Concert Découverte

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Concert Découverte
DOSSIER de PRESSE
Programmation Janvier-Juin 2015
 CHRISTINE AND THE QUEENS  IBEYI  THE AVENER 
 SYNAPSON  JORIS DELACROIX  MIOSSEC 
 CLINTON FEARON & THE BOOGIE BROWN BAND  PAUL PERSONNE 
 MARIANNE FAITHFULL  CHARLELIE COUTURE  FRERO DELAVEGA 
 CHARLES PASI  FAADA FREDDY  DARAN  TALISCO 
 MINA TINDLE  THE WANTON BISHOPS  ANTILOOPS  NACH 
 STEVANS  STAL  COTTON BELLY’S  ANDREA BALENCY 
 LADYLIKE LILY  LES FRERES CASQUETTE  JAIN  LEWIS 
 RENZA BO  SLAUGHTERHOUSE BROTHERS  UNDOBAR 
 CHEVAL VAPEUR  AFTER THE BEES  HOT ROD 56 
 FESTI’BAHUTS  ALENCON SOUL PROJECT 
La LUCIOLE 171 route de Bretagne 61000 Alençon
Tél 02 33 32 83 33 / Fax 02 33 32 84 34 / www.laluciole.org
Marion Vannier - [email protected]
Vendredi 9 janvier - 20h
Gratuit
PRESENTATION DE LA PROGRAMMATION
LA LUCIOLE vous invite à sa présentation de saison janvier-juin 2015, qui se déroulera le vendredi 9
janvier 2015 dans la grande salle de LA LUCIOLE de 20h à 23h. Entrée gratuite, mais uniquement
sur retrait de ticket à La Luciole (le nombre de places étant limité).
Exceptionnellement le service billetterie et réservation ainsi que le bar seront ouverts de 19h à 0h.
Au programme de la soirée, tous les concerts décryptés, des clips et du plaisir à gogo, de la
convivialité, des écoutes musicales grand format et un verre de l’amitié qui nous permettra d’échanger
après ce délicieux moment.
Merci de venir impérativement retirer votre place à LA LUCIOLE (qui vous sera demandée à l’entrée
le 9 janvier) jusqu’au mardi 23 décembre 2014 à 19h ainsi que les mercredi 7 janvier et vendredi 9
janvier 2015 (de 14h à 19h), dans la limite des 300 places disponibles.
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
1
Vendredi 23 janvier - 21h
Tarifs : abonné 23€, sur réservation 25€, sur place 28€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 1€ = concert à 9€
PAUL PERSONNE
Puzzle 14
L'homme à la Gibson à la voix
chaude et rocailleuse, sort un
14ème album entouré de son
groupe A L'Ouest.
Des guitares bien sûr, mais
surtout des mélodies et des
chansons qui touchent.
Des bouts de vie posés comme
les pièces d'un puzzle.
Celui que l'on qualifie souvent
de "Guitar Hero", lui ne le
revendique pas car cet artiste
humble se qualifie plutôt de musicien de l'âme ayant toujours préféré la liberté à la célébrité.
Paul Personne traverse le temps avec simplicité et discrétion, loin des diktats de la mode sans esbroufe
ni sons tonitruants, la musique est là pour accompagner ses mots, comme un poète face à la vie.
Cette vie et cette route qu'il trace au fil des ans sans concessions, pour le plaisir de jouer, de chanter et
de partager.
C'est sur scène qu'il rassemblera les pièces de son puzzle musical, lors de sa tournée qui passera par
l'Olympia le 20 janvier 2015.
https://www.facebook.com/pages/Paul-Personne/16818833321.
Web : http://www.paulpersonne.com/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
2
Samedi 24 janvier - 21h
Tarifs : abonné 26€, sur réservation 28€, sur place 30€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 4€ = concert à 12€
FRERO DELAVEGA
Flo et Jérémy sont 2 amis originaires du Bassin
d'Arcachon. Leur duo Fréro Delavega rencontre un vif
succès sur le net. Avec leurs voix harmonieuses,
leurs vidéos de reprises très personnelles font
sensation et comptabilisent aujourd’hui des millions
de vues.
Sur la route depuis 2 ans, ils croisent le chemin
d’artistes tels que MC Solaar, Joyce Jonathan,
Pep’s... Ils se révèlent sur scène et dévoilent ainsi
leurs propres compositions.
Leur sélection par Mika lors de leur passage à
l’émission The Voice 2014, leur assure une belle
notoriété.
Leur 1er album est sorti le 21 juillet chez
Capitol/Universal, il est aujourd’hui disque de
platine.
Leur 1er single Sweet Darling affiche des millions de vues sur Youtube tout en étant playlisté sur toutes
les radios musicales nationales.
Le succès des Fréro Delavega ne se dément pas. Après une tournée d’automne 2014 de plus de 30
dates sold out en France, Belgique et Luxembourg, ils entament une nouvelle tournée en 2015 avec
comme point culminant un Zénith Paris – La Villette le 7 mai 2015.
Avec leurs deux voix en or et leurs mélodies harmonieuses, les Fréro Delavega avaient tout pour plaire.
Ce duo talentueux et généreux composé de Flo Delavega et Jérémy Fréro a connu un succès
grandissant. Découverts sur Internet, leurs vidéos de reprises très personnelles affichent désormais des
millions de vues, en 2013 ils font leur premiers pas sur scène en première partie de Joyce Jonathan et
séduisent déjà le public grâce à leur duo guitare/voix.
Leur première tournée acoustique en mars 2014 confirme leur talent : ils offrent sur scène une belle
présence et révèlent leurs premières compositions.
Leur premier disque éponyme, sorti le 21 juillet chez Capitol/Universal devient en seulement 1 mois
disque de platine
https://www.facebook.com/FreroDelavega
https://twitter.com/FreroDelavega
https://twitter.com/JeremyFrerot
https://twitter.com/FloDeLavega
Web : http://www.frerodelavega.com/
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3
Vendredi 30 janvier - 21h
Tarifs : abonné 30€, sur réservation 32€, sur place 35€. Tarif Solidaire : 5 Tickets Culturels Solidaires + 2€ = concert à 12€
MARIANNE FAITHFULL
En 1964, Marianne est présentée au manager
des Rolling Stones, Andrew Loog Oldham, lors
d'une soirée à Londres. Elle a dix-sept ans et
fréquente encore le lycée ! Fasciné par son look,
Oldham lui propose de faire un disque avec elle.
Quelques mois plus tard, sa carrière musicale est
lancée avec As Tears Go By, la toute première
chanson écrite par Mick Jagger et Keith Richard.
Elle figure au Top 10 britannique en août 1964.
As Tears Go By n'est que le premier de quatre
tubes. Deux de ses albums entrent également au
Top 20 ; ils reflètent un parfait équilibre entre le
rock et des influences folk plaintives, avec les
signatures de compositeurs tels que Bert Jansch
et Tim Hardin. En parallèle, Marianne se lance
également dans une carrière d'actrice. Elle
apparaît au cinéma dans LA MOTOCYCLETTE et au théâtre dans LES TROIS SOEURS de Tchekhov
(avec Glenda Jackson) et dans HAMLET, mis en scène par Tony Richardson, avec Anthony Hopkins et
Nicol Williamson.
Pourtant, à la fin des années soixante, c'est plutôt la vie personnelle de Marianne - et sa relation avec
Mick Jagger - qui intéresse les médias. Elle se retire de la scène, n'apparaissant que brièvement au
milieu des années soixante-dix avec un album aux sonorités country, DREAMIN' MY DREAMS,
enregistré avec le Grease Band. Il ne suscite guère d'intérêt en Grande-Bretagne, mais obtient un
immense succès en Irlande, où Marianne réalise sa première tournée depuis dix ans. Ce n'est qu'en
1979 que Marianne Faithfull redémarre véritablement sa carrière avec un album qui se démarque
totalement, BROKEN ENGLISH.
L'innocence s'est envolée et Marianne affiche désormais une voix sombre et rauque, qui deviendra sa
marque de fabrique. C'est un moment révélateur où les thèmes folk de ses débuts cèdent la place à
des chansons mordantes et incisives telles que Why Do Ya Do It ? Working Class Hero ou la chansontitre Broken English. Sans oublier The Ballad of Lucy Jordan de Shel Silverstein, enregistrée à l'origine
par Dr. Hook, mais que Marianne Faithfull a totalement fait sienne.
D'autres albums suivent, comme DANGEROUS ACQUAINTANCES, A CHILD'S ADVENTURE et, en
1987, STRANGE WEATHER. À l'époque, Marianne est de plus en plus fascinée par l'ambiance et
l'émotion théâtrales de la musique écrite par Kurt Weill dans les années vingt et trente. Même si aucune
des chansons de STRANGE WEATHER n'est de Weill, son influence s'impose clairement dans la
tonalité de l'album.
L'intérêt de Marianne pour Kurt Weill et la musique de la République de Weimar se confirme en 1996
avec la sortie de 20TH CENTURY BLUES, suivi en 1998 de l'enregistrement de l'opéra de Kurt Weill et
Bertolt Brecht LES SEPT PECHES CAPITAUX (THE SEVEN DEADLY SINS), qu'elle chante pour la
première fois en public au Festival de Salzbourg, en Autriche. Elle obtient un tel succès que l'album se
voit propulsé au sommet des charts classiques du monde entier.
Pendant toutes ces années, la carrière "grand public" de Marianne est virtuellement en sommeil, bien
qu'elle collabore à divers projets. Elle co-écrit notamment un thème pour la télévision intitulé Hang It to
Your Heart avec Alex James, le bassiste de Blur. Celui-ci est d'ailleurs à l'origine de sa collaboration
avec Damon Albarn sur KISSIN TIME et BEFORE THE POISON. Cette fameuse carrière reprend avec
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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la sortie remarquée de VAGABOND WAYS en juin 1999. L'album contient des chansons telles que
Incarceration of a Flower Child, titre inédit de Roger Waters écrit en 1968, ou encore For Wanting You,
un nouveau titre d'Elton John, sans oublier une reprise de Tower of Song, de Leonard Cohen.
Marianne renoue par ailleurs avec le septième art, puisqu'elle joue dans INTIMITÉ, de Patrice Chéreau,
lauréat de l'Ours d'Or au Festival du film de Berlin en 2001. Elle participe également à FAR FROM
CHINA, du réalisateur Christian Leigh, sorti en Grande-Bretagne début 2002.
Malgré ces nombreuses activités, Marianne trouve le temps d'enregistrer KISSIN TIME, auquel
collaborent des artistes et musiciens de renom tels que Beck, Billy Corgan, Dave Stewart, Jarvis
Cocker et Damon Albarn. L'album n'en reste pas moins teinté d'une atmosphère intime et tendue,
caractéristique des plus belles oeuvres de Marianne. Après la sortie de KISSIN TIME, Marianne entame
une grande tournée mondiale, la première de cette ampleur depuis de nombreuses années. Là encore,
elle prépare et écrit déjà son prochain album, sous-tendu par sa collaboration avec PJ Harvey (5 titres)
et Nick Cave (3 titres) en tant qu'auteurs-compositeurs et interprètes. Marianne collabore également
avec Damon Albarn et Jon Brion sur l'écriture de deux autres titres.
Résultat : BEFORE THE POISON, un album qui rivalise sans peine avec les meilleurs moments de la
longue et remarquable carrière de Marianne Faithfull.
Elle est aussi apparue dans la sitcom britannique ABSOLUTELY FABULOUS dans le rôle de Dieu.
C'est elle qui interprète Marie-Thérèse d'Autriche dans le film de Sofia Coppola, Marie-Antoinette avec
Kirsten Dunst sorti en 2006. Elle tient aussi le rôle d'une artiste peintre dans le court-métrage que Gus
Van Sant a réalisé pour le film PARIS JE T'AIME (2006). Côté cinéma elle a interprété le rôle poignant
d'IRINA PALM une veuve de 50 ans, tentant coûte que coûte de trouver l'argent qui permettra de payer
un ultime traitement à son petit-fils gravement malade…
Le nouvel album de Marianne "EASY COME, EASY GO" sortira à la fin de Novembre 2008. Enregistré
en 2 semaines à la fin de l'année 2007 au légendaire studio Sear Sound de New York, toutes les
chansons ont été choisies par Marianne et Hal. L'album comprend des reprises de morceaux différents
tels que le "Solitude" de Billie Holiday, "Sing me back home" de Merle Haggard, "Easy come, easy go
blues" de Bessie Smith (chanson qui a donné son titre à l'album), "Dear God, please help me" de
Morrissey ou "Down from Dover" de Dolly Parton. Accompagnée par un brass band (cuivres et
percussions) et quelques violons, Marianne est aussi entourée par Marc Ribot et Barry Reynolds.
Marianne tout comme Hal trouvent qu'il s'agit de son meilleur album à ce jour. Marianne fera quelques
apparances spéciales en 2008 où elle récitera entre autres une sélection de sonnets d'amour de
Shakespeare, accompagnée par un violoncelle.
https://www.facebook.com/mariannefaithfullofficial
https://twitter.com/Faithfull_M
Web : www.mariannefaithfull.org.uk / www.myspace.com/mariannefaithfullofficial
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Vendredi 6 février - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
TALISCO
1er album « Run », sortie digitale & physique le 19
mai 2014 (ROY MUSIC / UNIVERSAL).
Laissez tomber le guide, ses raccourcis, sa propension à
tracer des lignes droites, Talisco s’aventure dans de
nouvelles contrées musicales. S’enfonçant toujours plus
loin dans ses expérimentations électro-folk, toujours
ailleurs. Nous l’avions découvert dans les plaines
americana et le folk-rock downtown, via son premier EP
My Home. Depuis, le brun ténébreux à la voix d’ange a
rajouté quelques cartouches à sa sixcordes et pas mal
de bornes au compteur. Son premier album s’intitule
Run, « une illustration de l’évasion, du nécessaire départ quand tu commences à ronronner, du besoin
de s’échapper ». La course folle d’un écorché vif.
Dans ce nouveau road-trip, le songwriter parisien s’est baladé dans des décors somptueux, ces
étendues vierges à perte de vue qu’il se plaît à mettre en musique. Nul besoin de s’exiler au fin fond
d’une grotte, c’est dans son home studio que Talisco s’est enfermé en dedans, pour accoucher de ce
recueil de contes imaginaires. Sur le papier, l’auteur s’adonne aux ellipses et aux métaphores ; sur les
bandes, il faut que ça cingle : « J’aime les sons arides, bruts et abîmés de la Fender Telecaster ». Mais
d’ajouter aussitôt que peu importe l’arme, « en studio, je tords les sons, je les triture, les passe dans
divers compresseurs, à travers de vieux préamplis, je bidouille, je bricole, je crée mes propres canevas
sonores », s’enthousiasme cet alchimiste d’un autre genre. C’est là, parmi les jacks, les micros et ses
électro-légos, sur son établi multipistes, qu’il a façonné ses pépites, loin des recettes toutes faites et
des discours formatés : « A quoi bon conceptualiser la musique ? Je reste dans le domaine de
l’imaginaire, la rêverie, les envolées ». No logo.
Run pourrait être un livre d’images. Talisco chemine dans les grands espaces, ses silences et ses
midtempo hypnotiques, avant de laisser exploser cordes, beats et chants chorales quand percent enfin
les lumières de la ville. Il court, Talisco, traversant les plaines western aux dentelles acoustiques et les
déserts californiens qu’il troue de lézardes électriques et de réverbes vintage. Le sonwgriter saute de
train en train, comme il se joue des répertoires. Il lorgne d’autres horizons, telles les briques du rock
british (« Bring me back »), multiplie « es grands écarts entre l’humeur contemplative de certains titres
comme la ballade « So old » - j’aime planer au-dessus - de la mêlée, prendre de la distance pour
observer l’action se dérouler - et les atmosphères sombres mais jamais inquiétantes ». Le clair-obscur
d’un artiste éclairé, à la lumière des cocktails molotov de rock garage et des envolées lyriques à la Jeff
Buckley. De quoi faire baver Tarantino pour sa prochaine B.O. sur une improbable blonde à coupechou, sur des pétroleuses psychopathes ou des porte-flingues de big mac. Bref, pour illustrer n’importe
quel ovni cinématographique. Véritable hymne rock électro pour ados, « The Keys » pourrait être la
bande-son du deuxième volet du « Kids » de Larry Clark ; la volute folk « Lovely » celle de « Into the
Wild ». Enfin, dans « Reborn », on aperçoit même ce grand « romantique épineux » (dixit Les Inrocks)
sur la scène d’un improbable théâtre de banlieue rouge, balançant ses pop-corns de piano et de guitare
à la face des spectateurs.
