la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité
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la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité
n° 158 novembre-décembre 2014 ISSN 1777-5752 Bimestriel 70 euros revue-banque.fr BANQUE DROIT la pratique du droit bancaire et financier et de la conformité 3 ÉDITORIAL Jean-Jacques DAIGRE A RT I C L ES 4 Cautionnement, mention manuscrite et limitation des recours Guillaume ANSALONI, de Gaulle Fleurance & Associés Franck JULIEN, Crédit Agricole Corporate & Investment Bank 13Une nouvelle catégorie de clients : les personnes en situation de fragilité financière Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE, Université de Strasbourg C H RON I QU ES 18 COMPTES, CRÉDITS ET MOYENS DE PAIEMENT Thierry BONNEAU et Geneviève HELLERINGER 26 DROIT FINANCIER ET BOURSIER Jean-Jacques DAIGRE, Jean-Pierre BORNET, Anne-Claire ROUAUD et Frida MEKOUI 38 GESTION COLLECTIVE Fabrice BUSSIÈRE 42BANCASSURANCE Pierre-Grégoire MARLY, Sylvestre GOSSOU et Michel LEROY 43GARANTIES Nicolas RONTCHEVSKY, François JACOB et Emmanuel NETTER 51 DROIT PÉNAL BANCAIRE Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE 55 DROIT DES SOCIÉTÉS Isabelle RIASSETTO, Michel STORCK et Quentin URBAN 59 VEILLE SANCTIONS ACPR-AMF ET JURIDICTIONS DE RECOURS Sous la direction de Marie-Agnès NICOLET et Henri CALVET 61BIBLIOGRAPHIE Alain CERLES Éditorial De l’Europe juridique bancaire et financière I JEAN-JACQUES DAIGRE Professeur émérite, Université Paris I Directeur éditorial, Banque & Droit l en va de l’Europe bancaire et financière comme de l’Europe politique, ce qui n’est pas surprenant, la première étant le produit de la seconde. Puisqu’il a été décidé de faire cause commune dans le domaine bancaire et financier comme dans les autres domaines économiques, et de plus en plus en raison de l’importance de ce secteur dans l’équilibre monétaire, le financement de l’économie et des États et des risques majeurs et systémiques qu’il emporte, les institutions de l’Union européenne ont dû recevoir le pouvoir d’édicter des normes communes, de vérifier leur introduction dans les réglementations nationales, de contrôler leur bonne application et de sanctionner les manquements les plus graves, du moins ceux qui pourraient mettre en cause l’intérêt général européen. Aussi, inévitablement, le secteur bancaire et financier en subit-il les conséquences et les inconvénients, mais, dès lors qu’il y va de l’intérêt commun, il ne saurait s’y refuser et, d’ailleurs, ne s’y refuse pas, même s’il fait légitimement valoir ses préoccupations. Cependant, ce mouvement de centralisation de la réglementation, de sa mise en œuvre, de son contrôle et de sa sanction, doit être manié avec doigté, ce qui n’est pas une mince difficulté s’agissant de décisions devant trouver un consensus entre vingt-huit États représentant des héritages politiques, économiques et juridiques différents, notamment en matière juridique. Aussi, pour éviter les interprétations discordantes, voire les dérives nationales, convientil d’abord d’édicter des règles européennes précises ; mais ces règles communes sont difficiles à concevoir, car elles doivent trouver – outre, évidemment, un accord politique à chaque fois –, un dénominateur commun entre des traditions juridiques nationales différentes, dont le résultat prend souvent à contre-pied les juristes nationaux. Elles doivent au surplus être suffisamment précises pour être appliquées dans les mêmes termes et le même esprit au sein de chaque État, mais pas trop, pour rester adaptables à l’évolution des situations. Autrement dit, elles doivent être à la fois générales et précises, ce qui suppose un équilibre difficile à trouver et relève d’un art fin de la légistique ; d’où les débats récurrents, posés parfois en termes abrupts (règles vs principes), d’autres fois moins manichéens et plus pragmatiques mais assez flous (pour une meilleure régulation) ; d’où la recherche d’une hiérarchisation des normes par le système de la comitologie. Mais ce processus a favorisé la multiplication des niveaux de normes et, par conséquent, des normes elles-mêmes, inconvénient aggravé par la démultiplication