Aurillac 2015 - Festival International de Théâtre de Rue d`Aurillac
Transcription
Aurillac 2015 - Festival International de Théâtre de Rue d`Aurillac
30e Festival International de Théâtre de Rue Aurillac 2015 création graphique : Nadège and Co, d’après une illustration d’Henri Galeron Contact presse Anne Lacombe zinc production 9 rue de la Pierre Levée 75011 paris tél. : + 33 (0)1 49 29 00 08 [email protected] Festival d’Aurillac Association Eclat BP 205 15002 Aurillac tél. : + 33 (0)4 71 43 43 70 fax : + 33 (0)4 71 43 43 71 [email protected] www.aurillac.net facebook.com/festival.aurillac Dossier de presse mise à jour au 22 mai 2015 ASSOCIATION ECLAT Festival d’Aurillac BP 205 15002 Aurillac cedex France Aurillac 2015 tél. : + 33 (0)4 71 43 43 70 fax : + 33 (0)4 71 43 43 71 [email protected] www.aurillac.net facebook.com/festival.aurillac Licences Eclat 1-1045802, 2-1045803, 3-1045804 au nom de Christophe Paris 30e Festival International de Théâtre de Rue et Le Rendez-vous des compagnies de passage du 19 au 22 août Les Préalables du 10 au 18 août Les Rendez-vous professionnels du 19 au 22 août L’histoire du Festival d’Aurillac est particulièrement atypique dans le paysage culturel français. Créé en 1986 et inscrit volontairement dans un territoire rural, il n’a cessé dès lors de s’imposer comme l’une des principales manifestations de spectacle vivant en France, festival de référence pour les pouvoirs publics, référence aussi à l’échelle européenne et internationale en matière de théâtre de rue. Tout en ouvrant la programmation à des formes très différentes, Jean-Marie Songy et son équipe ont créé avec les artistes de rue des relations fortes et durables. Ce festival a été construit grâce et avec les artistes de ce secteur du spectacle vivant. Depuis les débuts, le nombre de compagnies n’a cessé de croître : en 1986, Aurillac accueillait 6 compagnies officielles et 1 compagnie de passage ; aujourd’hui, la programmation officielle réunit environ 20 compagnies, une programmation reconnue à la fois pour sa qualité et son ouverture à tous et à toutes formes d’expression. Viennent en parallèle, pour constituer le grand marché du spectacle de rue, plus de 500 compagnies de passage, qui font du Festival d’Aurillac un événement exceptionnel de création, de recherche et de diffusion artistique. Des rendez-vous professionnels, conférences et rencontres pubiques alimentent ces moments dédiés à la création. Le succès grand public de la manifestation a confirmé cette réussite. Durant le Festival, Aurillac triple sa population : plus de 100 000 personnes se croisent, durant les 4 jours. On y rencontre un public très divers, intergénérationnel et traversant toutes les classes sociales. En parallèle, les habitants du Bassin d’Aurillac se sont également appropriés le Festival. Les nombreuses éditions ont peu à peu formé localement un public friand et connaisseur du théâtre de rue. Ce qu’a bien montré le succès immédiat et grandissant des Préalables (*) initiées à partir de 1999, programmation de spectacles en amont du Festival dans des villes et villages de l’agglomération aurillacoise, du département et de la région. (*) Les lieux de représentations des Préalables 2015 seront disponibles début juin. Sommaire Edito de Jean-Marie Songy 4 Les compagnies & artistes Alixem TRIP(ES) ou mes parents n’ont pas eu les couilles de faire des enfants Artonik The Color of Time Cacahuète L’enterrement de Maman Carabosse Veillée d’âmes Compagnie sous X No visa for this country Delices DADA La Géographie des Bords Ktha Juste avant que tu ouvres les yeux Kumulus Naufrage La Compagnie du Deuxième Contact La Ménagerie L’Homme est un animal mobile Le G. Bistaki The Baïna Trampa Fritz Fallen Les Chiens de Navarre Les armoires normandes Les 3 Points de suspension Looking for Paradise Patrice de Bénédetti Jean, solo pour un monument aux morts Plasticiens Volants Little Nemo in Slumberland Théâtre de l’Unité Le Parlement Théâtre du Centaure La 7e Vague Une Peau Rouge Tleta Wired Aerial Theatre (Grande-Bretagne) As The World Tipped Les rendez-vous professionnels Le Rendez-vous des compagnies de passage Les rencontres professionnelles Objectif2032, chantier triennal Photographies et documentaires 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 24 26 SurExposition, Regards sur le festival d’Aurillac (1986-2014) 27 Le Parapluie, Centre international de création artistique 28 Les Partenaires 29 Le Festival, mode d’emploi 30 Accueil presse et accréditation 31 Edito Aurillac, le festival qui nous délivre… mais de quels démons ? L’ASSOCIATION ECLAT Président Philippe Meyer Vice-Présidente Catherine Amalric Trésorier Fred Sancère L’EqUIPE PERMANENTE DU FESTIVAL Directeur Jean-Marie Songy Administrateur Christophe Paris Directeur technique Cédric Ginouvès Assistante de direction Marie-Jo Serieys Communication/Médiation Laura Ignace Secrétaires Lætitia Forestier et Caroline Caumon-Garbe Coordination administrative des compagnies de passage Alain Brun Comptable Sylvie Van Overbeck Aide comptable Anne-Marie Lichnowski Régisseur général du Parapluie Hugo Lecanu ASSISTEE EN 2015 DE : Responsable des compagnies de passage Fatma Nakib Régisseur général des compagnies officielles Vincent Chiron Régisseur général des compagnies de passage Matthieu Bru Chargée de développement Charlotte Granger Responsable de l’accueil des professionnels Laurence Schapman Responsable de la billetterie Sara Vincent AVEC LE RENFORT DE : Accueil des compagnies de passage Juliette Alverne, Léa Desmarais et Justine Swygedaw Attachée de presse Anne Lacombe - zinc production 30 ans de chemins, quelques ampoules et courbatures, la ride qui rigole et toujours cette même question qui nous anime : Que faisons-nous de cette liberté acquise avec douceur et détermination ? Cela fait bientôt 30 ans que cette terre nourricière du théâtre de rue se rebiffe chaque été pour faire front à l’intolérance et aux xénophobies… 30 ans que nous nous mélangeons habitants, voyageurs, artistes, 30 ans que nous malaxons une kyrielle de contradictions entre écologie, autonomie, surréalisme, autogestion, vertiges indépendantistes, retour à la terre, prouesses technologiques, trou noir… Nos expressions artistiques et culturelles dans les espaces des villes et des campagnes humanisent, végétalisent et donnent du flair à notre vie en société ! Notre petite place forte du Cantal s’inscrit dans cette croyance : l’art d’être ensemble à un instant donné et dans un lieu qui nous dépasse… et qui nous fait grandir. Sur ce terreau, les tendances et manipulations de l’art pourraient s’exprimer, sans retenue et sans préoccupation de résultat ? Oui. C’est bien le défi qu’Aurillac relève, s’écarter des marchés formatés de la bonne conscience, enfoncer le clou du « Yes there is an alternative »… Nous ne démordons pas du principe que l’activité artistique reste indispensable, pour se laisser aller à l’inconnu et au renouvellement des idées. Le théâtre de rue n’en a pas fini avec vous, ces trente premières années n’ont été qu’un coup de chauffe, l’aventure intranquille et pagailleuse ne fait que commencer ! Cette année nous continuons de convoquer l’actualité de la création, notre mission première. Avec une pulsion familiale indéniable, nous ne manquerons pas de ritualiser notre rassemblement, d’ancrer nos âmes à la parole, de haranguer cet aujourd’hui qui nous met les rêves à vif. Nous vous préparons votre « théâtre à 360 degrés, un théâtre pour parler à la ville entière (*)», 24h sur 24, pour que chacun y trouve son conte, puise de l’énergie dans les méandres du bricoler et inventer ensemble… Nous vous invitons à garder le sens de la déraison et de la responsabilité. Pour cela et sans se défiler, cette trentième sera aussi ce que vous en ferez ! Jean-Marie Songy Directeur du Festival d’Aurillac et du Parapluie (*) Formule de Michel Crespin, fondateur du Festival disparu en septembre 2014. Cette 30e édition lui est dédiée. 4 CONTACT Alix Montheil Alixem Le suquet 19260 Treignac [email protected] 10 photographies sont disponibles sur le site du festival ALIXEM TRIP(ES) OU MES PARENTS N’ONT PAS EU LES COUILLES DE FAIRE DES ENFANTS Trip(es), c’est un banquet familial participatif et libertaire pour un très grand dehors. Trip(es), c’est un jeu sur l’épuisement des codes du théâtre, du moteur à réaction, des ressources d'un lieu, d'une vraie famille et de la bienveillance d'un groupe. Trip(es), c’est un flot de gesticulations qui cherchent à serrer l'enfant que nous avons tous été (en espérant qu'il ne soit pas mort). Trip(es), c’est peut être « comment montrer qu'on y arrivera jamais ». « Du côté de mon père, neuf chiens sont morts en comptant mon grand-père. Vous avalez un, deux, trois (voire sept) amuses gueules et moi je déballe mes tripes. Allouez-vous l'espace de cet instant dans cette famille éphémère que nous allons tenter de construire et sans doute de détruire aussitôt, ensemble. Nous, nous resterons nous-mêmes, avec tous les écarts de comportements possibles et (in)imaginables de l'humain, du comédien et des personnages. Il sera question de vous, des oiseaux qui passent, de mon grand père adulescent, de l'andouillette AAAA, de la page 357 du Banquet de Platon, des Renault Scènic TDCI et des labradors chocolat à poils longs... Continuez à tourner, coupez le feu et servez… Bon appétit !!! » Alixem vous invite à partager un moment où la frontière entre réalité et fiction ne tient qu’à un fil. Un fil fragile, qui ne demande peut-être qu’à casser. Le mieux que l’on puisse vous suggérer est de vous attendre à rien et à tout ! Au meilleur et au pire. Une façon de vous assurer que votre âme d’enfant palpite toujours. Les 19, 20, 21 et 22 août durée : 2h30 (trajet compris) - spectacle payant - conseillé à partir de 12 ans Alixem Ecriture et mise en scène : Alix Montheil Avec : Anne Corté, Louis Cahu, Julien Frégé, Alix Montheil, Benoit Plouzen Morvan, Héloïse Moisan, Kevin Thébault. Spectacle créé en 2014 Production déléguée : Derrière le Hublot-Pôle des arts de la rue-Capdenac-Gare Soutiens : L’Entre-Pont-Nice, Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA-SACD Bourse Ecrire pour la rue et Auteurs d’Espaces, La Paperie-Centre National des Arts de la RueAngers, Boom’structur-Clermont-Ferrand, FAI-ARFormation supérieure d’art en espace publicMarseille et Arto-Ramonville. (France) Formé à l'ESAD-Ecole nationale Supérieure d'Art Dramatique de Paris (2008-2011), puis à la FAI-AR-Formation supérieure d’art en espace public (2011-2013), Alix Montheil crée la compagnie Alixem en 2013. C’est durant ses formations et entouré de ses camarades de promotion qu’il esquisse déjà différents projets. Au cours d'une résidence de première expérience à la Métive et en partant des écrits du poète boxeur Arthur Cravan, ils créent une performance « d'investissement Dadaiste » d'un village creusois au Moutiers d'Ahun. En 2009, ils s’attèlent à une création autour d'une voiture plantée au beau milieu d'un champ haut-viennois. Conviés via la rumeur, les curieux et spectateurs souvent non aguerris, assisteront au spectacle Accident Artistique. Suivront en 2010, Les Condoléances des papillons, forme inspirée de la voiture plantée, sur l’ennui des jeunes zonant sur les parkings de supermarchés. A partir de 2011, Alix Montheil se consacre à un nouveau projet qu’il écrit, éprouve et teste durant sa formation à la FAI-AR : Trip(es) ou mes parents n’ont pas eu les couilles de faire des enfants reçoit l’aide du dispositif SACD Ecrire pour la rue et est créé en 2014. 5 ARTONIK CONTACT Stéphanie Soubra Artonik 41 rue Jobin - Friche la Belle de Mai 13003 Marseille tél. : + 33 (0)4 95 04 95 81 [email protected] www.artonik.org / www.thecoloroftime.org 7 photographies sont disponibles sur le site du festival The Color of Time Avec The Color of Time, la compagnie Artonik aborde un questionnement sur la diversité et s'inspire de La Holi, traditionnelle fête des couleurs hindoue. The Color of Time, c’est l’envie de partager ensemble une explosion de joie chromatique, en renouant avec la fête comme exorcisme de la peur. C'est l'envie que la rue redevienne l'espace de la cohésion et du métissage, symbolisé ici par le mélange des couleurs. Célébrée en Inde à l’arrivée du printemps, cette fête est l'occasion de manifester son amitié aux autres. Partout dans les rues les gens dansent et défilent avec des poudres colorées dont ils s'enduisent mutuellement en riant. Ce jour-là les castes n'existent plus et chacun est l'égal de l'autre. Si l’origine du projet puise dans la culture indienne, sa forme est résolument contemporaine avec une composition en mouvement associant comédiens, danseurs et musiciens. Pour prolonger le partage, Artonik invite le public à rejoindre la déambulation pour faire jaillir des « feux d’artifice » de Gulal(*) multicolore et changer ensemble la couleur du ciel. Mise en scène : Alain Beauchet et Caroline Selig Comédiens-danseurs : Julie Alamelle, Jean-Serge Dunet, Sandra Français, Michaël Jaume, Henri Haddad, Cyril Limousin, Kader Mahammed, Juliette Nicolotto, Vladimir Rivera, Lucas Tissot, Diane Touzin et Julie Yousef Compositeurs et Musiciens en live : Dominique Beven, Philippe Capitani et Laurent Pernice Régisseur son : Sébastien Devey Machinistes : Yann Decamps et Stephan Ripoll Constructeurs : Sylvain Georget, Daniel Adami et Julo Etievant - HO7 Marseille Artificier : Dimitri Chilitopoulos Remerciements : aux contributeurs d’Ulule et à tous les participants complices des ateliers, The Colored-People Dans chaque ville traversée, la compagnie Artonik propose aux habitants de s'approprier préalablement deux chorégraphies pour se joindre aux artistes durant la déambulation. Ensemble, ils inviteront le public à se mêler à cette explosion de joie. Pour s’entraîner et participer aux chorégraphies le jour des représentations : www.thecoloroftime.org & www.youtube.com/user/CieArtonik Inscriptions auprès du festival : www.aurillac.net (*) Farine de maïs colorée, non-toxique et respectueuse de l’environnement, certifiée par les Laboratoires SGS. Spectacle créé en 2013 Soutiens : Le Moulin Fondu-Centre National des Arts de la rue-Noisy-le-Sec, Les Ateliers FrappazCentre National