non recouvrement évalués après analyse individuelle de chacun des dossiers compromis. Sont classées en créances douteuses les créances de toute nature, même assorties de garanties, présentant un risque probable ou certain de non recouvrement total ou partiel, impayées depuis plus de trois mois pour tous les types de crédit et le crédit-bail mobilier, ce délai étant porté à plus de six mois en matière de crédit immobilier ou de crédit-bail immobilier et à plus de neuf mois pour les crédits aux collectivités locales, ou encore celles qui, avant même l’expiration de ces délais, présentent un caractère contentieux avéré (redressement judiciaire, liquidation judiciaire, faillite personnelle...) ou lorsqu’il est probable qu’un débiteur ne pourra faire face à ses engagements. En matière de crédits accordés aux professionnels du secteur immobilier, le déclassement éventuel en créances douteuses est opéré, opération par opération, sur la base de critères prenant en compte : les perspectives de sortie du projet, la capacité des associés à apporter les fonds propres nécessaires ainsi que leur solvabilité. Dans ce contexte, les intérêts sur créances douteuses comptabilisés en produits ont été intégralement provisionnés. Par ailleurs, le principal des crédits fait l’objet de provisions, déterminées opération par opération, en fonction de critères tels que : la crédibilité du prix de sortie du projet immobilier, les potentialités de revenu locatif, la solidité du tour de table et la valeur des garanties reçues. Par ailleurs, la banque constitue, eu égard aux usages bancaires, des provisions destinées à couvrir les risques encourus sur certains pays généralement classés à risques par la profession. Au compte de résultat, les dotations et reprises de provisions, les pertes sur créances irrécouvrables et les récupérations sur créances amorties sont comptabilisées sur la ligne “coût du risque”. 2.1.4 Provision pour retraites En France, les pensions et retraites du personnel sont prises en charge par des organismes interprofessionnels qui gèrent des régimes de retraite par répartition, auxquels sont versées des cotisations prises en charge dans l’exercice de leur appel. Les charges futures à l’égard des personnes ayant quitté l’entreprise sont provisionnées dans les comptes. Les charges futures relatives au personnel en activité, principalement en matière d’indemnité de départ en retraite et de droit à la médaille du travail, sont également provisionnées. 44 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) 2.1.5 Fonds pour risques bancaires généraux Dans le cadre des dispositions prévues par les règlements 90-02 et 91-01 du Comité de la Réglementation bancaire, le CCF a constitué un fonds destiné à couvrir les risques bancaires généraux, notamment ceux pouvant résulter à terme d’éventuels appels complémentaires de cotisations sociales susceptibles d’être effectués dans le cadre de la mise en œuvre de l’accord AFB-AGIRC-ARRCO du 13 septembre 1993 relatif aux régimes de retraite des personnels des établissements de crédit. Outre la couverture des charges de retraite, ce fonds peut être doté par prélèvement sur les résultats pour couvrir d’éventuels risques bancaires généraux liés aux diverses activités du groupe. 2.1.6 Position de change A l’exception des positions de change structurelles valorisées au cours historique, les positions de change actives et passives en devises sont réévaluées au cours en vigueur à la clôture de la période et les profits ou pertes ainsi dégagés sont inclus dans les produits ou charges de l’exploitation bancaire. 2.1.7 Contrats de change à terme Les contrats de change à terme non dénoués à la date de clôture et couverts par des opérations au comptant sont réévalués au cours du comptant de fin de la période. Les reports ou déports calculés lors de leur conclusion sont enregistrés prorata temporis en compte de résultats. Les contrats de change à terme secs ou couverts par des instruments à terme sont réévalués au cours du terme restant à courir. 2.1.8 Opérations de crédit-bail Les résultats des sociétés de crédit-bail et de location sont retraités pour tenir compte de la réserve latente correspondant à la différence entre l’amortissement social calculé sur des bases fiscales et l’amortissement financier. Un impôt différé est calculé sur ce retraitement : l’imposition différée porte sur 100 % de la réserve latente. Les opérations immobilières dans lesquelles le groupe CCF est preneur sont retraitées : les biens immobiliers pris en crédit-bail figurent en immobilisations et sont amortis avec un refinancement au passif. 2.1.9 Instruments financiers à terme Le groupe CCF est actif sur l’ensemble des marchés des nouveaux instruments financiers, soit pour le compte de sa clientèle, soit dans une optique de couverture d’éléments de bilan ou d’arbitrage. Les principes comptables appliqués diffèrent selon les instruments et les intentions des opérateurs à l’origine, couverture ou opérations de marché. Néanmoins, certaines règles générales s’appliquent à toutes les positions de marché. D’autres règles générales sont spécifiques à certaines catégories d’instruments. a Options de taux et de change : Les options sont des contrats passés entre deux parties qui confèrent à l’une d’elles, l’acheteur, le droit d’acheter ou de vendre un actif réel ou un autre instrument financier appelé "actif sous-jacent" au terme d’une certaine période, à un prix convenu au moment de la conclusion du contrat. Les contrats d’options se traduisent par le versement d’une prime par l’acheteur au vendeur. Le CCF traite des options de taux et des options de change. Les principes de base du traitement comptable de ces différents produits sont identiques. A la conclusion du contrat, le montant notionnel de “l’actif sous-jacent” sur lequel porte l’option est enregistré en hors bilan. 45 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) En matière de produits et de charges, on distingue les contrats de couverture, des contrats négociés dans le cadre d’opérations de marché ou d’arbitrage : – les produits et charges relatifs aux opérations de couverture sont rapportés de manière symétrique à ceux afférents à l’élément couvert ; – dans le cas des opérations de marché, les positions sont revalorisées en date de situation. Pour les opérations cotées sur un marché organisé ou assimilé au sens du règlement 88-02 du Comité de la réglementation bancaire, les variations de valeur de la position sont inscrites en compte de résultats, soit par le biais des appels de marge, soit directement à la suite d’un calcul mathématique lorsque les options ne sont pas cotées. b Options sur indices ou sur actions Les opérations réalisées sur les contrats d’indices ainsi que sur les actions le sont dans le cadre des opérations de marché : les variations de valeur des contrats non dénoués à la clôture sont directement enregistrées en compte de résultats. c Contrats à terme de taux d’intérêts (Matif, futures...) Le mode de comptabilisation est identique à celui décrit ci-dessus pour les options, en conformité avec l’instruction 94-04 de la Commission bancaire. d Contrats d’échange de devises et/ou de conditions d’intérêts (swaps, FRA) En application du règlement 90-15 modifié par le règlement 92-04 du Comité de la réglementation bancaire, les contrats sont comptabilisés distinctement selon qu’ils ont pour objet : (i) de maintenir des positions ouvertes isolées afin, le cas échéant, de bénéficier de l’évolution des taux d’intérêt, (ii) de couvrir, de manière identifiée dès l’origine, conformément à l’article 4 du règlement n° 88-02 susvisé, le risque de taux d’intérêt affectant un élément ou un ensemble d’éléments homogènes, (iii) de couvrir et de gérer le risque global de taux d’intérêt de l’établissement sur l’actif, le passif et le hors-bilan, à l’exclusion des opérations visées au 2 ou 4, (iv) de permettre une gestion spécialisée d’un portefeuille de transaction (activité de trading). Sur le plan comptable, les méthodes utilisées diffèrent selon qu’il s’agit d’opérations de couverture ou d’opérations réalisées dans le cadre de l’activité de trading. Les résultats des opérations de couverture d’actifs ou de passifs sont enregistrés prorata temporis, sauf si ces éléments couverts sont eux-mêmes valorisés dans le bilan en valeur de marché. Il en est ainsi notamment pour les swaps négociés dans le cadre de la gestion actif/passif du risque global de taux. Les résultats sur les positions gérées dans le cadre d’un portefeuille de swaps de transaction sont évalués en valeur actuelle après prise en compte d’une réfaction effectuée pour tenir compte des risques de contrepartie et des coûts futurs de gestion du portefeuille. Dans les activités de marché, les contrats négociés par le CCF sont réévalués aux conditions du marché dès la date de négociation ; l’engagement correspondant figure en hors bilan de la date de négociation à la date de valeur. En règle générale, cette seconde date correspond à un échange de flux monétaires normalement enregistrés alors au bilan. Les montants des notionnels sont inscrits en hors bilan, qu’ils soient effectivement échangés ou qu’ils servent simplement de référentiel. Les contrats de change à terme non couverts par des opérations de trésorerie sont évalués en valeur de marché, au cours du terme restant à courir. 46 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) 2.1.10 Comptabilisation des charges et des produits L’ensemble des charges et des produits est comptabilisé prorata temporis, à l’exception des commissions et des dividendes qui sont comptabilisés lorsqu’ils sont acquis. Les positions de marché longues et courtes sont normalement évaluées au prix de milieu de la fourchette de cotation "demandé-offert ", affichée sur les marchés organisés ou par un panel de teneurs de marché. Certains dérivés très spécifiques, résultant généralement de la combinaison de plusieurs produits élémentaires sont évalués à l’aide de modèles qui utilisent ces données de marché ; leur valorisation tient compte toutefois de la moindre liquidité de ces positions qui, en raison de leurs caractéristiques particulières, ne pourraient probablement pas être clôturées à un prix de milieu de fourchette. Le décompte des intérêts courus en résultat suit les règles juridiques propres à chaque instrument. Ainsi, par exemple, les titres à revenu fixe sont marqués au marché, au pied du coupon de la date de négociation de l’achat à celle de la négociation de la vente ; les intérêts sont enregistrés tant que l’établissement détient ces valeurs mobilières, c’est-à-dire de la date de livraison de l’achat à celle de la livraison de la vente. Sur la place de Paris, pour ce type de papier, un délai de trois jours ouvrés sépare la date de négociation de la date de livraison. 2.1.11 Comptabilisation des résultats exceptionnels Les éléments qui sont générés ou surviennent de manière exceptionnelle et qui ne relèvent pas de l’activité courante sont comptabilisés en résultat exceptionnel. Ainsi, les résultats des opérations de restructuration découlant du rapprochement avec HSBC sont comptabilisés en résultat exceptionnel. Les autres résultats de cessions de filiales et de participations sont classés en résultat avant impôt. 2.2 Règles d’établissement des résultats analytiques par métier La présentation analytique des résultats par métier vise à présenter pour chaque métier un compte de résultat selon les agrégats du tableau des soldes intermédiaires de gestion. Afin de rendre les comparaisons d’une année sur l’autre significatives, ces chiffres font l’objet de retraitements spécifiques explicités dans la note 3. Sont en outre calculés des ratios par métier et en particulier, le coefficient d’exploitation (rapport entre les charges générales d’exploitation et le produit net bancaire) et le rendement des fonds propres (rapport entre le résultat net analytique et les fonds propres alloués au métier). 2.2.1. Découpage du groupe CCF en métiers La présentation des résultats par métier est effectuée sur la base des résultats consolidés du groupe. Les quatre grands métiers du groupe sont : a Réseaux bancaires et distribution qui englobe trois sous-ensembles : – le réseau du CCF, – les réseaux des filiales bancaires régionales, – la distribution qui comprend les filiales spécialisées en France (Elysées Factor, Netvalor, etc.). b Grande clientèle, elle aussi ventilée en trois sous ensembles : – les activités bancaires de grande clientèle, – les activités de marchés de taux et de change, – les activités de banque d’affaires. 47 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) c Gestion d’actifs et Banque privée, qui regroupent : – la gestion des OPCVM et de l’épargne salariale en France et à l’étranger, – la Banque privée, en France et à l’étranger. d Activité Eurozone : Il s’agit des résultats des succursales du CCF à l’étranger ainsi que les succursales en Europe du Groupe HSBC gérées par le CCF (France, Espagne, Italie, Belgique et Hollande). Les autres activités regroupent pour l’essentiel : – les activités de portefeuille (Nobel, gestion centralisée des filiales et participations du CCF), – les marchés de flux. 2.2.2 Détermination des agrégats du compte de résultat Ces derniers sont présentés à partir des règles suivantes : a Produit net bancaire – Centres de profit du CCF social. La valeur ajoutée sur capitaux prend en compte un refinancement interne des capitaux établi selon les règles suivantes : – en vue de gérer le risque de taux, des opérations de couverture sont effectuées par la Direction financière, conformément aux options décidées par le Comité de bilan ; ces opérations de couverture sont, au travers de contrats internes, intégralement répercutées sur les centres concernés, – la position de trésorerie de chaque centre, non déjà couverte par des contrats, est calculée journellement et valorisée au taux du marché monétaire au jour le jour (complété du coût de la liquidité). Par ailleurs, le rendement des fonds propres alloués selon la méthode interne (cf. c) est inclus dans leur PNB. Les commissions sont attribuées aux centres qui ont en charge la relation clientèle et la responsabilité de la prestation qui lui est facturée. – Filiales Leur contribution analytique est établie à partir du PNB social, duquel sont soustraits les éventuels dividendes reçus d’autres filiales consolidées, ainsi que le rendement de leurs fonds propres sociaux et la charge de financement des titres des filiales consolidées et auquel est ajouté le rendement des fonds propres alloués selon la méthode interne. b Charges générales d’exploitation et amortissements Les frais des métiers sont calculés en prenant en compte les charges qui doivent leur être répercutées, et plus particulièrement : – en facturant les charges de traitement des opérations effectuées pour le compte des clients au coût complet, – en répartissant les charges de structure. c Rendement des fonds propres alloués Inclus dans le PNB, le RBE des métiers et dans leur résultat analytique, il est établi à partir d’une méthode interne d’allocation de fonds propres qui repose sur les bases suivantes : – Au titre des risques de contrepartie, est retenue comme base de calcul des encours pondérés la méthode réglementaire. Les taux d’allocation diffèrent de la méthode réglementaire dans le sens 48 2 Principes comptables et analytiques du groupe (suite) d’une allocation (au titre du Tier 1) généralement plus élevée que dans le cadre réglementaire (sauf dans le cas où l’observation du taux de sinistralité et de la qualité des encours de la clientèle conduisent à retenir des taux plus bas). Cette allocation prend notamment en compte : – la nature des clients (entreprises, particuliers etc.). – leur implantation géographique (en surpondérant en fonds propres les crédits accordés dans les zones jugées à risque). – la typologie des crédits. – Au titre des risques de marché, un modèle interne est appliqué, validé par la Commission bancaire, en vue de couvrir 8 % de l’ensemble des fonds nécessaires (Tier 1, 2 et 3), les 3/4 de cet ensemble étant retenus pour la seule allocation du Tier 1, – Pour certaines activités (en particulier de conseil, de montages structurés, de gestion d’OPCVM ou de titres, et de banque privée) une allocation est déterminée en vue de couvrir les risques opérationnels liés à ces activités. Cette allocation est établie en fonction d’une approche multicritères déterminée en liaison avec les métiers concernés. – Enfin des fonds propres sont alloués aux métiers exerçant des activités de gestion de portefeuille actions pour compte propre en vue de couvrir le risque potentiel de baisse de la valeur des titres. d Résultat net analytique Un résultat net analytique est établi pour chaque métier prenant en compte les éléments ci-dessus ainsi que le calcul d’un impôt théorique à un taux local normatif sur l’ensemble des retraitements analytiques, et en particulier sur les retraitements sur fonds propres. 3 Présentation des états financiers Principaux changements de périmètre de consolidation par rapport à 2001 et définition des présentations comptables et économiques a Présentation comptable Les résultats consolidés à fin décembre 2002 intègrent les principales modifications de périmètre suivantes : Principales entrées dans le périmètre de consolidation en 2002 : – Intégration de 11 agences de la Banque Worms, – Intégration de HSBC Bank France SA. Principales sorties du périmètre de consolidation en 2002 : – HSIL qui était intégré dans les comptes de Charterhouse UK (ECFH), – Lombard Bank, – Lixxbail. b Présentation économique Les chiffres repris en présentation économique sont, comme en présentation comptable, reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil national de la comptabilité (règlement CRC 00-04 applicable au 1er janvier 2001). Parallèlement, afin de rendre les comparaisons avec l’année précédente significatives, ces chiffres font l’objet de retraitements spécifiques permettant de neutraliser, tant sur 2001 que sur 2002, les impacts liés aux changements de périmètre et à certaines charges ou produits exceptionnels générés par le rapprochement avec HSBC. 49 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 3 Présentation des états financiers (suite) Ainsi les différences par rapport à la présentation comptable sont les suivantes : – l’année 2001 a été retraitée à périmètre 2002 équivalent ; – la présentation économique porte sur le périmètre géré : – intégration des entités HSBC gérées par le CCF (Succursales HSBC euro zone) et des filiales de gestion d’actifs gérés par le CCF, mais non consolidés ; – non prise en compte des résultats du CCF Athènes, de Framlington, de PrimeCorp et du Holding ECFH (Charterhouse UK) qui sont gérés par d’autres entités du Groupe HSBC ; – reclassement des dividendes et coût de financement HSBC Private Banking Holdings (Suisse) SA (PBSU) de la rubrique PNB à mise en équivalence ; – ne sont pas pris en compte : – les provisions des contrats de liquidité ; – les plus moins-values sur cessions de filiales liées à l’intégration dans le Groupe HSBC ; – principalement CIE Le Caire, CCF Luxembourg et CCF Brésil en 2001 et Banque Lombard en 2002 ; – les charges ou produits exceptionnels liés à l’intégration dans le Groupe HSBC. Application de la nouvelle méthodologie dans la présentation du compte de résultat Le Conseil national de la comptabilité a édicté de nouvelles règles applicables à partir du 1er janvier 2001. Le groupe CCF a fait application au 1er janvier 2001 du règlement CRC 00-04. La présentation des états financiers relatifs à l’exercice 2000 a été retraitée en conséquence afin de les rendre comparables à ceux de l’exercice clos. Les principales modifications concernent les trois points suivants : – les plus ou moins-values de cession sur titres, dans la mesure où elles ne concourent pas à une activité courante et permanente, sont nouvellement classées dans une ligne spécifique : “gains ou pertes sur actifs immobilisés”, – les provisions diverses sont reclassées par nature dans les postes du TSIG (PNB, FGA, résultats exceptionnels et impôts), – les titres détenus dans le cadre d’une activité de capital risque ont été reclassés en titres de l’activité de portefeuille. 50 4 Créances sur les établissements de crédit (en millions d’euros) A vue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . < de 3 mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 3 mois < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions sur créances douteuses et risques pays . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dont titres reçus en pension livrée (hors créances rattachées) . . . . . Dont prêts subordonnés (hors créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 1 573,2 8 593,5 6 450,4 1 415,9 572,6 154,6 (24,3) 55,0 2001 dddddddd 1 456,0 9 322,1 6 158,0 2 429,6 679,1 55,4 (45,8) 77,0 dddddddd dddddddd 10 197,4 10 809,3 2000 dddddddd 2 069,0 11 696,0 8 640,0 2 041,5 934,5 80,0 (76,5) 120,7 dddddddd 13 809,2 ffffffff ffffffff ffffffff 5 758,1 69,4 5 125,0 83,1 5 078,4 53,8 5 Crédits à la clientèle NATURE DES OPÉRATIONS (en millions d’euros) Créances sur la clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances commerciales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes ordinaires débiteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres concours à la clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Opérations de crédit-bail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Crédits aux particuliers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Crédits à la clientèle financière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Crédits à la clientèle non financière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres reçus en pension livrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dont créances douteuses brutes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dont prêts subordonnés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . VENTILATION DES ENCOURS SELON LA DURÉE RESTANT À COURIR (en millions d’euros) A vue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . < 3 mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 3 mois < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions sur créances douteuses et risques-pays . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 27 998,4 875,3 3 707,3 23 415,8 608,9 29 263,5 1 064,4 4 080,1 24 119,0 2 194,9 25 613,3 1 077,9 3 561,3 20 974,1 1 914,5 dddddddd dddddddd 28 607,3 31 458,4 dddddddd 27 527,8 ffffffff ffffffff ffffffff 6 782,1 488,1 20 434,3 722,9 179,9 5 689,7 674,5 23 516,9 1 346,6 230,7 5 509,5 661,1 20 554,8 561,1 241,3 dddddddd dddddddd 28 607,3 31 458,4 dddddddd 27 527,8 ffffffff ffffffff ffffffff 1 175,0 143,2 1 491,6 125,0 1 332,7 118,2 2002 dddddddd 4 762,6 24 576,6 8 591,2 4 121,1 6 465,4 5 398,9 (911,8) 179,9 2001 dddddddd 4 557,6 27 639,5 11 090,0 4 296,9 6 500,0 5 752,6 (969,4) 230,7 dddddddd dddddddd 28 607,3 31 458,4 ffffffff ffffffff 2000 dddddddd 3 967,3 24 235,2 9 338,3 3 966,7 6 427,4 4 502,8 (916,0) 241,3 dddddddd 27 527,8 ffffffff 51 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 6 Portefeuille de titres de transaction, de placement et d’investissement NATURE DES OPERATIONS (en millions d’euros) Effets publics et valeurs assimilées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Titres de transaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Titres de placement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Titres d’investissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et autres titres à revenu fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres de transaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations et autres titres cotés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations non cotées, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres de placement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations et autres titres cotés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations non cotées, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres d’investissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations non cotées, titres du marché interbancaire et titres de créances négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Actions, autres titres à revenu variable et TAP . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres de transaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Actions cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Actions et autres titres à revenu variable non cotés . . . . . . . . . . Titres de placement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Actions cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Actions et autres titres non cotés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres de l’activité de portefeuille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – TAP non cotés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – TAP cotés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 9 847,8 8 737,3 948,2 141,6 20,7 3 631,5 2 074,0 1 253,1 6 296,1 5 386,0 754,3 142,1 13,7 6 602,7 2 910,0 1 821,2 5 954,7 4 665,1 515,9 721,9 51,8 11 646,1 5 299,0 3 406,5 820,9 785,0 409,3 1 088,8 2 768,0 938,9 1 892,5 5 581,8 1 028,7 375,7 739,2 355,6 1 829,1 840,2 642,3 4 553,1 703,2 608,9 383,6 33,3 3 002,0 1 526,1 1 526,1 197,9 84,5 2 686,5 1 259,2 1 255,8 3,4 776,6 140,7 635,9 650,3 340,7 309,6 0,4 94,3 62,1 3 045,5 1 878,9 1 878,9 Valeur nette comptable 893,1 41,9 851,2 582,4 268,0 314,4 0,4 Valeur nette comptable dddddddd dddddddd 16 481,3 15 585,3 ffffffff ffffffff 1 Les titres détenus dans le cadre d’une activité de capital risque ont été reclassés en titres de l’activité de portefeuille. 52 2000 1 dddddddd Valeur nette comptable 921,7 231,3 690,4 244,9 244,3 0,6 – dddddddd 20 646,3 ffffffff 6 Portefeuille de titres de transaction, de placement et d’investissement (suite) Ventilation des effets publics et obligations par DRAC NATURE DES OPÉRATIONS (en millions d’euros) Effets publics et valeurs assimilées < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et autres titres à revenu fixe < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 2 914,2 5 157,2 1 755,7 20,7 2 002,4 2 748,6 1 531,4 13,7 1 772,2 2 603,9 1 526,9 51,7 dddddddd dddddddd 9 847,8 6 296,1 dddddddd 5 954,7 ffffffff ffffffff ffffffff 1 937,2 984,6 676,4 33,3 3 481,5 1 997,2 1 040,8 83,2 6 702,9 3 725,1 1 153,5 64,6 dddddddd dddddddd 3 631,5 6 602,7 ffffffff ffffffff dddddddd 11 646,1 ffffffff Valeur estimée du portefeuille de titres de placement et des titres de l’activité de portefeuille NATURE DES OPÉRATIONS (en millions d’euros) Effets publics et valeurs assimilées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et autres titres à revenu fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Actions et autres titres à revenu variable et TAP . . . . . . . . . . . . . . . . Total titres de placement et TAP (hors créances rattachées) . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 950,5 785,8 1 629,5 755,9 2 768,2 1 672,0 517,8 5 593,3 1 505,1 dddddddd dddddddd 3 365,8 5 196,1 ffffffff ffffffff dddddddd 7 616,2 ffffffff Informations complémentaires sur les titres, données en application de l’artcile 16 du règlement n° 90-01 du Comité de la réglementation bancaire en date du 23 février 1990 Titres ayant fait l’objet d’un changement de catégorie au 31 décembre 2002 Aucun reclassement n’a été effectué. Montant des titres d’investissement cédés au 31 décembre 2002 Pour l’exercice 2002, les cessions s’élèvent à 194 millions d’euros. Différence non amortie entre le prix d’acquisition et le prix de remboursement des titres d’investissement Information n’ayant pas de caractère significatif. 53 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 7 Titres de participation et titres détenus à long terme a Titres de participation et titres détenus à long terme par type d’émetteur (en millions d’euros) TYPE D’ÉMETTEUR – Titres cotés . . . . . . . Etablissements de crédit Autres . . . . . . . . . . . – Titres non cotés . . . . Etablissements de crédit Autres . . . . . . . . . . . – Avances aux SCI . . . et créances rattachées . . . . . . . . TOTAL ....................... 