Cours, vis, monte le son. Les titres défilent, les plans séquences s’enchaînent. L’écriture emprunte au
7ème art, l’auteur - grand fan du « La légende du cavalier sans tête » de Tim Burton et du « Mulholland
Drive » de David Lynch - noircit des storyboards. Et, en filigrane de ces étonnants courts métrages
musicaux, cette impression de chevauchée sauvage.
https://www.facebook.com/taliscomusic
https://twitter.com/taliscomusic
Web : http://www.taliscomusic.com/
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Jeudi 26 février - 21h
Tarifs : abonné 25€, sur réservation 28€, sur place 30€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires +4€ = concert à 12€
CHRISTINE AND THE QUEENS
1er album "CHALEUR HUMAINE", sortie le 2 juin
2014
Hiver 2010. De nuit. Elle marche dans Londres. Elle ne
sait plus du tout où elle en est. À un tournant de sa vie
manifestement. Ce soir-là, elle pousse la porte du
Madame Jojo’s, bar interlope de Soho. Sitôt entrée, elle
sait qu’elle vient de trouver un îlot salutaire. Elle y
reviendra tous les soirs pendant plusieurs semaines.
D’abord seule à une table, aimantée par la liberté
indomptable et malicieuse des travestis qui se
produisent là. Jusqu’à ce que trois « Queens »
remarquent sa présence silencieuse. Et jusqu’à ce
qu’un lien se tisse entre elles, au cœur, à l’os. Oui, tout
va très vite : au Madame Jojo’s, on ne vient pas par
hasard, on vient pour être enfin soi-même, se trouver
peut-être. Aux Queens, elle raconte : elle est française,
elle étudie la littérature et le théâtre (mais trimballe une
entêtante frustration), elle écrit (mais ne fait qu’amonceler les pages), elle pratique le piano (mais
étouffe dans le répertoire classique) ; accessoirement, elle ne parvient pas à se relever d’une rupture
amoureuse qui l’a laissée face contre terre. Ce que les Queens lui diront toutes ces nuits durant, elle le
gardera précieusement, comme un talisman : il faut s’inventer. Fût-ce à la marge. Hors des sentiers
battus. Et vite. On n’a qu’une vie.
Elle rentre en France. Elle déserte les écoles qui ne la nourrissent plus. Elle est forte de ces possibilités
de vie si grandes qu’elle a découvertes à Londres au Madame Jojo’s. Elle s’enferme avec un ordinateur
pour tout studio. Elle écrit, elle compose, elle chante, elle maquette. Avec des références aussi
marquantes qu’éclectiques : du hip-hop (Kendrick Lamar, Drake...) à la pop flamboyante (Kate Bush),
de Gainsbourg version Gainsbarre (« libido au plus haut, décadence totale ») au couple mythique Lou
Reed-Laurie Anderson, jusqu’aux instrumentaux de Gavin Bryars et de Michael Nyman… Et bien sûr :
le génie Michael Jackson. Pour tout ce qu’il a donné à entendre et à voir. L’artiste et le personnage. Car
c’est bien ça aussi qu’elle cherche : à inventer le personnage qui la fera se sentir enfin libre. En la
matière, elle a une armoire entière de modèles : le Bambi américain évidemment mais également Klaus
Nomi, Andy Kaufman ou encore Narcisse auxquels elle s’identifie le temps de l’écriture et qu’elle
ressuscite comme pour mieux trouver… Christine.
Voilà : elle s’appellera Christine, et les chœurs qui résonneront dans ses chansons seront toujours à
l’effigie des trois Queens de Londres, comme un écho infiniment reconnaissant. Christine and The
Queens, donc. Cheveux en arrière, menton haut, col boutonné tout aussi haut. Son genre : jamais
certain. Grande fille, petit garçon, et parfois homme. Enfant bizarre. Il n’y a qu’une blessure : celle de
n’être que soi-même et ce n’est plus un problème puisqu’elle est dorénavant Christine, un être enfin
pluriel et sans entrave, aussi mouvant qu’un Orlando.
Christine and The Queens, c’est quand même bien pour de vrai. C’est d’abord trois EP : « Miséricorde
», « Mac Abbey » et « Nuit 17 à 52 ». C’est une sélection dans le peloton de tête du CQFD des Inrocks.
Christine and The Queens, c’est des concerts de chauffe, seule en scène avec son ordinateur, puis des
premières parties au côté de The Do, puis de Stromae. C’est une prestation à la grâce saisissante aux
Victoires de la Musique où elle est nominée dans la catégorie « Révélation Scène ». Enfin, c’est une
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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fille qui plonge très vite dans la conception d’un album, qui écrit une trentaine de titres pour en retenir
onze. Une fille qui retourne à Londres et s’enferme avec celui qui réalisera l’album avec elle – Ash
Workman (Metronomy) – et deux frères multi-instrumentistes – Michael Lovett et Gabriel Stebbing.
Christine sait parfaitement ce qu’elle veut (« Less is More ») : un minimalisme puissant ; le moins
d’instruments et de pistes possibles mais partout : l’imparable des rythmes, l’évidence organique des
voix, la recherche de teintes contemporaines (notamment dans l’alliage analogique / électronique), et le
renfort inspiré des cordes. C’est au final : « Chaleur Humaine », portrait de Christine et de ses soeurs
queer. Autant dire : une échappée loin des corsets et des cases. Un hommage à l’imprévisible, à la
rencontre, à l’invention de soi et du corps (qui devrait toujours survivre à la jeunesse !). Un album écrit
majoritairement en français mais cultivant de subtils virages vers l’anglais et s’autorisant, au passage,
une reprise très inattendue : « Les Paradis Perdus » de Christophe.
Bientôt Christine sera évidemment de sortie : sur scène. Pas de terreur, tout au contraire : c’est l’ultime
refuge où elle existe pleinement et vraiment. Là, d’autres phares : Pina Bausch, Bob Fosse, Chaz
Buzan, Maggy Marin… Elle s’y prépare comme une athlète. Car la scène musicale doit être
performance. Un « show » freaky et pop qui mêlera musique, théâtre, danse et vidéo : toujours à
l’image de l’héroïne qui vient de naître.
Arnaud Cathrine
https://www.facebook.com/christineandthequeens
https://twitter.com/QueensChristine
Web : http://www.christineandthequeens.com/
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Samedi 28 février - 22h
Tarifs : abonné 20€, sur réservation 22€, sur place 25€. Tarif Solidaire : 3 Tickets Culturels Solidaires + 4€ = concert à 10€
Soirée CLUBBING 100% DANCEFLOOR
22h : Warm-up par ELECTRO LEO
avec MANDEH (Deep House - Caen)
« We need perfect vibes ».
Le local de l’événement, jeune producteur alenconnais, MANDEH
a débuté la production il y a un peu plus d’un an.
Bien dans la mouvance actuelle, ses productions vont du Chillout
à la House.
Attention talent de demain !
https://www.facebook.com/Mandeh
https://twitter.com/mandehmusic
Web : https://soundcloud.com/mandehh
23h30 : SYNAPSON (DJ Set)
SYNAPSON - "STENDHAL SYNDROME".
FORMAT : ALBUM LP. RELEASE : PHYSIQUE &
DIGITALE. DATE : 5 Novembre 2012.
DISTRIBUTEUR : MUSICAST. LABEL : DIEZ
MUSIC
©DIEZ MUSIC / VICTOR PRODUCTION / SPACE
PARTY (MMC)
SYNAPSON un nom, une musique, une
philosophie, et un style marqués par l’éclectisme.
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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ELECTRO DANDYSME
D’origine parisienne, ce duo composé d’Alexandre et de Paul revendique un état d’esprit « dandy chic »
et décalé, qui se manifeste au travers d'une musique teintée de jazz, et proche de la Deep House. Un
style qui n’est pas sans nous rappeler les pères fondateurs de la musique électronique. « Notre
musique est électronique mais mélodique, elle n’est pas minimaliste. Alexandre à 20 ans de piano
derrière lui, du coup il apporte toutes les mélodies à nos compositions » explique Paul. « Nous
défendons la mélodie. Notre musique peut être jouée en club afin de faire danser les gens, mais elle
n’est pas trop rapide ni agressive. Elle diffuse des sentiments et des émotions », renchérit Alexandre. Si
le duo est parisien, c’est pourtant du coté de Biarritz qu’il s’est formé. Paul et Alexandre y passaient
leurs vacances enfants. Passionnés de musique, ils se sont naturellement trouvés, puis perdus, avant
de se retrouver sur la capitale. Dans la ville lumière, ils décident de matérialiser une vieille idée qui leur
trottait à tous deux dans la tête : créer un groupe « pour le plaisir » affirment-ils à l’unisson, par passion
pour la musique. C’était il y a quatre ans, et depuis, le duo a fait du chemin.
CARRIERE PROMETTEUSE
Après la sortie d’un premier maxi en 2010, les choses se sont en effet accélérées pour le duo. Ce qui
n’aurait dû être que du « plaisir » s’est transformé en début de carrière prometteur. Pour s’en
convaincre, il suffit de visionner le clip de leur titre « Sentimental Affair", mais aussi d’assister à l’un de
leur set au Baron à Paris ou au Lavo NYC, un club réputé de New York, où des Dj comme Steve Aoki,
et A.Trak ont élu résidence. Signés sur le label DIEZ Music et coproduits par Victor Production, suite au
buzz sur les réseaux sociaux, généré par leurs productions, les SYNAPSON sortent enfin leur premier
album Stendhal Syndrome disponible le 5 novembre. Un 11 titres accompagné d’un maxi 3 titres, de
clips vidéos, et dont l’univers graphique sera assuré par Julien Sistart, un directeur artistique
Montréalais, à qui l’on doit l’image épurée et graphique des SYNAPSON. Electronique, mélodique,
influencé par différents courants musicaux le style musical du duo, se veut intergénérationnel et ouvert
sur le monde. Le premier album des deux producteurs de Synapson, Stendhal Syndrome, se veut
mélodique et éclectique à l’image de leur génération toujours prête à découvrir de nouveaux univers, de
nouvelles inspirations. Avec ces 11 titres, ils explorent les différentes nuances de la musique
électronique, avec des morceaux inspirés du hip hop, de la pop, du rock. Plusieurs influences se
mélangent et donnent un résultat moderne sans se cantonner à un seul genre musical.
UNE MUSIQUE POUR TOUS
L’ambition du duo est de s’adresser au plus grand nombre, car la bonne musique n’a pas de frontières.
C’est sans doute pour toutes ces raisons que le duo c’est produit durant toute la durée du festival de
Cannes 2012, du 16 au 28 mai. DJ officiels de ce rendez-vous incontournable des cinéphiles du monde
entier, les SYNAPSON ont habillé musicalement la montée des marches chaque jour. Paul et
Alexandre ont assuré les soirées officielles du festival, notamment celles du court métrage et de la
soirée de clôture. Une fête en forme d’apothéose, qui a donné l’occasion au duo d’exprimer aux
platines l’étendue de sa créativité. « Dans nos sets, on retrouve Maceo Plex, Nicolas Jaar, Rolling
Stones, nos propres remix. On peut aussi passer du Otis Redding ». Mais au fait d’où vient le nom
SYNAPSON ? « De l’époque où nous étions en seconde. On étudiait le système nerveux, et
notamment les synapses, en cours de science et vie. La synapse, c’est une zone de contact qui
s’établit entre deux neurones, ou entre un neurone et une autre cellule (récepteur sensoriel, cellules
musculaires). Nous sommes un peu pareils, sauf que nous établissons une zone de contact entre le
public et la musique. Nous sommes un Synapson, une synapse musicale, en quelque sorte. Notre but
est de faire une musique de qualité qui puisse plaire au plus grand nombre, sans que cela soit péjoratif.
De la bonne musique pour tout le monde » concluent Paul et Alexandre.
https://www.facebook.com/thesynapson
https://twitter.com/synapson
Web : http://www.synapson.fr/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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1h : THE AVENER (DJ Set)
Quand The Avener prend la première place du
classement iTunes en Allemagne avec Fade Out Lines,
c’est un choc : cela fait belle lurette qu’un artiste français
n’a pas réussi une telle performance outre-Rhin, et surtout
avec un titre aussi singulier. Car le succès de Fade Out
Lines, c’est une porte qui s’ouvre sur un univers unique et
pourtant immédiatement familier. Avec ce titre
irrésistiblement rythmé et sophistiqué à la fois, on pense
autant à un after amoureux à l’aube sur les quais de Seine
qu’à un beat de funk banlieusard en boîte de nuit.
Depuis, ce single miraculeux s’impose partout, et confirme
The Avener dans son intention de départ : circuler aux frontières des genres, des époques, des styles,
aux frontières entre la musique que l’on écoute et la musique que l’on danse, aux frontières de
l’underground et de la pop haut de gamme. The Avener le dit lui-même : « Fade Out Lines est un
morceau difficile à classer : c’est un blues avec des influences jazz, folk, funk et des instruments
électroniques. Il y a des sentiments, de l’émotion, de la nostalgie, et en même temps beaucoup
d’énergie. »
C’est un bon symbole pour l’album The Wanderings Of The Avener, manifeste d’une électro raffinée
dans l’esprit du sampling nu-jazz de St Germain et de son Boulevard, à mi-chemin des démarches de
Moby et de Wankelmut, de King Britt et de Cassius…
Ghost producer pour beaucoup de tubes de club, Tristan est devenu The Avener en retournant au
plaisir de la musique pour elle-même, à son amour de jeunesse pour le piano et la mélodie, à sa culture
musicale dense, variée, profonde… mais aussi à la deep house, antidote à la froideur mécanique qui a
envahi l’électro depuis quelques années.
Tristan s’enferme des mois en studio : « J’ai commencé à réarranger des titres passés inaperçus, à leur
donner un peu de modernité… ». Il s’agit de chercher le dosage très exact qu’il désire entre acoustique
et électro, entre science du songwriter et instinct d’expert du dancefloor… En même temps que The
Avener compose lui-même, The Avener reprend Sixto Rodriguez, John Lee Hooker, Mazzy Star, The
Be Good Tanyas, Andy Bey, Adam Cohen… Blues séminal, folk underground, pop nocturne, rock
iconique, artistes oubliées des années 70 et 80, The Avener déambule dans les allées secrètes de sa
mémoire. Émissaire de son album, son sampling de The Fade Out Line de Phoebe Killdeer & the Short
Straws, discrètement mis en ligne à l’été 2013, buzze d’abord patiemment en France avant d’exploser
en Allemagne puis partout dans le monde.
The Avener retrouve ainsi une patte délicate et radieuse, qui sonne à l’étranger comme une touche
d’élégance so French, tout en s’affirmant comme la redécouverte du chaînon manquant entre l’émotion
harmonique et la pulsion de danse… La confirmation arrive avec The Wanderings of the Avener, son
1er album prévu le 19 Janvier 2015.
https://www.facebook.com/theavenermusic
https://twitter.com/TheAvenerMusic
Web : http://www.theavener.com/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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2h30 : JORIS DELACROIX (DJ Set)
A 25 ans à peine, Joris Delacroix s’est déjà
imposé comme l’une des entités majeures de
la scène House française, grâce à des EPs
et remixs qui ont été adoubés par entre
autres Asaf Avidan et Depeche Mode.
Près de 2 ans après la sortie d’”Air France”, il
nous offre son EP éponyme- un occasion de
(re)découvrir cette track dont on ne se lasse
jamais- avec un clip bonus rélisé par Julien
Vrai et Diez Films. L’EP s’ouvre avec un
nouveau titre “This Place is Cool” qui permet
de reconaître instantanément le style de ce
jeune producteur, à la fois atmosphérique et
très dancefloor.
En plus du radio edit d’”Air France” et de sa version originiale, on trouve 2 remixes réalisés par des
compatriotes: le premier par Synapson, duo parisien membre du label de Delacroix “Way Of House” sur
lequel est sorti leur propre EP.
Le second est de Maelstrom, du label Zone, qui nous livre un remix electro-organique de “Night Flight”.
https://www.facebook.com/jorisdelacroix.fpage?sk=wall
https://twitter.com/JorisDelacroix
Web : https://soundcloud.com/jorisdelacroix
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Vendredi 6 mars - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
MINA TINDLE + ANDREA BALENCY (1
ère
partie)
MINA TINDLE “PARADES”
Deux ans après Taranta, son premier album intimiste qui lui aura
valu les louanges d’une critique unanime et la reconnaissance
publique, sur ses propres terres comme à l’étranger, Mina Tindle
forge avec Parades un grand disque lumineux... Une fenêtre
ouverte sur le monde, une invitation au voyage vers des cieux
d’azur et un horizon infini.