des Arts de la rue-Villeurbanne, Les Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue-Niort, la ville de La Rochelle, Karwan-Marseille et la Cité des arts de la rue-Marseille Aide à la production : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA Aide à la création et à la diffusion: Spedidam La tournée européenne 2014 a été soutenue par la convention Institut Français-Région Provence-Alpes-Côte d’Azur Résidences : Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la rue-Villeurbanne, Les Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue-Niort, Domaine de l’Etang des Aulnes-Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, La Friche la Belle de Mai-Marseille. La compagnie est conventionnée par : Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Provence-Alpes-Côte d’Azur. La compagnie est subventionnée par : Le Conseil régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, le Conseil départemental des Bouches-du-Rhône, la Ville de Marseille Avec le soutien de : Système Friche Théâtre. Les 21 et 22 août durée : 1h15 - spectacle gratuit Artonik (France) Caroline Selig est diplômée de l’Ecole des Beaux Arts d’Aix-en-Provence (DNSEP). Pour sa soutenance de diplôme, elle fait appel à Alain Beauchet, alors maquettiste et musicien, pour achever la fabrication de ses installations monumentales et en réaliser l’environnement sonore. En février 1992, ils décident de créer Artonik à Aix-en-Provence. De l’héritage de leurs grands-parents forains, ils ont gardé le goût de la proximité, des espaces extérieurs et du voyage. Puis l’observation du comportement humain dans les lieux publics fut la nouvelle voie que ce duo d’artistes a souhaité explorer. Les attitudes intimes sont des pistes de recherche et d’investigations chorégraphiques. A partir de sa curiosité infinie pour les petits riens du quotidien, la compagnie crée des spectacles d’images au vocabulaire gestuel, empruntant à la fois à la danse, au théâtre et aux arts plastiques. Son écriture pluridisciplinaire se fait volontiers décalée, un brin subversive et propose une lecture critique et poétique de l’ordinaire. Installée à la Friche la Belle de Mai à Marseille dès 1994, Artonik y développe ses créations et des commandes pour des événements singuliers. 6 CACAhUETE CONTACT Cacahuète 18 quai Rhin et Danube 34200 Sète tél. : + 33 (0)4 67 53 57 26 [email protected] 4 photographies sont disponibles sur le site du festival L’enterrement de Maman Une vraie fausse famille assez caricaturale arpente les rues de la ville afin d’enterrer la mère défunte. A la recherche du cimetière mais égarés par un malheureux hasard, les membres de la famille vont chercher à se débarrasser du cercueil par tous les moyens. Vont-ils y parvenir ? L’enterrement de Maman se joue d’une situation tragi-comique et invite à une déambulation urbaine improbable et toujours improvisée ! Voyage jusqu’à l’absurde, portrait satirique de nos réalités avouées ou cachées, cauchemar devenant réalité, tout y est… Si ce spectacle rencontre un succès non démenti depuis plus de 20 ans et qu’il fait désormais parti du répertoire des Arts de la rue avec près de 750 représentations dans 35 pays, c’est parce qu’il interpelle le public sur ses convictions profondes à l’égard de la mort et de ses rites dans le contexte d’aujourd’hui. Rendez-vous en costume noir, une fleur à la main. Les 10, 11, 12, 14, 15 et 16 août dans le cadre des Préalables durée : 1h - spectacle gratuit Cacahuète Création collective Avec : Alain Bridonneau, Josy Corrieri, Michel Lafont, Pascal Larderet, Dominique Le Guennec et 3 figurants. Spectacle créé en 1991 Production : Cacahuète (France) Passée maître dans l'art de l'improvisation et du détournement urbain, la compagnie Cacahuète s'est forgée une solide réputation de compagnie sulfureuse, furieusement engagée, au parfum de scandale. Créée en 1984, la compagnie n’a jamais cessé de créer, d’inventer, de transgresser… et continue encore aujourd’hui ! Transgresser : un état d’esprit et un choix esthétique. Les artistes de Cacahuète sont de ceux qui pensent que l’art doit aider à la remise en question de chaque individu, bousculer les idées reçues et le bon goût d’usage. Tous leurs spectacles se nourrissent d’interdits, de tabous, de scandales, c’est un postulat. Ils revendiquent un certain mauvais goût, jusqu’à l’outrance. Des propositions comme la série des Contaminations lancée en 1998, a marqué un désir de radicalisation de leur art. Les Contaminations, projets à réalisation unique, à base de rituel moderne et d'envahissement visuel ont semé le trouble dans nombre de villes en France et en Europe. Le spectacle majeur de Cacahuète, L'Enterrement de Maman, sorti en 1991, se bonifie incontestablement chaque année après 25 ans de tournée et en appelle toujours à deux types de public : le spectateur venu assister à la représentation et qui forme le cortège funèbre, et l’autre public, celui que la déambulation va croiser, spectateur acteur d’un enterrement hors norme, interpellé, dérangé, choqué par cette rencontre imprévue avec la mort. Il participera contre son gré à l’élaboration du spectacle. Si la compagnie n’est pas toujours, voire rarement, respectueuse des conventions, elle respecte ses publics par-dessus tout. Ce sont ces rencontres qui pimentent les représentations et le jeu des personnages très écrits s’exprimant en toute liberté et sans aucune ligne de texte ! 7 CARABOSSE CONTACT Carabosse 2 Chemin de la Roche 79220 St Christophe sur Roc tél. : + 33 (0)5 49 05 24 61 [email protected] www.ciecarabosse.fr 10 photographies sont disponibles sur le site du festival Veillée d’âmes Création in situ La compagnie Carabosse va utiliser tout son vocabulaire de flammes pour embraser la ville d’Aurillac durant une soirée. Cette installation de feu, fruit d’une écriture spécifique, proposera au public de s’immerger dans le vieil Aurillac, de croiser Gerbert ou Saint Géraud enflammés lors d’un parcours entre coutume et merveilleux, entre risque et sérénité. Une scénographie de lumières dessinera une balade inattendue et sensible à travers une succession d’univers de feux chaque fois différents et accompagnés de poses musicales. Une Installation de feu, c’est la réécriture d’un lieu, c’est un nouveau regard porté sur un espace public, c’est la transformation de ces rues arpentées innocemment, c’est la flamme, séductrice, attirante, mais également inquiétante… vivante, c’est le feu qui renvoie chacun de nous à quelque chose de profond et d’ancestral, c’est une esthétique puissante, c’est une expérience à partager, à vivre avec les autres, parfois au sein de foules immenses mais, c’est aussi une expérience intime et personnelle c’est un espace de liberté et de poésie. Veillons les âmes ensemble ! Le 18 août durée : 3h - balade gratuite Carabosse Collectif artistique : Nadine Guinefoleau, Yuka Jimenez, Christophe Prenveille, Jean-Marie Proust Co-direction : Nadine Guinefoleau, Christophe Prenveille, Jean-Marie Proust entourés de : Gwenaëlle Morin-Ramaroson (à l’administration et la production), Florence Ayrault (à la diffusion) , Patricia Klein (aux chiffres), Lise Burgermeister (à la régie de tournée), Fabrice Gilbert et Jim Tranger (régisseurs de notre Ancienne Laiterie) Et puis… au fil des aventures, de nombreux autres artistes viennent enrichir chacun à leur manière, la pâte Carabosse. Parmi eux, on retrouve en ce moment, un peu, beaucoup, mais toujours passionnément : Stéphane Abrioux, Jérôme Aubrun, Christophe Bricheteau, Emmanuel Cottin, Christian Cuomo, Richard Fouillet, Bruno Gastao, Mathieu Laville, qui étoffent ponctuellement l’équipe artistique des Installations de feu Et aussi : Gabriel Fabing, Philippe Gohard, izOReL, Loredana Lanciano, Yuka Okazaki, Denis Péan, Stéphane Rosello, Björt Runarsdottir aux créations sonores Costumes : Véronique Rotureaus Images : Sylvie Monier et Vincent Muteau La compagnie est conventionnée par : Le Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Poitou-Charentes, la Région PoitouCharentes et le Conseil Départemental des DeuxSèvres. (France) La compagnie Carabosse est un collectif d’artistes concepteurs, scénographes, comédiens, constructeurs, musiciens, inventeurs, plasticiens... Ces poètes de la bidouille investissent l’espace public dans différents continents depuis plus de 15 ans et bataillent pour qu’il soit un espace de liberté ouvert à tous. Tout comme leurs spectacles. Leur passion commune pour le feu prend corps dans les Installations de Feu qu’ils proposent dans des lieux les plus divers et qui font connaître la compagnie dans le monde entier. Carabosse cherche à pratiquer un art généreux, proche des gens, accessible à tous, un art qui se confronte à un milieu, le transforme et le bouscule. Enflammer l’espace public, y garantir la libre circulation, le faire vibrer dans une proximité de jeu avec le spectateur, faire surgir l’humanité où on ne la voit plus, transformer les échelles, redessiner les perspectives, évoquer l’humaine nécessité poétique… Les propositions artistiques de la compagnie sont le fruit d’une écriture collective. Les artistes jouent avec le feu, l’eau, l’air, la ferraille, et beaucoup d’humain. Leurs tournées les font voyager de St-Christophe-sur-Roc à Moscou au pied du Kremlin, de Villeurbanne à Essakane (désert malien), de Anvers à Tirana (Albanie), de Rochefort à Adélaïde en Australie... La poésie de leurs installations-spectacles s’adresse à tous et peut accueillir parfois des milliers de spectateurs. Leurs créations explorent des scénographies de grande envergure – à l’échelle d’une ville, un quartier, un parc – pendant que le jeu des comédiens privilégie la rencontre profondément humaine. Gourmande de collaborations artistiques, la compagnie Carabosse s’est orientée vers deux directions : La conception de projets enflammés et éphémères, de tailles très contrastées, dont l’écriture a la faculté de s’adapter à des contextes radicalement différents et l’écriture de spectacles de rue, dont les scénographies redonnent place à l’humain, à ses rêves, ses utopies et ses droits, trop souvent oubliés, négligés ou carrément bafoués. De ces voyages naissent également des complicités fertiles : avec les artistes mexicains de Teatro Linea de Sombra pour leur spectacle Article 13 en 2012, avec des équipes vietnamiennes ou burkinabè lors de résidences de création pour une Installation de feu à Hué en 2012 et Ouagadougou en 2011, avec des créateurs australiens pour Nomad’s Land créé avec Bambuco en 2003 et 2004, avec OPUS et la création en 2010 du Stand Brossard de La Kermesse de Ménétreux… Chacune à sa manière et toujours avec délicatesse, les créations de Carabosse rendent hommage à de drôles de gens, des poètes de la débrouille, des créateurs hors normes restés dans l’ombre. 8 COMPAGNIE SOUS X CONTACT Vincent Brut Compagnie sous X 33 rue Pasteur 69007 Lyon tél. : + 33 (0)6 46 73 38 53 [email protected] www.compagniesousx.com 3 photographies sont disponibles sur le site du festival No visa for this country Travelling fictionnel en paysage urbain, No Visa for this Country est l’histoire d’une disparition, celle de Jeanne. Mêlant partitions sonores et chorégraphiques, cette proposition s’appuie sur la construction de visions fictionnelles dans des lieux anonymes, privés ou publics, intérieurs ou extérieurs, lieux de passage, devenant lieux d’incertitude et d’errance. Parfois égaré, le public sera physiquement immergé dans les pas de cette femme, dans son errance. Voyage à la fois physique et mental, le spectateur glisse peu à peu dans la fiction qui semble déborder du cadre du spectacle. Guidé et cheminant avec un casque, il découvre l’histoire d’une disparition, celle d’une femme dénommée Jeanne. Des messages laissés sur un répondeur, son visage exposé sur les murs laissent croire à sa présence. Elle apparaît impalpable et fugitive, sous les traits d’une femme à l’allure éthérée. Inspiré du road movie, No Visa for this Country met en exergue ce paradoxe qui fait qu’un avis de disparition rend l’absent éminemment présent. Ce dernier devient peu à peu une multitude de traces dans la ville. Jeanne a disparu, mais l’important n’est pas de la retrouver. Le 18 août dans le cadre des Préalables et les 20 et 21 août durée : 1h - spectacle payant Compagnie sous X Auteure, metteure en scène et interprète : Alix Denambride Assistant à la mise en scène et prises de vues : Olivier Villanove Créateur sonore et prises de vue : Christophe Modica Compositeur : Jean-Christophe Scottis Régisseur général : Gildas Masse Accompagnement artistique : Jonathan Sutton Artistes chorégraphiques : Sandrine Julien et Barbara Sarreau Développement numérique : Jacques Pupponi Intuitive Travel Spectacle créé en 2014 Avec l’aide de : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA-SACD/Bourse Ecrire pour la rue et Auteurs d’Espaces, Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA/Aide à la résidence de production, Fiacre /volet mobilité internationale de la Région Rhône-Alpes. Coproductions : La Paperie-Centre National des Arts de la RueSaint-Barthélémy-d’Anjou, Le Citron Jaune-Centre National des Arts de la Rue-Port-Saint-Louis-duRhône, Les Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue-Niort Avec le soutien de : Hors Limite(s) (Lieu de fabrique)-Besançon, La Fabrique Sonore-Aubervilliers, La FAI-ARMarseille, La Cité des Arts de la Rue-Marseille. (France) Fondée par Alix Denambride (auteure, metteure en scène et comédienne), la Compagnie sous X est née du désir d’appréhender la création comme identité multiple, zone de libre échange et de rencontres. Expérimentation d’une esthétique plurielle, consacrée aux nouveaux langages du spectacle vivant, la Compagnie sous X propose, par l’écriture et la mise espace/lumière, d’explorer différentes formes de théâtre. Son obsession majeure étant la recherche du point de déséquilibre entre fiction et réalité. Groupe à géométrie variable, la Compagnie sous X sollicite des collaborations auprès d’artistes de différents horizons (comédiens, danseurs, musiciens, artistes sonores, artistes numériques, plasticiens...) mais aussi la contribution d’autres regards (sociologie, architecture, urbanisme…), afin de