2002 ddddddddddddddddd Valeur nette comptable dddddddd 185,4 68,7 116,7 1 895,8 776,5 1 119,3 9,0 2001 2000 ddddddddddddddddd ddddddddddddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 233,9 105,8 128,1 1 932,3 777,0 1 155,3 266,5 34,5 232,0 1 559,4 797,0 762,4 281,9 44,3 237,6 1 586,9 810,2 776,7 254,3 31,1 223,2 830,0 74,2 755,8 Valeur estimée Valeur nette (non auditée) comptable 9,0 11,1 Valeur estimée Valeur nette (non auditée) comptable 11,1 37,4 Valeur estimée (non auditée) dddddddd 284,9 31,1 253,8 853,5 85,7 767,8 37,4 dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2 090,2 2 175,2 1 837,0 1 879,9 1 121,7 1 175,8 ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff b Tableau de variation des titres de participation et titres détenus à long terme (en millions d’euros) Valeurs brutes au 1er janvier (hors avances et créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Variations de l’année : Acquisitions de titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cessions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Incidence des différences de conversion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres mouvements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs brutes au 31 décembre (hors avances et créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions au 1er janvier (hors avances et créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Variations de l’année : Dotations de l’exercice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Reprises de provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Incidence des différences de conversion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres mouvements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions au 31 décembre (hors avances et créances rattachées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Avances aux SCI et créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs nettes au bilan y compris créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54 2002 dddddddd 1 972,5 580,9 (207,7) (105,1) 1,4 dddddddd 2 242,0 ffffffff (146,6) (37,3) 21,2 0,0 1,9 dddddddd (160,8) 9,0 dddddddd 2 090,2 ffffff 7 Titres de participation et titres détenus à long terme (suite) c Sociétés dans lesquelles le Groupe détient une participation supérieure à 30 millions d’euros au 31 décembre 2002 (en millions d’unités monétaires) – – – – – – Crédit Lyonnais . . . . . . . . . . . . . . . . . . Altadis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HP WT Holding . . . . . . . . . . . . . . . . . Merck Boringuen Holding . . . . . . . . . Swiss Life (échange Rentenanstalt) 1 . HSBC Private Banking Holdings (Suisse) SA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – HSBC Guyerzeller Bank AG . . . . . . . – Banian Investment UK . . . . . . . . . . . Siège social dddddddd Capitaux propres consolidés en 2001 part du groupe dddddddd Paris 8 207,0 € Madrid 1 548,4 € Wilmington 13 953,0 US$ Wilmington 16 050,0 US$ Zurich 4 982,0 CHF Genève 3 811,0 CHF Genève 381,7 CHF St-Hélier Création 2002 Résultat consolidé de l’exercice 2001 part du groupe dddddddd Valeur nette comptable 2002 dddddddd 812,0 € 32,6 € 380,2 € 50,0 € 408,0 US$ 250,0 US$ 7 281,0 US$ 300,0 US$ (115,0) CHF 89,9 CHF 405,0 CHF 42,9 CHF 995,9 CHF 72,9 CHF 300,0 GBP % de participation dddddddd 0,23 1,07 5,0 5,0 1,8 13,4 10,0 19,0 1 Les capitaux propres et résultats consolidés 2001 sont ceux de la société Rentenanstalt dont les titres ont été échangés contre ceux de Swiss Life Holding en 2002. Le résultat 2001 correspond au résultat publié définitif. 8 Immobilisations incorporelles (en millions d’euros) Valeurs brutes au 1er janvier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Variations de l’année : Variations du périmètre de consolidation, transferts et autres mouvements Acquisitions d’immobilisations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs brutes au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Amortissements et provisions au 1er janvier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Variations de l’année : Variations du périmètre de consolidation, cessions et autres mouvements Dotations de l’exercice aux amortissements et provisions . . . . . . . . . Amortissements et provisions au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeur nette des immobilisations au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 249,3 211,9 186,4 (10,8) 36,7 (9,3) 46,7 dddddddd dddddddd 275,2 249,3 (20,4) 45,9 dddddddd 211,9 ffffffff ffffffff ffffffff 152,5 117,9 103,1 (12,8) 34,0 dddddddd 173,7 (0,7) 35,3 dddddddd 152,5 dddddddd dddddddd 101,5 96,8 ffffffff ffffffff (17,0) 31,8 dddddddd 117,9 dddddddd 94,0 ffffffff 55 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 9 Immobilisations corporelles (en millions d’euros) 2002 Valeurs brutes au 1er janvier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Variations de l’année : Variations du périmètre de consolidation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Acquisitions d’immobilisations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cessions d’immobilisations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Retraits d’immobilisations et autres mouvements . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs brutes au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Amortissements au 1er janvier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Variations de l’année : Variations du périmètre de consolidation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations de l’exercice aux amortissements et dotations nettes aux provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cessions, retraits d’immobilisations et autres mouvements . . . . . . . . Amortissements au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs nettes au bilan au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Terrains et constructions d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Terrains et constructions hors exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres immobilisations corporelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs nettes au bilan au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 1 504,6 1 439,9 1 200,1 (161,3) 61,6 (71,1) (6,6) 38,8 144,3 (77,4) (41,0) dddddddd dddddddd 1 327,2 1 504,6 57,5 130,3 (64,4) 116,4 2 dddddddd 1 439,9 ffffffff ffffffff ffffffff 674,7 602,6 574,4 (16,1) 13,5 (5,7) 74,6 (40,2) 93,4 (34,8) 64,2 (30,2)2 dddddddd dddddddd 693,0 674,7 dddddddd 634,2 ffffffff 419,8 23,91 190,5 dddddddd 829,9 602,7 dddddddd 837,2 ffffffff ffffffff 405,8 190,7 233,4 434,2 186,2 216,8 dddddddd dddddddd 634,2 829,9 ffffffff dddddddd ffffffff dddddddd 837,2 ffffffff 1 Variation due à la cession de HSIL pour 99,9 millions de livres sterling soit 163,6 millions d’euros. 2 Au 31 décembre 2000, le groupe CCF a adopté la méthode préférentielle d’activation des biens loués en crédit-bail. Immobilisations brutes : 49,9 millions d’euros ; amortissements : 13,5 millions d’euros. 10 Provisions et coût du risque (en millions d’euros) Provisions inscrites en déduction de l’actif – Provisions sur créances douteuses interbancaires et clientèle (hors intérêts douteux) . . – Provisions sur risques-pays . . . . . . – Provisions pour risque de contrepartie sur titres . . . . . . . . . . Provisions inscrites au passif – Provisions pour engagements par signature et litiges . . TOTAL DES PROVISIONS . . . . . . . . . Encours au 31.12.2001 Dotations dddddddd dddddddd 934,9 170,3 80,3 – 15,3 0,2 246,1 dddddddd 1 276,6 ffffffff 43,8 dddddddd 214,3 ffffffff Prises utilisées dddddddd Reprises disponibles Encours au 31.12.2002 dddddddd dddddddd (145,1) 26,7 915,9 – (38,3) 0,3 42,3 – (1,5) (10,4) 3,6 (70,9) (6,3) dddddddd (77,2) ffffffff dddddddd Autres variations1 (53,3) dddddddd (238,2) ffffffff 7,3 dddddddd 23,9 ffffffff 237,6 dddddddd 1 199,4 ffffffff 1 La colonne “Autres variations” regroupe notamment l’incidence des variations du périmètre de consolidation et des variations de change. 56 10 Provisions et coût du risque (suite) Coût du risque 2002 dddddddd Dotations nettes aux provisions de l’exercice 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Créances douteuses, interbancaires et clientèle (hors intérêts douteux) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Risques-pays . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Risques de contrepartie sur titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Engagements par signature et litiges . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pertes non couvertes par provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Récupération sur créances amorties . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL COÛT DU RISQUE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23,9 (25,2) 38,3 1,3 9,5 – 9,9 ddddddddd 33,8 fffffffff 1 Y compris pertes non couvertes. Encours sur pays à risques sensibles (hors court terme commercial, y compris clients douteux) 31 Décembre 2002 (en millions d’euros) ASIE Thaïlande . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Indonésie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Corée du Sud . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Malaisie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Philippines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL ENCOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Interbancaire Corporate Risques souverains dddddddd dddddddd dddddddd – – 6,2 – – 5,1 3,7 0,1 55,3 0,3 0,1 3,5 21,7 0,1 1,7 5,2 7,2 28,0 55,4 2,0 dddddddd dddddddd dddddddd 6,2 64,5 27,1 ffffffff ffffffff ffffffff PROVISIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . RUSSIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL ENCOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL ENCOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dddddddd 97,8 ffffffff 15.3 1,9 dddddddd 1,9 ffffffff 1,2 dddddddd 1,2 ffffffff – dddddddd – ffffffff PROVISIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . BRESIL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total dddddddd 3,1 dddddddd 3,1 ffffffff 1,4 0,1 4,2 9,2 13,5 dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 0,1 4,2 9,2 13,5 ffffffff ffffffff ffffffff PROVISIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ffffffff 4,2 Encours sur autres pays à risques (hors court terme commercial, y compris clients douteux) 31 Décembre 2002 (en millions d’euros) Afrique subsaharienne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Amérique latine (hors Brésil) 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . Europe de l’Est (hors Russie) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Asie (hors Thaïlande, Indonésie, Corée du Sud, Malaisie et Philippines) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Moyen-Orient / Maghreb . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL ENCOURS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROVISIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Interbancaire Corporate Risques souverains Total dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 3.6 0.6 3.6 54.9 23.4 6.3 10.2 14.4 1.5 68.7 38.4 11.4 10.0 8.8 31.6 40.2 10.6 25.8 52.2 74.8 dddddddd dddddddd dddddddd 26.6 156.4 62.5 ffffffff ffffffff ffffffff dddddddd 245.5 ffffffff 54.3 1 Dont encours sur l’Argentine : 9,2 millions d’euros. 57 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 11 Autres actifs (en millions d’euros) Comptes de règlement relatifs aux opérations sur titres . . . . . . . . . . Impôts différés (note 17) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Débiteurs divers et autres comptes d’actif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 707,5 3,1 3 434,9 dddddddd 4 145,5 901,9 32,0 1 599,5 dddddddd 2 533,4 1 126,4 31,5 2 921,2 dddddddd 4 079,1 ffffffff ffffffff ffffffff 12 Comptes de régularisation actif (en millions d’euros) Comptes d’encaissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres comptes de régularisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 592,2 997,6 dddddddd 1 589,8 808,8 1 034,6 dddddddd 1 843,4 1 173.2 620,7 dddddddd 1 793,9 ffffffff ffffffff ffffffff 13 Ecarts d’acquisition ECARTS D’ACQUISITION (ACTIF) Ventilation par société (en millions d’unités monétaires) Montant brut . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Principales sociétés – Lixxbail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Sinopia . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Banque Hervet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Framlington Group 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – CCF Suisse Holding . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Nobel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Union de Banques à Paris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Banque Chaix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – ECFH - Holding du groupe Charterhouse . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Dewaay . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – CIE Le Caire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – SMC . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Dewaay . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Amortissements cumulés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Montant net . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ventilation par durée d’amortissement (en millions d’euros) Ecarts d’acquisition amortis sur 10 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ecarts d’acquisition amortis sur 20 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . MONTANT NET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 823,0 € 2001 dddddddd 856,6 € 2000 dddddddd 491,0 € dddddddd dddddddd dddddddd – 48,0 € 285,4 € 64,8 GBP 50,4 CHF 21,9 € 11,1 € 10,2 € 23,5 GBP 40,3 CHF 45,1 € 49,3 € 281,4 € 64,8 GBP 50,4 CHF 21,9 € 11,1 € 10,2 € 23,5 GBP 40,3 CHF 9,5 € 60,2 € 9,5 € 60,2 € 45,1 € 1,0 € – 64,8 GBP 50,4 CHF 21.9 € 11,1 € 10,2 € 23,5 GBP 40,3 CHF 71,1 EGP 9,5 € – dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd ffffffff ffffffff ffffffff 241,4 € 581,6 € 2002 207,4 € 649,2 € 2001 213,6 € 277,4 € 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 37,3 544,3 38,4 610,8 104,3 173,1 dddddddd dddddddd 581,6 649,2 ffffffff ffffffff dddddddd 277,4 ffffffff ECARTS D’ACQUISITION (PASSIF) (en millions d’euros) Montant net . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 1,4 1,6 1,8 1 Le montant de 64,8 millions de GBP correspond à 100 % de l’écart d’acquisition dégagé dans la filiale Framlington Group, dont 51 % pour le groupe CCF. 58 14 Opérations de trésorerie et interbancaires Dettes envers les établissements de crédit, banques centrales et CCP (en millions d’euros) Caisse, banques centrales, CCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes envers les établissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A vue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . < 3 mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 3 mois < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dont titres donnés en pension livrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd – 16 352,4 1 743,2 14 547,0 10 727,2 2 887,4 501,6 430,8 62,2 0,1 20 664,1 1 949,6 18 592,3 13 582,7 3 118,6 1 306,4 584,6 122,2 2,3 24 759,9 4 599,2 19 996,8 15 603,1 2 694,2 1 207,9 491,6 163,9 dddddddd dddddddd 16 352,4 20 664,2 dddddddd 24 762,2 ffffffff ffffffff ffffffff 3 000,6 3 783,7 2 818,6 15 Dépôts de la clientèle Nature des opérations (en millions d’euros) – – – – – Dépôts à vue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes à régime spécial à vue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes à régime spécial à terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Compte à terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bons de caisse et d’épargne 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DES DEPÔTS DE CLIENTELE (hors pensions livrées et y compris bons de caisse et bons d’épargne) Total des dépôts (hors bons de caisse et bons d’épargne) . . . . . . . . . . . Titres donnés en pension livrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DES COMPTES CREDITEURS DE LA CLIENTELE . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 13 074,9 2 784,4 2 480,8 5 324,2 58,5 13 111,4 2 372,1 2 450,7 4 351,6 118,5 11 165,6 2 056,7 2 291,6 5 634,5 66,5 dddddddd 23 722,8 dddddddd 22 404,3 dddddddd 21 214,9 ffffffff ffffffff ffffffff 23 664,3 1 046,8 218,0 22 285,8 2 000,8 227,6 21 148,4 3 554,0 190,1 dddddddd dddddddd 24 929,1 24 514,2 ffffffff ffffffff dddddddd 24 892,5 ffffffff 1 Les bons de caisse sont classés au bilan, dans la rubrique “Dettes représentées par un titre”. Ventilation des comptes créditeurs de la clientèle par durée restant à courir A vue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 3 mois . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 3 mois < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 15 859,3 8 851,8 7 605,5 563,5 639,0 43,8 218,0 15 483,6 8 803,0 6 679,8 1 014,0 968,9 140,3 227,6 13 222,5 11 480,0 8 430,9 1 980,9 760,9 307,3 190,0 dddddddd dddddddd 24 929,1 24 514,2 ffffffff ffffffff dddddddd 24 892,5 ffffffff 59 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 16 Dettes représentées par un titre (en millions d’euros) 2002 Bons de caisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres du marché interbancaire, titres de créances négociables . . . . . . Autres dettes représentées par un titre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Emprunts obligataires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ventilation des dettes représentées par un titre par durée restant à courir TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2000 dddddddd dddddddd 58,5 3 703,5 6,0 4 082,7 245,9 118,5 5 368,7 83,6 2 314,2 240,5 66,5 5 847,4 116,0 2 773,0 242,7 dddddddd dddddddd 8 096,6 8 125,5 ffffffff 2002 Dettes représentées par un titre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . < 1 an . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 1 an < 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > 5 ans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2001 dddddddd ffffffff 2001 dddddddd 9 045,6 ffffffff 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 7 850,7 3 915,6 3 619,3 315,8 245,9 7 885,0 4 887,0 2 555,0 443,0 240,5 8 802,9 5 299,5 3 143,2 360,2 242,7 dddddddd dddddddd 8 096,6 8 125,5 ffffffff ffffffff dddddddd 9 045,6 ffffffff 17 Provisions pour risques et charges Mouvements 2002 Provisions pour impôts différés (en millions d’euros) – Impôts différés passifs (inclus dans les provisions pour risques et charges) . – Impôts différés actifs (voire note 11) . . . . . . . . . . Impôts différés nets . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Détail par nature des impôts différés nets Différences temporaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Réserve latente sur opérations de crédit-bail . . . . . . . . Autres éléments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ddddddddddddddddd 2002 dddddddd 117,0 (3,1) Dotation Autres nette 1 mouvements 2 dddddddd 33,1 (0,2) dddddddd dddddddd 113,9 32,9 ffffffff ffffffff dddddddd (46,3) 29,1 dddddddd (17,2) ffffffff 2001 dddddddd 130,2 (32,0) dddddddd 98,2 ffffffff 93,1 22,8 (2,0) dddddddd 113,9 ffffffff 1 Hors pertes sur impôts différés couvertes par provisions. 2 Dont 11,6 millions d’euros d’impôts différés actifs nets liés à la sortie du périmètre de Loxxia. Autres provisions pour riques et charges (en millions d’euros) Au 1er janvier 2002 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Reprises des provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres mouvements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Au 31 décembre 2002 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 Provisions pour engagements par signature et litiges dddddddd 246,1 48,1 (59,8) 3,1 Autres provisions dddddddd 529,0 130,2 (127,2) (62,5) dddddddd dddddddd 237,5 469,5 ffffffff ffffffff Total dddddddd 775,1 178,3 (187,0) (59,4) dddddddd 707,0 ffffffff 18 Autres passifs 2002 (en millions d’euros) Comptes de règlement aux opérations sur titres . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes représentatives de titres empruntés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créditeurs divers et autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres de transaction vendus à découvert et titres reçus en pension livrée revendus ferme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 1 028,3 1 270,1 2 264,0 1 050,5 308,7 1 915,8 534,0 1 620,4 2 271,7 Avant affectation du résultat 4 219,7 Après affectation du résultat 3 063,6 Après affectation du résultat 1 555,7 dddddddd dddddddd dddddddd 8 782,1 6 338,6 5 981,8 ffffffff ffffffff ffffffff 19 Comptes de régularisation passif (en millions d’euros) Comptes d’encaissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres comptes de régularisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 494,2 1 634,2 579,3 1 259,7 758,5 1 220,0 dddddddd dddddddd 2 128,4 1 839,0 ffffffff ffffffff dddddddd 1 978,5 ffffffff 20 Dettes subordonnées (en millions d’euros) Titres subordonnés remboursables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dont — Emissions du CCF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . — Emissions des filiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres participatifs et subordonnés à durée indéterminée . . . . . . . . . . . dont — Emissions du CCF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . — Emissions des filiales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dettes rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 916,0 1 044,7 698,1 866,0 50,0 172,8 984,7 60,0 192,1 636,3 61,8 249,6 166,1 6,7 13,0 175,6 16,5 18,5 186,1 63,5 22,5 dddddddd dddddddd 1 101,8 1 255,3 ffffffff ffffffff dddddddd 970,2 ffffffff EMISSIONS DU CCF Les titres subordonnés émis par le CCF, en francs comme en devises, sont des dettes dont le remboursement, en cas de liquidation, n’est possible qu’après le désintéressement des autres créanciers mais avant celui des porteurs de titres participatifs ou de parts de capital. 61 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 20 Dettes subordonnées (suite) Les principales émissions sont détaillées ci-dessous : Titres subordonnés remboursables (en millions d’euros) Date d’échéance Date d’émission ddddddddd dddddddd 22.08.1988 18.06.1991 Autres émissions * 12.08.1993 18.03.1994 25.03.1998 15.12.2000 19.12.2001 Dettes rattachées Type de taux Devise d’émission 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 22.08.2001 Taux variable 18.06.2001 Taux fixe Taux fixe 12.08.2005 Taux variable 18.03.2004 Taux variable 25.03.2008 Taux variable 15.12.2015 Taux variable 19.12.2011 Taux variable FRF CHF BEF USD USD FRF EUR EUR – – 86,9 76,9 34,9 152,4 14,9 500,0 8,7 – – 184,3 91,5 41,6 152,4 14,9 500,0 13,0 76,2 96,3 185,5 86,6 39,3 152,4 – – 16,7 TOTAL DES EMISSIONS CCF FRANCE . . . . . . . . . . . . . . . . . . (y inclus dettes rattachées) dddddddd dddddddd dddddddd 874,7 997,7 653,0 ffffffff ffffffff ffffffff * Six émissions réalisées de 1992 à 1993 dont les échéances s’échelonneront de février 2002 à mars 2003. Titres participatifs, titres et emprunts subordonnés à durée indéterminée (en millions d’euros) Taux de référence Devise d’émission Date d’émission Type d’émission dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 04.06.1984 22.07.1985 Titres participatifs 1 130 % TMO Titres subordonnés à durée indéterminée 2 TMO - 0.25 Emprunts subordonnés TF 3 Emprunts subordonnés TF 3 Emprunts subordonnés TF 3 Titres subordonnés à 4 intérêt progressif Titres subordonnés à 4 intérêt progressif Dettes rattachées FRF 6,4 6,4 6,4 FRF NLG NLG NLG 18,0 14,5 2,3 4,6 18,0 14,5 2,3 4,6 18,0 14,5 2,3 4,6 YEN 80,1 86,5 93,5 YEN 40,2 2,2 43,3 1,0 46,8 2,1 ddddddddd 29.01.1993 31.08.1993 01.09.1993 22.09.1993 19.11.1993 dddddddddddddd TOTAL DES EMISSIONS DU CCF FRANCE . . . . . . . . . . . . . . . . (y inclus dettes rattachées) 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 168,3 176,6 188,2 ffffffff ffffffff ffffffff 1 Suite à l’OPE de 1990 et au rachat partiel en 1999, l’encours restant des titres participatifs s’élève à 6,4 millions d’euros. La rémunération globale maximale est de 130 % du TMO depuis 1990, selon les conditions d’émission. 2 Ces TSDI ont fait l’objet de rachats partiels et d’une annulation en 1995 ; l’encours a été ramené de 91,4 à 18 millions d’euros. 3 Taux fixe revalorisé dans le temps sur la base des taux d’emprunt d’état à 5 ans. 4 Taux fixe dans une première phase puis variable (Libor) + marge progressive dans le temps. 62 21 Fonds pour risques bancaires généraux (en millions d’euros) 2002 Risques résultant de l’accord AFB-AGIRC-ARRCO du 13 septembre 1993 relatif aux régimes de retraite des personnels des établissements de crédit 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres risques bancaires généraux 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 99,7 278,9 102,7 257,7 104,5 79,6 dddddddd dddddddd 378,6 360,4 ffffffff ffffffff dddddddd 184,1 ffffffff 1 La reprise annuelle couvre les cotisations versées à la CRPB. 2 La dotation annuelle est destinée à couvrir d’éventuels risques bancaires généraux liés aux diverses activités du groupe. 22 Capital social 2002 dddddddddddddddddd (Action de 5 euros) Au 1er janvier . . . . . . . . . – Exercice d’options de souscription . – Réduction de capital Au 31 Décembre . . . . . . Nombre d’actions Montant (milliers d’euros) 2001 dddddddddddddddddd Nombre d’actions Montant (milliers d’euros) 2000 dddddddddddddddddd Nombres d’actions Montant (milliers d’euros) dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 75 409 701 377 048 74 888 902 374 445 73 868 858 369 344 520 799 – 2 603 – 1 020 044 – 5 101 – 229 066 (1 521 701) 1 145 (7 608) dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 74 117 066 370 585 75 409 701 377 048 74 888 902 ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff dddddddd 374 445 ffffffff Autres titres représentatifs de capital : Les options de souscription attribuées aux cadres et mandataires sociaux non exercées à cette même date peuvent conduire à la création de 2 848 760 actions CCF, portant le capital social à 76 965 826 actions. Droits de vote : Au 31 décembre 2002, le total des droits de vote s’établit à 74 117 066, le nombre d’actions à droit de vote double ayant disparu à l’issue de l’offre publique d’achat et de l’offre de retrait obligatoire initiée par HSBC Holdings plc. 63 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 23 Capitaux propres consolidés (en millions d’euros) Part du groupe ddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Part des minoritaires Autres dans les Primes Ecarts de réserves Sous-total réserves Capital d’émission conversion consolidés groupe groupe Solde au 31 décembre 2001 avant affectation du résultat . . . . . . . . . . . . Affectation du résultat de l’exercice 2001 . . . . . . . Bénéfice 2001 . . . . . . . . . . . Dividende 2001 . . . . . . . . . . Solde au 31 décembre 2001 après affectation des résultats . . . . . . . . . . . Réduction de capital . . . . . . Augmentation de capital réservée aux salariés . . . . Fusion avec sociétés groupes Différence de conversion . . Provision (nouvelle réglementation) Variation des intérêts minoritaires . . . . . . . . . . Solde au 31 décembre 2002 avant affectation du résultat . . . . . . . . . . . . Bénéfice au 31 décembre 2002 Capitaux propres . . . . . . . . . Total groupe et hors groupe dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd 377,0 1 144,3 0,2 1 884,8 3 406,3 14,4 3 420,7 – – – – – – – – – 377,0 (7,6) – 517,0 (422,3) 1 144,3 (247,4) 0,2 – 1,1 – – 7,7 146,2 – – – (27,8) – – – 6,6 – – – – 370,5 – 370,5 1 050,8 – 1 050,8 (27,6) – (27,6) 1 979,5 – – (146,2) – 1 839,9 561,6 2 401,5 – 517,0 (422,3) – 20,1 (11,2) – 537,1 (433,5) 3 501,0 (255,0) 23,3 – 3 524,3 (255,0) 8,8 – (27,8) – – – (27,8) 6,6 – 6,6 (15,2) 3 233,6 561,6 3 795,2 8,8 (15,2) 8,1 4,5 12,6 – 3 241,7 566,1 3 807,8 Réserve légale Cette réserve est constituée par prélèvement d’un vingtième au moins des bénéfices de l’année. Ce prélèvement cesse d’être obligatoire lorsque la réserve atteint le dixième du capital social. Elle n’est pas distribuable. Réserve spéciale des plus-values nettes à long terme La distribution de cette réserve entraînerait une imposition complémentaire égale à la différence entre l’imposition à taux normal et l’imposition à taux réduit. Réserve de réévaluation (réévaluation de 1976) Cette réserve peut être incorporée au capital mais elle ne peut être distribuée ou utilisée à compenser des pertes. Autres réserves Les sommes mises en réserve depuis plus de cinq ans feraient l’objet d’un précompte si elles étaient distribuées. 