Taranta avait été brodé au fil du temps et des émotions, de
tâtonnements et d’expérimentations. Parades, dans toute son
éloquente ampleur, a été écrit presque dans l’urgence, en une
poignée de semaines estivales. Au fil des 12 plages qui le
constituent, l’âme vagabonde et nomade de sa démiurge s’y
déploie dans toute sa changeante pudeur. Il est ici question de
deuils, d’amour, d’attentes, mais aussi de variations climatiques, là
où son prédécesseur était avant tout organique. « Je suis méditerranéenne d’origine, confie
l’intéressée. La musique me bouleverse dans ce qu’elle a de sensuel, dans tout ce qu’elle représente
comme images, comme couleurs. Avec Parades, j’avais envie de faire un disque d’essence, qui sache
capturer les sens. Je suis une contemplative active par le goût, la vue comme le toucher.»
Contemplative : le terme résonne étrangement pour qui connaît cette tête bien faite, dans laquelle la
pensée foisonne et bout.
Mina aura vécu deux ans sur les routes, dans le sillage de Taranta. Deux ans de tournée, d’une
existence « singulière, un peu entre parenthèses » au cours de laquelle elle aura acquis en légitimité.
L’épanouissement pleinement revendiqué, un sentiment de totale liberté auront finalement pris le pas
sur les hésitations des débuts : « La scène m’a enrichie, m’a permis de construire une assise que je
n’avais pas jusqu’alors. En tant qu’artiste, j’avais besoin de ce temps pour «grandir». Et puis, écrire,
c’est aussi une question d’âge : j’ai eu trente ans l’an dernier, ça a été une année magique. Avec
Parades, j’avais envie de quelque chose de très franc quitte à me lâcher dans le vide. J’ai pris des
risques, en acceptant comme un pari de composer et d’enregistrer cet album en peu de temps. Mais je
l’ai aussi fait en parfaite harmonie avec ce que je suis. Ma musique, sur scène comme sur disque, doit
être extrêmement honnête, sinon je n’y crois pas.»
Elle s’est aussi démarquée par un tempérament opiniâtre, de ceux qui ne maquillent rien à coups
d’artifices et de faux-semblants. Auteure, compositrice, interprète, Mina Tindle ne néglige aucun de ses
talents : « j’aurais du mal à me cantonner au rôle de chanteuse ; ces trois facettes, c’est une jolie
casquette, un tout. » Elle en joue comme d’une palette qui lui permet d’exprimer, d’imprimer ses
humeurs, en touches impressionnistes ou toiles colorées. Au fil des doubles sens qu’elle affectionne,
d’une pensée en cascade, d’un esprit d’escalier, Mina promène son monde, sans efforts, entre
cadavres exquis, jeu de pistes et ludiques digressions, sans jamais perdre l’auditeur le long de ces
délicates circonvolutions...
Loin du format de la pop song classique, le champ des possibles est immense : elle a fait de cet opus
une terre de contrastes qui se revisite, à chaque écoute, avec une curiosité intacte et des sentiments
nouveaux. Parades saisit l’affectation comme les incandescences ; les ballades susurrent, les titres up
tempo sont des cavalcades à bride abattue.
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Parades, le titre, est aussi significatif de ce grand écart devenu accomplissement : «Parades, ce sont
destorses bombés, beaucoup de rouge à lèvres, des mouvements de taekwondo, la musique des corps
qui se tournent autour... Parades, ce sont aussi des araignées mangeuses de serpents, des marins aux
abois, des madones pleines de doutes, des fourrures qui ne réchauffent pas vraiment, des pas de deux
à cloche-pied, un soleil andalou impitoyable, l’appel du Grand Nord, la peau comme résolution.» Mina
joue avec les différents sens que revêt le titre de son album : la musique est tour à tour vécue comme
un mécanisme d’autodéfense, comme une célébration joyeuse ou un élan collectif ; comme un chant
tantôt désespéré, tantôt conquérant, qui caractérise l’éternelle parade amoureuse.
Sur ce canevas, sa voix prend tout son relief et son plein essor ; l’esthétique, le sens du mot agrippent
par surprise, coulent de source ou jouent à cache-cache, dans un habile brouillage de pistes. Une
dynamique déjà instaurée, avec l’aide de JP Nataf, sur Taranta : «J’ai vu, à l’époque, comment il
travaillait la langue française, comment il en jouait. JP a infusé sur moi, et comme je suis une véritable
éponge...» Avec ses scansions très spéciales, elle revisite en détail un périmètre qu’elle avait déjà
délimité et nommé sien pour en faire, au final, «quelque chose de moins cérébral et de plus spontané.»
Olivier Marguerit, avec qui elle collabore à la scène depuis son premier EP, a été désigné coréalisateur
et copilote de ce disque. «Là où JP, grand poète et mélodiste de la chanson française, était orfèvre
perfectionniste, Olivier s’est fait sculpteur exalté dans le son comme la prise de risque. Tous deux ont
eu la même bienveillance, le même respect à l’égard de mes chansons... Olivier a joué de presque tout
sur Parades : cet album, nous l’avons fait main dans la main.» Autour des guitares et des claviers des
deux amis, citons, au chapitre des présences qui font mouche, celle du Dirty Projectors Brian McOmber
à la batterie, du compagnon de scène Guillaume Villadier qui aura posé ses guitares sur plusieurs titres
et du mixeur de renom Craig Silvey (Portishead, The National, Arcade Fire...).
Avec Bryce Dessner (The National, Clogs), elle enregistre à Brooklyn deux titres : “L’Astrakan” et
“Taranta” – ce dernier en émanation fugace du passé. Mina Tindle brouille alors les pistes et joue les
filandières en réinterprétant ce morceau – ode à la tarentelle italienne qui avait donné son nom au
précédent album sans jamais y figurer – et en l’enregistrant finalement en terre américaine... «Il y a
toujours, d’après moi, des territoires nouveaux à explorer : je ne cherche ni à combler un vide ni à jouer
les chaînons manquants : je suis foncièrement animée par l’envie de rencontrer l’Autre. Plus de la
moitié des morceaux de Parades sont écrits en français : j’ai aimé confronter “des chansons françaises”
à des sensibilités anglosaxonnes – celles de Bryce, de Craig, de Brian – qui avaient nécessairement un
autre rapport au texte et à sa musicalité et voir ce qui se passait. Travailler avec JP Nataf ou Olivier
Marguerit procédait de cette même envie, de ce même besoin de rencontre qui crée des mondes
nouveaux... Tout cela reste heureusement très intuitif.“
Le long des cris de guerre conquérants que sont “I Command”, “Seaside”, des souffles intimes de
“Dehors”, “Plein Nord” et de “Ta Peau”, des évocations sinueuses et bienveillantes de “Je Sais” ou du
nerveux “Pas Les Saisons”, Parades tend des passerelles entre folk sylvestre à la Bon Iver et pop
française. Mina puise son inspiration dans un vaste registre, de la variété italienne de Lucio Battisti à
l’indie rock en passant par le tropicalisme brésilien des années 70. Elle explique, aussi, avoir beaucoup
réécouté les classiques français ces dernières années, comme pour mieux se réapproprier un héritage
mis de côté jusqu’ici. Elle avoue « une obsession pour les voix, comme si elles étaient des miroirs de
l’âme. Milton Nascimento, Nina Simone, Roy Orbison, Jacques Brel, et plus récemment Beth Gibbons,
Chan Marshall ou James Blake apportent une part d’intemporel à leur répertoire, grâce entre autre à la
sincérité de leur interprétation”
Kaléidoscopique, exotique, ésotérique, Parades parcourt la carte des acclimatations en même temps
qu’il joue les chamanes : Mina Tindle y convoque mages et marabouts, ombres et lumières, rites
incantatoires ou guérisseurs pour un résultat qui ne laisse jamais indifférent : « si cet album doit traduire
un état d’esprit, explique- t-elle, c’est la volonté, la foi en l’action... Dans ce domaine-là, on ne peut pas
faire les choses à moitié.»
https://www.facebook.com/MinaTindle
https://twitter.com/MinaTindle
Web : http://minatindle.com/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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ANDREA BALENCY (1
ère
partie)
YOU’VE NEVER BEEN ALONE (single) Co-produit par
AIRHEAD > déjà disponible
WALLS EP > sorti le 23 juin 2014
Découverte en 2010, Andrea Balency, 22 ans, FrancoMexicaine, citoyenne du monde (installée aujourd’hui à
Paris, mais précédemment à New-York, Mexico, Londres et
Buenos Aires!), s’est très vite affirmée comme l’une des
jeunes artistes les plus intrigantes et prometteuses de sa
génération. Andrea a récemment ouvert les concerts de
James Blake (R&S, Universal), Inc. (4AD), Au Revoir
Simone (Moshi Moshi) et Mount Kimbie (Warp). Elle se
distingue en Avril 2013, en étant choisie par The Cure pour
assurer la première partie du dernier concert de leur tournée
mondiale dans le grand stade de Mexico, où elle se produit
devant plus de 50.000 personnes.
Andrea joue au SXSW et au Sonar de Barcelone, avant de revenir s’installer à Paris pour composer,
écrire et enregistrer avec BATAILLE son premier EP WALLS qui sort le 23 juin 2014; mélange élégant
de nu-soul indie, dubstep downtempo et d’electronica.
Parmi ses collaborations récentes : les producteurs américains Nick Hook et Salva (l’enfant prodige
électro de Los Angeles); un featuring (presque secret) sur l’encensé single “Autumn” de Airhead guitariste et collaborateur central de James Blake, une participation sur le titre “Better” de la rappeuse
New-Yorkaise Kilo Kish et sur un single à paraître écrit par la britannique FKA Twigs ainsi qu’un remix
bootleg de la chanson “Sous Le Lac Gelé” de Benjamin Biolay.
You’ve Never Been Alone, le premier single tiré de son EP WALLS, a été co-produit par Rob
McAndrews aka AIRHEAD, salué par Pitchfork pour son premier album “For Years” (R&S, 2013), et
mixé par Stéphane “Alf” Briat, l’ingénieur du son français par excellence (Air, Phoenix, Sébastien
Tellier...). Le single propose une réponse continentale originale à la “nouvelle scène féminine anglaise
R&B sinueux aux voix joliment mystérieuses” (The Guardian). Avec cette première sortie, Andrea
Balency s’inscrit dans la lignée directe d’AlunaGeorge, SBTRKT, Little Dragon et The XX.
On est immédiatement saisi par la mélodie et les textures vocales oniriques, par la production et le son
singulier et aérien de “You’ve Never Been Alone“, chargé d’effets précis et groovy. La surprise est au
rendez-vous.
Actuellement en train d’écrire son premier album, qui comprendra - entre autre - une collaboration avec
Mount Kimbie, Andrea Balency et ses mélodies entêtantes est une artiste à prendre au sérieux. It’s time
to let you go.
https://www.facebook.com/balencymusic
https://twitter.com/andreabalency
Web : http://andreabalency.com/
Web : youtube.com/user/AndreaBalencyOficial
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Samedi 7 mars - 21h
Tarifs : abonné 23€, sur réservation 25€, sur place 28€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 1€ = concert à 9€
CHARLELIE COUTURE
I m M o r t e l : Nouvel album, sortie le 15
septembre 2014.
1er extrait « l’Amour au fond », déjà disponible
CharlElie vit à New York depuis onze ans. Le titre de
l'album, “I m M o r t e l ” s'entend donc à la fois en
français: immortel, et en semi-anglais: I'M mortel. Et
pour exprimer au mieux cette ambivalence essentielle,
CharlElie a choisi d'être produit par Benjamin Biolay.
L'alliance de CharlElie et de Biolay, c'est celle de la
rigueur et du caprice, de la profondeur et de l'intuition.
On sifflote au bord de l'abîme, on marche sur le fil de la
musique à la recherche d'un équilibre incertain. Il suffit
d'un rien pour tomber de l'autre côté. "Juste avant tout
va bien, et juste après tout va mal"... mais ça marche
aussi dans l'autre sens: "il suffit d'un rien, un nuage, un
ange qui passe" pour que tout aille mieux.
A quoi ça tient ?
"Nos rêves sont solides, heureusement", et même si rien ne tient à rien, quelque chose nous retient.
CharlElie nous promène au bord des gouffres avec la grâce d'un ange gardien. Ses chansons gardefous nous prennent par la main, entre jazz complice, berceuse consolatrice, cuivres fatigués d'une
fanfare qui s'éteint, cordes sensibles et guitares rock. L'électricité est toujours là, mais c'est désormais
celle de l'âme. Plus Yin, moins Yang, l'énergie, toujours puissante, s'est dépouillée de toute agressivité.
On a à la fois le sentiment de retrouver le CharlElie qu'on a aimé, patiné par le voyage de la vie, vieilli
comme un vin de garde - mélancolie profonde, amertume des grands cafés -, et la joie enfantine de
rencontrer un être nouveau, ou plutôt renouvelé.
Biolay est l'artisan de cet assemblage. Le résultat est plein de nuances et de malice. A l'heure des
mélodies joyeusement factices, Couture rhabillé par Biolay rappelle avec délicatesse qu'une chanson
n'impose rien: elle évoque, elle suggère des émotions portées du bout des doigts. Elle nous emmène
dans un monde parallèle, et nous offre la consolation sans s'abîmer dans le mensonge ou l'illusion.
CharlElie dit la dure vérité du chagrin de vivre.
La lave est toujours là, elle nous réchauffe de sa brûlure adoucie. Tranquillement bouleversant, “I m M
o r t e l ” signe le retour d'un CharlElie qui a beaucoup à partager, dans un album aussi important pour
lui que pour nous.
https://www.facebook.com/CharlElieOfficial
https://twitter.com/CharlElieNYC
Web : www.charlelie-officiel.com
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Jeudi 12 mars - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
ANTILOOPS
Dans le cadre de « 1 mois de Jazz en Basse-Normandie » (réseau Focus Jazz)
Flûtiste hors-pair, formée au CNR de Caen puis au
CRR de Cergy Pontoise, Ludivine se passionne
pour l'improvisation et le jazz. Très tôt, elle est
poussée par ses professeurs à se professionnaliser.
Entre formations jazz et classique, Ludivine se forge
rapidement une technique implacable qu'elle met en
pratique en intégrant l'Orchestre de flûte français.
Elle remporte également en 2007 la première place
au concours national de Flûte Jazz. Les soirées
dans les clubs parisiens et les Jam sessions lui
permettent de côtoyer rapidement quelques uns de
ses mentors Hervé Meschinet, Malik Mezzadri,
Michel Edelin…
En 2007, elle se fait repérer par le célèbre producteur et DJ Jean-Christophe Le Saoult : Wax Tailor, qui
l'engage dans son groupe. Une grande aventure commence alors pour Ludivine. Plus de 500 concerts
dans les plus grandes salles (Olympia, Bataclan, Aéronef, Zenith, Grand Rex, Victoire 2…) et les plus
grands festivals (Solidays, Rock en Seine, Les Vieilles
Charrues, Montréal jazz festival,
Glastonbury…) ; mais aussi des tournées internationales : USA, Chine, et toute l'Europe. Elle rencontre
ensuite le groupe UHT avec qui elle collabore également et part en tournée avec les MC d'ASM et
enregistre avec eux l'album Crawnyard.
Trois collaborations très formatrices pour la jeune flûtiste qui murit en parallèle des idées de projets plus
personnels. C'est alors que né Antiloops en 2012, d'abord en trio puis rapidement en quintet (flûte,
claviers, basse, batterie, scratch).
Antiloops est un projet hybride, à la croisée des chemins entre Jazz, électro funk et hip-hop. Les
morceaux composés par Ludivine et son groupe sont emprunts à la fois de beaucoup de sensibilité,
d'une énergie indéniable et d'une puissance dans le son.
Antiloops c'est le groupe que Ludivine avait rêvé de créer lorsqu'elle entendait dire que la flûte était un
instrument classique, sans volume sonore. Or, son instrument, elle l'a toujours vu comme un moyen
d'exploiter une palette de sonorités infinies et de mélanger les styles et univers.