réaliser collectivement des projets enrichis des sensibilités et savoirs de chacun. La Compagnie sous X multiplie également ses lieux d’actions, s’adaptant à différents types espaces. Les projets développés investissent aussi bien plateaux de théâtre, qu’espaces non dédiés à la représentation. Née en 1983, Alix Denambride étudie les arts du spectacle et les lettres modernes à l’Université Lumière Lyon II. Elle écrit son mémoire de Master sur les réalités politiques et sociales dans le théâtre américain d’après-guerre sous la direction de Francis Guinle. Elle explore en parallèle le métier de comédienne et obtient son diplôme d’études théâtrales en présentant la pièce Khimaira ou les métamorphoses d’un fou, dont elle est également l’auteure. Elle se forme en tant qu’interprète auprès de Philippe Clément, Guy Naigeon, Cyril Tournier, Alexandre Del Perugia, Laurence Mayor, Yves-Noël Genod. En 2009, elle fonde la RMBC (Royal Magic Beans Company) et co-signe la mise en scène du spectacle Et mon tout est un homme, ré-création collective d’après Richard III de Shakespeare. En parallèle, elle propose des événements-performances et travaille avec les metteurs en scène Pierre Kuentz, Philippe Mangenot, Emilie Guigen. Souhaitant se tourner vers la mise en scène, elle est, en 2010, l’assistante d’Eric Massé (Cie des Lumas) pour la création Macbeth de Shakespeare, spectacle dans lequel elle joue également. En 2011, elle est l’assistante d’Angélique Clairand pour le spectacle documentaire : Tupp’ ou la coupeuse de feu. En 2012, elle accompagne le travail de Mark Tompkins (Cie I.D.A.) sur Opening Night, a vaudeville. En 2015, elle assiste Judith Nab sur le spectacle Mijn huis, de rest van de wereld. Conquise par la dynamique des nouvelles écritures en espace public, elle intègre en 2011 la 4e promotion de la FAI-AR. Elle en sort en 2013 avec le projet No visa for this country. La RMB© devient alors la Compagnie sous X. 9 DELICES DADA CONTACT Marie Tognet Delices Dada 135 chemin de Chaussay 26740 Les Tourettes tél. : + 33 (0)4 75 90 05 65 [email protected] www.delices-dada.org 8 photographies sont disponibles sur le site du festival La Géographie des Bords Création 2015 - Résidence Le Parapluie L’infini c’est loin surtout quand ça monte. Woody Allen, Symposium de Modena 1999. Immersion dans un univers dadaïste, humoristique et poétique très loin des sciences répertoriées ou des interrogations urbanistiques et sociologiques... Expérimentateurs cosmopolites et irréductibles d’une discipline toujours pas répertoriée, les Géographes des Bords abordent pour mieux en déborder tout ce qui touche aux comportements méconnus ou aux singularités ludiques de notre univers. Accepter de perdre le Nord est la première condition à remplir pour pénétrer ce monde insoupçonnable. Ecouter ces inspirés farfelus, assister à leurs irrationnelles expériences en espace clos et les suivre sur leurs terrains d’exploration ne présente donc que le risque d’être, un instant, agréablement déboussolé... ou plus longtemps si vous le souhaitez. Par l’invention d’un domaine inédit de recherche, celui de la Géographie des Bords, Delices DADA se propose d’opposer une contre poussée dadaïste au catastrophisme ambiant et à la vision rationnelle de notre univers. Conception générale et mise en espace : Jeff Thiébaut Auteurs : Jeff Thiébaut et collectif Delices DADA Conception sonore : Chris Chanet Scénographie : Patrick Vindimian Création graphique : Arnaud Jarsaillon / brestbrestbrest Construction : Patrick Vindimian et Sylvain Georget Avec : Richard Brun, Chris Chanet, François Palanque, Franck Potel, Marion Piqué, Gaëlle René, Jeff Thiébaut et Ilijana Vukmir Damour Régie : Patrick Vindimian Dans la continuité des élans passionnels de la compagnie pour le langage poétique et le registre de l’absurde, ce chantier de Géographie surréaliste met en jeu une équipe d’excentriques Géographes venue familiariser le grand public avec des travaux portant sur les « Bords », travaux entrepris au milieu des années soixante, mais jusque-là gardés secrets. Spectacle à « tiroirs », La Géographie des Bords se joue devant, à l'intérieur et dans les environs immédiats d'une scénographie foraine représentant une Base mobile de Géographie. Les 19, 20 et 21 août durée : de 45 mn à 2h20 (selon curiosité) - spectacle gratuit Delices DADA Coproductions : Delices DADA, Le Parapluie-Centre international de création artistique-Aurillac, Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la rueVilleurbanne, L’Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lès-Rouen, Le Citron Jaune-Centre National des Arts de la Rue-PortSaint-Louis du Rhône, Lieux Publics-Centre national de création des Arts de la Rue-Marseille, Le 3bisf-Lieu d’arts contemporains-Aix-enProvence, L’Entre-Sort de Furies-Châlons-enChampagne, Le Train Théâtre-Scène conventionnée de Portes-lès-Valence, EnCours-KompleX KapharnaüM. Avec le soutien de : pOlau-Pôle des arts urbains Tours Avec l'aide a la résidence de production de : Ministère de la Culture et de la CommunicationDGCA. Delices DADA est en convention avec : Le Ministère de la Culture et de la Communication-DRAC Rhône-Alpes et la Région Rhône-Alpes et est soutenue par le Département de la Drome. (France) Delices DADA a, depuis 1984, choisi le paysage urbain ou naturel comme terrain d’expérimentation et support essentiel d’une amusante ou troublante confrontation de l’écriture et de la pratique théâtrales à l’environnement quotidien. Guides hautement spécialisés en relectures historiques des sites les plus divers, poètes marathoniens, tragédie mise à la rue, indigènes surgis de nulle part sacrifiant à d’étranges rituels théâtraux, noires intrigues nocturnes pour parkings déserts, revue cinétique muette pour 25m d’ouverture constituent, entre autres, les supports inventifs de réalisations offrant, chaque fois, au regard et à l’écoute de tous de délicates bouffées d’imagination collective. Les recherches de Delices DADA affectionnent la parole, la prise en possession des espaces, la construction d’histoires justifiant la mise en mobilité de leurs publics. Elles inscrivent avec précision et à même le paysage des fictions et des images témoignant d’un ressenti très décalé de notre époque et des interrogations qui l’habitent. C’est dans cette continuité de travaux avec une orientation plus particulière vers le registre absurde que la compagnie propose aujourd’hui ce grand chantier de géographie surréaliste. Celui-ci met en jeu 8 comédiennes et comédiens de son collectif d’écriture dont Jeff Thiébaut - aussi concepteur général du projet - et Chris Chanet - aussi compositeur de l'habillage sonore de celui-ci -. Patrick Vindimian et Arnaud Jarsaillon se sont joints à cette équipe respectivement en tant que concepteur et réalisateur de la Base de Géographie des Bords et concepteur et réalisateur des supports graphiques qui la complètent. 10 KThA CONTACT Mathilde Wahl Ktha 140 rue du faubourg Saint-Antoine 75012 Paris tél. : + 33 (0)1 40 19 94 38 [email protected] www.ktha.org 3 photographies sont disponibles sur le site du festival Juste avant que tu ouvres les yeux Spectacle à 3,5 kms/heure pour 1 ville, 1 camion-gradin et 3 acteurs. Qu'est-ce qu'il se passe dans ma tête pendant les neufs minutes qui séparent la première et la seconde sonnerie du réveil ? Qu'est-ce que tu vas faire aujourd'hui ? On va où ? Un camion, Sur la plateforme arrière, un gradin, Au pied du gradin, trois acteurs, debout, Le camion avance, Et les acteurs suivent en marchant, Ils parlent, en s'adressant droit dans les yeux, Derrière, la ville défile, long travelling arrière, Prendre le temps, ensemble... Un spectacle de la compagnie Ktha : Chloé Chamulidrat, Michael Ghent, Solenne Keravis, Lætitia Lafforgue, Yann Le Bras, Camille Lévêque, Guillaume Lucas, Lear Packer, Patrice Teysseyre, Nicolas Vercken et Mathilde Walh. Avec l’aide de : Yanosh Hrdy, Roi Joan Jimenez et Séverine Rovel. Spectacle créé en 2014 Coproductions : Compagnie Ktha, Les Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue-Niort, L’Abattoir-Centre National des Arts de la RueChalon-sur-Saône, Le Boulon-Centre National des Arts de la Rue-Vieux-Condé, 2r2c-Coopérative de Rue et de Cirque-Paris, Ville de Palaiseau et Arcadi-Ile-de-France. Soutiens : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA, Ministère de la Culture et de la Communication-DRAC Ile-de-France, Ville de Paris et Région Ile-de-France. Aides : Atelier HYH Créations-Saint-Pierre-desCorps, Le Moulin Fondu-Centre National des Arts de la Rue-Noisy-le-Sec, La Ferme du BuissonScène nationale-Marne-la-Vallée, Animakt-Saulxles-Chartreux et Nil Obstrat-Centre de Création Technique et Artistique dédié aux Arts de la RueSaint-Ouen-l’Aumône. Compagnie conventionnée par : Mairie de Paris et Ministère de la Culture et de la Communication-DRAC Ile-de-France et soutenue par : la Région Ile-de-France. Compagnie membre de : Collectif de compagnies 360, Synavi-Syndicat National des Arts Vivants et 2r2c-Coopérative de Rue et de Cirque-Paris. « Alarme La journée commence par ce mot Alarme Tous les matins Tous les matins tu as envie de te rendormir Tous les matins tu voudrais Alors tu appuies sur rappel Et gagner 9 minutes (...) Quand tu y penses quand même ça fait bizarre, de te dire que le premier mot de la journée c’est alarme. Ça doit bien influer sur le reste, non ? C’est pas bonjour, ou bien bisou ou bien je t’aime qui m’est dit en premier, c’est alarme. Tu me diras ça pourrait être pire, ça pourrait être mort ou bien pauvre merde ou bien encore lobotomie, mais quand même, alarme… Mais peut-être que tu peux le transformer, te dire que c’est juste là pour dire debout, dresse-toi, bats-toi Alerte Allez Alarme » Les 19, 20, 21 et 22 août (3 représentations par jour) durée : 1h - spectacle payant - conseillé à partir de 12 ans Ktha (France) Créée en 2000, la Ktha est une compagnie de théâtre. Ses spectacles se jouent parfois dans des salles de spectacle, le plus souvent ailleurs dans la ville. Les acteurs s’adressent aux spectateurs, en les regardant dans les yeux, directement, sans détour. Il y a parfois des projections, des ordinateurs dans les dispositifs scénographiques. En plus de ses spectacles, la compagnie organise des stages, des ateliers, des laboratoires de recherche... Elle crée aussi régulièrement des formes courtes, des performances, des lectures, des installations, des expositions... Depuis quelques années, elle explore la ville à travers des projets collectifs qui touchent à l’urbanisme, aux arts plastiques et performatifs. Son choix : porter un regard impliqué, militant et curieux sur le monde qui nous entoure et essayer de le partager, de l’affûter par l’échange. Son activité est basée à Paris depuis sa création et beaucoup de ses travaux se déroulent sur le territoire parisien. Ses projets s’y montent mais rayonnent à travers le monde (Europe, Chili, Brésil, Canada, Maroc, Corée du Sud, Nouvelle-Zélande ...). 11 KUMULUS CONTACT Sylvaine Baron-Provost Kumulus Le Moulin 26770 Rousset les Vignes tél. : + 33 (0)4 75 27 41 96 [email protected] www.kumulus.fr 1 visuel est disponible sur le site du festival, des photographies seront disponibles le 5 juin Naufrage Création 2015 - Résidence Le Parapluie Un morceau arraché à l’asphalte, un vaisseau sans quille ni amarre. En son centre : une antenne de télécommunication. Sept personnages en costumes de soirée apparaissent. Conviés à un cocktail d’inauguration, ils discutent, se congratulent, se tapent sur l’épaule, boivent et mangent jusqu’à n’en plus pouvoir... Une orgie chorégraphique et sonore où chacun poussera jusqu’au paroxysme les codes de la mondanité, du faux-semblant et du paraître. Soudain, les sourires se transforment en grimaces, les corps gonflent et le bateau chavire… C’est le naufrage. Au milieu d’une mer de plastiques, le « septième continent », des corps révoltés et apeurés se tordent sur un radeau. Sur fond de musique expérimentale et d’interventions vocales, panique-abandon-prière-rituel-peurespoir-désespoir-au secours-prostré-trouver sa place-équilibre-déséquilibrejoie-hystérie… un monde boursoufflé par ses excès est en perdition. Dans cette nouvelle création, Kumulus s’inspire du célèbre tableau de Théodore Géricault, Le Radeau de la Méduse. Quand La Méduse s’est échouée, le capitaine du bateau a fait évacuer l’épave déterminant qui des passagers irait sur les chaloupes de secours et qui irait sur le radeau. Cent soixante-quinze personnes seront désignées pour finir le voyage sur l’embarcation de fortune ! Résistant à la folie, au suicide, au meurtre, à la faim… ne subsisteront que quelques personnes, majoritairement des hauts gradés. Une tempête sociale, politique et existentielle à travers le drame d’un naufrage. Mise en scène : Barthélemy Bompard assisté de Nicolas Quilliard Inventé et interprété par : Armelle Bérengier, Dominique Bettenfeld, Eric Blouet, Thérèse Bosc, Jean-Pierre Charron, Céline Damiron et Nicolas Quilliard Création musicale : Laurent Bigot Direction musicale : Jean-Pierre Charron Travail corporel : Judith Thiébaut Création des costumes : Marie-Cécile Winling et Catherine Sardi Conception et construction des décors : Dominique Moysan, Laurent Desflèches Technique : Djamel Djerboua Son : Nicolas Gendreau Soutiens : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA, Lieux Publics-centre national de création en espace public-Marseille, L’Atelier 231-Centre National des Arts de la RueSotteville-lès-Rouen, Le Boulon-Centre National des Arts de la Rue-Vieux-Condé, Le Citron JauneCentre National des Arts de la Rue-Port-SaintLouis-du-Rhône, Le Moulin Fondu-Centre National des Arts de la Rue-Noisy-le-Sec, La Paperie-Centre National des Arts de la Rue-SaintBarthélemy-d’Anjou, Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Pronomade(s)-Centre National des Arts de la Rue-Encausse-les-Thermes et Quelques p’Arts…Centre National des Arts de la Rue-Boulieu-lèsAnnonay. « Le Radeau de la Méduse est la métaphore que nous avons choisie pour aborder l’enlisement de notre bateau « démocrapitaliste », piloté par les grands capitaines qui nous ont lamentablement échoués sur le banc de la consommation, de la mondialisation et de l’immoralité ». les 19, 20, 21 et 22 août durée : 1h15 - spectacle gratuit Kumulus (France) De réalité crue et de sentiments à fleur de peau, c’est de cela dont il s’agit chez Kumulus. Sensible au travail de Pina Bausch, Jérôme Bosch et Alain Platel, Barthélemy Bompard insuffle un air d’expressionnisme dans ses spectacles où l’émotion est poussée jusqu’à son paroxysme. La troupe constituée d’un noyau d’artistes fidèles depuis la création de la compagnie en 1986, tente de retranscrire à travers le geste, le mot et le son des sujets de la vie quotidienne et de l’actualité mondiale : racisme, folie, exode…. La scénographie et l’écriture s’articulent autour d’un paramètre théâtral majeur : l’espace public. Ainsi, la mise en abyme de la société, renforcée par la promiscuité, incite le spectateur à vivre le théâtre comme la réalité. Les Squames, S.D.F., Bail à céder sont le miroir de la ligne artistique originelle de la compagnie. Depuis une dizaine d’années, la compagnie migre vers des lieux plus intimes tels que cours, hangars, théâtres et les mises en scène de Barthélemy Bompard tendent à la métaphore et à une esthétique onirique. 