64 24 Pension, plan de retraite (en millions d’euros) Engagements de retraite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – FRBG . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Indemnnités de départ et médailles du travail . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 173,6 99,7 73,9 2 64,8 64,8 2001 dddddddd 204,9 102,7 102,2 1 64,2 64,2 1 dddddddd dddddddd 238,4 269,1 ffffffff ffffffff 2000 dddddddd 188,4 104,5 83,9 48,8 48,8 dddddddd 237,2 ffffffff 1 L’évolution 2001 comparée à 2000 résulte principalement de l’intégration de la Banque Hervet. 2 La diminution du poste provisions s’explique principalement par la cession de HSBC Specialist Investment Limited. a Engagements de retraite Adhésion à l’AGIRC et l’ARRCO Un accord est intervenu le 13 septembre 1993 entre l’AFB, l’ARRCO et l’AGIRC, organisant l’adhésion des établissements de crédit à l’AGIRC et le renforcement de leur adhésion à l’ARRCO. Ce texte ne modifie pas les principes fondamentaux du régime de retraite des personnels des banques : gestion extérieure des fonds et fonctionnement par répartition. Néanmoins, les dispositions destinées à sauvegarder les droits acquis des agents actifs et retraités sous le régime antérieur conduisent, sous certaines conditions et sur une longue période, à procéder éventuellement à des versements complémentaires de cotisations au profit des caisses de retraite concernées. Les engagements résultant de cet accord sont pris en compte dans le montant du FRBG constitué au 31 décembre 1993 au titre du CCF et de ses filiales, à l’exception de la Société Marseillaise de Crédit et de la Banque Hervet qui ont constitué des provisions. Autres engagements de retraite En France, les engagements du groupe au titre des régimes dirigeants et des accords de retraite anticipés sont provisionnés en totalité. b Indemnités de départ et médailles du travail En France, les engagements du groupe au titre des indemnités de départ en retraite et des droits à la médaille du travail s’élèvent au 31 décembre 2002 à 64,8 millions d’euros. Les charges futures correspondant à ces engagements sont provisionnées en totalité depuis 2000. 25 Risques souverains Le CCF a mis en place, en 1989, un schéma de titrisation d’une partie substantielle de ses risques souverains qui lui a permis de céder à une société financière, Financial Overseas Holding (FINOV), un ensemble de crédits représentant 1 milliard de dollars US en valeur nominale. A cette occasion, le CCF a accordé à Finov, dans de strictes conditions de sécurité (adossement du remboursement en principal et du paiement d’une partie des intérêts à des actifs de première qualité) un financement à long terme (25 ans) de 1 milliard de dollars US. L’amélioration du marché des risques-pays depuis la mise en place de cette opération a permis une très substantielle amélioration de la valeur d’actif net de la Société. 65 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 25 Risques souverains (suite) Dans ces conditions, Finov anticipant très largement les termes initiaux de son contrat d’emprunt a proposé au CCF de procéder au remboursement anticipé des trois quarts de sa dette, soit 750 millions de dollars US. Celui-ci est intervenu le 31 août 1992. L’engagement du CCF sur Finov se trouve donc réduit à 250 millions de dollars US. Conformément aux dispositions de l’article 51 du règlement 99.07, le CCF s’est engagé à clôturer l’entité Finov dans un délai maximum de 5 ans et, par prudence, a provisionné la perte à terminaison calculée sur la base des valeurs de marché des actifs et passifs existant au 31 décembre 2002. 26 Hors bilan (en millions d’euros) ENGAGEMENTS DE FINANCEMENT Engagements donnés – Accords de refinancement et autres engagements de financement en faveur d’établissements de crédit . . . . . . . . – En faveur de la clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 540,4 7 282,3 445,9 5 741,7 777,8 4 749,6 dddddddd dddddddd 7 822,7 6 187,6 dddddddd 5 527,4 ffffffff ffffffff ffffffff Engagements reçus – Accords de refinancement et autres engagements de financement reçus d’établissements de crédit . . . . . . . . . . . 105,1 424,3 120,7 ENGAGEMENTS DE GARANTIE Engagements donnés – Cautions, avals et autres garanties d’ordre d’établissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Cautions, avals et autres garanties d’ordre de la clientèle . . . . . . 704,7 5 935,4 1 375,7 6 282,7 881,9 7 410,5 TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements reçus – Cautions, avals et autres garanties reçus d’établissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ENGAGEMENTS SUR TITRES Engagements donnés : titres à livrer – Interventions à l’émission, opérations sur le marché à règlement mensuel et autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements reçus : titres à recevoir – Interventions à l’émission, opérations sur le marché à règlement mensuel et autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66 dddddddd dddddddd 6 640,1 7 658,4 dddddddd 8 292,4 dddddddd dddddddd dddddddd 1 774,4 2 657,5 2 309,0 2 255,2 1 739,6 dddddddd dddddddd 2 255,2 1 739,6 ffffffff 2 600,7 dddddddd 2 600,7 ffffffff ffffffff 1 284,8 dddddddd 1 284,8 ffffffff 2 374,2 dddddddd 2 374,2 ffffffff 3 093,5 dddddddd 3 093,5 ffffffff 27 Opérations sur instruments financiers à terme a Opérations de change à terme (en milliards d’euros) 2002 dddddddddddddddddddddddddd Opérations de couverture Opérations fermes . . . . Opérations sur marchés organisés . . . – contrats de taux . . – contrats de change – indices et actions . – currency contracts Opérations de gré à gré – futures de taux . . . – swaps de taux . . . . – swaps de devises et swaps cambistes – autres contrats à terme . . . . . . . . . Opérations conditionnelles . . . . . Opérations sur marchés organisés . . Options de taux . . . . . Options de change . . . Autres options . . . . . . Opérations de gré à gré . . . . . . . . Caps et floors . . . . . . . Swaptions et options . . TOTAL . . . . . . . . . . . . b Opérations de marché Total 2001 ddddddddddddddddddddddddddd Opérations de couverture Opérations de marché Total dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 25,5 545,8 571,3 36,0 630,2 666,2 – – – – – 25,5 – 20,8 48,7 47,6 – 1,1 – 497,1 – 454,9 48,7 47,6 – 1,1 – 522,6 – 475,7 11,2 2,2 9,0 – 9.0 24,8 1,9 22,2 105,2 41,4 63,2 0,6 63.2 525,0 93,4 429,6 116,4 43,6 72,2 0,6 72.2 549,8 95,3 451,8 4,7 41,9 46,6 0,7 0,8 1,5 – 0,3 0,3 – 1,2 1,2 0,5 85,5 86,0 0,3 82,0 82,3 – – – – 10,0 5,9 0,9 3,2 10,0 5,9 0,9 3,2 – – – – 13,3 9,1 0,9 3,3 13,3 9,1 0,9 3,3 0,5 0,5 – 75,5 0,5 75,0 76,0 1,0 75,0 0,3 0,3 – 68,7 47,9 20,8 69,0 48,2 20,8 dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 26,0 631,3 657,3 36,3 712,2 ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff ffffffff dddddddd 748,5 ffffffff Informations complémentaires sur les contrats de taux d’intérêt en cours (en milliards d’euros) Contrats de couverture individualisée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contrats de couverture globale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contrats permettant une gestion spécialisée d’un portefeuille de transaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Opérations de marché en position isolée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 17,4 3,4 21,8 2,3 20,4 0,7 454,2 0,6 522,9 – 362,1 2,4 67 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 27 Opérations sur instruments financiers à terme (suite) c Instruments financiers : durée restant à courir 2002 (en milliards d’euros) Instruments financiers de : Devises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Taux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . d ddddddddddddddddddddddddddddd ≤ 1an ≤ 5 ans > 5 ans dddddddd dddddddd dddddddd 41,4 290,4 5,0 7,4 216,2 1,2 1,1 94,6 – Montants des équivalents risques de crédit sur produits dérivés (en millions d’euros) A – Contrats négociés à l’intérieur de conventions-cadre et bénéficiant des effets de compensation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . a) Transactions réalisées avec des établissements de crédit appartenant à un pays du groupe OCDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . b) Transactions réalisées avec la clientèle, et avec des établissements de crédit n’appartenant pas à un pays du groupe OCDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B – Autres contrats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . a) Transactions réalisées avec des établissements de crédit appartenant à un pays du groupe OCDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Contrats sur taux d’intérêts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Contrats sur devises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Contrats sur actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . b) Transactions réalisées avec la clientèle, et avec des établissements de crédit n’appartenant pas à un pays du groupe OCDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Contrats sur taux d’intérêts . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Contrats sur devises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Contrats sur actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DES EQUIVALENTS RISQUES DE CREDIT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 dddddddd dddddddd 2 123,6 1 797,8 1 619,3 1 381,6 504,3 685,7 416,2 834,0 270,0 189,0 66,0 15,0 308,2 226,2 82,0 – 415,7 137,7 143,0 135,0 525,8 144,3 343,3 38,2 dddddddd dddddddd 2 809,3 2 631,8 ffffffff ffffffff Soit un montant équivalent risque de crédit après pondération de . . . . . . . . . . . . . . . . . 838,1 808,9 INSTRUMENTS DERIVES - COMPTES RATTACHES FIGURANT AU BILAN – Actif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Passif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 327,0 93,6 385,3 466,1 68 28 Marge d’intérêt (en millions d’euros) Intérêts et produits assimilés – Etablissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Crédit-bail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Obligations et ATRF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Intérêts et charges assimilées – Etablissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Crédit-bail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Autres obligations et ATRF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Autres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 744,4 1 688,3 39,5 1 335,1 1,1 2001 dddddddd 947,1 1 966,2 971,9 691,0 3,2 1 607,6 1 888,9 934,8 881,2 0,9 dddddddd dddddddd 2 808,4 4 579,4 ffffffff (776,3) (629,1) (15,0) 1 (408,0) (4,9) dddddddd (1 833,3) ffffffff 2000 dddddddd ffffffff (1 412,5) (927,8) (848,1) (526,3) (0,8) dddddddd (3 715,5) ffffffff dddddddd 5 313,4 ffffffff (2 150,9) (918,7) (820,6) (565,6) (2,3) dddddddd (4 458,1) ffffffff 1 Impact sortie du périmètre de consolidation de Lixxbail 29 Ventilation des revenus des titres à revenu variable (en millions d’euros) – Revenu des titres de placement et autres titres de l’activité de portefeuille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Revenu des titres de participation et autres titres détenus à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 25,2 16,8 7,1 93,9 dddddddd 119,1 ffffffff 61,7 dddddddd 78,5 ffffffff 52,3 dddddddd 59,4 ffffffff 69 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 30 Ventilation des commissions (en millions d’euros) PRODUITS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Produits de commissions bancaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur comptes de la clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur crédits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur transferts de valeurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur cartes bancaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur import/export . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres commissions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Produits de commissions financières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur engagements sur titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur activité d’intermédiation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur titres en dépôt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur titre en gérés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur activité de corporate finance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres commissions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Produits de commissions d’assurance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur courtages assurances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres commissions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CHARGES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charges de commissions bancaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur maintenance et location . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur activité d’intermédiation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres commissions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charges de commissions financières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres commissions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DES COMMISSIONS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 1 072,8 425,5 181,3 92,1 35,3 83,2 11,3 22,3 578,4 31,5 112,0 25,9 340,1 38,7 30,2 68,9 67,4 1,5 1 217,8 440,5 230,3 42,2 35,9 79,5 5,7 46,9 709,9 34,5 172,1 40,8 379,2 35,6 47,7 67,4 67,4 – 1 361,8 368,1 246,3 0,4 – 79,6 – 41,8 943,1 38,4 299,5 459,5 – 89,2 56,5 50,6 50,6 – (138,9) (96,0) – (39,3) (56,7) (42,9) (42,9) (196,8) (55,2) – (10,5) (44,7) (141,6) (141,6) dddddddd dddddddd 933,9 1 021,0 ffffffff ffffffff (133,2) (46,0) – (12,7) (33,3) (87,2) (87,2) dddddddd 1 228,6 ffffffff 31 Gains et pertes sur opérations des portefeuilles de négociation (en millions d’euros) Résultats sur titres de transaction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats sur opérations de change . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats sur instruments financiers à terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 2002 2001 2000 dddddddd dddddddd dddddddd 66,6 47,7 32,2 64,6 25,1 118,5 32,6 24,5 158,2 dddddddd dddddddd 146,5 208,2 ffffffff ffffffff dddddddd 215,3 ffffffff 32 Gains et pertes sur opérations de placement et assimilés (en millions d’euros) Résultats sur titres de placement Plus-values . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats sur titres de l’activité de portefeuille Plus-values . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 2001 2000 dddddddd dddddddd (12,2) 0,5 9,6 2,3 58,6 0,9 104,9 (28,1) 148,8 13,7 dddddddd dddddddd 65,1 174,4 ffffffff ffffffff 20,8 (10,8) dddddddd 69,5 ffffffff 33 Ventilation des charges générales d’exploitation (en millions d’euros) Frais de personnel Salaires et traitements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Participation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Intéressement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sous-total frais de personnel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres frais administratifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd (882,0) (31,6) (14,1) dddddddd (927,7) ffffffff (555,9) dddddddd (1 483,6) ffffffff 2001 dddddddd (911,4) (23,0) (11,5) dddddddd (945,9) ffffffff (577,7) dddddddd (1 523,6) ffffffff 2000 dddddddd (938,6) (25,0) (9,8) dddddddd (973,4) ffffffff (601,5) dddddddd (1 574,9) ffffffff 34 Dotations aux amortissements (en millions d’euros) Dotations aux amortissements sur immobilisations corporelles et incorporelles hors écarts d’acquisition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations à l’amortissement des écarts d’acquisition et variations de provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 103,8 dddddddd 103,8 ffffffff 40,2 ffffffff 2001 dddddddd 103,6 dddddddd 103,6 ffffffff 38,0 ffffffff 2000 dddddddd 100,2 dddddddd 100,2 ffffffff 26,6 ffffffff 35 Ventilation des résultats économiques par métier Ventilation des résultats par métier en version économique (cf. note 3 : présentation des états financiers). Il est précisé que les données financières combinées présentées ci-après n’ont pas été auditées. Afin de rendre les comparaisons avec l’année précédente significatives, ces chiffres font l’objet de retraitements spécifiques permettant de neutraliser, tant sur 2001 que sur 2002, les impacts liés aux changements de périmètre et à certaines charges ou produits exceptionnels générés par le rapprochement avec HSBC. 71 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 35 Ventilation des résultats économiques par métier (suite) Ainsi les différences par rapport à la présentation comptable sont les suivantes : – L’année 2001 a été retraitée à périmètre 2002 équivalent. – La présentation économique porte sur le périmètre géré : – Intégration des entités HSBC gérées par le CCF (Succursales HSBC euro zone) et des filiales de gestion d’actifs gérés par le CCF, mais non consolidées. – Non prise en compte des résultats du CCF Athènes, de Framlington, de PrimeCorp et du Holding ECFH (Charterhouse UK) qui sont gérés par d’autres entités du Groupe HSBC. – Reclassement des dividendes et coût de financement HSBC Private Banking Holdings SA (PBSU) de la rubrique PNB à mise en équivalence. – Ne sont pas pris en compte : – Les provisions des contrats de liquidité. – Les plus ou moins-values sur cessions de filiales liées à l’intégration dans le Groupe HSBC, principalement CIE le Caire, CCF Luxembourg et CCF Brésil en 2001, HSIL et Banque Lombard en 2002. – Les charges ou produits exceptionnels liés à l’intégration dans la Groupe HSBC. Résultat brut d’exploitation (en millions d’euros) Réseaux bancaires et distribution . . . . . . . . . . . . . . . . Grande clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gestion d’actifs et banque privée . . . . . . . . . . . . . . . . Rendement des fonds propres, investissements, autres activités et divers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL GROUPE VERSION ECONOMIQUE . . . Effet périmètre et divers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL GROUPE VERSION COMPTABLE . . . . . Année 2002 dddddddd 434,7 166,4 30,8 369,3 155,6 51,6 67,7 ddddddddd 699,6 ffffffff 49,8 111,9 ddddddddd 688,4 ffffffff 140,5 ddddddddd ddddddddd 749,4 828,9 ffffffff Ventilation des résultats comptables par marché géographique (en millions d’euros) France . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Europe (hors France) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dont succursales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Eliminations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL CONSOLIDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72 Année 2001 dddddddd ffffffff Variations année 2002 / 2001 dddddddddddddddddd en VA en % dddddddd 65,4 10,8 (20,8) (44,2) ddddddddd 11,2 ffffffff (90,7) ddddddddd (79,5) ffffffff dddddddd 17,7 6,9 (40,3) – ddddddddd 1,6 ffffffff – ddddddddd (9,6) ffffffff 2002 ddddddddddddddddddddddddddd PNB dddddddd 2 711,4 303,8 15,2 (678,4) RBE dddddddd 1 187,1 200,4 5,5 (638,1) dddddddd dddddddd 2 336,8 749,4 ffffffff ffffffff Total du bilan dddddddd 74 645,6 4 127,9 2 051,7 (12 488,3) dddddddd 66 285,2 ffffffff 36 Gains ou pertes sur actifs immobilisés (en millions d’euros) Gains ou pertes sur titres d’investissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gains ou pertes sur immobilisations incorporelles et corporelles . Gains ou pertes sur titres de participation et titres détenus à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd (0,9) (2,3) (26,5) dddddddd (29,7) ffffffff 2001 dddddddd (0,6) 0,4 (1,7) dddddddd (1,9) ffffffff 2000 dddddddd 0,4 – 123,2 dddddddd 123,6 ffffffff 37 Ventilation des charges et produits exceptionnels (en millions d’euros) Mécanisme de solidarité bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Effet net des restructurations 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd (2,1) 92,1 (22,4) 2001 dddddddd (5,2) 161,4 (41,7) dddddddd dddddddd 67,6 114,5 ffffffff ffffffff 2000 dddddddd (3,6) 39,1 (179,7) dddddddd (144,2) ffffffff 1 L’effet net des restructurations comprend les plus ou moins-values de cession de filiales et de succursales ainsi que des charges de fermeture et de réorganisation de certaines implantations liées au rapprochement avec HSBC. En revanche, les plus ou moins-values non liées à ce rapprochement sont classées en résultat avant impôt. 2 Dont : – Provision risque CCF Moyen-Orient – (36,4) – Compte tenu des circonstances exceptionnelles ayant entraîné la cessation de l’activité et la fermeture de l’implantation de CCF MoyenOrient, la banque considère que la dotation à la provision destinée à couvrir ce risque de perte évaluée à 36,4 millions d’euros ne résulte pas de l’activité courante mais représente une charge exceptionnelle de l’exercice 2001. – Provisions pour engagements de liquidité pris à l’égard des salariés de certaines filiales (17,0) (7,3) (146,8) Les engagements de liquidité pris à l’égard des salariés de certaines filiales ont généré une charge de 146,8 millions d’euros en 2000, 7,3 millions d’euros en 2001 et de 17 millions d’euros en 2002. En raison du montant élevé des engagements et de leur caractère exceptionnel,la provision a été classée en résultats exceptionnels. 38 Fiscalité (en millions d’euros) Impôts courants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A taux normal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A taux réduit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impôts différés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 dddddddd dddddddd 179,6 169,2 10,4 33,3 173,0 159,5 13,5 60,8 dddddddd dddddddd 212,9 233,8 ffffffff ffffffff 2000 dddddddd 296,8 289,3 7,5 (32,5) dddddddd 264,3 ffffffff Les impôts différés sont calculés selon les principes définis au paragraphe 1.7 de la note 1 des annexes aux comptes consolidés Analyse du taux effectif de l’impôt Taux de droit commun en France (y compris surtaxe) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impact des cessions (taux long terme et ajustements de consolidation) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat des sociétés mises en équivalence . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Différentiel des taux d’imposition des sociétés étrangères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Différences permanentes et autres éléments divers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Taux effectif de l’impôt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddd 35,43 % (2,73 %) (0,74 %) (3,54 %) (1,09 %) dddddddd 27,33 % 73 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 39 Litiges Le groupe CCF fait actuellement l’objet de litiges aux Etats-Unis relatifs à des opérations bancaires et de prêts fiduciaires. Bien qu’il ne soit pas encore possible d’estimer le résultat de ces procédures civiles, les allégations des plaignants seront vigoureusement contestées. 40 Liste des sociétés consolidées Sociétés consolidées par intégration globale dddddddddddddddd RESEAUX BANCAIRES Banque Alcyon . . . . . . . . . . . . . Banque Chaix . . . . . . . . . . . . . . Banque de Baecque Beau . . . . . Banque de Picardie . . . . . . . . . . Banque de Savoie . . . . . . . . . . . Banque Dupuy, de Parseval . . . Banque Hervet . . . . . . . . . . . . . Banque Marze . . . . . . . . . . . . . Banque Pelletier . . . . . . . . . . . . Compagnie Financière de la Garonne . . . . . . . . . . . . Compagnie Financière Ile-du-Rhône . . . . . . . . . . . . Compagnie Interbancaire de Développement (CID) . . . Crédit Commercial du Sud Ouest . . . . . . . . . . . . Elyfact Participation . . . . . . . . Elymans . . . . . . . . . . . . . . . . . . Elysées Factor . . . . . . . . . . . . . . Hervet Mathurins . . . . . . . . . . . Lixxbail . . . . . . . . . . . . . . . . . . Marly Courtage . . . . . . . . . . . . Marly Gestion . . . . . . . . . . . . . Netvalor . . . . . . . . . . . . . . . . . . Société Anonyme Professionnelle de Crédit . . . Société Immobilière et Foncière Savoisienne . . . . . . Société Marseillaise de Crédit (Groupe) . . . . . . . Sofimurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . Société Immobilière de la Région Rhône-Alpes . . . . Union de Banques à Paris . . . . 74 Activité principale Part du capital détenue par le groupe dddddddddddddd 2002 2001 2000 dddd dddd dddd dddddddd Pays ddddddddddd France France France France France France France France France Banque Banque Banque Banque Banque Banque Banque Banque Banque 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 98,2 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 98,2 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 100,0 % – 100,0 % 98,2 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % France Banque – – 100,0 % France Société de portefeuille 100,0 % 100,0 % 100,0 % France Société de services 100,0 % 100,0 % 100,0 % France France France France France France France France France Banque Société financière Société financière Société financière Société immobilière Société de crédit-bail Société de courtage Société de portefeuille Société financière 100,0 % – – 66,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – – 66,0 % 100,0 % 50,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 66,0 % – 50,0 % – – 100,0 % France Banque 100,0 % 100,0 % 100,0 % France Société immobilière 98,2 % 98,2 % 98,2 % France France Banque 100,0 % Sté crédit-bail immobilier 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – France France Sté de Services Banque 98,2 % 100,0 % 98,2 % 100,0 % 98,2 % 100,0 % 40 Liste des sociétés consolidées(suite) Sociétés consolidées par intégration globale dddddddddddddddd GRANDE CLIENTELE Auxilia . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Crédit International d’Egypte . Credival Latinsul . . . . . . . . . . . Finance et participation . . . . . . Foncière Elysées . . . . . . . . . . . . Groupe Brésil . . . . . . . . . . . . . . Hotelière Haussmann . . . . . . . . HSBC CCF Financial Products HSBC CCF Investment Bank . HSBC CCF Leasing . . . . . . . . . HSBC CCF Securities . . . . . . . Immobiliaria Jose Abascal 45, SA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilier Elybail . . . . . . . . . . Immobilière Bauchard . . . . . . . Société Financière et Mobilière Société Immobilière Malesherbes-Anjou . . . . . . . dddddddd Pays ddddddddddd France Egypte Brésil Luxembourg France Brésil France France France France France Société de services Banque Société de portefeuille Société de services Société immobilière Banque Société immobilière Société financière Banque Société financière Société financière 100,0 % – – 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 93,3 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % Espagne France France France Société de services Société financière Société immobilière Société financière – 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 100,0 % France Société immobilière 100,0 % 100,0 % 100,0 % Société financière 100,0 % 100,0 % 100,0 % Société financière 100,0 % 100,0 % 100,0 % Société de gestion 100,0 % 100,0 % 100,0 % Société de gestion – 100,0 % 100,0 % Société de gestion – 100,0 % 100,0 % Société de gestion 100,0 % 100,0 % 100,0 % Société de gestion Société de services Société financière Société financière Société financière Société financière 100,0 % 51,0 % 100,0 % 51,0 % 51,0 % 100,0 % 100,0 % 51,0 % 100,0 % 51,0 % 51,0 % 100,0 % 100,0 % 51,0 % 100,0 % 51,0 % 51,0 % 100,0 % Société de gestion Société financière Société de gestion Société financière Société financière Société financière Société de services Société financière 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 99,9 % 99,9 % 99,9 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 99,9 % 99,9 % 99,9 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 61,0 % 61,0 % 61,0 % 100,0 % GESTION D’ACTIFS ET ASSURANCES CCF Holdings Ltd . . . . . . . . . Grande-Bretagne CCF & Partners Asset Management Ltd . . . . . . . . . Grande-Bretagne CCF Capital Management Europe . . . . . . . . . . . . . . . . . France CCF Capital Management FCP 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . France CCF Capital Management FCP 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . France CCF Capital Management Monde . . . . . . . . . . . . . . . . . France Exatis Financial Adviser Europe (EFAE) . . . . . . . . . . France Elysées-Fonds . . . . . . . . . . . . . . France Elysées Gestion . . . . . . . . . . . . France Framlington Group PLC . . . . . Grande-Bretagne Framlington Holdings Ltd . . . . Grande-Bretagne HSBC AME France (FCP) . . . France HSBC Asset Management Europe . . . . . . . . . . . . . . . . . France HSBC CCF Asset Management . France IDF 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . France IDF 9 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . France Sinopia Asset Management . . France Sinopia Financial Services . . . . France Sinopia Société de Gestion . . . France Vernet Valor . . . . . . . . . . . . . . France Activité principale Part du capital détenue par le groupe dddddddddddddd 2002 2001 2000 dddd dddd dddd 100,0 % – – 100,0 % 100,0 % 75 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) 40 Liste des sociétés consolidées(suite) Sociétés consolidées par intégration globale dddddddddddddddd BANQUE PRIVEE Banque du Louvre (Groupe) . . Banque Eurofin . . . . . . . . . . . . CCF Banque Privée Internationale . . . . . . . . . . . . CCF Holding Suisse . . . . . . . . CCF Finance Moyen-Orient . . CCF Holding Liban . . . . . . . . . CCF Immos . . . . . . . . . . . . . . . CCF Luxembourg . . . . . . . . . CCF Monaco . . . . . . . . . . . . . . CCF Suisse SA . . . . . . . . . . . . . Compagnie de Gestion du Patrimoine . . . . . . . . . . . . Delosfin SA . . . . . . . . . . . . . . . Eurofin Capital Partners (ECP) Eurofin Assurance SA . . . . . . . Eurofin Gestion SA . . . . . . . . . Finanziaria Francial . . . . . . . . . Groupe Dewaay . . . . . . . . . . . . Groupe PrimeCorp . . . . . . . . . Handelsfinanz CCF Bank . . . . Handelsfinanz International . . HSBC Bank France SA . . . . . . SCI Triangle d’or . . . . . . . . . . . Société de Financement International du CCF SA . . 