Chateaugiron, ville dégénérée - L`indispensable enfer dans l`Au-Delà

CA et DDE : Sodome et Gomorrhe ?
Pi=3,14 où comment saboter l’avenir de nos enfants.
Ouest­France : quotidien pi=3.14 ?
Téléchargeable sur http://enfer2.free.fr/psychopi3.pdf
Châteaugiron, ville dégénérée ? Dès que j’ai compris l’implication psychologique qu’il y avait à considérer pi égal à 3.14… j’ai aussitôt vu Châteaugiron – le gros bourg près de chez moi­ comme le repaire de pi=3.14... C’est d’abord l’attitude de la banque CA, le coup de trait de trop, même s’il est d’origine informatique…
Sanction de 16 euros pour un découvert très exceptionnel de 500 euros qui m’a surpris et que j’ai pourtant corrigé quasi immédiatement de mon propre chef. Cela fait 30 ans que je suis dans cette banque qui ne respecte finalement rien, encore moins la fidélité et la conduite exemplaire. Je considère en effet qu’être à découvert sans autorisation réalise comme une noyade sociale. On est alors comme au­dessous de la ligne de flottaison, au dessous du niveau zéro de l’existence sociale. En effet, l’argent doit être considéré comme l’indispensable oxygène social. Sans lui, plus de vie sociale. Et si on sanctionne sans faire jouer le lien social (lien social qui se représente par pi=3), autant dire qu’il n’y a déjà plus de lien social, que l’existence sociale est considérée nulle et non avenue. C’est ainsi pourtant que se comporte le programme informatique de cette banque. Mais l’informatique a le dos large. Derrière un programme informatique, il y a toujours une personne. Et celle­ci n’a que trop tendance à se prendre pour dieu­lui­
même, pour pi=3.14… traçant une irrémédiable ligne droite qui partage le cercle en deux : les bons d’un côté, les mauvais de l’autre. Attitude manichéenne s’il en est.
Ensuite, de comprendre que ce bled héberge une antenne de la D.D.E (Direction départementale de l’équipement), là où on a le coup de tampon­mitraillette si facile (pi=3.14). Comme exemple, ce permis de construire d’un hangar agricole standard refusé pour cause de « couleur non précisée ». Eh bien, « couleur naturelle » ! Et la réponse du divin fonctionnaire, rayon laser qui exécute : « couleur naturelle ? naturelle ? Ce n’est pas une couleur ! » Permis refusé ! La Russie avait ses Refuzniks, nous avons les nôtres : créateurs empêchés de prospérer. Sans offrir la possibilité au demandeur de corriger le tir d’un dossier incomplet avant la décision finale, le divin fonctionnaire tranche et refuse le permis. Un décalage d’au moins deux mois est créé (temps qui s’écoule entre une demande et une décision) si le demandeur ose encore renouveler sa demande. En effet, face à une telle tentative d’assassinat de projet, on peut avoir envie de jeter l’éponge.
C’est ce que j’ai fait avec la banque : j’ai réduit au minimum vital mon implication avec elle. J’ai supprimé l’assurance­tracteur que j’avais dans cette banque, assurance inutile car tracteur n’allant jamais sur la route. Cela a donné des idées à d’autres : 3 autres assurances­tracteurs ont été closes. A quoi bon faire « travailler » quelques milliers d’euros dans une banque ? Cela ne rapporte rien mais rapporte surtout à la banque parce que des millions de gens procèdent ainsi. Tout est à la banque. Cela signifie qu’au quotidien tous ces gens n’ont plus véritablement d’existence sociale car ils ne palpent plus du tout le lien social symboliquement représenté par l’argent­papier. C’est une situation bien pratique pour les radins. « Désolé, je n’ai rien sur moi ». Autrement dit : tout mon argent est en banque où il « travaille », illusion de gens qui ne savent pas ce que vivre veut dire. Note : En général, dans un couple, l’un approche l’argent, l’autre n’existe pas…
Franchement fâché avec cette attitude qui consiste à tracer un trait sans aucune discussion, j’ai regardé ce que j’avais comme assurances à Châteaugiron. Clôtures également. L’assureur peut dire merci au banquier…
Face à cette attitude qui trace un trait comme on trace un diamètre droit dans un cercle, je riposte et affirme que pi peut valoir 3, valeur qu’il avait pour la civilisation babylonienne et les Hébreux. Il suffit pour cela de tracer un diamètre courbe comme l’a si bien trouvé Armel Larochelle, le contrepoison de l’approche de Roland Pigeon.