de textes prétendument non normatifs, dits de soft law, qui sont forcément très bavards, parce que rédigés au plus près des situations concrètes et ayant vocation de vade-mecum. Or, s’agrégeant aux normes et émanant des mêmes instances, ils bénéficient implicitement de la même force. Le résultat est de plus en plus souvent le trop-plein. De plus, il faut reconnaître que les professionnels renforcent le mouvement, en demandant des textes de plus en plus précis. Du point de vue de la réglementation, la difficulté majeure est de trouver un équilibre entre des textes clairs et précis, mais qui laissent des marges d’organisation et donnent des orientations intelligibles. De même, la nécessité d’organes communs de contrôle, de surveillance et de sanction n’est pas discutable. Mais, là encore, une difficulté se manifeste : celle d’articuler efficacement les organes centraux avec les organes nationaux. C’est peut-être aujourd’hui le plus grand défi qui attend la mise en œuvre du mécanisme de supervision européenne. Il y faudra de l’énergie et du doigté de part et d’autre, c’est-à-dire entre les instances européennes et les instances nationales. n Banque & Droit n° 158 novembre-décembre 2014 3 SÉMINAIRES Rencontre Banque & Droit Vendredi 30 janvier 2015 9h00 - 12h00 MONÉTIQUE, SERVICES DE PAIEMENT ET E-COMMERCE : LES OPPORTUNITÉS DE DEMAIN Accueil des participants et petit-déjeuner Introduction et animation de la séance Hubert de VAUPLANE, associé, Kramer Levin Naftalis & Frankel LLP Le point de vue du superviseur national sur la réglementation des plates-formes • Les effets de la mise en conformité des marketplaces • La régulation des plates-formes de crowdfunding • La question des monnaies virtuelles Fabrice PESIN, secrétaire général, ACPR État des lieux des principales préoccupations du marché de l’e-commerce et des services en ligne Marc LOLIVIER, délégué général, FEVAD Quels changements aujourd’hui et demain pour les commerçants et pour les banques ? • Services de paiement et monnaie électronique : quel nouveau business model ? • Le développement des paiements en bitcoins par certains PSP : quels impacts ? • Sécuriser les paiements : Comment se prémunir des risques de fraude ? • Quels sont les impacts juridiques en termes de protection pour les consommateurs ? Jean-Luc DUBOIS, directeur des flux et moyens de paiements, Crédit Mutuel Arkéa Gonzague GRANDVAL, président fondateur, Paymium PingKi HOUANG, COO, Showroomprive.com Michel TAOUI, responsable financier, La Redoute 12h00 r ur Frédéric HERVO, directeur des systèmes de paiement et infrastructures de marchés, Banque de France re v La dynamique du marché des services de paiement : les enjeux à l’échelle européenne iption s scr ue e.f Points d’attention sur les évolutions réglementaires européennes • DME 2 et proposition de DSP 2 : où en est-on ? Pierre STORRER, Counsel, Kramer Levin Naftalis & Frankel LLP Pierre-Grégoire MARLY, professeur agrégé des Facultés de droit, Doyen de la Faculté du Mans et Médiateur de l’AFEPAME • Les avancées techniques : les standards EPAS et le projet OSCAR Frédéric MAZURIER, directeur administratif et financier, Carrefour Banque In 8h30 9h00 -banqu Lieu Auditorium de la FBF 18, rue La fayette 75009 Paris Tarifs Tarif : 360 euros TTC Tarif réservé aux membres de l’ANJB : 270 euros TTC Contact Magali Marchal Tél.: 01 48 00 54 04 [email protected] Pour plus d’infos revue-banque.fr Clôture de la séance En partenariat avec En collaboration avec En collaboration avec ASSOCIATION NATIONALE DES JURISTES DE BANQUE Une nouvelle catégorie de clients : les personnes en situation de fragilité financière JÉRÔME LASSERRE CAPDEVILLE Maître de conférences HDR Université de Strasbourg Depuis la loi du 26 juillet 2013 de séparation et de régulation des activités bancaires, notre droit prévoit un régime de protection plus important au bénéfice de certains clients des établissements de crédit : les personnes en situation de fragilité financière. Cette contribution revient sur cette nouvelle catégorie de clients ainsi que sur les droits particuliers qui leur sont désormais reconnus. 