76 Pays dddddddd Activité principale ddddddddddd Part du capital détenue par le groupe dddddddddddddd 2002 2001 2000 dddd dddd dddd France France Banque Banque 100,0 % 68,0 % 88,9 % 68,0 % 83,3 % 65,2 % France Suisse Liban Liban Suisse Luxembourg Monaco Suisse Banque Société financière Société financière Société de portefeuille Crédits hypothécaires Banque Banque Banque 100,0 % 100,0 % – – – – – – 100,0 % 100,0 % – – 100,0 % – – – 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % France France France France France Italie Belgique France Suisse Bahamas France France Banque Société de portefeuille Société de portefeuille Courtier d’assurances Société de gestion Société financière Banque Société financière Banque Banque Banque Société immobilière 100,0 % 67,9 % 67,5 % 67,9 % 68,0 % – 100,0 % – – – 100,0 % 68,0 % 100,0 % 67,9 % 67,5 % 67,9 % 68,0 % – 100,0 % 100,0 % – – – 68,0 % – 65,2 % 64,8 % 65,1 % 65,2 % 100,0 % 74,9 % 57,2 % 100,0 % 100,0 % – 65,2 % Suisse Société financière 100,0 % 100,0 % 100,0 % 40 Liste des sociétés consolidées(suite) Sociétés consolidées par intégration globale Pays Activité principale dddddddddddddddd dddddddd ddddddddddd FILIALES ET PARTICIPATIONS AuAuxim . . . . . . . . . . . . . . . . . France Société de portefeuille Charterhouse (ECFH Group) . Grande-Bretagne Société financière Charterhouse Management Service Limited . . . . . . . . . . . Angleterre Société de portefeuille Finimmo . . . . . . . . . . . . . . . . . . France Société de portefeuille Nobel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . France Société de portefeuille Participaciones y Financiacion, SA . . . . . . . . . Espagne Société de services Société Parisienne de Participations . . . . . . . . . . . . France Société de portefeuille Société Française et Suisse (SFS) . . . . . . . . . . . . . France Société de portefeuille Teaside Business SA . . . . . . . . . France Banque Cedarstead . . . . . . . . . . . . . . . . Etats-Unis Société de portefeuille Equity Finance . . . . . . . . . . . . . France Société cap. risque Erisa . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . France Compagnie d’ assurance Erisa IARD . . . . . . . . . . . . . . . France Compagnie d’ assurance Financière d’Uzès . . . . . . . . . . . France Société financière Financo . . . . . . . . . . . . . . . . . . France Société financière Lombard Bank Malta Plc . . . . Malte Banque Myriade . . . . . . . . . . . . . . . . . . France Société de portefeuille Pennel Finance . . . . . . . . . . . . . France Société financière Quilter & Co (ex CCF Foster and Braithwaite Ltd) . . . . . . Grande-Bretagne Société financière Part du capital détenue par le groupe dddddddddddddd 2002 2001 2000 dddd dddd dddd – 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % – 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % 100,0 % – – 36,0 % 50,0 % 50,0 % 34,0 % – – – – 100,0 % – 59,2 % 40,6 % 50,0 % 50,0 % 34,0 % 25,0 % 21,7 % 49,0 % 40,2 % 100,0 % 100,0 % 56,8 % 42,5 % 50,0 % – 34,0 % 25,0 % 21,7 % – 40,2 % – – 25,0 % 77 CCF Notes annexes aux comptes consolidés (suite) Entrées dans le périmètre Année dddddddddddddddddddddddddddd dddd Banque Pelletier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Charterhouse Leasing . . . . . . . . . . . Compagnie Financière de la Garonne . . . Credival Latinsul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilier Elybail . . . . . . . . . . . . . . . . . . Teaside Business . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Alcyon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Banque de Baecque Beau . . . . . . . . . . . . . Banque Hervet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Immos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Compagnie de Gestion du Patrimoine . . . Erisa IARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Hervet Mathurins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HSBC CCF Financial Products . . . . . . . . Marly Courtage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Marly Gestion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Myriade . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sofimurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charterhouse Management Services Limited . . . . . . . . . . . . . . . . . . HSBC Bank France SA . . . . . . . . . . . . . . Immobilière Bauchard . . . . . . . . . . . . . . . 11 agences de la Banque Worms . . . . . . . . HSIL intégré en février 2002 dans les comptes de Charterhouse UK (ECFH) est sorti en juin 2002 . . . . . . . . 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 78 2002 2002 2002 2002 2002 Sorties du périmètre Année dddddddddddddddddddddddddddd dddd Banque Accord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Banque Harwanne . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Change 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ECP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Elyfim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Eurimob . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Excofipar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Finaver . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Finely . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Holding Eurofin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ilva . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Imi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilière Bauchart . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilière Castellana SA . . . . . . . . . . . . Neuilly-Saint-Paul . . . . . . . . . . . . . . . . . . SAS Saussaies Haussmann . . . . . . . . . . . Serdac . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sofidep . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . UGT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Auxim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Brésil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Finance Moyen-Orient . . . . . . . . . . CCF Holding Liban . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Luxembourg . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Monaco . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Suisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cie Le Caire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Compagnie Financière de la Garonne et de l’Adour . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Credival Latinsul . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Elyfact Participations . . . . . . . . . . . . . . . . Elymans . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Finanzaria Francial . . . . . . . . . . . . . . . . . Handelsfinanz CCF Bank . . . . . . . . . . . . Handelsfinanz International Ltd . . . . . . . Pennel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Quilter . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Teaside Business . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . CCF Immos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lombard Bank . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Financo . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Myriade . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Cedarstead . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Lixxbail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HSIL qui avait été intégré dans les comptes de Charterhouse UK (ECFH) en février 2002, est sorti en juin 2002 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2000 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2001 2002 2002 2002 2002 2002 2002 2002 Changement de méthode de consolidation Néant. Changement de nom Compagnie Suisse et Française =>Société Française et Suisse Fusion HSBC CCF Investment Bank avec CCF France, Immobiliaria Jose Abascal 45, SA avec Participaciones y Financiacion, SA, Primecorp avec CCF Holding Suisse, IDF 9 avec IDF 10, CCF Capital Management FCP 1 avec IDF 10, CCF Capital Management FCP 2 avec IDF 10. 79 CCF Comptes sociaux Bilans sociaux comparés 2002 - 2001 - 2000 ACTIF (en milliers d’euros) Caisse, banques centrales, CCP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Effets publics et valeurs assimilées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances sur les établissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances sur la clientèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et autres titres à revenu fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Actions et autres titres à revenu variable et titres de l’activité de portefeuille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres de participation et autres titres détenus à long terme . . . . . . Parts dans les entreprises liées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilisations incorporelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Immobilisations corporelles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres actifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes de régularisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DE L’ACTIF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HORS BILAN Engagements de financement donnés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements de garantie donnés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements sur titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Instruments financiers à terme de taux et autres (capitaux notionnels) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 1 dddddddd dddddddd dddddddd 1 461 587 9 462 795 10 568 045 21 256 865 3 177 991 893 894 5 752 772 12 401 253 22 240 685 6 247 286 1 166 466 5 588 562 14 490 549 18 608 554 11 385 594 118 108 1 137 110 2 925 975 71 339 333 444 2 569 351 1 131 508 dddddd 54 214 118 ffffff 125 667 164 131 2 940 245 61 757 368 049 1 584 747 1 021 450 dddddd 53 801 936 ffffff 1 380 988 162 536 1 977 733 56 745 353 409 3 201 252 1 313 130 dddddd 59 685 518 ffffff 6 865 703 6 501 558 2 481 795 5 347 706 7 609 117 1 121 509 4 899 680 7 670 627 2 835 250 688 453 914 dddddd 750 936 473 dddddd 579 134 301 dddddd 1 Les chiffres de l’année 2000 ont été reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-03 applicable au 1er janvier 2001). 80 Bilans sociaux comparés 2002 - 2001 - 2000 (suite) PASSIF (en milliers d’euros) Dettes envers les établissements de crédit . . . . . . . . . Comptes créditeurs de la clientèle . . . . . . . . . . . . . . Dettes représentées par un titre . . . . . . . . . . . . . . . . Autres passifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comptes de régularisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions pour risques et charges . . . . . . . . . . . . . . Fonds pour risques bancaires généraux . . . . . . . . . . Dettes subordonnées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Capital souscrit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Primes d’émission . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Réserves . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Provisions réglementées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Report à nouveau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultat de l’exercice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DU PASSIF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . HORS BILAN Engagements de financement reçus . . . . . . . . . . . . . Engagements de garantie reçus . . . . . . . . . . . . . . . . . Engagements sur titres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddddddddd Avant Après affectation affectation 2 dddddd dddddd 19 151 791 19 151 791 14 776 770 14 776 770 7 866 342 7 866 342 6 119 238 6 656 587 1 815 659 1 815 659 198 981 198 981 74 700 74 700 1 043 023 1 043 023 370 585 370 585 1 050 800 1 050 800 957 966 957 966 31 879 31 879 136 171 219 035 620 213 dddddd dddddd 54 214 118 54 214 118 ffffff ffffff 2001 dddddd Après affectation dddddd 22 042 771 14 620 007 7 545 411 4 414 743 1 123 727 165 139 74 700 1 174 438 377 048 1 144 333 956 126 27 322 136 171 2000 1 ddddddd Après affectation dddddd 26 403 549 14 026 069 8 754 664 5 212 622 1 682 940 215 700 56 406 841 229 374 445 1 128 390 956 200 17 230 16 074 dddddd 53 801 936 ffffff dddddd 59 685 518 ffffff 879 622 1 631 805 2 144 926 dddddd 1 046 494 4 385 010 1 566 376 dddddd 48 800 2 796 832 2 095 478 dddddd 879 622 1 631 805 2 144 926 dddddd 1 Les chiffres de l’année 2000 ont été reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-03 applicable au 1er janvier 2001). 2 Proposition d’affectation des résultats. 81 CCF Comptes sociaux (suite) Comptes de résultats sociaux comparés 2002 - 2001 - 2000 (suite) (en milliers d’euros) Intérêts et produits assimilés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Intérêts et charges assimilées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Revenus des titres à revenu variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Commissions (produits) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Commissions (charges) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gains ou pertes sur opérations des portefeuilles de négociation . . . Gains ou pertes sur opérations de placement et assimilés . . . . . . . . Autres produits d’exploitation bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres charges d’exploitation bancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PRODUIT NET BANCAIRE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Charges générales d’exploitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dotations aux amortissements . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . RESULTAT BRUT D’EXPLOITATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Coût du risque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . RESULTAT D’EXPLOITATION . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Gains et pertes sur actifs immobilisés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . RESULTAT COURANT AVANT IMPOT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats exceptionnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impôt sur les bénéfices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Excédent des reprises sur FRBG et provisions réglementées . . . . . . RESULTAT NET . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 2001 2000 1 dddddddd dddddddd dddddddd 2 129 754 (1 678 756) 520 370 473 527 (75 336) 76 636 (3 876) 56 151 (11 707) dddddd 1 486 763 dddddd (735 639) (62 273) dddddd 688 851 dddddd (1 583) dddddd 687 268 dddddd (46 322) dddddd 640 946 dddddd (2 753) (13 425) (4 555) dddddd 620 213 ffffff 2 898 144 (2 473 219) 279 802 412 825 (64 526) 112 057 (12 254) 24 691 (15 268) dddddd 1 162 252 dddddd (670 128) (59 486) dddddd 432 638 dddddd (10 656) dddddd 421 982 dddddd 13 579 dddddd 435 561 dddddd 165 597 (36 068) (22 439) dddddd 542 651 ffffff 3 741 253 (3 282 681) 129 543 475 715 (81 934) 35 878 9 148 42 565 (27 572) dddddd 1 041 915 dddddd (644 921) (56 107) dddddd 340 887 dddddd 3 301 dddddd 344 188 dddddd 84 673 dddddd 428 861 dddddd (99 638) (38 356) (3 565) dddddd 287 302 ffffff 1 Les chiffres de l’année 2000 ont été reclassés en application des nouvelles règles de présentation édictées par le Conseil National de la Comptabilité (règlement CRC 00-03 applicable au 1er janvier 2001). 82 Tableau des résultats comptables et des variations des capitaux propres et fonds pour risques bancaires généraux (Recommandation de la Commission des Opérations de Bourse - Bulletin n° 79 de février 1979) (en milliers d’euros) RESULTATS COMPTABLES – Globaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Par action (en euros) 1 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (calculé en tenant compte du nombre d’actions en fin d’exercice, déduction faite des actions détenues pour compte propre) VARIATIONS DES CAPITAUX PROPRES ET FRBG (hors provisions réglementées) – Variation de l’écart de réévaluation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Mises en réserves et variation du report à nouveau des résultats de l’exercice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Variation de réévaluation et provisions réglementées . . . . . . . . . . – Emission liée aux options de souscription d’actions . . . . . . . . . . . – Réduction capital . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Fusion Charterhouse, Webroker, Selectbourse . . . . . . . . . . . . . . . VARIATION DE LA SITUATION NETTE GLOBALE . . . . . . . . – Par action (en euros) 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (calculé en tenant compte du nombre d’actions en fin d’exercice, déduction faite des actions détenues pour compte propre) DIVIDENDE PROPOSE – Global . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Par action (en euros) 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31.12.2002 dddddd 31.12.2001 dddddd 31.12.2000 dddddd 620 212,8 8,37 542 651,3 7,20 287 301,6 3,84 (112,0) (100,7) (109,0) 82 864,1 6 132,2 8 845,4 (255 037,1) 146 569,8 120 356,9 9 860,3 18 547,5 – – (19 742,9) 2 922,3 40 893,6 – – (10 737,6) (0,2) 148 664,0 2,0 23 964,0 0,3 537 348,7 7,25 422 294,3 5,60 307 044,5 4,10 1 Le nombre d’actions, hors actions propres à la fin de chaque exercice s’établit à 74 117 066 pour 2002, 75 409 701 actions pour 2001, et 74 888 902 actions pour 2000. 2 Sur la base du nombre moyen pondéré d’actions, hors actions propres, le bénéfice net ressort à 8,28 euros pour 2002 (74 928 199 actions), 7,23 euros pour 2001 (75 019 102 actions), 3,86 euros pour 2000 (74 365 694 actions). 83 CCF Comptes sociaux (suite) Répartition et affectation des bénéfices (article 295 du décret 67-236 du 23 mars 1967) (en milliers d’euros) Bénéfices disponibles – Report à nouveau des exercices précédents . . . . . . . . . . . . . . . . . Sous-total . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Bénéfice de l’exercice . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL (a) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Affectation des bénéfices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Dividendes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Réserve légale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Réserve légale dotée au titre des plus-values à long terme . . . . . . – Réserve des plus-values à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL (b) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . REPORT A NOUVEAU (a - b) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 84 31.12.2002 dddddd 31.12.2001 dddddd 31.12.2000 dddddd 136 171 136 171 620 213 dddddd 756 384 ffffff (Proposition) 537 349 – – – dddddd 537 349 ffffff 219 035 dddddd 16 074 16 074 542 651 dddddd 558 725 ffffff 183 182 183 182 287 302 dddddd 470 484 ffffff 422 294 260 – – dddddd 422 554 ffffff 136 171 dddddd 307 045 – 510 146 855 dddddd 454 410 ffffff 16 074 dddddd Résultats financiers de la société au cours des cinq dernières années (articles 133, 148 du décret du 23 mars 1967 sur les sociétés commerciales) 2002 dddddd (en milliers d’euros) Situation financière en fin d’exercice Capital social . . . . . . . . . . . . . . . . . . Nombre d’actions émises . . . . . . . . . . Valeur nominale des actions en euros Résultats globaux des opérations effectives Produits bruts d’exploitation . . . . . . . . Bénéfice avant impôts, amortissements et provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bénéfice après impôts, amortissements et provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Résultats des opérations ramenés à une seule action Bénéfice après impôts, mais avant amortissements et provisions . . . . . . Bénéfice après impôts, amortissements et provisions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dividende versé par action ordinaire jouissance 1er janvier en euros . . . . . Personnel (France) Nombre de salariés 4 . . . . . . . . . . . . . Nombre de salariés moyen (hors salariés mis à disposition) 5 . . Montant de la masse salariale . . . . . . Montant des sommes versées au titre des avantages sociaux . . . . Taxe sur les salaires et taxes diverses . . Montant de l’intéressement et/ou de la participation aux résultats de l’entreprise 9 . . . . . . . . . . . . . . . 2001 dddddd 2000 dddddd 1999 dddddd 1998 dddddd 370 585 1 377 048 2 374 445 2 369 344 3 277 423 74 117 066 75 409 701 74 888 902 73 868 858 72 790 957 5 5 5 5 5 dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd 3 727 332 3 748 256 4 708 415 4 583 748 4 298 861 729 661 659 241 358 957 485 425 431 597 620 213 dddddd 542 651 dddddd 287 302 dddddd 237 589 dddddd 209 590 dddddd 10,0 € 8,3 € 4,2 € 6,0 € 5,5 € 8,4 € 7,2 € 3,8 € 3,2 € 2,9 € 7,25 € dddddd 5,6 € dddddd 4,1 € dddddd 2,2 € dddddd 1,4 € dddddd 6 742 8 6 313 6 282 7 5 998 6 6 244 6 360 269 528 – 236 672 – 224 556 – 215 374 – 216 247 112 008 30 923 104 433 22 176 98 006 20 838 98 413 19 888 101 129 19 464 22 396 dddddd 17 369 dddddd 20 199 dddddd 12 135 dddddd 10 092 dddddd 1 Réduction du capital par annulation d’actions (- 7,6 millions d’euros) et augmentation consécutive aux émissions liées aux stockoptions (+ 1,1 million d’euros). 2 Augmentations du capital consécutives aux émissions liées aux stock-options. 3 Le capital a été converti sur la base d’un nominal de 5 euros par action. L’incidence de l’ajustement de la valeur nominale des titres à 5 euros a été prélevée sur les réserves. Les autres augmentations du capital sont consécutives aux émissions liées aux stock-options, aux émissions réservées aux salariés, et réduction du capital par annulation d’actions détenues. 4 Salariés à statut bancaire, inscrits au 31 décembre de chaque année. 5 Dont 3 032 cadres et 3 328 non-cadres. 6 Les effectifs de 1999 ne sont pas comparables à ceux de 1998, en raison de la filialisation de certaines activités de la grande clientèle chez Charterhouse France au 1er janvier 1999 et de la cession de l’activité titres de la DOT. 7 Les effectifs de 2000 ne sont pas comparables à ceux de 1999, en raison de la cession de l’activité monétique et de l’intégration du personnel HSBC France. 8 Les effectifs de 2002 ne sont pas comparables à ceux de 2001 en raison de l’intégration dans le CCF, d’HSBC Investment Bank, Selectbourse, Webroker et de 11 agences de la Banque Worms. 9 Sur la base des résultats de l’exercice précédent. 85 CCF Comptes sociaux (suite) Inventaire du portefeuille titres au 31 décembre 2002 Titres d’investissement de placement et de l’activité de portefeuille (en milliers d’euros) A - Titres d’investissement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs à revenu fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bons du Trésor . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres effets publics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres du marché interbancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Certificats de dépôt négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bons à moyen terme négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et assimilés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B – Titres de placement et titres de l’activité de portefeuille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs à revenu fixe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bons du Trésor . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autres effets publics . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Titres du marché interbancaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Billets de trésorerie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Certificats de dépôt négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bons à moyen terme négociables . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Fonds communs de créances . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Obligations et assimilés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bons à moyen terme négociables émis par des établissements de crédit . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs à revenu variable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Actions et assimilés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Parts ou actions d’OPCVM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DES TITRES D’INVESTISSEMENT ET DE PLACEMENT DE L’ACTIVITE DE PORTEFEUILLE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 563 370 563 370 – 100 289 – – 15 244 440 373 7 464 1 766 290 1 648 182 50 185 897 967 – – 243 925 – – 430 471 – 25 634 118 108 95 587 22 521 dddddd 2 329 660 ffffff Inventaire du portefeuille titres au 31 décembre 2002 (suite) Parts dans les entreprises liées et titres de participation et autres titres détenus à long terme (en milliers d’euros) A – Titres de participation et titres détenus à long terme . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs cotées à la cote officielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs françaises non cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs étrangères cotées à la cote officielle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs étrangères cotées à l’étranger . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs étrangères non cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total des créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B – Parts dans les entreprises liées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs françaises cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs françaises non cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs étrangères cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Valeurs étrangères non cotées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total des créances rattachées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL DES PARTS DANS LES ENTREPRISES LIEES ET TITRES DE PARTICIPATION ET AUTRES TITRES DETENUS A LONG TERME . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 137 110 36 200 53 777 3 476 50 111 993 546 – 2 925 975 – 1 511 206 – 1 414 638 131 dddddd 4 063 085 ffffff 87 CCF Comptes sociaux (suite) Renseignements concernant les filiales et participations au 31 décembre 2002 (articles 247 et 295 du décret du 23 mars 1967 sur les sociétés commerciales) Sociétés Activités dddddd Capital dddddd Réserves + report à nouveau avant afffectation du résultat dddddd Banque 16 805 € 143 535 € 97,90 Société 186 041 CHF 226 035 CHF financière 100,00 Quote-part du capital détenue en % dddddd (En milliers d’unités monétaires) A - Renseignements détaillés concernant les participations dont la valeur brute excède 1 % du capital du CCF 1 - Filiales (+ 50 %) Banque Hervet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1, place de la Sous-Préfecture - 18000 Bourges CCF Holding (Suisse) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1, place Longemalle - Genève (Suisse) Crédit Commercial du Sud-Ouest . . . . . . . . . . . . . . 