Un diamètre courbe, c’est comme une caresse (l’Etat de Droit en lieu et place du règne de la force brute, du canon, du coup de fusil que représente le diamètre droit). On trace en négociant, et on trace quand même jusqu’au partage. Avec la courbure du diamètre ainsi tracé, on se rend compte que Pi prend trois pour valeur.
Désormais mon principe d’action sera : « Pi=3, la loi humaine est le cadre, l’attaque est la règle. » La vie est comme une partie de ping­pong basée sur l’attaque. Aussi fort que l’on tape sur la balle de ping­
pong, celle­ci ne blesse jamais le joueur opposé, fut­il un enfant face à un adulte… Cette feuille est comme une toute première attaque face à l’endormissement généralisé que provoque psychologiquement cette attitude qui consiste à prendre des décisions sans échanger, à exprimer pi=3.141… valeur ayant endormi toute une population.
Je dirais pour conclure qu’au cœur de la dégénérescence, on trouve son contraire ainsi que l’illustre le symbole du Tao, lequel signe exprime par ailleurs un diamètre courbe. Dans notre patois local, trois se prononce sans le r, toi. Et bien, grâce au docteur Pitois, figure célèbre de Châteaugiron, on peut dire que je suis né dans les bras de pi = 3, dans les bras de Pitois, le médecin qui a aidé ma mère à accoucher. Comme quoi Châteaugiron peut aussi être un repère pour pi égal trois dont l’adresse locale d’origine est : la Ménerbière 35410 OSSE
josick.croyal arobase free.fr bac+30 sans les ivresses artificielles qui caractérisent malheureusement trop la Bretagne, région à l’information, probablement plus muselée que d’autres, muselée par pi=3.14… le 03/12/2005
PS: Lorsque Léonardo Fibonnaci réintroduisit le zéro en Europe, il fut excommunié par l'Eglise et le "nombre du diable" (car permettant des opérations sur la masse au sens ou "Le diable les chie") fut interdit d'utilisation par l'Eglise. Malgré cela, moins d'un siècle après, le zéro (sirft en arabe, ie rien) avait conquis l'Europe et même donné son nom aux chiffres. Les nombres romains furent décimés. Ainsi le feu s'était mis au vert pour permettre l'avènement de la Révolution Industrielle, société de production de masse. Pi=3, feu vert pour une véritable civilisation, société de qualité humaine ? En attendant, les porteurs d’un tel message risquent fort d’être ennuyés… comme le fut en son temps Fibonnaci, car au fond, les temps n’ont pas vraiment changé. Mais peu importe…Messieurs les Juges, Bac+31 est exigé pour jauger une telle approche pour l’évidente raison que l’élève du certificat d’étude n’est pas en mesure de juger les travaux du bachelier. Il peut simplement prendre la mesure du chemin qui lui reste à parcourir et faire le choix de faire mieux.
Extrait du site d'Armel LaRochelle : http://science­univers.qc.ca/divers/quadrature.html
POUR LE CERCLE : Il était absolument impossible de mesurer le diamètre d'un cercle en fonction de la circonférence. Le rapport entre les deux était un nombre incommensurable, un nombre qu'il était impossible de connaître : 3,1415..............
Pourquoi? Parce que l'on mesurait des pommes avec des oranges. Le diamètre d'Archimède appartient au monde de LA LIGNE DROITE tandis que la circonférence appartient au monde de LA LIGNE COURBE. Ces deux mondes sont encore plus différents que les pommes et les oranges. Il n'y a aucune comparaison possible entre eux.
L'astuce était de rendre les deux lignes de même nature. La solution était de transformer le diamètre DROIT d'Archimède en un diamètre COURBE. Quelle courbure devrait­on donner à ce nouveau diamètre? La courbure la plus logique est certainement celle qui reproduirait exactement celle de la circonférence.
La construction se fait donc ainsi : On trace une circonférence et avec le même compas, sans en modifier l'angle, on trace alors un rayon dans ce cercle qui part du centre pour aller à un endroit quelconque de circonférence. Ensuite, à partir du point opposé du premier rayon sur la circonférence, on trace, d'une façon symétrique, un autre rayon qui arrivera exactement sur le centre du cercle.