Electroshock, premier album d'Antiloops, est avant tout l'album de l'affirmation de soi, l'aboutissement
d'une forme d'apprentissage entre la vingtaine et la trentaine qui aboutit à un électrochoc. Une
révélation pour Ludivine, d'un besoin de se montrer telle qu'elle est, d'affirmer sa musique telle qu'elle la
ressent, sans bride.
C'est dans cette quête à l'affirmation de soi, qu'elle a réfléchi à l'idée de cycle ou de loop, que l'on
retrouve aussi bien dans la musique que dans la vie. Au final, dans toute musique on retrouve une idée
de boucle, de répétition, de cycle. Après avoir longtemps collaboré avec des artistes de Hip-hop,
adeptes de ce système de loop, Ludivine a eu envie d'essayer autre chose : « Le danger avec les loops
c'est que cela peut enfermer la musique ainsi que les musiciens. J'ai eu envie d'essayer d'utiliser ce
matériau mais d'aller plus loin, de montrer qu'un peu comme dans la vie, même si parfois les choses se
répètent, elles le font toujours en apportant autre chose, et que parfois il faut accepter la fin d'un cycle
et en commencer un autre ».
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Electroshock est en ce sens un titre fort. C'est la fin d'un cycle certes, mais un réveil brutal vers autre
chose. Tout d'abord parce qu'un premier album est toujours une première mise à nue, qui force à
l'introspection, à l'honnêteté avec soi-même et par conséquent avec l'auditeur.
C'est grâce au rassemblement de musiciens d'univers différents : Nicolas Dérand (Octavia, Jessica
Fitoussi), Timothée Robert (Rido Bayonne, Karim Ziad), Maxime Zampieri (Magic Malik, Julien Lourau)
et Mr Gib (La Fine équipe, Wax Tailor), mais également grâce à la participation de DJ Greem (C2C,
Hocus Pocus), parrain du projet et collaborateur sur certains titres, que la démarche transversale du
projet prend toute sa profondeur, jouant avec différentes cultures. La présence de la Flûte-Box permet
d’accéder à une riche palette rythmique, mise en exergue par l’improvisation prédominante dans le
jazz. Antiloops c’est avant tout cinq musiciens professionnels reconnus, issus de différentes cultures
musicales, s'imprégnant de leurs différentes personnalités afin de créer un bouquet électrique jazz, hiphop... Une musique non conventionnelle qui aura de quoi vous surprendre !
https://www.facebook.com/antiloops.musique
Web : http://antiloops.fr/
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Samedi 14 mars - 21h
Tarifs : abonné 15€, sur réservation 18€, sur place 20€. Tarif Solidaire : 3 Tickets Culturels Solidaires = concert à 6€
CHARLES PASI
Charles Pasi est à peine trentenaire. Il est né à Paris, après
les derniers combats, les ultimes révolutions. Mère
française, père italien, déjà des raisons de regarder plus
loin, plus haut, de ne pas se contenter de l'évidence. À la
maison, différentes sonorités et cultures se mêlent, on
échange, on sait qu'il y a un horizon à dépasser. Charles
parle aujourd'hui aussi bien les langues de Molière, Sam
Cooke, Garibaldi que Cervantès. Tout gamin, il écoute en
boucles une cassette paternelle. Pas n'importe laquelle.
Dessus, Otis Redding, Ben E King, Percy Sledge... De l'âme
en barre. Il adhère sans attendre, le coeur et les tripes
valident le voyage immobile. Il sait sans rien encore
s'avouer. Les années passent. Charles écoute, entend,
apprend, lit beaucoup aussi. Une période grunge à
l'adolescence, l'incandescence des guitares, la fureur
électrique et ses soubresauts avec Nirvana, Rage Against
The Machine. Et puis NTM, du rap. Et encore Pink Floyd, Neil Young, Ray Charles, Little Walter, Miles
Davis, Jimi Hendrix, Sonny Terry, Stevie Wonder, Mozart, Michael Jackson, Etta James, Janis Joplin,
Lucio Dalla, Fabrizio De André, tout ce qui pouvait le bouleverser, lui parler, peu importe le style, la
langue, la source, sans oublier les musiques de films (Charles est, très jeune déjà, un dévoreur
d'images, un amoureux des histoires en mouvement ) avec Rota, Morricone, Herrmann et Dylan... Bob
Dylan.
Un jour, il a seize ans, son bus s'arrête devant un magasin de musique. Charles entre, juste pour voir,
comme poussé par une main invisible. Il interroge une vendeuse, se renseigne, avant de ressortir avec
un harmonica dans sa poche, le même que Bob Zimmerman, et un petit livret d'initiation. Il est déjà trop
tard pour reculer. L'adolescent lambda choisit souvent la guitare, pour imiter ses héros ou séduire une
jeune fille le temps d'un été, avant d'abandonner l'instrument dans un grenier sans espoir. Pas Charles.
C'est une autre chose qui semble l'habiter. Une chose qui ne s'est pas encore nommée, qui avance
dans l'ombre, sûrement. Qui est là. L'harmonica, il apprend à le dompter (“je m'enterre, je ne fais plus
que ça” précise-t-il), il se l'approprie, il progresse, il y est, c'est à lui, en lui, pour lui. Dans la foulée,
Charles s'inscrit à une chorale de gospel et au conservatoire pour apprendre à déchiffrer ce nouveau
langage qui l'envahit chaque jour un peu plus, il se met aussi à la guitare, histoire de pouvoir composer
de manière encore plus libre.
Boulimie fulgurante. Le bac en poche, et après une tentative avortée en faculté de lettres à la
Sorbonne, Charles part une année à la découverte de Rome, le voyage est son oxygène, il a également
multiplié les allers-retours aux États-Unis depuis son enfance (“c'est mon pays d'adoption” confie-t-il), il
traverse les boulevards parisiens comme les fuseaux horaires avec une soif de vivre et de créer plutôt
impressionnante. En Italie, il intègre son premier groupe, les Mood In Black, un groupe de swing, de
blues, de rock&roll à l'ancienne, comme harmoniciste. Puis retour à Paris. Il écrit ses premières
chansons, seul. Il prend son temps, ce temps indispensable à toute entreprise d'importance. Issu d'une
génération obsédée par la vitesse, la superficialité et la technologie, lui préfère, à la manière d'un
artisan, apprendre les secrets oubliés, ceux qui permettent de ne pas galvauder son art. De le
prolonger. Charles écume les jams, les bars, les clubs, il joue dans des maisons de retraite, devant des
accidentés de la route, des handicapés mentaux. Il se blinde, dégaine son harmonica, s'empare du
micro, il se trouve. Avant de rencontrer Antoine Holler, un guitariste. Il lui fait écouter ses compositions.
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Évidence. Ils décident d'autoproduire le premier album de Charles. Il a 22 ans. “Mainly Blue” existe
enfin.
2006. La suite relèverait presque du miracle. Charles remporte le Tremplin de Blues Sur Seine, lui
offrant la possibilité de se produire dans des festivals. Le groupe (ils sont désormais quatre à monter
sur scène, Charles derrière le micro et son harmonica) reçoit différents prix. Il se produit plusieurs
années de suite au Canada, jusqu'au prestigieux festival de jazz de Montréal. Sans label ni réseau,
sans complexe, Charles arpente la planète et conquiert les coeurs anonymes. Arrive l'International
Blues Challenge de Memphis, compétition musicale internationale, toujours en 2006. Un jury de
professionnels sélectionne un disque et un groupe par pays. Les États-Unis, eux, ont le droit d'avoir un
représentant par état. Charles Pasi, lui, représentera donc la France. Et se retrouve parmi les cinq
finalistes, dernier candidat non américain. Inconnu au bataillon, avec ses petits outils, Charles Pasi
séduit. Les médias internationaux l'interrogent, veulent lui parler. La confiance déploie ses ailes. Le
bouche à oreilles fait le reste. Les dates tombent, le groupe tourne comme un damné, toujours dans
une indépendance totale. Hongrie, Espagne, Chicago, Russie, Japon, Vietnam, Birmanie, Brésil,
Angleterre, Pays-Bas, Irlande... Sa musique est une valise idéale, elle aime le blues, la soul, les
mélanges spontanés et audacieux, elle refuse de s'enfermer, d'intégrer une famille qui, de toute façon
ne sera jamais la sienne vu que cette famille n'existe que dans les têtes de ceux qui ne pensent qu'à
étiquetter les choses de la vie pour mieux les affadir. Charles a besoin de plus, il veut non pas
reproduire le passé (qu'il connaît à la perfection, passion oblige) mais bel et bien écrire son présent, là,
tout de suite, maintenant, avec toutes les émotions, les images (le cinéma, toujours!), les désirs qui
sortent de ses entrailles. Quand on le rencontre, on est frappé par son regard presque enfantin, son
envie d'être compris et surtout, cette flamme qui a l'air de le brûler de l'intérieur.
2010 : Charles a écrit son deuxième album. Les concerts ont explosé tous les compteurs, la route
défile, elle donne beaucoup. Believe Recordings, label au départ spécialisé dans le digital, le veut
comme première signature. Ses exploits de contrebandier ont allumé des feux. Un tourneur lui tend
également la main, Blue Line. “Uncaged” voit le jour en 2011. L'histoire retiendra que sur cet
enregistrement à l'identité forte, aux couleurs habitées, aux mélodies racées, aux chansons qui
emmènent loin, Archie Shepp a accepté de jouer sur deux titres (“J'étais fan de Attica Blues et de
Blasé, deux disques fantastiques, que je connaissais par coeur”). Charles avait envoyé son premier
disque à sa femme, manageuse. Sans trop y croire. Archie Shepp dit oui. Archie Shepp vient en studio
avec son saxophone. Archie Shepp! Depuis qu'il joue, Charles Pasi a croisé bien des routes, que ce
soit en studio ou sur scène. Celles de Maceo Parker, Ben Harper, Jeff Beck, Jack Johnson, Bertignac,
Zaz, Grand Corps Malade, Jean-Louis Aubert, Carla Bruni. Il a collaboré aux bandes originales des
films de Louis Garrel, Valeria Bruni Tedeschi.
Il est auteur-compositeur-interprète-instrumentiste et ça lui va bien.
Son troisième album, “Sometimes Awake” (titre inspiré par une nouvelle de Faulkner) sera disponible
en octobre 2014. Son style a bien sûr évolué, ses morceaux dévoilent encore ce désir de ne pas
accepter les codes, de tout transfigurer, que ce soit le blues, la soul, la musique afroaméricaine, la
classique. Charles expérimente, tente des choses qui, finalement, lui ressemblent : enlevées,
profondes, sensuelles, libres. Avec toujours cette inspiration génératrice d'images, qui secoue les
clichés. “Quand je compose, c'est très visuel. Ma musique, c'est un peu la bande originale de ma vie.
Un peu comme un journal intime, celui que je n'ai jamais écrit.” C'est tout à fait ça. Quand on l'écoute,
on devine que sa musique doit beaucoup aussi à la littérature et au cinéma. En entendant “Sometimes
Awake”, si l'on ferme les yeux, on voit! Des hommes, des histoires, des sentiments, des rythmes, tout
s'incarne, tout respire. Ce troisième disque marque un autre tournant dans sa carrière: Charles a
travaillé pour la première fois avec un réalisateur, Jean-Philippe Verdin (mieux connu sous le nom de
Readymade FC quand il enregistre sa propre musique, électronique). “Je l'ai choisi pour ses influences
très larges, qui vont du jazz à la musique minimaliste. Et parce qu'il a compris ce que je voulais. Par
exemple, sur cet album, il y a du sampling. Je voulais ça mais je voulais que ce soit incorporé
intelligemment. Pas jouer les modernes pour jouer les modernes (sourire). Ces samples sont musicaux,
ils cohabitent avec des cordes. C'est presque néo-baroque, avec toutes mes influences et les
arrangements sont plus riches. Il y a aussi des cuivres... Je l'ai vraiment pensé comme un film, ce
disque.” Mais quel film alors? La réponse ne tarde pas: “Je pense que ça serait un film un peu
schizophrénique où l'on passerait des rires aux larmes, de la légèreté à des thèmes plus sérieux qui ont
pu me toucher.”
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Un disque de vie en somme. Une vie loin des tumultes idiots, des précipitations, des aveuglements, des
raccourcis trompeurs. Charles Pasi aime rêver, dormir, écrire dans son lit, prendre son temps, faire et
refaire encore, c'est un nostalgique d'un temps qu'il n'a pas connu, c'est d'ailleurs peut-être pour ça que
ses chansons génèrent un tel caractère onirique, cette magie palpable, présente, déterminante. Charles
n'a peut-être connu ni la Renaissance, ni les années soixante ni le futur mais il sait qu'il avance sur la
même ligne temporelle, que le temps, pour ceux qui sont sensibles au beau et au sublime, peut se
contracter. Il est au coeur d'un monde qui n'appartient qu'à lui et que n'importe quelle personne encore
capable de s'émouvoir peut décider de rejoindre. Il poursuit sa quête, celle de l'inconnu au bout du
chemin. Là où tout reste possible.
Le monde lui appartient.
Concert parisien à la Cigale le 12 novembre prochain.
https://www.facebook.com/charlespasi
https://twitter.com/charles_pasi
Web : http://www.charlespasi.fr/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Lundi 16 à 9h45 + mardi 17 à 9h45 &
14h + mercredi 18 à 9h45 séances scolaires
Mercredi 18 mars - 17h séance tout public
Concert Jeune Public : séances scolaires & tout public
Tarifs : 5€ séance scolaire / 10€ séance tout public
LES FRERES CASQUETTE
Nouvel album « Le Monde à l’envers »
(YOTANKA - MUSICAST) sorti en janvier 2014
Allez hop, c’est l’heure du hip-hop !
Le Clash musical des générations a eu lieu. Le
baby-boom du rap est en marche. Les enfants,
sevrés de sons issus de la scène musicale urbaine
de la fin du vingtième siècle, réclament leur ration
de rimes riches, couchées sur rythmes rutilants...
Alerte !
Appelés à la rescousse, Les Frères Casquette
enfilent leur plus beau survêt, chaussent les
gapettes et déboulent fissa, tel de vaillants messagers du rap et du RN’B auprès des jeunes
générations biberonnées à la « Street Culture US», délivrant un hip-hop Français « toutes tailles » : à la
fois XXL pour les petits, et XXS pour les plus grands.
Une joyeuse équipe se met alors en marche : Max et Sam Casquette (des jumeaux aussi différents
dans leurs goûts vestimentaires et leurs caractères, que complémentaires dans l’action), Cousin Bob
(un petit rigolo fasciné par le bling-bling américain) et le nouveau membre : DJ Casque (un voisin geek
et timide, possesseur d’une mystérieuse platine magique) ! De plus, bien d’autres protagonistes
viennent compléter ce joyeux graffiti : Tom Le Rom, Laurence et… vous-mêmes !
Fiers porte-étendards d’un style musical moderne, où l’Hexagone représente le deuxième marché rap
mondial derrière nos cousins Américains, nos super-hérauts du flow préparent actuellement un nouvel
album pour janvier 2014 (Yotanka/Musicast) qui promet de faire évoluer leur style inimitable vers un
hiphop à la fois délicieusement fantaisiste et férocement fédérateur.
Sur scène, forts de leur longue expérience des concerts, et soutenus par Rock Ici Mômes, Les Trois
Éléphants, Boule De Gomme, ou encore Molokids, Les Frères Casquette offrent a leur jeune public un
véritable spectacle hip-hop participatif pour tous. Bariolé comme un tag de la 42è rue de New York City.
Coloré par l’utilisation de véritables instruments live (afin d’agrémenter le rythme infernal des beats).
Rappé sur des paroles sensées et sensibles aux considérations enfantines (allant de la tolérance
envers les autres, jusqu’aux considérations écologiques).
En bref : Slam sous les visières : breakdance dans les chaumières ! Tout un programme…
https://www.facebook.com/lesfrerescasquette
https://twitter.com/LFCASQUETTE
Web : www.lesfrerescasquette.com
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 19 mars - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
DARAN
Nouveau spectacle « Le Monde Perdu »
DARAN SOLO OU PRESQUE 2015-2016
Nouvel album, sortie simultanée au
Canada et en Europe 14 octobre 2014
Daran va mettre en image les textes et les
musiques de son nouvel album afin qu’il
devienne la musique d’un film. Ce film,
tourné au Québec et ailleurs, en intérieur
comme en extérieur selon les besoins, sera
projeté derrière lui sur un écran géant
comme un « road movie » à l’ambiance
captivante.