17, allée James Watt - Parc Chemin-Long 33700 Mérignac Banque 11 649 € 34 063 € 99,84 Société Française et Suisse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64, rue Galilée - 75008 Paris Société de portefeuille 45 658 € (5 417) € 100,00 Société Parisienne de Participations . . . . . . . . . . . . . 64, rue Galilée - 75008 Paris Société de portefeuille 72 282 € 8 917 € 100,00 Banque de Savoie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6, bd du Théâtre - 73000 Chambéry Banque 6 606 € 18 515 € 98,19 CCF Banque Privée Internationale . . . . . . . . . . . . . 121, avenue des Champs-Elysées - 75008 Paris Banque 15 245 € 20 997 € 100,00 Banque de Picardie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3, rue de la Sous-Préfecture - 60200 Compiègne Banque 6 007 € 18 095 € 100,00 Union des Banques à Paris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22, place de la Madeleine - 75008 Paris Banque 51 709 € 34 552 € 99,43 HSBC CCF Asset Management Group . . . . . . . . . . 4, place de la Pyramide - 92800 Puteaux . . . . . . . . . Société financière 47 990 € 110 636 € 97,92 Finance et Participations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32, boulevard Royal L2449 - Luxembourg . . . . . . . . Société de services 38 198 € (12 542) € 100,00 Nobel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64, rue Galilée - 75008 Paris Société de portefeuille 128 468 € 89 407 € 100,00 1 Les prêts, avances et cautions sont ceux consentis en dehors du cadre des opérations bancaires habituelles. 2 Pour les Banques PNB. 88 Valeur comptable des titres détenus dddddddddddddd Brut Nette dddddd dddddd Prêts et avances Montants Résultat Dividendes consentis des cautions Chiffre (bénéfice encaissés par le CCF et avals d’affaires net ou perte par le CCF et non fournis par du dernier du dernier au cours de remboursés 1 le CCF 1 exercice 2 exercice) l’exercice dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd Observations dddddd 518 000 € 518 000 € – – 160 874 € 66 040 € 16 727 € – 633 138 € 633 138 € – – 78 791 CHF 80 683 CHF – – 12 996 € 12 996 € – – 51 746 € 9 515 € 6 169 € – 48 380 € – – – 2 302 € (40 256) € – – 82 727 € 82 727 € – – 4 290 € 83 897 € – – 25 088 € 25 088 € – – 39 363 € 14 693 € – – 17 189 € 17 189 € – – 18 364 € 7 045 € 6 400 € – 18 939 € 18 939 € – – 20 104 € 4 749 € 3 916 € – 105 123 € 105 123 € – – 152 094 € 33 740 € 15 837 € – 126 172 € 126 172 € – – 44 433 € 34 843 € 24 464 € Acompte 38 197 € 29 781 € – – – 4 122 € – – 207 647 € 207 647 € – – 37 190 € 17 830 € 6 022 € – 89 CCF Comptes sociaux (suite) Activités dddddd Capital dddddd Réserves + report à nouveau avant afffectation du résultat dddddd HSBC CCF Leasing . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39, rue Bassano - 75008 Paris Société financière 13 050 € 13 049 € 100,00 Société Financière et Mobilière . . . . . . . . . . . . . . . . 103, avenue des Champs-Elysées - 75008 Paris Société financière 40 000 € 46 864 € 100,00 ECFH European Corporate Finance Holding . . . . . 8, avenue Marie-Thérèse - L-2132 Luxembourg Société de 144 450 GBP portefeuille 16 018 GBP 100,00 Compagnie Financière des Iles-du-Rhône . . . . . . . . 64, rue Galilée - 75008 Paris Société de portefeuille 15 494 € 119 413 € 99,48 Foncière Elysées SA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103, avenue des Champs-Elysées - 75008 Paris Société immobilière 14 043 € 24 598 € 100,00 HSBC CCF Securities . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103, avenue des Champs-Elysées - 75008 Paris Société financière 12 626 € 14 666 € 100,00 Vernet Expansion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14, rue Vernet - 75008 Paris Société de portefeuille 5 458 € (652) € 100,00 Société Immobilière Malesherbes Anjou . . . . . . . . . 103, avenue des Champs-Elysées - 75008 Paris Société immobilière 13 412 € 6 519 € 100,00 Charterhouse Management Services Ltd . . . . . . . . . 8, Canada Square - Londres - Grande-Bretagne Société de 232 522 GBP 10 000 GBP portefeuille 100,00 Elyfinance Corporation BV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P.O. Box 2838-1077 - Amsterdam - Pays-Bas Société de portefeuille 9 076 € (8 773) € 100,00 Eurimob . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64, rue Galilée - 75008 Paris Société de services 8 362 € (13 751) € 100,00 Sociétés Quote-part du capital détenue en % dddddd (En milliers d’unités monétaires) 1 Les prêts, avances et cautions sont ceux consentis en dehors du cadre des opérations bancaires habituelles. 2 Pour les Banques PNB. 90 Valeur comptable des titres détenus dddddddddddddd Brut Nette dddddd dddddd Prêts et avances Montants Résultat Dividendes consentis des cautions Chiffre (bénéfice encaissés par le CCF et avals d’affaires net ou perte par le CCF et non fournis par du dernier du dernier au cours de remboursés 1 le CCF 1 exercice 2 exercice) l’exercice dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd Observations dddddd 9 045 € 9 045 € – – (12 712) € (1 534) € – y compris provisions réglementées 84 053 € 84 053 € – – 6 133 € 3 042 € – – 293 657 € 293 657 € – – 187 988 GBP 190 017 GBP 371 368 € dont acompte 292 095 € 119 108 € 119 108 € – – 17 793 € 19 181 € – – 44 476 € 40 341 € – – 1 764 € 1 802 € – – 55 988 € 55 988 € – – 37 996 € (4 677) € 7 698 € – 5 519 € 4 930 € – – 3€ (33) € – – 49 386 € 49 386 € – – 7 977 € (1 766) € – – 387 318 € 387 318 € – – 25 179 GBP 29 911 GBP – – 9 076 € 300 € – – 12 € 4€ – chiffres au 31.12.2001 8 362 € – – – - (177) € – – 91 CCF Comptes sociaux (suite) Capital dddddd Réserves + report à nouveau avant afffectation du résultat dddddd Quote-part du capital détenue en % dddddd Société financière 14 550 € 696 € 50,00 Erisa . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Compagnie 15, rue Vernet - 75008 Paris d’assurances 65 000 € 158 758 € 33,85 Erisa IARD . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Compagnie 15, rue Vernet - 75008 Paris d’assurances 7 500 € (973) € 49,98 18 600 € 21 907 € 25,09 Aurel Leven . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29, rue de Berri - 75008 Paris 11 461 € 11 167 € 14,57 Banian Invesments UK . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22, Grenville Street, St Helier, Jersey JE4 8PX Channel Islands 902 000 GBP 373 GBP 19,00 Inter Pacific Bank . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Wisma Metropolitan II 8 and 9 floor Jalan jenderal Surdiman 12920 Jakarta (Indonésie) Banque 206 875 000 IDR – 12,14 1 – Filiales non reprises au paragraphe 1 a) Filiales françaises (ensemble) . . . . . . . . . . . . . b) Filiales étrangères (ensemble) . . . . . . . . . . . . . – – – – – – 2 – Participations non reprises au paragraphe 2 a) Participations françaises (ensemble) . . . . . . . . b) Participations étrangères (ensemble) . . . . . . . . – – – – – – Sociétés Activités dddddd (En milliers d’unités monétaires) 2 – Participations (10 à 50 %) Immobilier Elybail . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15, rue Vernet - 75008 Paris Financière Groupe Dewaay SA . . . . . . . . . . . . . . . . 18, boulevard Royal - 2449 Luxembourg Société financière B – Renseignements globaux sur les autres titres dont la valeur brute n’excède pas 1 % du capital du CCF SA 1 Les prêts, avances et cautions sont ceux consentis en dehors du cadre des opérations bancaires habituelles. 2 Pour les Banques PNB. 92 Valeur comptable des titres détenus dddddddddddddd Brut Nette dddddd dddddd Prêts et avances Montants Résultat Dividendes consentis des cautions Chiffre (bénéfice encaissés par le CCF et avals d’affaires net ou perte par le CCF et non fournis par du dernier du dernier au cours de remboursés 1 le CCF 1 exercice 2 exercice) l’exercice dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd Observations dddddd 7 273 € 7 273 € – – 4 447 € 2 051 € – – 18 883 € 18 883 € – – 1 160 085 € 10 499 € 1 963 € – 3 727 € 3 080 € – – 15 499 € (281) € – – 68 750 € 68 750 € – – 788 € (2 779) € – – 4 756 € – – – (270) € (291) € – – 461 184 € 461 184 € – – – – 7 301 € – 16 122 € 477 € – – – – – – 3 053 € 1 960 € 1 085 € 1 694 € – – – – – – – – 20 € 7 285 € – – 102 316 € 590 482 € 89 457 € 585 212 € – – – – – – – – 2 273 € 40 251 € – – 93 CCF Résumé synthétique des activités des principales filiales SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Réseaux bancaires et distribution Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2002 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd Banque Hervet** La Banque Hervet développe avant tout une activité de banque de détail, organisée autour du marché des particuliers et des entreprises. En 2002, elle enregistre une croissance du produit net bancaire de + 7,2 % à 199,03 millions d’euros. La hausse des commissions de services, tant sur le marché des entreprises que des particuliers, est venue soutenir la croissance des activités, marquée également par la forte hausse de la production des crédits immobiliers. Le lancement de nouveaux produits, et notamment des conventions, a permis d’accroître l’équipement de nos clients. Enfin, près d’une entreprise sur quatre est cliente de banque à distance. Grâce à un strict contrôle des coûts, en recul de 1,3 %, le coefficient d’exploitation s’établit à 65,9 % en amélioration de 5,7 points par rapport à celui de l’exercice précédent, et le résultat net s’établit à 66 millions d’euros, en hausse de 41,3 %. Pour asseoir sa nouvelle image, membre du Groupe HSBC, et sa nouvelle signature : “une banque proche de vous”, une campagne d’affichage a été lancée dans les grandes villes de la région Centre en février / mars 2003, précédée d’une diffusion dans la presse locale. 4 647 083 4 818 005 255 054 235 817 51 292 36 318 100,0 100,0 Société Marseillaise de Crédit ** La SMC a poursuivi son redressement en 2002 avec une activité largement tournée vers les PME régionales et la clientèle patrimoniale. Une croissance de 11 % de la collecte en assurance-vie et une évolution de 22 % de la production de crédits expliquent en partie la progression du produit net bancaire : + 8 %. Les frais généraux, en légère régression, permettent au résultat brut d’exploitation d’afficher une croissance de 23,7 % avec une amélioration significative du coefficient d’exploitation ramené, en un an, de 70 % à 66 %. Le recrutement, cette année, d’une centaine de jeunes collaborateurs, le lancement d’un exceptionnel programme de formation “Opteam” et la mise en œuvre du chantier de l’informatisation de la fonction commerciale vont permettre à la SMC d’aborder maintenant une phase de croissance après sa réorganisation. 3 392 453 3 593 609 226 019 168 579 50 310 33 330 100,0 100,0 94 SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Réseaux bancaires et distribution (suite) Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 1 890 316 2 061 132 101 810 86 258 33 742 31 004 100,0 100,0 2002 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd UBP En 2002, l’UBP a poursuivi son développement commercial dans son métier de banque de réseau en région parisienne auprès d’une clientèle de PME, d’entrepreneurs et de particuliers. La croissance des équipes commerciales a permis d’enregistrer de bonnes performances en conquête et vente de services auprès des particuliers pour lesquels de nouvelles formules d’investissement sécurisés ont été développées, et auprès des entreprises avec une commercialisation efficace de produits d’épargne salariale. Le produit net bancaire a enregistré une croissance de 10,5 % à 152 millions d’euros grâce à la progresion des encours de crédits aux particuliers (+ 9,2 %) et aux entreprises (+ 5,7 %) et à la bonne tenue des dépôts à vue. Une gestion attentive des frais généraux et des risques a permis au résultat brut d’exploitation de l’activité de banque de réseau de progresser de 21 %. Le résultat net du groupe UBP, à 35 millions d’euros, s’améliore. CCSO Malgré un contexte économique en ralentissement et des marchés financiers moroses, le dynamisme commercial du CCSO s’est traduit tant par une croissance des encours clientèle que des commissions. Il a permis à la banque de présenter un produit net bancaire en progression de 6,5 % par rapport à 2001. Parallèlement, la maîtrise des frais généraux pendant l’exercice a permis d’afficher un résultat brut d’exploitation en progression de 14,4 %. Tous ces éléments, alliés à un coût du risque minime, font ressortir le résultat net à 9,5 millions d’euros, en progression de 15,5 % par rapport à l’exercice 2001. 728 337 659 159 52 275 49 127 9 514 8 239 100,0 100,0 Banque de Picardie Avec un résultat net en progression de 20 % la Banque de Picardie a fait une bonne année 2002. L’importante réorganisation administrative et commerciale entreprise en 2000/2001 a permis à la banque une amélioration significative du contrôle des coûts en maintenant une évolution positive de son produit net bancaire en croissance de 2,9 % par rapport à 2001. 232 752 251 710 24 102 24 122 4 749 3 955 100,0 100,0 Banque de Savoie La Banque de Savoie a réalisé, en 2002, de très bonnes performances en dépassant les objectifs ambitieux qu’elle s’était fixée. Une évolution favorable des entrées en relation commerciale a assuré une nouvelle progression de son produit net bancaire en croissance de 7,5 % à 39,5 millions d’euros. La maîtrise continue des frais généraux (+ 1,7 %) alliée à une politique de crédit prudente permet au coefficient d’exploitation de s’améliorer pour la cinquième année consécutive à 65 % et au résultat brut d’exploitation de progresser de 19,4 % à 13,9 millions d’euros. 754 156 766 467 29 514 22 720 14 693 7 575 98,2 98,2 95 CCF Résumé synthétique des activités des principales filiales (suite) SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Réseaux bancaires et distribution (suite) Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2002 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd Banque Chaix Grâce à son dynamisme commercial la Banque Chaix affiche une croissance tant dans la distribution de crédit (+ 5,8 %) que dans la collecte des dépôts (+ 6,5 %). Le coefficient d’exploitation progresse encore à 49,4 % grâce à l’amélioration des marges. Le résultat brut d’exploitation s’inscrit en hausse de 10,6 % à 33,1 millions d’euros. Le produit net bancaire s’établit à 65,4 millions d’euros en croissance de 7,1 %. 1 029 108 1 014 673 73 473 73 066 18 181 17 196 100,0 100,0 Banque Marze L’année 2002 s’est bien déroulée pour la Banque Marze, avec une collecte d’épargne globale en évolution de + 9,3 %, des encours de crédit en croissance de + 6 % et des commissions nettes (+ 5,2 %) dont les volumes n’ont pas été trop affectés par l’évolution des marchés. Dans ces conditions, le coefficient d’exploitation évolue favorablement de 1,6 point à 58,2 % avec un produit net bancaire en hausse de 5,7 % et des résultats nets en croissance de 24,3 %. 145 707 147 818 9 834 9 859 2 359 1 897 100,0 100,0 Banque Pelletier La Banque Pelletier qui est basée à Dax, a développé avec succès son offre aux entrepreneurs individuels affichant une progression de 28,1 % de ses encours en matière de prêts à cette cible. Les crédits aux particuliers progressent également de 10,2 %, la production d’assurance-vie s’élève à 11,6 millions d’euros très au-delà des objectifs fixés. En conséquence, le produit net bancaire s’élève à 10,8 millions d’euros en augmentation de 6 %. 189 373 202 210 9 243 7 326 3 088 1 914 100,0 100,0 Banque Dupuy, En 2002, la Banque Dupuy, de Parseval de Parseval affiche de très beaux résultats. Principalement réalisé sur le marché des entreprises, le produit net bancaire total progresse de 11,2 % à 32,4 millions d’euros avec un coefficient d’exploitation de 61,4 %, en amélioration sensible. Les charges restent bien maîtrisées. Le résultat net après impôt progresse de + 29,5 % par rapport à celui de 2001. 431 730 414 702 20 177 15 156 6 498 5 021 100,0 100,0 Netvalor a confirmé en 2002 son rôle d’acteur significatif de la distribution de crédits à la consommation en ligne avec une part de marché estimée à près de 30 %. Le site 123crédit.com, affiche une forte progression du nombre de visiteurs. La production de crédit de Netvalor s’établit à 133,4 millions d’euros (+ 92,5 %), réalisée pour 1/3 par l’activité partenaire. Pour la première fois, le résultat brut d’exploitation a atteint l’équilibre. Après prise en compte du coût du risque, la perte de l’exercice ressort à 6,8 millions d’euros. 173 287 83 356 16 111 10 806 (6 819) (6 696) 100,0 100,0 Netvalor 96 SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Réseaux bancaires et distribution Elysées Factor (suite) Spécialiste de l’affacturage, Elysées Factor a poursuivi son activité sur un marché qui a connu en 2002 une croissance très modérée. Le produit net bancaire affiche une progression de 8 % à 8,8 millions d’euros pour un résultat brut d’exploitation en recul de 32 % à 2 millions d’euros compte tenu de l’augmentation des charges de structure destinées à améliorer la gestion de la clientèle. La forte mobilisation commerciale devrait permettre un bon développement de l’activité 2003. Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2002 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 153 400 155 360 5 568 5 069 701 499 66,0 66,0 1 590 711 1 508 895 40 209 40 207 (4 677) 7 701 100,0 100,0 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd Grande clientèle HSBC CCF Securities France (SA) Dans une conjoncture boursière très perturbée, HSBC CCF Securities a réalisé une performance honorable en ce qui concerne l’intermédiation sur les marchés actions. La société a consolidé sa part de marché sur les valeurs françaises et a su développer sa position pour la distribution de son produit paneuropéen. Le département Dérivés sur actions a maintenu ses résultats dans un environnement difficile et a accru son intégration dans le groupe HSBC en devenant la plate-forme de trading européenne. Gestion d’actifs et banque privée HSBC Asset Management (Europe) SA HSBC AME (SA) est l’un des principaux centres de gestion du métier HSBC AM dans le monde et son domaine d’intervention commerciale s’étend à l’Europe continentale. A ce titre, l’activité auprès des grands institutionnels a connu un développement encourageant grâce au lancement de produits adaptés au contexte actuel. En distribution, la gamme Exaprime a permis aux réseaux du groupe CCF de se positionner sur les marchés de long terme au moyen d’une gammme de gestion évolutive. Dans un contexte de marchés difficiles les encours gérés et distribués progressent de 7,6 % avec un produit net bancaire en retrait de 3,2 % à 53,8 millions d’euros. 71 855 65 536 39 799 36 253 7 577 6 354 100,0 100,0 Framlington Group** En dépit d’une conjoncture difficile pour le métier de la gestion à l’échelle mondiale, Framlington a continé d’asseoir sa présence en recrutant deux gérants de haut niveau et en lançant une nouvelle activité de gestion de fortune. La diversité de la gamme de produits et la qualité des gérants constituent des atouts majeurs pour Framlington. La société a continué d’afficher un résultat net élevé de 10 millions d’euros en 2002 et se positionne favorablement pour capitaliser sur ses acquis. 55 507 77 410 27 254 22 003 10 405 21 339 51,0 51,0 97 CCF Résumé synthétique des activités des principales filiales (suite) SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Gestion d’actifs et banque privée (suite) Sinopia** En 2002, Sinopia, intégré au Groupe HSBC, est devenu le spécialiste de la gestion quantitative et des produits garantis et structurés pour l’ensemble du Groupe. Cette année a été notamment marquée par le succès remporté par sa gamme alternative tant auprès de la clientèle institutionnelle que des réseaux de distribution. Sinopia a également accentué son développement international, particulièrement en Asie, avec le lancement d’un premier fonds garanti auprès du réseau HSBC. Grâce à la qualité de ses équipes, la progression de ses encours gérés s’est fortement accrue et atteint 40,4 %. Erisa Dans un contexte de forte volatilité des marchés financiers, le chiffre d’affaires d’Erisa, qui s’élève à 1,2 milliard d’euros au 31 décembre 2002, est en très légère progression par rapport à 2001 (+ 4 %). Grâce au maintien de la collecte, notamment sur la gamme patrimoniale et sur les contrats en euros, les encours gérés augmentent de 6 %, pour atteindre 7,9 milliards d’euros au 31 décembre 2002. Malgré ces progressions, le résultat net s’établit à 10,5 millions d’euros au 31 décembre 2002, contre 21,6 millions d’euros en 2001, en raison des provisions sur moins-values du portefeuille actions, la compagnie ayant toutefois pris les mesures nécessaires pour limiter l’impact financier de la chute des marchés. Elysées Fonds Acteur reconnu sur son secteur, Elysées Fonds intervient directement à tous les stades des opérations d’épargne salariale tels que le montage juridique et administratif, la gestion des comptes, le traitement des opérations, la gestion financière et le reporting. En 2002, la loi Fabius a permis à Elysées Fonds d’aborder les réseaux de distribution grâce à une offre de produits packagée, Elyséo, déclinée pour les TPE, les PME et les professions libérales. Les encours gérés enregistrent une baisse de 4,5 % en raison des effets de marché négatif. CCF - Banque Privée Internationale Au cours de l’exercice 2002, CCF Banque Privée Internationale a résisté à un environnement économique défavorable, grâce à ses activités bancaires, alors que l’activité “gestion de portefeuille” était éprouvée par des conditions de marché difficiles. Au 31 décembre 2002, CCF Banque Privée Internationale dégage un résultat net, après impôt et dividendes inclus, en diminution de 6,8 % par rapport à celui de l’exercice 2002. Banque du Louvre** La Banque du Louvre s’adresse à une clientèle de grands investisseurs privés et institutionnels. Elle a notamment été classée 4e société de gestion sur 60 du palmarès 2003 de la gestion institutionnelle réalisé par Amadeis. L’activité de la Banque du Louvre a été affectée en 2002 par la forte baisse des marchés financiers. Son produit net bancaire atteint néanmoins 39 millions d’euros et sa rentabilité reste appréciable. 98 Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2002 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 280 619 437 200 46 004 50 352 3 925 7 078 99,9 99,9 8 283 925 7 741 193 213 259 196 611 10 499 21 593 50,0 50,0 16 904 10 865 10 691 328 698 51,0 51,0 914 480 1 014 735 36 242 35 083 7 045 7 559 100,0 100,0 76 487 38 082 36 037 9 124 14 490 100,0 88,9 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd 19 362 75 959 SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Gestion d’actifs et banque privée (suite) Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2002 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 300 453 51 782 50 575 10 156 11 468 68,0 68,0 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd Eurofin** Pour la seconde année consécutive, la Banque Eurofin a subi en 2002 l’impact très négatif de l’environnement économique. Elle a cependant réussi à en limiter les conséquences, ses résultats s’inscrivant en baisse modérée par rapport à 2001. Parallèlement à l’évolution des marchés financiers, les actifs de la clientèle se sont réduits. La banque s’est efforcée de développer ses opérations de conseil tout en cherchant à améliorer la qualité de ses prestations, de sa réactivité et la recherche de solutions adaptées. L’année 2003 s’annonce difficile et la Banque Eurofin entend poursuivre ses efforts de consolidation de ses activités. 289 025 HSBC Bank France SA** En 2002, HSBC Bank France a poursuivi son processus de recentrage sur ses activités de banque privée sous la marque commerciale de HSBC Republic. Acquise via une filiale britannique détenue à 100 % par le CCF, HSBC Republic a approfondi ses rapports auprès de sa clientèle par la fourniture d’une large gamme de services financiers. Une réduction importante des fonds propres contribue à la réduction des résultats. Le produit net bancaire s’élève à 29,5 millions d’euros contre 40,3 millions d’euros en 2001. 566 584 Dewaay** Dans un contexte économique difficile, la banque a continué à attirer de nouveaux clients et a ainsi pu préserver le niveau des actifs de la gestion privée. 325 423 464 796 32 485 33 286 (279) 108 308 14 739 100,0 9 037 100,0 100,0 Activités de portefeuille SFS La forte baisse des marchés qui a touché en particulier les valeurs d’assurance a profondément affecté la valeur du portefeuille titres et conduit à constituer d’importantes provisions. 116 738 107 955 40 241 44 266 (40 256) (4 042) 100,0 100,0 Foncière Elysées SA En 2002, Foncière Elysées, malgré une baisse apparente de son résultat net, enregistre des résultats satisfaisants dans ses différents métiers et filiales, ainsi que la revalorisation de certains actifs. Contrairement à l’exercice précédent, Foncière Elysées n’a pas perçu cette année de dividendes en provenance de ses filiales. Foncière Elysées a accompagné le développement d’Immobilier Elybail en participant à 50 % à son augmentation de capital de 5,6 millions d’euros. Ces chiffres traduisent la politique générale du Groupe en matière d’immobilier : développement des opérations de crédit-bail immobilier au service de la grande clientèle, maintien et développement des activités de gestion d’actifs immobiliers pour compte de tiers. 50 716 47 165 38 640 33 775 1 802 4 865 100,0 100,0 99 CCF Résumé synthétique des activités des principales filiales (suite) SOCIETES COMMENTAIRES (en milliers d’euros) Activités de portefeuille (suite) Total du bilan Fonds propres sociaux* Résultats nets sociaux % de détention dans le capital par le CCF dddddddd dddddddd dddddddd dddddddd 2002 2001 2002 2001 2002 2001 2002 2001 ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd ddd Immobilier Elybail L’activité de crédit-bail immobilier de cette filiale, au service de la grande clientèle du Groupe, initiée en 2000 a poursuivi son développement en 2002 : la production cumulée au 31 décembre 2002 sur 3 ans atteint 515 millions d’euros : 98 millions en 2000, 195 millions en 2001 et 222 millions d’euros en 2002. Ce développement s’est accompagné d’une augmentation significative de son résultat et de ses fonds propres. 409 686 215 611 15 245 8 916 2 051 827 100,0 100,0 Nobel Nobel, holding de prises de participation pour compte propre du Groupe, poursuit une stratégie d’investissements axée d’une part sur des valeurs cotées moyennes, d’autre part sur des fonds de private equity. Malgré le difficile environnement boursier, Nobel a dégagé des résultats largement positifs et a été conforté dans son approche d’investissement très sélective. 303 196 301 408 217 876 204 567 17 830 19 331 100,0 100,0 * Composé du capital + réserves + FRBG. ** Chiffres consolidés. 