12 CONTACT Anne Guégan La Compagnie du Deuxième Place François Mitterrand 44620 La Montagne tél. : + 33 (0)2 40 43 29 75 [email protected] www.compagnie-du-deuxieme.fr 10 photographies sont disponibles sur le site du festival LA COMPAGNIE DU DEUXIEME Contact Le départ en retraite d'une femme émue, un bateau à prendre, une panne de voiture... et l'intervention d’AutoFissa, premier garage lowcost de France ! Une femme frétille autour de sa voiture bardée de bagages. Pour son départ en retraite, tous ses collègues se sont cotisés pour lui offrir une croisière en Méditerranée. C’est maintenant l’heure du départ. Dernières vérifications, ceinture, contact... et explosion ! Plus qu’une seule solution : appeler Auto Fissa, l’entreprise de réparation la plus rapide de la région. Deux mécaniciens arrivent en sauveurs, gonflés du pouvoir du professionnel devant cette automobiliste déboussolée et peu calée question voiture... mais ils auraient peut-être mieux fait d’être plombiers ! La voiture de Contact, truffée de bidouilles, sert de prétexte pour que les langues se délient, pour que l’absurde, la poésie, l’humour mais aussi l’actualité se côtoient dans des situations irrésistibles. Les 15, 16 et 18 août dans le cadre des Préalables et les 20, 21 et 22 août durée : 50 mn - spectacle gratuit La Compagnie du Deuxième (France) Mise en scène : Pierre Sévérin Avec : Françoise Milet, Sébastien Rouaud et Patrice Boutin Conception Effets Spéciaux : Fabien Dumousseau Technicien Effets Spéciaux : Christian Cuomo Décors : Françoise Roucou, Fabien Dumousseau et Christian Cuomo Spectacle créé en 2014 Coproductions : Le Fourneau-Centre National des Arts de la Rue-Brest, Les Ateliers FrappazCentre National des Arts de la Rue-Villeurbanne Résidences : Le Fourneau-Centre National des Arts de la Rue-Brest, Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la Rue-Villeurbanne, Rue des Arts-Moulins, Ville de Saint-Hilaire-de-Riez, Ville de Saint-Herblain, Ville de Sainte-Luce-sur-Loire Avec l’aide de : DRAC Pays de La Loire, Région Pays de la Loire, Conseil Départemental de LoireAtlantique, Ville de Saint-Herblain, SPEDIDAM Avec le soutien de : L’Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lès-Rouen, Compagnie Cirkatomik Françoise Milet et Pierre Sévérin se rencontrent sur le spectacle La Quincaillerie Parpassanton de la compagnie Cirkatomik. Après trois années de discussions prolifiques, ils décident de créer en 2004 leur propre compagnie : La Compagnie du Deuxième. Avec Contact, spectacle à effets autour de la voiture et des discriminations « ordinaires », créé en 2014, la Compagnie du Deuxième compte neuf créations à son actif et prépare déjà la dixième ! Elle invente également des spectacles sur mesure et en parallèle de la création et de la diffusion, elle met en place des actions de développement culturel. Depuis 2008, différents stages d’initiations et de pratiques artistiques sont proposés à des enfants, adolescents et adultes. Depuis 2010, la compagnie organise le festival La Montagne en Vue sur sa commune d'origine La Montagne (44). Six éditions lui ont permis de partager avec son public local, les spectacles « coups de cœur » repris en tournée. Françoise Milet est comédienne depuis 1986 et travaille auprès de plusieurs compagnies angevines comme le Théâtre de la Mémoire et l’Unité de Création Théâtrale (écriture de la pièce Faute de frappe). Elle découvre le théâtre de rue en 1994 avec la compagnie Jo Bithume. Clown en milieu hospitalier depuis 1995 au Rire Médecin, elle rencontre Pierre Sévérin en 2000 sur La Quincaillerie Parpassanton. Elle fonde avec ce dernier La Compagnie du Deuxième en 2004 et joue dans toutes leurs créations. Pierre Sévérin découvre le théâtre de rue en 1997 avec Le Péplum de Royal de Luxe. Par la suite, il collabore avec Le Phun, puis Cirkatomik et signe plusieurs mises en scène dont La Quincaillerie Parpassanton de Cirkatomik. En 2004 il crée avec Françoise Milet La Compagnie du Deuxième où il se spécialise dans l’écriture et la mise en scène. Parallèlement, il continue ce travail auprès d’autres compagnies comme Cirkatomik sur le spectacle Le Défilé de Mode (2012) et la Compagnie des Frères Georges pour La Réclame (2013). Pour Contact, Françoise et Pierre sont rejoints par les comédiens Sébastien Rouaud et Patrice Bottin et le concepteur d’effets spéciaux et collaborateur régulier de Royal de Luxe, Fabien Dumousseau. 13 CONTACT Hélène Bauche La Ménagerie c/o L’Usine 6 impasse Marcel Paul 31170 Tournefeuille tél. : + 33 (0)6 64 81 68 19 [email protected] www.lamenagerie.com 1 photographie est disponible sur le site du festival ; d’autres seront disponibles à partir du 1er juin LA MENAGERIE L’homme est un animal mobile Création 2015 Durant trois jours et trois nuits, sur une place et dans les rues adjacentes, des hommes en noirs, peintres, affichistes, bruiteurs ou photographes, s’affairent le long des murs. Ils conçoivent une fresque sur laquelle ils inscrivent la déambulation d’un personnage. Son cheminement est décomposé, visible, laissant des traces graphiques rythmées par un trait vif. De la tâche au figuratif, il prend forme et se caractérise, passant du noir au blanc, du plein au vide, jusqu’à laisser voir ses entrailles. Il part à la recherche de lui-même dans les signes laissés par le hasard et le temps et ceux d’une conscience collective imprimée au fil des siècles sur les façades. Il se mêle ainsi à cette ville en mouvement, intégrant le rythme urbain suggéré par l’accumulation de dessins qui prennent vie et s’animent dans cet atelier à ciel ouvert. Des peintures pariétales de la préhistoire au code binaire informatique, l’Homme a toujours ressenti le besoin de symboliser, coder, communiquer, laissant une trace dans l'univers qu’il se crée. Cette fresque narrative pose une empreinte de plus, nous interrogeant sur notre rapport à l’autre, sa représentation par l’image et l'interprétation qu'on en fait. Les 19, 20 et 21 août durée : chantiers graphiques en continu les 19 et 20, projection finale le 21 août spectacle gratuit La Ménagerie De et avec : Marc Ménager, Joanna Jéquier, Nicolas Lemée et Mino Malan Avec la contribution de : Bax Bourbon, Patricia Joven et Garniouze Régie : Yulan Fougeron Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA-SACD Bourse Ecrire pour la rue et Auteurs d’Espaces, Ville de Toulouse, Espace Périphérique (Mairie de ParisParc de la Villette) Accueils en résidence et coproductions : L’Usine-Scène conventionnée pour les arts dans l’espace public-Tournefeuille-Toulouse Métropole et Derrière le Hublot-Pôle des arts de la rueCapdenac-Gare (France) Studio d’animation, ateliers d’initiation, résidences d’artistes, spectacles de rue, développement d’outils de création : l’association La Ménagerie explore depuis 14 ans toutes les formes d’expression possible du film d’animation. Reconnu pour son savoirfaire dans l’animation traditionnelle, ce collectif développe des projets d’auteurs privilégiant des démarches artistiques originales et engagées, avec à son actif une quinzaine de courts-métrages, deux séries TV, et plus de 150 films d’ateliers. Dans ce souci de sensibilisation du plus grand nombre, La Ménagerie a, dès ses débuts, développé le tournage dans l’espace public de courts-métrages d’animation. Il s’agissait avant tout de sortir le processus d’animation des studios, invitant le spectateur à participer à la réalisation de courtes séquences à la découverte des astuces et trucages de tournage en image par image. La Ménagerie a aussi contribué à des créations de compagnies : Le Phun (On Sème, Besançon 2011), KompleX KapharnaüM (Sentier Pédestre Périphérique, Villeurbanne 2012), et actuellement le Boustrophédon (Bleu Violon), en y apportant son savoir-faire dans l’image animée. Forte de ces expériences, La Ménagerie est à présent en mesure de proposer une nouvelle forme de spectacle pour l’espace public, techniquement et artistiquement innovant et ambitieux, porté par des auteurs qu’elle accompagne depuis de nombreuses années. C’est ainsi qu’est née l’envie de produire L’Homme est un animal mobile, une forme spectaculaire qui s’inscrit résolument dans le domaine des arts de la rue. La Ménagerie poursuit ainsi sa démarche de croisement des formes et des domaines artistiques, pour bousculer et enrichir la création, et promouvoir les nouvelles technologies au service de l’imaginaire et de la créativité. 14 LE G. BISTAKI CONTACT Christelle Jung Le G. Bistaki c/o Acolytes-La Grainerie 61 rue St Jean 31130 Balma tél. : + 33 (0)5 61 246 245 [email protected] www.bistaki.com www.acolytes.asso.fr 15 photographies sont disponibles sur le site du festival The Baïna Trampa Fritz Fallen Création 2015 - Résidence Le Parapluie Après avoir utilisé les tuiles dans Cooperatzia, le collectif G. Bistaki s’attaque à une matière organique… le maïs ! Avec The Baïna Trampa Fritz Fallen, le collectif reprend le sentier de la création intuitive et jubilatoire, et développe le trio corps-objet-espace. Une écriture collective et une mise en scène singulière suffisent à ces quatre protagonistes pour mettre en marche l’imaginaire. Vêtus de costumes blancs, armés de pelles, manipulant du maïs en grain, ces jongleurs-danseurs continuent de se questionner sur la notion d’investissement de l’espace, sans oublier de poser un regard amusé sur les absurdités de notre monde. Empreint d’une forme certaine de surréalisme, The Baïna Trampa Fritz Fallen dresse en filigrane une fresque sociale grinçante où la dérision et le rire l’emportent. De la fresque baroque au numéro de mime en passant par la lutte chorégraphiée version souk de Marrakech, ces quatre hommes nous plongent dans un univers baroque et foutraque, loufoque et caustique, absurde et poétique et invitent à un étonnant voyage chorégraphique et musical où tout est encore possible... Les 20, 21 et 22 août durée : 1h10 - spectacle payant Création collective de : Florent Bergal, Sylvain Cousin, Jive Faury, François Juliot et Guillaume Bautista Avec : Florent Bergal, Sylvain Cousin, Jive Faury et François Juliot Vidéaste : Guillaume Bautista Régisseur : Nina Pire Coproductions et résidences : L’Usine-Scène conventionnée pour les arts dans l’espace public-Tournefeuille, Pyrénées de cirquedispositif Chemin de Création-dans le cadre du POCTEFA, Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Le Fourneau-Centre National des Arts de la Rue-Brest, L’Atelier 231Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lèsRouen, Hameka-Sivom Artzamendi-Louhossoa, Ax Animation-Ax-les-Thermes, La Central del CircProcess()s-Barcelone, Animakt-Saulx-lesChartreux, Maison des Jonglages et Centre Culturel Jean Houdremont-La Courneuve, Ministère de la Culture et de la CommunicationDRAC Ile-de-France, Théâtre du Fil de l’Eau–Pantin, Le Familistère-Guise, ArtoRamonville et Derrière le Hublot-Pôle des arts de la rue-Capdenac-Gare Soutiens : IN SITU-Réseau Européen pour la création artistique en espace public-dans le cadre du projet META, Association Beaumarchais-SACD Aide à l’Ecriture et Aide à la production et Commission européenne-DGEAC-programme Culture. Compagnie subventionnée par : Région MidiPyrénées et Conseil départemental de la SeineSaint-Denis Le G. Bistaki (France) Le G. Bistaki est un collectif de jongleurs-danseurs qui s’offre depuis quelques années des récréations créatives afin de bouleverser leur quotidien artistique et scénique en innovant dans la manière de rechercher et de représenter. Son travail se caractérise par l’exploitation infinie d’un objet par un corps dans un espace. Ce projet est né sous forme de laboratoire. Evoluant de manière informelle, tels des archéologues, lentement les membres du collectif ont mis à jour leur univers et défini le périmètre de leur action. Le G. Bistaki est un cirque chorégraphique en lien étroit avec les caractéristiques spatiales et sociales d’un lieu. L’environnement, qu’il soit urbain ou rural, à ciel ouvert ou fermé, est le théâtre de leur action. « (…) rester vierge malgré et contre tout ! » Georges Bistaki, 1884. Au sein du collectif G. Bistaki, l’écriture dramatique comme chorégraphique se fait de manière collective. Chaque scène est élaborée, validée et mise en forme par l’ensemble des acteurs. Leur mode de création se déroule lentement en trois temps : laboratoire expérimental tous azimuts - début d’écriture en confrontation aux espaces les plus variés – finalisation de l’écriture en lien avec le public. « (…) le travail trop spécialisé fait de l’homme un fragment d’homme. » Georges Bistaki, 1848. Partant de ce postulat, le G. Bistaki fait collaborer le cirque pour sa quête d’impossible, la danse pour sa virtuosité du rythme et le théâtre corporel pour sa puissance évocatrice de sentiments. Il s’agit d’une collaboration et non d’un mélange. Comme disait un certain Georges-Marie Songy « C’est un bras d’honneur chorégraphique ». 