Avec lui sur la scène, une dessinatrice va interagir avec les images filmées en y mêlant sa patte et son
art. Grâce à une mise en scène minutieuse, des dessins de personnages ou de toute autre chose (en
rapport avec les histoires développées dans les textes) seront incrustées dans l’écran, animés, et
superposés aux images via une tablette graphique pour leur donner une nouvelle vie à l’aspect un peu
magique.
Daran interprètera guitare/voix/harmonica les titres de son nouvel album « Le Monde Perdu » mais
aussi des anciennes chansons de son répertoire.
https://www.facebook.com/daran.officiel
https://twitter.com/DaranOfficiel
Web : http://daran.bandcamp.com/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Samedi 21 mars - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
FAADA FREDDY
Dans le cadre de « Culture(s) Urbaines » proposé par les services culturels de la Ville et de la
Communauté Urbaine d’Alençon, et « 1 mois de Jazz en Basse-Normandie » (réseau Focus Jazz)
E.P ‘Untitled’ Faada Freddy, la sensation du moment
Il n'y a guère que Faada Freddy pour soulever l'enthousiasme de
personnalités aussi éclectiques que Zaz, Lenny Kravitz, Bernard
Lavilliers, André Manoukian, Nagui, Imany, ou Grand Corps Malade dès
la sortie de son 1er E.P solo Untitled !, classé 13 du top digital la
semaine de sortie.
Ceci est le témoin de l'incroyable universalité de son
style.
Partout où il passe, Faada Freddy enchante tout le monde avec
sa personnalité généreuse et surtout sa voix exceptionnelle. Sa musique
faite sans autre instrument que la voix et les percussions corporelles est
un subtile mélange des harmonies vocales d'un Bobby McFerrin et de
mélodies pop avec un timbre de voix Soul à la Otis Redding.
Issu d'un des groupes de rap les plus connus d'Afrique (Daara J), ce
vocaliste hors-norme, a surpris bon nombre d'observateurs avec son
premier un projet solo "Untitled", sorti le 28 avril dernier, qui a hanté
pendant plusieurs semaines les hauteurs du top iTunes.
Faada défend actuellement cet E.P sur scène, enchaine les 1ères
parties d'artistes tels que de Zaz, Ben L'Oncle Soul, Bernard Lavilliers, Imany, Asaf Avidan et apporte
les dernières touches à son album, intitulé Gospel Journey, prévu pour octobre prochain. Un
programme bien chargé donc, pour celui qui pourrait bien devenir la révélation de cette fin d'année
2014.
Toute l’âme de la Soul.
C’est l’histoire d’un enfant des rues de Dakar, qui fabrique des guitares avec des boîtes de conserve
pour faire exister ses rêves de musique.
C’est l’histoire d'un jeune homme qui avec son groupe (Daara J) parcourt le monde et fait vibrer les
scènes des festivals les plus prestigieux (Glastonburry, Womad…).
C'est l'histoire d'une voix qui a séduit et a collaboré avec les plus grands artistes internationaux (de
Damon Albarn à Wyclef Jean des Fugees).
Tout le monde vous le dira, Faada Freddy a une voix extraordinaire. Elle l'est autant par sa technique
que par l’émotion qui s'en dégage. Faada Freddy est impressionnant car il peut tout chanter et à
chaque fois délivrer une intensité émotionnelle.
Loin de la facilité, Faada a décidé de faire un disque sans le moindre instrument, uniquement avec des
voix et des percussions corporelles. Pour mettre en pratique son concept, il a confié les rênes de son
projet au réalisateur As’ à qui l’on doit notamment le premier album d’Imany (disque de platine en
France et dans de nombreux pays européens).
Entre battements de chœurs et claquements de doigts, Faada Freddy enchante avec sa voix unique au
service d'une pop music millimétrée, à la fois innovante et empreinte de toute l'âme de la soul.
Nota Bene : Le phénomène est assez rare pour être souligné, l’album sortira simultanément en France
et dans 14 autres pays européens. Dans chaque pays où le projet a été signé, les maisons de disque
l’envisagent toutes comme l’un des succès critique et commercial de la fin d'année 2014.
Télécharger le 1er E.P "Untitled": http://bit.ly/1h7fagC. "Lost" en répétition : http://bit.ly/PYwGsO.
Faada Freddy - Session studio : We Sing In Time : http://bit.ly/1kKIY4q.
https://www.facebook.com/FaadaFreddyMusic
https://twitter.com/FaadaFreddy
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 26 mars - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
STEVANS
Stevans est né en 2006 à Genève. Yvan Franel, auteur,
chanteur, guitariste, pianiste, rencontre Bruno Tancredi,
bassiste, puis John Chirico, batteur. Très vite, le groupe sort
"The Reversal EP" dont le single "Monday’s Wedding" va
rapidement les révéler sur la scène helvétique.
Leur premier album éponyme, "Stevans", est réalisé par
Bertrand Siffert, producteur et ingénieur du son pour les Young
Gods. Il sort à l'automne 2006 avec un son rock allant de Franz
Ferdinand à Stereophonics, en passant par Oasis. Une filiation
évidente due, sans doute, à la culture anglohelvétique d’Yvan.
Trois singles vont s’imposer sur les radios romandes, "Rocky,
drunky pervert", "Emotional cash" et surtout, "Monday's
wedding". Un succès national qui leur permet de s’exporter à
l’étranger.
Ils enchainent alors, en quelques années, plus de 500 concerts entre Zurich, Reims, Lyon, Paris,
Lisbonne, Porto, Manchester et Londres. L'occasion, pour eux, de rencontrer ou de faire la première
partie des plus grands, comme The Servant, Natalie Imbruglia,Girls in Hawaï, Tahiti 80, Editors, The
Rakes, Infadels, Kaiser Chiefs, Snow Patrol et Rita Mitsouko. Ils sont programmés dans de nombreux
festivals, dont le Paléo de Nyon et le NRJ Music Tour à l'Arena de Genève. En 2007, ils remportent le
premier prix du tremplin du Montreux Jazz Festival qui leur offre la chance de jouer, l'année suivante,
sur la scène de l’Audtorium Stravinsky, en première partie de Deep Purple.
L’album pop-rock FAKE paru en janvier 2010, réalisé par Will Jackson (qui a œuvré entre autres pour
Kaiser Chiefs et The Pigeon Detectives), emmène le groupe durant l’été 2010-2011 sur les scènes du
Paleo festival, Montreux Jazz, Caribana, , Open air Zürich…
Faut-il croire Will Jackson qui affirme que Stevans est le groupe le plus talentueux qu’il ait rencontré ?
Car désormais, le groupe opère sa mutation vers une esthétique sans cesse plus dansante… Un
nouvel album dénommé « Rupture » aux sonorités électro-pop à la fois tendues et mélodiques, d’une
redoutable efficacité, sortira en France en octobre 2014. Il est principalement l’œuvre d’Yvan Franel, le
chanteur, qui a fait opérer au groupe sa révolution esthétique.
Un premier single, Franelizer, s’annonce d’ores et déjà comme une petite bombe hédoniste, qui pourrait
bien nous accompagner joyeusement durant ces mois d’été… Vous avez chanté ? Eh bien dansez
maintenant.
https://www.facebook.com/stevansgroup
https://twitter.com/stevansgroup
Web : http://stevans.net/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Samedi 28 mars - 21h
Tarifs : abonné 22€, sur réservation 25€, sur place 28€. Tarif Solidaire : 4 Tickets Culturels Solidaires + 1€ = concert à 9€
MIOSSEC + LADYLIKE LILY (1
ère
partie)
Inutile de lire dans les étoiles ou dans le marc de
café pour savoir que Miossec signe son meilleur
disque à ce jour. Un disque de onze chansons qui,
on prend les paris, se retrouvera fin 2014, au pied
du sapin, en bonne place dans les traditionnels top
de fin d’année.
Ici-bas, Ici même, écrit et composé comme un
couillon avec ma guitare et trois fois rien au
clavier, est un disque fait à la maison dans le
Finistère nord. Sans maquettes. Et en trio. Avec
Albin de la Simone et Jean-Baptiste Brunhes. D’où
ce sentiment de luminosité, de calme, voire de
tranquillité, qui émane de Ici-bas, Ici même. Et qui
contraste avec l’urgent et pourtant bien
burné Chansons ordinaires. À trois, chacun a sa
fonction, explique Christophe. Tu n’as pas la
lourdeur d’un groupe. Tout est rapide. L’équipée est
légère.
Les notes de marimba, les accords de guitare et de piano et la voix qu’on n’a jamais entendue aussi
claire, douce et posée sont enregistrés en trois sessions de trois jours et trois nuits, face à la mer, à
quelques kilomètres de Brest. Dès le premier jour, on faisait le disque, s’emballe Miossec. Tu gardes
les premières impulsions, les premières intentions, les premiers jets.
Neuf jours dans un studio parisien sont ensuite nécessaires pour les prises de batterie, contrebasse,
cordes et chœurs.
Au final, Ici-bas, Ici même s’avère tout simplement un formidable disque de (grandes) chansons. Ah
ouais, concède « Mio », c’est de la chanson super affirmée, avant de ponctuer sa phrase d’un
gigantesque éclat de rire.
« On vient à peine de commencer », première des onze chansons de Ici-bas, Ici même, s’attache à
l’essentiel. À la vie. À la mort. Au temps qui passe et au droit à la seconde chance. « Le cœur »
s’appuie sur une mélodie souple et aérée. C’est d’ailleurs ce qui frappe sur ce nouveau Miossec. Les
chansons respirent. À pleins poumons. Tant et si bien qu’en fermant les yeux, on se retrouve parmi les
musiciens et leurs instruments. Presque dans un esprit jazz symbolisé par la chanson « À l’attaque! ».
On pourrait ajouter que Christophe n’a jamais été aussi loin dans l’épure que sur Ici-bas, Ici même. Que
ce soit à travers « Qui nous aime » ou « Ce qui nous atteint ». À propos de cette dernière, l’auteur l’a
décrite comme une chanson politique super planquée.
On s’en voudrait de ne pas mentionner « Samedi soir au Vauban », qui fera désormais office d’hymne
de fermeture du « CBGB brestois » lors du bal du samedi soir.
Ou « Nos morts », soit comment les vivants s’emparent de la mémoire des disparus.
Ah oui, « Répondez par oui ou par non » a été coécrit par Sophie Calle et l’écrivain Grégoire Bouillier.
Sur les onze compositions, l’honnêteté transpire à chaque mot.
À chaque phrase. À chaque souffle. Que ce soit sur « Bête, comme j’étais avant » (cocomposée avec
l’ami Stephan Eicher) ou sur « Le plaisir, les poisons », où l’on retrouve avec plaisir le citoyen derrière
le chanteur pour faire écho à cette chienne d’époque de désillusion totale.
Ici-bas, Ici même n’aurait pas pu s’achever par autre chose que le lucide et faussement détaché « Des
touristes » et ses chœurs célestes et aériens. Qui nous donne juste envie de réécouter ce qui n’est pas
loin d’être un chef-d’œuvre. Encore et encore. Quasi jusqu’à plus soif !
Philippe MANCHE, Bruxelles
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Ici-bas, Ici même : sorti le 14 avril 2014 en CD / LP & DIGITAL
Composé, écrit par Christophe Miossec, sauf « Répondez par oui ou par non », écrit par Sophie Calle
et Grégoire Bouillier, et « Bête, comme j’étais avant », composé par Stephan Eicher et Christophe
Miossec.
Arrangé par Albin de la Simone.
Enregistré par Jean-Baptiste Brunhes chez Grappe Fleurie, Finistère nord, au studio Pigalle et au
studio Orgeville, Lutèce.
Réalisé par Christophe Miossec, Albin de la Simone et Jean-Baptiste Brunhes.
Mixé par Jean-Baptiste Brunhes au studio Orgeville.
Masterisé par Chab, assisté de Paul Marchand, au studio Translab, Lutèce.
Avec la participation de :
Nathalie Réaux, Diane Sorel : chœurs et sifflet
Anne Gouverneur, Maëva Le Berre : violon et violoncelle
Albin de la Simone : guitare solo, piano, basse, Helmut, Fender Rhodes, Wurlitzer, orgue, Crumar,
Clavinet, tambourin, bodhràn, marimba et chœurs
Hugo Cechosz : contrebasse, basse et guitare
Raphaël Chassin : batterie, shaker, triangle, papier de verre et outils
François Lasserre : guitares et piano
Ninon Valder : bandonéon
Jean-Baptiste Brunhes : marimba
Vincent Mougel et Christophe Miossec : guitares
www.facebook.com/christophemiossec
http://twitter.com/MiossecOfficiel
Web : www.christophemiossec.com
LADYLIKE LILY (1
ère
partie)
Projet folk mélodique, Ladylike Lily a débuté accompagnée
uniquement de sa guitare avant de livrer « Get Your Soul Washed »,
un premier album très arrangé. En pleine préparation du second opus,
Ladylike Lily reprend la route en solitaire afin de nous présenter ses
nouveaux morceaux. Principalement en français, ceux-ci sont
façonnés autour d'une voix que la jeune multi-instrumentiste aborde
différemment à chaque disque. Toujours fidèle aux mélodies
aériennes et entêtantes, Ladylike Lily réinvente une nouvelle fois son
univers, qui résonne pourtant de manière si familière.
On avait rencontré Ladylike Lily à l’aube du très épuré «On My Own
EP». La jeune femme livrait ses tous premiers morceaux, chansons
mélodieuses portées par une voix de velours. On la retrouve pour son
premier album «Get Your Soul Washed» sorti en mars 2012.
Tissé pendant quatre long mois d’hiver et enregistré aux 4 coins de la Bretagne, ce disque renferme
une multitude d’arrangements et de sons collectionnés, donnant naissance à douze titres à la
production très soignée. Si le premier EP avait semblé intimiste, «Get Your Soul Washed» est
clairement autobiographique, et fait le constat d’un être en pleine révolution artistique.
Ladylike Lily a enregistré un nouvel EP paru début 2014.
https://www.facebook.com/ladylikelilymusic
https://twitter.com/ladylike_lily
Web : http://www.ladylikelily.com/pages/global.php
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 2 avril - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
NACH
Lumière ! Sur la pochette de ce premier album, NACH,
brise l'obscurité, apparition magnétique et lumineuse. A
27 ans, elle est un lien entre la clarté et l'obscurité,
puisant son inspiration dans la mélancolie et dans la joie
comme sur CŒUR DE PIERRE où le rythme qui claque
nous entraîne dans une balade qui nous parle de chagrin
d’amour.
L’âme mélodique. C’est d’abord elle qui la guide, ce son
qui va porter ses paroles. Ce n’est pas étonnant qu’elle
lui ait dédié un titre dont on retient ces mots : « Entendstu cette musique au fond de toi, ferme les yeux c’est
magique…» En elle, il y a de la pop, de l’électro, de l’acoustique, des rythmes qui ouvrent la voie à
l’écriture…
Les mots. NACH, est également auteur et interprète. L’écriture est chez elle un besoin quotidien. Estce un héritage de sa grand-mère, l’écrivaine et poétesse, Andrée Chédid ? Ses mots nous parlent de
nos maux comme sur CE QU’ILS DEVIENNENT : « Je ne rêve plus, ne rêve pas, ce vide en moi, j’ai
perdu quelque chose. Je n’entends plus, je n’entends pas, je n’entends pas cette petite voix qui me
disait on aura tout le temps…».
La vie. Elle vibre dans sa voix. Cette voix qu’elle découvre à 8 ans quand son frère Matthieu la fait
intervenir sur ses albums et qu’elle éprouve une vibration merveilleuse. Elle s’immerge alors dans les
claquettes, le théâtre, le chant… En quête d’une voix justement, comme celle de Billie Holiday qu’elle
admire. Car NACH veut s’affirmer très vite. Son professeur de chant lyrique la pousse vers une carrière
d'interprète. Elle dit NON. Elle veut clamer haut et fort ce qu’elle a en elle. « JE SUIS MOI... rien que
moi »...
L’esprit d’équipe. Joseph, son frère, l'âme sœur ; Jeanne l’alter ego aux manettes de la création
visuelle ; Quentin, l’ami, le musicien, mais aussi Marlon qui co-réalise l'album... Si NACH compose et
écrit seule, elle croit aussi aux rencontres, sait s'entourer et apprivoiser les talents pour consolider et
compléter ses idées. Pas question d'avancer sans l'autre. La preuve avec l’obsédant A TOI MON
ETRANGER, où elle nous invite, malgré nos différences, à partager cette terre... et plus largement, son
univers qui explose sur scène où elle ne songe qu’à une chose : faire plaisir.