100 CCF Politique d’investissement 1998 1999 – Acquisition de 74,9 % du capital de la Banque Dewaay, en Belgique, via CCF Holding Suisse. Montant de l’investissement : 66 millions de francs suisses. – – Création de Primecorp, détenu à 10 % par CCF Luxembourg, et 41 % par CCF Holding Suisse. Montant de l’investissement 4,9 millions de dollars américains. Acquisition de 23 % du capital de Banque de Picardie lors de l’offre publique d’achat suivie d’une offre de retrait définitif faite par CSF, filiale du CCF. Le CCF détient dorénavant 100 % du capital de Banque de Picardie. Montant de l’investissement : 65 millions de francs. – Rachat de la participation des MMA (45 %) dans le capital de Elymans, donnant le contrôle à 96 % du capital de Loxxia par le CCF, via Elymans et SPP. Montant de l’investissement : 183,8 millions de francs. – Création de Netvalor, détenue à 100 % par SPP. Montant de l’investissement : 56 millions de francs par suite d’une libération partielle du capital. – Création de Webroker, détenue à 100 % par le CCF. Montant de l’investissement : 35 millions de francs. – Création de Selectbourse détenue à 80 % par CCF Securities. Montant de l’investissement : 15 millions de francs (première tranche d’investissement). – Renforcement de la participation du CCF à hauteur de 75 % dans le capital du Crédit International d’Egypte par le rachat des parts de la BNE. Montant de l’investissement : 113 millions de francs. – Acquisition de 95 % du capital de Themis Investment Mgt Ltd par CCF Charterhouse PLC. – Prise de participation à hauteur de 33 % dans le capital de Gesconsult via CCF Holding Suisse. – Augmentation de la participation du CCF dans le capital de la Banque Eurofin à hauteur de 74 % via CCF Banque Privée International par l’apport de la clientèle “résidents” de CCF-BPI. Montant de l’investissement : 85 millions de francs. – Prise de participation à hauteur de 1 % dans le capital du Crédit Lyonnais dans le cadre de la privatisation. Montant de l’investissement : 572 millions de francs. – Cession de la participation détenue par le CCF dans le capital de BHF Bank lors de l’OPA faite par ING. Montant de la cession : 515 millions de francs. – Prise de participation dans le capital de Rentenanstalt via CSF, à hauteur de 2 % lors du reclassement effectué par UBS. Montant de l’investissement : 227 millions de francs suisses. – – Rachat de la participation de BHF Bank dans le capital de ECFH, soit 50 %, donnant contrôle à 100 % du capital de Charterhouse PLC par le CCF. Montant de l’investissement : 118,8 millions de livres sterling. Souscription à l’augmentation de capital de CCF Charterhouse SA (ex-Banque Hydro Energie) en rémunération de l’apport des activités de banque d’affaires exercées auparavant au sein du CCF et des filiales spécialisées : Charterhouse, SFM, CCF Securities et Finely pour un montant global de 2,7 milliards de francs. – Prise de participation de 26 % dans le capital de l’entreprise d’investissement Aurel via CCF Charterhouse SA. Montant de l’investissement : 24,7 millions de francs. – Acquisition de 50,8 % du capital de la Banque du Louvre, dont 50,6 % au travers de deux filiales anglaises : CCF CEHL et CCF Partners Assets. Montant de l’investissement : 168,2 millions de francs. – Acquisition de la Société Marseillaise de Crédit (SMC) via la Banque Chaix. Montant de l’investissement : 10 millions de francs. – Prise de participation de 25 % dans le capital de Financo via SPP. Montant de l’investissement : 75 millions de francs. – Souscription à l’augmentation du capital de CCF Holding Suisse pour un montant de 50 millions de francs suisses. – Prise de participation de 21,33 % du capital de Lombard Bank of Malta, via CCF Holding Suisse. Montant de l’investissement : 4,8 millions de francs suisses. – Cession de la participation détenue par le groupe CCF dans le capital d’Interbail lors de l’offre d’achat faite par Sophia. Montant de la cession : 66,7 millions de francs. 101 CCF Politique d’investissement (suite) – Prise de participation à hauteur de 3 % dans le capital de Crédit Logement. Montant de l’investissement : 75 millions de francs. – Apport à l’offre d’échange des actions SEITA et réinvestissement en actions Altadis à hauteur de 1 % du capital. Montant du nouvel investissement : 328 millions de francs. ravant, au travers de trois filiales : CCF Holding (Suisse) SA, CCF Partners Assets Management, CCF Charterhouse European Holding. Montant de l’investissement en 2000 : 40,4 millions d’euros (265 millions de francs). – Création de la Compagnie de Gestion de Patrimoine ( CGP ) détenue par CCF Holding Suisse SA. Montant de l’investissement : 15 millions d’euros (98,40 millions de francs). – Création de Be-Partner, détenue à 100 % par HSBC CCF Asset Management Group. Montant de l’investissement : 5 millions d’euros (32,5 millions de francs). – Création d’une joint-venture “CCF-SEI Investments” entre HSBC CCF Asset Management Group, filiale du groupe CCF, et SEI. Montant de l’investissement : 1 million d’euros (6,6 millions de francs). – Cession de la participation détenue dans la banque Harwanne (33,4 %). Montant de la cession : 17 millions d’euros (111,4 millions de francs). – Cession de la participation détenue dans le capital de la banque Accord (26,5 %). Montant de la cession : 13,6 millions d’euros (88,9 millions de francs). – Cession de la participation détenue par le CCF dans le capital de Sofidep (44,9 %). Montant de la cession : 4,3 millions d’euros (28,5 millions de francs). 2000 – – – – – – – – 102 Acquisition de la Banque Pelletier au travers de la Compagnie Financière de la Garonne et de l’Adour. Montant de l’investissement : 18,3 millions d’euros (120 millions de francs). Augmentation de capital de la Compagnie Financière de la Garonne et de l’Adour pour recapitaliser la Banque Pelletier. Montant de l’investissement : 27 millions d’euros (46 millions de francs). Augmentation de capital de la Compagnie Financière des Iles du Rhône, holding détenant 98 % du capital de SMC, pour règlement à l’Etat français du complément de prix d’acquisition de la SMC. Montant de l’investissement 2000 : 58,4 millions d’euros (383 millions de francs). Fusion des activités de crédit-bail et de location financière du CCF et du Crédit Lyonnais par le rapprochement de leurs filiales respectives : le groupe Loxxia et le groupe Slibail. Le CCF détient 50 % du nouveau groupe ainsi constitué, au travers d’Elymans et de la Société Parisienne de Participations. Augmentation de capital de Webroker détenu par le CCF. Montant de l’investissement complémentaire : 6,5 millions d’euros (42,6 millions de francs). Augmentation de capital de Netvalor par la libération complémentaire de capital. Montant de l’investissement complémentaire : 7,6 millions d’euros (50,6 millions de francs). Cession de Charterhouse Securities à Londres à ING Baring dans le cadre de l’intégration dans le Groupe HSBC. Montant de la cession : 127,4 millions de livres sterling (1,3 milliard de francs). Renforcement de la participation du CCF dans le capital de la Banque du Louvre. Le CCF détient désormais 83,3 % du capital contre 50,8 % aupa- 2001 – Acquisition de 97,9 % de la Banque Hervet. Montant de l’investissement : 518 millions d’euros. – Cession de Crédival Latinsul à HSBC Latin America BV. Montant de la cession : 276,2 millions d’euros. – Cession au Crédit Agricole Indosuez de la participation de 93,3 % detenue par le CCF dans le Crédit International d’Egypte. Montant de la cession : 62,8 millions d’euros. – Cession de 33,3 % du capital de Gesconsult à ses associés et cession de 2,6 % du capital de Finconsult à ses associés. Montant des cessions : 3,4 millions d’euros. – Acquisition par le CCF de HSBC Securities (France) SA. Montant de l’investissement : 39,6 millions d’euros. – Cession des activités de Corporate Finance, de Treasury et de Banque Privée du CCF Italie à HSBC Republic Bank plc. Montant de la cession : 2,2 millions d’euros. – Rachat par le CCF Holding Suisse de la fraction du capital de Primecorp restée détenue par les actionnaires minoritaires (42,76 % du capital). Montant de l’investissement : 13,1 millions d’euros. – Rachat par le CCF de la fraction du capital de la Banque Dewaay restée détenue par les actionnaires minoritaires (25,1 % du capital). Montant de l’investissement : 68,7 millions d’euros. – Cession par le CCF au groupe KBL de la société Teaside Business SA qui portait un immeuble situé dans la principauté de Monaco. Montant de la cession : 35,1 millions d’euros. – Apport par le CCF de ses activités de Banque Privée en Suisse (Handelsfinanz Genève et CCF Suisse), celles de CCF Monaco, CCF Luxembourg et Handelsfinanz Nassau, à HSBC Private Banking Holdings (Suisse) SA (PBSU), en échange de titres PBSU ; prise de participation du CCF de 17,5 % dans HSBC Guyerzeller Bank AG (HGZB). Montant de l’investissement : 364 millions d’euros (hors titres PBSU reçus en échange). -– Cession des 20,3 % détenus par le CCF Holdings (UK) dans Quilter Holdings Group à Morgan Stanley. Montant de la cession : 53,2 millions d’euros. -– Achat par HSBC CCF AMG des participations détenues par KBC Group, BBVA Group et Mellon Group dans le capital de Sinopia portant sa participation de 60,4 % à 76,7 % ; initiation d’une offre publique d’achat simplifiée suivie d’une offre publique de retrait sur les actions encore détenues dans le public. Montant de l’investissement : 61,6 millions d’euros. – Participation à l’augmentation de capital d’Euroclear Holding à l’occasion de la fusion Euroclear/Sicovam. Montant de l’investissement : 15,9 millions d’euros. – Participation à l’augmentation de capital du groupe Lafarge dans le cadre de l’acquisition de Blue Circle et paiement du dividende en titres. Montant de l’investissement : 11,8 millions d’euros. – Acquisition par Malherbes Anjou de l’ensemble Avenue II situé à Nanterre. Montant de l’investissement : 39,8 millions d’euros. – Rachat au travers de CCF Partners Asset Management Ltd et de CCF Charterhouse European Holding Ltd d’actions de la Banque du Louvre détenues par les salariés et portant la participation du CCF à 86,5 %. Montant de l’investissement : 7 millions d’euros. 2002 – Cession des 50 % détenus dans Lixxbail (exLoxxia) au Crédit Lyonnais. Montant de la cession : 160 millions d’euros. – Cession des 25 % détenus dans Financo au Crédit Mutuel de Bretagne. Montant de la cession : 12,6 millions d’euros. – Souscription à l’augmentation de capital de Netvalor. Montant de l’investissement : 10 millions d’euros. – Cession à HSBC Asset Management de sa filiale HSIL spécialisée dans la gestion d’actifs et de fonds immobiliers comme de fonds de privatisation. Montant de la cession : 220,5 millions d’euros. – Cession des 21,74 % détenus dans Lombard Bank. Montant de la cession : 8,25 millions d’euros. – Cession de CCF Immo, filiale de crédits hypothécaires. Montant de la cession : 5 millions de francs suisses. – Cession des 49 % détenus dans Myriade, société d’investissement. Montant de la cession : 28,69 millions de dollars canadiens. – Souscription à l’augmentation de capital d’Erisa IARD. Montant de l’investissement : 1,84 million d’euros. – Cession de titres Cedel International à Deutsche Börse. Montant de la cession : 46,64 millions d’euros. – Acquisition d’HSBC Republic Bank France SA par CSML. Montant de l’investissement : 325 millions d’euros. -- Cession de CCF SEI Investment à SEI Investment Company. Montant de la cession : 0,2 million d’euros. – Augmentation de capital d’Immobilier Elybail par la libération complémentaire de capital. Montant de l’investissement : 5,50 millions d’euros. – Cession de CCF Eurozone Italy (8 branches italiennes) à Banca Immobiliare. Montant de la cession : 1,2 million d’euros. – Souscription à l’augmentation de capital de Swiss Life par SFS. Montant de l’investissement : 8,81 millions d’euros. 103 CCF Implantations du CCF Les principaux établissements du CCF sont implantés sur : les Champs-Elysées, les sites “Ile-de-France”, “Cœur Défense” et “Collines Sud” à la Défense, le site “Avenue II” à Nanterre et le CTI (Centre de Traitement Informatique) à Lognes. Le CCF dispose, par ailleurs, d’un réseau de 217 succursales et agences réparties sur l’ensemble de la France dont 102 implantations à Paris et sa région. Les implantations des banques régionales en France comprennent : Banque Chaix (sud-est) : 65 agences Banque Dupuy, de Parseval (sud-est) : 44 agences Banque Hervet (région parisienne et centre de la France) : 86 agences Banque Marze (sud-est) : 10 agences Banque Pelletier (sud-ouest) : 11 agences Banque de Picardie (nord) : 17 agences Banque de Savoie (Rhône-Alpes) : 55 agences Crédit Commercial du Sud Ouest (sud-ouest) : 55 agences Société Marseillaise de Crédit : 158 agences Union de Banques à Paris (région parisienne) : 55 agences 104 CCF Faits exceptionnels et litiges Le groupe CCF fait actuellement l’objet de litiges aux Etats-Unis relatifs à des opérations bancaires et de prêts fiduciaires. Bien qu’il ne soit pas encore possible d’estimer le résultat de ces procédures civiles, les allégations des plaignants seront vigoureusemement contestées. A la connaissance de la Société, il n’existe actuellement aucun autre fait exceptionnel, litige ou arbitrage susceptible d’avoir une incidence sur le patrimoine, la situation financière ou les résultats de la société ou du groupe auquel elle appartient. 105 CCF Autres documents légaux concernant l’Assemblée Générale Conventions visées à l’article L 225-38 du nouveau Code de commerce L’article L 225-38 du nouveau Code de commerce concerne les conventions conclues directement ou indirectement entre une société et l’un de ses administrateurs ou directeurs généraux, ou bien entre une société et un de ses actionnaires détenant 5 % du capital au moins. Il impose que ces conventions soient approuvées par le Conseil d’Administration et l’Assemblée des actionnaires de la société et interdit certains types de conventions, tels que les prêts ou les garanties. La convention relevant de l’article L 225-38 du Code de commerce, qui a été soumise au Conseil d’Administration du CCF au cours de l’exercice 2002, est : Convention conclue entre une société et l’une de ses filiales Décision de consentir à la Société Française et Suisse une subvention à caractère financier d’un montant de 62,90 millions d’euros, afin de rétablir la situation financière de sa filiale. Cette subvention est assortie d’une clause de retour à meilleure fortune prévoyant le versement au CCF d’une somme égale à 50 % du résultat net, s’il est bénéficiaire, pour les exercices 2003 et 2004. Par ailleurs les trois conventions relevant de l’article 225.38 du Code de commerce et conclues en 2001 entre le CCF et son actionnaire direct à 99,99 % HSBC Bank Plc Paris Branch, ont poursuivi leurs effets en 2002. Il s’agissait d’un contrat de groupement de fait ayant pour objet de rendre à ses membres des services à prix coûtant, d’une convention de prestations de services portant sur diverses activités et d’une convention d’intégration fiscale. 106 Rapport général des Commissaires aux Comptes Exercice clos le 31 décembre 2002 Mesdames, Messieurs, En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous vous présentons notre rapport relatif à l’exercice clos le 31 décembre 2002, sur : – – le contrôle des comptes annuels du CCF, tels qu’ils sont joints au présent rapport ; les vérifications spécifiques et les informations prévues par la loi. Les comptes annuels ont été arrêtés par le Conseil d’Administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes. Opinion sur les comptes annuels Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la société à la fin de cet exercice. Vérifications et informations spécifiques Nous avons également procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi. Nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport de gestion du Conseil d’Administration et dans les documents adressés aux actionnaires sur la situation financière et les comptes annuels. En application de la loi, nous nous sommes assurés que les diverses informations relatives aux prises de participation et de contrôle vous ont été communiquées dans le rapport de gestion. Paris-La Défense et Paris, le 27 février 2003 Les Commissaires aux Comptes Cabinet Alain Lainé Représenté par Alain Lainé KPMG Audit Département de KPMG SA Représenté par Fabrice Odent 107 CCF Autres documents légaux concernant l’Assemblée Générale (suite) Rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes consolidés Exercice clos le 31 décembre 2002 Mesdames, Messieurs, En exécution de la mission qui nous a été confiée par vos assemblées générales, nous avons procédé au contrôle des comptes consolidés du CCF relatifs à l’exercice clos le 31 décembre 2002, tels qu’ils sont joints au présent rapport. Les comptes consolidés ont été arrêtés par le Conseil d’Administration. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d’exprimer une opinion sur ces comptes. Nous avons effectué notre audit selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes consolidés ne comportent pas d’anomalies significatives. Un audit consiste à examiner, par sondages, les éléments probants justifiant les données contenues dans ces comptes. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis et les estimations significatives retenues pour l’arrêté des comptes et à apprécier leur présentation d’ensemble. Nous estimons que nos contrôles fournissent une base raisonnable à l’opinion exprimée ci-après. Nous certifions que les comptes consolidés sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du patrimoine, de la situation financière, ainsi que du résultat de l’ensemble constitué par les entreprises comprises dans la consolidation. Par ailleurs, nous avons également procédé à la vérification des informations données dans le rapport sur la gestion du groupe. Nous n’avons pas d’observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes consolidés. Paris-La Défense et Paris, le 27 février 2003 Les Commissaires aux Comptes Cabinet Alain Lainé Alain Lainé Associé 108 KPMG Audit Département de KPMG SA Fabrice Odent Associé Rapport spécial des commissaires aux comptes sur les conventions réglementées Exercice clos le 31 décembre 2002 Mesdames, Messieurs, En notre qualité de Commissaire aux Comptes de votre société, nous vous présentons notre rapport sur les conventions réglementées. Conventions autorisées au cours de l’exercice En application de l’article L 225-40 du Code de commerce, nous avons été avisés des conventions qui ont fait l’objet de l’autorisation préalable de votre Conseil d’Administration. Il ne nous appartient pas de rechercher l’existence éventuelle d’autres conventions mais de vous communiquer, sur la base des informations qui nous ont été données, les caractéristiques et les modalités essentielles de celles dont nous avons été avisés, sans avoir à nous prononcer sur leur utilité et leur bien-fondé. Il vous appartient, selon les termes de l’article 92 du décret du 23 mars 1967, d’apprécier l’intérêt qui s’attachait à la conclusion de ces conventions en vue de leur approbation. Avec Société Française et Suisse Une convention a été conclue entre le CCF et sa filiale à 100 % Société Française et Suisse (“SFS”). Subvention à caractère financier d’un montant de 62 900 000 euros consentie par le CCF à SFS afin de rétablir la situation financière de cette filiale. Cette subvention est assortie d’une clause de retour à meilleure fortune prévoyant le versement au CCF d’une somme égale à 50 % du résultat net, s’il est bénéficiaire, pour les exercices 2003 et 2004. Conventions approuvées au cours d’exercices antérieurs dont l’exécution s’est poursuivie durant l’exercice Par ailleurs, en application du décret du 23 mars 1967, nous avons été informés que l’exécution des conventions suivantes, approuvées au cours d’exercices antérieurs, s’est poursuivie au cours du dernier exercice. Avec HSBC Bank plc Paris Branch Trois conventions conclues en 2001 entre le CCF et son actionnaire direct à 99,9 % HSBC Bank plc Paris Branch ont poursuivi leur effet en 2002 : – Contrat d’un groupement de fait ayant pour objet de rendre à ses membres des services à prix coûtant concernant diverses activités des deux entreprises : activités back-office paiements, back-office trésorerie, gestion des crédits, gestion de l’euro zone. Au titre de l’exercice 2002, le montant de la convention s’élève à 1,7 million d’euros. – Convention des prestations de services fournies par le CCF à HSBC Bank plc Paris Branch concernant : – – – – – – les services liés à l’activité back-office paiements, les services liés à l’activité back-office trésorerie, les services liés à l’activité salle des marchés, les services liés à l’activité administration des comptes clients, les services liés à l’activité contrôle du risque de contrepartie, les services liés à l’activité crédits. 109 CCF Autres documents légaux concernant l’Assemblée Générale (suite) La rémunération des services rendus sera égale au coût des moyens affectés par le CCF au service rendu. La convention est conclue pour une durée indéterminée. Au titre de l’exercice 2002, le montant de la convention s’élève à 0 euro. – Convention d’intégration fiscale conclue entre HSBC Bank plc Paris Branch, société de tête du groupe d’intégration fiscale, et le CCF : cette convention prévoit que les économies d’impôts réalisées chaque année par le groupe d’intégration fiscale (déficit ou autres), qui ne seraient pas utilisées par les sociétés membres déficitaires, seront acquises au CCF sous déduction des montants déjà acquittés par HSBC Bank plc Paris Branch aux autres filiales du groupe. Au titre de l’exercice 2002, le montant de la convention s’élève à 51,1 millions d’euros. Nous avons effectué nos travaux selon les normes professionnelles applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences destinées à vérifier la concordance des informations qui nous ont été données avec les documents de base dont elles sont issues. Paris-La Défense et Paris, le 27 février 2003 Les Commissaires aux Comptes Cabinet Alain Lainé Alain Lainé Associé 110 KPMG Audit Département de KPMG SA Fabrice Odent Associé CCF Assemblée Générale Mixte du 14 mai 2003 – Résolutions adoptées Résolutions à caractère ordinaire Troisième résolution Première résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, après avoir entendu la lecture du rapport de gestion du Conseil d’Administration et du rapport général des Commissaires aux Comptes, approuve sans réserve les comptes annuels de l’exercice clos le 31 décembre 2002, tels qu’ils ont été arrêtés et présentés, ainsi que les opérations traduites dans ces comptes ou résumées dans ces rapports. Deuxième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, approuve la proposition du Conseil d’Administration concernant l’affectation du résultat social de l’exercice : 620 212 813,75 € 136 170 797,78 € ddddddddd Soit au total . . . . . . . . . . . . . . . . . . 756 383 611,53 € fffffffff Sera réparti de la manière suivante : Dividende à payer aux actionnaires : 7,25 euros par action . . . . . . . . . 537 348 728,50 € Report à nouveau . . . . . . . . . . . . 219 034 883,03 € Le bénéfice de l’exercice arrêté à . . augmenté du report à nouveau . . . Ce dividende sera mis en distribution à compter du 15 mai 2003, après déduction de l’acompte de 5,40 euros par action assorti d’un avoir fiscal de 2,70 euros décidé par le Conseil d’Administration du 14 novembre 2002 et versé aux actions émises à cette date. L’Assemblée Générale prend acte que les dividendes distribués au titre des trois derniers exercices : Exercices ddddd 1999 . . . . . . . . . . . . . 2000 . . . . . . . . . . . . . 2001 . . . . . . . . . . . . . 2002 . . . . . . . . . . . . . * ** *** **** Dividende Impôt déjà net par payé au Trésor action (avoir fiscal) dddddd dddddd 2,20 € 1,10 €* 4,10 € 2,05 €** 5,60 € 2,80 €*** 7,25 € 3,625 €**** La loi de finances pour 2000 a prévu que, dans certains cas, l’avoir fiscal utilisé en 2000 est égal à 40 % (et non 50 %) du dividende versé. La loi de finances pour 2001 a prévu que, dans certains cas, l’avoir fiscal utilisé en 2001 est égal à 25 % (et non 50 %) du dividende versé. La loi de finances pour 2002 a prévu que dans certains cas, l’avoir fiscal utilisé en 2002 est égal à 15 % (et non 50 %) du dividende versé. La loi de finances pour 2003 a prévu que dans certains cas, l’avoir fiscal utilisé en 2003 est égal à 10 % (et non 50 %) du dividende versé. L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, après avoir entendu la lecture du rapport de gestion du Conseil d’Administration et du rapport des Commissaires aux Comptes sur les comptes consolidés au 31 décembre 2002, approuve sans réserve lesdits comptes tels qu’ils ont été arrêtés et présentés. Quatrième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, après avoir entendu la lecture du rapport spécial des Commissaires aux Comptes sur les opérations visées à l’article L 225-38 du Code de commerce, approuve successivement les conventions qui y sont visées dans les conditions visées à l’article 225-40 dudit Code. Cinquième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, ratifie la nomination aux fonctions d’Administrateur de Monsieur Igor Landau, faite à titre provisoire par le Conseil d’Administration lors de la réunion du 30 juillet 2002, en remplacement de Monsieur Bertrand Colomb, en raison de la démission de ce dernier. En conséquence, Monsieur Igor Landau exercera ses fonctions pour la durée du mandat de son prédécesseur restant à courir, soit jusqu’à l’issue de l’Assemblée qui statuera sur les comptes de l’exercice clos en 2003. Sixième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, constatant que le mandat d’administrateur de Monsieur Stephen Green est arrivé à son terme, décide de renouveler ce mandat pour une durée de quatre années, qui viendra à expiration à l’issue de l’Assemblée qui statuera sur les comptes de l’exercice clos en 2006. Septième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, constatant que le mandat d’administrateur de Monsieur Jean-Claude Jolain est arrivé à son terme, décide de renouveler ce mandat pour une durée de quatre années, qui viendra à expiration à l’issue de l’Assemblée qui statuera sur les comptes de l’exercice clos en 2006. 111 CCF Assemblée Générale Mixte du 14 mai 2003 – Résolutions adoptées (suite) Huitième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Ordinaire, décide de nommer Monsieur Jean-Claude Decaux en qualité de nouvel administrateur pour une durée de quatre années, qui viendra à expiration à l’issue de l’Assemblée qui statuera sur les comptes de l’exercice clos en 2006. Résolutions à caractère extraordinaire Neuvième résolution L’Assemblée Générale, statuant en tant qu’Assemblée Extraordinaire, décide de modifier ainsi qu’il suit l’article 3 des statuts pour tenir compte de l’intégration dans le Code monétaire et financier des dispositions de la loi n° 96-597 du 2 juillet 1996 : Article 3 – Objet social La Société a pour objet d’effectuer en tous pays 112 toutes opérations de banque, de finance, de crédit, d’arbitrage, de cautionnement, de courtage, de commission et toutes opérations de services d’investissement et de services connexes tels que prévus par les articles L 321-1 et L 321-2 du Code monétaire et financier et, d’une façon générale, sous les seules restrictions résultant des dispositions légales en vigueur, toutes opérations commerciales, industrielles ou agricoles, mobilières ou immobilières, financières ou autres, de même que toutes prestations de services se rattachant directement ou indirectement à l’objet social dès lors qu’elles seront utiles à sa réalisation. Dixième résolution L’Assemblée Générale confère tous pouvoirs au porteur d’un original, d’une copie ou d’un extrait du procès-verbal de ses délibérations pour effectuer tous dépôts et formalités requis par la loi. CCF Renseignements de caractère général concernant le CCF et son capital Identification de la Société Dénomination CCF (nouvelle dénomination du Crédit Commercial de France telle qu’adoptée par l’Assemblée Générale du 8 avril 2002 conformément à la seizième résolution – article 2 des statuts) et mise en œuvre à compter du 3 juin 2002 en application de la décision du Conseil d’Administration du 8 avril 2002. Date de constitution 1894. Siège social 103, avenue des Champs-Elysées, 75008 Paris. Forme Société Anonyme de droit français régie notamment par la loi du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales. La Société a le statut d’établissement de crédit, agréé en qualité de banque, régie par la loi 84-46 du 24 janvier 1984. Durée La société expirera le 30 juin 2043, sauf dans le cas de dissolution anticipée ou de prorogation. Objet social (article 3 des statuts du CCF) La Société a pour objet d’effectuer en tous pays toutes opérations de banque, de finance, de crédit, de cautionnement, d’arbitrage, de courtage, de commission et toutes opérations de services d’investissement et de services connexes tels que prévus par les articles L 321-1 et L 321-2 du Code monétaire et financier et, d’une façon générale, sous les seules restrictions résultant des dispositions légales en vigueur, toutes opérations commerciales, industrielles ou agricoles, mobilières ou immobilières, financières ou autres, de même que toutes prestations de services se rattachant directement ou indirectement à l’objet social, dès lors qu’elles seront utiles à sa réalisation. Registre du commerce et des sociétés et code APE Paris B 775 670 284 - APE 8902. Lieu où peuvent être consultés les documents et renseignements relatifs à la Société 103, avenue des Champs-Elysées, 75008 Paris. Exercice social Du 1er janvier au 31 décembre de chaque année. 