15 CONTACT Léa Couqueberg Le Grand Gardon Blanc 35 bis rue de Reuilly 75012 Paris tél. : + 33 (0)9 51 15 99 58 [email protected] www.chiensdenavarre.com 7 photographies sont disponibles sur le site du festival LES ChIENS DE NAVARRE Les armoires normandes Création 2015 On n’est jamais aussi con que le premier jour du printemps. On palpite, on espère, on tombe ou on devient un cheval fou. Le tout avec les mains moites et un petit bout de salade collé entre les dents. Comme les palmiers sauvages de l’Alaska, l’amour existe. Le temps d’un sein nu entre deux chemises, les Chiens de Navarre vont tenter d’explorer, pour le meilleur et pour le pire, toutes nos joies et misères affectives, tout en honorant l’inébranlable bon sens de Marylin Monroe « Le sexe fait partie de la nature. J’obéis à la nature ». Les Chiens de Navarre ne veulent surtout pas perdre le présent sur un plateau. Parce que le présent c’est notre liberté. Nous sommes libres de faire ce que nous voulons. Forcément avec un auteur, c’est plus compliqué. En général, il a écrit quelque chose qui demande une interprétation. Et comme nous sommes de très mauvais interprètes, nous préférons ne pas nous mettre à dos un auteur, surtout s’il est vivant. Création collective dirigée par : Jean-Christophe Meurisse Assistante à la mise en scène : Amélie Philippe Collaboratrice artistique : Isabelle Catalan Avec : Caroline Binder, Solal Bouloudnine, Claire Delaporte, Céline Fuhrer, Charlotte Laemmel, Manu Laskar,Thomas Scimeca, Anne-Elodie Sorlin, Maxence Tual, Jean-Luc Vincent et la participation de Robert Hatisi Création lumière : Stéphane Lebaleur Création son : Isabelle Fuchs Construction et régie plateau : François Gauthier-Lafaye, Julie Leprou Costumes : Elisabeth Cerqueira Administration, production et diffusion : Antoine Blesson, Léa Couqueberg, Emilie Leloup assistés de Allan Périé Relations presse : Rémi Fort, Valentine Arnaud et Yannick Dufour (MYRA) Production déléguée : Le Grand Gardon Blanc-Chiens de Navarre Résidences et coproductions : Les Subsistances-Lyon, C.I.C.T.-Théâtre des Bouffes du Nord-Paris Coproductions : L’apostrophe-Scène nationaleCergy-Pontoise, Maison des Arts de Créteil, Théâtres Sorano–Jules Julien-Toulouse, La Faïencerie-Théâtre de Creil (scène nationale en préfiguration),Le Carré–Les Colonnes-Scène conventionnée-Saint-Médard-en-Jalles et Blanquefort, Palais des Beaux Arts-Charleroi (Belgique), L’Arsenic-Lausanne (Suisse) Avec le soutien de : la DGCA-Ministère de la Culture et de la Communication Les Chiens de Navarre sont conventionnés par : la DRAC Ile-de-France-Ministère de la Culture et de la Communication, la Région Ile-deFrance au titre de la Permanence Artistique et Culturelle Avec le soutien à la production de : CENTQUATRE-Paris, la Ferme du Buisson-Scène nationale de Marne-la-Vallée, Le Théâtre de Vanves-Scène conventionnée pour la danse Les 20, 21 et 22 août durée : 1h40 - spectacle payant Les Chiens de Navarre (France) En 2005, Jean-Christophe Meurisse forme les Chiens de Navarre pour en diriger ensuite toutes les créations. Une raclette est créée au Théâtre des Halles à Paris en 2008, puis recréée en juin 2009 dans le cadre du festival (tjcc) au Théâtre de Gennevilliers. Le spectacle est repris ensuite au Théâtre de Vanves, au Centre Pompidou, au Théâtre des Bouffes du Nord, au Festival d’Aurillac, au TAP Poitiers, aux Subsistances à Lyon, à l’Arsenic de Lausanne… L'autruche peut mourir d'une crise cardiaque en entendant le bruit d'une tondeuse à gazon qui se met en marche est créée en novembre 2009 dans le cadre du festival Beaubourg-La-Reine au Centre Pompidou, puis se joue ensuite à la Ménagerie de Verre, au Théâtre de Gennevilliers, au festival actOral.10, au Festival Walls and Bridges à New York… En septembre 2010, le Centre Pompidou propose aux Chiens de Navarre une carte blanche. Est créée alors une série de performances de plus de trente heures en quatre jours, intitulée Pousse ton coude dans l'axe. Certaines de ces performances sont par la suite reprises à actOral.11 ou encore au Festival Les Urbaines à Lausanne. En janvier 2012, les Chiens de Navarre présentent Nous avons les machines à la Maison des Arts de Créteil, au Centre Pompidou, au Théâtre de Vanves, au Théâtre de Gennevilliers puis en tournée. En novembre 2012, ils créent Les Danseurs ont apprécié la qualité du parquet, première œuvre chorégraphique de la compagnie, à la Ménagerie de Verre dans le cadre du Festival Les Inaccoutumés. Le spectacle sera repris par la suite au Festival d’Aurillac et aux Subsistances à Lyon. En février 2013, les Chiens de Navarre créent Quand je pense qu’on va vieillir ensemble. En février 2014, Jean-Michel Ribes organise au Théâtre du Rond-Point un temps fort autour des Chiens de Navarre qui présenteront alors pendant un mois Une raclette, Nous avons les machines et Regarde le lustre et articule (performance issue de Pousse ton coude dans l’axe). Le Festival d’Aurillac accueille pour la 3e fois cette compagnie qui bouscule les codes de la scène. 16 CONTACT Anthony Revillard Les 3 Points de suspension Domaine David 14 chemin de la Ferme 74160 Saint Julien-en-Genévois tél. : + 33 (0)6 62 95 56 86 [email protected] www.troispointsdesuspension.fr 6 photographies sont disponibles sur le site du festival Avec : Antoine Frammery, Anthony Revillard, Jérôme Colloud, Cédric Cambon, Beauregard Anobile, Paul Courlet, Franck Serpinet, Nicolas Chapoulier et Charlie Moine. Ecriture et mise en scène : Nicolas Chapoulier et Les 3 Points de suspension Aide a l’écriture : Antoine Frammery Scénographie : Cédric Cambon, Neil Price, Pierre Galotte, Patrick Laurino, Lauren Garnier, Gaël Richard et Charlie Moine Création musicale : Paul Courlet et Jérome Colloud Costumes : Sophie Deck, Marie-Laure Mayeur et Leslie Baechel Intervenant hypnose : Benjamin Huet Avec le soutien de : Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA-SACD Ecrire pour la Rue, DGCA-Aide à la résidence de production, DRAC Rhône-Alpes-Aide à la production théâtrale, la Fondation Beaumarchais-SACD Bourse à l’écriture, de la Région Rhône-Alpes, le Conseil Départemental de Haute-Savoie, la Ville de SaintJulien-en-Genevois, Le Parapluie-Centre International de Création Artistique-Aurillac, Les Ateliers Frappaz-Centre National des Arts de la Rue-Villeurbanne, Usines Boinot-Centre National des Arts de la Rue-Niort, Le Citron Jauneilotopie-Centre National des Arts de la Rue-PortSt-Louis-du-Rhône, le Fourneau-Centre National des Arts de la Rue-Brest, L’Atelier 231-Centre National des Arts de la Rue-Sotteville-lès-Rouen, International builtentheaterfestival Deventer Op Stelten-Pays Bas, SeaChange Arts-GrandeBretagne, Centre Culturel De Spil-Belgique, Union Européenne Programme Culture, Nil ObstratCentre de Création Artistique et Technique, compagnies Zo Prod et Royal de Luxe, SARL MESCI. LES 3 POINTS DE SUSPENSION Looking for Paradise Création 2015 - Résidence Le Parapluie Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? L’univers est-il vraiment infini ? Venons-nous d’un jardin aujourd’hui disparu, des choux, des singes ou des amibes ? Depuis l’aube de l’humanité, l’homme n’a cessé d’inventer des mythes et des récits, de façonner des croyances et des certitudes pour faire face au vertige de son ignorance. C’est dans les interstices de cette nécessité que naît Looking for Paradise, dans l’art de bricoler mentalement le vide laissé par nos questions sans réponse. Dans cette chasse au trésor imaginée à l’échelle d’une ville, des événements impromptus transforment l’espace urbain en scène de théâtre, en indices et en expériences pour amener les participants à atteindre l’état d’esprit Paradise. Looking for Paradise propose de faire un pas de côté pour visiter les façons dont nous percevons, rétrécissons, construisons nos réalités. Bienvenue dans cette vaste interrogation sur nos modes d’existence, plongeons ensemble dans la plus palpitante des mythologies de notre Histoire : « nous ». Se jouant des grandes questions métaphysiques pour offrir une ode à la joie, Looking for Paradise libère les flots de nos inconscients collectifs et propose d’y surfer ensemble afin de transformer pour toujours cette quête absurde qu’est la vie en une croisière merveilleuse. Looking for Paradise est la premier volet de Paradise, une série de dispositifs, performances et spectacles questionnant nos relations entre conscient et inconscient. Suivront Le jardin, installation neurologique, végétarienne et bucolique pour changer le monde et My american dreams, a night in paradise, divertissement pour subconscient. Les 19, 20, 21 et 22 août (3 représentations par jour) durée : 1h30 - spectacle payant - conseillé à partir de 12 ans Les 3 Points de suspension (France) Nicolas Chapoulier, Anthony Revillard et Mathieu Leroux, trois acrobates formés aux techniques circassiennes (Ecole de Cirque de Genève Cirqule, Zigmunt Biejag, Nordine Allal), créent en 2001 la compagnie Les 3 Points de suspension. En 2002, ils sont rejoints par Jérôme Colloud, musicien de jazz, chanteur, pianiste et comédien. Issus d’univers et d'esthétiques très différents les uns des autres, les artistes de la compagnie Les 3 Points de suspension explorent ensemble les richesses du mélange des techniques, des disciplines et des influences, principalement dans l'espace urbain. Tandis que Mr. Baryton (2003) et Voyage en bordure du bord du bout du monde (2006) s'inspirent de la tradition foraine et des films d'horreur des années 50, Nié qui tamola (2011), dispositif documentaire, interroge les relations entre la France et ses anciennes colonies africaines et évoque les échecs de la décolonisation. La grande saga de la Françafrique (2012), one-man show issu de Nié qui tamola retrace les scandales de la Françafrique. Au final, c'est toujours le rapport à l'altérité et à l'identité que questionnent Les 3 Points de suspension, avec un humour décapant et décalé. « Nous traitons de thématiques aussi diverses que la peur, les contes de fées, les relations franco-africaines, le réchauffement climatique, la métaphysique, les relations conscientinconscient, le «vivre ensemble». Nous cherchons à infiltrer les représentations pour mieux les défricher, les habiter et les détourner. Nous aimons mélanger les disciplines, changer leurs contextes, jouer avec leurs codes et leurs territoires. Philosopher avec une bouche d’égout, parler politique à un abri de bus, cuisiner la métaphysique, mettre en scène un rond-point, bref nous voulons épaissir nos mondes communs ». 17 CONTACT Céline Cailleau Picnic production tél. : + 33 (0)9 50 55 03 99 [email protected] www.picnicproduction.com Compagnie basée à Marseille 3 photographies sont disponibles sur le site du festival PATRICE DE BENEDETTI Jean, solo pour un monument aux morts Hommage à un père, à son père, à Jean Jaurès, à tous les Jean partis au combat bercés par la hardiesse et la foi en le progrès ; le solo de Patrice de Bénédetti aborde avec force, tendresse et aménité les notions du don, de l'espoir, du rapport à soi et au monde. Le monument au mort, lieu ordinaire, ne devient « haut lieu » qu’une ou deux fois dans l’année. Ne pourrait-il être pas être autre chose qu’un lieu grave, chargé d’histoire ? N’accueillant que cérémonies et commémorations militaires ? Ce n’est pas un cimetière dans la ville, imposant recueillement et silence. C’est un lieu de témoignage ; où la prise de parole devrait être possible, même par le corps. Une simple tribune de pierre où une histoire pourrait être racontée. Avec Jean, Patrice de Bénédetti mêle à son écriture chorégraphique le butô « danse du corps obscur », danse d'état et de non émotions, née de l’expression des traumatismes de la seconde guerre mondiale - notamment des bombardements atomiques - et de la volonté de rompre les non-dits. Mouvement, texte et installation plastique subliment cette danse parfois grotesque et grimaçante, qui cherche le dialogue avec l’abîme. « Mon père s'appelait Jean, comme environ 55 000 français en 1948, mais tout le monde l'appelait Jeannot. Fusilier marin commando de 1966 à 1971, il en avait gardé le goût pour les Gauloises sans filtre et une blessure au genou. Opérateur projectionniste en 81, cégétiste depuis je ne sais plus quelle année, mais il l'était toujours en 2005. Il était passionné par les débuts de la IIIe république, la Commune et la Guerre de 14-18. Il aimait le rock des années soixante, le banjo, Brel, Ferré, Brassens et une chanteuse québécoise dont j'ai oublié le nom. Ah, l'informatique et Pierre Desproges aussi. Il parlait de manière assez désordonnée mais ne perdait jamais le fil. Il disait toujours « ce que je veux dire » au milieu des phrases. Mon père manquait d'objectivité, mon père était toujours persuadé. Par exemple il était persuadé que la fin du monde ne serait pas en 2012, il était persuadé qu'elle avait déjà eu lieu le 31 juillet 1914, avec la mort de Jaurès. Tout ça en chantant : « Monsieur boum boum » d'Henri Salvador. Tout ça en dansant ; il dansait comme il ne savait pas chanter. Bref, vous l'aurez compris ou peut-être pas, mon père avait beaucoup d'humour et n'en était pas à un paradoxe près. C'est lui qui va vous raconter l'histoire de cet avant-guerre, de ce Jaurès et de ces Jean. C’est lui qui vous dira qu’il y en avait environ 20 000 en 1914. Enfin, pas lui directement, il n'est ni comédien ni danseur... et en plus il est mort (...) » Les 11, 12, 13, 15, 16 et 17 août dans le cadre des Préalables et les 19, 20, 21 et 22 août durée : 33 mn - spectacle gratuit Patrice de Bénédetti Auteur, chorégraphe et interprète : Patrice de Bénédetti Regard extérieur : Yui Mitsuhashi Spectacle créé en 2014 Coproductions : compagnie P2BYM et L'UsineScène conventionnée pour les arts dans l'espace public-Tournefeuille-Toulouse Métropole. Aide à la création : Ville de ToulouseLabelCentenaire de la Première guerre mondiale. (France) Né à Marseille en 1971, Patrice de Bénédetti, musicien, monte le groupe Tarif Réduit en 1989 avec lequel il sillonnera l'Europe durant plusieurs années. C’est en collaborant avec les compagnies Karnavire et Inflammable qu’il découvre le théâtre de rue. A partir de 2003 et parallèlement à ses activités de musicien-compositeur, il développe un travail de danseur et chorégraphe au sein des collectifs Ex Nihilo, Le Nomade Village et avec la compagnie Uz et Coutumes. Il fonde en 2008 la compagnie P2BYM axée sur la danse en espace public, en association avec la chorégraphe Yui Mitsuhashi. A partir de 2013, Patrice de Bénédetti se lance dans la création plus personnelle d’un solo qui l’animait déjà depuis 2 ans : Jean, solo pour un monument aux morts. Il y mêle danse, lecture et manipulation d'objets. 