L’énergie. Ce besoin de se confronter au public est la preuve de son énergie inextinguible. Elle a
plongé dans le tourbillon qui l’a menée des signatures avec Auguri et Warner Chappell à de nombreux
concerts, aux premières parties de Thomas Dutronc ou Arthur H... Jusqu’à la signature chez Polydor et
cet album. Sa vie est un live et NACH nous emporte comme avec CHANTE ENCORE : « Quoi qu’il
advienne. Qui que je sois. Même si la vie ne m'entend pas je soigne mes peines. Je me sauve. Je
chante encore, je chante encore pour toi… »
https://www.facebook.com/nachofficiel
https://twitter.com/nachofficiel
Web : http://nach.artiste.universalmusic.fr/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 9 avril - 21h
Tarifs : abonné 15€, sur réservation 18€, sur place 20€. Tarif Solidaire : 3 Tickets Culturels Solidaires = concert à 6€
CLINTON FEARON & THE BOOGIE
BROWN BAND + JAIN (1 partie)
ère
Goodness Sortie le 24 mars, Boogie Brown Productions, en
licence exclusive Chapter Two records
Avec le retour de Nile Rodgers, le Grammy Award des Isley
Brothers, le succès international du biopic sur Sixto Rodriguez, les
albums récents de Bobby Womack ou de Larry Graham, la planète
musique n’en finit pas de célébrer les légendes vivantes de la soul
américaine des années 70. On ne peut que s’en réjouir, mais en
même temps, on ne peut que déplorer que les vétérans
jamaïquains de la même époque ne connaissent pas le même
regain de popularité. Certains d’entre eux perpétuent pourtant
avec panache la tradition du reggae authentique.
Clinton Fearon a conservé la même ferveur intacte depuis quarante ans : ses mélodies acoustiques,
toujours enregistrées en analogue sur ce nouvel album, exaltent le parfum unique du meilleur roots de
Kingston. Les chœurs et le refrain de « The Hunter » rappellent par exemple ceux des premiers 45
tours avec The Gladiators. « Il n’y a que des nouvelles compositions sur cet album, aucune reprise.
Mais je chante depuis tellement longtemps qu’il est possible que certaines mélodies se ressemblent
parfois, ce n’est pas volontaire. J’avais 19 ans lors de mon premier enregistrement avec The Gladiators,
chez le producteur Lloyd Daley pour les singles « Freedom Train » et « Rock A Man Soul ».
Depuis plus d’un demi-siècle, le reggae est la boussole de sa vie. Le chanteur provincial, originaire de
la campagne de St Andrew, raconte : « J’ai grandi dans les collines. Les arbres et les oiseaux étaient
mes seuls amis. J’étais un gamin très timide et solitaire, mais la musique m’a libéré, elle m’a ouvert les
yeux. C’est en faisant de la musique que je me suis enfin libéré dans mon rapport aux autres. » Après
avoir fait le tour du monde au sein du célèbre trio The Gladiators, il s’installa à Seattle en 1987. Il y
produit seul son premier album sous son nom, Disturb The Devil, en 1995.
Vingt ans plus tard, son inspiration ne s’est jamais tarie. Il continue de composer, de surprendre, et de
combler aujourd’hui tous les amateurs de reggae avec un disque qui pourrait bien s’avérer être son
meilleur album à ce jour. Sur un solide socle basse-batterie, les cuivres et les claviers sont distillés avec
une heureuse parcimonie, sans jamais jouer la surenchère. La magie de ses compositions vient aussi
de son amour du moindre détail, comme ces courtes mais étincelantes phrases de guitare sur le refrain
de « Blame Game ». Bassiste de formation, chanteur, mais aussi guitariste et percussionniste, Clinton
Fearon est accompagné de huit musiciens sur scène lorsque les budgets de tournée le lui permettent.
L’an dernier, il a recruté un nouveau joueur de trombone, également présent sur ce disque, et son petit
orchestre tourne désormais comme un manège enchanté. « En arrivant à Seattle, j’ai dû tout
recommencer à zéro. Le reggae n’est pas très connu par les musiciens de ce pays, mais à force de
travail et de patience, nous avons construit un très bon groupe. Je ne suis pas du genre à changer de
batteur à chaque disque, j’aime entretenir des relations solides avec mes musiciens afin qu’ils
murissent au fil des années. C’est ainsi qu’on obtient la meilleure musique à mon avis. » Outre ce son
acoustique millésimé, Clinton Fearon s’applique aussi à polir ses refrains spirituels et ses messages
sociaux : il soutient les victimes d’un système libérale sans humanité ni morale (« Poor Nana »), et il
invite l’auditeur à le suivre sur le chemin de l’amour (« Come By Yah »). Il explique ainsi le titre de
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
29
l’album : « La violence, le scandale et le vice sont devenus des marchandises, c’est ce que l’on vend le
mieux dans les médias, dans les films ou dans la musique également... Je veux proposer autre
chose. »
Sa musique lui ressemble, c’est aussi son caractère affable, profondément généreux, qui enlumine ses
arpèges. Au quotidien, ce grand-père rasta, passionné comme un adolescent de 63 ans, arbore
toujours un sourire et un regard bienveillant. La France est véritablement devenue son second pays
d’adoption. Il a tellement voyagé en TGV d’un bout à l’autre de l’hexagone que le thème musical de la
SNCF a même fini par lui inspirer une chanson, « We No Know It ».
Il reprendra la route dès le printemps pour défendre en live ce nouvel album. Comme chaque année, il
alternera entre des prestations dans les grands festivals et des concerts plus intimistes dans des petits
clubs. Tout cela avec le même enthousiasme, à chaque fois. « Je suis comblé de pouvoir continuer à
vivre mon rêve, en jouant ma musique. Ce n’est pas facile au niveau la reconnaissance, ça a pris du
temps. Mais j’ai persévéré et aujourd’hui, quand quelqu’un vient me voir et me dit que ma musique le
touche, ses mots me font vraiment sentir fier, ça vaut plus que de l’or. »
https://www.facebook.com/ClintonFearonMusic
https://twitter.com/clintonfearon
Web : http://www.clintonfearon.com/
JAIN (1
ère
partie)
Avant d'avoir le virus de la musique, Jain avait la bougeotte. Suivant son
père qui voyageait beaucoup dans le cadre de son travail, elle a sillonné le
monde dans son enfance. Du sud de la France à Abu Dhabi, en passant
par Dubaï et le Congo, avant de revenir en France entreprendre des
études d'art, Jain a grandi entre l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient.
"Les voyages m'ont appris la tolérance. C'est ce que j'essaie de dire dans
mes chansons : comprendre l'autre, rester ouvert."
Ses textes abordent de nombreuses thématiques sociales, mais sans pour
autant verser dans la politique. Ses ballades intimistes chuchotent à
l'oreille de l'auditeur, dessinant les contours d'un univers Lo-Fi, naviguant
entre folk, pop, soul, et reggae. Des premières compositions aux
premières maquettes, la musique de Jain fait la synthèse de ces cultures et influences. Bercée par Otis
Redding, Nina Simone, John Lee Hooker, les Beatles, Manu Chao, ou encore Alain Bashung, c'est au
Congo que la musique, omniprésente dans les rues, s'invite dans sa vie :
"Pointe noire a été une étape essentielle pour l'écriture de mes chansons, un berceau créatif. C'est
avant même de pouvoir faire mes premiers accords, simplement en écoutant et en observant cette ville,
qu'un style c'est imposé à moi, cette culture à la fois traditionnelle et novatrice, bercée entre l'espoir et
le désespoir… C'est cette dualité que j'essaye de rapporter dans mes chansons."
Auteur-compositeur-interprète, Jain puise aussi l'inspiration dans son environnement personnel :
"Mes chansons ont toujours un rapport avec ma propre vie, mon quotidien."
Elles partent toujours d'un sentiment (la solitude, la colère, le déracinement, l'injustice) et sont
porteuses d'espoir et d'affirmation. Le déracinement est une opportunité pour Jain. Elle porte un regard
tendre et serein sur ses proches et ceux qu’elle croise et elle apprécie chaque instant vécu. Ses textes
sont ainsi parfois pragmatiques, souvent ludiques, et toujours très imagés.
En dépit de sa jeunesse, il y a quelque chose de très ancien dans sa musique, une vibration venue du
blues, de la folk et du reggae, qu'elle allie à des mélodies pop modernes.
A l'aube de sa vie (elle n'a que 21 ans), Jain salue autant Otis Redding, qui mêle les sentiments et
l'énergie, que les Anglais de Radiohead qui se sont complètement réinventés. Comme eux, elle espère
faire des choses différentes avec le temps. Et continuer à explorer le monde.
http://www.facebook.com/JAINMUSIC
www.twitter.com/Jainmusic
www.youtube.com/TheHOBMUSIC / http://instagram.com/jainmusic
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 30 avril - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
IBEYI
Dès la première écoute, on pressent, on sait que le
monde entier leur appartient.
Elles s'appellent Ibeyi, le nom des dieux jumeaux yoruba,
langue parlée aujourd’hui au Bénin et au Nigéria mais
aussi, langue de la Santeria, le Vaudou cubain. Avant
tout Cubaines, elles sont aussi Vénézuéliennes. Et
Françaises, puisque ces deux jeunes sœurs singulières
ont grandi à Paris.
On entend d'abord la voix soul de Lisa-Kaïndé, qui
s'accompagne au piano. Simplicité, intuition, alliées à la
force poignante d'une vraie musicienne. Lisa-Kaïndé,
chevelure afro et immense sourire, ne peut que
désarmer les plus endurcis. A ses côtés, Naomi
accompagne sa sœur aux chœurs. Plus secrète, c'est
pourtant bien Naomi, avec ses longs cheveux bruns et
ses yeux verts énigmatiques qui donne toute son assise
harmonique et rythmique au duo, installée sur scène à
califourchon sur son cajon, ou jouant des batas, les tambours des cérémonies religieuses à Cuba.
Ces deux jeunes filles n'ont aucun besoin de prendre la pose ou de tricher : la musique est en elles.
Une histoire de sang ? Leur père Anga Diaz, grand percussionniste cubain, les a certes très tôt initiées
à la musique qu’il vivait comme un élan spirituel. Il a joué entre autres avec Chucho Valdés, Ibrahim
Ferrer, Ry Cooder, Roy Hargrove ou Steve Coleman. Mais il a trop tôt disparu.
Les jumelles d'Ibeyi écrivent leurs mélodies et leurs textes. Immédiatement séduit par leur talent,
Benjamin Constant (le réalisateur des deux premiers albums d’Asa) les fait travailler sur leurs premiers
titres. C'est la naissance d'une nouvelle voix, évidente et profonde. Lisa-Kaïndé et Naomi ont alors 17
ans, et tout commence pour elles. Et pour nous aussi, à l'image du morceau qui ouvre leurs concerts,
un rituel de la Santeria dédié à Eleggua, le Dieu qui ouvre et ferme les chemins et par lequel toute fête
commence.
Deux ans plus tard, rencontre magique avec Richard Russel, fondateur du label mythique XL
Recordings, qui compte parmi ses talents Adele, XX, Radiohead, ou Jack White . Richard Russell
décide non seulement de les signer, mais aussi de devenir le producteur de leur premier album, dont
l’enregistrement a commencé en mars 2014. Sa dernière réalisation a été le premier album solo de
Damon Albarn « Everyday robots », ils avaient déjà collaboré sur la production de l’album de Bobby
Womack. Richard Russel a aussi produit l’ultime magnifique album de Gil Scott Heron " I’m new here ».
En trente ans d’existence, c’est la première fois qu’un des labels de Beggars
(XL/Matador/4AD/Roughtrade) signe en direct un artiste français pour le monde.
Ibeyi ne ressemblent à personne. La production de Richard Russell étoffe la profondeur de leur
musique, un Negro Spiritual contemporain, avec de l’électro, du hip hop et d’énormes basses.
https://www.facebook.com/ibeyimusic
https://twitter.com/IbeyiOfficial
Web : http://www.ibeyi.fr/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 7 mai - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
COTTON BELLY’S
Cotton Belly’s c’est du blues mais pas que….
Venus d’horizons divers aux influences musicales
variées, ces gars-là dépoussièrent le genre comme
personne, et le prouvent au fil de leurs compositions
(3 albums !).
En tout cas, une chose est sûre, c’est avec à
chaque fois, le même groove généreux que les «
P’tits gars du coton » électrisent les scènes aux
quatre coins du monde (Ecaussystème, Printemps
de Bourges, Blues sur Seine, Jazz à Vannes,
Montereau Confluences, Festiblues à Montréal...).
Encouragés par 5 prix Révélation Scène (dont
Europa Jazz), et après avoir partagé la scène avec
des artistes, tels que Asaf Avidan, La Rue Ketanou,
Birdy Nam Nam, The Wailers …les Cotton Belly's
sortent leur nouvel album en mars 2015.
Discographie en écoute sur : http://cottonbellys.bandcamp.com/music
https://www.facebook.com/cotton.bellys
https://twitter.com/Cotton_Bellys
Web : http://www.cottonbellys.com/
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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Jeudi 28 mai - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
STAL
EP « Gone » - disponible le 29.09.14
1er Album « Young Hearts » - début 2015
Ne pas choisir entre la ville et les paysages naturels, ni
entre électro cérébrale et pop addictive. Manier les sons
au point de perdre toute notion du quotidien, sentir
l’adrénaline monter au fil du tempo. En écoutant l’hymne
pop « Gone », on comprend instantanément le pouvoir
de STAL : celui de nous émouvoir tout en nous
transportant dans un univers étonnamment synthétique
où, par la seule force des machines, l’auditeur se
retrouve dans une faille spatio-temporelle. Ses armes :
rythmes entraînants et refrains accrocheurs.
Les influences, elles, sont étonnantes d’éclectisme : M83, Sigur Ros, Mogwai… mais aussi Coldplay ou
encore la musique ambient de Steve Reich ou de Ryuichi Sakamoto. Un grand écart entre pop
fédératrice, musique contemporaine et post-rock indie : tout est possible pour Pierre-Marie Maulini,
leader de STAL. Son objectif ? S’évader du quotidien en puisant dans l’imaginaire, inviter au voyage via
l’impact sonore, trouver un nouveau sens à son existence en créant sa propre euphorie. D’ailleurs,
Pierre-Marie cherche depuis de longues années à cultiver son rapport à l’image. Grand admirateur de
Max Richter et d’Ólafur Arnalds, il a déjà composé la bande originale d’un documentaire et compte
également travailler sur des films ou des séries. Entièrement écrit et composé par Pierre-Marie, le
premier album de STAL s’appelle Young Hearts. Il a été enregistré à Bruxelles aux studios ICP. Le
mastering a été fait à Sterling à New York. En effet, STAL est un projet qui se veut avant tout
cosmopolite : Pierre-Marie partage son temps entre Paris, Varsovie et Los Angeles, dont il aime
l’effervescence culturelle.
Le leader de STAL a toujours recherché des sensations nouvelles, une autre manière de vivre son
existence. Dès le lycée, il monte un groupe avec son frère jumeau. Il apprend la guitare et les claviers.
Après le bac, sa décision est prise : ce sera la musique ou rien d’autre. Ainsi naît le groupe Red Season
Shade, dont le post-rock s’inscrit dans la lignée de Sigur Ros ou de Mogwai. Après un album enregistré
à Amsterdam et sorti en 2006, le groupe tourne « en mode punk » pendant de longs mois en Europe de
l’Est, en Allemagne, en Scandinavie... « Cela fait partie de mes meilleurs souvenirs. Aujourd’hui, je
retrouve cette spontanéité avec les musiciens de STAL. »
À 20 ans, Pierre-Marie abandonne Nice et son groupe pour s’installer à Paris. Il enchaîne les petits
boulots jusqu’au coup de fil d’Anthony Gonzalez, tête pensante de M83. Tous deux étant originaires du
Sud, ils se connaissent depuis longtemps et suivent leur travail respectif avec attention. En 2008,
Saturdays = Youth vient de paraître. Gonzalez lui demande d’assurer la guitare et les claviers sur une
tournée internationale. Pierre-Marie accepte. « C’était à la fois génial et difficile, car être musicien de
session peut être frustrant. Après deux ans de tournée, je suis parti car j’avais besoin de construire mon
propre projet. ». Il s’envole alors pour l’Irlande où l’ingénieur du son Patrick Walsh l’aide à peaufiner ses
connaissances en matière de synthétiseurs.