113 CCF Renseignements de caractère général concernant le CCF et son capital (suite) Répartition statutaire des bénéfices Sur le bénéfice de l’exercice, diminué le cas échéant des pertes antérieures, il est tout d’abord prélevé 5 % au moins pour constituer le fonds de réserve légale. Ce prélèvement cesse d’être obligatoire lorsque le fonds de réserve a atteint une somme égale au dixième du capital social. Il reprend son cours lorsque la réserve est descendue au-dessous de ce dixième. Le solde, augmenté le cas échéant des reports bénéficiaires et diminué des réserves que l’assemblée jugerait à propos de créer ou de doter et des sommes qu’elle déciderait de reporter à nouveau, constitue le bénéfice distribuable qui est réparti entre les actionnaires. Toutefois, hors le cas de réduction de capital, aucune distribution ne pourra intervenir lorsque les capitaux propres sont ou deviendraient à la suite de celle-ci inférieurs au montant du capital augmenté de réserves que la loi ou les statuts ne permettent pas de distribuer. Par dérogation aux dispositions du présent article, il est procédé, le cas échéant, à une dotation à la réserve spéciale de participation des travailleurs aux bénéfices de l’entreprise, aux conditions et selon les modalités prévues par la loi. Assemblée Générale L’Assemblée Générale est composée de tous les actionnaires. L’Assemblée Générale est convoquée et délibère conformément aux dispositions législatives et réglementaires en vigueur. Tout actionnaire possédant au moins une action a le droit d’assister aux Assemblées Générales Ordinaires et Extraordinaires et de participer aux délibérations personnellement ou par mandataire. Forme des actions Les actions entièrement libérées sont obligatoirement nominatives. Elles donnent lieu à une inscription en compte individuel dans les conditions et selon les modalités prévues par la réglementation en vigueur. Droit de vote Chaque action entièrement libérée bénéficie d’un droit de vote. Cession des actions Les actions sont librement négociables. Etablissement assurant le service financier de la Société CCF. 114 Montant du capital Au 31 décembre 2002, le capital s’élevait à 370 585 330 euros, divisé en 74 117 066 actions de 5 euros nominal, entièrement libérées. Autorisations données par l’Assemblée d’augmenter le capital social Avec maintien du droit préférentiel de souscription dddddddddddddd Avec suppression du droit préférentiel de souscription dddddddddddddd Emission d’actions en numéraire ou par incorporation de réserve – Date de l’Assemblée Générale Extraordinaire autorisant l’émission . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 avril 2002 – – Date d’échéance de l’autorisation . . . . . . . . . . . . . . 8 avril 2007 – – Montant nominal maximum de l’augmentation de capital . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120 millions d’euros – dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Emission d’actions réservées aux salariés – Date de l’Assemblée Générale Extraordinaire . . . . . – 8 avril 2002 – Date d’échéance de l’autorisation . . . . . . . . . . . . . . – 8 avril 2004 – Montant nominal maximum de l’augmentation de capital . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – 10 millions d’euros dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd 115 CCF Renseignements de caractère général concernant le CCF et son capital (suite) Tableau d’évolution du capital 2002 2001 ddddddddddddddddddd ddddddddddddddddddd Prime Prime Nombre Capital d’émission Nombre Capital d’émission d’actions en euros 2 en euros d’actions en euros 2 en euros dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd Montant au 1er janvier . . . . . . . . . . . . . . . Augmentation de capital réservée aux salariés . . . . . . . . . . . . . . . Exercice d’option de souscription d’actions 1 . . . . . . . . . . . . Réduction de capital par annulation d’actions détenues pour compte propre . . . . . . . . Montant au 31 décembre . . . . . . . . . . . . . 75 409 701 377 048 505 – 74 888 902 374 444 510 – – – – – – – 229 066 1 145 330 7 700 064,02 520 799 7 608 505 247 428 582,60 370 585 330 – – 75 409 701 1 521 701 74 117 066 – 377 048 505 – – dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd 1 Dont : 2 Le capital a été converti en euros le 17 février 1999. 116 2 603 995 15 943 471,73 4 200 actions émises à 32,78 € 625 actions émises à 33,69 € 2 170 actions émises à 34,00 € 29 000 actions émises à 34,00 € 25 326 actions émises à 35,52 € 488 174 actions émises à 35,52 € 193 370 actions émises à 37,05 € 1 000 actions émises à 37,05 € 4 000 actions émises à 142,50 € 2 000 actions émises à 81,71 € 2000 1999 1998 ddddddddddddddddddd ddddddddddddddddddd ddddddddddddddddddd Prime Prime Prime Nombre Capital d’émission Nombre Capital d’émission Nombre Capital d’émission d’actions en euros 2 en euros d’actions en euros en euros d’actions en francs en francs dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd 73 868 858 369 344 290 – 72 790 957 363 954 785 – – – – 551 211 2 756 055 35 172 774 303 031 7 575 775 105 454 811 5 088 220 35 793 432,82 695 211 3 476 055 19 448 247,13 429 880 10 747 000 77 802 500 1 020 044 – 74 888 902 – 374 444 510 – – 168 521 73 868 858 842 605 369 344 290 8 600 142,33 – 72 798 046 1 819 951 150 – 740 000 18 500 000 225 034 304,32 72 790 957 1 819 773 925 – dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd 18 000 actions émises à 25,31 € (166 F) 41 600 actions émises à 25,31 € (166 F) 40 360 actions émises à 138 F 29 150 actions émises à 33,69 € (221 F) 138 605 actions émises à 33,69 € (221 F) 57 100 actions émises à 166 F 103 994 actions émises à 32,78 € (215 F) 476 406 actions émises à 32,78 € (215 F) 316 620 actions émises à 221 F 550 500 actions émises à 34,00 € (223 F) 9 600 actions émises à 34,00 € (223 F) 9 400 actions émises à 215 F 62 000 actions émises à 35,52 € (233 F) 12 000 actions émises à 35,52 € (233 F) 2 400 actions émises à 223 F 124 000 actions émises à 37,05 € (243 F) 12 000 actions émises à 37,05 € (243 F) 4 000 actions émises à 243 F 34 600 actions émises à 73,48 € (482 F) 2 500 actions émises à 73,48 € (482 F) 97 800 actions émises à 81,71 € (536 F) 2 500 actions émises à 81,71 € (536 F) 117 CCF Renseignements de caractère général concernant le CCF et son capital (suite) Autres titres représentatifs du capital Par autorisation des Assemblée Générale Extraordinaire du 13 mai 1992, du 7 mai 1997, et du 29 avril 1998 et en vertu des délibérations du Conseil d’Administration, il a été attribué aux cadres et mandataires sociaux des options de souscription : Année ddd 1993 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1994 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1995 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1996 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1997 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1998 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1999 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2000 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Attribution dddddd 541 000 645 000 675 000 696 000 715 000 728 000 909 000 909 000 Prix d’exercice dddddddddddddd 221 F 33,69 € 215 F 32,78 € 223 F 34,00 € 233 F 35,52 € 243 F 37,05 € 482 F 73,48 € 536 F 81,71 € – 142,50 € Options pouvant encore être exercées au 31.12.2002 dddddd 100 10 800 56 130 96 500 360 630 673 400 794 700 856 500 Echéance dddddd 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 Au total, le nombre d’actions CCF pouvant être créées par exercice de levée d’options est de 2 848 760, ce qui porterait le nombre total d’actions CCF en circulation à 76 965 826 actions de 5 euros nominal. Répartition du capital et des droits de vote au 31 décembre 2002 Depuis le 31 octobre 2000, HSBC Bank plc détient 99,99 % du capital et des droits de vote. Ce pourcentage n’a pas varié depuis lors. HSBC Bank plc est, elle-même, filiale à 99,9 % de HSBC Holdings plc, société cotée à Londres, Hong Kong, New York et Paris. 118 Modification de la répartition du capital 1999 dddddddddddd En % des droits En % de vote du capital dddddd dddddd 1. Actionnaires représentés au Conseil d’Administration et au Comité consultatif international 1.1 Actionnaires détenant 5 % ou plus du capital ou des droits de vote : – Groupe Société Suisse d’Assurance Générale sur la Vie Humaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – ING +BHF . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Groupe KBC Bancassurance + KBL . . . . . . . . . . – Groupe Mutuelle du Mans Assurance . . . . . . . . . – Taiyo Mutual Life Insurance Cy . . . . . . . . . . . . . 1.2 Autres actionnaires français . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 Autres actionnaires étrangers . . . . . . . . . . . . . . . 2. Autres actionnaires proches du groupe CCF – CCF pour compte propre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . – Salariés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3. Actionnaires institutionnels identifiés français/étrangers . . . . . . . . . . . . . . . . . 4. Public . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . TOTAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1998 dddddddddddd En % des droits En % de vote du capital dddddd dddddd 19,6 19,0 16,8 – 5,3 2,9 – 14,5 19,1 18,8 – 3,6 1,8 – 15,0 9,1 9,1 10,4 5,0 8,0 5,2 10,0 7,6 7,6 7,7 3,7 5,4 5,2 – 4,0 – 3,0 – 3,1 0,2 2,8 19,4 13,0 dddddd 100,0 ffffff 23,6 15,6 dddddd 100,0 ffffff 34,8 9,4 dddddd 100,0 ffffff 45,5 11,9 dddddd 100,0 ffffff Dividende et politique de distribution 2002 2001 2000 1999 dddddd dddddd dddddd dddddd Nombre d’actions au 31 décembre . . 74 117 066 75 409 701 74 888 902 73 868 858 dddddd dddddd dddddd dddddd Nombre moyen d’actions sur l’exercice . . . . . . . . . . . . . . . . 74 928 199 75 019 102 74 365 694 72 917 088 dddddd dddddd dddddd dddddd 42,11 F 40,42 F 1 BNA consolidé part du Groupe . . 7,50 € 6,89 € 6,42 € 2 6,16 € dddddd dddddd dddddd dddddd Dividende net . . . . . . . . . . . . . . . . . 7,25 € 5,60 € 4,10 € 2,20 € dddddd dddddd dddddd dddddd 40,34 F 21,64 F Dividende versé + avoir fiscal 10,875 € 8,40 € 6,15 € 3,30 € dddddd dddddd dddddd dddddd 3 Payout . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95,6 % 74,7 % 64,3 % 35,70 % dddddd dddddd dddddd dddddd 1998 1997 dddddd dddddd 72 790 957 72 798 046 dddddd dddddd 72 776 339 dddddd 28,82 F 4,39 € dddddd 1,40 € dddddd 13,77 F 2,10 € dddddd 31,8 % dddddd 71 654 719 dddddd 22,11 F 3,41 € dddddd 6,70 F dddddd 10,05 F 1,53 € dddddd 30,3 % dddddd 1 Calculé sur le nombre moyen pondéré d’actions et après élimination des actions détenues pour compte propre. 2 Calculé sur la base publiée. A périmètre ajusté et hors éléments exceptionnels, le BPA est de 6,65 euros. 3 Dividende distribué/Bénéfice net part du groupe. Lors de l’Assemblée convoquée pour le 14 mai 2003 il a été proposé la mise en distribution d’un dividende de 7,25 euros par action de 5 euros nominal. Ce dividende correspond à une rémunération, avoir fiscal compris, de 10,875 euros par action. Les dividendes sont prescrits au bout de 5 ans. Passé ce délai, ils seront versés au ministère des Finances, bureau des Curatelles. 119 CCF Effectifs – Rémunération – Augmentation de capital réservée aux salariés et intéressement Effectifs au 31 décembre 2002 Total CCF France (hors détachés dans succursales) . . . . Total succursales à l’étranger . . . . . . . Total CCF social . . . . . . . . . . . . . . . . Total CCF groupe . . . . . . . . . . . . . . . 2001 1 2000 1 1999 1 1998 1 2002 1 dddddd dddddd dddddd dddddd dddddd 6 669 ffffff 82 ffffff 6 751 ffffff 13 797 ffffff 6 230 ffffff 91 ffffff 6 321 ffffff 14 071 ffffff 6 130 ffffff 227 ffffff 6 357 ffffff 13 583 ffffff 5 825 ffffff 434 ffffff 6 259 ffffff 13 429 ffffff 6 163 ffffff 390 ffffff 6 553 ffffff 11 719 2 ffffff 1 Effectif équivalent temps plein. 2 Hors Société Marseillaise de Crédit. Rapport sur l’évolution de l’emploi 2001/2002 Indications communiquées en application de l’article L. 225-102.1, al. 4 du Code de commerce complété par le décret 2002.221 du 20 février 2002. Les commentaires ci-dessous sont établis sur une notion d’effectifs inscrits, non pondérés des temps partiels. L’effectif du CCF progresse pour la troisième année consécutive – Les effectifs 2002 s’établissent à 6 771 (+ 6,8 %), soit une évolution de 431 salariés. Le nombre de cadres a augmenté de 15,9 % entre 2001 et 2002. – Les embauches : réalisées en CDI sont au nombre de 483 en 2002, après deux années de recrutement important, et de 254 en CDD. – Les départs : les démissions représentent 39 % du total des départs en 2002. Le niveau de qualification des salariés continue de s’élever – Augmentation du niveau de qualification et féminisation restent deux tendances fortes qui caractérisent le CCF : – En 3 ans le nombre de cadres s’est accru de 23 %. Dans le même temps le nombre de techniciens diminue de 4 %. – Les femmes cadres représentent 19,3 % de la population du CCF. Les conditions particulières d’emploi La durée annuelle du travail est fixée à 1 592 heures. Cette réduction du temps de travail s’effectue pour partie par le réduction de la durée hebdomadaire et pour partie par l’octroi de jours de congés. Au 31 décembre 604 salariés travaillent à temps partiel dans le cadre de l’accord sur le travail à temps partiel choisi. 2002 a été l’année de mise en place de la préretraite. 37 départs ont été constatés durant cette première année. Au 31 décembre, le CCF emploie 170 travailleurs handicapés. 120 Les relations professionnelles et le bilan des accords collectifs L’année 2002 a été marquée par la signature de deux accords de salaire couvrant les années 2001 et 2002 et par l’adaptation des dispositions de l’accord sur la réduction du temps de travail en matière de compte épargne temps. Des négociations importantes ont été engagées sur l’égalité professionnelle des hommes et des femmes, sur l’emploi des salariés handicapés et sur le cadre social d’accompagnement des changements d’organisation. Les rémunérations En 2001 et 2002, les accords de rémunérations du CCF ont prévu : – des augmentations minimum pour les salaires des techniciens les moins rémunérés, – des augmentations sélectives pour récompenser la performance, – des primes pour l’atteinte et/ou le dépassement d’objectifs individuels qualitatifs et quantitatifs. Le rapport entre la rémunération moyenne des cadres et des techniciens est de 2.1. La formation En 2002, le CCF a dispensé plus de 170 000 heures de formation représentant 4,23 % de la masse salariale à 3 369 collaborateurs. Un programme de développement des compétences managériales a été mis en place. Ce parcours de formation s’adresse a toutes les personnes en situation de management : les femmes et les hommes qui encadrent des managers et définissent pour leur métier les orientations stratégiques. Tous les “Managers de Managers” du groupe CCF ont été formés durant l’année. En 2003 et dans les prochaines années, le groupe étendra cette formation à leurs collaborateurs directs. L’objectif de ce parcours est de transmettre et faire comprendre la culture du groupe, renforcer les compétences managériales pour accompagner le changement et développer les synergies entre les métiers et les filiales. Heures supplémentaires, main-d’œuvre extérieure et sous-traitance L’année 2002 est marquée par l’achèvement du projet euro qui a entraîné une baisse significative du nombre d’heures supplémentaires et de l’emploi de ressources extérieures, sous-traitance et intérim. Hygiène et sécurité Le CCF a mis en place des Comités d’Hygiène – Sécurité et Conditions de Travail de manière à couvrir l’ensemble de ses activités en France. Ces CHS-CT disposent de moyens supérieurs à ceux prévus par la loi et en particulier en matière de visites des établissements. Au cours de l’année 2002, un document unique d’évaluation des risques a été élaboré et présenté aux partenaires sociaux. Absentéisme Absence maternité : légère augmentation par rapport à 2001 (+ 5,7 %). Absence maladie : stabilité par rapport à 2001. Absence accident du travail : légère baisse par rapport à 2001 (- 2,5 %). 121 CCF Effectifs – Rémunération – Augmentation de capital réservée aux salariés et intéressement (suite) Œuvres sociales Le montant consolidé des versements aux comités d’établissements et au comité central d’entreprise est en augmentation de 7,5 % à 1 729 029 euros. Le montant de la subvention versé à la mutuelle s’élève à 785 108 euros en augmentation de 6,8 %. Augmentation de capital réservée aux salariés dans le cadre du plan d’épargne entreprise et groupe CCF Depuis 1993, le CCF a procédé chaque année à une émission réservée aux salariés du CCF, aux anciens salariés adhérant au plan d’épargne entreprise, aux salariés de ses filiales françaises détenues à plus de 51 %. En 2002 comme en 2001, HSBC a maintenu le principe d’une émission d’actions, tel que le CCF la proposait dans le passé. Cette opération a pris place du 5 au 24 juin 2002, avec paiement des souscriptions au 30 juillet 2002. Elle a été réalisée selon les modalités suivantes : – lancement d’une augmentation de capital en actions HSBC, réservée aux salariés du CCF, aux anciens salariés adhérant au plan d’épargne d’entreprise, aux salariés de ses filiales françaises détenues à plus de 51 % ; – le prix de souscription de 10,5638 euros par action ayant été déterminé, comme l’année précédente, avec une décote de 20 % sur la base de la moyenne des cours du titre HSBC des vingt séances de Bourse de Londres qui a précédé le 31 mai 2002, date de la décision du comité des rémunérations du Conseil d’Administration de HSBC Holdings Plc. Les salariés du groupe CCF, ayant au moins six mois d’ancienneté, ont ainsi eu la possibilité de souscrire en investissant : – le montant de la participation, – le montant de l’intéressement, – un versement libre dans la limite d’un plafond légal. Cette augmentation de capital a été souscrite par l’intermédiaire du fonds commun de placement, fonds H, constitué dans le cadre du plan d’épargne entreprise ou du plan d’épargne groupe. Cette émission a été souscrite à hauteur de 2 542 180 actions HSBC, représentant un montant global de 26,855 millions d’euros. Depuis l’offre publique de HSBC, les avoirs du fonds H sont désormais investis en actions HSBC, sur décision des Conseils de surveillance des fonds. Schémas d’intéressement du personnel Accord de participation et d’intéressement aux résultats de l’entreprise Deux nouveaux accords de participation et d’intéressement des salariés aux résultats de l’entreprise ont été signés le 27 juin 2001. Ces nouveaux accords, conclus pour une durée de trois ans, s’appliquent aux exercices 2001, 2002 et 2003. Dans ces accords, participation et intéressement se cumulent : la participation est calculée en fonction du résultat brut d’exploitation retraité (RBER) du CCF social et l’intéressement par référence au taux de progression du RBER du CCF social 1. 1 Le RBER est égal au résultat brut d’exploitation après déduction des éléments de résultat ne concernant pas directement l’activité du CCF Social en France : – des plus ou moins-values de cession et variation des provisions sur titres de placement, de participation, et de filiales hormis celles gérées en risque de marchés et à l’exclusion des revenus tirés de la cession d’OPCVM monétaires, – des résultats des succursales à l’étranger, – des dividendes reçus des sociétés consolidées et de leur coût de financement. 122 Accord de participation aux résultats de l’entreprise La réserve spéciale de participation du CCF est calculée selon un mode dérogatoire par rapport au régime de droit commun selon la formule suivante : elle est égale à 8 % de la contribution de l’activité sociale en France du CCF qui est déterminée sur la base du RBER après déduction de diverses provisions et d’un impôt théorique. La réserve spéciale de participation calculée selon la formule dérogatoire ne pourra excéder 5 % du résultat net comptable social. Accord d’intéressement L’intéressement est déterminé en fonction d’un barème préalablement établi. Ce barème est fonction d’un taux de croissance du résultat brut d’exploitation retraité (RBER) du CCF social. 50 % sont répartis de façon égalitaire et uniforme entre les salariés bénéficiaires en tenant compte de leur temps de présence durant l’année et pour les salariés à temps partiel, au prorata de leur temps de travail. 50 % sont répartis entre les salariés proportionnellement au salaire brut global annuel perçu par chaque bénéficiaire au cours de l’exercice dans la limite de trois fois le plafond de la Sécurité Sociale. Evolution au titre des exercices 1998 à 2002 (en millions d’euros) Intéressement . . . . . . . . . . . . . . . . . . Participation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dont formule légale . . . . . . . . . . . . dont formule dérogatoire . . . . . . . . Total versé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 dddddd 2001 dddddd 2000 dddddd 1999 dddddd 1998 dddddd 5,34 14,28 – 14,28 dddddd 19,62 ffffff 4,57 12,49 1,46 11,03 dddddd 17,06 ffffff 4,57 12,78 1,33 11,44 dddddd 17,35 ffffff 8,38 11,88 – 11,88 dddddd 20,26 ffffff 4,57 7,45 – 7,45 dddddd 12,03 ffffff Informations sur les plans d’options de souscription Politique d’attribution d’options Par autorisation de l’Assemblée Générale Extraordinaire du 22 juillet 1987, autorisation renouvelée lors de l’Assemblée Générale Extraordinaire du 13 mai 1992 et lors de l’Assemblée Générale Mixte du 7 mai 1997, le Conseil d’Administration a attribué un programme d’options de souscription d’actions chaque année, aux mandataires sociaux et à des cadres du groupe CCF. Sur proposition du Comité de Sélection et des Rémunérations, le Conseil a progressivement étendu ces programmes à un plus grand nombre de bénéficiaires, dans une optique de fidélisation et d’incitation à la création de valeur. En 2000, le nombre de bénéficiaires a été de 502, contre 331 en 1999. A compter de 2001, et suite à l’intégration du CCF au sein du Groupe HSBC, le CCF a décidé de ne plus attribuer d’options CCF à ses salariés, dans la mesure où ceux-ci peuvent participer au plan d’options de souscription et d’achat d’actions de HSBC Holdings Group (partie B) dans le cadre d’un sous-plan français respectant les règles légales et fiscales en vigueur en France. Dès 2001, 1 026 personnes ont bénéficié d’attributions d’options HSBC, en 2002, c’est 1 398 salariés qui ont bénéficié de l’attribution de ces options. 123 CCF Effectifs – Rémunération – Augmentation de capital réservée aux salariés et intéressement (suite) Attributions d’options dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Date d’assemblée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13.5.1992 13.5.1992 13.5.1992 13.5.1992 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Date du Conseil d’Administration décidant les attributions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.1993 23.6.1994 22.6.1995 9.5.1996 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Nombre total d’options attribuées . . . . . . . . . . . . . . . . 541 000 645 000 675 000 696 000 dont : nombre d’options attribuées aux membres du Comité de direction (dans sa composition actuelle) . . 214 000 263 000 261 000 297 000 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Nombre total de bénéficiaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93 116 114 125 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Nombre de membres du Comité de direction . . . . . . 24 26 28 29 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Point de départ d’exercice des options . . . . . . . . . . . . . 4.5.1995 23.6.1996 22.6.1997 9.5.1998 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Date d’expiration . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4.5.2003 23.6.2004 22.6.2005 9.5.2006 dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Prix de souscription . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 221 F 215 F 223 F 233 F (33,69 €) (32,78 €) (34,00 €) (35,52 €) dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Rabais consenti/moyenne cours de bourse . . . . . . . . . . 5% 5% 5% 5% dddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd Nombre d’actions souscrites au 31.12.2002 . . . . . . . . . 513 200 612 800 594 870 587 500 Nombre d’actions abandonnées . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 700 21 400 24 000 12 000 Nombre d’options pouvant encore être souscrites . . . . 100 10 800 56 130 96 500 * Comité de direction générale. ** Rabais consenti sur prix d’OPA qui était de 150 euros par action. 124 dddddddddddddddddddddddddddd 7.5.1997 7.5.1997 7.5.1997 7.5.1997 dddddddddddddddddddddddddddd 7.5.1997 29.4.1998 7.4.1999 12.4.2000 dddddddddddddddddddddddddddd 715 000 728 000 909 000 909 000 305 000 321 000 312 000 161 000* dddddddddddddddddddddddddddd 127 199 331 502 dddddddddddddddddddddddddddd 29 31 29 10* dddddddddddddddddddddddddddd 7.6.2000 7.6.2000 7.6.2000 1.1.2002 dddddddddddddddddddddddddddd 7.5.2007 29.4.2008 7.4.2009 12.4.2010 dddddddddddddddddddddddddddd 243 F 482 F (37.05 €) (73.50 €) 81.71 € 142.50 €** dddddddddddddddddddddddddddd 5% 5% 5% 5% dddddddddddddddddddddddddddd 334 370 37 100 102 300 4 000 20 000 17 500 12 000 48 500 360 630 673 400 794 700 856 500 125 CCF Effectifs – Rémunération – Augmentation de capital réservée aux salariés et intéressement (suite) Principales caractéristiques du règlement des plans d’options Le règlement du plan d’options d’achat ou de souscription encore en vigueur jusqu’à l’échéance du dernier plan d’options a été approuvé par le Conseil d’Administration dans sa séance du 7 mai 1997. Toutefois l’offre publique de HSBC lancée en juin 2000 donnait la faculté aux bénéficiaires d’options d’exercer l’ensemble des options qui leur avaient été attribuées à l’exception de celles attribuées en 2000 pendant la période de l’offre. En raison des conséquences défavorables, tant pour les bénéficiaires que pour le CCF, qui résulteraient d’une rupture de la période d’indisponibilité fiscale et sociale stipulée à l’article 163bis C du Code général des impôts, HSBC a offert la possibilité aux bénéficiaires options d’adhérer à un contrat de liquidité portant sur les actions CCF résultant de l’exercice des options de souscription pendant la période d’offre, à condition qu’ils prennent les deux engagements suivants : – s’interdire de disposer des actions CCF résultant de l’exercice des options de souscription dans des conditions de nature à occasionner un coût social pour le CCF et, – céder à ou échanger avec HSBC les actions CCF résultant de l’exercice desdites options à l’expiration de ladite période d’indisponibilité. Un contrat de liquidité prévoit les modalités particulières d’échange ou de cession à terme qui s’appliquent selon des conditions différentes, selon l’année au cours de laquelle les options ont été consenties. – Options consenties avant 1996 et de 1997 à 2000 : les bénéficiaires se sont engagés lors de leur adhésion, à échanger avec HSBC, à l’expiration de la période d’indisponibilité fiscale ou lors de l’exercice desdites options s’il est postérieur à cette expiration, les actions CCF résultant de l’exercice desdites options contre un nombre d’actions ordinaires HSBC déterminé par application du rapport d’échange de l’Offre, tel qu’ajusté des modifications éventuelles pouvant affecter le capital d’HSBC ou du CCF. – Options consenties en 1996 : les bénéficiaires ont choisi de façon irrévocable, lors de leur adhésion, l’une des deux options suivantes : – échanger avec HSBC, à l’expiration de la période d’indisponibilité ou lors de l’exercice desdites options s’il est postérieur à cette expiration, les actions CCF résultant de l’exercice desdites options, contre un nombre d’actions ordinaires HSBC déterminé par application du rapport d’échange de l’Offre : 13 actions HSBC pour une action CCF, tel qu’ajusté des modifications éventuelles pouvant affecter le capital d’HSBC ou du CCF ; ou – céder à HSBC, le 28 septembre 2001, les actions CCF résultant de l’exercice des options moyennant un prix cohérent avec le prix de l’OPA et déterminé en fonction d’une formule qui a pris en compte la moyenne des résultats opérationnels dégagés par le CCF au titre des huit trimestres civils consécutifs dont le dernier a pris fin le 30 juin 2001. Rapport spécial Information sur les options consenties en 2002 en application de la loi sur les nouvelles régulations économiques Depuis son intégration au Groupe HSBC, en juillet 2000, le CCF a cessé d’attribuer des options de souscription ou d’achat d’actions aux salariés et mandataires sociaux du groupe CCF. Information sur les options CCF levées durant l’exercice 2002 par chaque mandataire social Aucun des mandataires sociaux du CCF n’a exercé d’options CCF en 2002. 