18 CONTACT Rachel Mégissier Plasticiens Volants Usine de l'Emancipation 81300 Graulhet tél. : + 33 (0)5 63 34 20 98 [email protected] www.plasticiensvolants.com 8 photographies sont disponibles sur le site du festival PLASTICIENS VOLANTS Little Nemo in Slumberland Création 2015 Débordant d’imagination, avec un graphisme étonnant et une mise en page annonçant le dessin animé, l'univers de McCay a toujours fasciné l’équipe des Plasticiens Volants. McCay a publié Little Nemo in Slumberland dans le New York Herald Tribune entre 1905 et 1914. Ce tout premier comic strip transpose dans l’univers du dessin, avec un humour subtil, un des thèmes les plus marquants des temps modernes : la découverte de l’inconscient. A la recherche du légendaire pays des songes, Little Nemo traverse des contrées inconnues, menaçantes et souvent déconcertantes. Depuis plus de vingt ans ce voyage onirique lui trottait dans la tête. L'idée a mûri et la compagnie Plasticiens Volants a enfin décidé de se lancer à l’assaut de cette forteresse ! Gonflables géants, marionnettes, images et musique guideront le public dans cette succession de Rêves. A l'esthétique très Art déco, Little Nemo s'articule autour de 4 personnages principaux : Little Nemo, la Princesse, Flip et un accessoire incontournable du Rêve, le Lit. Autour de ces personnages principaux, d'autres protagonistes issus des Rêves interviendront : le Pélican, l’Hippoguanodon sylvestre, les Maisons aux longues jambes, les framboises géantes... Un siècle après la parution de la dernière planche, Little Nemo in Slumberland va reprendre vie et parcourir les villes. L’inimaginable, la démesure et l’émotion seront, nous en sommes sûrs, au coin de chaque rue ! Le 19 août durée : 1h - spectacle gratuit Plasticiens Volants Direction artistique : Marc Mirales Avec : Milie Allera, Philippe Bonnet, Serge Budzinski, Marc Bureau, Isabelle Caron, Patrice Carpentier, Fabien Chamakoff, Thierry Collin, Gilles Ecomard, Frédéric Goujon, Jéremi Guiot, Jean-Philippe Hemery, Nicolas Llop, Marcel Lucas, Marc Mirales, Christian Moreau, Jean-Marc Noirot-Cosson, Marion Pepin, Joris Purgatorio, Julietta Roulet, Elisabeth Sonnendrucker et Sylvaire Walasik Avec le soutien de : ville de Graulhet (France) Plasticiens Volants est un groupe de passionnés, deux en 1976, date de création de la compagnie, et une trentaine maintenant ! La compagnie s’est installée en 1985 dans le Tarn, et en 1999 à Graulhet dans la communauté de communes Tarn & Dadou, dans une ancienne mégisserie au nom évocateur d’Usine de l'Emancipation. Passionnés par tout ce qui pouvait se passer au-dessus de leurs têtes, par le partage d’émotions avec le plus grand nombre, par les espaces publics… Captiver, retenir, guider à travers la ville, appelle une réponse à la question suivante : « Comment faire pour que tout le monde puisse voir la même chose en même temps ? ». De recherches en expériences, Plasticiens Volants donne corps et vie à des acteurs spécifiques : les gonflables, volants ou non. Ces marionnettes géantes survolent le public et le dominent de toute leur taille. Manipulées depuis le sol par des comédiens-manipulateurs évoluant au milieu des spectateurs, elles négocient avec le vent, rusent avec les obstacles, se glissent dans les rues, s’extirpent d’un porche ou se faufilent dans les ruelles... Ces marionnettistes font corps avec leurs personnages volant au-dessus d’eux, jouant toujours avec le public qui les touche. Ils jouent, dansent, courent, disparaissent pour raconter une histoire, pour émouvoir, faire rêver. Les histoires, imaginées ou issues d’un roman, Don Quichotte (1997), d’un conte, Simurgh (2001), d'un mythe, Babilonia (2006), de l'histoire de l'univers, Big Bang (2011)... invitent le spectateur à se plonger dans un monde d’émotions oniriques et de plaisirs d’enfance. Des spectacles universels accompagnés de créations musicales originales qui suggèrent des lectures à différents niveaux. Depuis 40 ans, les épopées gonflables de Plasticiens Volants ont dispersé aux 4 coins du monde, des images spectaculaires dont la poésie peuple encore le souvenir des spectateurs. 19 CONTACT Théâtre de l'Unité 9 allée de la filature BP 95168 25405 Audincourt Cedex tél. : + 33 (0)3 81 34 49 20 [email protected] www.theatredelunite.com 1 photographie est disponible sur le site du festival ThEATRE DE L’UNITE Le Parlement « Messieurs les politiques feraient bien de braquer leurs yeux vers Aurillac à la miaoût, cela leur coûterait moins cher qu’un sondage, pour prendre la température de leur peuple ». Voici ce que nous dit en substance le Théâtre de l'Unité, qui se demande aussi si les artistes sont dotés d’antennes spéciales qui leur permettent de mieux ressentir, et d’annoncer les catastrophes. Peut-être bien. C’est à Aurillac que l’on verra naître un nouveau parlement, un vrai parlement, un parlement légitime qui pendant quatre jours va édicter des lois et remettre le jeu politique au centre. Parlement de rêve, les débats seront ponctués de poésie, de discours de Jean Jaurès ou Victor Hugo. Pour la musique, on entendra du Didier Super et deux demoiselles distinguées et habiles dans l’art de la goguette mettront leur grain de sel. Le Théâtre de l’Unité veut donner la parole à ceux qui ont réussi à faire bouger et à réveiller la démocratie, à tous ceux qui ne se soucient pas de leur carrière mais de l’intérêt du pays. Une délégation d’un quartier d’Amiens avec qui l’Unité a inventé ce nouveau concept d’assemblée populaire en juin 2014 sera également présente. Et tout ça qui s’inventera de jour en jour… Y aura-t-il des spectateurs qui pourront jouer à la démocratie directe ? Of course. « Nous avons vraiment envie que ce trentième festival puisse montrer au reste du monde que l’Art n’est pas que divertissement pour rire et passer le temps mais aussi un outil de décryptage de la société, et de plus une magnifique arène de remuements de la pensée ». Le Théâtre de l’Unité ritualisera le parlement d’Aurillac et les résultats des travaux seront transmis à tous les candidats à la présidentielle. Les 19, 20, 21 et 22 août durée : 1h30 - spectacle gratuit Théâtre de l’Unité Sur une idée du Théâtre de l’Unité et du Festival d’Aurillac Le Parlement a connu sa première mouture à Amiens dans le cadre de la fête dans la ville le 20 juin 2014 Ritualisation : Hervée de Lafond et Jacques Livchine Au Perchoir : Madame la Provisoire : Hervée de Lafond Clips chantés : Didier Super, Léonor Stirman, Garance Guierre Collaboration à la mixité sociale : 9 habitants d’un quartier d’Amiens Proférations : Lucile Tanoh, Jacques Livchine et d’autres. Le Théâtre de L’Unité est soutenu par : La Drac Franche-Comté pour son lieu de résidence, par la Région Franche-Comté, par la municipalité d’Audincourt pour la Maison Unité, par le Pays de Montbéliard Agglomération pour l’hébergement au château d’Hérimoncourt, par le Conseil départemental du Doubs pour ses Kapouchniks. (France) C'est en 1972 que de la rencontre vraisemblablement inopinée mais néanmoins vraisemblable entre Jacques Livchine (formé au cours Simon puis à l'université internationale du théâtre et à l'institut d'études théâtrales de Censier), Hervée de Lafond (qui a flirté avec les études de cinéma avant de passer au théâtre)- deux acteurs de ce que l'on nommait alors le jeune théâtre -et le scénographe- décorateur Claude Acquart allait naître le théâtre de l'unité. Aventure qui rendrait indémaillable la complicité entre les trois susnommés. Ils frisaient alors la trentaine. Comme le nom l'indique le Théâtre de l'Unité c'est d'abord une équipe. Plus soudée dans le risque que dans le savoir-faire, plus soucieuse d'inventer que de faire carrière, plus prompte aux élans kamikazes qu'à l'autosatisfaction. Comme son nom ne l'indique pas, le théâtre de l'unité pratique un théâtre de la plus extrême diversité. Car si on veut les résumer dans une formule on ne peut guère parler que d'un théâtre qui ne tient pas en place. Ils tournent dans le monde entier . Leur spectacle le plus emblématique, c'est la 2 CV théâtre (1977). Un acteur à l'avant, deux spectateurs à l'arrière qui assistent, exactement aux premières loges, à une histoire proustienne de 8mn, au milieu du grand rituel théâtral : ouvreuse antipathique , pompier de service, garde républicain. Dans ce plus petit théâtre du monde, ils parvenaient à résumer ce qu'était pour eux le théâtre : connivence, complicité, élitaire-populaire, cocon dans le monde et à l'abri du monde. Gens de dialogue social et de théâtre à l'emporte-pièce, ils éprouvent le besoin de se confronter à une ville, une population, et leur implantation dans la ville nouvelle de St Quentin-en-Yvelines (1978-1985) leur donna satisfaction. Ils y inventèrent de multiples pièces, mais aussi la grande fête d'un jour : le carnaval des ténèbres. Loin d'être sensible à l'attraction parisienne, le Théâtre de l'Unité s'en est radicalement éloigné en 1991 en s'installant à 487 kms de là, dans l'Est de la France, à Montbéliard, haut lieu des usines Peugeot. « Ici plus de bataille médiatique, plus de bataille de reconnaissance, disent-ils, peut-être la vraie vie, très pleine, face à des vrais gens ». Or donc à Montbéliard ils ont ouvert cette année -là et le plus sérieusement du monde, le premier centre d'art et de plaisanterie de France, établissement sans doute unique qu'ils définissent comme une « espèce d'institution anti-institutionnelle ». Ils y reprirent quelques-uns des succès qui avaient assis leur réputation, y inventèrent une grande fête, le Réveillon des boulons, firent fleurir de nouveaux concepts comme la surprise champêtre, les thés musicaux, les académies des saveurs, et des événements dont eux seuls possèdent le secret - les sardanapales, la fête du malheur, la plus mauvaise pièce de l'année, sans oublier leur culture de l'insolence qui les a très vite fait connaître dans la ville comme des empêcheurs de tourner en rond, surtout le sénateur maire qui un jour en voulant faire un discours se trouva propulsé à vingt mètres de hauteur au bout d'un élastique. En 2002, considérant qu'ils ne se renouvellent plus assez, ils partent fonder leur camp N°8 dans les anciennes filatures Japy à Audincourt, animés par la volonté de créer de nouveaux concepts autour de la fête et du populaire, tant décriés par tous. 20 CONTACT Dominique Raybaud Théâtre du Centaure 33 traverse de Carthage 13008 Marseille tél. : + 33 (0)4 91 25 38 10 [email protected] www.theatreducentaure.com 10 photographies sont disponibles sur le site du festival ThEATRE DU CENTAURE La 7e Vague Création 2015 - Première - Résidence Le Parapluie Les centaures existent, ils sont là, dans le même monde que tout le monde. Dotés d’une intelligence instinctive et d’une rapidité animale, ils ont des aptitudes singulières dans le domaine de la haute finance. Ce sont des traders redoutables. Corps animales à la blancheur de nacre et costumes trois pièces haute couture, John et Solal sont des amis, presque des frères. Fringants et élégants, ils surfent sur les marchés financiers et brassent des millions. Ils auraient pu profiter de ça, faire du pognon et prendre leur retraite à 30 ans. Mais dans les soubresauts d’un monde en crise, Solal pressent l’arrivée d’une terrible onde de choc … la vague des vagues. Elle ressemblera aux vagues précédentes mais elle emportera tout sur son passage. C’est La 7e Vague, celle qui nous relie à la nature Les centaures surgissent parfois dans le monde réel au détour d’une gare, d’un quartier d’affaire ou même à l’intérieur d’une prison… Ils existent grâce à une relation fragile qui unit leur partie animale et leur partie humaine. Ils sont rapides, instinctifs et parfois violents. Comme les humains, les centaures ont besoin de relations pour exister car ils sont eux-mêmes le fruit d’une relation entre les deux parties qui les composent pour exister ensemble. La haute finance, centre névralgique de notre société, est un monde froid et dématérialisé où l’on n’attend pas l’animalité. Le centaure exprime ici à la fois la sauvagerie du prédateur et le nécessaire lien à un écosystème pour exister ensemble. Le 17 août dans le cadre des Préalables et les 19, 20, 21 et 22 août durée : 1h15 - spectacle payant Mise en scène : Camille Textes : Camille et Manolo Avec (les acteurs Centaures) : Bertrand Bossard et Akira, étalon lusitanien, Manolo et Toshiro, étalon lusitanien, Idra, étalon Pure Race Espagnol, Mahir Günsiray, acteur en vidéo Composition et musique live : Virgile Abela Création et régie lumière : Bertrand Blayo Création vidéo : Camille et Jean-Christophe Aubert Costumes : Les centaures sont habillés par Paul Smith, Création Clarisse Guichard - Fifi Turin Création Régie vidéo : Jean-Christophe Aubert Régie générale : Eva Tourrent Soins des chevaux : Stéphane Alleno et Samantha Camman Administration et Production : Matthieu Paris, Charlotte Grünspan et Dominique Raybaud Production : Théâtre du Centaure Coproductions et aides à la création : Pôle National des Arts du Cirque MéditerranéeCREAC-Marseille, Le Centquatre-Paris, Le Parapluie-Centre international de création artistique-Aurillac, Le Manège de Reims scène nationale, Ville de Tremblay-en-France-Fête du Chapiteau bleu Soutiens et partenaires : Le Parc d’équitation du Château Bleu-Tremblay-en-France, La Chartreuse-Centre national des écritures du spectacle-Villeneuve-lez-Avignon, Paul Smith. Théâtre du Centaure (France) C’est ce que Michel Foucault appelle une « hétérotopie », le lieu physique réel de réalisation d’une utopie. Un espace concret qui héberge l’imaginaire comme une cabane d’enfant, un espace à la fois mythique et réel. Concrètement, le Théâtre du Centaure c’est une famille d’une dizaine d’équidés et d’humains qui ont construit ensemble un mode de vie et de création spécifique. Village, écuries, lieu de travail et de fabrique, où dix personnes et dix chevaux œuvrent tous les jours à la réalisation d’une utopie. Evidemment le Centaure n’existe pas. C’est l’utopie d’une relation, d’une symbiose pour n’être qu’un à deux. « Parce qu’il est impossible, parce que c’est une utopie, le Centaure est pour nous une forme d’engagement. Un engagement qui nous pousse à inventer un théâtre qui n’existe pas, des formes différentes, un langage autre ». Les créations de la compagnie s’apparentent tantôt au théâtre (Les Bonnes, 1998), tantôt au nouveau cirque (Macbeth, 2001) ou aux arts visuels et à la danse (Cargo 2004, Flux, 2009). A chaque fois, cette créature hybride bouscule les codes et impose de nouveaux langages, de nouveaux surgissements dans le monde réel. Les Centaures parcourent le monde avec leurs spectacles. Ces voyages sont l’occasion de réaliser des films d’art, à Berlin, Rotterdam, Istanbul… Fondé, en 1989, le Théâtre du Centaure est implanté à Marseille depuis 1995. La compagnie est dirigée par Camille et Manolo. 