2010 : STAL voit le jour. Pourquoi STAL ? Parce qu’il s’agit du diminutif de Stalowa Wola, ville
polonaise dont est originaire son amie, et parce que le mot signifie « acier » : «J'aime ce qu'évoque
l'acier, un matériau lourd et massif, industriel mais également brillant et lumineux.»
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Young Hearts raconte la vie. Celle de Pierre-Marie Maulini, mais la nôtre aussi. Avec ses mauvais
réveils et, aussi, ses rêves éveillés. « D’après beaucoup de groupes actuels, commente Pierre-Marie,
nous faisons partie d’une génération perdue. Mais j’en prends le contrepied, il faut laisser le pire
derrière soi. » Si « Gone » évoque le thème douloureux de l’absence, la mélancolie se fait vite balayer
par les beats entraînants du morceau. « The City, Our Souls » évoque nos racines en tant que citoyens
du monde, « Supernova Fate » nous incite à braver notre destin. Chaque titre de l’album respecte la
ligne de conduite de STAL : une pop épique, atmosphérique et accessible. Pierre-Marie est allergique à
l’élitisme, sans pour autant mettre de côté son exigence - qui se retrouve également en live, où il
s’entoure de Hugo Rattoray (guitares, synthés) et de Renaud Rodier (batterie) - et a su porter, à bout
de bras et à tire-d’aile, ce fabuleux premier album, le travail d’un cœur pur qui a banni la noirceur de
son existence.
https://www.facebook.com/STALofficial
https://twitter.com/STALofficial
Web : http://www.stalofficial.com/
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Jeudi 11 juin - 21h Concert Découverte
Tarifs : 12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs). Tarif Solidaire : 2 Tickets Culturels Solidaires = concert à 4€
THE WANTON BISHOPS
The Wanton Bishops est un duo de Blues
garage
venu
de
Beyrouth
(Liban).
Il est composé de Nader Mansour au chant,
à l'harmonica et guitare et de Eddy Ghossein
aux chœurs, guitare et banjo, sur scène ils
sont accompagnés d'un bassiste et d'un
batteur.
Tout a commencé lorsque Nader a rencontré
Eddy dans un bar de Beyrouth, il y a 2
ans...Ou pour être plus exact, à l'extérieur du
bar, lors d'une bagarre, qui s'est finalement
terminée autour d'une bouteille de Tequila.
The Wanton Bishops était né !
Eddy puise ses influences dans des groupes anglosaxons comme the Kinks, Oasis et Artic Monkeys,
alors que Nader revendique un Blues à la Muddy Waters, RL Burnside.
Surnommés "les Black Keys Libanais" (ARTE/ Tracks), The Wanton Bishops ont su trouvé leur son
entre Blues et Rock garage.
Leur 1er album "Sleep with the lights on" est sorti en décembre 2012, année où ils ont fait leurs armes
aux côtés de Guns n' Roses et Lana del Rey, puis très vite se sont enchaînées les tournées aux USA
(dont le festival SXSW), L'Europe (France, GB, Suède...) l'Afrique du Sud (notamment Rocking The
Daisies) et le Moyen Orient (en ouverture des dates de concert de The Who).
The Wanton Bishops sont soutenus par Red Bull.
https://www.facebook.com/thewantonbishops
https://twitter.com/WantonBishops
Web : http://www.thewantonbishops.com/
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Concerts After Work - accès libre / 19h
Jeudi 5 février - 19h : LEWIS
Je voudrais parler aux femmes, mais aussi à leur mères ». La phrase est
osée, Lewis Evans l’est aussi. 4 mars 1986, Oxford Street Hospital,
Liverpool : Lewis Evans pousse son premier cri. 28 années et deux
groupes plus tard (Lanskies ; Aftersex), le charismatique chanteur et
songwriter est arrivé à maturité. En solo, ses chansons aux couleurs
sixties et romantiques font du bien. Soyez prévenu, le jeune dandy a
beaucoup de choses à vous dire. Né de parents policiers, le jeune Lewis
et son grand frère, Owen, se destinent à une vie tranquille, entre les
briques des maisons ouvrières, à l’ombre des Beatles et d’Anfield Road.
En 1997, la vie du jeune anglais bascule. Lassés par une routine qui leur
sied mal, ses parents tombent le képi et achète un camping car.
Destination ? la France. Après plus d'une année passée à sillonner les paysages français, au son des guitares de
Jim Croce, des chœurs de Jimmy Ruffin et de la voix suave de Johnny Cash, la famille finit par prendre racine du
côté de la Normandie.
C'est donc près de Saint-Lô, que Lewis affine sa culture musicale. Sa naissance sur les rives de la Mersey, la
passion de sa mère pour la Motown, ou encore celle de son père pour Simon And Garfunkel, l'imprègnent.
Fatalement, il embrasse très vite le monde de la musique. A Saint-Lô, de nombreux groupes se créent, et finissent
par être interpellés par la voix chaleureuse et atypique de Lewis. C'est la formation punk-rock des Lanskies qui en
héritera. Les années passent et Lewis écume les salles et festivals français en compagnie de ses acolytes. La
formation aux deux albums s’offre même des escales explosives en Chine et aux États-Unis.
Le temps continue de filer. Lewis, plus mature, éprouve le besoin de se concentrer sur un aspect plus personnel
de sa voix. À présent, ce sont ses propres chansons, son propre univers, qu'il a envie de défendre. Il crée donc un
nouveau projet, Aftersex, un groupe foutraque et joyeux. Ça y est, la première pierre est posée. Mais à 25 ans
passés, le néo Normand, moins sauvage et plus sage, veut s’exprimer pleinement.
2013, le jour se lève, A Day In The Life des Beatles comme fond sonore, Lewis et Nathan (ex Granville, Chocolate
Donuts et Aftersex), scellent leur amitié: ils entament une collaboration. Tous les deux s’enferment en studio
pendant six mois. Des amis musiciens, notamment Augustin Hauville (The Lanskies, Kim Novak, Concrete
Knives), passent, apportent leur pierre à l’édifice. Une cinquantaine de chansons voient alors le jour et l’univers de
Lewis prend forme, la sienne, et « une belle cohérence, très joyeuse, s'en dégage ».
A la fin de l'année, l’univers a ses contours. Les sons, les images, les envies sont définies. Il est temps de passer
le cap du studio. Lewis et Nathan décident de confier le fruit de leur travail à David Sztanke, alias Tahiti Boy
(Tahiti Boy, Micky green, Hollysiz…). Ensemble, ils réalisent un premier EP de quatre titres, enregistré à Paris et
mixé à New York par Chris Moore (Foals, TV on the radio, Scarlett Johanson…).
De cet EP ressort une musique légère mais profonde et mélancolique. Une pop romantique et sincère, tout droit
sorti du cœur d’un jeune homme qui, de toutes façons, n’est jamais meilleur que dans l’émotion et la fragilité.
A l’image de ce tour de France en camping-car, on a envie de le suivre les yeux fermés. Parce qu’après tout,
qu’importe la destination, c’est le voyage qui compte. Armé de sa voix de crooner, Lewis est lancé.
Vendredi 13 mars - 19h : RENZA BO
Dans le cadre de « 1 mois de Jazz en Basse-Normandie » (réseau Focus Jazz)
Depuis plus de 10 ans, le quintet Renza Bô développe une
musique originale, audacieuse et sensible, qui à l’énergie de
l’improvisation associe la richesse et la singularité du travail
d’écriture du trompettiste Pierre Millet. Ballades, petites pièces
sans solo, ritournelles, suites ou encore groove décalé et
burlesque, leur répertoire foisonnant propose un large éventail de
climats et d’atmosphères dans une constante recherche de
couleurs, de timbres, de nuances et de formes.
Renza-Bô a sorti 5 albums (un par an depuis 2007 !) produits par le
Petit Label et regroupés en un coffret fin 2010. Tous ont été salués
par la critique et le public pour l’originalité de leur répertoire, leur
qualité et leur cohésion musicale.
En 2010, Renza Bô a fait partie de la sélection AFIJMA. En 2011, le groupe est invité à participer à l’émission de
Xavier Prévost « Jazz sur le Vif » sur France Musique. Le concert sera entièrement filmé.
Aujourd’hui, Renza Bô travaille à la création d’un vidéo-concert avec le vidéaste Yannick Lecoeur et le metteur en
scène Valéry Dekowski et prépare la sortie d’un nouvel album : L’amicale des borgnes.
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Vendredi 3 avril - 19h : SLAUGHTERHOUSE BROTHERS
Dans la fournaise d'un ancien abattoir d'Evreux s'est nouée en 2012
la rencontre de 4 francs-tireurs normands déterminés à faire rimer
les nuages de décibels avec la ferveur des épopées...
Depuis, les Slaughterhouse Brothers ont rejoint Caen et parcourent
les scènes de France et de Grande-Bretagne.
Après un premier EP autoproduit "Get Lost", sorti fin 2013, le
premier album "Hometown Boys" des Slaughterhouse Brothers est
désormais disponible !
« A la croisée de la pop atmosphérique, du funk et du blues, ces
quatres Normands réussissent la prouesse d’apporter une couleur
nouvelle à tous ces genres, tout en créant un son unique, original et
rafraîchissant » Ouest-France, 14/02/14.
Vendredi 10 avril - 19h : UNDOBAR
Si Undobar a tout d'une formation folk calme et classique,
détrompez-vous ! En effet ces deux musiciens se jouent des codes
et n'hésitent pas à distiller dans leurs compositions des
arrangements et une énergie résolument rock pour offrir un folk rock
explosif influencé par le mouvement stoner des années 90 ou des
artistes comme Queens Of The Stone Age, Clutch ou encore
Johnny Cash.
Avec seulement deux guitares et quelques percussions, Undobar
recrée les décors d’une Amérique hantée par ses démons, mêlant
dans une tension diffuse l’intime et l’universel : le besoin de liberté,
le rapport au monde et à ses règles, ou bien encore le refoulement
de notre côté sombre.
Après plusieurs tournées en France dont les premières parties de
Charlélie COUTURE, Dick RIVERS, ALEXIS HK, Elliott Murphy et à
l'étranger, le duo prépare cette année son prochain album.
Jeudi 21 mai - 19h : CHEVAL VAPEUR
Cheval Vapeur existe depuis 2012. Du chant, du
piano et des percussions, du son-dentelle et des
vidéos dadas !
De la poésie et du grinçant !
De la joie et des larmes de joie.
Nous avons fait de belles dates en région et nous
sommes ravis de pouvoir sortir notre album au
printemps 2015.
Ce trio chant piano et percussions se joue des
codes et cherche l'acte poétique, l'amour et la joie
dans sa musique.
Nous cherchons à rire, nous éclater de rire dans ce monde triste et fragile qui nous vomit parfois ses miasmes au
visage.
C'est notre révolution à nous, transcender la mort par la joie, inextinguible et guerrière.
Nous avons envie de nous mettre les poils au garde à vous, tous ensemble dans la joie et la bonne humeur.
C'est cela Cheval Vapeur de l'émoi et un grand fou rire juste derrière, parce qu'on est vivant et que si on meurt
demain, on n’aura pas de regret.
La délicieuse équipe : Un pianiste foutraque comédien et arrangeur, un percussionniste bruiteur ayant sillonné les
routes avec Gablé et Mamady Keita, un vidéaste plasticien constructeur des décors des films de Bruno Romy
Abel et Gordon, un inge-son sonorisateur du groupe les Elles, une comédienne chanteuse auteur de cet univers
joyeux et grinçant.
Un groupe qui chante l'homme libre et qui casse les clichés homme femme, dominant dominé a voir de toute
urgence pour se sentir vivant et stimulé.
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Mercredi 27 mai - 14h30 : FESTI’BAHUTS
Un groupe d’élèves membres du Foyer Socio-Educatif du Lycée Alain d’Alençon
organise le 27 mai à La Luciole (coorganisatrice) un concours musical en commun
avec les lycées de l'Orne, en partenariat avec le Lycée Gabriel à Argentan.
Il y aura un forum autour duquel certaines associations envisagent fortement leur
présence (Planning Familial, Ligue contre le Cancer, Maisons des Ados 61, Croix
Rouge, Pays d’Alençon - Timbré de Culture, BIJ, La Baladeuse - D’Ecouves Verte), et
d'autres organismes plus culturels tels que La Luciole, la Scène Nationale 61, le
Musée des Beaux-Arts et de la Dentelle, mais aussi des activités plus contemporaines
et ludiques comme démonstrations de skate, graph, hip-hop...
Chacune de ces structures sont prêtes à se libérer à la date fixée, en l’occurrence le
mercredi 27 mai 2015. Certaines subventions peuvent être accordées par le biais de la
« Cart’@too » ou la « Red Touch », branche de la Croix Rouge Française qui soutient
les actions solidaires et interculturelles, ainsi que le Challenge Jeunes, « Cré’avenir »
du Crédit Mutuel.
Ce projet se déroulera en plusieurs étapes : les groupes, dont au moins une personne est scolarisée dans un
lycée de l'Orne, voulant participer devront créer une maquette avec 3 morceaux (dont au minimum 2 créations).
Ceux-ci seront jugés par un comité de pré-sélection composé de : Loïc Lecomte (directeur-programmateur de La
Luciole), un bénévole du Cythem Festival (festival musical), un bénévole de Foksa (association organisatrice
d'événements), d'un membre de D'Ecouves Verte et d'autres personnes qui restent encore à déterminer. Ce jury
élira 10 groupes, et, lors d'un mercredi après-midi, avec les 4 meilleurs groupe (élus via un site internet à la suite
des pré-sélections), un gagnant sera jugé et élu vainqueur sur une prestation d'environ 20-25 minutes, et gagnera
une résidence à La Luciole.
L’événement sera coorganisé par le Foyer Socio-Educatif du Lycée Alain et La Luciole pour le tremplin musical (et
D'Ecouves Verte apportant un accompagnement global sur l'ensemble du projet).
Le Foyer Socio-Educatif du Lycée Alain a le soutien de Mr Matthieu, proviseur du Lycée Alain et Maire-adjoint
d'Alençon, Mr Artois, maire-adjoint à Alençon, le BIJ.
Vendredi 29 mai - 19h : AFTER THE BEES
Alexandra Guillot est à l'origine d'After the Bees, auteure,
compositrice et interprète elle compose les morceaux de ce
projet folk-rock depuis 2011. Aujourd’hui accompagnée par la
harpiste électrique Cécile Gravot, le duo porte des chansons
rock aux envolées sensibles, largement inspirées des musiques
de Neil Young ou de la hargne de PJ Harvey...
Le groupe a été repéré en première partie d'Asaf Avidan, de
Cats on Trees, de Piers Faccini, d’Elysian Fields, de
Vandaveer, de Robin Foster,.... et remarqué sur la scène des
Jeunes Charrues 2013 de Carhaix.
Sélection du Chaînon Manquant 2014, avec le soutien du VIP
de Saint-Nazaire, de Musique et Danse en Loire-Atlantique et des Fabriques de la Ville de Nantes.
AFTER THE BEES travaille sur son premier EP « Resting love » dont la sortie est prévue le 14 février 2015.
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Jeudi 4 juin - 19h : HOT ROD 56
Faîtes un retour aux sources même du Rock'N'Roll avec le groupe Hot
Rod 56 qui puise ses influences dans la musique des années 50 : celle
d'Eddie Cochran, Gene Vincent, Elvis Presley et autres Chuck Berry...
Derrière ce patronyme aux consonances américaines se cachent depuis
plus d'une décennie deux vieux routiers (mais néanmoins sympas !...) du
Rock’N’Roll bas-normand, Gilles (guitare & chant) ancien Hillbilly Cats
de Caen ; et Mickey (contrebasse & chant) ancien Blue Moon Boys de
Granville. Soutenus par la rythmique d’acier de leur batteur Alex
(également batteur de Noïd), ces amoureux des 50's et de belles
cylindrées se sont réunis par passion.
Remontez le temps à bord de leur bolide au moteur gonflé par quelques
reprises intemporelles et par des compositions qui n'ont pas à rougir devant leurs aînées. Et ne vous y trompez
pas ! Même si les Amplis Fender, les guitares vintages et les micros chromés sont d'époque, leur son et leur
énergie n'ont Rien à envier au Rock actuel. D'autant qu'avec la version « Quartet » épaulée par Philippe Géhanne
à l'harmonica et la formule « Deluxe » accompagnée par une section cuivres, ils peuvent mettre de la nitro dans
leur mélange, histoire de donner des accents country, rockin' blues et swing à leurs concerts.