126 Information sur les options détenues sur le CCF par les 10 salariés ayant levé le plus grand nombre d’options durant l’exercice 2002 Total des options exercées par 19 salariés . . . . . . . . . dont 13 (ex-aequo) Total options levées ddddd 88 000 Prix d’exercice moyen pondéré €/action ddddd 36,99 Date d’attribution ddddd 09.05.1996 et 07.05.1997 Date d’échéance ddddd 09.05.2006 et 07.05.2007 Options d’achat ou de souscription d’actions consenties par les filiales à leurs salariés Des plans d’options d’achat ou de souscription d’actions ont été mis en place dans plusieurs filiales françaises du groupe CCF. Toutefois, pour être en conformité avec la réglementation que doit respecter HSBC, le CCF a décidé, en 2001, de renoncer à l’attribution régulière de plans d’options dans certaines de ses filiales opérationnelles, à l’exception de deux filiales, dans lesquelles un engagement particulier avait été consenti. Seules ces deux sociétés ont consenti un plan d’options durant l’exercice 2001. En 2002, seule la Banque Eurofin a consenti un plan d’options, conformément à l’engagement particulier pris par le CCF. Aucun mandataire social ni membre du Comité de Direction Générale du CCF ne détient d’options dans les filiales du Groupe. Banque du Louvre Options levées par chaque mandataire social en 2002 : G. Dard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . H. Riché . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total des options exercées par huit salariés . . . . . . . Options levées dddddd Prix d’exercice dddddd Date d’attribution dddddd Date d’échéance dddddd 3 900 3 900 9 800 68,65 68,65 68,65 31.03.1999 31.03.1999 31.03.1999 31.03.2009 31.03.2009 31.03.2009 Options attribuées dddddd Prix d’exercice €/action dddddd Date d’attribution dddddd Date d’échéance dddddd 2 500 100 07.10.2002 07.10.2012 26 500 100 07.10.2002 07.10.2012 Banque Eurofin Options attribuées à chaque mandataire social en 2002 : A. Beauvy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total des options attribuées aux dix salariés ayant reçu le plus grand nombre d’options . . . . . . . . Aucune option n’a été exercée durant l’exercice 2002. 127 CCF Effectifs – Rémunération – Augmentation de capital réservée aux salariés et intéressement (suite) Banque Chaix Aucun des mandataires sociaux de la Banque Chaix n’a exercé d’options Banque Chaix en 2002 Total des options exercées par sept salariés . . . . . . . Options exercées dddddd 5 050 Prix d’exercice €/action dddddd 88,73 Date d’attribution dddddd 28.10.1997 Date d’échéance dddddd 28.01.2003 Options exercées dddddd Prix d’exercice €/action dddddd Date d’attribution dddddd Date d’échéance dddddd 500 1 100 1 000 2 400 32,01 – – – 03.03.1997 – – – 03.06.2002 – – – Banque Dupuy, de Parseval Options exercées par chaque mandataire social en 2002 : A. Gros . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ph. Dupuis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . H. Dupuis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total des options exercées par six salariés . . . . . . . . Crédit Commercial du Sud Ouest (CCSO) Aucun des mandataires sociaux du Crédit Commercial du Sud-Ouest n’a exercé d’options Crédit Commercial du Sud-Ouest en 2002. Total des options exercées par trois salariés et anciens salariés du Crédit Commercial du Sud Ouest (mais encore salariés du groupe CCF) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Options exercées dddddd Prix d’exercice €/action dddddd Date d’attribution dddddd Date d’échéance dddddd 6 375 80,49 01.10.1996 01.04.2002 Options exercées dddddd Prix d’exercice €/action dddddd Date d’attribution dddddd Date d’échéance dddddd 4 500 3 250 1 000 19,06 – – 03.07.1997 – – 03.01.2003 – – 16 800 – – – UBP Options exercées par chaque mandataire social en 2002 : R. Bert (CCF) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . J.F. Le Treis . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. de Bonneval . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Total des options exercées par 12 salariés (dont 4 ex-aequo) et anciens salariés de l’UBP (mais encore salariés du groupe CCF) . . . . . . . . . . . . 128 CCF Evolution récente et perspectives d’avenir Résultat 2002 – Faits marquants de l’exercice Une nouvelle croissance du bénéfice net en dépit de l’environnement économique et financier particulièrement difficile. Un contrôle des coûts et des risques renforcé, tout en préservant les investissements nécessaires aux projets stratégiques. De très bonnes performances des réseaux, et notamment des banques régionales. Une nouvelle progression des activités de grande clientèle avec la poursuite du développement du Corporate Banking et une forte avancée du Corporate Finance. Des activités liées aux marchés actions toujours pénalisées par l’évolution de celui-ci, tout en gardant des résultats opérationnels positifs. Progression des bénéfices pour la dix-neuvième année consécutive Le résultat net publié du CCF, dans son périmètre juridique, s’élève à 562 millions d’euros, en progression de 8,6 % sur 2001. Ce chiffre intègre toutefois les effets des nombreux changements de périmètre1 intervenus entre début 2001 et fin 2002 et les résultats d’activités gérées par d’autres entités du Groupe HSBC. Retraité pour corriger ces effets ainsi que certains éléments exceptionnels 2, le résultat net, part du Groupe, des activités gérées par le CCF s’est élevé à 498 millions d’euros, en progression de 4,6 % sur 2001. Cette progression du résultat net est obtenue malgré le faible niveau du résultat des activités de portefeuille (27 millions d’euros), conséquence de l’évolution défavorable des marchés actions, alors que 2001 avait au contraire bénéficié d’un résultat particulièrement élevé dans ce domaine (110 millions d’euros). Malgré l’impact de la baisse des marchés d’actions sur certaines recettes, le produit net bancaire (2 294 millions d’euros) progresse de + 1,6 % à données comparables. Dans ce contexte, les coûts ont fait l’objet d’une surveillance renforcée, l’augmentation des frais généraux (1 594 millions d’euros) ayant été limitée à 1,5 % (après + 1,7 % en 2001) grâce à une grande sélectivité dans les dépenses : si les développements stratégiques des métiers, notamment en banque de réseau, ont été préservés, les dépenses administratives centrales ont été significativement réduites. Cette gestion rigoureuse des coûts a permis d’enregistrer une nouvelle progression du résultat brut d’exploitation à données comparables, de + 1,6 %, à 700 millions d’euros. La surveillance des risques a encore été renforcée, avec une charge des risques clientèle très modérée (68 millions d’euros, soit 0,22 % des encours correspondants). Les fonds propres consolidés s’élèvent à 3,3 milliards d’euros, après prise en compte du bénéfice net porté en réserves. Le ratio de solvabilité “Tier One” se maintient à un niveau élevé : 8,2 %. Le ROE, calculé sur la base de la moyenne des fonds propres après affectation, s’établit à 16,7 % en données comptables (contre 15,1 % en 2001) et à 14,5 % en données retraitées (contre 13,9 % en 2001). 1 Sauf exception, les chiffres mentionnés, portent sur les résultats des activités dont le CCF a la responsabilité managériale, ce qui conduit aux principaux changements suivants par rapport au périmètre juridique : – intégration des résultats des succursales HSBC dans l’Eurozone (Espagne, Italie, Belgique, Pays-Bas), gérées par le CCF depuis fin 2000 ; – exclusion des résultats des activités anglaises gérées directement par HSBC (notamment Framlington). Ils sont retraités : – d’une part pour corriger l’impact des nombreux changements de périmètre de gestion intervenus en 2002 (acquisition des succursales de Worms, cessions de Lixxbail et de CCF SEI, rachat des minoritaires de la Banque du Louvre, acquisition de HSBC Bank France SA) et en 2001(acquisition de la Banque Hervet et d’une participation dans HSBC Private Banking Holdings (Suisse) SA ; cession du Crédit International d’Egypte ; transfert à d’autres entités du Groupe HSBC de Banco CCF Brasil, de plusieurs filiales de banque privée, et de différentes activités au Royaume Uni); et d’autre part pour ajuster certains éléments exceptionnels (principalement les plus et moins-values de cession liées à ces transferts, les coûts de restructuration et les provisions passées sur les contrats de liquidité accordés aux salariés dans certaines filiales). 2 Principalement, les plus-values de cessions intragroupe, les coûts de restructurations et les provisions passées sur les contrats de liquidité accordés aux salariés de certaines filiales. 129 CCF Evolution récente et perspectives d’avenir (suite) Perspectives d’avenir Le CCF, à l’issue de son rapprochement avec HSBC en 2000, a construit un plan stratégique 2002-2005 qui définit les grandes lignes de son expansion pour les prochaines années. Bras armé du Groupe HSBC en France et en zone euro, le CCF a pour ambition d’occuper une position de leader en France sur ses cibles en réunissant une approche orientée vers le client avec la puissance de l’un des plus grands groupes de services bancaires et financiers au monde. En 2003, le CCF cherchera à accroître sa part de marché sur sa clientèle cible avec une offre différenciée, une intensification des ventes croisées et un travail approfondi des actions commerciales. Dans le métier de banque de réseaux, pour sa clientèle de particuliers aisés, qui confère au CCF un positionnement unique, la banque entend mettre l’accent sur l’offre multicanal constituée par l’ensemble des moyens mis à la disposition du client pour communiquer avec sa banque. La création d’une plate-forme unique d’accès aux marchés en ligne en est une illustration. Pour se différencier, le CCF s’appuie également sur une offre unique qui permet aux clients particuliers d’accéder à toutes les agences du Groupe HSBC dans le monde, au travers de son service HSBC Premier International Services. Pour la clientèle entreprise, l’effort porte sur le développement des ventes croisées et des synergies entre les différents métiers du groupe : métiers de flux, mais aussi activités de marchés, de gestion d’actifs, d’épargne entreprise et d’assurance. Dans les banques régionales, la distribution renforcée de produits financiers innovants, le développement de produits dédiés aux PME et aux professions indépendantes (produits d’épargne entreprise, leasing) devraient permettre d’améliorer encore le niveau élevé de rentabilité, dans un strict contrôle des coûts. En terme d’organisation, une attention particulière est portée sur le développement des synergies entre les banques régionales de même qu’entre le CCF et ces dernières. Enfin, l’ensemble des outils commerciaux sont en cours d’optimisation avec notamment la réorganisation des “front offices”, le développement de nouveaux outils de CRM. Ces projets sont menés dans un souci de convergence entre les différents réseaux. Dans le métier de grande clientèle l’objectif est de figurer parmi les tout premiers banquiers de nos clients cibles (grandes entreprises, investisseurs institutionnels, banques). L’intensification des ventes croisées et des synergies dégagées entre les métiers producteurs (“Cash Management”, “Trade Services”, Marchés) et les métiers distributeurs vont dans ce sens. Cette approche est soutenue par le renforcement des actions commerciales auprès d’un nombre croissant de clients, au travers du déploiement de nouvelles équipes dédiées aux relations avec les 150 grands clients dont le CCF a la responsabilité. Les nouveaux produits en cours de développement, tout comme la localisation, au CCF, de centres d’expertises pour le Groupe HSBC (structured trade services, centre intermédiation pour les produits euro et tous les dérivés structurés, euro-clearer) devraient contribuer au gain de parts de marché. Une connaissances des clients, renforcée par la mise en place d’outils mondiaux de CRM (Customer Relationship Management) et d’analyse de crédit permettront d’accélérer ces développements. En matière de gestion d’actifs, le CCF poursuit son développement en Europe continentale à partir de France. Dans les métiers de l’épargne entreprise, un nouveau schéma d’organisation va être mis en place ; il est destiné à séparer les activités de gestion et de tenue de compte conformément à l’évolution de la réglementation. En parallèle, les équipes d’Elysées Fonds travaillent en étroite collaboration avec Erisa pour enrichir l’offre de produits notamment dans le domaine de l’épargne entreprise avec le lancement de HSBC CCF Epargne Entreprise. Pour la banque privée, les efforts vont porter en 2003 sur le projet d’intégration des quatre filiales opérant en France dans le métier : Eurofin, Banque du Louvre, CCF BPI et HSBC Bank France SA, permettant de créer la première banque privée française. 130 L’ensemble de ces objectifs sera facilité par le rapprochement des systèmes CCF de ceux du Groupe HSBC. Ce rapprochement qui va se traduire par la mise en place de HUB, système multi-bancaire du Groupe, permettra à terme des synergies importantes de coûts et de revenus. Le déploiement de HUB, qui couvre les opérations de banques commerciales, devrait intervenir en plusieurs étapes. Après une première application à la Banque de Picardie pour les opérations des comptes de particuliers et les opérations de base de la clientèle de PME en 2004-2005, il sera suivi d’une seconde étape à l’UBP avec l’intégration de fonctionnalités plus élaborées pour les entreprises ainsi que les bases d’un outil de CRM. La troisième phase en 2006-2007 permettra sa mise en application au CCF, avec les fonctionnalités nécessaires aux grandes entreprises ainsi que des outils de CRM plus complets. En 2003, le CCF entend poursuivre les objectifs stratégiques qu’il s’est ainsi défini tout en respectant ses objectifs financiers dans un environnement économique dégradé. 131 CCF Responsables du document de référence et responsables du contrôle des comptes Personnes qui assument la responsabilité du document de référence – Le Président-Directeur Général. – Les Commissaires aux Comptes. Attestation des personnes qui assument la responsabilité du document de référence A notre connaissance, les données du présent document de référence sont conformes à la réalité ; elles comprennent toutes les informations nécessaires aux investisseurs pour fonder leur jugement sur le patrimoine, l’activité, la situation financière, les résultats et les perspectives de la Société ; elles ne comportent pas d’omission de nature à en altérer la portée. Le Président-Directeur Général Charles de Croisset En notre qualité de Commissaires aux Comptes du CCF et en application du règlement COB nº 98-01, nous avons procédé, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à la vérification des informations portant sur la situation financière et les comptes historiques données dans le présent document de référence. Ce document de référence a été établi sous la responsabilité de Monsieur Charles de Croisset, PrésidentDirecteur Général. Il nous appartient d’émettre un avis sur la sincérité des informations qu’il contient portant sur la situation financière et les comptes. Nos diligences ont consisté, conformément aux normes professionnelles applicables en France, à apprécier la sincérité des informations portant sur la situation financière et les comptes, à vérifier leur concordance avec les comptes ayant fait l’objet d’un rapport. Elles ont également consisté à lire les autres informations contenues dans le document de référence, afin d’identifier le cas échéant les incohérences significatives avec les informations portant sur la situation financière et les comptes, et de signaler les informations manifestement erronées que nous aurions relevées sur la base de notre connaissance générale de la société acquise dans le cadre de notre mission. Le document de référence ne comporte pas de données prévisionnelles isolées résultant d’un processus d’élaboration structuré, notre lecture n’a pas eu à prendre en compte les hypothèses retenues par les dirigeants et leur traduction chiffrée. Les comptes annuels et les comptes consolidés pour les exercices clos les 31 décembre 2000 et 2001 arrêtés par le Conseil d’Administration, ont fait l’objet d’un audit par nos soins selon les normes professionnelles applicables en France, et ont été certifiés sans réserve. Une observation a été insérée dans nos rapports sur les comptes annuels 2001, afin d’attirer l’attention sur les nouvelles règles de présentation des documents de synthèse individuels et consolidés des banques, ainsi que sur le résultat exceptionnel consolidé. Les comptes annuels de l’exercice 2002, arrêtés par le Conseil d’Administration, ont fait l’objet d’un audit par nos soins, selon les normes professionnelles applicables en France et ont été certifiés sans réserve. Les comptes consolidés de l’exercice 2002, arrêtés par le Conseil d’Administration, ont fait l’objet d’un audit par nos soins, selon les normes professionnelles applicables en France et ont été certifiés sans réserve. Sur la base de ces diligences, nous n’avons pas d’observation à formuler sur la sincérité des informations portant sur la situation financière et les comptes, présentées dans ce document de référence. Paris-La Défense et Paris, le 2 juin 2003 Les Commissaires aux Comptes Cabinet Alain Lainé Représenté par Alain Lainé Associé 132 KPMG Audit Département de KPMG SA Représentée par Fabrice Odent Associé Noms et adresses des Commissaires aux Comptes Date de première nomination dddddd Date de renouvellement du mandat dddddd Date d’expiration du mandat dddddd Titulaires Cabinet Alain Lainé Représenté par M. Alain Lainé 2, rue du Colonel Moll 75017 Paris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 – 2008 KPMG Représenté par M. Fabrice Odent 1, cours Valmy 92923 Paris-La Défense Cedex . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2001 – 2007 Suppléants Jean Autissier 2, rue du Colonel Moll 75017 Paris . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2002 – 2008 Gérard Gaultry 1, cours Valmy 92923 Paris-La Défense Cedex . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2001 – 2007 133 CCF Table de concordance du document de référence Informations Pages du rapport annuel Attestation des responsables – Attestation des responsables du document de référence – Attestation des contrôleurs légaux des comptes 132 à 133 107 à 110 Renseignements de caractère général Emetteur 113 à 114 Capital – Capital autorisé non émis – Capital potentiel – Tableau d’évolution du capital sur cinq ans 115 115 116 à 117 Capital et droits de vote – Répartition actuelle du capital et des droits de vote – Evolution de l’actionnariat 118 119 Marchés des Titres – Dividendes 119 Activité du Groupe – Organisation du Groupe (relation mère et filiales, information sur les filiales) – Chiffres clés du Groupe – Informations chiffrées sectorielles (par activité, par zone géographique et/ou pays) – Marchés et positionnement concurrentiel de l’émetteur – Politique d’investissements 94 à 100 30 à 34 3à6 3à6 101 à 103 Analyse des risques du Groupe – Facteurs de risques – Assurances et couverture des risques Patrimoine, situation financière et résultats – Comptes consolidés et annexe – Engagements hors bilan – Honoraires des Commissaires aux Comptes et des membres de leurs réseaux – Information financière pro forma – Ratios prudentiels réglementaires – Comptes sociaux et annexes 20 à 26 26 36 à 79 66 à 67 18 34, 49 à 50, 71 à 72 25 80 à 93 Gouvernement d’entreprise – Composition et fonctionnement des organes d’administration, de direction, de surveillance – Composition et fonctionnement des comités – Dirigeants mandataires sociaux (rémunérations et avantages, options consenties et levées, BSA et BSPCE) – Dix premiers salariés non mandataires sociaux (options consenties et levées) – Conventions réglementées Evolution récente et perspectives – Evolution récente – Perspectives 134 14 à 15 15 à 16 17 127 106 129 130 CCF Implantations RESEAUX BANCAIRES ET DISTRIBUTION FRANCE CCF Nombre d’agences : 217 103, avenue des Champs-Elysées 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 40 70 70 40 Fax : 33 1 40 70 70 09 Site Internet : www.ccf.com Banque Chaix Nombre d’agences : 65 Pierre-Marie Bonaccorsi 43, cours Jean-Jaurès 84000 Avignon Téléphone : 33 4 90 27 27 27 Fax : 33 4 90 27 27 01 Banque Dupuy, de Parseval Nombre d’agences : 44 Alain Gros 10, rue du Général-de-Gaulle 34200 Sète Téléphone : 33 4 67 46 29 30 Fax : 33 4 67 74 36 54 Banque Hervet Nombre d’agences : 86 Patrick Careil 127, avenue Charles-de-Gaulle 92204 Neuilly-sur-Seine Cedex Téléphone : 33 1 46 40 90 00 Fax : 33 1 46 40 90 05 Banque Marze Nombre d’agences : 10 Jacques Couleru Avenue de Roqua - BP 76 07205 Aubenas Cedex Téléphone : 33 4 75 87 49 10 Fax : 33 4 91 13 33 16 Banque Pelletier Nombre d’agences : 11 Jean-François Lorin Cours Julia Augusta 40100 Dax Téléphone : 33 4 75 87 49 10 Fax : 33 5 58 56 88 80 Banque de Picardie Nombre d’agences : 17 Benoît d’Audiffret 3, rue de la Sous-Préfecture 60200 Compiègne Téléphone : 33 3 44 38 73 00 Fax : 33 3 44 38 73 21 Banque de Savoie Nombre d’agences : 55 Joël Biaudet 6, boulevard du Théâtre 73000 Chambéry Téléphone : 33 4 79 33 93 10 Fax : 33 4 79 33 91 04 Crédit Commercial du Sud-Ouest Nombre d’agences : 55 Bernard Francisoud 17, allée James Watt 33700 Mérignac Téléphone : 33 5 56 13 72 72 Fax : 33 5 56 34 47 91 Société Marseillaise de Crédit Elysées Fonds Nombre d’agences : 158 Joseph Perez 75, rue Paradis 13006 Marseille Téléphone : 33 4 91 13 33 33 Fax : 33 4 91 13 33 16 Luc Roux 93, rue des Trois-Fontanot 92725 Nanterre Cedex Téléphone : 33 1 41 02 65 00 Fax : 33 1 41 02 65 55 Sinopia Asset Management Union de Banques à Paris Nombre d’agences : 55 Raymond Bert 17-19, place Etienne-Pernet 75015 Paris Téléphone : 33 1 45 30 44 44 Fax : 33 1 45 30 44 77 CCF Change Nombre de bureaux de change : 13 Jean-François Baillot 4, rue du Cloître-Notre-Dame 75004 Paris Téléphone : 33 1 46 33 79 67 Fax : 33 1 40 51 72 53 Philippe Goimard 66, rue de la Chaussée-d’Antin 75009 Paris Téléphone : 33 1 53 32 52 00 Fax : 33 1 53 32 52 20 HSBC Multimanager (Europe) Christophe de Backer 4, place de la Pyramide Immeuble Ile-de-France La Défense 9 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 58 13 98 50 Fax : 33 1 58 13 98 51 Erisa Elysées Factor Gilles Bucheton 103, avenue des Champs-Elysées 75008 Paris Téléphone : 33 1 41 11 84 84 Fax : 33 1 41 11 84 85 Joëlle Durieux 15, rue Vernet 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 41 02 40 40 Fax : 33 1 41 02 49 84 Erisa Iard Netvalor Olivier Costa de Beauregard 64, rue Galilée 75008 Paris Téléphone : 33 1 56 56 21 50 Fax : 33 1 56 56 21 56 Gilles Jobert 85, rue des Trois-Fontanot 92000 Nanterre Téléphone : 33 1 41 02 87 97 Fax : 33 1 58 13 17 40 BANQUE PRIVEE METIERS DE GRANDE CLIENTELE CCF Banque Privée Internationale HSBC CCF Securities (France) SA Jean-Claude Marchet 121, avenue des Champs-Elysées 75008 Paris Téléphone : 33 1 40 70 70 04 Fax : 33 1 40 70 70 11 Samir Assaf 103, avenue des Champs-Elysées 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 40 70 33 49 Fax : 33 1 40 70 35 54 e-mail : [email protected] GESTION D’ACTIFS ET ASSURANCE HSBC CCF Asset Management Group Christophe de Backer Immeuble Ile-de-France 4, place de la Pyramide - La Défense 9 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 41 02 40 00 Fax : 33 1 41 02 46 86 HSBC Asset Management Europe (SA) Christophe de Backer Immeuble Ile-de-France 4, place de la Pyramide - La Défense 9 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 41 02 40 00 Fax : 33 1 41 02 46 86 Vernet Valor Guy-Hervé Coffin 93, rue des Trois-Fontanot 92000 Nanterre 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 41 02 48 73 Fax : 33 1 41 02 67 34 Banque Eurofin Gérard de Bartillat 41, rue de la Bienfaisance 75008 Paris Téléphone : 33 1 42 99 34 00 Fax : 33 1 42 99 34 99 e-mail : [email protected] Banque du Louvre Henri des Déserts 139, boulevard Haussmann 75008 Paris Téléphone : 33 1 44 35 77 77 Fax : 33 1 44 35 78 78 Apogé Colette Masset 54, rue Beaubourg 75003 Paris Téléphone : 33 1 49 96 64 64 Fax : 33 1 49 96 09 34 135 CCF Implantations (suite) AUTRES ENTITES DU GROUPE HSBC EN FRANCE HSBC Bank France SA François Seurre 20, place Vendôme 75001 Paris Téléphone : 33 1 44 86 18 61 Fax : 33 1 40 20 94 85 HOLLANDE ROYAUME-UNI HSBC Bank plc Framlington Group Ltd HSBC Bank plc Karspeldreef 6H 1101 CJ Amsterdam Tél : 31 20 565 0060 Fax :31 20 565 0065 Filiale - Gestion d’actifs Mike Vogel 155 Bishopsgate EC2M 3XJ, London Téléphone : 44 20 7374 4100 Fax : 44 20 7330 6639 ITALIE HSBC Bank plc HSBC Bank plc Sinopia International Ltd Succursale Alessandro Baroni Via Santa Maria alla Porta 2 20123 - Milan Téléphone : 39 02 72 43 71 Fax : 39 02 72 43 78 00 Lee Chautin 25 Bruton street London W1X7 DB Téléphone : 44 20 7355 5305 Fax : 44 20 7355 5309 e-mail : [email protected] BELGIQUE Agence Agence CCF* CCF Via Guido d’Arezzo 28 GRECE Bernard de Bellefroid 46, avenue des Arts - 4e étage B - 1000 Bruxelles Téléphone : 32 2 508 11 30 Fax : 32 2 513 05 16 00198 - Rome Téléphone : 39 06 8440 1001 Fax : 39 06 8440 1030 Dimitri Politis 20, avenue Amalias GR 10557 Athènes Téléphone : 30 1 324 18 31 à 38 Fax : 30 1 324 93 93 Nicolas Fourré 15, rue Vernet 75419 Paris Cedex 08 Téléphone : 33 1 40 70 70 40 Fax : 33 1 58 13 96 48 AUTRES ENTITES EUROPEENNES HSBC Bank plc Daniel Olave 46, avenue des Arts - 4e étage B - 1000 Bruxelles Téléphone : 32 2 508 11 82 Fax : 32 2 513 35 24 Banque Dewaay SA Filiale Banque Privée Henri Servais Boulevard Anspach 1 - bte 39 B - 1000 Bruxelles Téléphone : 32 2 227 88 11 Fax : 32 2 227 89 32 Banque Dewaay SA Christophe Keusters Maarschalk Gerard Straat n°19 Bus 2 B - 2000 Anvers - 1 Téléphone : 32 3 231 39 07 Fax : 32 2 225 10 40 ESPAGNE HSBC Intermediarios España AVB SA José Leach Calle Juan de Austria, 4 - 1er étage 46002 - Valence Téléphone : 349 6 351 0625 Fax : 349 6 352 7039 HSBC Fund Management (España) SGIIC SA Torre Picasso - 32e étage Plaza Pablo Ruiz Picasso, 1 28020 - Madrid Téléphone : 349 1 456 6100 Fax : 349 1 456 6234 HSBC Asset Management (Europe) SA Via Santa Maria alla Porta 2 20123 – Milan Téléphone : 39 02 72 43 74 91 Fax : 39 02 72 43 74 90 HSBC SGR (Italie) SpA Banque Privée Marco Farina Via Santa Maria alla Porta 2 20123 - Milan Téléphone : 39 02 72 43 71 Fax : 39 02 72 43 72 08 LUXEMBOURG Banque Dewaay SA Intermédiation Richard Schneider 18, boulevard Royal - BP 843 L 2018 Luxembourg Téléphone : 352 22 93 91 Fax : 352 22 13 04 Dewaay Luxembourg SA Filiale - Banque Privée Michel Catulle 18, boulevard Royal - BP 843 L 2018 Luxembourg Téléphone : 352 47 43 85 -1 Fax : 352 22 03 25 LGI Filiale - Banque du Louvre Hugues Riche 17, boulevard Roosevelt L 2450 Luxembourg Téléphone : 352 22 38 331 Fax : 352 22 38 34 PAYS-BAS HSBC Bank plc HSBC Bank plc Torre Picasso - 33 étage Plaza Pablo Ruiz Picasso, 1 28020 - Madrid Téléphone : 349 1 456 61 00 Fax : 349 1 456 6200 e 136 Karspeldreef 6 H 1101 CJ Amsterdam Téléphone : 31 20 565 00 60 Fax : 31 20 565 00 65 * Sous périmètre de gestion HSBC. © Copyright CCF SA 2003 Tous droits réservés Aucune partie de ce document ne peut être reproduite, conservée dans un système d’archivage ou transmise, sous quelque forme ou par quelque moyen que ce soit, tant électronique que mécanique ou au moyen de photocopies, d’enregistrements ou de tous autres procédés, sans l’autorisation préalable et écrite du CCF. Publié par la Direction de la Communication, CCF, Paris. Conçu par Group Public Affairs, The Hongkong and Shanghai Banking Corporation Limited, Hong Kong. Le présent document de référence a été déposé auprès de la Commission des opérations de bourse le 2 juin 2003, conformément au règlement n° 98-01 / n° 95-01. Il pourra être utilisé à l’appui d’une opération financière s’il est complété par une note d’opération visée par la Commission des opérations de bourse. Imprimé par Franklin Partners, Paris, sur un papier sans chlore ne portant pas atteinte à l’environnement. Crédits photographies : Toutes les photographies sont de Philippe Schaff exceptée la photographie de Charles de Croisset. CCF CCF 103, avenue des Champs-Elysées 75419 Paris Cedex 08 France Téléphone : (33 1) 40 70 70 40 Facsimile : (33 1) 40 70 70 09 Web : www.ccf.com CCF Document de référence 2002 Votre banque, partout dans le monde Document de référence