Que révèle donc une telle construction? Et bien! Un miracle! Depuis des millénaires, on cherchait une relation mesurable entre le diamètre droit et la circonférence. On n'en a pas trouvé, même avec les ordinateurs les plus puissants. Voilà maintenant que ce fameux diamètre courbe est EXACTEMENT, égal au tiers de la circonférence.
On peut donc conclure que le rapport entre les deux parties est EXACTEMENT 3 et que Pi est donc égal à 3. POUR EN SAVOIR PLUS : Ceci n'est qu'un petit résumé de mon premier livre dont le titre est justement "Pi = 3" Fin d’extrait du site d’Armel LaRochelle, Québécois. CA et DDE : Sodome et Gomorrhe ?
Adossant Châteaugiron et Noyal, par le trouble de pi égal 3.14, je pense alors à Sodome et Gomorrhe. Je ne pense pas que ce texte biblique condamne au fond l’homosexualité caressante. Ce qu’il condamne, c’est pi=3.14, toute brutalité dans la pénétration, celle du casseur de pierre jusqu’à celle du moderne casseur d’atome. Cela condamne ce qui est brutalement droit (le diamètre telle une verge) dans une rondeur. Ainsi le jugement péremptoire du fonctionnaire DDE pi=3.14 qui d’un trait refuse un permis de construire. Ainsi le programme informatique de la banque qui vous ponctionne votre compte sans que vous ayez votre mot à dire. Cela témoigne bien du fait que votre argent ne vous appartient plus, mais appartient bel et bien à la banque. L’Etat, pourtant émetteur fiduciaire, ne va pas jusqu’à avoir un comportement aussi scélérat.
Monéo est une tentative de complet tarissement du lien social. Plus aucun argent sur soi, tout en banque : le rêve de la banque. C’est le rêve du contrôle total des individualités pouvant être 100% pistées par toutes les traces d’existences sociales qu’ils laissent sur les ordinateurs bancaires. La vie véritablement privé n’existe plus. On est là face à une tentative de surlocalisation, d’enfermement total digne d’un monde pastoral. La France a ses génies complètement occultés. Voici un extrait anonyme d’une de leur expression : « Les êtres humains sont en ce moment grugés. Ils l’ont été et le seront de plus en plus, ainsi ils doivent se rendre compte de leurs conditions ; les démocraties leur évitent de se comparer à des esclaves ; ils ne sont même pas des esclaves, ce qui est effroyable car l’esclave connaît sa condition et rêve d’y remédier ; l’espèce humaine permet à de tels rêves de devenir réalité mais dans ce cas précis que nous évoquons, il n’y a pas de rêve, il n’y a pas conscience d’être enfermé, il n’y a pas d’intention d’échapper à cette condition. On n’est donc pas en face d’esclaves sans rêve, mais de rêves et d’esclaves sans liens entre eux ». Autrement dit, c’est le règne de pi=3.14… dans lequel votre vie ne vous appartient plus mais est aux mains du fonctionnaire pi=3.14 et aux mains de la banque à la fois juge et partie. Soyons de mauvais augures pour ceux­là : comment au fait Sodome et Gomorrhe furent rayés de la carte ?
Pi=3,14 où comment saboter l’avenir de nos enfants.
Alors en classe de seconde, j’étais en permanence mal noté par la prof de physique­chimie (une bosseuse qui voulait décrocher l’agrégation) qui ne supportait pas que je n’avais pas besoin de travailler pour résoudre les exercices. Je m’en suis ouvert à mon père qui est allé reporter ma plainte mettant en avant que c’était la compréhension et non pas le travail qui devait être noté. A partir de ce moment là, j’ai été très bien noté.
Watzlawick, je crois, à mis en évidence le fonctionnement de professeurs qui, lors de rentrée scolaire, décrètent d’entrée dans leur for intérieur quels sont les bons élèves et quels sont les mauvais. Ensuite ces professeurs ajustent les notes qu’ils donnent sur le premier jugement qu’ils se sont fait sur l’élève. C’est là typiquement un fonctionnement pi égal 3.14. Pour faire plaisir au professeur, l’élève perçu négativement n’aura d’autre choix que de s’exposer mauvais, sabotant ainsi son avenir.