21 UNE PEAU ROUGE CONTACT Agathe Delaporte Une Peau Rouge c/o Akompani 24 rue Davoust 93500 Pantin tél. : + 33 (0)1 48 45 55 42 [email protected] www.unepeaurouge.com 3 photographies sont disponibles sur le site du festival Tleta Tleta ou les fragments d’une biographie sous silence Quelle histoire raconter quand on a oublié de vous la raconter ? Tleta signifie trois en arabe : trois vies récoltées pour en comprendre une, celle de Djamel Afnaï. Une histoire de migration à travers un solo déambulatoire, théâtral, musical et chorégraphique. Tleta tente avec jubilation d’enrichir notre perception et notre connaissance d’une Histoire (pas si lointaine) de cette France un peu oubliée ou volontairement passée sous silence. Un regard décalé, sensible et drôle, sur une population d’ascendance migrante et coloniale. Faut-il oublier pour avancer ou avancer pour oublier ? Et si l’on y parvient, que nous reste-t-il ? Les 12 et 13 août dans le cadre des Prélables durée : 1h - spectacle gratuit Conception, réalisation et jeu : Djamel Afnaï Regards extérieurs : Yano Iatrides et Alexandre Pavlata Remerciements (contribution à l’écriture) : Natacha Lillo Musique : Pascal Morel Vidéo : Guillaume Rouvroy et Amanda Rubinstein Scénographie : Ghislain d’Escayrac Régie son : Léo Delorme Spectacle créé en 2013 Avec le soutien de : Association Beaumarchais-SACD Auteurs d’Espaces, Ministère de la Culture et de la Communication-DGCA, Région Ile-de-France, Espace Périphérique-Lieu de Création dédié aux Formes Contemporaines des Arts du Cirque, de la Rue et de la Marionnette-Paris, Les Anciennes Cuisines-Fabrique Artistique de Ville-EvrardNeuilly-sur-Marne, Nil Obstrat-Centre de Création Technique et Artistique dédié aux Arts de la RueSaint-Ouen-l’Aumône, Réseau DéambulationParis, FAI-AR-Formation supérieure d’art en espace public-Marseille et Ville de Cergy. Une Peau Rouge (France) Une Peau rouge est une compagnie créée en 2013 par Djamel Afnaï au sortir de son cursus de la FAI-AR (Formation supérieure d’art en espace public). Tleta est le premier spectacle de cette compagnie à géométrie variable, constituée de comédiens, danseurs, scénographes et vidéastes, qui utilise l’espace public comme champ d’exploration. Pour provoquer rencontre et débat, la compagnie s’inscrit dans le réel, matière de sa créativité, et donne forme à ses différentes réalisations en utilisant toutes les sources d’inspiration possibles. Elle privilégie une relation intime avec le spectateur lors de laquelle poésie, humour et impertinence sont ses armes. Djamel Afnaï, auteur, metteur en scène et comédien a été élève comédien à l’Ecole du Passage de Niels Arestrup en 1990 puis de l’Ecole du Théâtre National de Chaillot jusqu'en 1992 auprès d’Andrej Seweryn, avec qui il collabore dans Peines d'amour perdues de Shakespeare, puis Christian Benedetti sur Macbeth (W S) et Les Possédés de Dostoievski, une création danse/théâtre de Martine Harmel et Michel Lopez dans Errance amoureuse, La force de l'habitude de Thomas Bernhard mise en scène par Isabelle Guyon. Il collabore également depuis 2000 avec la compagnie de théâtre de rue Acidu pour la création de La chorale de Saint-Fulbert et différents trios tels que Les Graaleurs ou La Marquise de Noutroy. En octobre 2011, il intègre la formation supérieure d’art en espace public (FAI-AR). 22 CONTACT Anaïs Biaux Wired Aerial Theatre / c/o Xtrax 51 Old Birley Street Manchester M15 5RF - Grande-Bretagne tél. : + 44 (0)161 227 8383 [email protected] www.xtrax.org.uk www.wiredaerialtheatre.com 11 photographies sont disponibles sur le site du festival WIRED AERIAL ThEATRE As The World Tipped Combinant danse aérienne et projection vidéo, ce spectacle de haute voltige raconte l’histoire cruciale de la crise écologique actuelle. As The World Tipped (Le Point de Bascule) pose l’une des questions les plus pressantes pour la planète avec poésie, humour et émotion. Au secrétariat de la Conférence de Copenhague sur le changement climatique, les employés submergés sous des montagnes de papiers ne s’aperçoivent pas qu’autour d’eux le monde glisse vers un désastre, littéralement et métaphoriquement. Tandis que la scène se met doucement à basculer à la verticale, les personnages se retrouvent alors suspendus au dessus du public. Ils peinent à contrôler ce monde devenant de plus en plus instable et luttent avec ferveur contre les effets irréversibles de cette catastrophe environnementale. Directeur artistique : Nigel Jamieson Directrice aérienne : Wendy Hesketh-Ogilvie Directeur technique : Jamie Ogilvie Diffusion et développement : XTRAX Musique : Patrick Dineen Directeur de production : Gareth Green Régie générale : Sam Wood et Fiona Curtis Danseurs et grimpeurs : Steven Baker, Hannah Ballard, Sebastian Gonzalez, Ryan Harston aka LoGisTic, Wendy Hesketh-Ogilvie, Daniela B Larsen, Jamie Ogilvie, Matt Reynolds, Benjamin Stevens et David Willdridge Chef d’équipe : Joe Swain Lumières : Gareth Green, Gareth Barton et Leon Smith (Jim Gee de 2011-2013) Opérateurs AV : Matt Bailey et James Bragger Scénographie : Wired Aerial Theatre, Andy McDonnell et Tim Denton Film Film et visuels : Inflammable Films Producteur : Diarmid Scrimshaw Chargée de projet : Sarada McDermott Directeur de montage et d’animation : Chris Newcombe - Project Monster Animation : Andy Cooper Montage : Tom Grimshaw Coordination : Paul Harry Thomas - Project Monster Recherche d’archives : Sue Tiplady Spectacle créé en 2011 Soutien a la création : Without Walls Coproduction : Tipping Point/Without Walls, Brighton Dome and Festival, Norfolk & Norwich Festival, Made in Liverpool, Liverpool City Council, Greenwich+Docklands International Festival, Mintfest, Stockton International Riverside Festival, XTRAX, Arts Council England. Les 21 et 22 août durée : 50 mn - spectacle gratuit Wired Aerial Theatre (Grande-Bretagne) Wired Aerial Theatre est le fruit d’une rencontre entre Wendy Hesketh-Ogilvie et Jamie Ogilvie, tous deux membres de l’équipe originelle de la compagnie argentine De La Guarda. Wired Aerial Theatre est aujourd’hui une référence mondiale en matière de danse aérienne. Pionnière dans son genre, le « bungee-assisted dance », technique alliant danse contemporaine, théâtre, cirque et techniques d’escalade, la compagnie n’a de cesse d’explorer les possibilités infinies que permet cette discipline artistique. Basé à The Higher Space à Liverpool, son centre de création spécialisé en danse aérienne, Wired Aerial Theatre repousse sans cesse les limites, pour créer son propre vocabulaire et une esthétique nouvelle donnant lieu à d’ambitieux spectacles à couper le souffle. Ses créations empreintes d’humour et de poésie ont tourné avec succès aux quatre coins du monde. 23 Les rendez-vous professionnels Le Rendez-vous des compagnies de passage Accueil des compagnies de passage Accueil et information Bureau du Festival 20, rue de la Coste 15000 Aurillac tél. : + 33 (0)4 71 43 43 74 fax : + 33 (0)4 71 43 43 75 [email protected] Ouvert de 10h à 19h à partir du 17 août 2015 Le Festival d’Aurillac s’est, depuis sa création, attaché, en parallèle de la programmation dite officielle, à accueillir tous les artistes de rue qui souhaitent se produire dans les rues, squares et cours d’Aurillac. Le Rendez-vous des compagnies de passage aura lieu du 19 au 22 août. Aujourd’hui, ce sont plus de 500 compagnies qui se réunissent à Aurillac et font de notre événement un moment exceptionnel de création, de recherche et de diffusion artistique. Un programme des compagnies de passage est édité dès le 18 août. Il est en vente aux points d’accueil. Le catalogue 2015 des compagnies offre un véritable répertoire bilingue (FrançaisAnglais) des compagnies. Destiné au public, aux professionnels et journalistes, celui-ci explique plus en détail le contenu de chaque spectacle. (Ne sont présentées dans cet outil que les compagnies professionnelles qui en ont fait le choix). Ce catalogue est en vente aux points d’accueil. Information à noter pour les journalistes et professionnels : Il vous est possible de retirer gratuitement le programme des compagnies de passage et le catalogue 2015 des compagnies à l’accueil presse ou professionnel sur présentation de votre badge d’accréditation. Les rencontres professionnelles Accueil des professionnels Accueil et information Cour d’honneur Jules Ferry 7, rue Jules Ferry tél. : + 33 (0)4 71 43 43 82 fax : + 33 (0)4 71 43 43 83 [email protected] Ouvert de 9h30 à 19h à partir du 17 août 2015 Entre le 19 et le 22 août, le tapis rouge sera déroulé pour les spectacles bien sûr, mais nous souhaitons aussi cultiver des îlots de fraîcheurs et torches incendiaires pour parler ensemble. Les sujets sont pléthore : l’argent, qui circule mais manifestement pas dans nos tuyaux, la nécessité de repenser nos schémas de développement… Notre rapport à l’artistique et au social, nos relations avec les institutions, nos tentatives d’association à la construction des villes… Mais dans le temps ultra compressé du festival, où beaucoup veulent avant tout se nourrir d’art, ces débats techniques ont peu de chance d’être approfondis ou renouvelés. C’est pourquoi nous avons bien davantage envie de pétrir avec vous un univers plus imaginaire mais ô combien fondamental, celui qui témoigne de nos obsessions et de nos utopies, qui révèle l’intelligence de la main et du corps, qui fête le don d’observation et le sens du rythme, qui évoque l’acuité spatiale, les talents relationnels, la sensibilité au paysage, l’ardeur citoyenne au quotidien… Le théâtre et la rue regorgent de ressources cachées, de trésors d’humanité qui circulent en contre bande : et si on les partageait ?! Pendant 4 jours, nous vous convions donc à une kyrielle de rendez-vous aux formats les plus divers, pour saisir dans leur chair des personnes qui, dans leur rapport au monde, nous ont donné de l’espoir, de la force, de quoi rire, une once de folie ou une larme de clairvoyance. Tous nous ont aidé à remettre notre ouvrage sur le métier. Leurs recherches et trouvailles, leurs engagements, leurs échecs ou pépites naissantes nous parlent de cette humanité qui obstinément veut croire en une société digne et solidaire. Venez les écouter et les interroger. histoire de se faire du bien, d’enrichir notre patri-matri-moine artistique, et de réaffirmer nos droits culturels. Programme en cours. Invités : des collectifs de la société civile et des Compagnies de passage, les artistes de la programmation officielle, Albert Ogien, François Deck, Jean-Pierre Thibaudat, Laurent Petit, Sébastien Barrier, Marcel Freydefont, Claudine Dussolier, Jacques Livchine, Hervée Delafond, Jean-Georges Tartar(e), la Fédération des Arts de la rue, la SACD, la FAI-AR… et de nombreuses personnalités politiques et militantes. 24 Les rendez-vous professionnels Les rencontres professionnelles Accueil des professionnels Accueil et information Cour d’honneur Jules Ferry 7, rue Jules Ferry tél. : + 33 (0)4 71 43 43 82 fax : + 33 (0)4 71 43 43 83 [email protected] Ouvert de 9h30 à 19h à partir du 17 août 2015 La Cour d'honneur du Collège Jules Ferry, la Maison du Festival et quelques endroits inédits seront les lieux dédiés à ces rendez-vous quotidiens et à l'accueil des professionnels et des journalistes, dès 9h30 autour d'un café et de la presse quotidienne. Du 19 au 22 août, vous pourrez également assister à différentes rencontres : Le chantier triennal itinérant : « Objectif2032 : quels arts pour quelles rues dans 20 ans ? » Les Présentations de projets de création 2015 proposées par HorsLesMurs et le Festival d’Aurillac Les rendez-vous d’organisations professionnelles telles que La Fédération des Arts de la rue, la FAI-AR, la SACD… Des lectures autour des dernières publications des Editions L’Entretemps Des temps de rencontres disséminés dans la ville avec des compagnies de passage et des collectifs… Vous pourrez aussi découvrir les publications présentées par la librairie du Festival. La SACD - Dispositif Auteurs d’Espaces A travers Auteurs d’Espaces, la SACD soutient tant les jeunes compagnies que le travail d’auteurs confirmés. Dans les projets retenus chaque année, la SACD et les festivals partenaires s’engagent sur des projets qui affirment la spécificité de notre répertoire et l’innovation, ainsi que des équipes émergentes dans les arts de la rue. Pour que ces actions perdurent et s’amplifient, il est vital que les auteurs déclarent leurs œuvres, et précisément dans le répertoire Arts de la Rue. Etre membre de la société des Auteurs, c’est également rejoindre une société mutualiste qui défend les œuvres et le droit à la création. quatre projets présents en 2015 au Festival d'Aurillac ont été soutenus : TRIP(ES) ou mes parents n’ont pas eu les couilles de faire des enfants d’Alixem, No visa for this country de la Compagnie sous X, L’Homme est un animal mobile de La Ménagerie, The Baïna Trampa Fritz Fallen du G. Bistaki. Les Editions L’Entretemps Des Mots, des auteurs, des acteurs. Les Editions L’Entretemps en partenariat avec le festival d’Aurillac et la SACD proposent des lectures et débats. Le programme des lectures et le thème des débats seront disponibles mi-juin. Les présentations de projets de création 2016 Des Mots, des auteurs, des acteurs. A