1. La loi n° 2013-672 du 26 juillet 2013 de séparation et de régulation des activités bancaires 1 est très certainement le texte le plus important de ces dix dernières années pour le droit bancaire. Elle est ainsi à l’origine d’un grand nombre de nouveautés, comme par exemple la séparation des activités utiles au financement de l’économie des activités spéculatives, de nouvelles mesures luttant contre les paradis fiscaux et le blanchiment d’argent, la mise en place d’un régime de résolution bancaire, le renforcement des pouvoirs de l’AMF, etc. 2. En outre, et c’est ce que nous intéresse plus particulièrement ici, la loi prévoit des évolutions à connotation « sociale », c’est-à-dire tendant à la protection de personnes connaissant des difficultés bancaires et financières 2. Elle cherche ainsi à promouvoir l’« inclusion bancaire » 3, c’est-à-dire évi- 1. Loi n° 2013-672 du 26 juillet 2013 de séparation et de régulation des activités bancaires : JO du 27 juill. 2013, p. 18451. – J. Lasserre Capdeville, « Séparation et régulation des activités bancaires. Une avancée du droit », JCP G 2013, 925. – S. Piedelièvre, « La loi sur la séparation et la régulation des activités bancaires », D. 2013, p. 2110. – Petites Affiches, 27 sept. 2013, n° 194, n° spécial. 2. M. Roussille, « Loi SRAB : incidences sur les relations des banques avec les consommateurs », CCC févr. 2014, étude 3. – N. Mathey, « La protection du consommateur », RD banc. fin. 2013, dossier 57. 3. Rapport de L. Soulage, Inclusion bancaire et lutte contre le surendettement : Conférence nationale de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale, nov. 2012. – Rappelons que lors du comité interministériel de lutte contre les exclusions du 21 janvier 2013, le Gouvernement a annoncé la mise en œuvre d’un plan « pluriannuel contre la pauvreté ter l’exclusion bancaire par l’offre de services bancaires de base à faible coût pour des consommateurs en difficultés. Il est vrai que les services bancaires représentent des services indispensables pour être intégré à la société. Cet objectif est manifeste dans les évolutions prévues par la loi du 26 juillet 2013 en matière droit au compte 4. C’est ainsi que, dans le but de faciliter la mise en œuvre de ce droit, il est désormais imposé aux banques refusant d’ouvrir un compte de remettre systématiquement et sans délai une attestation de refus d’ouverture de compte 5. La loi nouvelle permet également à certains acteurs sociaux (départements, caisses d’allocations familiales, associations, etc.) d’entreprendre les démarches auprès de la Banque de France. 3. De même, et toujours dans ce souci de protéger « le plus faible », la loi fait bénéficier certains clients de règles plus protectrices en vue de limiter, notamment, les frais bancaires en cas d’incident 6. Il s’agit des personnes « en situation de fragilité financière ». Un décret récent 7 vient de préciser cette notion en définissant les critères de sa détection. Les intéressés ont droit alors, de par leur situation, à des mesures protectrices : d’une part, ils bénéficient d’une offre spécifique de nature à limiter les frais en cas d’incident, et, d’autre part, les commissions d’intervention susceptibles de leur être demandées sont limitées par un seuil particulier. 4. Reprenons, plus en détail, l’ensemble de ces points, c’est-à-dire la qualité de personnes en situation de fragilité financière (I.) ainsi que les droits qui leur sont désormais reconnus (II.). Il est vrai que le contenu des textes laisse encore une certaine place au doute. 4. 5. 6. 7. et pour l’inclusion sociale », qui compte justement un volet « inclusion bancaire et lutte contre le surendettement ». J. Lasserre Capdeville, « Le renforcement du droit au compte et aux services bancaires de base », Petites Affiches, 27 sept. 2013, n° 194, p. 74. C. mon. fin., art. L. 312-1, al. 2. N. Eréséo, « Le plafonnement des commissions d’intervention par la loi n° 2013-672 du 26 juillet 2013 », Petites Affiches, 27 sept. 2013, n° 194, p. 71. Décret n° 2014-738 du 30 juin 2014 relatif à l’offre spécifique de nature à limiter les frais en cas d’incident : JO du 1er juill. 2014, p. 10847 ; JCP E 2014, act. 504. – « Frais bancaires : de nouvelles règles pour les plus fragiles », lesechos.fr, 1er juill. 