Ainsi l’échec de mon apprentissage de l’anglais à Châteaugiron. Renseignement pris, il semblerait bien que les temps n’ont pas changé. La ligne de partage n’est pas privé­public, elle est pi=3 – pi=3.14. Comme les employés pi=3.14 (fonctionnaire ou non), les professeurs pi=3.14 doivent être pointés du doigt.
Pi égal 3.14 est de nature pastorale : l’espace est irrémédiablement partagé en deux et prévaut alors le « après moi le déluge ». C’est l’exemple d’un agriculteur qui n’a d’agriculteur que le nom. Au fond c’est un pasteur­cueilleur de prime. Toutes ses terres étaient en herbe et quand les primes pour le maïs se sont révélées intéressantes, le maïs a triomphé chez lui. Un collègue lui pose alors cette question : « Ne crains­
tu pas pour l’avenir de tes sols en faisant maïs sur maïs ? » « Aucune importance, on ira alors voir ailleurs ». C’est là Pi=3.14 dans toute sa désolation brutale.
Ouest­France : quotidien pi=3.14 ?
Le pape de l’information Hutin nous prend pour des trouducs et nous met régulièrement dedans la raideur de sa foi décérébrée. Il est vrai que durant mon enfance nous étions bien heureux de trouver son journal pour déparer notre anus des excréments collants, cela au prix d’une certaine rugosité et d’un noircissement de notre orifice de soulagement. Pourquoi donc continuer à se procurer un journal de propagande désormais inutile ? Nous avons dans le commerce des papiers hygiéniques très doux et bien parfumés.
En effet, il est étonnant que la veille du référendum à propos de la constitution européenne, le sieur Hutin n’a pas conclu dans son éditorial par un « La parole est désormais aux électeurs ». Non, il a tenté de tout son poids de nous inciter à voter « oui ». Il est vrai qu’en Bretagne, il n’y a pas de tête pensante. Nous ne sommes qu’un morceau de République bananière. Exit les véritables informations dignes de ce nom.
Distribuant ce journal de mauvaise foi, j’ai émis une critique directement à Ouest­France quant à la mauvaise disposition de la liste de distribution qui, entre autre, ne faisait pas ressortir les exceptions. Par ces messieurs d’Ouest­France, contact fut alors pris avec les Renseignements Généraux (R.G.) pour savoir qui j’étais. Autrement dit, ne vous avisez pas d’apporter à Ouest­France une véritable information, vous serez immédiatement mis à nu, dénoncés aux autorités.
Un journal comme Ouest­France ne sera jamais en mesure de provoquer des Watergate. Les autorités peuvent dormir tranquilles, assurées qu’elles sont de l’entière collaboration de ce journal qui, par la même, se révèle n’être qu’un journal de propagande.
Sur les bulletins de paye des porteurs, s’affichent désormais 4 centimes d’euros par journal porté, 4 centimes d’euros sur lesquels les charges sont à défalquer. Ce sont des sociétés extérieures à Ouest­
France qui gèrent le portage. Il s’agit là à mon avis d’une délocalisation qui ne dit pas son nom. Les porteurs n’ont aucun des avantages du personnel travaillant à Ouest­France. Lors de retard de livraison des journaux, leurs temps d’attente pour rien ne sont pas pris en considération. Il est naturel de ne pas rémunérer des quasi­esclaves pour lesquels le temps n’a pas de valeur, esclaves qui doivent mettre à contribution leur moyen technique pour distribuer le journal (j’ai été surpris de constater, qu’après seulement 15 mille kilomètres, qu’un train de pneu Ricket devait déjà être envisagé à renouveler). Et quand on sait que ce sont les plus riches qui acceptent de se lever à 4 heures et demi 1 du matin pour distribuer les journaux, il est parfaitement normal qu’ils assistent, par leur contribution technique, la diffusion d’un journal qui les méprise en ne rappelant pas régulièrement à ses lecteurs, par des exemples concrets, qu’une boîte à lettre bien placée et bien entretenue facilite considérablement la distribution. Chaque matin on découvre sinon la maltraitance, du moins l’incivisme d’une région informée par Ouest­
France. josick.croyal arobase free.fr Noël 2005 Editions « Les écrits vains » Diffusion et libre reproduction dans le cadre privé.
De tels horaires obligent à se coucher très tôt, une excellente façon de rompre un peu plus le lien social.
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