l’instigation d’HorsLesMurs et du festival d’Aurillac, les présentations de projets de création se dérouleront sur une journée. Professionnels, à vos agendas ! La date et le détail des présentations seront disponibles mi-juin 25 Les rendez-vous professionnels Objectif2032 quels arts pour quelles rues dans 20 ans ? Chantier triennal prospectif et itinérant Atelier (date à préciser) Sur inscription à [email protected] ou directement à l'accueil des professionnels Cour d’honneur Jules Ferry 7 rue Jules Ferry tél. : + 33 (0)4 71 43 43 82 fax : + 33 (0)4 71 43 43 83 Pour en savoir plus sur le chantier et ses étapes précédentes, consultez le site dédié objectif2032.fr. Un chantier de réflexion et d’actions pour imaginer le futur des arts en espace public, porté par le Festival d’Aurillac et le centre de ressources HorsLesMurs. Pour préparer le futur, pourquoi ne pas jouer le jeu de la (science) fiction ? Interroger nos héritages, mettre à distance notre présent, pour mieux inventer nos possibles ? Le Festival d’Aurillac et HorsLesMurs ont conçu une machine à explorer le temps lancée en août 2012, qui naviguera jusqu’en août 2015. Trois années pour se donner du temps, pour échanger, se perdre et se retrouver, engendrer de la pensée active ! Il s’agit, en s’extrayant temporairement des pesanteurs de l’actualité de : - passer des données factuelles ou historiques au filtre de l’imaginaire, du rêve, de l’utopie, - converser et inventer ensemble, autour des esthétiques, de la place de l’artiste, de son rapport aux espaces publics ou virtuels, - détecter, qui sait, de nouvelles manières de faire en germe, voire stimuler la creation. Rebrasser les cartes de la création et de l’éthique des arts de la rue, contourner les idées reçues et secouer les tabous, lutter contre l’entre-soi qui menace les disciplines artistiques et corporations, révéler des désirs communs, penser un devenir collectif à l’échelle européenne… Etapes réalisées : - la ]Banque de questions &+si[ au festival d’Aurillac 2012 - l’atelier La prospective en jeu(x) à Paris le 4 avril 2013 - la conférence-atelier L’avant-garde est-elle à la rue ? au festival d’Aurillac 2013 - l’atelier de 48h Du virtuel au vivant, la ville aux mains des artistes, à Tours, en collaboration avec le pOlau en février 2014 - l’artiste de rue : bricoleur figure de l’ultra adaptabilité ? au festival d’Aurillac 2014 Nouvelle étape d’Objectif2032 : « Où se niche le politique dans la rue ? » Comme une vieille antienne dont on a oublié l'origine, un petit refrain se fait entendre régulièrement en France : les artistes de rue ne seraient plus politiques. Cette idée reçue convoque une référence nostalgique de la fin des années 70, période d'émergence du mouvement du théâtre de rue où le fond de l'air était clairement contestataire. Elle convoque aussi le principe -cliché lui aussi ?- que le théâtre de rue était, est et devrait nécessairement être politique. En parallèle, les mouvements de mobilisation citoyenne se sont multipliés ces dernières années, du Québec aux printemps arabes, de la Puerta del Sol à Occupy Wall Street et Hong Kong. Ceux-ci ont ont tenté d'instaurer, même de façon éphémère, une démocratie réelle qui vienne bouleverser l'ordre politique, y compris dans les démocraties occidentales. Dans un même mouvement, des artivistes, des guerillas gardeners, des collectifs transdisciplinaires s'emparent de l'espace public et y produisent des actions et des messages à la portée politique radicale. Où se situe le théâtre de rue dans cette ébullition politique où contestation, insurrection, désobéissance civile et hacktivisme se télescopent ? Pour éclaircir ces inter-relations, ausculter les évolutions des propos et des formes d'engagement, Objectif2032 propose un nouvel atelier ouvert à tous, en compagnie d’Albert Ogien (*) et d'artistes et citoyens en action. (*) Albert Ogien est directeur de recherches au CNRS et directeur de l'Institut Marcel Mauss de l'EHESS. Ses travaux portent entre autres aujourd'hui sur l'analyse des mouvements de protestation politique extra-institutionnelle (rassemblements et occupations de places, contestations des pouvoirs, mobilisations transnationales, insurrections civiles, activisme informatique, désobéissance civile, création de nouveaux partis) qui se développent actuellement. 26 Photographies et documentaires SurExposition Regards sur le festival d’Aurillac (1986-2014) Exposition du Musée d’art et d’archéologie d’Aurillac en partenariat avec : l’Association Eclat. Commissaire d’exposition : Brigitte Lépine avec l’aide de : Laura Ignace, Vincent Muteau, Christophe Paris et Jean-Marie Songy, avec le soutien logistique des services de la ville d’Aurillac et le concours de Cantal Reprographie. Exposition ouverte : du 2 juillet au 30 septembre 2015 aux Ecuries et à la Sellerie. Du mardi au samedi, de 14h à 18h (le matin sur réservation pour les groupes) Les dimanches 5 juillet, 2 août et 6 septembre, de 14h à 18h Du mercredi 19 au samedi 22 août, de 11h à 19h. Depuis 1999 la ville d’Aurillac présente régulièrement dans les salles des Ecuries, des expositions de photographies sur le thème du spectacle vivant. C’est ainsi que neuf expositions ont été consacrées au théâtre de rue au travers du regard d’une vingtaine d’artistes et photographes, non seulement sur la création à Aurillac mais sur une scène élargie géographiquement. Pour cette 30e édition du Festival, occasion exceptionnelle, le Musée d’art et d’archéologie souhaite montrer les tirages issus de ses collections à la Sellerie et offrir un retour en images (photographies et vidéos) sur 29 éditions du Festival de théâtre de rue d’Aurillac aux Ecuries. Au sein des deux salles des Ecuries, vous pourrez « fouler » plus de 500 photographies (*) dans une installation donnant à revoir l’ensemble des spectacles de la programmation officielle du Festival depuis sa création en 1986 et découvrir deux documentaires : « Faiseur(s) de ville - 30 ans de théâtre de rue à Aurillac » Réalisé par Paul Dufour - couleurcantal.tv Co-écrit par Pierre Coupiat et Paul Dufour. Coproduction Eclat, Musée d’Art et d’Archéologie d’Aurillac, Couleurcantal.tv Durée 52 minutes. « Les clefs de la rue » Quelles portes s’ouvrent à Aurillac depuis 30 ans ? Les habitants racontent l’histoire. Réalisé par Marc Guiochet-ADICOM Co-écrit par Marc Guiochet et Charlotte Granger en collaboration avec JeanGeorges Tartar(e), Eric Burbail et Jaqui Max. Coproduction Eclat, Musée d’Art et d’Archéologie d’Aurillac. Durée 2 x 4 heures. (*) Les tirages appartenant aux collections du Musée d’art et d’archéologie et présentés à La Sellerie sont de : Matthieu Dussol, Matthieu Galeyrant, Christian Genot, Matthias Olmeta, Christophe Raynaud de Lage, Gérard Rondeau, Pierre Soissons, Spencer Tunick et Joël Verhoustraeten. Les tirages présentés aux Ecuries sont issus des archives de l’Association Eclat et sont de : Olivier Chambrial, Pierrick Delobelle, Matthieu Dussol, Matthieu Galeyrant, Christian Genot, Vincent Muteau, Christophe Raynaud de Lage, Pierre Soissons et du service communication de la Mairie d’Aurillac. 27 Le Parapluie Centre international de création artistique, de recherche et de rayonnement pour le théâtre de rue Le Parapluie est soutenu par : Le Ministère de la Culture et de la Communication, La Communauté d'Agglomération du Bassin d'Aurillac, Le Conseil Régional d'Auvergne, Le Conseil Départemental du Cantal. Le Parapluie, premier lieu de fabrique construit de toutes pièces et dédié au théâtre de rue a ouvert ses portes à Naucelles durant l’édition 2004 du Festival d’Aurillac. Composé de véritables espaces de travail : ateliers spécifiques de construction, studio de répétition et espace extérieur aménagé pour l’installation de chapiteaux, ce centre permet la construction et la mise en œuvre des projets de spectacles des compagnies accueillies en résidence. S’ajoutant au lieu d’hébergement, ce lieu de fabrique donne aujourd’hui au Festival d’Aurillac les moyens d’accueillir et d’accompagner les artistes tout au long du processus de création et toute l’année. Avec Le Parapluie, l’Association Eclat, productrice du Festival International de Théâtre de Rue d’Aurillac, affirme ainsi sa mission de Centre international de création artistique, de recherche et de rayonnement pour le théâtre de rue. Accueils en résidence en 2014 et 2015 : 2014 Metalovoice - feRtiles Les 3 points de suspension - Looking for Paradise Zo Prod - Sundback Tango Sumo - Around Teatro del Silencio - Doctor Dapertutto Materia Prima - Choir Deuxième groupe d'intervention - A quoi rêve Peter ? Un essai sur le vertige Delices DADA - La géographie des bords # phase 1 Théâtre du voyage intérieur - Le banquet de la vie Groupe Merci - Trust, objet nocturne N°24 Systèmes K - Etudes et mesures éphémères - Mutation Pierre di Sciullo - LE TAN DÉ NOIYO KompleX KapharnaüM - Do Not Clean 2015 Le G.Bistaki - The Baïna Trampa Fritz Fallen Carabosse - Hôtel particulier KompleX KapharnaüM - Do Not Clean Delices DADA - La Géographie des Bords Kumulus - Naufrage Zur - Prochainement ! Théâtre du Centaure - La 7e Vague La Française de comptage - Vous en voulez Le Phun - Palissades La liste des compagnies accueillies en résidence - liste comprenant également les créations soutenues avant la construction du Parapluie - est disponible sur demande. 28 Les partenaires Le Festival d’Aurillac est financé par la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac le Ministère de la Culture et de la Communication le Conseil Régional d’Auvergne le Conseil Départemental du Cantal réalisé avec le soutien logistique de la Ville d’Aurillac et l’aide de la SACD-Auteurs d’Espaces CEMEA Auvergne l’Association Accent Jeunes Trans’Cab SMOCE, Syndicat Mixte Ouest Cantal Environnement Pôle Médico-social Enfance de l’ADSEA du Cantal Partenaires économiques La Caisse Régionale de Crédit Agricole-Centre France, 1er partenaire privé Les 3 Caves HOP ! Air France S.N.C.F. direction de Clermont-Ferrand ERDF Electricité Réseau Distribution France Cantal Reprographie Société Bois et Paysages JC Decaux et les membres du Club Entreprise Auriplast BMW Centre Leclerc Aurillac Escot Télécom KPMG La blanchisserie Boisset La Chambre de Commerce et d’Industrie La Chambre des Métiers Logisens Maison d’hôtes de la Chapellenie Poivre & Sel Traiteur Salon Dessange Aurillac Partenaires presse Libération Télérama La Terrasse France Culture La Montagne La Voix du Cantal Radio Totem France 3 Rhône-Alpes Auvergne 29 Festival, mode d’emploi Comment se rendre à Aurillac Par avion : HOP ! Air France Réservations : www.hop.fr, www.airfrance.com et agences de voyages Par route : Accès depuis les sorties St-Flour ou Massiac de l’Autoroute A75 Accès depuis les nationales 122 et 120 Covoiturage : des offres sont proposées sur le site du Festival, rubrique Venir à Aurillac Par train : SNCF Tarifs découverte ou cartes valable sur l'ensemble du réseau SNCF Informations sur www.sncf.fr et www.ter-sncf.com/auvergne Comment se loger à Aurillac Office de Tourisme d’Aurillac et de son pays tél. : + 33 (0)4 71 48 46 58 CEMEA Auvergne - Accueil et accompagnement des publics tél. : + 33 (0)4 73 98 73 73 Toutes les offres d’hébergement (camping, camping car et gîtes) sont consultables sur le site du Festival, rubrique Informations pratiques Informations - Maison du Festival tél. : + 33 (0)4 71 43 43 70 - fax : + 33(0)4 71 43 43 71 Billetterie Une mise en vente a lieu le 24 juin, uniquement sur place, à l’Office de tourisme pour les habitants de la Communauté d’Agglomération du Bassin d’Aurillac > du 25 juin au 16 août : www.aurillac.net et sur place à l’Office de tourisme d’Aurillac > du 17 au 22 août : sur place à la billetterie du Festival Tarifs de 0 à 20 euros Accueil des professionnels et des journalistes du 17 au 22 août Collège Jules Ferry, 7 rue Jules Ferry - 15000 Aurillac Accueil Professionnel tél. : + 33 (0)4 71 43 43 82 - fax : + 33 (0)4 71 43 43 83 Billetterie professionnelle : tél. : 33 (0)4 71 43 43 88 Accueil Presse tél. : + 33 (0)4 71 43 43 84 - fax : + 33(0)4 71 43 43 85 Application SmartPhone (Androïd et IOS) Vous pourrez consulter le programme officiel du Festival et découvrir en temps réel la programmation des compagnies officielles et des compagnies de passage. Téléchargeable à partir du 1er juillet 30 Accueil Presse Situé au collège Jules Ferry, le service de presse vous recevra le 17 août de 14h à 19h et du 18 au 22 août de 9h30 à 19h afin de faciliter votre travail. Pour nous permettre de préparer votre venue, merci de retourner le formulaire de demande d’accréditation avant le 4 août à : Anne Lacombe - zinc production 9 rue de la Pierre Levée - 75011 Paris tél. : + 33 (0)1 49 29 00 08 email : [email protected] Aurillac 2015 Demande d’accréditation Prénom, Nom :.................................................... Média :................................................................ Fonction :............................................................ Adresse :............................................................. Code postal, ville :.............................................. Tél. :.................................................................... Mobile :............................................................... DOCUMENTS ANNEXES DISPONIBLES SUR DEMANDE Email :................................................................. Média Le Festival depuis 1986 Liste des compagnies programmées Les Résidences au Parapluie Liste des compagnies accueillies Tournées des compagnies Biographies des artistes Presse écrite O nationale Parution O quotidien O hebdo O mensuel O autre Radio O nationale O régionale O locale Télévision O nationale O régionale O locale Agence de presse O nationale O régionale Photographe Photographies de presse Des photographies des compagnies réservées à l’illustration des articles sont téléchargeables sur le site du Festival : www.aurillac.net (rubrique Presse). O agence O régionale O locale O pigiste O web O indépendant Dates de séjour : du..................au..............inclus Lieu de séjour à Aurillac :................................... Avant tout téléchargement, vous devez obtenir un code d’accès auprès du service presse. 31