De quoi décoiffer toutes les bananes de l’hexagone !
Quelques dates & lieux de référence : Le Normandy (St Lô ), Le Cargö (Caen – Festival Presqu’île en fête) ,
Le Big Band Café (Hérouville St Clair – 1ère partie de Paul Personne), La Luciole (Alençon – Tournée des
Smac), La Nouvelle Vague (St Malo), Festival Papillons de Nuit 2013, Béthune Rétro Festival 2010, Festival
Quai des Blues (Régneville s/ mer), Tournée « Villes en Scène » du CG de la Manche en 2010, Groupe « Coup
de coeur » de la foire internationale de Caen 2009, Carnaval étudiant (Caen), Archipel – Théatre Marin
(Granville), Fête de la Musique (Caen/Conseil Régional), Soirée Twin (La Bazoge), Programmations estivales (
Bréhal Animation, Jullouville, Villers sur mer…), Transat Quadra-Solo à St-Nazaire et Nantes, Course des îles sur
l'île aux moines & l'île d'Hoedic, Course Duo Solo à Concarneau & La Trinité sur mer, Championnat de France de
Kite Surf, Tour du Calvados à la voile à Caen, le Mac Daids (Le Havre), le Soubock (Cauville), le QG (St-Lô)… +
de 400 Concerts à son actif.
Quelques renseignements : Discographie : « Rockabilly style » en 2005, « Hot & Speed » en 2009, « Let’s
Play Again » en 2012 et « The Golden Record » en 2013. Le groupe bénéficie du soutien du Conseil Régional
de Basse-Normandie, des Conseils Généraux de la Manche, du Calvados et de l’Orne et de la DRAC, ainsi que
de l’accompagnement de la SMAC Le Normandy (St Lô).
Quelques lignes : « Le nouvel album des HOT ROD 56 confirme la place de cette formation de Basse
Normandie parmi les plus beaux fleurons du rockabilly français. » Rock’n’Folk – Nov.2012
« If there was a justice on earth, Gilles, Mickey and Alex would tour the world and the Baseballs would be their
roadies” Jumpin’ from 6 to 6 – Nov.2012
Vendredi 19 juin : ALENCON SOUL PROJECT
Cet afterwork présente un répertoire populaire et divertissant, mais c’est aussi et surtout, une musique qui fut
comme celles qui l’ont précédée, un moyen d’expression, un exutoire et un instrument de lutte des communautés
noires américaines. En effet, les musiciens et techniciens qui firent le succès de cette musique taillèrent du même
coup les premières brèches dans le mur de la ségrégation. Tout cela transpire de cette musique, de son groove et
de son énergie.
L’envie de partager tout cela avec le public, et de faire résonner à nouveau les arrangements mythiques de la
« Stax » et de la Motown anime les porteurs de ce projet.
Cette soirée sera l’aboutissement du travail effectué par les classes de chant choral, cordes et le département
jazz/musiques actuelles du conservatoire d’Alençon ainsi que leurs professeurs. Ils seront accompagnés de
Sandrine Deschamps et Éric Coatleven au chant. Vous retrouverez les succès et les tubes restés dans la
mémoire collective.
Bienvenue dans la soul music.
Si vous ♥ Otis Redding, James Brown, Les Jackson Five, les Temptations.
LA LUCIOLE  Dossier de Presse  janvier-juin 2015
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La Luciole, ce n’est pas que des concerts, mais aussi un Pôle Ressources, un espace
répétition, des formations, des accueils d’artistes en résidence, des actions culturelles,
etc.
PARTENARIAT CULTUREL
Sensibilisation des différents publics, rencontres avec des artistes, prévention, conférences, travail auprès des
publics… pour permettre au plus grand nombre de devenir spectateur, de goûter au plaisir du spectacle, de
susciter l’envie et la curiosité par la découverte des différents métiers, mais aussi des différentes esthétiques que
recouvrent les musiques actuelles.
Au programme des actions culturelles, sont initiées des partenariats avec des établissements scolaires ou
spécialisés (de l’école maternelle à l’université, en passant par les IME), des centres sociaux, des associations,
etc. Dans le cadre de projets d’éducation artistique sont organisées régulièrement des visites de La Luciole (visite
des locaux, de la scène aux coulisses, historique, fonctionnement, etc), des rencontres avec des artistes
programmés (balances, échanges avec les groupes, concerts), avec des techniciens du spectacle, le directeurprogrammateur, la chargée de communication ou encore l’administrateur.
La Luciole s’inscrit dans plusieurs dispositifs, tels que Culture/Justice (au Centre Pénitentiaire d’Alençon / Condé
sur Sarthe), Culture/Santé (au Centre Hospitalier d’Alençon), Jumelage (avec des écoles), Saison Culturelle
Cart’@too (avec le Conseil Régional de Basse Normandie et les Céméa), etc.
FORMATIONS
La Scène de Musiques Actuelles La Luciole vous offre, à Alençon, le meilleur d’un programme de formations
spécifiques autour des Musiques Actuelles et du spectacle vivant.
Participer pleinement sur notre territoire alençonnais au développement des pratiques « amateurs » et
accompagner au plus près les groupes vers la professionnalisation en leur proposant, à ce titre, un
programme d’ateliers divers, de stages adaptés et de formations spécifiques, est, bien évidemment, une mission
essentielle à laquelle nous sommes particulièrement attachés.
L’objectif est de répondre, au mieux, aux besoins et aux attentes des publics concernés, que ce soit pour
compléter ses propres connaissances ou approfondir son champ de compétence dans les domaines artistiques,
techniques et administratifs. Gageons que ce tout nouveau programme semestriel de formation saura répondre
à la curiosité et aux exigences de chacun, tout en permettant de renforcer et développer la création musicale
locale, départementale et régionale.
ATELIER ECRITURE RAP
CONTENU : Acquérir ou perfectionner les techniques et outils permettant de caler un texte rap sur un
instrumental. Les différentes techniques d’écriture : jeux avec les mots / sens du texte
Les outils pour la mise en forme : structure / jeux sur les rimes
L’interprétation : contraintes rythmiques / respiration / travail du flow
PUBLIC : Cet atelier s’adresse à des rappeurs confirmés ou débutants, ainsi qu’aux chanteurs/auteurs voulant
s’essayer à l’écriture Rap. 12 participants max.
INTERVENANT : Guillaume AGSOUS : chanteur du groupe Nouvel R
DATE : Samedi 21 et dimanche 22 mars 2015 de 10h à 12h et de 14h à 17h
TARIFS : Abonné : 30 €, Non abonné : 40 €, Tarif Solidaire : 20 €, Cart’@too : 2 chèques Pratique Artistique de
15 €, Timbré de Culture : 1 timbre de réduction de 7,60 €
INITIATION AUX TECHNIQUES DE SONORISATION
CONTENU : Permettre aux musiciens, dans une situation de répétition ou de diffusion, de se familiariser avec le
matériel professionnel de sonorisation afin d’en connaître au mieux son utilisation : le câblage, la console de
sonorisation, les correcteurs, les micros, les effets …
PUBLIC : Toute personne ayant le désir de connaitre et d’appréhender les techniques de sonorisation. 6
participants max.
INTERVENANT : Damien Ybert, responsable du pôle ressources, du service répétition et régisseur son.
DATE : Samedi 11 et dimanche 12 avril 2015 de 10h à 12h et de 14h à 18h
TARIFS : Abonné : 80 €, Non abonné : 100 €
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 POLE RESSOURCES La Luciole
Contenu : Le pôle ressources, vous permet de consulter l’ensemble de la presse musicale spécialisée, de
naviguer sur le net à la recherche d’informations musicales spécifiques, d’écouter l’intégralité de la programmation
trimestrielle en cours. Lieu de rencontre et d’échange, ce pôle ressources met à votre disposition tous les outils
d’information nécessaires à vos besoins, magazines, documentation et annuaires spécialisés, ordinateurs…
Renseignements: Damien Ybert, en charge de ce service, est là pour vous conseiller, répondre à vos attentes et
vous aider dans vos démarches personnelles d’ordre musical. De l’indispensable à l’accessoire, du simple
renseignement individuel à l’accompagnement collectif, ce pôle ressources est l’outil indispensable à la mise en
œuvre et au développement de tous vos projets musicaux. Bienvenue à la source !
 ESPACE ENREGISTREMENT La Luciole
Contenu : Dotée d’un matériel de dernière génération (Système DAW), La Luciole propose de nouveau son
service enregistrement pour toute demande de maquettes préparatoires à un travail en studio ou une prise Live
de votre répertoire en situation scénique. Même si ce matériel dont nous disposons permet de réaliser de bons
supports de démarchage, La Luciole n’est pas en mesure, matériellement, de répondre à des demandes
spécifiques d’enregistrement d’album.
Renseignements : Julien Hamel, régisseur son de La Luciole.
Tarifs : 15€/h (abonné)/18€/h (non abonné). Tarif Solidaire 7€/h. Timbré de Culture : 1 timbre de réduction 7€
Toute séance réservée et non décommandée 48h à l’avance est due.
 ESPACE REPETITION La Luciole (Local indépendant)
Contenu : La Luciole met à votre disposition, en libre accès, un local de répétition indépendant de 25m2
entièrement équipé, disponible 7/7 jours, en dehors des jours de concert, de 12h à 24h.
Équipement du studio : Le studio dispose d’une Batterie Pearl 5 fûts, d’un ampli guitare Marshall 2 corps JCM
2000, d’un ampli basse Ampeg SVT 3 - Pro - et d’une sonorisation complète comprenant mixette, enceintes,
micros et pieds de micros...
Renseignements : Damien Ybert, responsable du pôle ressources et du service répétition.
Tarifs : - Séances individuelles (2 musiciens maxi) : 3€/h (abonné) ; 5€/h (non abonné)
- Séances Groupes : 5€/h (abonné) ; 7€/h (non abonné)
- Forfaits Groupes : 45€/10h ; 80€/20h ; 115€/30h (Non accessible aux non abonnés)
Tarif Solidaire : 25€/10h. Timbré de Culture : 1 timbre de réduction de 7€
Toute séance réservée et non décommandée 48h à l’avance est due.
 ESPACE REPETITION la Luciole (Configuration Scénique SALLE CLUB)
Contenu : Le principe de l’accompagnement à la scène est de proposer aux artistes musiciens des séances de
répétitions en configuration scénique, encadrées, qui permettent à la fois d’optimiser un temps de travail et de
bénéficier de conseils avisés pour se familiariser avec l’environnement scénographique (gestion des balances,
traitement du son façade et du son retour, occupation de l’espace…).
Renseignements : Damien Ybert, responsable du pôle ressources et du service répétition.
Tarifs : 10€/h (abonné)/15€/h (non abonné). Tarif Solidaire 6€/h. Timbré de Culture : 1 timbre de réduction 7€
 RESIDENCES D’ARTISTES (Grande salle de La Luciole)
Contenu : Ce programme repose sur un accompagnement approprié à la démarche de création en permettant
aux groupes de travailler dans des conditions professionnelles au sein d’une structure de diffusion entièrement
équipée. D’une durée variable de 2 à 10 jours en moyenne, ces résidences d’artistes bénéficient de la mise à
disposition de l’ensemble des équipements de la salle, de l’accès aux loges et au plateau scénographique mais
également de l’encadrement technique des régisseurs de La Luciole. Réalisation de plan de feux, de fiche
technique, coaching et mise en scène, autant de possibilités offertes liées à tout processus de création.
Renseignements : Loïc Lecomte, directeur-programmateur de La Luciole.
Public : Groupes et musiciens déjà engagés dans une pratique artistique régulière et repérée, professionnels ou
en voie de professionnalisation.
Tarifs : En fonction de chaque demande, qu’elle soit locale, départementale, régionale ou nationale.
 RESIDENCES D’ARTISTES (Salle club de La Luciole)
Contenu : Ce programme repose sur un accompagnement personnalisé permettant de répondre à des demandes
individuelles et collectives spécifiques, de travailler à la préparation nécessaire au démarrage d’une tournée ou
encore au réaménagement d’un set.
Sous forme de filages, ce type de résidence permet de bénéficier d’un accueil technique professionnel mais aussi
de la présence d’un éventuel intervenant artistique. Ce dernier, détermine avec le groupe un programme et des
méthodes de travail adaptés pour qu’il puisse aborder plus sereinement un contexte professionnel.
Renseignements : Loïc Lecomte, directeur-programmateur de La Luciole ou Damien Ybert, responsable du pôle
ressources et du service répétition.
Public : Groupes et musiciens en voie de professionnalisation déjà engagés dans une pratique artistique
régulière et repérée.
Tarifs : En fonction de chaque demande, qu’elle soit locale, départementale, régionale ou nationale.
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INFO BILLETTERIE
ABONNEMENT SAISONNIER : Janvier – Juin 2015 : 10€
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Invitez qui vous voulez sur le concert « Découverte » de votre choix ! UNE place acheté = UNE
place offerte pour ce même concert (offre non cumulable, dans la limite des places disponibles)
3 à 6€ de réduction sur le prix des places plein tarif
1 CD compilation d’artistes programmés de la saison
L’envoi du programme de la saison à domicile
Réductions sur l’ensemble des activités initiées par La Luciole
1 place au tarif abonné à la Scène Nationale 61
ABONNEMENT ANNUEL : Septembre 2014 – juin 2015 : 15€
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Même avantages qu’avec l’abonnement saisonnier, avec en plus :
1 concert « Découverte » de votre choix acheté = 1 place offerte pour le même concert (par
saison)
1 CD compilation d’artistes programmés par saison
Tarif abonné dans les salles partenaires (Le Cargö à Caen, le BBC à Hérouville Saint Clair, Le
Normandy à Saint Lô) et aux festivals Nördik Impact, Beauregard et Les Rendez-vous
Soniques.
CONCERTS « DECOUVERTE » : Nouveaux tarifs
12€ (10€ pour les scolaires et chômeurs, 4€ tarif solidaire).
OFFRE SPECIALE SCOLAIRES (collégiens-lycéens-étudiants) :
Les Concerts Découvertes à 10€ au lieu de 12€
Abonnement annuel à 15€ :
- 2 compilations offertes (sept-déc 2014 et janvier-juin 2015)
- Prix le + bas sur tous les concerts
- Abonnement annuel 4 SMACs
- Invitez qui vous voulez : 1 place achetée sur 1 concert Découverte de votre choix = 1 place
offerte pour ce même concert (valable 1 fois en sept-déc et 1 fois en janvier-juin)
- En cadeau "bonus" : un concert gratuit au choix (voir liste à la billetterie)
OFFRE SPECIALE « TICKET CULTUREL SOLIDAIRE » :
- Justifier d’une situation de précarité en cours de validité : chômage, RSA.
- Résider à Alençon.
- 1 Ticket culturel solidaire à 2€ = 6€ de réduction (5 tickets max / saison).
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OUVERTURE DES RESERVATIONS
► RESERVATIONS à partir du :
Mercredi 17 décembre 2014 à 14h
Sur place ou par téléphone au 02 33 26 53 72
Et par internet sur www.laluciole.org 24h/24 et dans les réseaux de location
► NOUVEAUX HORAIRES d’accueil-billetterie :
De 14h à 19h les mercredis et jours de concert
CHEQUES CADEAUX LUCIOLE
► Chèques cadeaux Luciole de 10€
TARIFICATION
 Tarif abonné (attribué systématiquement aux chômeurs)
 Tarif réservation (achat du billet à l’avance jusqu’à 19h le jour même du concert)
 Plein tarif (achat du billet au guichet le soir même du concert)
 Enfants (hors concerts jeune public) : tarif abonné jusqu’à 12 ans
 Timbré de Culture, Cart’@too, tarifs de groupes
 Ticket Culturel Solidaire : 2€=6€ (résider à Alençon et bénéficier des minimas sociaux)
Points de location : La Luciole, Carrefour, Fnac, Magasins U, Leclerc, Virgin, Auchan
Les billets ne sont ni repris ni échangés (même en cas d’intempérie), sauf annulation
Pour toute demande d’interview ou renseignements complémentaires :
Marion Vannier, chargée de communication et des relations publiques : 02 33 32 83 33 / [email protected]
N’hésitez pas à nous suivre sur notre site internet, page Facebook et compte Twitter @la_luciole
Merci à tous nos partenaires
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