2014. Banque & Droit nº 158 novembre-décembre 2014 13 Nouveauté Une référence qui compte dans le corpus scientifique du Droit des paiements P our la première fois, un ouvrage est consacré au droit nouveau de la monnaie électronique, issu de la directive européenne du 16 septembre 2009 (dite « DME 2 »), transposée dans le Code monétaire et financier par une loi du 28 janvier 2013. Droit de la monnaie électronique qui participe plus largement de celui des services de paiement (créé par la « DSP ») et du projet SEPA (Single Euro Payments Area). Après avoir traité de la notion de monnaie électronique et des règles juridiques, tant européennes que nationales, qui la gouvernent, l’auteur analyse de manière originale et selon une approche résolument pratique et didactique les différents acteurs de la « chaîne économique » du paiement en monnaie électronique : émetteurs, distributeurs, consommateurs et accepteurs. Au sein d’une réglementation complexe, une place de choix est faite à la pratique contractuelle, nourrie par la richesse des utilités de la monnaie électronique. Est ainsi révélée la diversité des contrats de la monnaie électronique, contrats de services de paiement mais aussi contrats commerciaux. Le champ du lectorat s’étend des banques aux autres prestataires de services de paiement. L’ouvrage intéresse également tous les acteurs de l’économie numérique, les praticiens, les universitaires et les étudiants, les institutionnels et les organisations professionnelles. DROIT DE LA MONNAIE ÉLECTRONIQUE PIERRE STORRER Préface de Myriam Roussille Professeur de Droit à l’Université du Mans Membre du laboratoire IRJS Sorbonne Affaires et Finance Avant-propos de Jean-Jacques Daigre Professeur émérite de l’École de Droit de la Sorbonne Directeur éditorial de Banque & Droit 32 € Pierre STORRER est avocat au Barreau de Paris où il pratique le droit des moyens et services de paiement. Il tient une chronique mensuelle consacrée à ce sujet dans la Revue Banque. Commandes, informations, catalogue : revue-banque.fr contact : [email protected] Banque & Droit ABONNEMENTS 2014 Je choisis l’abonnement à BANQUE & DROIT coché ci-dessous : DÉCOUVERTE : 1 no + accès online ■ Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvelable) 1 AN : 6 nos + 2 hors-séries + accès online France (TTC) Étranger 70,00 € 75,00 € France (TTC) ■ Institutionnel ■ Étudiant 425,00 € 99,00 € Étranger Quantité Total ABONNEMENT 1 AN 6 nos + 2 hors-séries + accès on line ......... ......... Quantité 445,00 € ......... 130,00 € ......... Total ......... ......... n° 133 Septembre-octobre 2010 ISSN 1777-5752 Bimestriel 65 euros revue-banque.fr BANQUE DROIT la pratique du droit bancaire français et européen COUPLAGE REVUE BANQUE + BANQUE & DROIT 1 AN : 18 nos + 2 suppléments + 2 hors-séries + accès online France (TTC) Étranger ■ Tous abonnés (offre réservée aux non abonnés) 635,00 € ......... 605,00 € aRT Icles 3 Emmanuel Jouffin, Docteur en droit Quantité Total Lutte antiblanchiment Dans le labyrinthe des listes d’États et territoires 25 Directive OPCVM IV Nouvelles règles, nouveaux défis pour la gestion d’actifs Arnaud LEfin et Vincent SouLignAc, groupe BPcE ......... David MASSon et Houda DAMon, Ernst&Young, Société d’Avocats 29 LA BIBLIOTHÈQUE NUMÉRIQUE (1) Réglementation du travail le droit dévertébré de la lutte contre la discrimination 16 Pérennité et diffusion des données la dimension juridique de l’archivage électronique Sabine MArcELLin, EPf - École d’ingénieurs ch RONIques France (TTC) Quantité Total ■ Abonnement annuel – 1 compte 165,00 € ......... ■ Abonnement annuel – 5 comptes (2) 625,00 € ......... ......... 34 41 DROIT baNcaIRe Thierry BonnEAu 50 54 59 63 69 71 73 GesTION cOllecTIve fabrice BuSSiÈrE DROIT fINaNcIeR eT bOuRsIeR Hubert de VAuPLAnE, Jean-Jacques DAigrE, Bertrand de SAinT MArS et Jean-Pierre BornET baNcassuRaNce Pierre-grégoire MArLY et Sylvestre goSSou DROIT Des sûReTÉs nicolas ronTcHEVSKY et françois JAcoB DROIT Des sOcIÉTÉs Michel STorcK, Quentin urBAn et isabelle riASSETTo DROIT fIscal claire AcArD NOmINaTIONs bIblIOGRaphIe Alain cErLES Presse · Séminaires · Édition · Librairie · Internet ……… € TOTAL (TVA : 2,10 % incluse sur le tarif France) (1) Réservé aux abonnés à une des revues du groupe. (2) Au-delà de 5 comptes, nous consulter ([email protected]). Juin 2013 ISSN 1777-5752 70 euros revue-banque.fr BANQUE DR OI T BANQUE DR OI T Quel droit Décembre 2010 30 euros revue-banque.fr la pratique du Nom ....................................................................................... Prénom ............................................................................ Fonction........................................................................................................................................................................... Service ............................................................................................................................................................................. droit bancaire français et européen pour le développement de la banque en ligne ? Compte-r endu les actes du colloque organisé Banque & Droit présente Rencontr de Banque de l’université & Droit droit de e du 12 octobre 2010 sur ce thème par le Centre derniers. Strasbourg, les 6 et 7 décembre du droit et banquiers Juristes, universitaires, praticiens un état des lieux complet ont dressé à cette occasion de banque en ligne : activités aux du droit applicable internationales et des problèmes liés aux transactions cyla à juger les pour aux juridictions compétentes en ligne, ou encore à la bercriminalité de la banque clients, en données personnelles des protection des l Introduction dans les faits apparence, mais complexes – simples en Francis CREDOT, Senior of Malgré ligne.Avocats passant par des questions enSalans counsel, d’un crédit Associés compte ou la souscription – comme l’ouverture d’un pratique – qu’est-ce l Le nantissement juridique et la de entre la théorie créances de droit commun : quelle un décalage parfois flagrant ? –, ce colloque high-tech Augustin efficacité ? l’univers dansAYNES, Agrégé des facultés de droit, Professeur durable En à l’Université Paris XII qu’un document sur un support quelques vides juridiques. bases… et l de La cerner cession Dailly et l’affaire ou a permis de poser certaines de l’internaute en«ligne Cœur Défense » de l’identité s’assurer Jean-Louis comment GUILLOT, cirDirecteur quelles effet, par exemple, ? dans BNP actesjuridique, Paribas juridique d’effectuer certains déterminer s’il a la capacité l Leest-elle en cas de fraude ? transfert engagée de créances banque en fiducie : une alternative, de la constances la responsabilité avec quelles limites ? LES GARANTIES SUR CRÉAN CES À L’ÉPREUVE DES PROCÉ DURES COLLECTIVES Augustin AYNES, Agrégé Adresse ............................................................................................................................................................................ des facultés de droit, Professeur l Gage espèces et nantissement Thierry SAMIN, Responsable Presse · Séminaires · Édition à l’Université Paris XII de compte de la réglementation bancaire l Délégation et stipulation Lionel ANDREU, Maître de Code postal/ville.....................................................................Pays ................................................................................. HORS-SÉRIE hors-série français et européen la pratique du droit bancaire Société .............................................................................................................................................................................. pour autrui conférences à la faculté · Librairie · Internet et financière, Société Générale de droit de Nantes Code TVA (pour les pays de la CEE) ................................................................................................................................... Téléphone ..............................................................................Télécopie .......................................................................... E-mail (indispensable) ..................................................................................................................................................... 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